ULaval:MED-1208/Quiz
- Tubule proximal
- Cortex
- Anse de Henle
- Tubule distal
b
calice-bassinet-uretère-vessie-urètre
1. La pompe membranaire Na-K-ATPase
2. La diffusion du potassium à travers la membrane
- Vrai
- Faux
b
Le rein permet de faire de la néoglucogenèse, soit de former du glucose à partir de précurseurs non glucidiques.
Il permet de polariser-dépolariser les cellules musculaires et nerveuses.
- Vrai
- Faux
b
- La filtration glomérulaire, la réabsorption glomérulaire et la sécrétion tubulaire
- La filtration glomérulaire, la réabsorption tubulaire et la sécrétion glomérulaire
- La filtration glomérulaire, la réabsorption tubulaire et la sécrétion tubulaire
- La filtration glomérulaire, la filtration tubulaire et la réabsorption tubulaire
c
- Vrai
- Faux
a
En effet, le rein permet la dégradation de l'insuline, petite protéine filtrée au glomérule et catabolisée par le tubule
- Rénine, angiotensine II, prostaglandine, bradykinine
- Aldostérone
- Érythropoïétine
- 1.25-dihydroxyvitamine D3
- A et C
- A, C et D
f
Tubule proximal, Anse de Henle, Tubule distal, tubule collecteur
- Vrai
- Faux
b
- La filtration glomérulaire
- La réabsorption tubulaire
- La sécrétion tubulaire
L'intérieur de la cellule est plus négatif en raison de deux processus:
- La pompe Na/K ATPase repousse 3 Na+ vers l'extérieur et internalise seulement 2 K+. La résultante est que l'intérieur de la cellule devient plus négatif par rapport à l'extérieur.
- La cellule est partiellement perméable au K+. Puisque le K+ est en plus petite quantité à l'extérieur de la cellule qu'à l'intérieur, le potassium a tendance à sortir à l'extérieur de la cellule.
- Pompe Na/K ATPase
- Diffusion du potassium à travers la membrane
- Toutes ces réponses
c
- Riche en Na+ et riche en K+
- Riche en Na+ et pauvre en K+
- Pauvre en Na+ et riche en K+
- Pauvre en Na+ et pauvre en K+
b
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Vrai. Le rein est une glande endocrine. Un de ses principaux rôles est la fabrication des hormones suivantes:
- Rénine, angiotensine II, prostaglandine, bradykinine
- Érythropoïétine (EPO)
- 1,25-dihydroxyvitamine D3 (calcitriol ou vitamine D activée)
- Maintient du milieu intérieur
- Sécrétion d'hormones
- Métabolisme
- Tubule proximal
- Anse de Henle
- Tubule distal
- Tubule collecteur (cortical et médullaire)
- Glomérule
- Anse de Henle
- Tubule proximal
- Néphron
d
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
b
La médullaire
Le cortex
- Rate
- Rein
- Foie
- intestin
c
a. rénale - a. interlobaire - a. arquée - a. interlobulaire - artériole afférente - capillaire glomérulaire - artériole efférente - capillaires péritubulaires - système veineux
Maintenir la tension artérielle et le volume corporel
- Diminution du VCE
- Diminution de la tension artérielle
- Diminution du volume liquidien
- Diminution du débit cardiaque
- 1, 2 et 3
- 1 et 3
- 2 et 4
- 1, 2, 3 et 4
a
Substance inactive sécrétée dans le sang par le foie
Angiotensine II
- Vasoconstriction
- Stimuler la contractilité myocardique
- Formation et sécrétion d'aldostérone (effets sur l'artériole efférente et le tubule proximal)
- Augmenter la sécrétion et l'effet de la noradrénaline
- Stimuler la soif
- Contractilité myocardique
- Stimule la soif
- Vasoconstriction
- Inhibition de la noradrénaline
- Formation aldostrérone
d
- Angiotensinogène se convertie en angiotensine I grâce à la rénine (enzyme régulatrice du SRAA).
- Angiotensine I est convertie en angiotensine II grâce à l'enzyme de conversion.
La rénine est sécrétée par l'artériole afférente lorsqu'il y a une diminution du VCE, de la TA ou du volume liquidien corporel.
- Angiotensinogène
- Rénine
- Angiotensine I
- Enzyme de conversion
b
- 10%
- 20%
- 40%
- 50%
b
- Vrai
- Faux
b
Les pores des cellules endothéliales.
La membrane basale fabriquée par les podocytes.
- La taille de la particule
- La charge électrique de la particule
La macula densa
Les pores des cellules endothéliales
Taille de la particule et sa charge
Par électro-répulsion, car celles-ci sont de charge négative et que la membrane basale glomérulaire est électronégative.
- La cellule endothéliale
- La membrane basale
- La cellule épithéliale viscérale (podocyte)
Le mésangium sert de support aux anses capillaires.
20% du liquide plasmatique est filtré à chaque passage, c'est ce qu'on appelle la fraction de filtration.
- Aldostérone (formation et sécrétion)
- Vaisseaux sanguins
- Contractilité myocardique
- Soif
- Artériole efférente
- Tubule proximal
Dans l'espace de Bowman
- La plupart sont des cellules contractiles qui peuvent contrôler la surface déployée de l'anse capillaire
- Certaines cellules mésangiales sont phagocytaires (cellules qui font le ménage de certains déchets qui s'accumulent dans le mésangium).
Vers le tubule proximal
Les capillaires glomérulaires sont fenestrés.
- Vrai
- Faux
a
L'angiotensine II:
- favorise la vasoconstriction des vaisseaux sanguins
- stimule la contractilité myocardique
- stimule la soif
- provoque la formation et la sécrétion d'aldostérone
- augmente la sécrétion et l'effet de la noradrénaline
- Vrai
- Faux
b
- Diminution du volume circulant efficace (VCE)
- Diminution de la tension artérielle
- Diminution du volume liquidien corporel
- Vrai
- Faux
b
- Maintenir la tension artérielle
- Maintenir le volume corporel
- S'assurer que la perfusion sanguine soit maintenue
- Vrai
- Faux
b
Les vasa recta sont les capillaires péritubulaires qui longent le tubule (Anse de Henle).
Les vasa recta.
- Vrai
- Faux
a
- Anion: Très mal filtré à moins qu'il ne soit de petit rayon moléculaire (C'est leur charge qui limite leur diffusion).
- Cation: Filtré plus efficacement, à moins que la particule ait un rayon de beaucoup supérieur aux autres (C'est la taille qui limite leur diffusion).
Débit de filtration glomérulaire. Il définit la fonction rénale.
- Vrai
- Faux
b
Ces valeurs sont celles pour une femme. Les valeurs normales de DFG pour un homme sont de 2mL/sec ou (120 +/- 25) mL/min.
- Vrai
- Faux
b
Le stade I comporte des maladies rénales qui n'ont pas encore donné de diminution de la filtration glomérulaire.
- Fonction rénale normale, soit >1,5mL/sec ou >90mL/min
- IR légère 1-1,5 mL/sec ou 60-89 mL/min
- IR modérée 0,5-1 mL/sec ou 30-59 mL/min
- IR sévère 0,3-0,5 mL/sec ou 15-29 mL/min
- IR terminale <0,3 mL/sec ou <15 mL/min
C'est le volume de sang qui est clairé/nettoyé de cette molécule par unité de temps. Clairance = ( Concentration urinaire mmol/L x Volume urinaire par période de temps mL/sec)/ Concentration plasmatique du traceur mmol/L) ( C= (UxV)/P )
La clairance de celle-ci diminue. Elle va s'accumuler dans le sang et sa concentration urinaire va donc diminuer.
Inuline
Créatinine
Substance endogène qui est un déchet du métabolisme musculaire. Produite en quantité constante à chaque jour, filtrée à 100% au glomérule, n'est pas réabsorbée, mais est sécrétée par le tubule.
Car elle est sécrétée 10-20% au tubule.
- Fonction rénale
- Poids
- Fonction hépatique
- masse musculaire
- A et B
- A et D
f
H: 65 à 115 umol/L F: 55 à 105 umol/L
Formule de Cockcroft et Gault et la formule MDRD (ou CKD-EPI)
Clairance (mL/sec) = ((140-âge) x poids (kg))/49x créatininémie. (Pour une femme, elle correspond à 85 % de ce chiffre, car plus petite masse musculaire que l'homme)
- Cockcroft et Gault
- MDRD
a
- Elle estime la filtration glomérulaire (DFG) et non la clairance de la créatine. Il faut multiplier par 0.742 pour une femme et 1.21 si de race noire. - Unités: mL/sec/1,73 mètres carrés (normalisé selon une surface corporelle standard) - Plus précise que la formule Cockroft et Gault
Âge, sexe, race et créatininémie.
Le capillaire glomérulaire filtre d'un bout à l'autre et la pression hydrostatique est forte d'un bout à l'autre pour cela. Aucune réabsorption dans ce dernier, uniquement de la filtration.
Car elle doit passer dans l'artériole efférente qui est un vaisseau de résistance, ce qui dissipe de l'énergie hydrostatique pour le franchir.
- Vrai
- Faux
b
Il fait de la réabsorption d'un bout à l'autre du à une faible pression hydrostatique et une pression oncotique haute. (Forces de Starling)
- Il doit être en concentration stable dans le temps.
- Il doit être filtré librement au glomérule ( [filtrat glomérulaire] = [ plasma] ).
- Il n'est ni réabsorbé, ni sécrété par le tubule ( excrétion = quantité filtrée par le glomérule).
- Réabsorption de 15-20% du NaCl filtré
- Réabsorption de plus de NaCl que d'eau
- Cellule de l'anse descendante
- Cellule de l'anse large ascendante
b
L'anse grêle descendante est librement perméable à l'eau alors que l'anse grêle ascendante est totalement imperméable à l'eau.
- Branche grêle descendante
- Branche grêle ascendante
- Branche large ascendante médullaire
- Branche large ascendante corticale
- Tubule proximal
- Anse de Henle
- Tubule distal
- Tubule collecteur
Rétrodiffusion des molécules en excès de l'espace péritubulaire vers l'espace tubulaire
- Glucose
- Phosphate
- Acides aminés
- Ion H+
- Co-transport (avec le glucose, les acides aminés et le phosphate)
- Antiport (avec l'ion H+)
Les nombreux replis de la membrane basolatérale.
La bordure en brosse permet d'augmenter la surface de contact entre la membrane luminale et le liquide tubulaire et donc d'augmenter la réabsorption.
Les mitochondries
- Hypo-osmotique
- Iso-osmotique
- Hyper-osmotique
b
Le maximum tubulaire est la quantité maximale d'une substance qui peut être réabsorbée par le tubule.
- Vrai
- Faux
a
Le néphron distal
Le tubule proximal
Les jonctions étanches empêchent le passage paracellulaire de différentes substances.
- Vrai
- Faux
b
La jonction étanche est imperméable aux protéines membranaires.
Le transport vectoriel d'une substance, c'est simplement la résultante de son déplacement, un déplacement qui a une direction.
- La diffusion passive
- La diffusion facilitée
- Le transport actif
Par un transporteur membranaire et un canal ion-spécifique
Épithélium poreux, réabsorption iso-osmotique, système de transport à haute capacité (60-70%)
Épithélium étanche, réabsorption par gradient et capacité limitée.
- Proche du glomérule
- Proche des voies urinaires
a
Le maximum tubulaire est la quantité maximale d'une substance qui peut être réabsorbée par le tubule. Lorsque les capacités de transport sont saturées, l'excédent est excrété dans l'urine.
Car cela permet une plus grande surface de contact entre le liquide tubulaire et les cellules du tubule proximal, donc cela permet une meilleure réabsorption.
Bordure en brosse augmente la réabsorption, replis basolatéraux augmentent le nombre de transporteurs par cellule en augmentant la surface de la membrane et les nombreuses mitochondries permettent d'énergiser le transport actif, et ce, principalement avec les Na-K-ATPase.
- Vrai
- Faux
b
Lorsque de petites protéines se retrouvent dans le tubule, la cellule tubulaire proximale peut les réabsorber en quasi-totalité. Elle se charge aussi de la réabsorption du bicarbonate.
- Pompe Na-K-ATPase (sort le sodium de la cellule et abaisse la [sodium] cytoplasmique)
- Cotransporteurs
- Antiports
- Vrai
- Faux
b
50-75%
Lorsque seulement une partie du liquide présenté par les cellules tubulaires proximales sera réabsorbée par le capillaire péritubulaire et que le liquide excédentaire retourne dans la lumière tubulaire.
Les cations et anions organiques.
La réabsorption de sodium en échange de la sécrétion d'un cation organique. Le mouvement net du H+ et K+ est nul.
- Vrai
- Faux
a
À la fin du tubule proximal.
Le rein va conserver l'eau, mais va uriner beaucoup d'osmoles. Donc l'urine sera concentrée.
Le rein devra excréter cet excès d'eau, ayant pour résultante une urine diluée.
1. L'interstitium médullaire est rendu hyper-osmotique par réabsorption de NaCl sans eau dans la branche ascendante large médullaire. L'urée y contribue aussi. 2. L'urine s'équilibre osmotiquement avec l'interstitium lorsqu'elle entre dans le tubule collecteur médullaire (EN PRÉSENCE ADH SEULEMENT, et proportionnellement à la quantité d'ADH sécrétée)
- Réabsorption de NaCl sans eau dans la branche large ascendante diminue l'osmolalité du liquide tubulaire en même temps que l'osmolalité de l'interstitium augmente.
- L'urine reste diluée, car la réasborption d'eau dans le tubule collecteur est minimisée en gardant ses segments très peu perméable à l'eau. (ABSENCE D'ADH)
- Un moteur (cellules de l'anse large de Henle)
- Une différence de perméabilité
- Une géométrie particulière (configuration en épingle à cheveux)
- Vrai
- Faux
b
C'est l'anse grêle descendante qui est perméable à l'eau alors que l'anse grêle ascendante et la macula densa sont imperméables à l'eau.
Anse large ascendante médullaire, anse large ascendante corticale et la macula densa.
- Vrai
- Faux
b
Il est hypo-osmotique, car il est dilué davantage en raison d'une réabsorption de NaCl sans eau dans la branche large corticale. L'osmolalité urinaire qui quitte l'anse de Henle est d'environ 150 mOsm/kg.
Les vasa recta
- Vrai
- Faux
a
- Nourrir la médullaire.
- Réabsorber 15-20% de sel et d'eau venant des tubules.
- Ne pas dissiper le gradient hyper-osmolaire de la médullaire.
Elle augmente la perméabilité du tubule collecteur médullaire à l'eau.
En insérant des canaux à H2O (aquaporines) dans la membrane luminale
Majoritairement les osmorécepteurs au niveau cérébral. Ils vont aussi ajuster la sécrétion de l'ADH.
Le nombre de particules dans un solvant.
Le nombre de particules qui ne traversent pas les membranes dans un solvant. C'est l'osmolalité efficace à l'intérieur du corps.
- Changement de VCE
- Osmolalité plasmatique
- Changement dans la perfusion des tissus
- Rx
- douleur
- Nausée
- certaines maladies
b
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Mais seulement la portion du tubule collecteur qui se situe dans la médullaire interne devient perméable à l'urée. De cette façon, beaucoup d'urée est réabsorbée et elle constitue 40 % de l'osmolalité papillaire.
- Cellule Principale
- Cellule Intercalaire
a
- Vrai
- Faux
b
L'ADH a un effet vasoconstricteur (d'où le nom vasopressine).
- Vrai
- Faux
b
Il s'agit de la mucoprotéine Tamm-Horsfall.
- Modulation immunitaire (prévention infection urinaire et prévention de la cristallisation de certains solutés dans l'urine)
- Ce n'est pas une fonction en tant que telle, mais elle représente la matrice de tous les matrices urinaires.
- Réabsorption d'eau
- Réabsorption du sodium
- Sécrétion du potassium
- Sécrétion d'ions H+
- Anse de Henle
- Tubule proximal
- Tubule distal
- Tubule collecteur
b
- Vrai
- Faux
b
Il est relativement imperméable.
- Vrai
- Faux
b
toujours imperméable à l'eau, même en présence d'ADH.
La présence de plusieurs mitochondries.
Les cellules principales et les cellules intercalaires.
La cellule principale réabsorbe l'eau et le NaCl tout en sécrétant le potassium. La cellule intercalaire sécrète le H+.
- Vrai
- Faux
a
Le chlore dans le tubule, ne possédant pas de canal ion spécifique, se fraye un chemin péniblement entre les cellules. Il y a un retard d'absorption du chlore comparativement aux autres ions qui passent facilement. Ceci va créer un gradient électronégatif dans la lumière et va attirer le K+ (cellule principale) et le H+ (cellule intercalaire). Ainsi la sécrétion de ces ions est augmentée.
En augmentant le nombre de canaux de Na+ dans la membrane luminale, elle stimule la cellule principale.
Le PNA est sécrété par l'oreillette lorsque celle-ci ressent une hausse du VCE. Il a pour effet de bloquer la réabsorption du Na au niveau de la cellule du tubule collecteur papillaire. Cela entraîne une natriurèse.
- Tubule collecteur cortical
- Tubule collecteur médullaire
a
1/3
1. A-t-il un problème d'osmolalité corporelle? Et, s'il y a hyponatrémie hypo-osmolaire, 2. Pourquoi le rein n'urine-t-il pas l'excès d'eau?
1/4 du LEC est dans l'espace intravasculaire et 3/4 du LEC est dans l'espace interstitiel.
hyperlipidémie ou hyperprotéinémie.
hyperglycémie
Il faut filtrer suffisamment de liquide au glomérule, avoir la capacité de générer de l'eau libre dans le tubule et il faut inhiber la sécrétion d'ADH.
- Protéinurie massive ( >3.5g/d)
- Hypoalbuminémie
- Oedème
- Lipidurie
- Hyperlipidémie
- Foie, rein, côlon
- Coeur, rein, poumons
- Coeur, foie, rein
- Rein, vessie, rate
- Foie, pancréas, rate
c
- Augmentation pression capillaire hydrostatique
- Diminution pression oncotique plasmatique
- Augmentation perméabilité capillaire
- Obstruction lymphatique
- Augmentation pression oncotique interstitielle
- Perturbations des forces de Starling # Rétention hydrosodée rénale anormale
ventricule défaillant-->augmentation de la pression veineuse --> transudation capillaire --> Oedème
ventricule défaillant--> baisse du débit cardiaque-->activation des barorécepteurs du VCE-->Rétention hydrosodée par le rein--> augmentation du volume sanguin-->augmentation de la pression veineuse--> oedème
Incapacité rénale d'uriner le Na+ --> augmentation du volume plasmatique --> augmentation de la pression hydrostatique capillaire --> oedème
Le coeur, le foie ainsi que le rein.
augmentation de la pression capillaire hydrostatique, diminution de la pression oncotique plasmatique, augmentation de la perméabilité capillaire, obstruction lymphatique ainsi qu'une augmentation de la pression oncotique interstitielle.
1) Sous-remplissage (perturbation des forces de Starling puis rétention hydrosodée) 2) Sur-remplissage (rétention hydrosodée puis perturbation des forces de Starling)
C'est une accumulation anormale et excessive de liquide dans le milieu interstitiel.
- 1L
- 2L
- 3L
- 4L
b
Le VCE (volume circulant efficace) est le volume intravasculaire qui perfuse efficacement les tissus. C'est une entité non mesurable qui reflète la perfusion tissulaire et, en situation physiologique normale, le VCE est égal au volume sanguin.
Le SRAA, le SYM, le PNA et l'ADH
L'excrétion urinaire de Na+ et l'appétit pour le sel.
insuffisance cardiaque, syndrome néphrotique, cirrhose hépatique, insuffisance rénale aigue ainsi que HTA
Le rein, car l'excrétion rénale de sodium s'ajuste de façon appropriée aux changements du VCE
- Vrai
- Faux
a
Les osmorécepteurs hypothalamiques
osmolalité plasmatique
I. Perturbations des forces de Starling au niveau capillaire favorisant l'accumulation de liquide interstitiel II. Rétention anormale hydrosodée par le rein
- Vrai
- Faux
b
Ce sont les effecteurs de l'osmorégulation
L'osmolalité urinaire et l'ingestion d'eau.
Le VCE
Les sinus carotidiens, les artérioles afférentes et les oreillettes.
La circulation cardio-pulmonaire, les sinus carotidiens et la crosse aortique ainsi que les artérioles afférentes.
- Vrai
- Faux
a
vasoconstriction, rétention rénale de Na+ ainsi que stimulation de la sécrétion d'aldostérone.
L'angiotensine II provoque une vasoconstriction de l'artériole efférente. Ainsi, on augmente la filtration glomérulaire tout au augmentant la pression oncotique et en diminuant la pression hydrostatique dans le capillaire péritubulaire (la vasoconstriction rend le passage du flot sanguin plus difficile et donc il y a dissipation de la pression hydrostatique). Ainsi, le capillaire péritubulaire au niveau du tubule proximal est en mode réabsorption accrue à cause de sa haute pression oncotique et sa basse pression hydrostatique à la sortie de l'artériole efférente.
- Vrai
- Faux
a
Des changements appropriés de l'excrétion rénale de Na+ sont habituellement requis pour restaurer la normovolémie. Par exemple, une diminution de volume à cause d'une perte de liquide ne peut être corrigée que par l'ingestion et la rétention subséquente par le rein d'un apport hydrosodé exogène.
DFG, Angiotensine II, hémodynamie du capillaire péritubulaire, aldostérone, SYM, peptide natriurétique de l'oreillette
Le SYM, l'angiotensine II ainsi que l'ADH lors d'hypotension importante.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
En cas de contraction volémique sévère, l'ADH peut également être sécrétée (sécrétion hémodynamique) et ce, peu importe l'osmolalité plasmatique du moment.
- Vrai
- Faux
b
Un diurétique est n'importe quelle substance qui augmente la natriurèse, c'est-à-dire l'excrétion d'eau salée.
Oedème généralisé et traitement de l'hypertension artérielle
Biodisponibilité (présence du diurétique dans le sang), Présence d'albumine, Intégrité de la sécrétion tubulaire et Diurétique libre dans la lumière
- De l'anse
- Thiazidique
- Épargneur de potassium
a
- De l'anse
- Thiazidiques
- Épargneurs de potassium
- Osmotique
b
- Hyperuricémie
- Hyperlipidémie
- Hyperglycémie
- Furosémide (de l'anse)
- Dihydrochlorotiazide (thiazidique)
- Spironolactone (épargneur de potassium)
c
- Déplétion volémique
- Azotémie/urémie
- Hypokaliémie et alcalose métabolique
- Hyperkaliémie et acidose métabolique
- Hyponatrémie # Hypomagnésémie
- Par surdose ou restriction trop sévère de sel
- Par contraction volémique
- Par tubule collecteur trop actif, seulement avec le furosémide ou les thiazidiques
- Seulement avec les épargneurs de potassium
- Par contraction volémique trop importante
- Par perte au niveau de l'anse de Henle
- Hydroélectrolytiques et acidobasiques * Métaboliques * Endocriniens
- Thiazidiques + épargneurs de potassium
- De l'anse + épargneurs de potassium
- De l'anse + thiazidiques
Épargneur de potassium
Thiazidiques
Diurétiques de l'anse
- Inhibiteurs de l'anhydrase carbonique
- Diurétiques osmotiques
- Vrai
- Faux
a
- Tubule collecteur
- Tubule distal
- Tubule proximal
a
- Tubule Collecteur
- Tubule distal
- Tubule proximal
c
- Angiotensine II
- Hémodynamie du capillaire péritubulaire
- Aldostérone
- Système nerveux sympathique
- Peptide natriurétique de l'oreillette
- Circulation cardio-pulmonaire
- Sinus carotidiens et crosse aortique
- Artérioles afférentes
- Système nerveux sympathique
- Angiotensine II
- ADH
- 1/4 intravasculaire
- 3/4 espace interstitiel
- Baisse sécrétion aldostérone
- Augmentation sécrétion peptide natriurétique de l'oreillette
Concentration urinaire de Na faible (<10-20 mmol/L)
- 1/3 liquide extra-cellulaire
- 2/3 liquide intra-cellulaire
Restriction de sodium, diurétiques et éventuellement, dialyse.
Obligatoire: protéinurie massive (>3,5g/jr), Hypoalbuminémie et oedème
Autres: Lipidurie, Hyperlipidémie
Traitement de la maladie glomérulaire, Restriction de NaCl, Diurétique et repos (en position allongée pour résorption de l'oedème).
- Vrai
- Faux
b
Ils sont causés par des maladies glomérulaires.
Uniquement chez les femmes, fréquent. Physiopathologie inconnue, mais souvent il y a une augmentation de la réactivité vasculaire. Comme traitement, repos. Il faut éviter diurétique, car peut créer rétention hydrosodée de rebond lorsque arrêté.
- Tampons * Respiration * Reins
Il y a les acides volatils qui produisent du CO2 (éliminés par les poumons) et les acides non volatils ou non carboniques qui sont issus du métabolisme des protéines (éliminés par les reins).
C'est une substance qui minimise les changements de pH lors d'une charge rapide acidobasique en agissant à la fois comme un acide et une basse, dépendamment des circonstances.
EXTRACELLULAIRE: HCO3- * HPO4 * Protéines plasmatiques INTRACELLULAIRE:* Protéines
- Vrai
- Faux
a
Il s'agit du principe isohydrique.
- pH : 7.40 * H+ : 40 nM * PCO2 : 40 mm Hg * HCO3 : 24 mM
Hypoventilation : augmentation du CO2 donc acidémie Hyperventilation : baisse du CO2 donc alcalémie
- Action des tampons # Compensation # Correction
Na-(Cl+HCO3) Valeur normale : 10-12
- Vrai
- Faux
b
C'est l'acidose métabolique à trou anionique normal qui est appelée acidose métabolique hyperchlorémique.
Calcul : Posm mesurée - (2Na+glycémie+urée) Valeur normale : 10 mOsm/kg
L'acidémie est une augmentation de la concentration d'ions H+ dans le sang tandis que l'acidose est le processus qui tend à produire une acidémie. Le même principe s'applique pour l'alcalémie et l'alcalose.
Dyspnée, baisse de la TA, arythmies, léthargie, coma, déminéralisation osseuse (si acidose chronique)
H = 24 x { PCO2 / [HCO3] }
70 mmol
- Au glomérule
- Au tubule proximal
- À l'anse de Henle
- Au tubule distal
- Au tubule collecteur cortical
- Au tubule collecteur médullaire
b
L'anhydrase carbonique
- Au glomérule
- Au tubule proximal
- À l'anse de Henle
- Au tubule distal
- Au tubule collecteur
e
L'anhydrase carbonique encore.
Cela augmente le CO2, ce qui augmente la concentration H+ et et cela crée une acidose respiratoire.
Pour que l'acidité de l'urine elle-même ne soit pas trop intense.
Le phosphate, l'ammoniac et le bicarbonate (moins important).
- Vrai
- Faux
a
Traiter la cause, Donner NaHCO3 IV pou maintenir pH ou HCO3-, surveiller la kaliémie.
Diminution du VCE et diminution du K+.
Traiter la cause qui génère le bicarbonate et corriger les facteurs qui empêchent le rein d'uriner le bicarbonate excédentaire.
I. pH: acidose ou alcalose II. Métabolique ou respiratoire III. Trou anionique (si acidose métabolique) IV. Compensatin prévue V. Cause clinique
- Tubule proximal
- Tubule distal
- Tubule collecteur
c
Aldostérone Hyperkaliémie Flot distal augmenté Présence d'anions non réabsorbables
- Alcalose métabolique * Augmentation insuline * Augmentation catécholamines * Anabolisme galopant
Elle nous permet de se protéger de façon rapide contre un apport rapide de potassium compte tenu de l'élimination corporelle qui est plus lente.
Faiblesse musculaire, arythmies cardiaques, iléus digestif, rhabdomyolyse, hyperglycémie, dysfonction rénale (DB insipide, augmentation production d'ammoniac, néphropathie hypokaliémique)
Elle peut causer une hypokaliémie puisque les ions H+ ont tendance à sortir de la cellule pour neutraliser l'alcalinité du milieu interstitiel. Pour compenser cette sortie d'ions H+, le potassium entrera dans la cellule, ce qui causera une hypokaliémie secondaire.
Arythmie, faiblesse musculaire
- 1. Apport de soluté salin isotonique (NaCl 0,9%) 2. Redistribution intra-cellulaire 3. Diminution de l'apport en vitamine C (acide ascorbique)
- 1. Apport augmenté de potassium 2. Redistribution intra-cellulaire 3. Élimination corporelle diminuée
- 1. Polydipsie 2. Manger trop de bananes 3. Recevoir trop de textos qui disent « K »
- 1. Apport augmenté de potassium 2. Redistribution extra-cellulaire 3. Élimination corporelle diminuée
d
- Vrai
- Faux
a
La pseudo-hyperkaliémie peut être due à une lyse des cellules sanguines dans le tube de laboratoire.
- 1. Pseudohyperkaliémie 2. Élimination diminuée de potassium 3. Redistribution extra-cellulaire
- 1. Élimination diminuée 2. Apport augmenté endogène 3. Apport augmenté exogène
- 1. Apport augmenté endogène 2. Redistribution extra-cellulaire 3. Apport augmenté exogène
- 1. Pseudohyperkaliémie 2. Apport augmenté exogène 3. Apport augmenté endogène
- 1. Élimination diminuée 2. Apport augmenté endogène 3. Redistribution extra-cellulaire
c
- Vrai
- Faux
a
La kaliémie affecte le potentiel de repos et c'est en fait la calcémie qui vient modifier le potentiel de seuil.
1. Apport diminué de potassium 2. Redistribution intracellulaire 3. Perte extra-rénale 4. Perte rénale
1. diète pauvre en potassium ou géophagie 2a. efffet hormonal (insuline/catécholamines) 2b. problème acido-basique (alcalose métabolique) 2c. anabolisme cellulaire 3a. digestive (diarrhée/iléus) 3b. cutanée (sueur) 3c. rénale (diurétiques antérieurement) 4a. hyperaldostéronémie (primaire ou secondaire)
4b. diurétiques (antérieurement ET présentement)- Vrai
- Faux
b
Une augmentation de ces hormones peut mener à une hypokaliémie en augmentant la redistribution intracellulaire.
Sa taille et sa charge électrique.
- Le débordement/l’overflow (augmentation de la quantité de protéines plasmatiques suffisamment petites pour être filtrées au glomérule, mais excédant la capacité de réabsorption tubulaire);
- le dommage glomérulaire (augmentation de la perméabilité du glomérule devenu trop poreux entraînant la présence de protéines sériques – les globulines – mais surtout d’albumine dans l’urine);
- le dommage tubulaire (diminution de la réabsorption tubulaire de protéines normalement filtrées et donc augmentation de la quantité de protéines – surtout des globulines – urinaires).
avec les bâtonnets
- Vrai
- Faux
b
car ils n'offrent seulement qu'une mesure semi-quantitative.
- Très sensible
- peu sensible
- peu spécifique
b
La précipitation par acide sulfo-salicylique.
- Vrai
- Faux
b
seulement l'albumine.
Il faut le multiplier par la créatininurie de 24 hrs (10 pour une femme et 15 pour un homme)
Présence minime, mais anormale, d'albumine dans l'urine.
Diabète et HTA
- Vrai
- Faux
a
- 30-150 mg/jour
- 30-300mg/jour
- 150-350 mg/jour
- 300-350 mg/jour
b
Lorsque la perméabilité glomérulaire aux protéines est augmentée. Il s'agit généralement de maladies de podocyte.
I. Protéinurie > 3g/jour II. Lipidurie III. Hyperlipidémie IV. Oedème V. Hypoalbuminémie
Thrombo-embolies veineuse, infections, anarsaque (oedème généralisé) +/- épanchement pleuraux ou ascite, complications cardio-vasculaires associées à l'athérosclérose.
- Vrai
- Faux
b
Elle est souvent peu altérée et parfois même augmentée par hyperfiltration.
Lorsqu'il y a une inflammation généralisée. Il s'agit surtout d'atteintes mésangiales et endothéliales.
I. Protéinurie < 3g/jour II. Hématurie III. HTA IV. insuffisance rénale
- Vrai
- Faux
b
La fonction rénale est altérée et la filtration glomérulaire diminue.
Ce sont les complications de l'HTA et l'insuffisance rénale aigue (peut même nécessiter suppléance rénale)
- Vrai
- Faux
a
-protéinurie fonctionnelle - protéinurie orthostatique - néphropathie diabétique - HTA - pré-éclampsie - maladies glomérulaires - Myélome multiple - tubulopathies
exercice, fièvre, infections, défaillance cardiaque, tout stress physiologique important
I. protéinurie glomérulaire II. Survient en position debout et disparaît en décubitus III. Survient surtout chez les adolescent(e)s. Disparaît avant l'âge de 30 ans. IV. Fonction réanale et analyse urine sont normales. pas HTA.
le diabète
- Vrai
- Faux
b
Elle survient également chez les diabétiques de type 1.
I. Hyper filtration glomérulaire II. Normalisation (microalbuminurie intermittente possible) III. Microalbuminurie constante IV. Macroalbuminurie et IR progressive V. IR terminale
au stade 2. Elles progressent ensuite.
Un bon contrôle glycémique et un bon contrôle de la TA
Protéinurie légère < 0.5 g/jour et plus souvent microalbuminurie.
Un bon contrôle tensionnel (<140/90)
C'est une protéinurie qui survient chez la femme enceinte avec une insuffisance placentaire entraînant une HTA et une dysfonction endothéliale qui endommagent les capillaires glomérulaires.
L'accouchement.
protéinurie de débordement sans albumine (avec gammaglobulines)
Protéinurie légère contenant peu d'albumine.
gouttelettes lipidiques, corps gras ovalaires et cylindres graisseux.
On retrouve des preuves d'une réaction inflammatoire importante aux glomérules: hématies, cylindres hématiques, cylindres granuleux et parfois cylindres cellulaires.
I. Analyse d'urine II. Quantification usuelle ( collecte 24h ou ratio P/C) III. Quantification séparée, décubitus et orthostation IV. Questionnaire + E/P V. Autres examens
Une collecte de jour et une collecte de nuit
Lorsque la protéinurie s'accompagne de leucocyturie puisqu'une infection urinaire peut donner une protéinurie de faible envergure.
La présence de sang dans l’urine.
Le bâtonnet de détection pour réaction colorimétrique réagit avec le pigment hème (dans l’hémoglobine et la myoglobine) indique s’il y a présence ou absence d’hème dans l’urine (mesure qualitative).
C’est lorsque l’urine est visiblement rouge ou brune foncée à l’œil nu.
C'est lorsqu'on décèle la présence de sang seulement à l'exam urinaire microscopique (SMU pour examen Sommaire et Microscopique des Urines)
Colorants alimentaires, betteraves, Rx, Porphyrie.
I. Myoglobinurie (rhabdomyolyse) II. Hémoglobinurie (hémolyse)
I. macroscopique ou microscopique II. couleur «coke» III. Associées à protéinurie dans plus de 90% des cas IV. souvent associées à une cylindrurie V. Érythrocytes dans l'urine sont parfois dysmorphiques (acanthocytes) VI. Plus souvent persistantes qu'intermittentes VII. Habituellement asymptomatique
I. Macroscopiques ou microscopiques II. Plus souvent urine de couleur rouge III. Parfois accompagnées de caillots IV. Sans cylindrurie, sauf si atteinte rénale tubulo-interstitielle V. Plus souvent intermittentes que persistantes VI. parfois symptomatiques
- Vrai
- Faux
b
L'hématurie glomérulaire n'est pas un saignement, il ne passe que des globules rouges dans l'urine, alors que l'hématurie urologique est habituellement liée à un saignement véritable.
Les globules rouges doivent passer à traver la paroi glomérulaire, ce qui les déforment.
- Vrai
- Faux
a
Parce que les caillots nécessitent des facteurs de coagulation pour leur formation qui ne sont pas présents dans l'urine
- Vrai
- Faux
b
Elle est toujours signe d'une pathologie glomérulaire.
C'est une entité. héréditaire dans laquelle les membranes basales glomérulaires sont amincies et laissent passer des GR dans l'urine. Cela cause une hématurie glomérulaire souvent isolée. C'est un Dx dexclusion.
SMU (analyse d'urine)
Le DFG (Débit de Filtration Glomérulaire) représente le volume de plasma filtré par les 2 reins (ml) par unité de temps (min)
- Méthodes de clairance sur collecte urinaire
- Méthodes d’estimation à partir de la créatinine sérique
- Méthodes par mesure directe du DFG
Le taux d’élimination.
Collecte urinaire sur 24 heures.
1 mL/min/année à partir de 30-35 ans
Car le nombre de néphrons diminue, ce qui diminue la clairance de la créatine.
I. En homéostasie, production de créatine par muscle = créatininurie II. Seule rupture subite de l'équilibre entraînera un changement de la créatininurie. III. Nouvel équilibre sera retrouvé en quelques jours.
Créatininurie
H: environ 12-16 mmol/jr F: enciron 10-12 mmol/jr
- DFG inférieur à 90 ml/min
- Évidence de maladie rénale : protéinurie, hématurie ou baisse du DFG
Hyperbolique.
Lorsque la fonction rénale diminue, il y a diminution de la filtration glomérulaire de la créatinine, mais il y a tout de même une sécrétion tubulaire par les néphrons intacts qui compense et qui normalise la valeur de la créatinémie.
- Vrai
- Faux
a
moins de 3 mois
- Vrai
- Faux
a
Mais son pronostic de récupération est beaucoup meilleur.
- Vrai
- Faux
b
La classification de l'IRA comporte 3 stades, c'est la classification de l'IRC qui en comporte 5.
Créatinine sérique et diurèse horaire
La diurèse horaire
diurèse < 400 mL/jr ou <30mL/h
Diurèse < 100mL/jr ou <5mL/h
Le DFG
La protéinurie, puisque c'est un facteur pronostic important pour le risque d'IRC terminale.
1) Pré-rénale (Le problème se situe avant le rein, peut être perçue comme une diminution du VCE). 2) Rénale (le problème est intrinsèque au rein). 3) Post-rénale (généralement une obstruction des voies urinaires).
1. Distinguer IRA et IRC 2. Pré-rénale, rénale ou post-rénale. 3. Si rénale, identifier le compartiment malade (micro-vaisseaux, glomérules, tubules,interstice) 4. Identifier les conséquences de l'insuffisance rénale.
- tubules sont normaux - urée sérique augmente de manière disproportionnelle par rapport à la créatinine sérique - sodium urinaire est abaissé ( Na <20 mmol/d) - osmolalité urinaire est élevée (>500 mOsm/kg)
- urée s'élève proportionnellement à la créatinine - sodium urinaire élevé (Na>40 mmol/d) - osmolalité urinaire plutôt basse (<400 mOsm/kg)
Une obstruction des voies urinaires
- Hyperkaliémie - Acidose - ultimement une baisse de la filtration glomérulaire, qui peut aller jusqu'à l'anurie complète
- La maladie athéro-embolique - La microangiopathie thrombotique
Minuscules cristaux de cholestérol qui s'embolisent dans les artérioles et empêche la perfusion rénale
Minuscules caillots se forment dans les artérioles et diminuent la perfusion rénale. Peut être causé par HTA
protéinurie et hématurie
NTA et obstructions intra-tubulaires
NTI
- Vrai
- Faux
b
Les glomérules sont épargnés, donc n'entrainent habituellement pas d'oligurie.
Lorsque le débit de filtration glomérulaire (DFG) chute rapidement sur une période de quelques heures à quelques mois.
Choc, insuffisance hépatique, médicaments et atteinte macrovasculaire
- Choc: hypovolémique, cardiaque, obstructif, distributif (surrénalien, septique, neurogénique, anaphylactique)
- Insuffisance hépatique : entraîne vasoconstriction rénale extrême = syndrome hépatorénal
- Médicaments :
- Diurétiques: entraînent hypovolémie ce qui entraîne une diminution du DFG
- Inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IECA): eiminue la TA et la filtration glomérulaire
- Antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II (ARA): diminue la TA et la filtration glomérulaire
- AINS: entraînent une vasoconstriction de l'artériole afférente
- Atteinte macrovasculaire (thrombose subite des artères rénales ou encore sténose unilatérale ou bilatérale des artères rénales).
Dans un tel cas, le rein en tant que tel est en pleine forme!
En effet, il subit une baisse du débit sanguin qui lui parvient, mais il réagit de manière adéquate à une telle situation. En effet, en réponse à cet apport diminué, le rein va chercher à rétablir l’équilibre volémique en :
- diminuant la filtration
- augmentant la réabsorption tubulaire d’eau et de sodium.
- tubules sont normaux - urée sérique augmente de manière disproportionnelle par rapport à la créatinine sérique - sodium urinaire est abaissé (<20 mmol/d) - Osmolalité urinaire est élevée (>500 mOsm/kg)
- urée s'élève proportionnellement à la créatinine - Sodium urinaire élevé (>40 mmol/d) - Osmolalité urinaire est plutôt basse (<400 mOsm/kg)
Obstruction des voies urinaires
- Vrai
- Faux
a
La maladie athéro-embolique et la microangiopathie thrombotique
Minuscules cristaux de cholestérol qui s'embolisent et empêchent la perfusion rénale.
Minuscules caillots se forment dans les artérioles et diminuent la perfusion rénale.
- tabac
- ROH
- HTA
- Cholestérol
- diabète
c
Les glomérules
NTA et obstructions intra-tubulaires
Le myélome multiple. C'est un cancer des plasmocytes qui les poussent à se reproduire à outrance menant à une sécrétion excessive de chaînes légères d'immunoglobulines qui peuvent alors précipiter dans le tubule et causer une obstruction.
NTI
- Vrai
- Faux
b
Les glomérules sont épargnés.
Hypoxie et substances néphrotoxiques
L'anse ascendante de Henle. Les réserves d'oxygène dans la médullaire sont relativement basses ce qui fait qu'il n'y a pas beaucoup de réserve pour faire face à la diminution de l'apport d'oxygène.
- Vrai
- Faux
a
L'oligurie et l'anurie, qui sont une conséquence de la diminution du DFG provoquée par la NTA.
- Vrai
- Faux
a
Un DFG faible peut quand même engendrer une diurèse si aucune réabsorption ne survient et que les tubules sont malades (donc incapable d'effectuer la réabsorption) sans toutefois être obstrués.
Acidose métabolique, hypervolémie, HTA, oedème périphérique et pulmonaire, hyperkaliémie, urémie, anémie, troubles de l'agrégation plaquettaire, immunodépression relative.
- Vrai
- Faux
a
Puisque le fait de manquer une IRA rénale peut mener des conséquences graves pour le patient.
L'IRA pré-rénale se traite en corrigeant la cause de la diminution du VCE et l'IRA post-rénale se traite en levant l'obstruction.
C'est lorsque le DFG chute lentement sur une période de quelques mois à plusieurs années.
L’hypovolémie et les autres causes de choc persistent rarement pendant des mois sans que le patient ne consulte.
- Syndrome cardio-rénal
- Syndrome hépato-rénal
- Sténose unilatérale ou bilatérale des artères rénales
- Médicaments (Diurétiques, IECA, ARA et AINS)
- Vrai
- Faux
a
La néphropathie de reflux. Celle-ci survient suite à des malformations obstructives des voies urinaires ou au reflux vésico-urétéral.
Néphroangiosclérose (la plus fréquente cause d'IRC rénale microvasculaire), la maladie athéro-embolique et les microangiopathies thrombotiques.
HTA, tabagisme, hyperlipidémie, âge et hérédité. Mais surtout HTA.
Les glomérulonéphrites et la néphropathie diabétique.
Le diabète
- Vrai
- Faux
b
Dans la néphropathie diabétique, les reins sont de taille augmentée, contrairement à la majorité des causes d'IRC qui engendrent une atrophie rénale.
Les néphrites tubulo-interstitielles (NTI) et la maladie rénale polykystique (MRPK).
C'est une maladie génétique autosomale dominante qui peut toucher deux gènes: PKD1 et PKD2.
- Vrai
- Faux
b
C'est toute cause d'IRA rénale ou post-rénale qui perdure pendant plus que 1 à 2 semaines.
- Vrai
- Faux
a
En effet, l'IRC est un facteur de risque majeur pour l'athérosclérose coronarienne, cérébrale et périphérique.
Acidose métabolique, hypervolémie, HTA, oedème périphérique et pulmonaire, hyperkaliémie, hypocalcémie, hyperphosphatémie, dégradation de la masse osseuse, urémie et calcifications vasculaires.
1. Contrôle tensionnel 2. Diminuer protéinurie par IECA ou ARA 3. Contrôler oedème, hyperkaliémie et HTA avec diurétiques 4. Nutrition: Diminuer les apports en Na, K, Phosphore et protéines animales 5. Ajuster les Rx en fonction du DFG 6. Éviter autant que possible les Rx et substances de contraste radiologiques 7. Tx la dyslipidémie afin de réduire le risque cardiovasculaire 8. Remplacement de l'érythropoïétine pour traiter l'anémie 9. Corriger hypocalcémie, hyperphosphatémie, hyperkaliémie et acidose métabolique.
Cytoscopie
Les reins, les uretères et les surrénales.
La vessie et l'urètre.
Hématies dans l'urine
- Vrai
- Faux
b
Pseudo-hématurie
≥ 3 hématies/champ et ce, sur au moins 2 échantillons urinaires
Inférieure à 5%
Hématurie macroscopique
- Vrai
- Faux
a
- Hématies dysmorphiques
- Cylindres granuleux ou hématiques associés
- Protéinurie
- Hypertension
- Insuffisance rénale
- Signes d'infection urinaire
- Colique néphrétique
- Antécédent d'urolithiase
- Facteurs de risque de néoplasie urologique
- Symptômes systémiques orientant vers une néoplasie
- Traumatisme lombaire ou pelvien
- Immunosuppression
- Vrai
- Faux
b
C'est seulement dans l'hématurie macroscopique qu'il peut y avoir des caillots.
Les hématuries gynécologiques, glomérulaires et urologiques.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Les pigments hèmes (donc myoglobine et hémoglobine) donnent des pseudo-hématuries.
Néoplasie des voies urinaires
- 1- Éliminer la fausse hématurie et l'hématurie d'origine gynécologique
- 2- Éliminer l'hématurie d'origine glomérulaire
- 3- Étant donné que l'origine urologique est suspectée, investiguer
- Vrai
- Faux
b
3 fois plus fréquent chez l'homme
4e
- Calices
- Bassinets et uretères
- Vessie
- Partie proximale de l'urètre
- Amines aromatiques
- Hydrocarbures aromatiques polycycliques
Cyclophosphamide
- Vrai
- Faux
a
Hématurie
- Vrai
- Faux
a
Il multiplie le risque de 2 à 4 fois.
Symptômes irritatifs de la vessie (urgenturie, polyurie par exemple), douleurs lombaires, oedèmes des membres inférieurs, masse pelvienne et, à un stade avancé, perte de poids et douleurs osseuses/abdominales.
La cytologie urinaire et la cytoscopie
Le bilan d'extension dictera la conduite pour le traitement et détermine en partie le stade TNM. Il est composé d'une imagerie du haut appareil urinaire chez tous les patients lors du diagnostic initial. Il peut aussi être composé d'examens additionnels si la tumeur est infiltrante (radiographie des poumons, TDM thoracique, TEP, scintigraphie osseuse
- Déterminer le stade de la maladie
- Procédure thérapeutique
Carcinome de l'urothélium
25%
RTU suivi par cytoscopie et cytologie urinaire.
- Calcul urinaire
- Pierre au rein
2-3%
- Hérédité
- Sexe
- Race
- Âge
25 fois
- Vrai
- Faux
a
Entre 40 et 60 ans
- Climat et saisons
- Apport en liquide
- Diète
- Occupation
- Vrai
- Faux
b
Été
- Sursaturation
- Cristallisation
- Agrégation
- Rétention
Le pH urinaire, la température et la concentration des ions urinaires principaux.
- Citrate
- Magnésium
Oxalate de calcium
- Hypercalciurie
- Hyperoxalurie
- Hypocitraturie
- Vrai
- Faux
b
Ce sont les cristaux d'oxalate de calcium et de struvite
- Vrai
- Faux
a
Struvite
- Cystine
- Ornithine
- Lysine
- Arginine
-Douleur : unilatérale, intense, début brutal, au niveau de la loge rénale, aucune position confortable. - Irradiation selon le niveau d'obstruction Sx: No/Vo, iléus paralytique, envies fréquentes d'uriner - Hématurie
Ce sont les 3 zones de rétrécissement d'un uretère normal: jonction urétéro-pyélique, croisement avec les vaisseaux iliaques et jonction urétéro-vésicale.
- Symptômes irritatifs: Brûlure mictionnelle, mictions fréquentes, douleurs pelviennes, hématurie - Symptômes obstructifs: Jet urinaire interrompu
- Vrai
- Faux
b
Le calcul vésical est plutôt associé à une mauvaise vidange vésicale et une stase urinaire.
- Douleurs incoercibles (nécessité prendre narcotiques en continue) - Infection urinaire et urosepsis - IRA - IRC
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
C'est la règle d'or du traitement de la lithiase: les patients avec une complication nécessitent un traitement chirurgical définitif et ne sont donc pas candidats au traitement conservateur.
- Néphrostomie percutanée - Double J
1.Contrôle de la douleur 2.Confirmer le diagnostic d'urolithiase obstructive. 3. Éliminer une complication associée 4. Évaluer si le patient est candidat pour un traitement conservateur 5. Si le patient n'est pas candidat, opter pour un traitement chirurgical. 6. Prévention de la récidive.
1. Analgésique pour la douleur 2. Médicaments favorisant l'expulsion (alpha-bloquant) 3. Filtration des urines 4. Hydratation normale 5. Réévaluation par imagerie après 3-4 semaines si la lithiase n'a pas été expulsée.
Une hydratation abondante.
- Douleur
- Hématurie
- Hémoptysie
- Fièvre
- Perte de poids
c
- Infection
- Nécrose
- Syndrome para-néoplasique
- Vrai
- Faux
a
- Échographie rénale
- Urographie intraveineuse
- Tomodensitométrie
- Résonance magnétique
- Scintigraphie rénale
- Bon outil pour le diagnostic
- Permet de différencier une masse liquide d'une masse solide
- N'irradie pas le patient
- La morphologie du patient (ex: obésité) peut compromettre la qualité de l'examen
a
Urographie intraveineuse, mais le TDM peut aussi nécessiter un produit de contraste à base d'iode.
- Vrai
- Faux
b
Résonance magnétique
Scintigraphie rénale
- Constitue 70% des masses rénales asymptomatiques
- Plus fréquent chez les femmes
- Inhabituel chez l'enfant
- Il s'agit de l'anomalie kystique la plus fréquente
b
- Paroi mince
- Pas de débris interne
- Absence de septation ou nodularité interne
- Vrai
- Faux
a
Toutefois, il peut y avoir de la douleur s'il y a saignement dans le kyste.
Un kyste complexe (avec risque de cancer associé).
- Vrai
- Faux
a
On traitera surtout le kyste (par chirurgie ou drainage) si le kyste est symptomatique.
- C'est une dilatation du système pyélo-caliciel
- Il s'agit d'une obstruction proximale jusqu'à preuve du contraire
- Peut être non-obstructive
- Les glomérules sont touchés en dernier lors d'une insuffisance rénale post-rénale
b
- Bassinet distendu
- Communication avec des calices dilatés
- Compression du cortex par l'hyperpression
La classification de Bosniak.
Scintigraphie rénale avec diurétique
Cystographie mictionnelle
- Obstruction antérieure résolue
- Reflux vésico-urétéral
- États de polyurie
Masse au flanc, infection urinaire, douleur, hématurie, IR, HTA.
- Carcinome rénal à cellules claires
- Tumeur de Grawitz
- Hypernéphrome
- Veine rénale
- Veine cave inférieure
- Poumons
- Ganglions
- Foie
- Os
- Vrai
- Faux
b
Il est habituellement asymptomatique.
- Douleur au flanc
- Hématurie
- Masse abdominale
- Érythrocytose
- Anémie
- Hypercalcémie
- Dysfonction hépatique
- Fièvre
- Vrai
- Faux
b
Chirurgie
S'il s'agit d'une petite tumeur (<4cm)
Autosomale dominante
Vers 40 ans
HTA, hématurie, Douleur, Masses abdominales.
- Vessie (détrusor)
- Sphincter interne
- Sphincter externe
Cortex frontal
Protubérance
- Vrai
- Faux
b
Faux
L'innervation para-sympathique favorise la vidange de la vessie
S2-S3-S4
T10 à L2
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Nerf honteux
Sphincter interne
Détrusor
Il y a activation du nerf honteux (somatique), activation des nerfs sympathiques et une inhibition du système parasympathique.
Cette fois, il y a inhibition du nerf honteux (somatique), inhibition du système sympathique et activation du système parasympathique.
Troubles de remplissage et troubles de vidange.
- Vrai
- Faux
b
C'est le contraire
- Pollakiurie
- Nycturie
- Urgenturie
- Incontinence urinaire
- Jet urinaire faible
- Jet hésitant
- Miction par poussée
- Gouttes terminales
- Sensation de vidange vésicale incomplète
Plus de 8 par jours
Lorsque le patient se réveille plus d'une fois par nuit à cause d'un besoin d'uriner
Jet hésitant
- Vrai
- Faux
b
C'est un trouble de vidange d'origine infra-vésicale
- Hyperactivité
- Altération de la souplesse de la vessie
Hyperactivité
- Thé
- Café
- Chocolat
- Alcool
- Épices
Exercices de Kegel
- Vrai
- Faux
a
- Affecte 30% des femmes après 40 ans
- Entraîne de la pollakiurie et de l'urgenturie
- Le traitement pharmacologique comprend des anticholinergiques et des agonistes β3
- Touche plus les hommes que les femmes
d
- Vrai
- Faux
a
Une augmentation de la pression-intra-abdominale
- Vrai
- Faux
b
Arrêter de fumer diminue la toux chronique
- Neurologique
- Myogénique
- Diabète mellitus chronique
- Sclérose en plaque
- Syndrome du tunnel carpien
- Hernie discale avec compression de la queue de cheval
c
- Vrai
- Faux
b
Dyssynergie vésico-sphinctérienne
L'hyperplasie Bénigne de la Prostate (HBP).
- Vrai
- Faux
a
Inhibiteurs de la 5-alpha-réductase
Incontinence d'effort, Incontinence d'urgence, Incontinence par regorgement et Incontinence fonctionnelle.
- Vrai
- Faux
a
Incontinence d'effort
Incontinence mixte
- Vrai
- Faux
a
Incontinence par regorgement
Bilan urodynamique
Incontinence fonctionnelle
- A la grosseur d'une noix de Grenoble
- Ses sécrétions entrent dans la composition du sperme
- Celle de la femme est plus petite que celle de l'homme
- Elle entoure l'urètre à sa portion proximale
c
Stade préclinique (hyperplasie macroscopique)
Stade clinique.
60%
hyperplasie histologique, hyperplasie clinique et SBAU.
- Fonction testiculaire (testostérone)
- Âge
1) Le volume prostatique augmenté compresse l'urètre (composante statique). 2) L'augmentation du tissu fibro-musculaire augmente le tonus péri-urétral (composante dynamique).
La vessie peut s'hypertrophier (symptômes de remplissage associés) ou encore se dilater (symptômes de vidange associés).
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
La DHT
5 alpha-réductase
- Vrai
- Faux
b
Il y a des symptômes de vidange et de remplissage
Diminution de la force du jet mictionnel, effort pour initier la miction, sensation de vidange incomplète, Jet intermittent, Prolongation de la miction.
Pour éliminer une sténose du méat urétral
- Rétention urinaire
- Infection urinaire
- Calculs vésicaux
- Hématurie macroscopique récidivante
- Hydronéphrose et insuffisance rénale
1) Présence de symptômes suffisamment sévères pour affecter la qualité de vie du patient. 2) Présence de complications associées à l'HPB.
- Alpha-bloquants
- Inhibiteurs de la 5 alpha-réductase
Diminue la résistance urétrale en relâchant la musculature lisse
50%
Inhibiteurs de la 5 alpha-réductase
- Diminution de la libido
- Baisse du volume de l'éjaculat
- Dysfonction érectile
La résection transurétrale de la prostate (RTUP) et la prostatectomie ouverte.
- Vrai
- Faux
a
2,6%
- Lycopènes (tomates)
- Isoflavones (soya)
- Thé vert
Antigène prostatique spécifique
48 à 72h
- Grosseur de la prostate
- Présence d'un cancer de la prostate
- Présence d'une inflammation de la prostate
- Vrai
- Faux
b
Diminution de 50% de la valeur de base
- Vrai
- Faux
a
La rétention urinaire, les manipulations de la prostate, la prostatite et l'HBP ont le même effet aussi.
- Histoire familiale postiive - Race (Noir > blanc > asiatique) - génétique - Diète riche en graisses
- Faux positifs
- Faux négatifs
- Surdiagnostic
- Exposition accrue à des procédures toxiques ou invasives
- Vrai
- Faux
b
En haut de 40 ans
90%
Les métastases ganglionnaires
Toucher rectal anormal
- majorité sont asymptomatiques. - SBAU - Douleurs osseuses (métastases) - OMI (métastases)
Le toucher rectal et l'APS.
Zone périphérique (80%)
Adénocarcinome
- Ganglions
- Os
Échelle de Gleason.
- T pour tumeur
- N pour ganglions
- M pour métastases
N3
La surveillance active
- Prostatectomie radicale
- Radiothérapie
C'est l'incapacité persistante d'obtenir et de maintenir une érection suffisante à une relation sexuelle (avec pénétration).
5-20%
Psychogénique, endocrinologique, artériogénique, venogénique (caverneuse), âge, IRC, neurogénique, médicamenteuse.
- Db mellitus - Désordre psychologique ou psychiatrique - MCAS - MVAS - tabagisme - Rx - Facteurs hormonaux
- Oxyde nitrique (NO)
- Acétylcholine
La compression des veines émissaires sur l'albuginée
- Vrai
- Faux
a
Plaques de la Peyronie
Un hypogonadisme.
- Début brutal
- Érection matinales ou nocturnes préservées
- Érection normale par masturbation ou stimulation visuelle
- Évolution fluctuante selon les circonstances
Modification des habitudes de vie, inhibiteur de la phosphodiestérase de type 5 (PDE-5) et remplacement hormonal si hypogonadisme.
- Vrai
- Faux
b
- E. coli
- Klebsiella
- Proteus
- Staphylococcus saprophyticus
- Entérocoque faecalis
- Vrai
- Faux
b
La voie rétrograde est la plus fréquente
Entre 18 et 24 ans (coïncide avec le début des rapports sexuels).
- Adhérence des bactéries
- Réceptivité de l'endothélium
- Internalisation des bactéries dans les cellules superficielles de l'urothélium
- Multiplication des bactéries
- Longueur de l'urètre chez l'homme
- Osmolarité élevée de l'urine
- Immunoglobulines
- pH fortement basique du vagin
d
- Vrai
- Faux
a
- Diabète mellitus
- Immunosuppression
- Reflux vésico-urétéral
- Troubles de la vidange de la vessie
- Mi-jet
- Cathéterisme vésical
- Ponction sus-pubienne
Les jeunes enfants
La culture d'urine
- Vrai
- Faux
a
Il teste aussi positif pour les leucocytes et les hématies.
- Vrai
- Faux
b
Pollakiurie/nycturie, impériosité, brûlements mictionnels, douleur sus-pubienne, hématurie.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
On priorise l'antibiotique bactéricide
C'est un antispasmodique vésical
- Hygiène
- Proanthocyanidines (canneberge)
- Probiotiques
25 à 35%
TMP-SMX pour 7 jours avec une échographie rénale et cystographie pour éliminer reflux vésico-urétéral ou autre anomalie.
SBAU, fièvre, douleur unilatéral, No/Vo, punch rénal positif.
Staph. aureus
Antibiothérapie et drainage (percutané ou chirurgical).
SBAU, Fièvre, Frissons, Difficulté mictionnelle, douleurs pelviennes et abdominales.
Douleur exquise et prostate chaude et enflée.
- Vrai
- Faux
b
La sonde urétrale est à éviter absolument en cas de prostatite.
- comportements sexuels à risque - instrumentation urologique - vessie neurogène
- Varicocèle
- Cancer du testicule
- Épididymite
- Hernie inguinale
c
- Muscle crémastérien
- Veines testiculaires
- Artère testiculaire
- Vas déférens
- Tête
- Corps
- Queue
Épididymite
Torsion testiculaire
Torsion testiculaire
- Vrai
- Faux
b
La douleur de l'épididymite est progressive. C'est la torsion testiculaire qui vient avec une douleur soudaine.
- Vrai
- Faux
b
Il est préservé
Le signe de Prehn c'est lorsque la surélévation du scrotum soulage la douleur. Il est positif en cas d'épididymite.
- Gonorrhée
- Chlamydia
- Syphilis
- Instrumentation urologique
- Sonde à demeure
- Vessie neurogène
- Comportements sexuels à risque
- Élévation du scrotum
- Repos
- Glace
- Analgésie
Puberté
- Vrai
- Faux
a
- Patient à l'âge de la puberté
- Habituellement asymptomatique
- Commence souvent la nuit
- Est associée à des nausées et des vomissements
b
- Signe de Prehn positif
- Douleur intense
- Testicule localisé haut
- Réflexe crémastérien aboli
a
- Vrai
- Faux
a
Orchiectomie
- Torsion testiculaire
- Épididymite
- Vrai
- Faux
b
Ce sont les antibiotiques
- Vrai
- Faux
a
Varicocèles
- C'est une dilatation du plexus pampiniforme
- Peut entraîner de l'infertilité
- Survient le plus souvent du côté droit
- Est ressentie comme une lourdeur ou un inconfort
c
- Infertilité
- Symptomatique
- Chirurgie
- Embolisation percutanée
- Vrai
- Faux
b
C'est plutôt bénin
- Vrai
- Faux
a
- Idiopathique
- Contrairement au spermatocèle, l'hydrocèle n'est pas transilluminable
- La plupart des cas sont asymptomatiques
- Une échographie permet d'éliminer un cancer du testicule lorsque celui-ci est difficile à parler
b
Perméabilité du processus vaginalis
Faiblesse du fascia transversalis
Processus vaginalis large
- Vrai
- Faux
b
- Obésité
- Constipation chronique
- Troubles de la miction (avec poussées abdominales)
- Toux chronique (dans la MPOC)
Étranglement de la hernie
Entre 20 et 40 ans
Un testicule non-descendu
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
10% des patients avec cancer du testicule ont une histoire de traumatisme.
- Beta-HCG
- Alpha-foeto-protéine
Séminome
- Prostate
- Poumon