ULaval:MED-1206/Microbiologie et infectiologie/Questions de l'examen 1
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La paléopathologie
- Vrai
- Faux
a
Vrai
-> Infections néonatales et respiratoires (WHO Global Health Estimates 2019)
Maladie causée par un déséquilibre entre les défenses naturelles de l'homme et la capacité invasive des microbes.
Bactéries, virus, champignons, parasites.
Il doit briser les défenses locales
- Vrai
- Faux
b
Il s'agit d'une infection qui s'est disséminée dans la circulation sanguine
Infection acquise à l'hôpital ou dans d'autres établissement de soins tels que les centres d'accueil.
Infection opportuniste
Infection mixte : infection causée par plusieurs microbes au même moment. Surinfection : infection qui complique une infection déjà présente (une après l'autre).
- Les maladies contagieuses sont les maladies qui peuvent se transmettre d'une personne à l'autre par contact direct seulement
- Une infection opportuniste correspond à n'importe quelle infection produite chez un patient immunodéficient causée par un microbe pathogène.
- Un abcès abdominal dû à une perforation intestinale est un exemple de l'infection mixte.
- Une infection nosocomiale est une infection acquise à l'étranger.
c
1. Isolement des pestiférés, incinération de leurs biens et fumigation de leurs appartements
2. Quarantaine dans les ports et aux frontières pour les nouveaux arrivants suspects
- Mutations virales et bactériennes
- Révolution industrielle
- Classes sociales
- Voyages
- Les guerres
- Migrations
a,b,c,d,e,f
- Mutations virales
- Mutations bactériennes
- Voyages
- Guerres et migrations
- Révolution industrielle
- Classes sociales
Ils étaient soignés dans des léproseries (ou maladeries) par la communauté religieuse.
- Vrai
- Faux
b
L'inoculation ne permettait pas de prévenir la maladie ni d'empêcher sa contagion, mais elle permettait de la rendre moins grave pour la personne atteinte.
- Vrai
- Faux
a
- Se laver les mains
- Tousser dans son coude
- Stériliser les instruments
- Utiliser du désinfectant pour nettoyer les lits entre chaque patient
a,c
Contagions directe et indirecte
Directe = homme à homme
Indirecte= objet ou insectes- Varicelle
- Paludisme (malaria)
- Rougeole
- Choléra
b
Non. La maladie a été éliminée par une vaccination intensive de la population mondiale par l'OMS en 1958.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
Microbiote : l'ensemble des microbes qui nous habitent que l'on peut cultiver et identifier par méthode à base d'ADN.
Microbiome : l'ensemble des gènes qui du microbiote qui peuvent être détectés par des méthodes génotypiques.
- C'est un microbe avec un chromosome simple
- Contient une enveloppe nucléaire
- Se divise par fission binaire
- Ne vit qu'à l'extérieur des cellules de l'hôte
b,d
- N'ont qu'un seul type d'acide nucléique (soit ADN ou ARN)
- Dépend du métabolisme cellulaire pour se reproduire
- Ne peut vivre à l'extérieur de la cellule
- fait partie des microbes les plus complexes
a,b,c
- C'est un microbe bien différencié
- Son ADN est entouré d'une enveloppe nucléaire
- Peuvent exister sous forme filamenteuse
- Ces microbes complexes sont pluricellulaires
d
- Vrai
- Faux
b
Le microbiome est constitué de microbes non pathogènes et non cultivables
- Sondes d'ADN
- PCR
- Puces à ADN
- Anticorps monoclonaux
- Obésité
- Diabète de type 1
- Allergies
- Asthme
- Maladies inflammatoires intestinales
- Diminution de la susceptibilité aux infections
- Résistance bactérienne
f
Organisme toujours unicellulaire qui possède un seul chromosome libre dans son cytoplasme.
- Le domaine des Archaea comprend les eucaryotes qui vivent dans des conditions extrêmes
- Les archéobactéries ont une paroi dépourvue de peptidoglycane
- Les eucaryotes peuvent être uni ou pluricellulaires
- Les bactéries méthanogènes font partie du domaine des archaea
a
- Bactéries méthanogènes
- Bactéries réalisant la photosynthèse
- Bactéries halophiles extrêmes
- Bactéries thermophiles extrêmes
b
- Vrai
- Faux
b
Contrairement aux eucaryotes, les procaryotes n'ont pas de spécification de règne
Le mot qui désigne le genre est un nom et commence par une majuscule. Le mot qui désigne l'espèce est souvent un adjectif et commence par une minuscule.
Un ensemble de cellules filles qui descendent toutes d'une même cellule mère
- Phénotypiques
- génotypiques
Critères génotypiques
Critères phénotypiques
- Bactéries
- Virus
- Mycètes
- Protozoaires
Virus
- Très petite taille
- Rares dans la nature
- Unicellulaires
- N'inclut pas les eucaryotes
- Disposent tous, à l'exception des virus, d'un potentiel métabolique
- Incapable de se reproduire de façon autonome
b,d,f
- Vrai
- Faux
b
Ils sont acellulaires et considérés non vivants
Des protéines anormales qui affectent le système nerveux. Les prions sont entre autres responsables de la maladie de la vache folle.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
La plupart des espèces sont inoffensives
- Sont des parasites intra-cellulaires obligatoires
- Possèdent de l'ADN et de l'ARN
- N'ont pas d'organelles
- Possèdent un seul chromosome libre dans le cytoplasme
a
- N'ont que de l'ADN ou de l'ARN
- Leur matériel génétique est entouré par une capside
- Ils se reproduisent par libération de virions
- Peuvent être visualisés en microscopie optique
d
Cela signifie qu'ils tirent des matières organiques en décomposition les substances qui leur sont nécessaires. Ils ne sont pas nécessairement pathogènes pour l'homme.
Les levures
Moisissures
- Virus : assemblage dans la cellule hôte
- Bactéries : fission binaire
- Protozoaires : cycles vitaux dans des hôtes intermédiaires (complexe)
- Bactéries
- Virus
- Champignons
- Protozoaires
b
Levures et moisissures
L'infestation s'applique aux parasites macroscopiques alors que l'infection réfère aux microorganismes invisibles à l'oeil nu
La capsule
- Vrai
- Faux
b
Séquençage de l'ADN
- Vrai
- Faux
b
La capsule possède un rôle essentiel dans la virulence de la bactérie en empêchant sa phagocytose et en augmentant son adhérence aux tissus. Ce sont plutôt les flagelles qui permettent la mobilité de la bactérie.
Glycocalyx
- Antigène H : flagelles
- Antigène O : paroi des Gram - seulement
- Antigène K : capsule
La paroi
Bactérie Gram -
Ils permettent d'échanger du matériel génétique (par conjugaison) de façon unidirectionnelle entre des bactéries.
- Vrai
- Faux
a
- 50S
- 30S
Des petites molécules d'ADN circulaire qui peuvent se répliquer de façon autonome
Bacillus et Clostridium
C'est le processus par lequel la bactérie reprend sa forme végétative active, lorsque les conditions lui sont redevenues favorables.
- Vrai
- Faux
b
Les spores de mycètes servent à la reproduction alors que les spores de bactérie sont un mode de survie
Des bactéries de forme variable
Agent mordant
Coloration de Ziehl-Neelson
- La microscopie à contraste de phase permet d'augmenter le contraste entre des structures d'épaisseurs variées
- La microscopie d'inversion permet d'étudier le comportement de cellules face à des stimuli.
- L'immunofluorescence consiste en un couplage du marqueur fluorochromes et un anticorps qui reconnaît la structure que l'on recherche de façon spécifique.
- La microscopie à fond noir est utile pour les microbes difficilement colorés.
- La microscopie confocale ne peut être utilisée que sur des microbes morts
e
- La sensibilité et la résistance de l'hôte
- Le pouvoir pathogène du microorganisme
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Elle se rapporte à la multiplication des cellules
- Les autotrophes (source C -> CO2)
- Les hétérotrophes (source C -> substrats organiques seulement).
Bouillons de culture
Milieu synthétique (milieu défini)
La composition chimique du milieu synthétique est définie avec précision, tandis que celle du milieu complexe ne l'est pas.
1. Il n'est pas dégradé par les bactéries
2. Il demeure solide jusqu'à une température de 45°C
- Vrai
- Faux
a
- Milieu enrichi
- Milieu de transport
- Milieu synthétique
- Milieu différentiel
- Milieu sélectif
c
- Vrai
- Faux
b
Faux
*Un milieu sélectif inhibe le développement de bactéries autres que celle recherchée
- Un milieu différentiel permet la distinction entre les différentes bactéries présentes dans le milieu de départ.
Gélose mannitol (qui est à la fois un milieu sélectif et un milieu différentiel).
Elle est un milieu sélectif et différentiel. Elle inhibe la croissance des bactéries Gram + tout en favorisant celle des Gram - (milieu sélectif) et elle permet de faire la différence entre les Gram - qui fermentent le lactose de celles qui ne le fermentent pas (milieu différentiel).
- Vrai
- Faux
b
La gélose éosine-bleu de méthylène est celle utilisée pour sélectionner les Gram - et différencier les différentes enterobactéries. Elle deviendra effectivement de couleur métallique en présence d'E. coli. La gélose sang est plutôt utilisée pour identifier les Gram + produisant des hémolysines.
- Psychrophile
- Mésophile
- Thermophile
- Hyperthermophile
a
- Les psychrophiles sont des bactéries vivant dans des endroits où la température est entre -10°C et 20°C, où se situe la température de réfrigération.
- Les mésophiles (25 à 50°C) et les thermophiles (50 à 80°C) ont une température optimale plus élevée, ils ne peuvent vivre à la température mentionnée. Il existe aussi les hyperthermophiles capables de vivre dans des conditions avoisinant les 100°C.
- Le métabolisme en présence d'Oxygène entraîne des radicaux toxiques : l'ion superoxyde (O2-) et le peroxyde d'hydrogène (H2O2)
- L'enzyme superoxyde dismutase permet de protéger les bactéries contre l'O2-
- L'enzyme catalase permet de protéger les bactéries contre l'H2O2
- Les bactéries doivent avoir les 2 enzymes pour pouvoir survivre en milieu aérobique
d
- Les bactéries aérobies strictes ont absolument besoin d'oxygène pour survivre
- Les bactéries anaérobies facultatifs peuvent vivre en milieu oxygéné, mais préfère les milieux anaérobiques car elles ne contiennent qu'une seule enzyme
- Les anaérobies stricts ne peuvent pas tolérer l'oxygène. Le fait qu'elles ne contiennent aucune enzyme éliminant les radicaux oxygénés implique que la présence d'oxygène est fatale pour ces bactéries.
- Les microaérophiles ont absolument besoin d'oxygène pour vivre.
a,c,d
B--> ceci est la définition des aérotolérants. Les * anaérobie facultatifs peuvent croître peu importe la présence ou non d'oxygène, mais leur croissance est optimale en présence d'oxygène.
D --> Cet énoncé est vrai, mais il faut que la concentration d'O2 soit inférieure à celle de l'air- Vrai
- Faux
b
Les bactéries préfèrent généralement les milieu avec un pH entre 6.5 et 7.5
- Petite molécule, jamais une macromolécule
- Essentiel à la croissance de la bactérie
- Peut être utilisé à n'importe quelle étape du métabolisme de la bactérie
- Peut être synthétisé par la bactérie
d
- Vrai
- Faux
a
Unité formant colonie. Cela signifie une bactérie qui a donné naissance à sa propre colonie. Cette unité est souvent utilisée pour dénombrer le nombre de bactéries au final suite à une mise en culture.
La dilution en série
Phase de croissance exponentielle
Phase stationnaire
La phase de décroissance représente la mort de certaines bactéries. Lorsqu'une bactérie Gram - meurt, elle libère ses endotoxines contenues dans sa paroi cellulaire, puisque celle-ci éclate.
- Vrai
- Faux
b
Cette définition décrit plutôt l'anabolisme. Le catabolisme représente les réactions de dégradation de composés complexes en composés plus simples, et ce, avec libération d'énergie.
- Vrai
- Faux
b
Contrairement aux cellules humaines, les bactéries peuvent utiliser de nombreuses sources d'énergie pour maintenir leur métabolisme.
- Vrai
- Faux
b
Les bactéries n'ont pas de mitochondire. Les mécanismes repiratoires se produisent le long des membranes cytoplsamiques
- Les transporteurs d'énergie
- Les transporteurs d'hydrogène
- Les transporteurs d'électrons
- Oxygène
- Hydrogène
- Produit organique
b
Glycolyse
- Nicotinamides (NAD, NADP)
- Quinones
- Cytochromes
- Flavines (FAD)
c
- Vrai
- Faux
b
Il provient plutôt de la phosphorylation oxydative (dans la chaîne respiratoire).
- Peroxyde d'hydrogène (H2O2)
- Ion superoxyde (O2-)
1. Glycolyse : glucose -> pyruvate
2. Cycle de Krebs
3. Chaîne de transport des électrons : accepteur final des électrons = O2 -> CO2 + H2O
Elle permet à certaines bactéries, en milieu anaérobie, de réoxyder le NADH2 et d'ainsi continuer à produire leur énergie (ATP) par phosphorylation au niveau du substrat.
Un composé inorganique
La fermentation homolactique
Fermentation propionique
- Vrai
- Faux
a
En condition aérobie, une molécule de glucose fournit 36 ATP VS en condition anaérobie, où elle en fournit 2 ATP.
- Pénétrer dans l'organisme
- Adhérer aux cellules de l'hôte
- Faire compétition à la flore normale
- Résister aux défenses immunitaires
- Envahir les tissus cibles
- Induire des dysfonctions physiologiques
- Un porteur sain n'est pas affecté par un microbe, mais peut le transmettre
- Le porteur latent est affecté par un microbe dangereux, présentant seulement 1 ou 2 symptômes
- La zoonose implique une transmission de microbes entre les animaux et les humains.
- L'environnement est aussi un réservoir inanimé de pathogènes (sol, aliments, objets)
b
Maladie touchant les animaux qui est transmissible à l'être humain
- Le contact étroit implique seulement un contact direct
- La transmission par vecteur vivant implique surtout les arthropodes (insectes, acariens...)
- La transmission par véhicule inanimé est l'exposition à un objet souillé dans la nature (couteau, clou, épine...)
- Le fait d'être affecté par un microbe par la toux est un exemple de transmission par vecteur vivant
b,c
Transmission par contact : direct, indirect ou gouttelettes
Transmission par vecteur vivant : un animal transmet l'agent pathogène d'un organisme à un hôte (ex. arthropodes)
Transmission par véhicule inanimé : propagation des pathogènes par un objet souillé dans la nature (ex. clou, couteau ayant servi à dépecer un animal, etc)
Un pathogène capable de rendre malade un individu sain
- Vrai
- Faux
b
Faux
Pathogénicité = capacité pour un microbe d'induire une infection (qualitatif)
- Mesure du taux de mortalité
- Mesure tu taux de morbidité
- Mode de transmission de cette souche
- Mesure de la dose létale (DL50)
c
Dose létale 50 (LD50)
- Les femmes sont plus susceptibles aux microbes responsables des ITS à cause de leur anatomie
- Les enfants de moins de deux ans ont un système immunitaire plus faible que les adultes
- Le fait d'être diabétique peut prédisposer aux infections
- La prise d'antibiotique empêche généralement le patient de développer C. difficile
d
- Les muqueuses
- La peau
Infection parentérale
- Vrai
- Faux
a
La virulence est une notion quantitative et mesurable. Elle correspond à la capacité d'un microorganisme de s'installer et de se développer dans un hôte particulier et y causer des dommages importants. La virulence tient compte de la pathogénécité d'un microorganisme et de la sensibilité de l'hôte.
En mesurant :
- Le taux de morbidité
- Le taux de mortalité
- La dose minimale mortelle et/ou la dose létale 50 (DL50).
- La morbidité correspond au nombre d'individus atteints de l'infection dans une population donnée
- La mortalité correspond au nombre d'individus morts de cette infection dans la population.
- Vrai
- Faux
b
Plus un agent pathogène est virulent, plus la DL50 sera basse. Effectivement, plus le microorganisme a de la facilité à agresser l'hôte et s'y installer, de moins grandes quantités en seront nécessaires pour causer la mort de la moitié des individus inoculés par ce microorganisme.
- Vrai
- Faux
b
La virulence d'un certain type d'agent pathogène peut être augmentée (exaltation) ou diminuée (atténuation).
Attachement du microbe aux cellules de l'hôte
Le récepteur
Le microbiome
La métagénomique
- Le microbes qui constituent la flore peuvent sécréter des éléments toxiques envers les bactéries indésirables.
- La flore favorise la transformation des aliments ingérés et produisent des vitamines
- Le fait qu'il y ait des microbes en contact avec les muqueuses permet la production d'anticorps IgA
- La flore intestinale permet d'empêcher toute forme d'infection
a,b,c
Les rôles de la flore normale sont :
- protecteur
- métabolique
- stimulation du système immunitaire
- source d'infection (si elle se trouve a/n des sites anatomiques inhabituels ou blessés)
- Vrai
- Faux
b
Le liquide céphalo-rachidien est habituellement stérile
- Le furoncle est une infection bénigne et autorésolutive
- S. épidermidis fait partie de la flore normale
- On catégorise les staphylocoques selon leur production ou non de coagulase
- Le staphylocoque le plus pathogène est S. aureus
a
- Vrai
- Faux
b
L'agent responsable de l'acné est Propionibacterium acnes
Macule
- L'Hélicobacter pilori est responsable des ulcères gastriques
- Le Clostridium fait partie des espèces anaérobiques retrouvées dans l'intestin grêle
- Les probiotiques peuvent restaurer la flore du colon qui serait perturbée par les antibiotiques.
- Le pH acide de l'estomac constitue une barrière contre la pénétration des bactéries des aliments
b
- B= dans le colon
- Vrai
- Faux
a
Le côlon
- Vrai
- Faux
b
Les bactéries anaérobies sont prédominantes
- B1
- B2
- B6
- B12
- K
- Vrai
- Faux
a
Le glycogène
- Modifier la couche lipidique des globules rouges (création de pores) et en provoquer l'hémolyse
- Transformer le fibrinogène en fibrine pour coaguler le plasma et ainsi ralentir l'arrivée des phagocytes
- Hydrolyser la fibrine des caillots sanguins et ainsi augmenter la dissémination du microorganisme dans l'organisme
- Favoriser la propagation des microorganismes dans les tissus en hydrolysant le tissu conjonctif et la matrice entre les cellules
- Détruire les globules blancs et inhiber leur chimiotactisme
d
A -> ce sont plutôt les hémolysines
B -> ce sont plutôt les coagulases
C -> ce sont plutôt les fibrinolysines
E -> ce sont plutôt les leucocidinesLes hémolysines sont sécrétées par les streptocoques bêta-hémolytiques.
Rébecca Lancefield
- Vrai
- Faux
b
Ce sont plutôt les exotoxines qui sont produites à l'intérieur des Gram + et elles sont ensuite libérées dans le milieu environnement. Par contre, les endotoxines se retrouvent dans la couche externe de la paroi des bactéries Gram - et sont libérées dans le milieu lors de la mort de la bactérie seulement.
- Vrai
- Faux
a
Par contre, elles ne sont pas des enzymes (elles n'ont pas de rôle dans le métabolisme des organismes).
Une anatoxine est une exotoxine dont le pouvoir toxique a été fortement diminué. Elle est donc pratiquement inoffensive. Par contre, l'anatoxine conserve sa capacité à induire la production d'anticorps chez l'individu y étant exposé. Ceci est utile dans l'élaboration de vaccin contre les infections produites par les exotoxines.
- La sous-unité A est responsable de l'activité toxique de l'exotoxine
- Sous-unité B est responsable de l'adhésion de la toxine à la cellule.
- Les exotoxines sont produites pas les bactéries à Gram +
- Les endoxines peuvent produire un choc septique
- Les cytotoxines font partie des endotoxines
- Les entérotoxines font partie des exotoxines
c
les 3 grandes catégories des exotoxines sont:
- cytotoxines (tues les cellules hôtes)
- Neurotoxines (perturbent la transmission des influx nerveux)
- Entérotoxines (attaquent les cellules tapissant le tube digestif)
- Vrai
- Faux
a
- Antigène O : responsable de la production d'anticorps (immunogénicité)
- Corps polysaccharidique
- Lipide A : responsable de la toxicité de l'endotoxine
Diminution de la tension artérielle due à des bactéries
- Vrai
- Faux
b
Les endotoxines sont des lipopolysaccharides stables à la chaleur, elles sont donc difficilement transformables en anatoxines contrairement aux exotoxines qui sont des protéines, elles sont donc plus facilement dénaturées à la chaleur.
- Altération de la perméabilité
- Modification ou destruction de l'ATB
- Modification ou changement de la cible
- Les bactéries possèdent un noyau délimité par une membrane
- Les plasmides sont des éléments qui font partie du génome
- Les plasmides peuvent se répliquer de façon indépendante
- Les bactéries se divisent par fission binaire
- Les plasmides codent les fonctions essentielles à la cellule
- Les bactéries on généralement un seul chromosome circulaire
- Les plasmides sont plus petits que le chromosome bactérien
a,b,e
- A: En fait, les bactéries possèdent un nucléoïde qui permet un empaquetage compact du matériel génétique
- B: Les plasmides sont des éléments extra chromosomiques
- D: vrai, et la répartition du chromosome est toujours égale entre les cellules filles, mais pas toujours équitable pour le/ les plasmide(s).
- E: Elles ne codent pas les fonctions essentielles, mais elles permettent à la bactérie de présenter des avantages telles la Résistance aux ATBs , une capacité métabolique supplémentaire et/ou un facteur favorisant l'infection
- Résistance aux antibiotiques
- Fonctions essentielles à la cellule
- Capacité métabolique supplémentaire
- Facteurs qui favorisent l'infection
b
- La bactérie produit ses protéines constamment sans varier le nombre
- La régulation des gènes est plus rapide si la cellule est en croissance exponentielle des bactéries
- La régulation transcriptionnelle permet à la bactérie de contrôle l'activation et l'inactivation de ses gènes
- Le contrôle positif (de la régulation transcriptionnelle) se produit en présence d'un répresseur qui inhibe la transcription du gène
- La régulation par stimulon utilise un promoteur pour contrôler un gène
- La régulation dans un opéron implique qu'il y a un seul promoteur pour contrôler plusieurs gènes adjacents
- La régulation par un régulon implique qu'il y a une seule protéine régulatrice pour contrôler plusieurs gènes situés dans plusieurs endroits différents dans le génome
a,d,e
- A: Elle ne produit des protéines que si elle en a besoin => Par exemple, si aucun substrat n'est présent dans son environnement, elle ne va pas synthétiser l'enzyme nécessaire au métabolisme de celui-ci pour rien. Si ce substrat apparaît, elle va le créer (économie d'énergie)
- B: Vrai; la régulation est un processus actif qui a besoin que la cellule soit dans un état métabolique actif.
- D: Un contrôle négatif se produit lorsqu'un répresseur inhibe la transcription du gène, tandis que le contrôle positif stimule la transcription de ce gène
- E: La régulation par un stimulon permet le contrôle de plusieurs gènes non contigus par un même stimulus. Vs la régulation simple dont le promoteur contrôle le gène
- Opéron
- Régulon
- Stimulon
- Réalison
b
- Opéron
- Régulon
- Stimulon
- Réalison
c
- Les mutations spontanées sont plus fréquentes que les mutations induites
- Les mutations spontanées peuvent être causées par des radiations naturelles ou par erreur lors de leur réplication
- Une mutation est toujours néfaste pour la survie de la bactérie
- La pression sélective crée la mutation
- Les systèmes de réparation sont très importants pour la survie de la bactérie aux mutations qui sont potentiellement néfastes
a,c,d
- A: Les mutations induites sont plus fréquentes et ont plusieurs causes possibles
- C: Par exemple, il se peut qu'une mutation permette l'imperméabilité à un ATB (phénotype de résistance à cet ATB) permet un avantage sur les autres bactéries.
- D: La mutation est le fruit du hasard et existe déjà avant que la pression sélective (exposition à des ATB). Les bactéries ayant cette mutation peuvent croître plus rapidement que les autres et même les remplacer pour devenir une majorité
- Vrai
- Faux
b
La mutation est survenue au hasard. La pression sélective s'exerce seulement après.
- Réparation directe de l'ADN
- Réparation par excision
- Réparation par recombinaison
- Réponse SOS
- Réparation sujette à erreur
La réponse SOS
- Vrai
- Faux
a
- Les bactéries ont la capacité d'échanger leur information génétique de façon asexué
- La compétence est un élément clef de la conjugaison
- La transformation est plus efficace entre bactéries d'espèces différentes
- La conjugaison se définit pas un échange de matériel génétique entre bactéries par contact cellule-cellule (mâle à femelle)
- Seulement les plasmides conjugatifs peuvent être transférés lors de la conjugaison
- La transduction implique un virus qui parasite une bactérie et se sert de la machinerie de cet hôte pour reproduire sa capside et son matériel génétique
- Un cycle lysogénique du bactériophage n'entraîne pas la mort des cellules bactériennes
b,c,e,g
- B: La compétence est la capacité qu'ont certaines bactéries d'être transformées par un ADN externe (un ADN libéré par des bactéries mortes et ayant la capacité de tuer certains organismes par exemple) qui leur permettent d'acquérir de nouvelles propriétés. La compétence fait partie de la transformation
- C: La transformation est plus efficace entre bactéries d'une même espèce
- D: Vrai, les gènes qui sont nécessaires à ce type d'échange sont nommés plasmides conjugatifs
- E: Il est possible que certains plasmides non conjugatifs soient transférés en même temps par mobilisation
- F: Vrai, et c'est lorsque le phage amène avec lui une partie du génome bactérien (hybride phage-bactérien) qui permet le transfert d'ADN d'une bactérie à l'autre
- G: Ceci correspond au page chronique. Un cycle lysogénique implique que le bactériophage entre dans la cellule sans la tuer et intègre son matériel génétique dans le génome bactérien, ce qui permet sa réplication. Mais une fois que les phages répliqués sont libérés, il y a la mort cellulaire. Un cycle lytique implique simplement la mort de la bactérie.
Compétence
- Vrai
- Faux
a
Plasmide conjugatif
- Phage virulent
- Phage tempéré
a
- Spécialisée
- Généralisée
a
- La transduction implique le transfert d'ADN bactérien d'une cellule à l'autre via un bactériophage.
- Une transduction généralisée permet la propagation à la suite de l'infection initiale
- La transduction spécialisée se produit lorsque le génome du phage est mal excisé du génome de l'hôte et qu'il est empaqueté dans le phage devenant un génome hybride phage-bactérie
- La transduction spécialisée est un exemple d'empaquetage optimal du génome du phage
a,c
- B: La transduction généralisée implique un empaquetage accidentel de fragments de l'ADN de l'hôte dans la capside du phage. Ce phage ne peut pas se propager car il n'y a plus d'Information pour synthétiser des capsides
- D: Tant la transduction spécialisée que généralisée représentent des empaquetages accidentels résultant en une partie du génome de l'hôte (bactérie) qui est empaquetée dans le phage produit
- Elle implique un mouvement de segments d'ADN extracellulaire
- Il faut qu'il y ait une proximité entre les endroits qui seront transposés
- La transposition ne peut pas se faire entre différents éléments génétiques
- Les séquences d'insertion font partie des transposons simples
- Les transposons complexes peuvent encoder des gènes de toxine ou de résistance aux ATBs
- Les transposons complexes sont composés de composites avec des séquences d'insertion et d'autres gènes
b,d,e,f
- A: c'est un mouvement de segments d'ADN intracellulaire
- C: Elle peut se faire, si ces éléments sont susceptibles d'être présents en même temps dans cette cellule
- E: vrai, et ceci implique une importance médicale
- Séquences d'insertion
- Transposons complexes
- Phages transposables
- Vrai
- Faux
a
Les intégrons recrutent les gènes de résistance et les intègrent devant des promoteurs forts pour assurer l'expression de plusieurs gènes simultanément
- Dans les transposons complexes (composite avec IS+ autres gènes)
- Sur les plasmides
- Le microbiome implique l'ensemble des microbes de notre flore
- Les premiers bons microbes du bébé lui sont transmis lors de l'accouchement
- L'administration répétée d'ATBs permet d'assurer la destruction complète de toute souche de bactérie
- Les antibiotiques influencent la nature de l'écosystème microbien
- Il y a 10x plus de cellules bactériennes que de cellules humaines nuclées dans le corps
- Les médicaments antibactériens perturbent l'équilibre de la flore
a,c
- A: microbiote = ensembles des microbes de notre flore. Microbiome = ensemble des génomes microbiens de notre flore
- C: L'administration répétée d'ATBs peut favoriser la sélection de souches bactériennes résistantes tant à l'intérieur du patient que dans son environnement
- Transmission verticale = une mutation qui se produit lors de la réplication d'une bactérie
- Transmission horizontale = un transfert de l'information génétique d'une bactérie à l'autre (par conjugaison/ transformation/ transduction)
- Cascade des caspases
- Système de restriction-modification de classe II
- CRISPR/Cas
a
C'est un système qui protège les bactéries contre l'invasion d'ADNs étrangers
C'est un système de mémoire immunitaire pour bactéries qui permet la restriction des échanges
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Il est associé à une dépense d'énergie
Parasympathique
Sympathique
- Vrai
- Faux
b
Hypothalamus
pré-ganglionnaire
Fibre nerveuse type c
Acétylcholine
- S2
- S3
- S4
- Myosis
- Accommodation (pour vision de près)
- Le nerf facial diminue les sécrétions tandis que le nerf glossopharyngé les augmente
- Le nerf vague permet de diminuer le tonus des sphincters, mais une augmentation du tonus des muscles du rectum et de la vessie
- Le nerf vague diminue la motilité digestive
- L'acétylcholine est le NT pour les neurones pré-ganglionnaires mais c'est la noradrénaline qui est le neurotransmetteur post-ganglionnaire
- Le neurone pré-ganglionnaire est long et faiblement myélinisé (fibre type B) alors que le neurone post-ganglionnaire est court et non myélinisé (fibre type C)
- Les récepteurs ganglionnaires sont des récepteurs muscariniques tandis que les récepteurs des organes effecteurs sont des récepteurs nicotiniques.
b,e
- A: Le parasympathique augmente les sécrétions de toutes les glandes en général, sauf les sudoripores (ceux-ci étant sous le contrôle du SYM)
- C: nerf vague = sous contrôle du PSYM augmente la motilité digestive
- D: Dans le PSYM, il n'y a qu'un seul NT, et c'est l'Ach
- F: les récepteurs dans les ganglions sont des récepteurs nicotiniques tandis que les récepteurs des organes effecteurs sont des récepteurs muscariniques
- A un effet inotrope et chronotrope négatif
- Bronchodilatation
- Augmente les sécrétions
- Augmente la motilité du tube digestif
b
- Vrai
- Faux
a
Le neurone post ganglionnaire est très court donc très près de l'organe cible.
- Vrai
- Faux
b
La réponse parasympathique est ciblée et localisée. Le ratio post:pré est plutôt de 1-3:1
- Vrai
- Faux
b
Le PSYM n'a pas d'effet direct sur les vaisseaux directement. Son seul effet sur les vaisseaux se fait via la chronotropie et l'inotropie négatives.
T1 à L2
Rameau communiquant blanc
- L'activité du SYM se produit simultanément sur plusieurs organes
- Le PSYM n'est pas essentiel la vie, mais le SYM oui.
- Le système nerveux sympathique a une distribution plus large que le système nerveux PSYM.
- La distribution anatomique du SYM est plus diffuse et étendue que le PSYM
- Les ganglions du SYM sont près des organes effecteurs
- Le système nerveux sympathique diminue la densité des sécrétions des glandes salivaires
b,e,f
- B: Le PSYM est le système nerveux autonome essentiel à la vie, mais le SYM non. Toutefois, ce dernier est essentiel à L'adaptation du corps aux conditions changeantes.
- D: vrai, ratio post-pré de 20-30:1
- E: les ganglions du PSYM sont près des organes effecteurs, tandis que les ganglions du SYM sont près du SNC (neurone post long tandis que neurone pré-ganglionnaire est court )
- F: Le SYM augmente la densité des sécrétions, mais diminue la quantité de celles-ci
- Diminution de la motilité gastrointestinale
- Diminution de l'érection du pénis
- Dilatation des vaisseaux sanguins des muscles squelettiques
- Constriction des vaisseaux sanguins des muscles squelettiques
- Les récepteurs ganglionnaires sont des récepteurs muscariniques
- Les récepteurs des organes effecteurs sont des récepteurs adrénergiques (alpha et bêta)
- La glande surrénale libère 80% de noradrénaline et 20% d'adrénaline
a,b,c,d,f
- E: ce sont des récepteurs nictoniques (tout comme le PSYM) qui se trouvent dans les ganglions SYM
- F: cet énoncé est vrai, mais à noter qu'il existe aussi des récepteurs muscariniques post-ganglionnaires correspondant au système nerveux sympathique
- G: Elle libère surtout de l'adrénaline (80-85%)
- Contraction du muscle radial de l'iris
- Relaxation du muscle ciliaire
- Relaxation des sphincters gastrointestinaux
- Diminution de l'érection
c
- Vrai
- Faux
a
- Les neurotrametteurs libérés par les glandes surrénales ont une action systémique
- La stimulation des glandes surrénales ne se fait que par le premier neurone qui relâche l'Ach et stimule les récepteurs nicotiniques
- C'est le système nerveux sympathique qui provoque l'éjaculation, mais le parasympathique qui est responsable de l'érection
- Le système nerveux parasympahtique augmente les sécrétions des glandes sudoripores
a,c
- A: les NT agissent comme des hormones puisqu'elles sont relâchées dans la circulation et vont donc réagir sur des organes à distance
- B: la stimulation de la glande surrénale se fait entre autres par le neurone préganglionnaire, mais aussi par la cortisol , donc les surrénales ne sont pas seulement gouvernées par le SNA
Plexus sous-muqueux (plexus de Meissner)
Plexus myentérique (plexus d’Auerbach)
Parasympathique
- C'est une régulation semi-autonome
- 1 nerf sympathique stimule 5000-8000 entériques
- Le système nerveux sympathique inhibe le système entérique
- Le plexus myentérique fait partie de la sous-muqueuse
a,b,c
- D: le plexus de Meissner fait partie de la sous-muqueuse. Le plexus myentérique (d'Auerbach) se trouve entre les couches circulaires et longitudinales de la musculeuse
Choline acétyltransférase
Dans le cytoplasme des boutons terminaux
acétylcholinestérase
- La présence d'acétylcholine dans la synapse diminue l'activité de l'enzyme choline acétyltransférase, ce qui provoque une autorégulation du neurone cholinergique
- La présence de NA provoque une inhibition de la tyrosine hydroxylase (autorégulation du neurone adrénergique)
- La fin de l'action de l'Ach se produit lors de sa destruction via l'enzyme acétylcholinestérase
- La fin de l'action de la NA se fait surtout par sa destruction par les enzymes MAO (monoamine oxidase) présents dans les terminaisons nerveuses
- L'enzyme MAO se retrouve dans les terminaisons nerveuses tandis que l'enzyme COMT est dans le foie et tous les tissus. Ces deux enzymes permettent le métabolisme du NA
- La Tyrosine, précurseur de la NA et de l'adrénaline, est obtenu par la diète
a,d
- A: Il n'y a pas d'auto-régulation des neurones cholinergiques
- D: la fin de l'action se fait surtout par la recapture de la NA dans le neurone adrénergique qui permet une économie de la resynthèse de la NA.
Autorécepteur
Tyrosine
Re-uptake dans le neurone adrénergique
MAO ou monoamine oxidase
COMT ou catechol-O-methyltransferase
Noradrénaline
- Nicotinique
- Muscarinique
- Vrai
- Faux
b
Le N1 se retrouve dans le ganglion autonome et la médullosurrénale alors que le N2 se retrouve dans la jonction neuromusculaire
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Faux
*Les récepteurs muscariniques se retrouvent tant en pré-synaptique (hétérorécepteurs et autorécepteurs) qu'en post-synaptique (sympathique et parasympathique).
Toutefois, ils ne sont présents que sur les organes cibles (donc stimulés par les neurones post-ganglionnaires).
- Tandis que les récepteurs nicotiniques se retrouvent dans les ganglions (donc simulés par les neurones pré-ganglionnaires) et dans la jonction neuromusculaire
bêta-1
- La stimulation des récepteurs alpha 2 post-synaptiques provoquent la vasoconstriction des vaisseaux
- La stimulation des récepteurs alpha 1 post-synaptiques provoquent la mydriase
- La stimulation des récepteurs alpha 2 pré-synaptiques provoquent l'agrégation plaquettaire
- La stimulation des récepteurs alpha 1 post-synpatiques provoquent la contraction des sphincter gastro-intestinaux et vésical
- La stimulation des récepteurs alpha 2 pré-synaptiques inhibent le relâchement de la NA et de l'Ach
- La stimulation des récepteurs alpha 2 post-synaptique provoque une stimulation du relâchement de l'insuline, de l'hormone de croissance et d'ADH
- La stimulation du récepteur alpha-2 post-synaptique a/n du SNC provoque une analgésie/ sédation et une dépression cardio-vasculaire
b,d,e,g
- A: ce sont les alpha 1 qui provoquent la vasoconstriction des vaisseaux
- C: ce sont les récepteurs alpha 2 post-synpatiques qui provoquent l'agrégation plaquettaire
- F: alpha-2 post-synaptique provoque : stimulation de l'hormone de croissance mais une inhibition de l'ADH et de l'insuline
- La stimulation du bêta 2 présynaptique inhibe la relâche de la NA et de l'Ach
- La stimulation de bêta1 provoque la vasodilatation des vaisseaux
- La stimulation de bêta 2 provoque la bronchoconstriction
- La stimulation de bêta 2 provoque la relaxation utérine, vésicale et gastro-intestinale
- la stimulation du bêta 1 permet l'augmentation de la vitesse de conduction cardiaque, de l'automaticité cardiaque et de la contractilité cardiaque
- Le récepteur bêta 2 permet la gluconéogenèse
- Le récepteur bêta 2 inhibe la sécrétion de l'insuline
d,e,f
- A: provoque l'augmentation de la relâche du NA et de l'Ach
- B: ce sont les récepteurs bêta2 qui provoquent la vasodilatation des vaisseaux
- C: la stimulation des bêta2 provoque la bronchodilatation. c'est le PSYM qui s'occupe de la bronchoconstriction
- F: bêta 2 provoque la glycogénolyse et la gluconéogénèse
- G: Le récepteur bêta2 provoque la sécrétion de l'insuline tandis que le récepteur alpha 2 provoque l'inhibition de l'insuline
- Les récepteurs alpha2 présynaptiques a/n sympathique sont des hétérorécepteurs
- Les récepteurs adrénergiques présynaptiques a/n du parasympathique sont des hétérorécepteurs
- Les récepteurs alpha 2 post-synapthiques provoquent la bronchodilatation des vaisseaux
- Les récepteurs alpha-1 post-synaptiques provoquent une augmentation de la fréquence cardiaque
- Les récepteurs alpha 1 provoquent la contraction des sphincters G-I et vésical
- Les récepteurs bêta 2 provoquent la relaxation G-I et vésicale
- Les récepteurs alpha 2 inhibent la relâche de l'insuline tandis que les récepteurs bêta 2 provoquent la sécrétion de l'insuline
b,e,f,g
- A: les récepteurs adrénergiques (donc alpha2 et bêta2) présynaptiques du SYM sont des autorécepteurs (vs les récepteurs muscariniques présynaptiques du SYM sont des hétérorécepteurs).
- B: Vrai, tandis que les récepteurs présynaptiques muscariniques du SN sympathique sont des autorécepteurs
- C: Ce sont les récepteurs bêta 2 post-synapthiques qui font la bronchodilatation des vaisseaux, tandis que les récepteurs alpha-1 post-synapthiques font la bronchoconstriction des vaisseaux.
- D: Il n'y a aucun récepteur alpha-1 a/n cardiaque. Les seuls récepteurs adrénergiques sur cet organe sont les récepteurs bêta1
- E et F : en complément ensemble, ils permettent d'empêcher le travail vésical et gastro-intestinal lorsque le SYM est stimulé
- Diminution de l'effet (désensibilisation)
- Diminution du nombre de récepteur (downregulation)
Vasoconstriction des vaisseaux
Réflexe de Bezold-Jarish
Réflexe de Bainbridge
Muscle sphincter de la pupille
Muscle radial de la pupille
Un sympathomimétique à action directe qui contient un noyau catéchol
- Nicotiniques: nicotine
- Muscariniques: béthanéchol, pilocarpine, carbachol, méthacholine
- Ganglions autonomes
- Jonction neuromusculaire
- Système nerveux central
- 1) Désensibilisation des récepteurs
- 2) Inhibition de la transmission ganglionnaire
- 3) Diminution de la libération des catécholamines surrénaliennes
- Vasodilatation
- Tachycardie
- Constipation
- Incontinence urinaire
- Contraction des muscles squelettiques
- tremblements
- dépendance
b,d,e,f,g
- A: vasoconstriction
- B: peuvent aussi causer la bradycardie
- C: ils augmentent la motilité GI = nausée/ vomissements/ diarrhée/ crampes abdominales
- 1) Vasoconstriction
- 2) Tachycardie/Bradycardie
- 3) Augmentation de la motilité GI
- 4) Incontinence ou urgence urinaire
- 5) Contraction des muscles squelettiques
- 6) Effets centraux comme tremblements, convulsions et coma
- 7) Dépendance
Favoriser le sevrage nicotinique lié au tabagisme. Ex. timbre transdermique, gomme à mâcher
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
Les CHAD muscariniques stimulent certaines voies sympathiques extrinsèques comme les glandes sudoripares.
- 1) Stimulation du parasympathique extrinsèque
- 2) Stimulation de voies sympathiques extrinsèques
- 3) Inhibition légère des voies sympathiques et parasympathiques intrinsèques
- Pilocarpine en gouttes
- Carbachol en gouttes
- Vrai
- Faux
a
Il y a quand même des récepteurs muscariniques dans les vaisseaux sanguins qui, une fois activés, provoquent une vasodilatation.
Méthacholine
- Le glaucome résulte d'une augmentation de la pression intraoculaire, ce qui crée des dommages au nerf optique
- La méthacholine est un cholinomimétique direct nicotinique
- Les cholinomimétiques directs muscariniques provoquent une augmentation de la fréquence cardiaque
- Les récepteurs muscariniques sont couplés à une protéine G
- La pilocarpine permet une augmentation des sécrétions salivaires et lacrymales
- Les Cholinomimétiques directs muscariniques, tel la béthanéchol, permettent de corriger la rétention urinaire en présence d'obstruction mécanique
b,c,f
- B: cholinonmimétique direct muscarinique
- C: puisque ce sont les CHAD muscarinique il faut prévoir une diminution de la FC (récepteur muscarinique au coeur = stimulation du PSYM)
- F: Il est vrai que la béthanéchol peut corriger une atonie vésicale ou une rétention urinaire mais s'il y a une obstruction mécanique, ce médicament ne va servir à rien
Pilocarpine orale
- Vrai
- Faux
a
Vrai
Cela peut se produire par la stimulation des récepteurs
muscariniques au niveau des cellules
- Les inhibiteurs de l'acétylcholinestérase (ACHE) fonctionnent en augmentant la quantité d'Ach accumulée là où elle est libérée.
- Les CHAID permettent d'augmenter la vigilance
- Ils provoquent une bronchodilatation
- Ils permettent une meilleure digestion en augmentant la motilité G-I et en augmentation la quantité de sécrétions du G-I
- L'action simultanée du PSYM au coeur et du SYM aux vaisseaux permet de conserver la TA normale (ou une légère baisse)
- Diminue la force de contraction des muscles squelettiques
c,f
- Les Néostigmine et Edrophonium sont des ACHE et sont utiles pour renverser la paralysie musculaire lors des bloqueurs neuromusculaires non dépolarisants
- En anesthésie, il est important de combiner l'ACHE avec un antimuscarinique afin de diminuer les effets secondaires
- L'Endrophonium permet de traiter la myasthénie grave
- L'Ach a un rôle dans la mémoire et l'apprentissage. Donc un ACHE comme la donépézil permet d'atténuer les déficits cognitifs de la maladie d'Alzheimer
a,b,d
- B: vrai, car on veut stimuler les récepteurs N via la jonction neuromusculaire, mais on doit bloquer les récepteurs M pour empêcher la bradycardie et l'aug des sécrétions
- C: L'endrophonium aide au Dx de la MG, mais c'est la Pyridostigmine qui la traite
Néostigmine, Édrophonium, Donépezil
- Néostigmine (ACHE)
- Edrophonium (ACHE)
Alzheimer
- Avoir un stade de maladie léger à modéré
- Avoir une fréquence cardiaque de plus de 75 bpm
- Effets secondaires doivent être tolérables
- On doit faire un suivi tous les 6 mois
- Une visite doit être faite après 3 mois
a,c,d,e
- B: La FC minimale est de 50 bpm
- Fréquence cardiaque > 50/min
- Stade de maladie léger/modéré
- Visite après 3 mois
- Effets secondaires tolérables
- Suivi tous les 6 mois
- Vrai
- Faux
b
- Bradycardie
- Asthme
- Obstruction intestinale ou urinaire
Atropine
- Pralidoxime
- Atropine.
- L'intoxication à la muscarine se présente par des symptômes parasympathicomimétiques
- L'atropine permet de traiter l'intoxication à la muscarine et l'intoxication au gaz sarin/ VX
- Le Gaz sarin et le Gaz VX (organophosphates) sont des inhibiteurs réversibles de l'acéthycholinestérase
- Les cholinomimétiques sont très sélectifs
- Les effets secondaires redoutés des cholinomimétiques sont: Bradycardie, bronchoconstriction et des troubles digestifs
c,d
- C: Ce sont des inhibiteurs irréversibles de l'acéthylcholinestérase
- D: Ils sont peu sélectifs
- Vrai
- Faux
b
Ce sont des parasympathicolytiques
Paralysie de l'accomodation
- Vrai
- Faux
a
L'atropine est l'agent utilisé en réanimation pour contrer les effets des ACHE en réanimation
- Mydriase
- Bronchodilatation
- Tachycardie
- Augmentation de la sudation
- Rétention urinaire
- Cycloplégie (paralysie de l'accomodation)
d
- D: Les antimuscariniques miment les effets du SYM : il y a un récepteurs muscariniques des glandes sudoripores qui sont stimulés par l'innervation sympathique
Ipratropium en inhalation
Cyclopentolate
Scopolamine
Benztropine
- Glaucome
- Incontinence urinaire
- Constipation
- Hyperthermie/ fièvre
- Bradyarrythmie
a,c,d
- B: c'est la rétention urinaire qui est à risque
- C'est la Tachyarrythmie qui est à risque
- Glaucome
- Rétention urinaire
- Constipation
- Hyperthermie (ou fièvre)
- Tachyarrythmie
Rocuronium
- Le microorganisme en cause est Clostridium botulinum
- La toxine entraine, en plus de la paralysie, une forte fièvre
- Le Botox permet de diminuer les rides
- L'antitoxine équine est un traitement de support
b
Physostigmine
- Selon la molécule
- Selon la dose
- Vrai
- Faux
a
- La Phényléphrine agit plus sur les récepteurs alpha1
- La clonidine agit plus sur les récepteurs bêta-2
- Le noyau catéchol est la caractéristique commune des catécholamines
- Les récepteurs alpha et bêta sont des canaux ioniques
- La stimulation du récepteur alpha1 provoque la mydriase
- La stimulation du récepteur alpha 2 provoque une contraction du sphincter de la vessie
b,d,f
- B: Clonidine agit plus sur les récepteurs alpha2
- Elles sont couplées à des protéines G (tout comme les récepteurs muscariniques)
- F: Le récepteur alpha1 est responsable de : mydriase, défécation ralentie, contraction sphincter vésical, VC vaisseaux, contraction muscle piloérrecteur
- Vrai
- Faux
b
Ça entraîne une vasoconstriction
alpha-1
- Une stimulation présynaptique augmente le tonus sympathique
- Analgésie/ sédation
- Vasoconstriction
- Stimulation de l"hormone de croissance
- Stimulation du relâchement de l'insuline
- Agrégation plaquettaire
- Inhibition de l'ADH
b,d,f,g
- A: ceci correspond à la stimulation du récepteur présynaptique bêta-2. La stimulation Alpha 2 pré-synaptique provoque une inhibition du tonus sympathique
- C: La vasoconstriction est une réponse de la stimulation du récepteur alpha 1
- E: C'est le récepteur bêta-2 qui provoque la relâche d'insuline. Le récepteur alpha 1 inhibe la relâche d'insuline (attention aux diabétiques)
- La clonidine est un exemple de médicament alpha-2 adrénergique
- Les effets recherchés lorsqu'on utilise la clonidine sont surtout les effets de la stimulation périphérique
- Les récepteurs bêta-1 sont situés au niveau du coeur
- La stimulation des récepteurs bêta-2 augmente la sécrétion de rénine
- La stimulation du récepteur bêta-2 provoque une relaxation gastro-intestinale et vésicale
- La stimulation du récepteur bêta-2 provoque une sécrétion d'hormone de croissance
- La stimulation du récepteur bêta-2 provoque un glycogénolyse
a,c,e,g
- B : Au contraire, on recherche surtout les effets pré-synaptiques (diminuer le tonus sympathique) et centraux
- D: ceci est un résultat de la stimulation du récepteur bêta-1
- F: Le récepteur bêta-2 provoque une sécrétion d'insuline. C'est le récepteur alpha-2 qui permet la sécrétion de l'hormone de croissance
- La stimulation du récepteur bêta-2 permet la vasodilatation, donc une diminution de la TA
- La stimulation des agonistes alpha 2 permettent d'augmenter la TA et sont donc très utiles dans le traitement d'hypotension
- La salbutamol permet le traitement des bronchospasmes
- Un des effets des sympathicomimétiques bêta-2 est d'augmenter le captage du K+ par les muscles squelettiques
- La stimulation des bêta-3 diminue le nombre d'acides gras plasmatique
- Les sympathicomimétiques dopaminergiques-1 ont un effet sur les émotions et la coordination musculaire en jouant sur le SNC
b,e
- B: Ce sont les agonistes d'alpha 1 qui permettent une VC, donc d'augmenter la TA. Les agonsites alpha-2, par leur effet pré-synaptique, permettent de diminuer la TA en inhibant la VC
- E: Bêta-3 augmente la lipolyse, ce qui résulte en une augmentation des acides gras libres plasmatiques
Bêta-2
Bêta-2
Bêta-3
Cocaine
- Vrai
- Faux
b
Des très petites doses sont efficaces
- Le blocage de la recapture de la NA peut être dangereux à de fortes doses
- Certains antidépresseurs bloquent la monoamine oxydase, ce qui retarde l'inactivation de la NA
- L'éphédrine est un exemple de sympathicomimétique à action directe
- La cocaïne est un exemple de SYMAID qui bloque la recapture de la NA par les terminaisons nerveuses adrénergiques
c
- C: C'est un SYMAID qui augmente la libération de la NA
- Phényléphrine
- Éphédrine
- Noradrénaline/ adrénaline
- Clonidine
- Isoprotérénol
- Salbutamol
a,b,c
- A: La phényléphrine est est un vasopresseur alpha-1 pur
- B: action indirecte
- La phényléphrine peut provoquer une bradycardie
- La noradrénaline permet d'augmenter la TA et on des effets inotropes positifs
- L'Isoprotérénol provoque un effet inotrope positif et une vasoconstriction
- L'épinéphrine agit sur les récepteurs alpha-1, alpha-2, bêta-1 et bêta-2
c
- A: En stimulant les récepteurs alpha-1, elle provoque une augmentation de la TA, ce qui sera perçu par les barorécepteurs, qui vont ralentir la fréquence cardiaque pour tenter de rééquilibrer la pression
- C: L'isoprotérénol stimule le récepteur bêta-1, ce qui a un effet inotrope positif, mais agit aussi sur le bêta-2 ce qui provoque une vasodilatation.
- D: c'est l'agoniste adrénergique le plus puissant
- Vrai
- Faux
a
- L'Isoprotérénol est le médicament de choix pour traiter la bradyarythmie combinée avec l'hypotension
- La clonidine permet de traiter l'hypertension artérielle
- Les agonistes alpha-1 permettent de traiter la congestion nasale
- Le salbutamol permet de traiter l'asthme
b,c,d
- A: Isoprotérénol stimule bêta1 (inotropie positive) et bêta2 (diminution de la TA). On préfère l'épinéphrine.
- B: Clonidine agit sur le récepteur alpha-2 ce qui diminue le tonus sympathique
- D: En agissant sur les récepteurs bêta-2
- Le métoprolol est un exemple d'alpha bloqueur
- Le phentolamine est un exemple de bêta bloqueur
- Le phentolamine est un antagoniste compétitif non sélectif
- Les alpha bloqueurs provoquent un effet bêta majoré
- Les alpha-bloqueurs causent une congestion nasale
- Les alpha bloqueurs provoquent la contraction du sphincter de la vessie
- Les alpha-bloqueurs causent une augmentation de la libération de la NA par les terminaisons adrénergiques
a,b,f
- A: Le métoprolol est un exemple de bêta-bloqueur
- B: Le phentolamine est un exemple d'alpha-bloqueur
- D: vrai, via une augmentation de la disponibilité du neurotransmetteur
- E: Vrai, en bloquant le récepteur alpha-1
- F: Alpha-bloqueur = relaxation du sphincter de la vessie en bloquant le récepteur alpha-1
- G: Vrai, en bloquant alpha-2 présynaptique (effet sur autorécepteur)
- Le phetolamine permet de traiter l'urgence hypertensive
- Les antagosnistes alpha-1a permettent le traitement de l'HBP (hypertrophie bénigne de la prostate)
- Lorsqu'on bloque les récepteurs alpha-1, il faut faire attention aux crises hypertensives
- Le métoprolol est utile pour le traitement des patients cardiaques
- Un bloqueur du récepteur bêta-2 va provoquer une augmentation de la glycogénolyse
- Le métoprolol permet de diminuer la tension artérielle
- Les bêtabloqueurs peuvent masquer les signes de l'hypoglycémie
c,e
- A: en bloquant les récepteurs alpha-1 et alpha-2
- B: Très spécifique a/n des canaux de la prostate en relâchant les muscles lisses de la prostate
- C: Au contraire, il faut faire attention à l'hypotension orthostatique
- D: Vrai car sélectif pour bêta-1
- E: un blocage des récepteurs bêta-2 diminue la glycogénolyse
- F: Vrai en bloquant bêta 1
Dose qui tue 50% des animaux à 7 jours
Sur deux espèces de mammifères dont un non rongeur
Tératogène
- Vrai
- Faux
a
Sur des volontaires sains seulement
100%
- Vrai
- Faux
b
Leur espérance de vie est habituellement inférieure à 40 ans
5 à 7 demi-vies
Phase II
- Le calcul du nombre de sujets se fait en cours d'étude
- Le médicament est donné à doses répétées
- Il s'agit d'essais multicentriques avec plusieurs centaines de patients
- Les patients sont randomisés en deux groupes
a
- La phase 4 équivaut à la pharmacovigilance
- La phase 3 équivaut à la pharmacoéconomie
- La phase 3 utilise une large population de sujets, y compris les personnes âgées
- La phase 4 permet de détecter les effets indésirables rares
b,c
B: La phase 4 = pharmacovigilance et pharmacoéconomie
C: Les études excluent les personnes âgées et les enfants lors de la phase 3, mais pas la phase 4Phase IV
- Vrai
- Faux
b
Santé Canada s'intéresse à tous les résultats pré-cliniques et cliniques, qu'ils aient été publié au Canada ou ailleurs
- Vrai
- Faux
a
20 ans
- Bon médicament
- Bon patient
- Bonne douleur
- Bonne voie
- Bon moment
- Aucune de ses réponses
c
- Bon médicament
- Bon patient
- Bonne dose
- Bonne voie
- Bon moment
- Absorption
- Sécrétion
- Distribution
- Métabolisme
- Élimination
b
Par la circulation sanguine
- Vrai
- Faux
b
L'élimination peut être rénale, biliaire/intestinale
Pharmacodynamie
Pharmacocinétique
- Vrai
- Faux
a
- Un pro-médicament a besoin d'une première biotransofrmation (premier passage hépatique) afin de devenir actif
- Le médecin est le seul qui peut remplir un formulaire de déclaration des effets indésirables
- L'effet de premier passage résult en une biodisponibilité de 75-80% pour le Félodipine - Plendil
- La félopidine est un substrat important du 3A4
b,c
B: tout le monde peut remplir ce formulaire: médecin, pharmacien, autre professionnel de la santé, consommateur ou autres non-professionnel de la santé
C: La félopidine est un substrat important du 3A4, ainsi sa biotransofrmation lors du premier passage héaptique est très rapide, ce qui diminue sa biodisponibilité à 15-20% environ.- Vrai
- Faux
b
On retrouve seulement les mêmes ingrédients actifs. Les ingrédients inactifs peuvent varier
- S'il ont la même forme galénique
- S'ils contiennent la même dose des mêmes ingrédients actifs
- Si les profils du médicament, de ses métabolites, ou des deux sont semblables
(90%) de 80 -125%
- Vrai
- Faux
a
ULaval:MED-1206/Pharmacologie/Médicaments en vente libre et produits naturels/Questions
- Vrai
- Faux
b
Leur espérance de vie est habituellement inférieure à 40 ans
- Vrai
- Faux
a
Toutefois, il faut faire preuve de jugement clinique; la douleur chronique est une douleur qui prend plus de temps pour guérir que ce à quoi on s'attendrait.
- La douleur chronique est utile
- Les séquelles de cancer causent rarement de la douleur chronique
- La douleur contient un aspect émotionnel, ce qui signifie que l'on ne peut pas la juger
- Une douleur doit absolument être associée à une lésion réelle
c
- Vrai
- Faux
b
La douleur aigue est utile. La douleur chronique ne l'est pas.
- 5%
- 10%
- 20%
- 40%
c
Douleur générée par un stimulus normalement non douloureux. Ex. Un toucher léger cause de la douleur.
Douleur perçue comme anormalement très très très douloureuse.
Sensibilisation périphérique
- L'allodynie est l'apparition d'une douleur provoquée par un stimulus qui ne devrait pas causer de douleur en temps normal
- L'hyperalgésie secondaire se définit par une inflammation neuronale locale que l'on observe après un traumatisme
- L'hyperesthésie se définit par une inflammation neuronale normale
- La douleur fantôme est un exemple d'hyperalgésie secondaire
b,c
- B: ceci est la définition d'une hyperalgésie primaire. Une Hyperalgésie secondaire est caractérisée par une inflammation neuronale à distance lorsque la douleur persiste. Contrairement à l'hyperalgésie primaire, l'hyperalgésie secondaire est pathologique
- C: L'Hyperesthésie est une stimulation qui provoque une sensation beaucoup plus douloureuse que ce qui est attendu
- Nociceptive
- Neuropathique
- Viscérale
- Nociplastique
Neuropathique
- Transduction
- Transmission
- Modulation
- Perception
- La douleur est un phénomène statique
- L'inflammation causée par une activation des nocicepteurs peut provoquer une hyperalgésie primaire
- Les fibres Abêta sont stimulés par la vibration, le mouvement et le toucher léger
- Les fibres C représentent la première sensation de douleur (first pain)
a,d
- A: les signaux provenant de la périphérie peuvent être modulés par des systèmes excitateurs ou inhibiteurs
- D: Fibres adelta = first pain et température. Fibres C= second pain
- Vrai
- Faux
a
Plusieurs structures du cerveau sont impliquées dans la perception de la douleur. Ainsi, s'il est très occupé à se concentrer sur cette douleur, il sera moins attentif
BPI
HADS
PCS
- Le questionnaire BPI est très utile pour les suivis
- Le questionnaire PCS permet d'évaluer la dépression associée à la douleur
a
- B: Le PCS évalue la catastrophisation tandis que la HADS évalue l'anxiété et la dépression associées à la douleur
- Toucher
- Proprioception
- Température
- Nociception (douleur)
- Vrai
- Faux
a
Fibres A-delta
Fibres C
Colonne dorsale
- Thalamus
- Cortex somatosensoriel primaire
- Corne ventrale de la moelle
- Cortex somatosensoriel secondaire
c
- 13%
- 11%
- 8%
- 4%
a
- Vrai
- Faux
b