Utilisateur:Isabelle Thibault/Brouillons/Toux aiguë (approche clinique)

De Wikimedica
Toux aiguë
Approche clinique
Caractéristiques
Symptômes discriminants Rhinorrhée, Myalgies, Nausées, Dyspnée (symptôme), Céphalée (symptôme), Expectorations, Sueurs nocturnes, Douleur thoracique (symptôme), Pyrosis, Toux (symptôme), ... [+]
Signes cliniques discriminants
Bronchophonie (signe clinique), Ronchi (signe clinique), Diminution du murmure vésiculaire, Signe clinique discriminant 1, Rhinorrhée et muqueuse nasale tuméfiée, Les sibilants ou Wheezing, Les crépitants, Le stridor, Température corporelle élevée (signe clinique)
Examens paracliniques
Radiographie thoracique, Bronchoscopie, Examen paraclinique 1, Angio scanner, Scintigraphie pulmonaire
Drapeaux rouges
Drapeau rouge, Tabagisme, Dysphagie, Stridor, Détresse respiratoire, Immunodéficience, Difficultés respiratoires, Inhalation d'un corps étranger, Hémoptysies (signe clinique), Vomissement (signe clinique), ... [+]
Informations
Terme anglais Acute cough
Wikidata ID Q35805
Spécialités Pneumologie, infectiologie, cardiologie, médecine d'urgence, médecine de famille, allergologie

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Objectif du CMC
Toux (18)

La toux est une action réflexe du tractus respiratoire permettant de dégager les voies respiratoires supérieures. C’est un symptôme fréquent et peu spécifique.[1][2][3] La toux peut être aiguë ou chronique[3]:

  • aiguë < 3 semaines
  • chronique > 3 semaines.

Cette page concerne la toux aiguë, pour la toux chronique, voir Toux chronique (approche clinique).

Épidémiologie

La toux est l’une des symptômes les plus courants pour lesquels des soins ambulatoires sont recherchés auprès des cliniciens. L’évaluation et la gestion de la toux peuvent représenter jusqu'à 40 % de consultations auprès des cliniciens.[4]

Étiologies

Les principales causes de la toux aiguë sont :

Physiopathologie

La toux est une action réflexe du tractus respiratoire ayant pour but de dégager les voies respiratoires supérieures. Il en résulte d’une irritation des récepteurs de la toux aux stimuli mécaniques et chimiques. Divers mécanismes physiopathologiques peuvent mener à la toux par des récepteurs, dépendamment de l'étiologie. Ces récepteurs se retrouvent au niveau de l'épithélium des voies respiratoires supérieures et inférieures, le péricarde, l'œsophage, le diaphragme et l'estomac. Les récepteurs chimiques sensibles à l'acide, au froid, à la chaleur, aux composés de type capsaïcine et à d'autres irritants chimiques déclenchent le réflexe de toux via l'activation des canaux ioniques Au niveau des voies respiratoires supérieures, la toux peut notamment être due à un écoulement post-nasal, une irritation directe ou une inflammation des récepteurs. De plus, les récepteurs mécaniques de la toux peuvent être stimulés par des déclencheurs tels que le toucher ou le déplacement. Les impulsions des récepteurs de la toux stimulée traversent une voie afférente par le nerf vague vers le centre de la toux dans la moelle. Ce processus est en partie sous un certain contrôle des centres corticaux supérieurs. La toux involontaire est régulée par des afférences nerveuses vagales. Il y a toutefois un important contrôle cortical pouvant se manifester par l'inhibition de la toux ou par une toux volontaire. Par conséquent, l'effet placebo peut avoir un effet important sur la toux. Pour la même raison, des problématiques psychologiques peuvent causer la toux. [7][2][1]

Évaluation clinique

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les principaux facteurs de risque discriminants à l'histoire. Ces facteurs de risques servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les facteurs de risque discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Facteur de risque discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Facteur de risque est utilisé exclusivement sur les pages de maladie et de classe de maladie.
  • Les antécédents personnels, familiaux, les habitudes de vie et les médicaments sont détaillés dans cette section (et non dans la section Questionnaire).
  • Cette section ne détaille pas les facteurs de risque d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les facteurs de risque à rechercher chez les patients qui se présentent avec céphalée sont :
  • des antécédents personnels de migraine [Facteur de risque discriminant] qui pourront indiquer cette pathologie
  • des antécédents personnels de cancer [Facteur de risque discriminant], un drapeau rouge qui évoque des métastases cérébrales
  • l'utilisation chronique de médicaments pour les céphalées [Facteur de risque discriminant] qui pourrait entraîner une céphalée de surconsommation médicamenteuse
  • le tabagisme [Facteur de risque discriminant], pouvant indiquer des métastases cérébrales.

Les facteurs de risque à rechercher [8]sont :

Questionnaire

La section facultative Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Cette section liste des symptômes discriminants au questionnaire.
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Questionnaire, Symptôme discriminant et Élément d'histoire discriminant.
  • Ces éléments servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Questionnaire, Symptôme discriminant, Élément d'histoire discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les symptômes discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Symptôme discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Symptôme est utilisé exclusivement sur les pages de Maladie et de Classe de maladie.
  • Les éléments d'histoire discriminants se distinguent des symptômes. Par exemple, la chute dans une page d'approche clinique de la céphalée aiguë est un élément d'histoire discriminant (modèle Élément d'histoire discriminant), et non un symptôme.
  • Le modèle Élément d'histoire discriminants est utilisé exclusivement sur les pages de type Approche clinique. Le modèle Élément d'histoire est utilisé sur les pages de type Maladie et Classe de maladie.
  • Cette section ne détaille pas l'histoire d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Chez les patients atteints de dyspnée aiguë, les symptômes à rechercher sont :
  • au questionnaire cardiaque [Questionnaire] :
    • l'oedème des membres inférieurs [Symptôme discriminant], qui évoque une insuffisance cardiaque décompensée
    • une douleur thoracique [Symptôme discriminant] qui évoque un syndrome coronarien aigu, une insuffisance cardiaque décompensée ou une embolie pulmonaire
    • la lipothymie [Symptôme discriminant] et la la syncope [Symptôme discriminant], qui pourront être présents lors du syndrome coronarien aigu, de l'arrythmie et de l'embolie pulmonaire
    • etc.
  • au questionnaire pulmonaire [Questionnaire]
    • la toux [Symptôme discriminant], présente dans la pneumonie et l'EAMPOC et parfois dans l'embolie pulmonaire et l'insuffisance cardiaque
    • les crachats [Symptôme discriminant], présents dans la pneumonie et l'EAMPOC
    • les hémoptysies [Symptôme discriminant] sont un symptôme grave qui indique une potentielle embolie pulmonaire
    • un traumatisme récent [Élément d'histoire discriminant] évoque une fracture de côte ou une costo-chondrite
  • etc.

Chez les patients atteints par cette problématique, les symptômes à rechercher au questionnaire sont :

Questionnaire devant une toux
À l'anamnèse de la maladie actuelle Elle doit déterminer la durée et les caractéristiques de la toux:

Poser des questions sur les facteurs déclenchants:

À la revue des systèmes On doit rechercher des symptômes de cause possible:
À la recherche des antécédents médicaux Elle doit porter sur des infections respiratoires récentes (c'est-à-dire, au cours des 1 à 2 mois précédents) et il faut questionner[14]:
Le mode d'apparition et la chronologie
  • une toux aiguë (< 3 semaines)
  • une toux chronique (3 semaines ou plus)[note 1]
Les événements déclencheurs et les facteurs aggravants
  • l'exposition
    1. Antigènes
    2. Fumée tabagique, ceci est notamment le cas chez les enfants.[1]
  • les médicaments
    1. La prise de bêtabloqueurs chez les patients asthmatiques peut causer une exacerbation de cette pathologie.[1]
    2. Prise d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IECA).[1]
  • le décubitus dorsal
    1. Dyspnée paroxystique nocturne
La qualité de la toux
L'intensité et la sévérité de la toux Une description de la quantité et de la fréquence de la toux peuvent aider à orienter l'étiologie

Examen clinique

La section facultative Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Cette section traite des signes à rechercher à l'examen clinique qui permettent de différencier les étiologies entre elles.
  • Cette section doit faire l'usage du modèle Examen clinique et du modèle Signe clinique discriminant.
  • Ces éléments servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les examens cliniques et les signes cliniques discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Signe clinique discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Signe clinique est utilisé exclusivement sur les pages de maladie et de classe de maladie.
  • Cette section ne détaille pas l'examen clinique et les signes cliniques d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Chez les patients atteints d'une dyspnée aiguë, les éléments suivants sont à rechercher à l'examen clinique :
  • à l'examen cardiaque [Examen clinique] :
    • un souffle systolique [Signe clinique discriminant] indique une sténose aortique critique
    • de l'oedème des membres inférieurs [Signe clinique discriminant] indique une insuffisance cardiaque décompensée
    • la TVC augmentée [Signe clinique discriminant] évoque une insuffisance cardiaque décompensée ou sera présent dans 13% des embolies pulmonaires
  • à l'examen pulmonaire [Examen clinique] :
    • des crépitants [Signe clinique discriminant] en présence d'une pneumonie ou d'une surcharge secondaire à une insuffisance cardiaque décompensée.
    • des sibilances [Signe clinique discriminant] en cas d'asthme, d'EAMPOC et parfois d'insuffisance cardiaque.

À l'examen physique, il est pertinent de rechercher les éléments suivants :

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit les examens paracliniques (ex. laboratoires, imageries, etc.) à effectuer pour cette approche clinique. Les signes paracliniques discriminants orientant vers une étiologie particulière ou une complication sont listés.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique discriminant
Commentaires:
 
  • En lisant cette section, le lecteur devrait être en mesure de comprendre les indications et les signes paracliniques attendus pour chaque examen paraclinique, ce qui lui permettra d'avoir une compréhension approfondie de la manière d'utiliser les examens paracliniques pour naviguer le diagnostic différentiel et diagnostiquer la maladie. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Chaque examen paraclinique devrait être défini à l'aide d'une propriété sémantique de type Examen paraclinique. Le modèle Signe paraclinique n'est pas utilisé.
  • La liste à puce ou le tableau sont les formats à utiliser. Lorsque la liste à puce est utilisée, celle-ci est toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les examens paracliniques suggérés dans le cas d'une céphalée aiguë sont :
  • une tomodensitométrie cérébrale sans contraste [Examen paraclinique] pour éliminer un saignement intracrânien [Signe paraclinique discriminant] (AVC démorragique) et des masses intracrâniennes [Signe paraclinique discriminant] (métastases ou cancer cérébal) grossières
  • une ponction lombaire [Examen paraclinique] si le patient fait de la fièvre ou s'il y a des signes de méningisme à l'examen physique :
    • en cas de méningite, une leucocytose importante dans le LCR [Signe paraclinique discriminant] et une coloration au Gram positive [Signe paraclinique discriminant] est caractéristique
  • une vitesse de sédimentation [Examen paraclinique] chez tous les patients de plus de 50 ans pour éliminer l'artérite temporale ou chez tous les patients qui pourraient avoir des symptômes compatibles
  • etc.

Dans la très grande majorité des cas, la toux aiguë ne nécessite pas d'exploration complémentaire. Une radiographie de thorax est à réaliser en cas d'examen physique anormal notamment de bruits anormaux à l'auscultation

Les examens paracliniques suggérés dans le cas d'un patient qui se présente avec cette situation clinique sont :[19]

  • la Radiographie thoracique :
  • l'Angio scanner : est l’examen de référence à pratiquer en urgence pour confirmer le diagnostic d'embolie pulmonaire. Lorsqu’il est négatif il n’est pas nécessaire de pratiquer d’autres examens[20]
  • la scintigraphie pulmonaire : la ventilation / perfusion est une alternative pour poser le diagnostic d'EP quand il n’est pas possible de réaliser un angio scanner ou quand l’angio scanner est contre indiqué
  • la Bronchoscopie :
    • permet de visualiser une tumeur ou un corps étranger et procéder à son ablation


Les principales causes de la toux aigue et les examens clinique associés [21]

Causes Signes évocateurs Procédure diagnostique
Toux aiguë
Corps étranger* Apparition brutale chez un petit enfant qui ne présente pas d'infection des voies respiratoires supérieures ni de symptômes généraux

Insuffisance cardiaque*

Pneumonie (virale, bactérienne, par inhalation, rarement fongique)

Écoulement nasal postérieur (origine allergique, virale ou bactérienne)

  • le bilan clinique (réponse à un traitement empirique antihistaminique ou décongestionnant)
  • un TDM des sinus si le diagnostic est incertain

Embolie pulmonaire*

Infection des voies respiratoires supérieures (dont la bronchite aiguë)

un bilan clinique

Hyperactivité des voies respiratoires après résolution de l'infection des voies respiratoires une toux sèche, non productive peut persister pendant des semaines ou des mois après une infection aiguë des voies respiratoires une radiographie du thorax
Les caractéristiques des maladies respiratoires à l'origine de la toux [22][23]
Catégorie Exemples
Maladie pulmonaire obstructive Asthme

Maladie pulmonaire obstructive chronique

Bronchectasie

Bronchiolite

Maladie parenchymateuse Fibrose pulmonaire idiopathique

Asbestose

Pneumopathie interstitielle desquamative

Sarcoïdose

Faiblesse neuromusculaire Sclérose latérale amyotrophique

Le syndrome de Guillain Barre

Myasthénie grave

Atteinte de la paroi thoracique / maladie pleurale Cyphoscoliose

Spondylarthrite ankylosante

Épanchements pleuraux chroniques

Maladie vasculaire pulmonaire Embolie pulmonaire

Hypertension artérielle pulmonaire

Maladie veinoocclusive pulmonaire

Vasculite

Malignité Carcinome bronchogène (cancer du poumon non à petites cellules et à petites cellules)

Maladie métastatique

Maladies infectieuses Pneumonie

Bronchite

Trachéite

Drapeaux rouges

La section obligatoire Drapeaux rouges ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description:
  • Les drapeaux rouges sont des signes, des symptômes, des facteurs de risque ou des signes paracliniques qui, lorsqu'ils sont présents, peuvent orienter vers un diagnostic grave ou demandant une prise en charge immédiate.
  • Chaque drapeau rouge devrait être défini à l'aide d'une propriété sémantique de type Drapeau rouge.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Drapeau rouge
Commentaires:
 
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Cette section doit rester simple et courte.
Exemple:
 
Les drapeaux rouges des patients qui se présentent en céphalée aiguë sont :
  • une altération de l'état de conscience [Drapeau rouge] indique une possible méningite, encéphalite, un AVC hémorragie ou une HIP
  • une faiblesse [Drapeau rouge] évoque un AVC
  • de la diplopie [Drapeau rouge] évoque également un AVC du tronc ou une lésion occupant de l'espace
  • une immunosuppression [Drapeau rouge] pourrait évoquer une méningite, encéphalite ou un abcès cérébral ou spinal
  • etc.

Les drapeaux rouges à surveiller chez les patients qui présentent cette situation clinique sont [24][25] :

  • une dyspnée évoque la présence d'une détresse respiratoire
  • des hémoptysies évoque la présence d'une embolie pulmonaire
  • le tabagisme chez les > 45 ans qui présentent une nouvelle toux, un changement de type de toux ou un changement dans la voix, évoquent la possibilité d'un processus néoplasique
  • une perte de poids évoque la présence possible de tuberculose ou d'une malignité (cancer bronchique, cancer pulmonaire ou lymphome de localisation intra bronchique)
  • la fièvre persistante évoque une pneumonie ou un abcès pulmonaire
  • un fumeur de 30 paquets-année âgé entre 55-80 ans qui fume encore ou qui a cessé dans les 15 dernières années, évoquent la possibilité d'un processus néoplasique
  • une dysphagie
  • des vomissements
  • une immunosuppression ou conditions socio-économiques défavorables orientent vers une atteinte par la tuberculose ou infection fongique ou infection par le VIH [26]
  • des pneumonies récurrentes.

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: La section contient la prise en charge générale qui s'applique à l'ensemble des étiologies. Que doit-on faire avant que la cause n'ait été clairement établie ? Des traitements généraux doivent-ils être amorcés avant l'identification de la cause ? Comment traite-t-on la symptomatologie du patient ? Quelles sont les indications d'hospitalisation ? Quand doit-on demander une consultation ? Un résumé de la prise en charge de certaines étiologie clés peut aussi être résumée avec un lien vers la page dédiée à la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique (seulement pour le traitement des symptômes, pas pour les étiologies)
Commentaires:
 
  • Le traitement spécifique associé à chaque étiologie est spécifié sur sa page de maladie (ne pas la décrire sur la page d'approche clinique). Le traitement général en lien avec l'approche clinique est décrit (par exemple, le soulagement du symptôme).
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Le tableau peut être adéquat en fonction du contexte.
  • Des algorithmes de traitement peuvent être présentés avec le modèle Flowchart (voir Aide:Diagramme).
Exemple:
 

La toux est un important mécanisme d'élimination des sécrétions des bronches pouvant faciliter la guérison des infections respiratoires. Le traitement de la toux dépend donc de la cause. Il existe peu de preuves indiquant l'utilisation de suppresseurs de la toux ou d'agents mucolytiques. Bien que les patients demandent souvent un traitement anti-tussif, celui-ci doit être administré prudemment et réservé aux infections des voies respiratoires supérieures avec une toux gênante.[27]

Traitement symptomatique

Traitement pharmacologique de la toux aiguë[27]
Antitussifs Ils inhibent le centre médullaire de la toux[28] :
Expectorants Ils entraînent une diminution de la viscosité et favorisent la toux ou l'expectoration des sécrétions mais ont un intérêt limité, ou nul dans la plupart des cas.[27]

Assurer une hydratation correcte peut faciliter l'expectoration, de même que l'inhalation de vapeur, bien qu'aucune méthode n'ait été rigoureusement testée.

Traitements locaux[27] Les gouttes ou les sirops pour la toux (émollients) sont parfois efficaces, mais leur efficacité n'a pas été scientifiquement prouvée.
Stimulants de la toux[27] Les pro-tussifs sont indiqués dans les pathologies telles que la mucoviscidose et la bronchectasie, dans lesquelles une toux productive est considérée comme importante pour libérer les voies respiratoires et préserver la fonction respiratoire.
Bronchodilatateurs Après une infection des voies respiratoires supérieures certains médicaments peuvent être efficaces pour traiter la toux. Voici quelques exemples[28]:

Mesures de soutien

On peut recommander le repos et une hydratation adéquate. Il faut également conseiller les patients d'éviter les irritants pulmonaires, par exemple la fumée. [29]

Des mesures non pharmacologiques peuvent être bénéfiques, par exemple :[30]

  • la solution saline nasale pour la congestion nasale
  • un humidificateur.

Traitement des étiologies

Le traitement se fait selon la cause[31]

  1. Si tabagisme actif : cesser tabac (effet généralement en 2-4 semaines)
  2. Une toux secondaire aux inhibiteurs de l’enzyme de conversion de l’angiotensine (IECA) ou sitagliptine : cesser le médicament. [note 2]
  3. Une toux secondaire à une IVRS : l'acétaminophène ou les AINS au besoin. Il existe la possibilité de les associer avec un antihistamique et un décongestionnant.
  4. Une toux due à la Coqueluche (infection à Bordetella pertussis) : des macrolides (ou TMP/SMX) si moins de 3 semaines après le début des symptômes (on peut traiter certains patients jusqu’à 6 semaines, particulièrement les immunosupprimés).
  5. S'il s'agit d'un syndrome de toux originant des voies aériennes supérieures, le salin intranasal s'avère efficace. Pour les cas:
  6. Pour la sinusite aiguë : une antibiothérapie pour 5-7 jours si les symptômes ≥ 10 jours ou symptômes graves.
  7. Pour le reflux gastro-oesophagien : la perte de poids est efficace si obésité présente, les changements des habitudes de vie peuvent aussi aider. Si présence de régurgitations ou pyrosis, un inhibiteur de la pompe à protons durant un minimum de 2 mois peut être utilisé.
  8. Les antibiotiques ne sont pas recommandés pour le traitement de routine de la toux à moins qu'il y ait une indication prouvée, par exemple, dans la pneumonie ou la sinusite bactérienne aiguë.
Traitement des étiologies
Étiologie Description
Étiologie 1
Page principale: Étiologie 1#Traitement
  • Décrire le traitement en quelques lignes.
  • Les détails sont donnés sur la page de maladie.
Étiologie 2
Page principale: Étiologie 2#Traitement
  • Décrire le traitement en quelques lignes.
  • Les détails sont donnés sur la page de maladie.
... ...

Complications

La section facultative Complications ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des complications possibles de l'approche clinique classées en ordre de probabilité (si possible).
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication. Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Attention ! Les complications sont celles de l'approche clinique elle-même et non de son traitement. Par exemple, l'anémie est une complication de l'hémorragie digestive basse, mais la perforation intestinale en raison d'une colonoscopie doit plutôt être décrit sur la page de la procédure Colonoscopie.
Exemple:
 

Chez les patients ayant une toux inefficace, il est recommandé d'anticiper et surveiller l'apparition de complications telles que la pneumonie, l'atélectasie et l'insuffisance respiratoire.[1]

Résumé des complications possibles de la toux[32][33]
Système atteint Complications possibles
Cardiovasculaire
Neurologique
Gastro-intestinal
Génito-urinaire
Musculosquelettique
Respiratoire
Divers

Particularités

La section facultative Particularités ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des particularités concernant la gestion de l'approche clinique pour certaines clientèles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Pédiatrie

La section facultative Pédiatrie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle pédiatrique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Le format texte est à privilégier.
  • Il est possible que l'approche clinique en pédiatrie nécessite une approche clinique complètement différente. Dans ce cas, il est préférable de faire un page d'approche clinique séparée. (ex. Ictère chez le nouveau-né est trop différente de l'Ictère chez la personne âgée)
Exemple:
 

Il est recommandé de prendre en charge la toux chez l’enfant en fonction des données probantes pédiatriques et des lignes directrices pédiatriques, car les facteurs étiologiques et les traitements peuvent différer comparativement à la toux chez l’adulte. Lorsque ceci n’est pas possible, les recommandations adultes doivent être utilisées avec précaution.[1]

Le croup est l’une des principales causes d’obstruction des voies respiratoires supérieures chez les jeunes enfants.[34] Il se caractérise par L’apparition subite d’une toux aboyante associée à des symptômes qui ont souvent tendance à s’aggraver pendant la nuit en sont les principales caractérisques. Les enfants de six mois à trois ans sont les plus touchés par la forme classique du croup et les symptômes disparaissent habituellement au bout de trois à sept jours.

La toux aiguë provoquée par le croup est souvent reliée à des infections virales des voies respiratoires, généralement par des virus para-influenza de types 1 et 3. Le virus de l’influenza A et B, l’adénovirus, le virus respiratoire syncytial et le métapneumovirus peuvent aussi en être la cause. Ils sont responsables d'une inflammation généralisée des voies respiratiores associée à un oedème des muqueuses des voies supérieures, provoquant le rétrécissement de la région sous-glottique.

L'utilisation de stéroïdes devrait être le pilier du traitement de tous les enfants qui consultent à la salle d’urgence avec des symptômes du croup. La dexaméthasone, administrée par voie orale en dose unique de 0,6 mg/kg, est hautement efficace pour aider à atténuer les symptômes. Les symptômes du croup accompagnés de fièvre peuvent se prolonger si présence d'infection bactérienne.[34]

Diagnostic différentiel pour le croup
Atteinte Caractéristiques
Trachéite bactérienne[34]
  • une forte fièvre
  • un aspect toxique
  • peu d'amélioration à l’adrénaline nébulisée
Abcès rétropharyngé, parapharyngé ou péri-amygdalien[34]
  • une forte fièvre
  • une douleur cervicale
  • des maux de gorge
  • une dysphagie
  • suivis d’un torticolis, de sialorrhée, d’une détresse respiratoire et d’un stridor
Épiglottite[34]
  • une absence de toux aboyante
  • une forte fièvre soudaine
  • une dysphagie
  • de la sialorrhée
  • un aspect toxique et anxieux
  • une tendance à s’asseoir en position de « reniflement »
Inhalation ou ingestion d’un corps étranger[34]
  • une toux aboyante
  • un épisode de suffocation
  • une respiration sifflante
  • une raucité de la voix
  • un stridor biphasique
  • une dyspnée
  • une diminution de l’entrée d’air
Réaction allergique aiguë (anaphylaxie ou œdème de Quincke)[34]
oedème de Quincke
Apparition rapide:
  • de dysphagie
  • de respiration sifflante
  • de stridor
  • et de possibles signes cutanés d’allergie, tels qu’une éruption urticarienne

Prise en charge pédiatrique:

Chez les enfants souffrant de toux, il est recommandé de déterminer l’étiologie afin d’orienter le traitement. [1][35]

  • Chez les enfants présentant une toux non spécifique et des facteurs de risques pour l’asthme, il est recommandé de tenter un court essai d’un corticostéroïde inhalé à dose moyenne associé à un BACA (bêta2-agoniste de courte action) au besoin:
    • pour une durée approximative de 3 mois
    • L’asthme fait souvent son apparition avant l’âge de six ans, mais il existe des incertitudes concernant le diagnostic chez les enfants d'âge préscolaire. La mesure de la fonction pulmonaire par spirométrie est difficile avant l'âge de six ans.
    • Le diagnostic d'asthme devrait être envisagé chez les enfants de un à cinq ans avec des symptômes de type asthmatique fréquents (≥8 jours/mois) ou des exacerbations récurrentes (≥2)  (épisodes accompagnés de signes compatibles).
    • La respiration sifflante est le signe cardinal de l'obstruction des voies respiratoires et elle est souvent accompagnée de difficultés respiratoires et de toux.
    • La réversibilité de l’obstruction suite de la prise de médicaments pour l’asthme, ainsi que l’absence de suspicion clinique de tout autre diagnostic sont généralement suffisants pour confirmer le diagnostic.
    • La réversibilité se définie par l’observation directe d'une amélioration des symptômes par un professionnel de la santé suite à l'administration de BACA en aigu ou par un essai thérapeutique de trois mois de corticostéroïdes inhalés combinés à un BACA au besoin.
    • Il est déconseillé d'utiliser des antitussifs chez les enfants [note 3][1]
  • Rechercher les facteurs d’exacerbation tels que l’exposition à la fumée tabagique.[1]

Notes

  1. En cas de toux chronique, il faut interroger les patients sur une exposition à des irritants infections respiratoiresou à des allergènes respiratoires et des séjours ou une résidence dans des régions infections respiratoiresd'endémie de maladies fongiques.Le clinicien doit notamment être en mesure de diagnostiquer la cause, la gravité et les complications, ainsi que de porter une attention particulière sur la distinction entre une toux de cause bénigne et une toux de cause plus grave exigeant un examen complet et une prise en charge plus poussée. Il doit être apte à énumérer et interpréter les constatations cliniques cruciales (toux aiguë versus toux chronique, cause bénigne versus cause grave, déclencheurs et facteurs aggravants).
  2. Pour la toux due aux IECA : il faut habituellement 4 semaines pour que la toux cesse (parfois jusqu’à 3-4 mois). Pour les antagonistes des récepteurs de l’angiotensine II (ARA), il est important de savoir que ceux-ci ne causent pas de toux.
  3. Ces médicaments sont associés à une mortalité et une morbidité significatives, en particulier les enfants plus jeunes. Ceci inclue les antitussifs en vente libre. (SCT, recommandation de grade D)

Références

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