ULaval:MED-1206/Microbiologie et infectiologie/Questions de l'examen 2
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- Vrai
- Faux
b
La température buccale normale chez les femmes est de 36.9°C alors qu'elle est de 36.7°C chez les hommes
- Le moment de la journée
- Le site où la température est prise
- Le cycle menstruel chez la femme
- L'âge
- Toutes ces réponses sont bonnes
e
0,6°C
- Température du centre «core» pour les viscères et les muscles
- Température en périphérie «shell» pour la peau et les tissus sous-cutanés
- Oreillette droite
- Oesophage
- Vessie
- Membrane tympanique
d
- Vrai
- Faux
b
Elle est plus élevée
- Vrai
- Faux
a
- Élévation disproportionnée de la température corporelle
- Dépasse la capacité du corps à perdre de la chaleur
- Répond aux antipyrétiques
- Peut être causée par un coup de chaleur
- Cycle circadien non détectable
c
- L'hyperpyrexie ne répond pas aux antipyrétiques
- La fièvre est une réponse à un signal donné par l'hypothalamus
- L'hyperpyrexie peut être causée par une hémorragie cérébrale
- L'hyperthermie est une réponse à une bactériémie
b,c
- A= répond partiellement aux antipyrétiques
- D= la fièvre est une réponse à la bactériémie
41,5°C
- Transduction
- Conduction
- Convection
- Radiation
- Évaporation
a
Hypothalamus antérieur (plus précisément la région pré-optique)
- Pyrogènes exogènes
- Cytokines pyrogènes
- Lipopolysaccharides (LPS)
- PGE2
- Toxine TSST-1 du Staphylococcus aureus
- Exotoxines du Streptococcus de groupe A
b
- Vrai
- Faux
a
La production de prostaglandines E2 (PGE2) en périphérie
- IL-1
- JL-6
- TNF-alpha
- CNF
- IFN-gamma
- PGE2
a,c,d,e
- Interleukin-1 (IL-1)
- Interleukin-6 (IL-6)
- Tumornecrosisfactor-alpha (TNF-⍺)
- Ciliaryneurotropicfactor (CNF)
- Interferon-gamma (IFN-ɣ)
IL-6
- 5%
- 13%
- 32%
- 65%
b
- Diminution de la disponibilité du glucose
- Augmentation de l'appétit
- Augmentation de l'anabolisme musculaire
- Perte de poids
b,c
- B= c'est plutôt une anorexie et léthargie
- C= augmentation du catabolisme cellulaire
C'est une phase induite par différents stimuli qui a pour but d'optimiser les défenses de l'organisme en modulant l'inflammation et la réparation des tissus
entre 6 mois et 5 ans
Fièvre d'étiologie indéterminée
Fièvre factice
- Formule sanguine complète (FSC)
- culture d'urine
- Hémoculture x2
- Culture d'autres sites
- Biopsie rénale
- Radiographie des poumons
e
- Formule sanguine complète
- Hémocultures X 2
- Culture d’urine
- Culture d’autres sites
- Radiographie des poumons
- Vrai
- Faux
a
Et avec des sudations profuses lorsque la température baisse
- Anticholinergique
- Acétaminophène
- Aspirine et autres anti-inflammatoires
- Corticostéroïdes
a
- Vrai
- Faux
a
- L'acétaminophène inhibe faiblement la COX-1 et COX-2
- L'aspirine à forte dose est un inhibiteur spécifique à la COX-2
- L'ibuprofène inhibe la COX-1 et COX-2
- Le Naproxen est un inhibiteur spéficique de la COX-2
b,d
- B= L'aspirine à faible dose inhibe la COX-1 et à forte dose inhibe COX-1 et COX-2
- D= Naproxen inhibe COX-1 et COX-2
- Acétaminophène
- AINS
- Aspirine
c
- Douleur épigastrique
- Saignement digestif haut
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
b
C'est la 9e
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Ça permet d'avoir une idée (Gram+ vs Gram -) Mais on va ensuite confirmer avec une culture ou la biologie moléculaire (PCR)
- Vrai
- Faux
b
Les Gram + sont souvent des cocci, alors que les Gram - sont habituellement des bacilles
- Entérobactéries
- Staphylococcus
- Streptococcus
- Bacilles non fermentaires
- Anaérobies
- Entérococcus
b,c,f
- Gram +
- Gram -
a
- Gram +
- Gram -
b
Coloration de Gram
- Rose
- Mauve
b
- Entérobactérie
- Staphylococcus
- Streptococcus
- Enterococcus
a
- La culture permet d'identifier l'agent pathogène
- L'identification par culture prend environ 48 minutes
- Les bactéries intracellulaires ou atypiques sont plus fastidieuses
- L'incubation peut être en milieu aérobique ou anaérobique
a,c,d
- B= 48 heures
- Vrai
- Faux
b
Ce sont des bactéries dites fastidieuses
- Vancomycine ou Daptomycine
- Bêta-lactamines
a
- Gram +
- Gram -
- Intracellulaires/atypiques
- Anaérobies
a
- Gram +
- Gram -
- Intracellulaires/atypiques
- Anaérobies
c
- Gram +
- Gram -
- Intracellulaires/atypiques
- Anaérobies
b
- Gram +
- Gram -
- Intracellulaires/atypiques
- Anaérobies
d
- Vrai
- Faux
a
On ne fait qu'inhiber leur croissance sans les tuer
- Vrai
- Faux
b
Faux
On s'en sert pour des infections sévères comme la méningite/ endocardite/ bactériémie, etc.
- Le spectre étroit d'activité des antibiotiques permet un traitement empirique selon le syndrome infectieux
- On utilise un spectre d'activité étroit quand on connait l'agent pathogène
- Le spectre étendu permet de traiter des infection polymicrobienne
- On se sert des ATBs à spectre étroit lorsqu'on n'a pas encore reçu les résultats de la culture
a,d
- A= Spectre étroit = traitement spécifique. Spectre étendu = traitement empririque
- Orale
- Intraveineuse
- Intramusculaire
- Paroi
- Capsule
- ARN polymérase
- Acides foliques
b
- Les B-lactamines ciblent la synthèse de la paroi
- Les quinolones ciblent la synthèse protéique 50S
- La clindamycin cible la synthèse protéique 50S
- Les Aminosides ciblent la synthèse protéique 30S
- Les Polymyxine ciblent la membrane
- Les macrolides ciblent l'ADN polymérase
- La Rifampin cible l'ADN polymérase
a,c,d,e
- B= Les quinolones ciblent l'ADN gyrase et topoisomérase
- F= les macrolides ciblent la synthèse protéique 50S
- G= Le Rifampin cible l'ARN polymérase
- Les glycopeptides ciblent l'ARN polymérase
- L'acide folique est ciblée par la TMP-SMX
- Les Macrolides et la clindamycin ciblent l'ADN gyrase
- Les quinolones cibles l'ADN gyrase
- La Rifampin cible l'ARN polymérase
- La polymyxine cible la membrane
b,d,e,f
- A= Les glycopeptides ciblent la synthèse de la paroi bactérienne, tout comme les B-lactamines
- C= Les macrolides, la clindamycin, l'oxazolidinone et la Quinupristin-Dalfo ciblent la synthèse protéique 50S
- Pénicillines
- Céphalosporines
- Carbapénèmes
- Monobactame
- Clindamycine
e
- Pénicillines naturelles
- Pénicillines anti-staphylococciques
- Pénicillines streptokinétiques
- Aminopénicillines
- Pénicillines à large spectre
c
- Spectre d'action large
- Sensibles aux bêta-lactamases
- Ont une action contre streptococcus
- Utilisées pour traiter la gangrène à Clostridium
a
- Elles sont utilisées contre les SARM
- Elles sont utilisées contre les bactéries à Gram + seulement
- Elles peuvent être utilisées pour la Pharyngite à SGA
- Elles sont utiles contre la Syphilis
- Elles ne sont administrés que PO
- Elles inhibent la synthèse de la paroi bactérienne
a,b,e
- A= SARM= B-lactamase donc résistants aux B-lactamines
- B= elles ont surtout un effet sur les streptococcus mais vont aussi attaquer quelques Gram - comme la Neisseria sp
- D= vrai pour ceux administrés IM
- Administration IV, PO ou IM
- Sont efficaces contre le streptococcus et staphylococcus
- La Cloxacilline IV traverse la barrière hémato-encéphalique
- La forme orale de la Cloxacilline a une mauvaise absorption
- Sont efficaces contre les bactéries multi-résistantes
- Elles inhibent la synthèse de la paroi bactérienne
d
- Vrai
- Faux
a
- Elles inhibent la synthèse protéique
- Elles peuvent être utilisées pour la méningite à Listeria
- Elles sont utiles contre la pneumonie à S.pneumoniae
- Elles seront utilisées contre toutes les infections aux entérobactéries
a,d
- A= C'est une B-lactamine = inhibition de la synthèse de la paroi bactérienne
- D= Elles sont utiles contre les infection à entérococcus. Elles auront un effet contre certaines entérobactéries mais pas toutes
Pénicillines à large spectre
- La pénicilline naturelle est efficace contre les infections à entérococcus
- Les aminopéniccillines sont utilisés pour les infection aux staphylococcus
- Les aminopénicillines sont utilisées contre la méningite à Listeria
- Les pénicillines à large spectre sont administrées po
- Les aminopénicillines et les pénicillines à large spectre ont un effet sur les entérobactéries
- Les pénicillines à large spectre sont utilisées comme ATB de 2e ligne
- La forme PO des pénicillines anti-staphylococciques s'absorbe mal
a,b,d,f
- A= Entérococcus traitée par aminopénicilline
- B= Ce sont les pénicillines anti-staphylococcus qui sont utilisées pour les infections aux staph.
- D= Elles ne sont qu'administrées par IV
- F = troisième ligne. C'est un traitement empirique lors d'une infection sévère ou polymicrobienne
Parce que ces deux substances sont des inhibiteur de ß-lactamase. Elles empêchent donc les ß-lactamase de dégrader les ß-lactamines des l'antibiotiques.
- Vrai
- Faux
b
Il y a 5 générations de céphalosporines et aucune d'entre elle n'est efficace contre l'enterococcus
- Vrai
- Faux
b
C'est le contraire. Plus on monte de génération plus on couvre les Gram - mais on perd l'efficacité contre les Gram +
- Ils traversent la BHE
- Ils sont utilisés contre les infections de la peau et les tissus mous
- Ils sont utiles contre les infections urinaires
- Ils sont utiles contre les S.pneumoniae
- Ils sont utiles contre les streptococcus et staphylococcus
- Ils inhibent la synthèse de la paroi cellulaire
- Ils sont utilisés pour les infections des os et des articulation
b,e,f,g
- En plus des streptococcus et staphylococcus, ils ont un effet sur la S.pneumoniae
- Ils sont utilisés lors des pneumonies
- Au niveau des bactéries Gram -, plus des entérobactéries, ils ont un effet sur l'Haemophilus et la Moraxella
- Ils sont utilisés contre les infections à pseudomonas
- Ils sont utiles lors des otites et sinusites
- Leur effet est seulement contre les bactéries aérobies
a,b,c,e
- F= le deuxième groupe a un effet sur les bactéries anaérobies (Cefamycines)
- C'est la première génération à avoir une action contre le pseudomonas
- Comme on couvre plus de bactéries à Gram +, ils sont peu utiles lors des infections urinaires
- Ils sont peu utiles pour les méningites
- Ils attaquent la membrane cellulaire des bactéries
- Ils ont un effet contre la Gonorrhée
a,e
- B= au contraire, on couvre plus de bactéries à Gram - donc ils sont plus utiles contre les infections urinaires
- C= La forme IV traverse la BHE, donc elle est utilisée contre la méningite bactérienne
- D= Nous sommes toujours dans les B-lactamines. Leur effet est donc contre la paroi bactérienne
- 1ere génération
- 2e génération
- 3e génération
- 4e génération
- 5e génération
c
- 1ere génération
- 2e génération
- 3e génération
- 4e génération
- 5e génération
e
- Vrai
- Faux
b
Faux
Cet ATB ne traite que les bactéries à Gram -. Toutefois, les infections de la peau sont surtout causées par les bactéries Gram + (Staph et Strept.). Cet ATB n'est donc pas une bonne option pour ce type d'infection.
- On va plutôt s'en servir contre les entérobactéries et la Pseudomonas
- Anti-Gram négatif aérobie pur
- Anti-Gram positif anérobie pur
- Anti-Gram négatif anaérobie pur
- Anti-Gram positif aérobie pur
a
- C'est un agent de 3e ligne car c'est un traitement empirique lors d'une infection sévère
- La Carbapénème est très utile contre les Pseudomonas
- Les carbapénèmes est à spectre très étendue
- Les carbapénèmes inhibent l'ARN polymérase
a,c
- B= La pseudomonas a développé un mécanisme qui altère la perméabilité cellulaire par perte de porine ce qui la rend résistante contre la Carbapénème (si pas de porine, l'ATB ne peut pas entrer)
- D= On est encore dans les B-lactamines. Sont effet est plutôt une inhibition de la synthèse de la paroi bactérienne
- Vrai
- Faux
b
Ce sont des agents de troisième ligne pour des infections sévères ou polymicrobiennes.
- La vancomycine IV a un effet sur les GRAM-positif, dont le SARM
- La vancomycine PO est très utilisée contre les infections de la peau
- C'est un agent de 1ère ligne
- La Vancomycine va inhiber la synthèse de la paroi bactérienne
a,d
- B= Non, puisqu'elle n'est pas absorbée. Elle a un effet contre la colite à C.difficile par contre (elle va rester dans le tube digestif)
- C= Il y a plusieurs effets secondaires (red man syndrome et néphrotoxicité). On va seulement s'en servir si le patient développe des allergies aux ATBs de première ligne ou si on fait face à un SARM
- D= oui, c'est un glycopeptide.
- Anti-Gram postif pur
- Toutes les souches de SARM y sont résistantes
- La forme orale n'est pas absorbée
- Est néphrotoxique
b
- Vrai
- Faux
b
Les glycopeptides (et B-lactamines) inhibent la synthèse de la paroi bactérienne. Les Lipopeptides, comme la Daptomycine, inhibent la membrane bactérienne
- C'est un ATB utilisé lors des pneumonies à SARM
- Il est efficace contre le SARM, mais pas L'ERV
- C'est un agent de 3e ligne
- Il fait partie des lipopeptides, donc à son effet par inhibition de la synthèse de la membrane bactérienne
- Il est utile contre la bactériémie et l'endorcardite
- Il est peu utile contre les infection de la peau et les tissus mous
- Il peut causer la rhabdomyolyse et une augmentation des CK
c,d,e,g
- A= Il est contre-indiqué en pneumonie
- B= anti-Gram + pur dont le SARM et l'ERV
- E= oui, ce sont les effets de L'ERV (à noter qu'il ressemble beaucoup à la vancomycine, mais il agit en plus contre l'ERV)
- F= c'est un anti-Gram + pur [dont le SARM (et ERV)]. Il est donc utile contre les infections de la peau/ tissus mous/ ostéoarticulaire
- SARM
- ERV
- 1)B-Lactamine 2)Daptomycine 3)Vancomycine
- 1)Vancomycine 2)B-Lactamine 3)Daptomycine
- 1)B-Lactamine 2)Vancomycine 3)Daptomycine
- 1)Daptomycine 2)B-Lactamine 3)vancomycine
c
- Ils inhibent la synthèse des acides nucléiques
- La voie PO n'est pas absorbée
- Ce sont des ATBs à large spectre
- La cipro est à privilégier pour l'infection urinaire
- Ce sont les premiers ATBs qui ont un effet contre les bactéries intracellulaire / atypiques
a,c,e
- A= vrai, agit sur ADN gyrase
- B= PO excellente absorption et biodisponibilité (PO= IV)
- D= oui la cipro permet de traiter l'infection urinaire, mais il est à très large spectre. On serait mieux d'utiliser les cépahlos de 3e génération. Les quinolones sont des agents de 3e/ 4e ligne
- Vrai
- Faux
a
Les deux sont efficaces contre la colite à C.difficile
- Il inhibent la synthèse d'acide nucléique
- Ils sont utiles contre les infection urinaires
- Ils sont utilisés contre les infections à Staphylococcus
- Les SARM sont résistants à ces ATBs
- Ils ont également une activité antiparasitaire et antifungique
- Ils peuvent causer une hyperkaliémie et une allergie de type 4
b,c,e,f
- A= Ils inhibent la synthèse d'acide folique
- B= Vrai, ils ont un effet contre les entérobactéries (à noter que ces ATBs seraient aussi un meilleur choix contre l'infection urinaire que la Cipro)
- D= Ils sont efficaces contre les SARM
- F= effets 2° : IRA, hyperkaliémie, allergie de type 4
- Quinolones
- Metronidazole
- Agents de deuxième ligne
- Dirigés contre les coccis Gram +
- Excellente absorption et biodisponibilité
- L'allongement du QT et la rupture du tendon d'Achille sont des effets secondaires possibles
b
- Néphrotoxicité
- Ototoxicité
Metronidazole
- Ils sont très efficaces contre les infections de la peau
- Les Aminosides, combinés aux B-Lactamines, peuvent avoir un effet contre l'endocardite
- Ils sont efficaces contres les pseudomonas
- Ils sont administrés PO
- Leurs effets secondaires est la néphrotoxicité et ototoxicité
b,c,e
- A= c'est un ATB anti-Gram -. Comme les infections de la peau et les tissus mous sont causés par des Gram+, les aminosides sont peu efficaces lors de ce type d'infection
- B= en effet, les B-lactamine détruisent la paroi des entérococcus et les aminsides vont entrer dans cette bactérie pour inhiber la synthèse des protéines via son action sur la sous-unité 30S
- D= administrés IV
- Les macrolides et les quinolones ont un effet sur les bactéries atypiques
- Il sont utilisés contre les infections respiratoires
- Ils sont utiles contre les ITSS (chalmydia)
- L'érythromycine est généralement bien tolérée
- Il faut surveiller l'allongement du segment QT à l'ECG
- Inhibent la synthèse de la paroi cellulaire
a,b,c,e
- F= Inhibent la synthèse protéique par son action sur la sous-unité 50S
- Anti-Gram négatif
- Anti-Gram positif
b
- Elle inhibe la synthèse protéique par son action sur la sous-unité 50S
- Elle est efficace contre les infections urinaires
- Elle est utile contre les infections de la peau des des tissus mous
- C'est un agent de première ligne
- Peut causer des diarrhées
a,c,e
- B= Action sur les Gram + (staph et strept.) donc utile contre les infections de la peau et les tissus mous mais pas contre les infections urinaires (qui sont surtout causées par les Gram -)
- D= agent de 2e ligne si allergie aux B-lactamines
Carbapénémase
- Gram +
- Gram -
b
- Gram +
- Gram -
a
- Vrai
- Faux
b
Il peut aussi infecter des individus sains vivant dans la communauté
- Les S.aureus colonisent l'humain de façon intermittente
- Le S.aureus cause des infections post-op
- Le S.aurus affect seulement la peau et les tissus mous
- Le S.aureus peut causer a bactériémie, des pneumonies et des endocardites
- C'est des bacilles qui s'arrangent en grappe ou amas
- C'est une bactérie qui ne peut pas survivre à la chaleur ou la sécheresse
c,e,f
- C= affectent aussi les os et articulations
- E= ce sont des cocci qui se tiennent en grappes ou en amas
- F= Elle survit à la chaleur, la sécheresse et en milieu salé
- A un arrangement en grappe ou en amas
- Bactérie Gram négatif
- Catalase positive
- Aussi appelé Staphylocoque doré
b
- Vrai
- Faux
a
- Staphylococcus lugdunensis
- Staphylococcus epidermidis
- Staphylococcus saprophyticus
a
- Staphylococcus lugdunensis
- Staphylococcus epidermidis
- Staphylococcus saprophyticus
c
- Staphylococcus lugdunensis
- Staphylococcus epidermidis
- Staphylococcus saprophyticus
b
- L'Acide teichoïque (AT) permet l'inflammation
- Les acides lipoteichoïques (ALT) permettent l'adhésion des enzymes à la paroi
- Les acides teichoïques permettent le métabolisme
- Les peptidoglycans sont reconnus par le système immunitaire
a,b
- A= C'est l'ALT qui cause l'inflammation
- B= C'est l'AT qui permet l'adhésion
Protéine A
10 couches
- α
- β
- γ
- δ
c
- α
- β
- γ
- δ
b
- α
- β
- γ
- δ
a
- La leucocidine provoque des dommages aux globules blancs
- La sphingomyélinase se polymérise sur la membrane des eucaryotes pour créer des pores
- Les leucocidine de Panton Valentine cause souvent des ostéites
- La leucocidine de Panton Valentine cause des infections cutanées
- La leucocidine de Panton Valentine cause des pneumonies nécrosantes sévères
a,d,e
- B= c'est l'alpha-hémolysine qui fait ca. La sphingomyélinase altère le contenu lipidique des membranes par destruction enzymatique
- C= Les leucocidine de Panton Valentine cause rarement des ostéites, endocardites ou bactériémie
- Leucocidine de Panton Valentine
- Leucocidine de Panton Macdonald
- Leucocidine de Panton Ashton
a
Entérotoxine A
- Forme généralisée
- Forme localisée
a
- Forme généralisée
- Forme localisée
b
- La toxine exfoliative A est dans le phage, tandis que la toxine exfoliative B est dans le plasmide
- La sécrétion se fait au niveau des muqueuses ou de la peau, puis il y a dissémination dans l'organisme
- environ 25% des S.aureus sont porteurs de la toxine
- La forme localisée donne un syndrome Impetigo Bulleux
c
- C= <2% sont porteurs de la toxine
- Il active les lymphocytes T en passant par la cellule présentatrice d'antigène
- Peuvent induire une prolifération non-spécifique des lymphocytes T
- Le superantigène provoque une réponse inflammatoire exagérée
- Peut provoquer une atteinte multi-organique
- Les anticorps n'ont aucun effet sur les TSST-1
- La production de TSST-1 se fait de manière systémique afin de provoquer un choc toxique
b,c,d
- A= ne passe pas par la voie normale des CPA
- E= Ac est normalement protecteur
- F = production locale et dissémination dans l'organisme par la suite
TSST-1
- Staphylokinase
- Streptokinase
- β-lactamase
- Hyaluronidase
- Coagulase
- Lipase
b
- Péniciline
- Méthicilline
- Vancomycine
- Clindamycine
d
Clindamycine
- La coagulase cause la fibrinolyse
- La lipase permet la colonisation et l'invasion
- l'Hyaluronidase hydrolyse l'acide hyaluronique présent dans le tissu conjonctif pour progresser l"infection cutanée
- La B-lactamase hydrolyse l'anneau B-lactame des ATB de cette famille
b,c,d
- A= la coagulase agit sur la prothrombine pour provoquer la coagulation. La staphylokinase cause la fibrinolyse
- Impétigo
- Furoncles
- Carboncules
- Hydradénite suppurée
a
- L'impétigo affecte l'épiderme
- La folliculite affecte le derme superficiel (et follicule pileux)
- La cellulite et l'erysipèle affectent les tissus sous-cutanés
- Vrai
- Faux
b
C'est causé à 80 % par S.aureus et 20% par S.pyogenes
Carboncule
- Erysipèle
- Cellulite
- Lymphangite
- Furoncle
a
- Vrai
- Faux
a
50-70%
- Microbiologique
- Radiologique
- Vrai
- Faux
a
30% acquises à l'hôpital vs 10% communautaires
- Fièvre
- Diarrhée
- Hypertension
- Myalgies
c
- Hémoculture
- Culture du site initial
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
b
remplacement liquidien
- Vancomycine ou Daptomycine
- Bêta-lactamines
a
- Gram +
- Gram -
- Intracellulaires/atypiques
- Anaérobies
a
- Pays en voie de développement
- Pays industrialisés
a
- Ils font partie de la famille des entérobactéries
- Ils fermentent le glucose et réduisent les nitrates en nitrites
- Ils sont absents dans l'eau mais présents dans le sol
- Ils vivent dans des plantes
- Si on les retrouve parmi la flore chez l'humain, ceci n'est pas normal
c,e
- C= présent dans eau et sol
- E= Ils existent dans la flore des humains et animaux, surtout dans les intestins
- Vrai
- Faux
b
- Gram négatif
- Sa culture est difficile
- Bacille à bouts arrondis
- Mobile
b
- Sa culture est facile et se fait dans les températures de 32 à 40°C
- La gélose de MacConkey permet d'être sélectif pour les bactéries à Gram +
- L'E.coli est une bactérie anaérobie stricte ou aérotolérant
- Ce sont des bactéries à taille moyenne et mobiles
a,d
- B= MacConkey est sélectif pour les bactéries à GRAM - (Sels biliaires et le crystal violet inhibe les Gram +) et différentiel pour ceux qui fermentent le lactose
- C = c'est une bactérie Aérobie ou anaérobie facultatif (bref ils préfèrent l'oxygène ou en ont besoin pour vivre)
Gélose MacConkey
- Le lipide A contient une fraction riche en glucosamine et c'est cette portion qui est responsable du choc endotoxique
- Le core du LPS est une séquence répétée de polysaccharides qui permet d'identifier les souches de bactéries
- Le LPS est le feuillet externe de la paroi
- La paroi de peptidoglycan est beaucoup plus petite comparée aux bactéries Gram +
- L'antigène O des chaînes polysaccharidiques du LPS permet d,Identifier les souches de Gram -
a,b
- A= Le lipide A a une fraction riche en glucosamine, mais c'est la fraction toxique qui est responsable du choc endotoxique
- B= Le core du LPS est relativement semblable d'une bactérie Gram - à l'autre
- Lipide A
- Core
- Antigène O
a
- Lipide A
- Core
- Antigène O
c
- L'endotoxine agit par action indirecte seulement
- Son action indirecte agit par sa reconnaissance par le système immunitaire
- Une faible quantité peut provoquer une hypotension
- Une grande quantité provoque une coagulation vasculaire disséminée par la marginalisation des PMNs et plaquettes
a,c
- A= elle peut aussi agir de manière directe grâce à l'hémolysine
- C= une petite quantité cause la fièvre. Une grande quantité amène une hypotension
- Elle provoque une diarrhée
- La toxine est sous contrôle plasmidique
- Le plasmide ne peut pas être transféré à une autre bactérie
- La toxine ST est labile à la chaleur
c,d
- C= plasmide transférable
- D= la toxine ST est stable à la chaleur. La toxine LT est labile (donc est sensible à la chaleur)
- Elle survit à 100°C pour 30 minutes
- Sont action est exercée sur les hépatocytes
- Elle provoque une sécrétion de liquide
- Son activité est hyper-absorbante
b,d
- A= vrai, tandis que la LT est détruite à 65°C après 30 min
- B= elle n'exerce son action que sur les entérocytes
- D= activité anti-absorbante
- Heat-Labile toxin (LT)
- Heat-Stable Toxin (ST)
a
- Le vaccin contre le choléra offre une protection croisée à la toxine LT
- Elle empêche directement l'absorption de Na et d'eau
- Elle provoque une perte de liquides et d'électrolytes
- elle survit à 100°C
a,c
- B= En fait elle provoque une sécrétion de Cl. Ainsi, le Na et l'eau suivent. Mais elle ne va pas empêcher l'absorption de ceux-ci.
- Elle interfère avec la protéolyse
- Elle est la principale cause de cirrhose hépatique aigue chez les jeunes enfants
- Elle cause une ischémie par thrombose des petits vaisseaux
- L'intestin des jeunes vaches est un bon réservoir
a,b
- A= Elle interfère avec la synthèse protéique
- B= Elle attaque les cellules endothéliales rénales et intestinales. C'est la principale cause d'insuffisance rénale aiguë chez les jeunes enfants
- Hémolysine
- Hémagglutinines
- Leucocidine
- Toxine exfoliative A et B
a,c
- B= seulement chez E.coli
- D= Seulement S.aureus
- Vrai
- Faux
a
- Une bactériurie est significative lorsque le patient présente des symptômes avec >10^8 bactéries/L
- L'E.coli fait partie des principaux pathogènes de l'infection urinaire
- La cystite cause des signes systémiques
- La pyélonéphrite cause de la fièvre
a,c
- A= il est possible d'avoir une bactériurie asymptomatique
- C= comme c'est une inflammation de la vessie, elle cause des signes et symptômes spécifique au système urinaire (dysurie, nycturie, urgence mictionnelle, sensibilité sus-pubiennes, hématurie macriscopique) mais pas de signes systémiques
- Vrai
- Faux
b
Pas de signes systémiques dans la cystite
- La pathogenèse se fait par voie hématogène ou voie descendante
- On les traite par antibiotiques
- On les traite avec prophylactiques
- Toutes les infections urinaires causent généralement une anurie
b,c
- A= par voie ascendante ou hématogène
- D= C'est plutôt une dysurie ou pollakiurie (on urine souvent, mais pas beaucoup)
- La septicémie peut avoir une origine dans le système respiratoire
- C'est une maladie nosocomiale et ne peut donc pas être acquise en communauté
- Elle peut causer une hyperventilation et une hypothermie
- Le diagnostic se fait cliniquement et avec des hémocultures
- On ne traite pas la septicémie par antibiotiques
- La septicémie peut causer une méningite
b,e
- A= vrai. La septicémie a plusieurs origines possibles (système respiratoire, peau, système génito-urinaire, digestif)
- B= elle est nosocomiale mais peut aussi être acquise en communauté
- C= vrai, en plus de causer une fièvre et altérer l'état de conscience
- F= vrai. La méningite peut aussi être causée lors d'un trauma crânien ou néonatale
- L'E.coli est responsable d'environ 25% des cas
- Seulement la toxine ST cause la diarrhée du voyageur
- C'est une infection entérotoxinogène (ETEC)
- Elle provoque une diarrhée avec présence de sang
- Elle provoque des signes systémiques qu'on traite par antibiotiques
- Elle dure 1 à 5 jours
- On fait des tests de routine au labo pour le diagnostic
c,f
- A= E.coli est responsable de plus de la moitié des cas
- B= toxine ST et LT (en gros les deux provoquent une sécrétion d'eau dans la lumière du petit intestin. Soit en sécrétant le Cl- par la toxine LT (donc Na et eau suivent) ou par une action anti-absorbante de la toxine ST)
- E= ø signes systémiques, ø antibiotiques
- G= le diagnostic se fait cliniquement. Aucune test de routine au labo.
- Elle utilise les mêmes mécnaismes que la Shigella
- Elle survient en épidémie
- Toutefois, elle ne peut pas envahir la muqueuse du gros intestin
- Elle provoque des selles sanguignolentes
- Contrairement à la diarrhée du voyageur, on fait des tests de routine au labo pour l'E.coli entéroinvasif
- On traite avec réhydratation
c,e
- E= aucun test de routine. Ni pour la diarrhée du voyageur, ni pour l'entéroinvasif
Shigelle
- Elle est présente dans la viande hachée pas assez cuite, dans le lait cru et/ou dans l'eau contaminée
- La toxine est portée par un bactériophage et inhibe la synthèse protéique
- Elle induit la lyse de la cellule d'E.coli
- Tout comme la diarrhée du voyageur, il n'y a aucun sang dans les selles
- Elle cause de la fièvre
- Peut causer des convulsions et même le coma
- S'il n'y a pas de présence d'E.coli 0157:H7, on peut exclure ce diagnotic
d,e, g
- D= elle provoque une diarrhée acqueuse qui peut être hémorragique
- G= Cette E.coli est présente dans moins de 50% des cas
- La mort des cellules de la muqueuse et endothéliales cause le syndrome hémolytique urémique (SHU) et la purpura thrombocytopénique thrombique (PTT)
- Si on trouve la vérotoxine, on peut garantir qu'il sagit de l'E.coli entérohémorragique
- On traite par réhydratation et antibiotiques
- Elle peut causer des dcès dans 5% des cas
a,d
- A= C'est le SHU qui cause l'IRA en pédiatrie et la PTT qui cause l'ischémie par thrombose des petits vaisseaux
- B= il faut que la culture puisse distinguer de la shigelle qui possède la même toxine
- C= on traite les complications et la déshydratation, mais on ne donne pas d'antibiotiques
- Syndrome hémolytique urémique (principale cause d'IRA en pédiatrie)
- Purpura thrombocytopénique thrombotique (par coagulation vasculaire disséminée qui cause une ischémie thrombotique des petits vaisseaux)
- Vrai
- Faux
b
- Parasite à l'état adulte
- Parasite à l'état de larve
- Parasite habituellement retrouvé chez une autre espèce
b
- Un hôte définitif est le terme utilisé lorsque le parasite a pu faire son cycle complet dans l'organisme et atteint donc l'état adulte
- Un hôte intermédiaire est les terme désignant un organisme dans lequel les parasites se multiplient entre les transmissions et infections
- Un hôte accidentel correspond à une parasitose observée chez une autre espèce
- Un réservoir correspond à un parasite qui n'a pas complété son cycle chez l'hôte et qui y reste donc comme une larve.
b,d
- B: ceci est la description du réservoir
- D: Ceci est la description de l'hôte intermédiaire
Réservoir
- Vrai
- Faux
b
Certaines parasitoses comme la giardiase et l'oxyure sont d'acquisition locale.
- Voie fécale-orale
- Contact direct et indirect
- Vecteurs
- PCR
- Sérologie
- Détection d'antigènes
- Microscopie des selles
d
- Vrai
- Faux
a
- PCR
- Clinique
- Détection d'antigènes
- Microscopie des selles
b
- Vrai
- Faux
b
L'éosinophilie n'est pas retrouvée en cas de parasitose cutanée ou intestinale.
- Gale
- Punaise
- Pou
- Larve de mouche
a
- Le diagnostic se fait par microscopie des raclures de peau
- Implique des mites de la peau humaine
- Peu contagieuse
- Les parasites se reproduisent dans des sillons creusés sous la peau
- Il y a 300M nouveaux cas/ année
c
- Fait partie des Arachnides (ectobactérie)
- Les personnes les plus vulnérables sont celles avec un niveau socioéconomique faible ou qui vivent dans des logements surpeuplés
- La transmission se fait par contact personne - personne
- Il atteignent régulièrement le creux poplité et le cou
- Ces parasites se reproduisent dans les sillons qu'elles ont creusés sous la peau.
- Le symptôme principal est la prurit cutané
- Le diagnostic se fait par une culture de selles
d,g
- D: La gale atteint plus souvent les poignets, les sillons interdigitaux, le nombril, le bas du dos, les fesses/ organes génitaux et les aisselles/ seins
- G: le diagnostic se fait par microscopie sur raclures de peau
La permethrine 5% (Traitement topique)
- Arachnides
- Protozoaires
- Helminthes
- Microsporidies
- Chromistes
a
- Par leur morphologie
- Par leur mode de locomotion
- Ils ne sont pas classés
b
- Vrai
- Faux
a
Vrai
*Flagellés= flagelles
- Cilliés = cils
- Sporozoaires = immobiles (intra¢R)
- Peut causer des abcès du foie
- Cause fréquente de diarrhée au retour de voyage lors de séjour court
- 90% des patients sont asymptomatiques
- Tous les cas doivent être traités
- Période d'incubation de plusieurs jours à mois
- Le diagnostic se fait par microscopie sur selle fraîche ou fixée
- Il y a 500M nouveaux cas par année
b
- D: Vrai, donc on ne traite pas seulement les 10% qui sont symptomatiques
- Fait partie des amibes libres
- C'est le seul vrai pathogène
- On les retrouve surtout en Amérique du nord et la Russie
- C'est la 10e cause de décès par parositose
- Il est possible qu'elle migre pour donner des formes extraintestinales, comme le foie
- La forme active se nomme kyste
- La transmission se fait fécale-orale
a,c,d,f
- A= c'est un parositose intestinal de la classe des amibes
- B= vrai, ceci signifie que les autres sont porteurs mais ne développent pas l'infection
- C= on les retrouve surtout dans les régions tropicales et subtropicales (Amérique latine, Afrique et Asie du Sud)
- D= C'est la 2e cause de décès par parositose
- F= La forme active se nomme trophozoïte et la forme de dissémination se nomme kyste
On traite la forme active avec Metronidazole x7-10 jours , puis les kystes par la suite avec le paramomycine x7 jours
- Vrai
- Faux
b
La Paramomycine est active contre les kystes. C'est la Metronidazole qui est actice contre les trophozoïtes
- C'est une parositose qui fait partie de la classe des amibes intestinaux
- C'est la plus fréquente rencontrée en Amérique du Nord
- Tout comme la Entamoeba hystolytica, la Giardia lamblia a une forme active (trophozoïte) et une forme inactive (kyste)
- Elle se transmet par voie fécale-orale
- Le diagnostic se fait par selle fraiche
- le traitement utilisé est le Metronidazole, tout comme pour les trophozoïte avec l'Entamoeba hystolytica.
a,e
- A= Parositose intestinale qui fait partie de la classe des flagellés
- E= Microscopie avec selle fixée
- F= vrai, et on traite tant les patients symptomatiques que asymptomatiques
- Peut être contracté au Québec
- Transmission par aérosol
- Le castor en est le réservoir
- Affecte l'intestin grêle
- Une forme chronique est possible
b
Transmission fécale-orale
- D= vrai, donc N° et V°, crampes abdo, diarrhée, stéatorrhée + odeur, Flatulences
>200M
- P. falciparum
- P. vivax
- P. ovale
- P. japonicum
- P. malariae
d
- Gamétocyte
- Sporozoite
- Schizont
- Trophozoite
Truc: GaSPard CHique TROp
- Gamétocyte= forme Germinative ingérée par les moustiques
- Sporozoite = forme injectée par les moustiques
- Schizont = forme de dissémination
- Trophozoite = forme mature
8-25 jours jusqu'à plusieurs mois
- La malaria peut provoquer de la fièvre, des sudations, des céphalées
- Seule la diarrhée est possible
- La faiblesse, les malaises, les myalgies/arthralgies sont également possibles
- Il n'atteint pas le système nerveux
- Lors d'infection sévère, on peut observer une détresse respiratoire et une hémorragie
- Les hommes de 45 ans correspond à la population à risque de développer une infection sévère
a,c,e
- B= diarrhée ou constipation avec crampes abdominales
- D= Atteinte neurologique possible lors de l'infection sévère souvent par la P.falciparum
- F= Personnes à risque sont les immunosupprimés, les non-immuns, les femmes enceintes et les enfants
- Vrai
- Faux
b
Elle peut apparaître jusqu'à 3 mois depuis le retour de voyage
Hépatocytes (passage dans ¢ du foie qui passe innaperçu) et érythrocytes (atteinte sanguine, forme symptomatique)
- Frottis sanguin
- Clinique
- Détection d'antigènes
- Microscopie des selles
a
Car c'est une parositose sanguine. Le frottis sanguin peut etre mince (plus précis) ou fait sur une goutte épaisse (pour voir plus de parasites
Ensuite on va faire une détection antigénique- Vrai
- Faux
b
Il s'agit d'une urgence médicale!
Artesunate IV
- Par leur morphologie
- Par leur mode de locomotion
- Ils ne sont pas classés
a
- Les Nématodes sont les vers ronds
- Les Trématodes sont des vers plats segmentés
- Si la malaria est sévère, on la traite avec l'Artesunate IV
- Les Helminthes sont classés selon leur morphologie, tout comme les protozoaires
b,d
- B= Ce sont des vers plats non segmentés. Les Cestodes sont les vers plats segmentés
- D= Les Helmonthes sont classés selon leur morphologie, mais les protozoaires sont classés selon leur mode de locomotion
- Maladie causée par Enterobius vermicularis
- Deux formes: vers adultes et oeufs
- La microscopie des selles est la méthode diagnostique de référence
- Peut entraîner du prurit anal
c
- Cause l'Oxyure
- C'est une parasitose intestinale de la classe des nématodes (vers ronds)
- Tout comme la Giarda et la gale, on les retrouvent surtout dans les zones tempérées (donc pas besoin de voyager pour l'avoir)
- Les gens affectés présentent tous un prurit anal
- La transmission peut se faire par fécale orale, contact direct ou aérienne
- L'Enterobius vermicularis cause une éosinophilie
- Les gens sont soit asymptomatiques ou vont avoir un prurit anal
d,f
- D= Il est possible d'être asymptomatique, de présenter un prurit anal ou d'avoir des symptomes digestifs si l'infection est plus sévère (N°/ V°/ diarrhée, etc.)
- F=Comme c'est une parasitose intestinale, il n'y a pas d'éosinophiles dans le sang
On traite tout le monde atteint par antiparasitaire avec action contre les nématodes
- Mebendaxole
- Albendazole
- Pyrantel
- Il fait partie de la classe des Cestodes
- Un humain comme hôte définitif va avoir une infection du tractus digestif et va avoir des vers matures
- Un humain comme hôte intermédiaire va avoir une infection extra-intestinale et va avoir des vers matures
- Cause des convulsions par lésions intracérébrales
- Il peut avoir la forme de vers adulte, cysticerques, oeuf
- La transmission se fait par contact indirect
c,f
- C= ce sont des larves chez l'hôte intermédiaire qui causent des infections extra-intestinales
- F= fécale-orale
Cysticerques
- Vrai
- Faux
a
on traite les pts symptomatiques par
- combinaison antiparasitaires
- corticostéroïdes
- anti-convulsivants
- Il peut avoir des formes intestinales et urinaires selon les espèces (celles-ci rattachées à différents endroits dans le monde)
- Ce sont des trématodes (vers plats non segmentés)
- La forme adulte est en faite la combinaison de deux vers, un mâle et une femelle
- ils se transmettent de manière fécale-orale
d
- D= trans-cutané
- Elle est causée par la Schistosoma spp
- elle est auto-résolutive
- Il ne peut pas y avoir présence d'éosinophilie
- L'atteinte intestinale et vésicale sont les formes les plus fréquentes
- toute personne atteinte de cette maladie présentera au moins de la fièvre
- on peut la traiter avec Paziquantel
c,e
- C= présence d'éosinophilie car pénètrent la peau
- E= il est possible d'être asymptomatique
- F= vrai... le Praziquantel est un Rx contre les vers plats À(donc contre le Taenia solium aussi). L'albendazole est un hybride qui traite les vers plats et ronds
Schistosoma spp (mansoni, japonicum et haematobium).
- Les micromycètes sont des champignons microscopiques (levures et moisissures)
- Les champignons sont hétérotrophes
- Ils portent des spores
- La paroi cellulaire contient typiquement de la chitine et des glucanes
- environ 20% des champignons sont reconnus pathogènes
e
- E= moins de 0.5% sont reconnus pathogènes
- Organismes procaryotes
- Sans chlorophylle
- Reproduction asexuée le plus souvent
- La majorité sont saprophytiques donc non pathogènes
a
- Histoplasma capsulatum
- Sporothrix schenckii
- Trichophyton schoenleinii
- Candida albicans
d
20e siècle
- Levures
- Moisissures
- Champignons dimorphiques
- Les champignons filamenteux sont des levures
- La levure est la forme la plus simple des champignons
- Les levures se multiplient par bourgeonnement seulement
- Les levures pathogènes humains sont désignées par Blastoconidies
b,d
- A= Les moisissures sont des champignons filamenteux.
- C= Bourgeonnement et fission
- Sporophore
- Blastoconidies
- Conidiophore
b
Mycelium
- Les moisissures sont faits de cellules filamenteuses et cylindriques (hyphes)
- L'aspergillus sont des hyphes sans septum
- Les pseudohyphes sont des moisissures
- Le mycélium correspond à une masse d'hyphes
b,c
- B= Hyphes avec septum = Aspergillus
- C= Pseudohyphes = associée aux levures et distincte de la forme de levure et forme hyphale
- Vrai
- Faux
a
Ce champignon est filamenteux à ~ 25°C et sous forme de levures à 37°.
- Ascomycètes
- Basidiomycètes
- Glomeromycota
c
- Ils représentent 75% des champignons connus
- Font de la reproduction sexuée par production de spores seulement
- Le candida albicans fait partie des ascomycètes
- Ils sont identifiés aux laboratoires par leurs propagules
- Ils font partie des Glomeromycota
b,e
- B= reproduction asexuée ou sexuée (par bourgeonnement ou production de spores)
- C= vrai, les Aspergillus aussi
- D= vrai, mais si la croissance est lente ou inexistante, ils sont identifiés par des tests génétiques
- E= ils font partie des Dikarya (avec les basidiomycètes). Les Glomeromycota comportent l'ordre des Mucorale et Entomophtorale
- Ascomycètes
- Basidiomycètes
- Mucorale
- Entomophtorale
c
- Ascomycètes
- Basidiomycètes
- Mucorale
- Entomophtorale
a
- La Basidiomycètes font partie des Dikarya
- Tout comme les basidiomycètes, les ascomycètes peuvent avoir une apparence de capsules également
- Les mucorales comportent des cellules coenocytiques
- Les mucorales contiennent un septum
- Les mucroales font partie des glomeromycota
a,c,e
- B= Levures, filaments et capsules pour les basidiomycètes, mais les ascomycètes peuvent juste être d'apparence de levures ou filaments
- C'est une mycose superficielle
- Affecte la couche morte kératinisée de l'épiderme
- Causé par Malassezia
- Il s'agit d'une urgence médicale
d
- Mycose superficielle
- Mycose cutanée
- Mycose opportuniste systémique
- Mycose sous-cutanée
b
- Mycose superficielle
- Mycose cutanée
- Mycose opportuniste systémique
- Mycose sous-cutanée
d
- Les mycoses opportunistes systématiques ne vont pas causer d'infection chez les sujets sains
- L'Aspergillus fumigatus et la Candida albicans causes des mycoses opportunistes systématiques
- Les mycoses sous-cutanées sont produites suite à des piqûres ou traumas transcutanés
- Les mycoses endémiques causent souvent des infections génitales
a,d
- A= dans le cas de champignons dimorphiques, les mycoses opportunistes systématiques peuvent causer des infections chez les sujets sains
- D= infections pulmonaires (qui peuvent évoluer en infections sytémiques)
- Vrai
- Faux
b
Elles causent surtout des infections pulmonaires.
- Levure
- Hyphe
b
Ergostérol
- Couche externe: mannanes et protéines pariétales
- Couche intermédiaire: glucane
- Couche interne: chitine
- L'Ergostérol contribue à la fluidité de la membrane
- L'Aspergillus contient aussi de la mélanine dans sa paroi cellulaire
- Les protéines GPI (pariétales) sont associés aux mannanes
- Les protéines pariétales permette le détachement de la cellule hôte et la lyse de la paroi
- Les Mannanes sont des hémi-celluloses et comportent l'antigène majeure de C.albicans
a,b,e
- C= protéines GTI sont associés à la chitine et au glucane
- D= Les protéines pariétales ont des fonctions d'adhésines à la cellule hôte et de biogenèse de la paroi
Glucanes
- Les aspergillones peuvent être pulmonaires et cérébrales
- Les aspergillos peuvent être pulmonaires chroniques et cérébrales chroniques
- L'Aspergillus sp peut causer des infections sueprficielles (sinus, oreille, ongles)
- Le Cryptococcus gatti crée des lésions cérébrales et pulmonaires et des méningites
- Le Cryptococcus gatti atteint les sujets immunosupprimés seulement
- Les Blastomyces dermatitidis causent des infections fatales
- Les Blastomyces dermatitidis causent des lésions dermiques et ostéomyélites seulement
a,c,d,f
- B= seulement pulmonaires chroniques
- E= sujet sains aussi
- G= Infection pulmonaires aussi
Paracoccidioides spp
- Le C.albicans est la 4e maladie nosocomiales la plus commune
- La candidose implique une hospitalisation peu couteuse
- La candidose est une cause fréquente de mortalité chez des patients immunosupprimés
- Une nouvelle forme de C.albicans a été retrouvée dans les intestins
- Le C.albicans peut avoir plusieurs morphologies
a,c,d,e
- Vrai
- Faux
a
Vrai
*Les hyphes sont dédiés à l'invasion et la colonisation des organes
- Les levures sont associées à la dissémination de C.albicans
- La cible cellulaire des azoles est la membrane palsmique
- La cible moléculaire des axoles est la biosynthèse de l'ergosterol
- L'échinocandine est administré per os
- L'échinocandine est un fongicide et utilisé contre des infections graves
- Les échinocandines ciblent la paroi cellulaire et inhibent la biosynthèse de la chitine
- L'azole est un fongistatique
- les polyènes peuvent être fongicides ou fongistatiques
c,e
- C= administré par IV
- E= ils bilent la paroi cellulaire et inhibent la biosynthèse des glucanes
- Peuvent être administrés par voie orale ou IV
- L'amphotéricine B est toxique
- L'amphotéricine B a un spectre antifongique réduit
- Les polyènes, tout comme l'azole, ciblent la membrane plasmique en inhibant la biosynthèse de l'ergosterol
a,b,d
- C= spectre large
- D= forment en plus des pores qui fragilisent la membrane
- Azoles
- Échinochandines
- Polyènes
- Azoles
- Échinocandines
- Polyènes
b
- Azoles
- Échinocandines
- Polyènes
c
- Azoles
- Échinocandines
- Polyènes
a
- Toute molécule connue est toxique
- Les échinocandines sont solubles
- La nature fongistatique de certaines molécules comme les azoles amène un problème de récurrence et de résistance
- certaines niches acides (vagin/ abcès) diminuent l'efficacité des antifongiques
b
- A= vrai, car il y a une ressemblance des cibles thérapeutiques due à la nature eucaryotique des cellules humaines et fongiques
- Vrai
- Faux
b
Certains champignons ne sont pas sensibles aux antifongiques. Certains ont également un biofilm qui permet la résistance à toutes les molécules
- Vrai
- Faux
a
- Altération de la cible (modification génétique)
- Altération du transport (Hyper-activation des transporteurs)
- Aneuploïdies (trisomie de certains chromosomes)
- Ce sont des parasites intra-cellulaires obligatoires
- Ce sont des organismes vivants
- Peuvent être enveloppés ou non
- Doivent infecter les cellules pour assurer leur survie
b
- Tous les virus peuvent infecter toutes les cellules ou tous les hôtes
- Le virus se divise par division cellulaire
- Il peut produire ses protéines indépendamment de la cellule hôte
- Les virus doivent encoder les processus requis qui ne sont pas fournis par la cellule hôte
- Le virus doit entrer dans la cellule hôte, se répliquer en utilisant la machinerie et doit pouvoir être libéré pour transmettre son infection
d,e
- Millimètre
- Micromètre
- Centimètre
- Nanomètre
d
- Vrai
- Faux
b
Toutefois, ils le sont presque.
- Icosahédrique
- Hélicoïdale
- Complexe
- Vrai
- Faux
a
- Les sous-unités protéiques interagissent entre elles, mais pas avec l'acide nucléique
- La forme du cylindre protéique peut être creux ou rigide ou flexible
- C'est une capside symétrique
a
- A= les osus-unités interagissent aussi avec l'acide nucléique. Ensemble, ils forment une structure qui ressemble à un bâtonnet ou un cylindre protéique
- Vrai
- Faux
a
- Virus enveloppés
- Virus nus
b
- Isocahédrique
- Hélicoïdale
- Elle est asymétrique
- 8 protomères s'unissent pour former des capsomères (octomères)
- Elle est formée de 12 capsomères qui forment les 12 sommets
- Chaque capsomère sommet interagit avec 5 pentons
- La capside cache en son centre l'acide nucléique du virus et le protège de l'environnement
- Il est possible d'ajouter des pentons pour former des plus gros virions à plus grosse capside
c,d,e
- B= c'est 5 protomères qui forment les capsomères (pentamères)
- D= pentons = pentomères / ou autres capsomères, ce sont tous des synonyms
- F= il est possible d'ajouter des hexons pour former des plus gros virus
- Les virus enveloppés survivent bien dans le tractus digestif
- Les virus qui doivent rester mouillés sont généralement transmis par fluides
- Les virus ayant une enveloppe qui doit rester mouillée sont inactivés par la sécheresse, l'acidité, les détergents et solvants
- Des glycoprotéines virales peuvent être ancrées sur l'enveloppe
- Il faut seulement détruire la capside pour inactiver le virus
b,c,d
- A= contrairement aux virus non enveloppés, ceux enveloppés sont facilement détruits par la sécheresse, l'acidité, les détergents et les solvants. Ainsi, ils survivent moins bien dans le tractus digestif
- E= tant qu'on détruit la couche la plus externe, que ce soit la capside ou l'enveloppe s'il en a une, on inactive le virus
- Virus enveloppés
- Virus nus
a
- 1) la nature de leur génome
- 2) leur structure
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Certains virus se lient à des récepteurs présents sur certaines cellules seulement. Ce sont les cellules suceptibles ciblées qui définissent le tropisme cellulaire
- Le VIH s'attache grâce à la PAV HA gp
- Le VIH s'attache sur des CD4
- L'inflenza A s'attache sur l'acide sialique des cellules épithéliales
- Les virus enveloppés entrent dans la cellule par endocytose médiée par un récepteur
- Le génome d'ARN se rend au noyau
a,d,e
- A= Le VIH s'attache grâche à la gp120. C'est l'inflenza A qui contient la HA gp
- D= Le virus non enveloppé entre dans la cellule par endocytose. Le virus enveloppé entre par fusion des membrane du virus et de la cellule cible. À noter que cet énoncé peut être partiellement vrai puisque la fusion des virus enveloppés peut être précédée ou non par endocytose
- E= Le génome d'ADN se rend au noyau. Le génome d'ARN reste dans le cytoplasme
- Cellule épithéliale
- Entérocyte
- Érythrocyte
- Lymphocyte T CD4
d
- Virus enveloppés
- Virus nus
a
- Génome d'ADN
- Génome d'ARN
b
- Les virus à ADN utilisent généralement les polymérases de la cellule hôte pour synthétiser l'ARNm dans le noyau
- Les virus à ARN se répliquent dans le cytoplasme et utilisent les enzymes nécessaires à la transcription et la réplication de la cellule hôte
- Le poxvirus est un virus à ADN qui n'est pas assemblé dans le noyau
- L'enveloppe est acquise lors de l'assemblage du virus
- Les virus nus sont relâchés par bourgeonnement par la membrane plasmique
- Les virus à ARN acquièrent leur enveloppent par bourgeonnement de la membrane palsmatique
a,c,f
- B= la cellule hôte n'a pas les enzymes nécessaires pour répliquer l'ARN. Celui-ci doit donc les encoder lui-même
- D= l'enveloppe est acquise lors du bourgeonnement du virus
- E= les virus nus sont relâchés après lyse cellulaire et tuent la cellule. Les virus enveloppés sont relâchés par bourgeonnement par la membrane plasmatique sans tuer la cellule
- F= vrai, et les autres virus acquièrent leur enveloppe par le réticulum endoplasmique et l'appareil de Golgi
- Par lyse cellulaire
- Par exocytose
- Par bourgeonnement à travers la membrane plasmatique
La présence ou non d'une enveloppe.
- Les virus non-enveloppés sont souvent transmis pour voie fécale-orale
- Les virus enveloppés sont transmis par liquide acqueux (goutellette respiratoire, mucus, salive, sperme, sang, organe transplanté)
- Les virus enveloppés sont transmis plus facilement
- Les virus enveloppés restent infectieux malgré la sécheresse
- La capside des virus non-enveloppés est faite de lipides et glycoprotéines
c,d,e
- A= vrai. Ceci vient du fait qu'ils sont résistants à l'acidité de l'estomac et à l'effet détergent des acides biliaires de l'intestin. Vs les virus enveloppés qui sont facilement détruits dans ces conditions.
- C= Ce sont les virus non-enveloppés qui sont transmis plus facilement (formites, main-main, poussière, petites goutelettes...)
- D= vrai, les virus non-enveloppés sont plus stables aux conditions de l'environnement tandis que les virus enveloppés sont très labiles
- E= elle est faite de protéines. la membrane des virus enveloppés est faite de lipide, protéines et gp
- Virus enveloppés
- Virus nus
b
- Inhibition de l'attachement
- Inhibition de l'entrée dans la cellule
- Inhibition de la reconnaissance de la cellule hôte
- Inhibition de la décapsidation
- Inhibition de l'ARNm
- Inhibition de la réplication du génome
- Inhibition de l'assemblage du virus
a,b,d,f,g
- E= c'est juste que celle-ci n'est pas une bonne cible
- Vrai
- Faux
a
- Une des utilités de l'épidémiologie est de relier un agent infectieux à une maladie
- La définition actualisée de l'épidémiologie est l'étude des épidémies
- Si un patient à une maladie et qu'il est porteur du streptococcus, on peut conclure que cette souche de streptocoque est à l'origine de cette maladie
- La classification des agents infectieux permet de faire la différence entre ceux qui sont des bactéries / des mycobactéries/ virus/ parasites/ tréponèmes/ etc.
b,c
- B= La définition actualisée de l'épidémiologique est la branche de la médecine qui étudie les différents facteurs intervenant dans l'apparition et l'évolution des maladies, que ces facteurs dépendent de l'individu ou du milieu qui l'entoure. la définition classique est l'étude des épidémies
- C= il faut que quelques critères soit respectés
- Le Parasite doit être présent dans tous les cas de maladie en question et sa présence explique ces changements pathologiques et cliniques attribués à l'infection
- Le parasite ne peut pas se trouver dans d'autres maladie de façon fortuite ou non pathogène
- Ces postulats s'appliquent bien aux infections virales et en parasitologie
- Une fois qu'on isole l'agent in vitro, sa réinjection à un individu provoque la maladie
- Il faut prouver que la réinjection à un individu provoque la maladie pour affirmer que l'agent isolé est en cause de la maladie
- Le tétanos a bien été prouvé par ce postulat
a,b,d,f
- C= ces postulats s'appliquent aux infections bactériennes
- E= non, car ceci n'est juste pas éthique et certains germes sont mal cultivés en labo
- Un virus particulier doit toujours être associé à la maladie
- Le virus est retrouvé chez l'individu malade et cause l'infection
- La transmission de l'infection se fait régulièrement à des individus susceptibles et les études démontrent que le virus n'était pas présent chez le sujet sain à qui on a inoculé le matériel
- Ces postulats sont mieux adaptés pour l'infection virale
- Elle a pu prouver un lien causal entre l'EBV et la mononucléose
b,c,d
- A= Un virus doit régulièrement être associé à la maladie
- E= non puisque le virus n'a pas pu être cultivé ou isolé en labo (1er postulat) et il est difficile de reproduire expérimentalement la maladie (car on ne peut pas cultiver ou isoler le germe; 3e postulat)
- Il faut une absence d'anticorps au début de la maladie
- Il faut une apparition d'anticorps durant la maladie ou après
- Il faut montrer que la production d'anticorps permettent de prévenir la maladie
- Dans le cas de la mononucléose, tous les critères sont remplis
- Elle a été élaborée en 1937
a,b,c
- D= aucun vaccin n'existe, donc le 3e critère n'est pas remplie
- E = en 1973
- La plupart des infections virales résultent en maladie
- La réponse immunitaire de l'hôte permet de déterminer qui fera une infection et qui fera une maladie après l'acquisition d'un germe
- L'âge de l'hôte n'a pas vraiment d'importance
- La plupart du temps le germe amène une absence d'infection ou infection asymptomatique, un groupe restreint vont développer une maladie bénigne à sévère et une minorité va décéder (pyramide)
a,c
- A= en fait elles résultent plutôt en infection asymptomatique (par exemple le VIH pour les premières années)
- C= ex; la varicelle chez les enfants peu symptomatiques vs chez l'adulte où c'est beaucoup plus sévère
- Les MADOs sont nécessairement contagieuses d'un individu à l'autre
- Les définitions nosologiques sont des critères qu'il faut retrouver chez un patient pour trancher s'il s'agit d'un cas de la maladie en question
- Les définitions nosologiques permettent d'avoir une valeur juste de la maladie (ne pas sur ou sous estimer le nombre de cas et de déclarer une épidémie quand il n'y en a pas ou le contraire)
- Un cas clinique doit avoir soit une fièvre >38.3°C, soit une toux/conjonctive/coryza OU une éruption
- La définition d'un cas confirmé doit avoir la présence des 3 critères
b,c
- A= elles peuvent aussi être transmises à plusieurs individus à partir d'une source commune (Hamberger par aliment, Giardiase par eau, Rage par animal)
- D= Un cas clinique doit avoir les 3 symptômes ! (fièvre + toux/conjonctive ou coryza + éruption maculo-papullaire généralisée depuis au moins 3 jours)
- E= 1 des trois critères : Isolement du virus ou détection sérologique d'un changement du titre d'Ac IgG contre le virus OU détection sérologique des Ac IgM contre le virus OU manifestation cliniques compatibles et lien épidémiologique avec un cas confirmé par le labo
- Absence d'anticorps au début de la maladie
- Apparition d'anticorps durant la maladie ou après
- Production d'anticorps (à la suite d'un vaccin) prévient la maladie
- Réponse immunitaire de l'hôte
- Âge de l'hôte au moment de l'acquisition
- Contagieuse d'un individu à l'autre
OU
- Peuvent être transmises à plusieurs individus à partir d'une source commune
- Il nous informe de la purulence de l'échantillon
- Permet d'orienter une méningite bactérienne plutôt que virale
- On peut observer les bactéries seulement
- On peut estimer la fiabilité du résultat
a,b,d
- A= en quantifier la quantité de GB présents dans le prélèvement
- B= en exprimant une valeur relative de la quantité de polynucléaires présents dans le prélèvement
- C= faux, on peut observer tous les micro-organismes
- D= en évaluant la qualité du prélèvement (par exemple si les expectorations proviennent plus de la bouche que les bronches)
- Vrai
- Faux
b
Cela indique au contraire une contamination oro-pharyngée.
- Sérum physiologique
- Hydroxyde de potassium (KOH)
- Iode
- Encre de Chine
- Fond noir
d
- Sérum physiologique
- Hydroxyde de potassium (KOH)
- Iode
- Encre de Chine
- Fond noir
c
- Sérum physiologique
- Hydroxyde de potassium (KOH)
- Iode
- Encre de Chine
- Fond noir
b
- Sérum physiologique
- Hydroxyde de potassium (KOH)
- Iode
- Encre de Chine
- Fond noir
a
- Gram +
- Gram -
a
- Rose
- Bleue
b
- Rose
- Bleue
a
- Vrai
- Faux
b
On peut rapidement observer la présence de mycobactéries, mais on ne peut pas identifier l'espèce
- Vrai
- Faux
b
D'autres germes sont des BAAR comme le Nocardia
- Bouche
- Vagin
- Liquide synovial
- Rectum
c
- Le méningocoque du LCR
- Le pneumocoque du liquide synovial
- Le S.aureus du liquide synovial
- La présence de lactobacillus dans le vagin
- La présence de levures en grande quantité dans le vagin
- La présence de Campylobacter dans les selles
- Des entérobactéries dans les selles
a,c,e,f
- B= pneumocoque du liquide pleural
- C= S.aureus du liquide synovial
- E= vrai = vaginite à Candida
- F= vrai = gastroentérite
- G= non, c'est normal d'avoir des entérobactéries dans les selles
- Vrai
- Faux
b
Le Cutibacterium n'est pas associé aux méningites bactériennes. Cela peut simplement signifier qu'on a piqué plusieurs fois pour faire la ponction du LCR et qu'on a introduit le germe dans le liquide = contamination
- La détection rapide d'antigènes permet de détecter rapidement la présence d'antigènes caractéristiques des microorganismes
- La méthode moléculaire amplifie une partie du génome du germe à identifier pour qu'on applique ensuite la méthode de détection et ainsi confirmer la présence du pathogène suspecté
- La méthode moléculaire est utile quand le germe à détecter est facile à cultiver
a,b
- C= elle est surtout utile quand le germe est difficile à cultiver ou se trouve en faible quantité dans un prélèvement donc sa détection est difficile
- VIH
- Hépatites A,B et C
- Rougeole
- Herpès simplex
- Varicelle
d
- IgA
- IgM
- IgG
- IgE
b
Séroconversion
- Vrai
- Faux
b
Ce sont des bactéries dites fastidieuses
Infection acquise lors d'un moment de soins donné par un établissement de santé (soins aigus, de longue durée, à domicile, etc.) qui n'était pas présente au moment de l'admission du patient.
- La durée d'hospitalisation est un facteur de risque
- Pour qu'une infection soit considérée nosocomiale, il faut qu'elle apparaisse en moins de 24h après l'admission et pas plus de 5 jours après la sortie
- Plus un soin demande d'intervention invasive, plus le patient est à risque d'infection nosocomiale
- Le risque d'avoir une infection nosocomiale augmente proportionnellement au nombre de risque qu'à un usager
- Un patient caucasien à plus de risque d'acquérir une infection nosocomiale qu'un asiatique
b,e
- B= il faut que l'infection apparaisse plus de 48 heures après l'admission et jusqu'à 7 jours après la sortie
- E= Les seuls facteurs liés au patient est l'âge, l'immunosuppression et les maladies concomitantes. Par contre, il y a plus d'infection nosocomiale dans les pays en voie de développement que dans les pays développés
4 parmi ceux-ci :
- Facteurs liés au patient : âge, immunosuppression, comorbidités (ex. diabète).
- Facteurs liés à la maladie actuelle : durée d'hospitalisation, intensité des soins, exposition à des sources d'infection dans l'environnement, nombre d'intervention et de contact avec le personnel soignant.
- Infection à Clostridium difficile
- Infection d'un site opératoire (plaie infectée)
- Infection urinaire
c
- Les infections nosocomiales ne causent pas de décès
- L'infection nosocomiale la plus fréquente dans les pays développés est l'infection au site opératoire
- Les infections nosocomiales occasionnent des coûts additionnels
- L'agent infectieux est souvent un parasite
a,b,d
- A= causent des décès dans 4% des cas
- B= L'infection au site opératoire est plus fréquente dans les pays en voie de développement. Dans les pays développés c'est l'infection urinaire qui est la plus fréquente
- D= il est rare que l'agents infectieux est un parasite ou un prion. C'est plus souvent une bactérie un virus ou un champignon
- Hôte
- Agent infectieux
- Source ou réservoir
- Mode de transmission
- Insérer un cathéter périphérique est un exemple de contact direct
- La c.difficile se transmet par gouttelettes
- L'influenza est un exemple de transmission par gouttelette
- Le contact par gouttelette est risquée à un rayon de 5 mètres puisque la taille des gouttelettes est d'environ 1-2 microns
- Seulement les surfaces humides représentent un réservoir pour les micro-oragnismes des gouttelettes
- Les gouttelettes aéroportées sont inférieures à 5 microns et peuvent donc voyager de longues distances
- La pneumonie à SARM est un exemple de transmission mixte par gouttelettes/contact
b,d
- B= la C.difficile se transmet par contact.
- D= leur taille étant de 5 microns, les gouttelettes vont voyager une distance de 1 à 5 mètres.
- G= génération de grosses gouttelettes et porteur sur sa peau
- Clostridium difficile
- Entérocoque résistant à la vancomycine (ERV)
- Sarcoptes (agent de la gale)
Plus grandes ou égales à 5 microns.
- Tuberculose
- Coqueluche
- Neisseria meningitidis (méningite)
- Virus influenza (rhumes)
a
- Tuberculose pulmonaire ou laryngée
- Rougeole
- Transmission gouttelettes/contact : pneumonie à SARM, infection au streptocoque du groupe A (bactérie mangeuse de chair), gastroentérites virales.
- Transmission aérienne/contact : varicelle, zona.
- Vrai
- Faux
a
Hygiène (lavage) des mains
- La flore résidente est facilement détruite par lavage antiseptique
- La flore transitoire est détruite par le lavage hygiénique
- La flore résidente ne provoque pas de maladie
- l'hygiène des mains peut simplement se faire avant de toucher le patient et après le contact avec le patient ou son environnement
- Lorsqu'on retire les gants, on peut contaminer les mains
a,b,d
- A= la flore résidente est surtout détruite par l'antisepsie chirurgicale. Elle va seulement être réduite par l'antiseptique
- B= c'est à partir du lavage antiseptique que la flore transitoire est détruite
- D= il doit se faire avant de toucher l'usager/son environnement, avant une procédure aseptique, après le risque de contact avec des liquides biologiques et après tout contact avec l'usager et son environnement
- Flore résidente
- Flore transitoire
- Lavage antiseptique
- Friction hydro-alcoolique
- Antisepsie chirurgicale
1. Avant tout contact avec le patient et son environnement (entrée)
2. Avant toute procédure aseptique (ex. installation d'un cathéter)
3. Après tout risque de contact avec des liquides biologiques ou lors du retrait des gants
4. Après tout contact avec le patient et son environnement (sortie)
- Vrai
- Faux
b
Il y a un risque de contamination lors du retrait des gants et ceux-ci peuvent avoir des microfissures non apparentes
- Vrai
- Faux
a
- Lors de transmission par contact, il suffit de laver les mains et enfiler des gants
- La C.difficile, l'ERV et la gale sont des exemples de transmission par contact
- L'influenza implique que le professionnel de la santé doit porter une blouse et des gants en plus de se laver les mains
- La tuberculose ou la rougeole implique un lavage des mains et le port du masque à haut pouvoir filtrant
- Les usagers de microbes à transmission par voie aérienne (comme la tuberculose) sont placés dans une chambre à pression négative
- Lors de la pneumonie à SARM, il faut porter un masque en plus de se laver les mains
- Lors de varicelle ou zona, il faut se vêtir d'une blouse, des gants et un masque N-95
a,c,f
- A= il faut aussi se vêtir d'une blouse
- C= Influenza implique une transmission par gouttelette = lavage des mains et port du masque
- F= SARM: gouttelette/contact = gants + blouse + masque
Lorsque le patient est atteint d'une infection transmissible par voie aérienne (ex. tuberculose, rougeole). Ce masque filtre 95% des micro-gouttelettes plus petites que 5 microns.
Puisque la pneumonie à SARM est transmissible par contact et par gouttelettes, je devrais : pratiquer l'hygiène des mains, revêtir une blouse, porter un masque et mettre des gants.
- Est responsable de 40% des infections nosocomiales
- Le sexe masculin est un facteur de risque
- les lithiases urinaires peuvent être une complication de l'infection urinaire
- Il faudrait maintenir le sac collecteur plus haut que la vessie pour réduire les risques de développer une infection urinaire
b,d
- B= facteurs de risque liés à la maladie : féminin, âge avancé et diabète
- D= on maintient le sac urinaire plus BAS que la vessie
Le présence d'une sonde urinaire.
- Vrai
- Faux
b
Le patient doit être intubé et ventilé depuis plus de 48 heures pour pouvoir parler de pneumonie associée au ventilateur
- L'immunosuppression, l'obésité, l'âge avancé et le diabète son des facteurs de risques liés au patient
- La présence d'un corps étranger et de tissus dévitalisés sont des facteurs de risque de la maladie
- L'infection du site opératoire peut compliquer en un abcès
- Pour éviter ce type d'infection, il est recommandé de raser la zone où sera pratiquée l'incision
d
- D= on doit éviter de raser la zone !
- Vrai
- Faux
b
Cette infection est à la baisse (diminution de 40%!)
- Si l'installation à duré plus de 3 jours, il y a plus de risque d'infection
- Une installation d'urgence représente un facteur de risque
- Les infections aux autres sites que celui du cathéter ne représentent pas un facteur de risque de développer ce type d'infection
- Une endocardite et une phlébite septique représentent des facteurs de risque
c
- Vrai
- Faux
b
20-60% tout dépend de l'état du patient au préalable, de la sévérité de l'infection, du pathogène en cause et de la prise en charge
- Prise d'antibiotique dans les 2 derniers mois
- Hospitalisation dans les 2 derniers mois
- Âge avancé
- Co-morbidités
Chirurgie contaminée
Installation du cathéter en urgence
durée d'intubation
- Anthropozoonose
- Zooanthroponose
a
Épizootie
- Fièvre Q
- Brucellose
- Malaria
- Rage
- Psittacose
- La schistosomiase
- Onchocercose
a,b,d,e
- Fièvre Q
- Tulémarie
- Brucellose
- Leptospirose
- Infection à Hantavirus
- Psittacose
- Rage humaine
- Maladie de Lyme
- Infection par le virus du Nil occidental
- Babésiose
- Vrai
- Faux
b
60% des maladies infectieuses émergentes sont des zoonoses.
- La bactérie est la Francisella tularensis qui est une cococcobacille à Gram +
- Plus de 100 cas par années sont déclarés au Québec
- La transmission interhumaine se fait très facilement et fréquemment
- Elle peut causer des violents maux de tête, de la fièvre, de l'arthralgie et de la fatigue
- L'incubation dure 2 à 15 jours et s'il n'y a pas de traitement, l'infection dure 2-3 semaines
- La forme interne est la forme la plus sévère de la maladie puisqu'elle atteint les poumons et peut causer une détresse respiratoire
- La forme externe se présente généralement par des rougeurs voir même abcès
a,b,c,f
- A= gram négatif
- B= Moins de 10 cas par année
- C= rare
- F= C'est la forme typhoïdale. Il n'y a aucune lésion ou adénopathie mais il y a un syndrome inflammatoire systémique et peut mener jusqu'à la mort dans 7 à 30% des cas si non traité (mais il est vrai que la forme interne peut causer une détresse respiratoire)
- La forme externe se manifest par une papille rouge à la porte d'entrée qui s'élargie et devient purulente ou ulcérée
- La forme ulcéroglandulaire implique une forme externe devenue un abcès
- La forme interne atteint la muqueuse orale ou le pharynx
- La forme typhoïdale se présente avec plusieurs lésions cutanées et parfois des adénopathies
- Il n'existe aucun vaccin
- On peut prévenir en se protégeant contre les piqûres, en portant des gants lorsqu'on manipule des animaux et en évitant de manipuler les cadavres d'animaux
- Précaution niveau 3 requis en recherche pour toute manipulation de F.tularensis
a,b,f,g
- C= la conjonctive de l'oeil, la muquese orale ou le pharynx impliquent toujours la forme externe. La forme interne s'observe plutôt au niveau des poumons, des douleurs abdominales, des aignements G-I ou de la diarrhée
- D= aucune lésion cutanée ni adénopathies, mais cause un syndrome inflammatoire systémique => fièvre, atteinte méningées/ héptatiques/ rénales qui entraînent un choc et même la mort
- E= un vaccin est recommandé pour les travailleurs en labo qui travaillent avec la F.tularensis
- Vrai
- Faux
b
Car l'humain est un hôte primaire qui est nécessaire au processus infectieux.
- Ce sont des virus
- Sont une cause fréquente de convulsion dans le monde
- Sont psychrotrophes
- Sont résistantes à tous les antibiotiques
c
Borrelia Burgdorferi
- Il y a un risque de 35% d'avoir cette maladie pour chaque morsure de tique
- Les infections acquises se situent principalement en Estrie et en Montérégie
- Le cycle de vie des tiques est biphasique
- C'est lors de la forme adulte que les tiques se nourrissant et se reproduisent
- L'opossum est la principale estpèce hôte dans la transmission de la maladie de Lyme au Nord Est des É-U
- Il existe 4 genre de tiques dont l'Ixodes et l'amblyomma
- Chaque année, environ 300 personnes sont infectées par la B.burgdorferi aux États-Unis
a,c,e,g
- A= risque de 3% par morsure de tique
- C= Triphasique (1ère année = Femelle pond oeufs qui deviennent des larves, 2e année = Larves s'attachent à leur premier hôte et deviennent des nymphes en quittant leur hôte pour l'hiver, 3e année ils s'attachent à leur deuxième hôte et deviennent des adultes en quittant cet hôte. Puis au printemps de la troisième année, ils s'attachent au 3e hôte pour se nourrir et se reproduire, la femelle va pondre ses oeufs à l'automne et c'est à cette année que débute la première année des nouveaux oeufs)
- E= c'est la souris à pattes blanche (chez l'opossum la tique se nourrit mais n'infecte que très peu cette espèce)
- G= Chaque année, 329 000 personne sinfectées
- Le stade localisé correspond au début de l'infection où on retrouve souvent un érythème migrant. On y observe un papule rouge qui se répend sur plusieurs jours et pâli au centre
- Le stade localisé survient après le stade disséminé
- C'est lors du stades disséminé précoce qu'on observe des symptômes systémiques (fièvre, raideurs, fatigue, adénopathies, atteintes cardiaque et neuro)
- Le stade disséminé tardif est une complication du précoce et se manifeste généralement par un déficit moteur sensitif
- Il pourrait exister une forme persistante/ chronique/ post traitement
a,c,e
- B= Stade localisé --> stade disséminé précoce --> stade disséminé tardif
- D= le déficit moteur sensitif est une manifestation de l'atteinte neurologique du stade précoce. Lors du stade tardif, les complications touchent plus souvent les articulations telles l'arthrite des genoux
- 1ère année = Femelle pond ses oeufs qui deviennent des larves
- 2e année = Larves s'attachent à leur premier hôte au printemps. Ils deviennent des nymphes à l'été et quittent leur hôte pour l'hiver
- 3e année = ils s'attachent à leur deuxième hôte au printemps. Ils deviennent des adultes à l'été et quittent cet hôte pour l'hiver.
- Puis au printemps suivant, ils s'attachent au 3e hôte pour se nourrir et se reproduire. La femelle va pondre ses oeufs à l'automne et c'est à cette année que débute la première année des nouveaux oeufs. Le cycle recommence
- Lors d'une morsure de tique, on la retire avec les doigts
- L'érythème migrant, observé parfois lors du stade localisé, représente une lésion circulaire de moins de 5cm qui apparait en moins de 48 heures suivant la piqûre
- La tique infectée transmet sa maladie en moins de 12 heures
- Le pic le plus important d'infection est à l'automne et la population à risque est celle qui va en forêt et hautes herbes (on essaie d'éviter ces endroits)
- Des vêtement protecteurs et l'insectifuge vont permettre de prévenir le contact avec les tiques
a,b,c
- A=On la retire avec une pince fine. Sinon on pourrait contaminer la peau en l'écrasant
- B= l'érythème migrant apparait plus de 48 heures après la morsure et grossit plus de 5 cm
- C= il faut un contact prolongé. La transmission avant 24h est faible. Elle est plus importante >48 heures
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
La tique I.scapularis est en voie de s'établir au Québec et les risques vont augmenter dans les prochaines années
- Elle s'attrape par contact direct avec un animal ou par inhalation
- Les symptômes prennent apparence d'une piqûre noire dès le départ
- On ressent de la douleur avant d'avoir de la fièvre
- Le taux de mortalité pour le charbon cutané non traité est de 10-20%
- La vaccination des animaux permet de prévenir cette maladie
- Les animaux morts de la maladie du charbon doivent être enterrés
b,c,f
- B= Rougeur au départ, ensuite de l'oedème puis un escarre noirâtre
- C= lésion ø douleur mais la maladie progresse rapidement vers la fièvre, des malaises et de l'hypotension
- F= il faut les brûler
- Seuls les mammifères peuvent la transmettre
- Le réservoir nord-américain est l'écureuil
- L'infection se fait par contact avec salive , LCR et tissu nerveux ou aérosol possible
- C'est un bactérie Gram - qui cause cette maladie
- plus de 55 000 personnes dans le monde sont morte de la rage en 2000, mais plus de 59 000 en 2015
- Le chien à à l'origine de 50% des cas mortels
- La vaccination des chien aide à contrôler la rage
a,c,e,g
- B= Chauve-souris
- D= C'est un virus (Lyssavirus)
- F= Chien est è l'origine de 99% des cas mortels
- Elle peut atteindre le système nerveux (convulsions, somnolence, confusion, paralysie et spasmes musculaires)
- Elle ne peut pas évoluer vers le décès
- L'hydrophobie est très spécifique chez l'humain d'une manifestation de la rage
- Il peut avoir une forme paralytique et une forme furieuse
- On donne un vaccin suite dès qu'un humain ait nourri un animal même si sa peau est intact
- Quand on voie une chauve-souris, on la prend comme animal de compagnie
b,e,f
- E= Type I: pas d'exposition, pas d'intervention. Si l'animal a mordillé la peau/ graffiqué sans saignement on vaccine et on traite la plaie (type II) et si ça traverse le derme on traite la plaie, on vaccine et on administre l'immunoglobuline antirabique (type III)
- Vrai
- Faux
b
Ils sont tous deux chlorotolérants.
- Vrai
- Faux
b
Il y a un risque de toxoplasmose.
- La transmission interhumaine est courante
- 125 animaux peuvent être des hôtes de la bactérie
- Le contact avec les animaux contaminés est un moyen de contracter la maladie
- Les chasseurs devraient porter des gants pour dépecer des carcasses d'animaux
a
- Vrai
- Faux
b
Il est plus probable que ce soit une réaction d'hypersensibilité.
- Vrai
- Faux
a
Lyssavirus
- Le VIH dérive du virus simien isolé (SIV)
- Le premier sérum séropositif a été découvert 4 ans plus tôt que le premier patient mort du SIDA
- Le VIH vient des furets
- C'est en 1981 qu'on a nommé la maladie "SIDA"
- Le premier cas découvert à été en Afrique
- On a nommé la maladie du SIDA avant de nommer le virus VIH
b,c,d,e
- B= Les deux ont été découverts la même année, soit en 1959 (séropositif en RDC et premier patient retrouvé mort du SIDA au marin britannique)
- C= il vient du SIV chez les chimpanzés
- D= en 1981 on a nommé le syndrome GRID (Gay-related Immune Deficiency). C'est en 1982 qu'on l'a renommé la maladie SIDA
- E= Premier cas en Afrique en 1982... On en avait découvert plus tôt aux États-Unis et au marin britannique
- Le contact entre l"homme et le chimpanzé s'est probablement fait par la domestication de ces animaux dans les années 1950
- L'incidence augmente depuis les années 2000
- On n'a pas atteint la cible de l'ONU émise en 2014
- Il est nécessaire de s'adresser aux phénomènes sociaux tels la pauvreté et l'inégalité hommes-femmes pour atteindre le but de l'ONU
- Le dépistage du VIH se fait par la détection d'anticorps avec la technique ELISA comme première étape
- La transmission du VIH se fait seulement par voie sexuelle
c,d,e
- A= Le contact s'est surement fait par la chasse
- B= Diminution de l"incidence de 27% et des décès de 45% par un traitement accessible et une modification du comportement des personnes à risque et meilleure prévention
- C= en effet, on visait 90-90-90% des séropositifs au courant de leur statute, du nombre total de patients avec un traitement antiviral et une infection contrôlée des patients infectés. Toutefois, en 2018 nous étions à 79-62-53%
- F= transmission sexuelle, drogues injectables, verticale et par le sang
- Le VIH est un rétrovirus
- Il est à double brin
- Elles aiment les cellules sanguines et le SNC
- La transcriptase inverse permet sa transcription en ARN
- La transcriptase inverse permet l'intégration au gnome de la cellule hôte
- Il y a une longue période entre l'infection et les manifestations cliniques
- Le VIH est associé à une immunodéficience
b,d,e
- B= Simple brin
- D= transcription en ADN par la transcriptase inverse
- E= C'est l'intégrase qui permet d'intégrer au génome de la cellule hôte
- Détection d'anticorps par la technique ELISA
- Détection de protéines par Western blot
La deuxième étape est:
- Test de confirmation
- Plus complexe
- Nécessite une expertise
- Tropisme pour les globules rouges
- Virus homogène
- Haute virémie
- CD4 augmentent graduellement
- Le syndrome viral dure 1 à 6 semaines
- On observe un syndrome viral chez 15% des patients
- L'antigène p42 est détectable
a,d,e,f,g
- A= Tropisme pour cellules mononuclées périphériques
- D= CD4 s'abaissent transitoirement
- E= Syndrome viral dure 1-3 semaines. C'est la Primo-infection qui dure 1-6 semaines post infection
- F= syndrome viral chez 90% des patients (fièvre, rash, pharyngite, myalgies, adénopathie généralisées)
- G= antigène p24 est détectable
- Fièvre
- Céphalées
- Pharyngite
- Myalgies
- Arthralgie
- Adénopathies généralisée
- ulcères
a,b,c,d,f
- Il y a un déséquilibre entre le virus et le système immunitaire
- On retrouve peu de virus dans les cellules mononuclées périphériques
- La charge virale est à son maximum
- L'activité est intense dans les centres germinatifs des ganglions
a,c
- L'architecture des ganglions est intacte
- Il y a une diminution de la capacité des centres germinatifs à contrôler le virus
- Il y a une augmentation du virus dans les ganglions et les cellules mononuclées
- La virémie est à son plus bas
a,d
- A= elle se détériore
- D= La virémie augmente
- Les patients présentent toujours des symptômes généraux
- Ils présentent généralement des infections opportunistes
- La durée de la phase de latence est de 8-10 ans
- Le risque de développer le SIDA sans traitement est de 25 à 30% par année
a,b,d
- A= Il peuvent aussi être asymptomatiques
- B= Des fois ils ont une candidose orale, leucoplasie chevelue de langue, zona, herpès ou autres... mais ce sont des infections non opportunistes
- D= 4-10% par année
- Les CD4 sont inférieurs à 200 ¢/m^3
- Il y a une multiplication contrôlée du virus
- La virémie est très élevée et le virus est homogène
- On retrouve les mêmes manifestations cliniques que lors de la période de latence
- On observe la présence d'infections opportunistes et le développement de certaines néoplasies
b,c
- B= multiplication non contrôlée
- C= virémie élevée mais le virus est hétérogène
- Inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse
- Inhibiteurs non-nucléosidiques de la transcriptase inverse
- Inhibiteurs de l'intégrase
- Inhibiteurs de la lactase
- Inhibiteurs de la protéase
- Inhibiteurs de la lipase
- Inhibiteurs de la séparase
a,b,c,e
- Les antirétroviraux sont bien tolérés et efficaces
- On offre le traitement seulement à ceux atteints du SIDA
- La trithérapie consiste en 2 antiviraux de la même classe (INTI) avec 1 antiviral d'une autre classe (souvent inhibiteur de l'intégrase, mais les autres sont aussi possibles)
- Lors de la trithérapie, on commence les 2 antiviraux de la même classe, et si les symptômes ne s'améliorent pas, on ajoute le 3e
- Le traitement dure habituellement 6-24 mois
- Il est important d'être le plus fidèle possible au traitement
b,d,e
- B= traitement offert à tout le monde, peu importe le stade. Il faut traiter le plus tôt possible
- D= on les débute en même temps pour éviter la résistance
- E= Le traitement dure toute la vie
- Il faut éviter les contacts à risque
- On se protège lors des relations sexuelles
- Même si un patient est traité, le risque de transmission est très grand et il devra toujours mettre un condom
- Il existe une prophylaxie pré-exposition qui consiste en la prise de deux antiviraux à chaque jour de façon intermittente pour la personne séro-négative à risque
- Le prophylaxie post-exposition consiste en la prise de deux antiviraux pour 6 mois
c,e
- C= Le risque de transmission est pratiquement inexistant si le patient est fidèle aux traitements et que ceux-ci sont efficaces et qu'il n'a aucune autre lésion génitale ou ITSS
- E= post-exposition à risque est un traitement de 3 antirétroviraix pour 28 jours