ULaval:MED-1202/Quiz
Désescalation
Quinolone
Macrolides
Faux, l’antibiothérapie est le plus souvent empirique selon la cause la plus probable.
Faux, un score supérieur à 2 est une indication d’hospitalisation.
Un score supérieur à 2
3,2%
- C pour confusion nouvelle
- U pour urée ≥ 7mmol/l
- R pour fréquence respiratoire ≥ 30/min
- B pour pression systolique <90 mmHg ou pression diastolique <60 mmHg
- 65 pour âge ≥ 65 ans
Classe IV
néoplasie, défaillance cardiaque, maladie cérébrovasculaire, maladie rénale, maladie hépatique
Vrai
- Formule sanguine
- Bilan ionique
- Fonction rénale
- Fonction hépatique
- ECG
test d'antigène urinaire
Par inhalation de micro gouttelettes contaminées.
Legionella pneumophilia
Il s’agit des bronches visibles dû au contraste entre la forte densité alvéolaire et l’air préservé dans les bronches aérées normalement.
Il y aurait une infiltration alvéolaire lobaire avec bronchogramme aérien.
Il y aurait des infiltrations interstitielles diffuses, prédominantes aux bases et ne respectant pas les structures lobaires.
Vrai
- Consolidation
- Souffle tubaire
- Râles localisés
- Signes d’épanchement pleural
- Toux
- Expectorations colorées
- Hyperthermie > 38°C
- Dyspnée
- Malaises généraux
- Douleur thoracique pleurale
P. aeruginosa (24%) et S. aureus résistant à la méthicilline (11%)
S. pneumoniae (44%)
- Vrai
- Faux
b
Faux, il s’agit de la deuxième, tout juste derrière l’infection urinaire.
50 000
- Alcoolisme
- Asthme
- Immunosuppression
- Institutionnalisation
- Âge ≥ 70 ans
La pneumonie survient plus que 2 jours après l’admission du patient ou jusqu’à 14 jours après sa sortie de l’hôpital.
- La pneumonie acquise en communauté
- La pneumonie liée aux soins de santé
- La pneumonie nosocomiale acquise en milieu hospitalier
- La pneumonie acquise sous ventilation
Le tabagisme entrave l’efficacité des mécanismes mucocilliaires chargés de l’élimination des pathogènes inhalés
- Le tabagisme
- Les conditions qui nuisent à l'efficacité du réflexe de la toux
- Troubles neuromusculaires et paralysie d'une corde vocale
- Trachéostomie et tube endotrachéal
- La micro-aspiration de la flore oropharyngée
- L’inhalation de matériel aérosolisé
- L'essaimage hématogène
- Maladie aiguë, fébrile ou non
- Allergie anaphylactique aux œufs ou aux autres composantes du vaccin
Car le vaccin est peu immunogénique pour ce groupe d'âge
- Patients à haut risque de morbidité et de mortalité qui ont reçu le vaccin
- Personnes en contact avec les patients à haut risque qui n'ont pas été vaccinées
- Patients immunosupprimés chez qui le vaccin pourrait ne pas avoir été efficace
- Patients qui ne peuvent pas recevoir le vaccin
- Vrai
- Faux
b
Ils n'ont pas de rôle pour traiter une infection active
- Zanamivir
- Oseltamivir
- Insomnie
- Hallucinations
- Confusion
- Étourdissements
- Chutes
Inhibiteurs de la protéine membranaire M2
Vrai
- Pneumonie virale
- Surinfection bactérienne
- ARDS (syndrome de détresse respiratoire de l’adulte)
- Otite moyenne
- Méningo-encéphalite
Le 5e stade indique qu’il existe une transmission humaine en grappes.
- Température
- Toux
- Myalgies
- Anorexie et nausées
- Céphalée
- Rhinite et conjonctivite
- Jeunes enfants
- Personnes âgées
- Femmes enceintes
- Immunosupprimés ou immuno-naïfs
- Maladies cardiopulmonaires sous-jacentes
Stades 4 et 5
- Nouveauté du virus
- Capacité à infecter l’humain
- Sévérité des infections et leur association à une morbidité et à une mortalité significatives
- Transmission interhumaine
Faux, une pandémie est un accroissement ponctuel de l’incidence d’une maladie limité dans le temps, mais sans restriction géographique.
Une maladie qui est active de façon constante ou régulièrement récurrente dans une population donnée.
La grippe saisonnière qui revient à chaque hiver
La dérive est un processus lent et limité qui se produit lorsqu’un virion dont le matériel génétique a été incorrectement reproduit ou altéré survit et demeure compatible avec le cycle de vie viral.
- Dérive génétique
- Réarrangement génétique
- 15 hémagglutinines
- 9 neuraminidases
Ces protéines de surface de l’influenzae A détachent les nouveaux virions de la membrane cellulaire une fois leur cycle de maturation complété.
Ces protéines de surfaces de l’influenzae A permettent l’adhésion du virus aux cellules de l’hôte.
Influenzae A
Essentiellement des syndromes infectieux mineurs des voies aériennes supérieures chez l'enfant et le jeune adulte.
Covid-19
- fièvre
- toux sèche
- fatigue
- perte d'odorat
Mycobacterium kansasii
Mycobacterium bovis
- Maladies hépatiques préexistantes
- Médications hépatotoxiques
- Antécédents d’abus d’alcool
- Patients âgés de plus de 34 ans
- Femmes enceintes ou ayant accouché il y a moins de 3 mois
Rifampicine
Le régime de 6 mois est composé des antibiotiques INH + RMP + PZA pour une durée de 2 mois suivi des antibiotiques INH + RMP pour une durée de 4 mois. Le régime de 9 mois est composé des antibiotiques INH + RMP pour toute la durée du traitement.
Une antibiothérapie prolongée; notamment avec l’isoniazide (INH), la rifampicine (RMP), la pyrazinamide (PZA) et l’éthambutol (EMB).
Vrai
- Mauvaise technique d’injection ou de lecture
- Immunodépression
- Malnutrition, une maladie grave (y compris une tuberculose active)
- Maladie virale active à l’exception du rhume
- Très jeune âge (moins de 6 mois)
- Infection à VIH
- Contact étroit avec un cas contagieux actif
- Enfant soupçonné de souffrir d’une tuberculose active
- Radiographie anormale montrant des anomalies fibronodulaires
- Autres déficiences immunes (chimiothérapie, corticostéroïdes, inhibiteurs du TNFalpha).
Un PPD positif n’est jamais suffisant pour porter un diagnostic de tuberculose-maladie, il n’est qu’un marqueur d’une primo-infection passée.
Type IV
Le diagnostic définitif repose sur la mise en évidence par coloration, culture et/ou analyse génétique de bacilles tuberculeux dans les spécimens soumis.
La symptomatologie clinique comprend une douleur pleurétique et de la dyspnée.
Vrai
Il s'agit d'un syndrome aigu constitué de fièvre, dyspnée, tachypnée, cyanose et atteinte importante de l'état général.(De plus, cette forme disséminée s'associe souvent à une méningite, à une hépatomégalie, une splénomégalie et une lymphadénopathie.)
Une zone de nécrose caséeuse
L’atteinte osseuse due à la tuberculose
Il peut y avoir une cicatrice parenchymateuse calcifiée (foyer de Ghön) quelquefois associée à une adénopathie hilaire aussi calcifiée (complexe de Ranke).
Sous forme de pneumonie (ex : pneumonie bactérienne typique). D'ailleurs les poumons sont les premiers touchés dans la majorité des cas d'infections tuberculeuses.
Vrai.
Faux
3 à 10%
Complexe de Ranke
Foyer de Ghon
- Fatigue
- Anorexie
- Amaigrissement
- Fièvre légère intermittente
- Sudation nocturne
- Toux
- Sécrétions mucoïdes ou franchement purulentes
- Hémoptysies
Dans les zones bien ventilées du parenchyme : lobe inférieur, lobe moyen, lingula
Par inhalation de microgouttelettes dont le diamètre est de 1 à 5 µ.
Sanatoriums
Collapsothérapie
Phtisie
6 à 8 semaines
- Coloration de Ziehl-Neelsen
- Coloration fluorescente à l’auramine O
Faux
- Vrai
- Faux
b
La plupart ne sont que des contaminants de l'environnement
La résection chirurgicale est le traitement de choix. (Note : seulement 30 % des malades seront considérés résécables au moment du diagnostic).
Faux, il est recommandé d’administrer de la chimiothérapie après toute chirurgie pour un cancer du poumon à l’exception des stades I.
Infarctus récent, Angine instable, Insuffisance cardiaque sévère et HTA sévère non contrôlée
Les stades 0, IA, IB, IIA, et IIB sont habituellement traités par la chirurgie.
- Vrai
- Faux
b
Ils sont d'emblée inopérables
T : tumeur primaire, N : adénopathies régionales et M : métastase à distance
Ils sont situés (le plus souvent) en périphérie du poumon.
- Vrai
- Faux
a
syndromes d'hypercoagulabilité et d'ostéo-arthropathie
Le syndrome de sécrétion inappropriée de l'ADH et le syndrome de Cushing sont fréquents dans cette maladie.
hippocratisme digital et l'hypercalcémie
2/3 des personnes touchées ont déjà des métastases au moment du diagnostic.
Vrai
Ce syndrome est défini comme une tumeur de l'apex pulmonaire avec une extension par contiguïté à la paroi thoracique, les racines nerveuses C8 et D1 et le ganglion stellaire, causant ainsi de la douleur à l'épaule irradiant à la face cubitale du bras et un syndrome de Claude-Bernard-Horner (myosis, ptose palpébrale et anhidrose).
Il s'agit de symptômes survenant dans des systèmes autres que le poumon et ce, sans qu'il y ait de métastase.
Toux, Dyspnée – obstructive, Hémoptysie, Stridor – wheezing et Pneumonie
Le foie
autres < cerveau < surrénales < os < foie
Les gènes RB1 et P53
Toux, perte de poids et dyspnée
Faux, le risque est accru de 6.1 fois.
Ils causent des dommages au niveau de l’ADN, altérant ainsi la fonction normale de la cellule
l'amiante, le chrome, le nickel, l'uranium, les hydrocarbones polycycliques aromatiques, l'arsenic, les éthers de chlorométhyle et les radio-isotopes.
Il est de 13% et de 18% chez les hommes et les femmes respectivement.
Vrai
Une hypoxémie et une hypercapnie vont progressivement se manifester et entraîner avec une hypertension pulmonaire.
Une ventilation insuffisante, une hypoventilation nocturne et une toux inefficace; ces phénomènes peuvent ensuite entraîner diverses complications telles qu’une prédisposition aux infections et à l’aspiration dans le cas de la toux inefficace.
Il faut qu’il y ait : des symptômes progressifs, une détérioration de la fonction respiratoire, une image radiologique qui se détériore ou l’atteinte de certains organes (coeur, yeux, hypercalcémie).
Les stéroïdes.
- Vrai
- Faux
b
On ne traite pas les patients asymptomatiques.
Faux, il s’agit du granulome non caséeux.
- Vrai
- Faux
b
Même si l'enzyme de conversion de l'angiotensine est élevée dans 50-75% des patients, il n'existe aucune corrélation entre le taux et l'activité de la maladie.
Il y a une augmentation du nombre des macrophages et des lymphocytes T CD4 avec un rapport CD4/CD8 supérieur à la valeur normale de 2.
Il s’agit de l’association d’érythème noueux, d’arthralgie, de fièvre et d’adénopathies hilaires bilatérales; c’est un mode de présentation aigu de la sarcoïdose qui est limité dans le temps et qui se résout spontanément.
L’érythème noueux (nodules rouges, douloureux et surélevés sur la face antérieure des jambes)
Les organes les plus souvent touchés sont les ganglions hilaires et médiastinaux, les poumons, les yeux et la peau.
Aucune. La cause est toujours inconnue
Il y a des infiltrations réticulaires ou réticulo-nodulaires, des images en nid d'abeilles («Honeycombing»), ainsi qu’une perte de volume. Les anomalies sont plus importantes aux régions inférieures.
À l'examen physique, des râles crépitants peuvent être présents (plus importants aux régions inférieures des deux plages pulmonaires), ainsi que l'hippocratisme digital. Des signes d'hypertension pulmonaire et de décompensation cardiaque droite peuvent se présenter dans le cas d’une maladie avancée.
La dyspnée d’effort progressive sur une période de quelques mois à quelques années.
la pneumonite interstitielle (UIP)
L’œdème de la paroi alvéolaire
la pneumonite interstitielle (UIP), la pneumonite desquamative et la bronchiolite respiratoire (DIP/RBILD), la pneumonite interstitielle aiguë (AIP) et la pneumonite interstitielle non spécifique (NSIP)
Les neutrophiles (attirés par des facteurs chimiotactiques libérés par des macrophages activés) libèrent des protéases ainsi que des radicaux libres d'oxygène, deux groupes de substances extrêmement toxiques pour la membrane alvéolaire et l'espace interstitiel.
Un processus immun est suspecté puisqu’il existe des similarités entre la fibrose interstitielle idiopathique et d'autres maladies immunitaires comme les connectivites tant sur le plan clinique que biologique.
Il y a une augmentation du pourcentage des polynucléaires neutrophiles et parfois des éosinophiles. Au début de la maladie, il peut y avoir une augmentation des lymphocytes.
Il est constitué d'environ 8 à 12 millions de cellules, dont 85% de macrophages et 15% de lymphocytes et de rares neutrophiles.
Une maladie parmi: Bronchiectasies, Aspiration, Pneumonite interstitielle desquamative, Fibrose pulmonaire idiopathique, Réactions médicamenteuses, Amiantose, Maladies du collagène...
Au sommet
Faux, la dyspnée est plus souvent insidieuse.
Faux, ils sont généralement âgés de plus de 50 ans.
25 à 40%
- Vrai
- Faux
b
Lorsque le diagnostic est évident à la radiographie pulmonaire, on ne fait pas de tomodensitométrie à haute résolution.
- fibrose pulmonaire idiopathique
- amiantose
- silicose
- sarcoïdose
Il peut y avoir des symptômes de dyspnée ou de toux, une radiographie pulmonaire anormale, des symptômes reliés à la maladie primaire et des anomalies sur des tests de fonction respiratoire.
Toute maladie du parenchyme pulmonaire caractérisée par de l’inflammation et de la fibrose et entraînant des altérations extensives de l’architecture des alvéoles et des voies aériennes.
Les trois mécanismes sont : une maladie neuromusculaire qui limite la capacité des muscles respiratoires à gonfler le poumon, une atteinte de la plèvre ou de la cage thoracique qui compriment le poumon sous-jacent ou limitent son expansion et une atteinte intrinsèque du parenchyme pulmonaire qui diminue la compliance du poumon.
Diminués
La capacité à augmenter son volume suite à un changement de pression.
Le volume d’air d’une respiration normale.
La capacité pulmonaire totale moins le volume résiduel.
Le volume d’air qui peut être expulsé à la fin d’une expiration normale
Vrai
Environ 5 % des fumeurs vont cesser de fumer.
environ 30%
Le déclin du VEMS chez les non-fumeurs est d'environ 25 ml par années.
- Vrai
- Faux
a
On peut observer une augmentation de la tension artérielle, une accélération de la fréquence cardiaque ainsi qu’une vasoconstriction.
Les récepteurs nicotiniques sont stimulés par la nicotine, ce qui mène à la libération de dopamine.
La nicotine
Plus de 70 des 7000 produits chimiques qui composent la fumée de cigarette sont carcinogènes.
La fumée de cigarette est constituée de plus de 7000 produits chimiques.
30%
Vrai
Vrai
La moitié des fumeurs
Le tabagisme, la sédentarité, l’usage nocif de l’alcool et la mauvaise alimentation.
Vrai
Observation, Oxygène, Aspiration à l’aiguille, Drain thoracique et Thoracoscopie avec pleurodèse
Après le deuxième épisode
On peut constater une diminution du murmure vésiculaire et de l’amplitude thoracique; il peut aussi y avoir un emphysème sous-cutané.
- Primaire
- Secondaire
- Traumatique
- Iatrogénique
- Vrai
- Faux
b
Il survient sans évènement précipitant
Les facteurs de risque sont le tabagisme, le sexe masculin et les antécédents familiaux de pneumothorax primaire. (Il survient majoritairement dans la vingtaine)
Emphysème sous-cutané
La radiographie pulmonaire
- tachycardie
- hypoxémie
- hypotension
Faux, le traitement demeure à visée palliative.
Il y a l’épithélial (qui a le meilleur pronostic), le sarcomatoïde (qui évolue rapidement et qui a un pronostic défavorable) et le mixte.
- Vrai
- Faux
b
Il tend davantage à progresser localement qu'à se propager à distance
Comme le principal facteur de risque est l’exposition professionnelle aux fibres d’amiantes, les plus à risque sont les travailleurs de mines d’amiante, des chantiers navals, de bâtiment et dans la fabrication d’objets en amiante (panneaux isolants, plaques de frein).
80% des patients sont des hommes. Ils présentent habituellement:
- dyspnée
- douleur thoracique
- signes d'atteinte de l'état général
Lors de l'évolution de la maladie:
- perte de poids
- asthénie
- fièvre
Il y a un début aigu d’une douleur pleurétique, d’une toux, d’expectoration, d’hyperthermie et d’une leucocytose.
La plèvre pariétale et viscérale s’épaissit et il y a formation d’une coque fibreuse et diminution de l’expansion pulmonaire.
Le streptocoque pneumoniae, le staphylocoque aureus, le streptocoque milleri ainsi que le klebsiella pneumoniae sont les principaux pathogènes.
Augmentation de la pression hydrostatique ou Diminution de la pression oncotique (les transsudats peuvent également être causés par un mouvement de liquide en provenance de l’espace péritonéal.)
Il pourrait y avoir une pancréatite aiguë ou une rupture œsophagienne.
Il pourrait y avoir: infection du liquide pleural, pleurésie tuberculeuse, pleurésie rhumatoïde ou cancer.
- infection
- néoplasie
- maladies du collagène
- pathologies de la cavité abdominale
- médicamenteux
- inflammatoire
- anomalies lymphatiques
- augmentation de la pression intrapleurale
- hypothyroïdie
- idiopathique
Pancréatite, Abcès sous-diaphragmatique et Syndrome de Meigs
Un ou plus (sur trois)
la radiographie pulmonaire
Il peut y avoir: abolition des vibrations vocales, matité franche, diminution ou abolition du murmure vésiculaire et diminution de l’amplitude thoracique
douleur thoracique (pleurétique), dyspnée et toux (Il peut aussi y avoir une atteinte de l’état général)
l’augmentation de la perméabilité, l’augmentation de la pression microvasculaire (pression veineuse), la diminution de la pression pleurale et la diminution de la pression plasmatique oncotique.
Vrai
Lorsqu'on investigue un épanchement pleural idiopathique. Aussi, cette technique permet de diagnostiquer une pleurésie tuberculeuse.
2 feuillets: viscéral et pariétal
Faux, il a une faible teneur en protéines.
Le retrait de l’agent responsable.
Les symptômes sont des myalgies, de la fièvre, de la dyspnée, de la toux et des céphalées; ceux-ci débutent 4 à 8 heures après l’exposition et durent environ 12 heures.
- maladie des climatiseurs
- poumon des soigneurs d'animaux
- maladie des éleveurs d'abeilles
- l'alvéolite des travailleurs du bois
- Poumon du fermier
a,b,d,e
Parmi les agents responsables, on retrouve des moisissures, des bactéries et des protéines animales.
C’est une maladie inflammatoire du poumon résultant habituellement de la sensibilisation à une substance organique à laquelle un individu est exposé de façon répétée.
la démonstration d’une hyperréactivité bronchique par un test à la méthacholine
le latex
l’asthme avec période de latence et l’asthme sans période de latence, aussi appelé le syndrome d’irritation bronchique
Il s'agit d'un facteur de risque au développement d'une sensibilisation aux agents de haut poids moléculaire via des mécanismes immuns.
Le diagnostic se fait par la démonstration de granulomes non caséeux à la biopsie transbronchique ou par thoracoscopie.
Les manifestations principales de la toxicité de ce métal sont dues à une réaction immunitaire conduisant à la formation de granulomes non caséeux semblables à ceux de la sarcoïdose.
La forme chronique
- Foie
- Rate
- Ganglions lymphatiques
- Peau
- Reins
- Coeur
- Os
- Glandes salivaires
- Vrai
- Faux
a
- Pleurésie bénigne de l'amiante
- Plaques pleurales
- Atélectasie ronde
- Mésothéliome malin
- Amiantose
- Cancer du poumon
À la tomodensitométrie à haute résolution, on retrouve une infiltration interstitielle réticulaire associée dans les cas les plus avancés à des changements en nid d’abeille.
des râles crépitants et de l’hippocratisme digital
C’est situé plus souvent à gauche.
Le traitement standard consiste en une polychimiothérapie.
À la radiographie pulmonaire, on note un épanchement pleural souvent accompagné d’une perte de volume de l’hémithorax correspondant.
Les plaques sont des zones de fibrose localisée et circonscrite de la plèvre pariétale. Elles sont un marqueur d’exposition à l’amiante et sont la plupart du temps asymptomatiques.
- Vrai
- Faux
b
Il n'existe pas de relation entre les 2.
Par le signe de la queue de comète qui pointe vers le hile et par une masse périphérique dont la base est accolée à la plèvre
Les effets néfastes de l’amiante se produisent par la libération de radicaux libres d’oxygène et autres médiateurs de l’inflammation par les macrophages et les neutrophiles.
Les fibres amphiboles pénètrent plus profondément dans le poumon et échappent plus facilement aux mécanismes de défense que les fibres serpentines.
serpentine et amphibole.
Il n’existe pas de traitement efficace; le seul moyen de diminuer le risque de développer cette maladie est de protéger les travailleurs à risque.
La tuberculose
La silicose compliquée se manifeste par de la dyspnée, de la toux et la production d’expectorations.
Au microscope, ils sont constitués de trois couches : une zone centrale de collagène dense contenant des particules de silice visibles à la lumière polarisée, une zone intermédiaire faite de couches de collagène hyalinisé et une zone périphérique dense composée de macrophages, de lymphocytes et de collagène.
le type chronique
On peut voir des nodules et une fibrose (souvent progressive)
Les maladies pulmonaires professionnelles sont un ensemble de pathologies qui surviennent chez des travailleurs exposés le plus souvent de façon répétés à différentes substances dans le cadre de l’exercice de leur métier. Les substances inhalées peuvent être des poussières inorganiques, des particules organiques ou des gaz.
l’oxygénothérapie est prescrite en présence d’hypoxémie.
Ils sont utilisés en cas d’insuffisance cardiaque droite avec oedème périphérique.
L’anticoagulation orale (Warfarine) est indiquée dans l’hypertension artérielle pulmonaire idiopathique, familiale, postembolique et associée aux connectivites.
l’échographie cardiaque
Vrai
- Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC)
- Pneumopathies interstitielles
- Syndrome d'apnée du sommeil
- Altitude
- Vrai
- Faux
b
- Hypertrophie de la média
- Fibrose intimale
- Lésions plexiformes
- Thromboses
L’hypertension artérielle pulmonaire se définit par une pression artérielle pulmonaire moyenne > 25 mmHg au repos ou >30 mmHg à l’effort.
Faux, il s’agit d’un facteur vasodilatateur.
- Angiotensine II
- Histamine
- Adénosine
- Endothéline-I
- TNF
c
- Hypoxie
- Système nerveux autonome
- Hypercapnie
- Variation de la pression alvéolaire
- Pression de l’oreillette gauche
- Viscosité sanguine
- Médiateurs vasoactifs.
10 (15/5)
- ventricule droit, pression capillaire bloquée, artère pulmonaire, oreillette gauche, oreillette droite
oreillette droite < oreillette gauche < pression capillaire bloquée < artère pulmonaire < ventricule droit
- Vrai
- Faux
b
À partir de 1mm
- Vrai
- Faux
b
Le poumon est en fait irrigué par une double circulation soit par la circulation bronchique et par la circulation pulmonaire.
Son rôle principal est d’assurer les échanges gazeux alvéolo-capillaires. Elle assure aussi d’autres fonctions accessoires : métabolique (synthèse des médiateurs) et filtre circulatoire.
3%
- Thrombophilie
- Récidives de maladie thromboembolique
3 mois
- Héparine non fractionnée par voie intraveineuse
- Héparine de faible poids moléculaire par voie sous-cutanée
Héparine
Intermédiaire
1,5
Le score de Wells
- Sx ou signes de phlébite
- Autres diagnostics moins probables que l'embolie pulmonaire
- FC > 100/min
- Immobilisation ou chirurgie récente
- ATCD de phlébite ou d'embolie pulmonaire
- Hémoptysies
- Cancer
80%
- Normale
- Probabilité faible (inférieure à 19%)
- Probabilité intermédiaire (20% à 79% de probabilité d'embolie)
- Probabilité élevée (supérieure ou égale à 80% de probabilité)
Vrai
- Infection
- Cancer
- Maladies inflammatoires
- Statut postopératoire
Fibrinogène
- Tachycardie
- Ondes P pulmonaires hautes et pointues
- Déviation axiale droite
- Modifications du complexe QRS
- Opacité triangulaire à base pleurale (signe de Hampton) suggestive d’un infarctus pulmonaire
- Oligémie localisée associée à une artère pulmonaire dilatée (signes Westermark)
- Signes de pneumoconstriction avec élévation d’une coupole diaphragmatique et bandelettes d’atélectasie
- Épanchement pleural
- Dysfonction ventriculaire droite
- Augmentation des pro-BNP
- Thrombus dans le ventricule droit
- Troponine positive
- Tachypnée (fréquence respiratoire ≥ 20/minute)
- Tachycardie
- Râles
- Frottement pleural
- Accentuation de la composante pulmonaire B2
- Bruit – galop
- Température >37,8 oC
- Signes de phlébite
- Cyanose
- Hypotension.
- Dyspnée
- Douleur thoracique
- Toux
- Hémoptysie
- Anxiété
- Syncope.
Fibrinolyse naturelle
- Augmentation de l'espace mort physiologique
- Pneumoconstriction
- Hyperglycémie
- Hypoxémie
c
Touche plus de la moitié du lit vasculaire
- Oblitération mécanique
- Vasoconstriction humorale
- Facteur V Leiden
- Déficit en antithrombine
- Déficit en protéine C-S
- Mutation du gène de la prothrombine
- Chirurgie dans les trois derniers mois
- Traumatisme
- Cancer
- Mobilité réduite (accident cérébrovasculaire, hospitalisation, alitement)
- Obésité
- Obstétrique (grossesse, accouchement, période post-partum)
- Médicaments (contraception orale et hormonothérapie substitutive)
- Insuffisance cardiaque congestive
80%
- Stase sanguine
- Inflammation
- Hypercoagulabilité
Elle est de 3 à 12%
Faux, elle se manifeste typiquement dans les membres inférieurs.
- Thrombose veineuse
- Embolie pulmonaire
Il y a: la Pression Positive Continue (PPC), les orthèses d'avancement mandibulaires, la chirurgie ORL et la perte de poids.
Il y a l’augmentation de l’activité sympathique, de la sécrétion de cortisol, du stress oxydatif et la libération de cytokines pro-inflammatoires.
Du syndrome métabolique, d'intolérance au glucose et du diabète de type II.
l’apnée obstructive
Il y a l'obstructive, c'est-à-dire s'accompagnant d'efforts respiratoires maintenus, la non obstructive, donc caractérisée par l'absence de ceux-ci ou les mixtes, c'est-à-dire composées par la succession de ces deux types d'événements.
Il s’agit d’une réduction de la ventilation s'accompagnant d'une baisse de la SaO2 et/ou d'un micro-éveil.
Une apnée est définie comme étant un arrêt des débits aériens au nez et à la bouche pendant au moins dix secondes.
Ça consiste en l'enregistrement simultané de l'électroencéphalogramme (EEG), l'électromyogramme (EMG sous-mentonnier et du muscle tibial antérieur) et l'électro-oculogrammre (EOG), la saturation artérielle en oxygène (SaO2) par oxymétrie au doigt ou à l'oreille, l'électrocardiogramme, les débits aériens au nez et à la bouche, la direction et l'amplitude des mouvements thoraco-abdominaux par pléthysmographie d'inductance.
- Vrai
- Faux
b
Dans ces niveaux, le nombre de paramètres enregistrés est moindre comparativement à l'étude polysomnographique et ne comprend pas d'électroencéphalogramme.
La probabilité de risque clinique peut être évaluée par un score constitué de: la mesure de la circonférence du cou, la présence ou non d’hypertension artérielle, de ronflements et d’apnées observées par l’entourage.
Il peut y avoir : ronflement, apnées observées, étouffements nocturnes, hypersomnie diurne, surcharge pondérale, anomalies crânio-mandibulaires, anomalies des voies aériennes supérieures, circonférence du cou augmentée, hypertension artérielle et antécédents familiaux
- Vrai
- Faux
b
Elles ne peuvent pas servir à établir un diagnostic.
Un questionnaire de type EPWORTH.
Il faut chercher une macroglossie, une hypertrophie de la luette ou des amygdales, un prolongement postérieur du voile du palais, un aspect flasque de la muqueuse pharyngée, une micro ou rétrognathie et des signes d'obstruction nasale.
Elle est de 77 % dans cette population.
Il s’agit de la fatigue diurne.
l’hypersomnolence, les épisodes de cataplexie (totale ou partielle) survenant à l’occasion d’émotions, les hallucinations hypnagogiques et la paralysie du sommeil
Elle est de l’ordre de 9 à 24 %.
Vrai
Désescalation
Quinolone
Macrolides
Faux, l’antibiothérapie est le plus souvent empirique selon la cause la plus probable.
Faux, un score supérieur à 2 est une indication d’hospitalisation.
Un score supérieur à 2
3,2%
- C pour confusion nouvelle
- U pour urée ≥ 7mmol/l
- R pour fréquence respiratoire ≥ 30/min
- B pour pression systolique <90 mmHg ou pression diastolique <60 mmHg
- 65 pour âge ≥ 65 ans
Classe IV
néoplasie, défaillance cardiaque, maladie cérébrovasculaire, maladie rénale, maladie hépatique
Vrai
- Formule sanguine
- Bilan ionique
- Fonction rénale
- Fonction hépatique
- ECG
test d'antigène urinaire
Par inhalation de micro gouttelettes contaminées.
Legionella pneumophilia
Il s’agit des bronches visibles dû au contraste entre la forte densité alvéolaire et l’air préservé dans les bronches aérées normalement.
Il y aurait une infiltration alvéolaire lobaire avec bronchogramme aérien.
Il y aurait des infiltrations interstitielles diffuses, prédominantes aux bases et ne respectant pas les structures lobaires.
Vrai
- Consolidation
- Souffle tubaire
- Râles localisés
- Signes d’épanchement pleural
- Toux
- Expectorations colorées
- Hyperthermie > 38°C
- Dyspnée
- Malaises généraux
- Douleur thoracique pleurale
P. aeruginosa (24%) et S. aureus résistant à la méthicilline (11%)
S. pneumoniae (44%)
- Vrai
- Faux
b
Faux, il s’agit de la deuxième, tout juste derrière l’infection urinaire.
50 000
- Alcoolisme
- Asthme
- Immunosuppression
- Institutionnalisation
- Âge ≥ 70 ans
La pneumonie survient plus que 2 jours après l’admission du patient ou jusqu’à 14 jours après sa sortie de l’hôpital.
- La pneumonie acquise en communauté
- La pneumonie liée aux soins de santé
- La pneumonie nosocomiale acquise en milieu hospitalier
- La pneumonie acquise sous ventilation
Le tabagisme entrave l’efficacité des mécanismes mucocilliaires chargés de l’élimination des pathogènes inhalés
- Le tabagisme
- Les conditions qui nuisent à l'efficacité du réflexe de la toux
- Troubles neuromusculaires et paralysie d'une corde vocale
- Trachéostomie et tube endotrachéal
- La micro-aspiration de la flore oropharyngée
- L’inhalation de matériel aérosolisé
- L'essaimage hématogène
- Maladie aiguë, fébrile ou non
- Allergie anaphylactique aux œufs ou aux autres composantes du vaccin
Car le vaccin est peu immunogénique pour ce groupe d'âge
- Patients à haut risque de morbidité et de mortalité qui ont reçu le vaccin
- Personnes en contact avec les patients à haut risque qui n'ont pas été vaccinées
- Patients immunosupprimés chez qui le vaccin pourrait ne pas avoir été efficace
- Patients qui ne peuvent pas recevoir le vaccin
- Vrai
- Faux
b
Ils n'ont pas de rôle pour traiter une infection active
- Zanamivir
- Oseltamivir
- Insomnie
- Hallucinations
- Confusion
- Étourdissements
- Chutes
Inhibiteurs de la protéine membranaire M2
Vrai
- Pneumonie virale
- Surinfection bactérienne
- ARDS (syndrome de détresse respiratoire de l’adulte)
- Otite moyenne
- Méningo-encéphalite
Le 5e stade indique qu’il existe une transmission humaine en grappes.
- Température
- Toux
- Myalgies
- Anorexie et nausées
- Céphalée
- Rhinite et conjonctivite
- Jeunes enfants
- Personnes âgées
- Femmes enceintes
- Immunosupprimés ou immuno-naïfs
- Maladies cardiopulmonaires sous-jacentes
Stades 4 et 5
- Nouveauté du virus
- Capacité à infecter l’humain
- Sévérité des infections et leur association à une morbidité et à une mortalité significatives
- Transmission interhumaine
Faux, une pandémie est un accroissement ponctuel de l’incidence d’une maladie limité dans le temps, mais sans restriction géographique.
Une maladie qui est active de façon constante ou régulièrement récurrente dans une population donnée.
La grippe saisonnière qui revient à chaque hiver
La dérive est un processus lent et limité qui se produit lorsqu’un virion dont le matériel génétique a été incorrectement reproduit ou altéré survit et demeure compatible avec le cycle de vie viral.
- Dérive génétique
- Réarrangement génétique
- 15 hémagglutinines
- 9 neuraminidases
Ces protéines de surface de l’influenzae A détachent les nouveaux virions de la membrane cellulaire une fois leur cycle de maturation complété.
Ces protéines de surfaces de l’influenzae A permettent l’adhésion du virus aux cellules de l’hôte.
Influenzae A
Essentiellement des syndromes infectieux mineurs des voies aériennes supérieures chez l'enfant et le jeune adulte.
Covid-19
- fièvre
- toux sèche
- fatigue
- perte d'odorat
Mycobacterium kansasii
Mycobacterium bovis
- Maladies hépatiques préexistantes
- Médications hépatotoxiques
- Antécédents d’abus d’alcool
- Patients âgés de plus de 34 ans
- Femmes enceintes ou ayant accouché il y a moins de 3 mois
Rifampicine
Le régime de 6 mois est composé des antibiotiques INH + RMP + PZA pour une durée de 2 mois suivi des antibiotiques INH + RMP pour une durée de 4 mois. Le régime de 9 mois est composé des antibiotiques INH + RMP pour toute la durée du traitement.
Une antibiothérapie prolongée; notamment avec l’isoniazide (INH), la rifampicine (RMP), la pyrazinamide (PZA) et l’éthambutol (EMB).
Vrai
- Mauvaise technique d’injection ou de lecture
- Immunodépression
- Malnutrition, une maladie grave (y compris une tuberculose active)
- Maladie virale active à l’exception du rhume
- Très jeune âge (moins de 6 mois)
- Infection à VIH
- Contact étroit avec un cas contagieux actif
- Enfant soupçonné de souffrir d’une tuberculose active
- Radiographie anormale montrant des anomalies fibronodulaires
- Autres déficiences immunes (chimiothérapie, corticostéroïdes, inhibiteurs du TNFalpha).
Un PPD positif n’est jamais suffisant pour porter un diagnostic de tuberculose-maladie, il n’est qu’un marqueur d’une primo-infection passée.
Type IV
Le diagnostic définitif repose sur la mise en évidence par coloration, culture et/ou analyse génétique de bacilles tuberculeux dans les spécimens soumis.
La symptomatologie clinique comprend une douleur pleurétique et de la dyspnée.
Vrai
Il s'agit d'un syndrome aigu constitué de fièvre, dyspnée, tachypnée, cyanose et atteinte importante de l'état général.(De plus, cette forme disséminée s'associe souvent à une méningite, à une hépatomégalie, une splénomégalie et une lymphadénopathie.)
Une zone de nécrose caséeuse
L’atteinte osseuse due à la tuberculose
Il peut y avoir une cicatrice parenchymateuse calcifiée (foyer de Ghön) quelquefois associée à une adénopathie hilaire aussi calcifiée (complexe de Ranke).
Sous forme de pneumonie (ex : pneumonie bactérienne typique). D'ailleurs les poumons sont les premiers touchés dans la majorité des cas d'infections tuberculeuses.
Vrai.
Faux
3 à 10%
Complexe de Ranke
Foyer de Ghon
- Fatigue
- Anorexie
- Amaigrissement
- Fièvre légère intermittente
- Sudation nocturne
- Toux
- Sécrétions mucoïdes ou franchement purulentes
- Hémoptysies
Dans les zones bien ventilées du parenchyme : lobe inférieur, lobe moyen, lingula
Par inhalation de microgouttelettes dont le diamètre est de 1 à 5 µ.
Sanatoriums
Collapsothérapie
Phtisie
6 à 8 semaines
- Coloration de Ziehl-Neelsen
- Coloration fluorescente à l’auramine O
Faux
- Vrai
- Faux
b
La plupart ne sont que des contaminants de l'environnement
La résection chirurgicale est le traitement de choix. (Note : seulement 30 % des malades seront considérés résécables au moment du diagnostic).
Faux, il est recommandé d’administrer de la chimiothérapie après toute chirurgie pour un cancer du poumon à l’exception des stades I.
Infarctus récent, Angine instable, Insuffisance cardiaque sévère et HTA sévère non contrôlée
Les stades 0, IA, IB, IIA, et IIB sont habituellement traités par la chirurgie.
- Vrai
- Faux
b
Ils sont d'emblée inopérables
T : tumeur primaire, N : adénopathies régionales et M : métastase à distance
Ils sont situés (le plus souvent) en périphérie du poumon.
- Vrai
- Faux
a
syndromes d'hypercoagulabilité et d'ostéo-arthropathie
Le syndrome de sécrétion inappropriée de l'ADH et le syndrome de Cushing sont fréquents dans cette maladie.
hippocratisme digital et l'hypercalcémie
2/3 des personnes touchées ont déjà des métastases au moment du diagnostic.
Vrai
Ce syndrome est défini comme une tumeur de l'apex pulmonaire avec une extension par contiguïté à la paroi thoracique, les racines nerveuses C8 et D1 et le ganglion stellaire, causant ainsi de la douleur à l'épaule irradiant à la face cubitale du bras et un syndrome de Claude-Bernard-Horner (myosis, ptose palpébrale et anhidrose).
Il s'agit de symptômes survenant dans des systèmes autres que le poumon et ce, sans qu'il y ait de métastase.
Toux, Dyspnée – obstructive, Hémoptysie, Stridor – wheezing et Pneumonie
Le foie
autres < cerveau < surrénales < os < foie
Les gènes RB1 et P53
Toux, perte de poids et dyspnée
Faux, le risque est accru de 6.1 fois.
Ils causent des dommages au niveau de l’ADN, altérant ainsi la fonction normale de la cellule
l'amiante, le chrome, le nickel, l'uranium, les hydrocarbones polycycliques aromatiques, l'arsenic, les éthers de chlorométhyle et les radio-isotopes.
Il est de 13% et de 18% chez les hommes et les femmes respectivement.
Vrai
Une hypoxémie et une hypercapnie vont progressivement se manifester et entraîner avec une hypertension pulmonaire.
Une ventilation insuffisante, une hypoventilation nocturne et une toux inefficace; ces phénomènes peuvent ensuite entraîner diverses complications telles qu’une prédisposition aux infections et à l’aspiration dans le cas de la toux inefficace.
Il faut qu’il y ait : des symptômes progressifs, une détérioration de la fonction respiratoire, une image radiologique qui se détériore ou l’atteinte de certains organes (coeur, yeux, hypercalcémie).
Les stéroïdes.
- Vrai
- Faux
b
On ne traite pas les patients asymptomatiques.
Faux, il s’agit du granulome non caséeux.
- Vrai
- Faux
b
Même si l'enzyme de conversion de l'angiotensine est élevée dans 50-75% des patients, il n'existe aucune corrélation entre le taux et l'activité de la maladie.
Il y a une augmentation du nombre des macrophages et des lymphocytes T CD4 avec un rapport CD4/CD8 supérieur à la valeur normale de 2.
Il s’agit de l’association d’érythème noueux, d’arthralgie, de fièvre et d’adénopathies hilaires bilatérales; c’est un mode de présentation aigu de la sarcoïdose qui est limité dans le temps et qui se résout spontanément.
L’érythème noueux (nodules rouges, douloureux et surélevés sur la face antérieure des jambes)
Les organes les plus souvent touchés sont les ganglions hilaires et médiastinaux, les poumons, les yeux et la peau.
Aucune. La cause est toujours inconnue
Il y a des infiltrations réticulaires ou réticulo-nodulaires, des images en nid d'abeilles («Honeycombing»), ainsi qu’une perte de volume. Les anomalies sont plus importantes aux régions inférieures.
À l'examen physique, des râles crépitants peuvent être présents (plus importants aux régions inférieures des deux plages pulmonaires), ainsi que l'hippocratisme digital. Des signes d'hypertension pulmonaire et de décompensation cardiaque droite peuvent se présenter dans le cas d’une maladie avancée.
La dyspnée d’effort progressive sur une période de quelques mois à quelques années.
la pneumonite interstitielle (UIP)
L’œdème de la paroi alvéolaire
la pneumonite interstitielle (UIP), la pneumonite desquamative et la bronchiolite respiratoire (DIP/RBILD), la pneumonite interstitielle aiguë (AIP) et la pneumonite interstitielle non spécifique (NSIP)
Les neutrophiles (attirés par des facteurs chimiotactiques libérés par des macrophages activés) libèrent des protéases ainsi que des radicaux libres d'oxygène, deux groupes de substances extrêmement toxiques pour la membrane alvéolaire et l'espace interstitiel.
Un processus immun est suspecté puisqu’il existe des similarités entre la fibrose interstitielle idiopathique et d'autres maladies immunitaires comme les connectivites tant sur le plan clinique que biologique.
Il y a une augmentation du pourcentage des polynucléaires neutrophiles et parfois des éosinophiles. Au début de la maladie, il peut y avoir une augmentation des lymphocytes.
Il est constitué d'environ 8 à 12 millions de cellules, dont 85% de macrophages et 15% de lymphocytes et de rares neutrophiles.
Une maladie parmi: Bronchiectasies, Aspiration, Pneumonite interstitielle desquamative, Fibrose pulmonaire idiopathique, Réactions médicamenteuses, Amiantose, Maladies du collagène...
Au sommet
Faux, la dyspnée est plus souvent insidieuse.
Faux, ils sont généralement âgés de plus de 50 ans.
25 à 40%
- Vrai
- Faux
b
Lorsque le diagnostic est évident à la radiographie pulmonaire, on ne fait pas de tomodensitométrie à haute résolution.
- fibrose pulmonaire idiopathique
- amiantose
- silicose
- sarcoïdose
Il peut y avoir des symptômes de dyspnée ou de toux, une radiographie pulmonaire anormale, des symptômes reliés à la maladie primaire et des anomalies sur des tests de fonction respiratoire.
Toute maladie du parenchyme pulmonaire caractérisée par de l’inflammation et de la fibrose et entraînant des altérations extensives de l’architecture des alvéoles et des voies aériennes.
Les trois mécanismes sont : une maladie neuromusculaire qui limite la capacité des muscles respiratoires à gonfler le poumon, une atteinte de la plèvre ou de la cage thoracique qui compriment le poumon sous-jacent ou limitent son expansion et une atteinte intrinsèque du parenchyme pulmonaire qui diminue la compliance du poumon.
Diminués
La capacité à augmenter son volume suite à un changement de pression.
Le volume d’air d’une respiration normale.
La capacité pulmonaire totale moins le volume résiduel.
Le volume d’air qui peut être expulsé à la fin d’une expiration normale
Vrai
Environ 5 % des fumeurs vont cesser de fumer.
environ 30%
Le déclin du VEMS chez les non-fumeurs est d'environ 25 ml par années.
- Vrai
- Faux
a
On peut observer une augmentation de la tension artérielle, une accélération de la fréquence cardiaque ainsi qu’une vasoconstriction.
Les récepteurs nicotiniques sont stimulés par la nicotine, ce qui mène à la libération de dopamine.
La nicotine
Plus de 70 des 7000 produits chimiques qui composent la fumée de cigarette sont carcinogènes.
La fumée de cigarette est constituée de plus de 7000 produits chimiques.
30%
Vrai
Vrai
La moitié des fumeurs
Le tabagisme, la sédentarité, l’usage nocif de l’alcool et la mauvaise alimentation.
Vrai
Observation, Oxygène, Aspiration à l’aiguille, Drain thoracique et Thoracoscopie avec pleurodèse
Après le deuxième épisode
On peut constater une diminution du murmure vésiculaire et de l’amplitude thoracique; il peut aussi y avoir un emphysème sous-cutané.
- Primaire
- Secondaire
- Traumatique
- Iatrogénique
- Vrai
- Faux
b
Il survient sans évènement précipitant
Les facteurs de risque sont le tabagisme, le sexe masculin et les antécédents familiaux de pneumothorax primaire. (Il survient majoritairement dans la vingtaine)
Emphysème sous-cutané
La radiographie pulmonaire
- tachycardie
- hypoxémie
- hypotension
Faux, le traitement demeure à visée palliative.
Il y a l’épithélial (qui a le meilleur pronostic), le sarcomatoïde (qui évolue rapidement et qui a un pronostic défavorable) et le mixte.
- Vrai
- Faux
b
Il tend davantage à progresser localement qu'à se propager à distance
Comme le principal facteur de risque est l’exposition professionnelle aux fibres d’amiantes, les plus à risque sont les travailleurs de mines d’amiante, des chantiers navals, de bâtiment et dans la fabrication d’objets en amiante (panneaux isolants, plaques de frein).
80% des patients sont des hommes. Ils présentent habituellement:
- dyspnée
- douleur thoracique
- signes d'atteinte de l'état général
Lors de l'évolution de la maladie:
- perte de poids
- asthénie
- fièvre
Il y a un début aigu d’une douleur pleurétique, d’une toux, d’expectoration, d’hyperthermie et d’une leucocytose.
La plèvre pariétale et viscérale s’épaissit et il y a formation d’une coque fibreuse et diminution de l’expansion pulmonaire.
Le streptocoque pneumoniae, le staphylocoque aureus, le streptocoque milleri ainsi que le klebsiella pneumoniae sont les principaux pathogènes.
Augmentation de la pression hydrostatique ou Diminution de la pression oncotique (les transsudats peuvent également être causés par un mouvement de liquide en provenance de l’espace péritonéal.)
Il pourrait y avoir une pancréatite aiguë ou une rupture œsophagienne.
Il pourrait y avoir: infection du liquide pleural, pleurésie tuberculeuse, pleurésie rhumatoïde ou cancer.
- infection
- néoplasie
- maladies du collagène
- pathologies de la cavité abdominale
- médicamenteux
- inflammatoire
- anomalies lymphatiques
- augmentation de la pression intrapleurale
- hypothyroïdie
- idiopathique
Pancréatite, Abcès sous-diaphragmatique et Syndrome de Meigs
Un ou plus (sur trois)
la radiographie pulmonaire
Il peut y avoir: abolition des vibrations vocales, matité franche, diminution ou abolition du murmure vésiculaire et diminution de l’amplitude thoracique
douleur thoracique (pleurétique), dyspnée et toux (Il peut aussi y avoir une atteinte de l’état général)
l’augmentation de la perméabilité, l’augmentation de la pression microvasculaire (pression veineuse), la diminution de la pression pleurale et la diminution de la pression plasmatique oncotique.
Vrai
Lorsqu'on investigue un épanchement pleural idiopathique. Aussi, cette technique permet de diagnostiquer une pleurésie tuberculeuse.
2 feuillets: viscéral et pariétal
Faux, il a une faible teneur en protéines.
Le retrait de l’agent responsable.
Les symptômes sont des myalgies, de la fièvre, de la dyspnée, de la toux et des céphalées; ceux-ci débutent 4 à 8 heures après l’exposition et durent environ 12 heures.
- maladie des climatiseurs
- poumon des soigneurs d'animaux
- maladie des éleveurs d'abeilles
- l'alvéolite des travailleurs du bois
- Poumon du fermier
a,b,d,e
Parmi les agents responsables, on retrouve des moisissures, des bactéries et des protéines animales.
C’est une maladie inflammatoire du poumon résultant habituellement de la sensibilisation à une substance organique à laquelle un individu est exposé de façon répétée.
la démonstration d’une hyperréactivité bronchique par un test à la méthacholine
le latex
l’asthme avec période de latence et l’asthme sans période de latence, aussi appelé le syndrome d’irritation bronchique
Il s'agit d'un facteur de risque au développement d'une sensibilisation aux agents de haut poids moléculaire via des mécanismes immuns.
Le diagnostic se fait par la démonstration de granulomes non caséeux à la biopsie transbronchique ou par thoracoscopie.
Les manifestations principales de la toxicité de ce métal sont dues à une réaction immunitaire conduisant à la formation de granulomes non caséeux semblables à ceux de la sarcoïdose.
La forme chronique
- Foie
- Rate
- Ganglions lymphatiques
- Peau
- Reins
- Coeur
- Os
- Glandes salivaires
- Vrai
- Faux
a
- Pleurésie bénigne de l'amiante
- Plaques pleurales
- Atélectasie ronde
- Mésothéliome malin
- Amiantose
- Cancer du poumon
À la tomodensitométrie à haute résolution, on retrouve une infiltration interstitielle réticulaire associée dans les cas les plus avancés à des changements en nid d’abeille.
des râles crépitants et de l’hippocratisme digital
C’est situé plus souvent à gauche.
Le traitement standard consiste en une polychimiothérapie.
À la radiographie pulmonaire, on note un épanchement pleural souvent accompagné d’une perte de volume de l’hémithorax correspondant.
Les plaques sont des zones de fibrose localisée et circonscrite de la plèvre pariétale. Elles sont un marqueur d’exposition à l’amiante et sont la plupart du temps asymptomatiques.
- Vrai
- Faux
b
Il n'existe pas de relation entre les 2.
Par le signe de la queue de comète qui pointe vers le hile et par une masse périphérique dont la base est accolée à la plèvre
Les effets néfastes de l’amiante se produisent par la libération de radicaux libres d’oxygène et autres médiateurs de l’inflammation par les macrophages et les neutrophiles.
Les fibres amphiboles pénètrent plus profondément dans le poumon et échappent plus facilement aux mécanismes de défense que les fibres serpentines.
serpentine et amphibole.
Il n’existe pas de traitement efficace; le seul moyen de diminuer le risque de développer cette maladie est de protéger les travailleurs à risque.
La tuberculose
La silicose compliquée se manifeste par de la dyspnée, de la toux et la production d’expectorations.
Au microscope, ils sont constitués de trois couches : une zone centrale de collagène dense contenant des particules de silice visibles à la lumière polarisée, une zone intermédiaire faite de couches de collagène hyalinisé et une zone périphérique dense composée de macrophages, de lymphocytes et de collagène.
le type chronique
On peut voir des nodules et une fibrose (souvent progressive)
Les maladies pulmonaires professionnelles sont un ensemble de pathologies qui surviennent chez des travailleurs exposés le plus souvent de façon répétés à différentes substances dans le cadre de l’exercice de leur métier. Les substances inhalées peuvent être des poussières inorganiques, des particules organiques ou des gaz.
l’oxygénothérapie est prescrite en présence d’hypoxémie.
Ils sont utilisés en cas d’insuffisance cardiaque droite avec oedème périphérique.
L’anticoagulation orale (Warfarine) est indiquée dans l’hypertension artérielle pulmonaire idiopathique, familiale, postembolique et associée aux connectivites.
l’échographie cardiaque
Vrai
- Maladie pulmonaire obstructive chronique (MPOC)
- Pneumopathies interstitielles
- Syndrome d'apnée du sommeil
- Altitude
- Vrai
- Faux
b
- Hypertrophie de la média
- Fibrose intimale
- Lésions plexiformes
- Thromboses
L’hypertension artérielle pulmonaire se définit par une pression artérielle pulmonaire moyenne > 25 mmHg au repos ou >30 mmHg à l’effort.
Faux, il s’agit d’un facteur vasodilatateur.
- Angiotensine II
- Histamine
- Adénosine
- Endothéline-I
- TNF
c
- Hypoxie
- Système nerveux autonome
- Hypercapnie
- Variation de la pression alvéolaire
- Pression de l’oreillette gauche
- Viscosité sanguine
- Médiateurs vasoactifs.
10 (15/5)
- ventricule droit, pression capillaire bloquée, artère pulmonaire, oreillette gauche, oreillette droite
oreillette droite < oreillette gauche < pression capillaire bloquée < artère pulmonaire < ventricule droit
- Vrai
- Faux
b
À partir de 1mm
- Vrai
- Faux
b
Le poumon est en fait irrigué par une double circulation soit par la circulation bronchique et par la circulation pulmonaire.
Son rôle principal est d’assurer les échanges gazeux alvéolo-capillaires. Elle assure aussi d’autres fonctions accessoires : métabolique (synthèse des médiateurs) et filtre circulatoire.
3%
- Thrombophilie
- Récidives de maladie thromboembolique
3 mois
- Héparine non fractionnée par voie intraveineuse
- Héparine de faible poids moléculaire par voie sous-cutanée
Héparine
Intermédiaire
1,5
Le score de Wells
- Sx ou signes de phlébite
- Autres diagnostics moins probables que l'embolie pulmonaire
- FC > 100/min
- Immobilisation ou chirurgie récente
- ATCD de phlébite ou d'embolie pulmonaire
- Hémoptysies
- Cancer
80%
- Normale
- Probabilité faible (inférieure à 19%)
- Probabilité intermédiaire (20% à 79% de probabilité d'embolie)
- Probabilité élevée (supérieure ou égale à 80% de probabilité)
Vrai
- Infection
- Cancer
- Maladies inflammatoires
- Statut postopératoire
Fibrinogène
- Tachycardie
- Ondes P pulmonaires hautes et pointues
- Déviation axiale droite
- Modifications du complexe QRS
- Opacité triangulaire à base pleurale (signe de Hampton) suggestive d’un infarctus pulmonaire
- Oligémie localisée associée à une artère pulmonaire dilatée (signes Westermark)
- Signes de pneumoconstriction avec élévation d’une coupole diaphragmatique et bandelettes d’atélectasie
- Épanchement pleural
- Dysfonction ventriculaire droite
- Augmentation des pro-BNP
- Thrombus dans le ventricule droit
- Troponine positive
- Tachypnée (fréquence respiratoire ≥ 20/minute)
- Tachycardie
- Râles
- Frottement pleural
- Accentuation de la composante pulmonaire B2
- Bruit – galop
- Température >37,8 oC
- Signes de phlébite
- Cyanose
- Hypotension.
- Dyspnée
- Douleur thoracique
- Toux
- Hémoptysie
- Anxiété
- Syncope.
Fibrinolyse naturelle
- Augmentation de l'espace mort physiologique
- Pneumoconstriction
- Hyperglycémie
- Hypoxémie
c
Touche plus de la moitié du lit vasculaire
- Oblitération mécanique
- Vasoconstriction humorale
- Facteur V Leiden
- Déficit en antithrombine
- Déficit en protéine C-S
- Mutation du gène de la prothrombine
- Chirurgie dans les trois derniers mois
- Traumatisme
- Cancer
- Mobilité réduite (accident cérébrovasculaire, hospitalisation, alitement)
- Obésité
- Obstétrique (grossesse, accouchement, période post-partum)
- Médicaments (contraception orale et hormonothérapie substitutive)
- Insuffisance cardiaque congestive
80%
- Stase sanguine
- Inflammation
- Hypercoagulabilité
Elle est de 3 à 12%
Faux, elle se manifeste typiquement dans les membres inférieurs.
- Thrombose veineuse
- Embolie pulmonaire
Il y a: la Pression Positive Continue (PPC), les orthèses d'avancement mandibulaires, la chirurgie ORL et la perte de poids.
Il y a l’augmentation de l’activité sympathique, de la sécrétion de cortisol, du stress oxydatif et la libération de cytokines pro-inflammatoires.
Du syndrome métabolique, d'intolérance au glucose et du diabète de type II.
l’apnée obstructive
Il y a l'obstructive, c'est-à-dire s'accompagnant d'efforts respiratoires maintenus, la non obstructive, donc caractérisée par l'absence de ceux-ci ou les mixtes, c'est-à-dire composées par la succession de ces deux types d'événements.
Il s’agit d’une réduction de la ventilation s'accompagnant d'une baisse de la SaO2 et/ou d'un micro-éveil.
Une apnée est définie comme étant un arrêt des débits aériens au nez et à la bouche pendant au moins dix secondes.
Ça consiste en l'enregistrement simultané de l'électroencéphalogramme (EEG), l'électromyogramme (EMG sous-mentonnier et du muscle tibial antérieur) et l'électro-oculogrammre (EOG), la saturation artérielle en oxygène (SaO2) par oxymétrie au doigt ou à l'oreille, l'électrocardiogramme, les débits aériens au nez et à la bouche, la direction et l'amplitude des mouvements thoraco-abdominaux par pléthysmographie d'inductance.
- Vrai
- Faux
b
Dans ces niveaux, le nombre de paramètres enregistrés est moindre comparativement à l'étude polysomnographique et ne comprend pas d'électroencéphalogramme.
La probabilité de risque clinique peut être évaluée par un score constitué de: la mesure de la circonférence du cou, la présence ou non d’hypertension artérielle, de ronflements et d’apnées observées par l’entourage.
Il peut y avoir : ronflement, apnées observées, étouffements nocturnes, hypersomnie diurne, surcharge pondérale, anomalies crânio-mandibulaires, anomalies des voies aériennes supérieures, circonférence du cou augmentée, hypertension artérielle et antécédents familiaux
- Vrai
- Faux
b
Elles ne peuvent pas servir à établir un diagnostic.
Un questionnaire de type EPWORTH.
Il faut chercher une macroglossie, une hypertrophie de la luette ou des amygdales, un prolongement postérieur du voile du palais, un aspect flasque de la muqueuse pharyngée, une micro ou rétrognathie et des signes d'obstruction nasale.
Elle est de 77 % dans cette population.
Il s’agit de la fatigue diurne.
l’hypersomnolence, les épisodes de cataplexie (totale ou partielle) survenant à l’occasion d’émotions, les hallucinations hypnagogiques et la paralysie du sommeil
Elle est de l’ordre de 9 à 24 %.
Vrai