Discussion:Hyponatrémie

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Non modifiable

Première révision éditoriale

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Michaël St-Gelais (discussioncontributions)
Michaël St-Gelais (discussioncontributions)
  1. @Anaïs Lachance, dans la section concept clé, tu pourrais très bien tout supprimer. Ce sont probablement des concepts qui sont déjà dans l'article. Étant donné que nos articles seront consultés principalement sur téléphone intelligent, on tente de diminuer au maximum la taille de l'article (et par le fait même les duplications).
  2. J'ai aussi fait des petites corrections dans la section traitement. Les listes à puce, c'est bien, mais ça fait du bien d'avoir du texte suivi également. Comme je répète souvent, trop d'un procédé (ex. liste à puce, gras, tableau, etc.) tue l'efficacité du procédé.
  3. Dans les modèles sémantiques, peux-tu corriger les majuscules dans les modèles pour les mettre en minuscule ? Dans le modèle sémantique, ça te suggère de mettre une majuscule, mais tu peux très certainement laisser un minuscule pour que ça fonctionne mieux dans le texte, pour que ce soit correct d'un point de vue du français. Par exemple :
    1. Version actuelle : L'hyponatrémie induite par les diurétiques thiazidiques est la principale cause d'hyponatrémie médicamenteuse qui nécessite une hospitalisation. Les autres causes d'hyponatrémie hypovolémique comprennent les pertes de liquide gastro-intestinal (diarrhée ou vomissements), les pertes cutanées (brûlures et transpiration), le Troisième espace (pancréatite aiguë, hypoalbuminémie, obstruction de l'intestin grêle), la Diurèse osmotique (glucose, mannitol), les Néphropathies gaspilleuses de sel, le Syndrome cérébral de perte de sel (perte de sel urinaire, possiblement causée par une augmentation du peptide natriurétique cérébral) et un déficit en minéralocorticoïdes (Insuffisance surrénalienne).
    2. Version visée : L'hyponatrémie induite par les diurétiques thiazidiques est la principale cause d'hyponatrémie médicamenteuse qui nécessite une hospitalisation. Les autres causes d'hyponatrémie hypovolémique comprennent les pertes de liquide gastro-intestinal (diarrhée ou vomissements), les pertes cutanées (brûlures et transpiration), le troisième espace (pancréatite aiguë, hypoalbuminémie, obstruction de l'intestin grêle), la diurèse osmotique (glucose, mannitol), les néphropathies gaspilleuses de sel, le syndrome cérébral de perte de sel (perte de sel urinaire, possiblement causée par une augmentation du peptide natriurétique cérébral) et un déficit en minéralocorticoïdes (insuffisance surrénalienne).
  4. Tu peux également en profiter pour corriger les listes à puce. En voici un exemple :
    1. Version actuelle : Une véritable hyponatrémie est associée à une hypoosmolalité. Les conditions provoquant une hyponatrémie hyperosmolaire et une hyponatrémie iso-osmolaire (pseudo-hyponatrémie) sont :
      1. Hyperglycémie
      2. Surdosage de mannitol
      3. Hyperlipidémie
      4. Hyperprotéinémie
    2. Version corrigée : Une véritable hyponatrémie est associée à une hypoosmolalité. Les conditions provoquant une hyponatrémie hyperosmolaire et une hyponatrémie iso-osmolaire (pseudo-hyponatrémie) sont :
      1. l'hyperglycémie
      2. un surdosage de mannitol
      3. une hyperlipidémie
      4. une hyperprotéinémie.
  5. Certaines traduction sont inadéquates. Ce serait à vérifier pour savoir quelle est la traduction adéquate en français.
    1. néphropathies gaspilleuses de sel = salt wasting nephropathy --> je ne sais pas c'est quoi en français, mais ce n'est certainement pas ça
    2. Syndrome cérébral de perte de sel --> ?
  6. Comment définis-tu l'hyponatrémie symptomatique aiguë ? Ce serait important à mentionner. Un patient est légèrement confus. Je lui administre un bolus de NaCl 3 % ? Je crois aussi que la dose est en mg/kg, si je ne m'abuse. À vérifier !
  7. Il manque plusieurs facteurs de risque. ;)
  8. L'examen physique est incomplet. Je t'ai fait un canevas dans lequel tu pourras rentrer les signes paracliniques.
Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

@Anaïs Lachance, désolé, j'ai modifié mon commentaire précédent après que tu l'ailles vu mais j'ai oublié par la suite d'enregistrer mon commentaire. Tu trouveras des commentaires supplémentaires ci-haut !

Idéalement, consigne dans le wiki toutes tes questions par rapport au contenu ou sur la rédaction de cette page (si ce sont des questions d'ordre général, tu peux le faire sur FB, mais sinon utilise FB aussi peu que possible ;) ) . Ça fait partie du processus éditorial et c'est bien de laisser des traces sur le wiki. Ça rajoute de la crédibilité à notre démarche.

Anaïs Lachance (discussioncontributions)

Merci pour les rétroactions ! J'ai effectué toutes les modifications.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

@Anaïs Lachance, ça avance bien ton affaire :)

  • Attention de bien différencier les étiologies et les diagnostics différentiels. Actuellement, la section diagnostic différentiel contient des étiologies d'hyponatrémie. C'est normal, même les cliniciens les plus aguerris utilisent souvent ces mots de manière interchangeable alors que c'est totalement différent. Les étiologies, c'est ce qui cause l'hyponatrémie (ex. diurétique, IC, IH, IRA, etc.). Le ddx, ce sont les autres maladies qui peuvent ressembler à une hyponatrémie (ex. trauma crânien, saignement intra-crânien, hypoglycémie, AVC, épilepsie, etc.). Petite distinction qui fait un monde de différence.
  • Comment évalues-tu une diminution de la TVC à l'examen physique ? ;) Quand c'est augmenté, on le voit bien, mais quand c'est diminué, on ne le voit pas à l'examen physique en fait. Une TVC diminuée, ça se manifeste par une grande variabilité inspiratoire de la VCI à l'échographie, voir même une VCI collabée.
  • Je transformerais certains éléments du traitement en tableau. Je t'ai inséré les tableaux aux endroits où je les visualisais et j'en ai fait un des 2. Insérer « Antagonistes sélectifs des récepteurs de la vasopressine 2: augmentent l'excrétion d'eau dans les reins sans affecter le sodium, augmentant ainsi les niveaux de sodium sérique. Ces médicaments sont utilisés chez les patients présentant des conditions euvolémiques et hypervolémiques (sauf l'insuffisance hépatique) si les mesures conservatrices ne fonctionnent pas.» au bon endroit dans le tableau.
  • Pseudo hyponatrémie et hyponatrémie non hypotonique, dans ma tête, c'est synonyme, non ? Dans les deux cas, ce sont des erreurs de mesure de la natrémie par la machine alors qu'il y a des osmoles circulants supplémentaires, non ? (glycémie, protéine, paraprotéine, lipide, etc.)
Anaïs Lachance (discussioncontributions)

J'ai effectué les modifications et je vais essayer de faire des recherches supplémentaires pour la différence entre pseudo-hyponatrémie et hyponatrémie non hypotonique.

Je pense que je comprends la différence entre l'étiologie et les diagnostics différentiels. Toutefois, dans le papier scientifique inséré comme référence, la section était telle que je l'ai écrite sur la page. Ca serait donc un erreur dans l'article ? Je ne pense pas être assez certaine de moi pour décider quelles puces enlever de la liste.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Très certainement c'était une erreur dans l'article. Même des cliniciens aguerris ne font pas la distinction (ça me surprend toujours d'ailleurs). Par contre, c'est essentiel comme différence.

  • L'étiologie, c'est ce qui cause une maladie. Par exemple, une dissection coronarienne ou une thrombose coronarienne mène à un infarctus. Par contre, les ddx sont les maladies qui peuvent se présenter avec la même sémiologie (signes + symptômes = sémiologie), mais qui sont foncièrement différents.
  • Dans l'hyponatrémie, les diurétiques, l'insuffisance cardiaque, le tea and toast, etc. sont autant de causes (étiologies) de l'hyponatrémie. Bien que des fois les patients soient carrément asymptomatiques et en hyponatrémie tout de même, il arrive également que ça se présente par des symptômes tout à fait non spécifiques (convulsion, confusion, fatigue, nausée, etc.). Les maladies qui ont des symptômes similaires à ceux mentionnés précédemment sont donc des diagnostics différentiels (ex. délirium, épilepsie, anémie, hypercalcémie, etc.).

Il te faudra donc trouver une source qui mentionne les différents diagnostics différentiels de l'hyponatrémie qui ne sont PAS des étiologies.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

@Anaïs Lachance

  • J'ai donné un sérieux coup de polissage dans les étiologies. Il y a certaines informations qui se retrouvent en double dans physiopatho et étiologies. Par exemple, tout ce qui a trait à la physiopatho devrait être envoyé vers physiopatho. Ça va simplifier beaucoup le texte ! Ex. « L'hyponatrémie hypervolémique consiste en une augmentation de l'eau corporelle totale et du sodium corporel total, avec une augmentation plus marquée, de façon proportionnelle, d'eau corporelle totale.» --> on envoie ça dans physiopatho !
  • J'ai un énorme doute quant à l'utilisation des analogues de la vasopressine chez les patients hypervolémiques. À confirmer.
  • Je me suis commis pour le ddx.
  • La figure 1 de cet article pourrait t'aider à construire la section approche clinique. aafp.org/afp/2015/0301/p299.html. Ton approche clinique actuelle me laisse un peu sur ma faim. Les chiffres de 10 et de 20 me semblent inexacts également. Ce que j'ai appris « dans le temps », c'était plutôt < 20 et > 40.
  • Le traitement en général mériterait du polissage. Voir
Anaïs Lachance (discussioncontributions)

Merci pour les étiologies et le ddx. J'ai lu dans plusieurs articles la recommandation des analogues de la vasopressine chez les patients hypervolémiques et euvolémiques, dont celui là : aafp.org/afp/2015/0301/p299.html («Vaptans (conivaptan [Vaprisol] and tolvaptan [Samsca]) are vasopressin-receptor antagonists approved for the treatment of hospitalized patients with severe hypervolemic and euvolemic hyponatremia (eTable B)»). J'ai modifier l'approche clinique en entier, je crois que c'est mieux maintenant. J'ai également effectuer des modifications et bonifier la section sur le traitement. Est-ce que c'est mieux maintenant ?

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

@Anaïs Lachance, ça me semble beaucoup mieux. Maintenant, on aura besoin de l'aide de @Johanne Liberge. J'en suis rendu au point d'avoir besoin de notre experte :) Tu peux passer à l'hypernatrémie.

Tu as travaillé sur une des pages les plus compliquées du wiki, mais aussi une qui sera des plus utiles dans le futur. Merci pour ton apport ! Peut-être Dre Liberge aura-t-elle des suggestions à te donner pour améliorer l'article ?

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)
Résumé par Michaël St-Gelais

Article soumis à Dre Liberge pour révision

Anaïs Lachance (discussioncontributions)

Bonjour @Johanne Liberge,

J'aurais terminé la rédaction du premier article (hyponatrémie). J'entame la rédaction de l'hypernatrémie cette semaine.

Je reste disponible pour toutes rétroactions

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

@Johanne Liberge, svp répondre dans la discussion « Première révision éditoriale ». Merci ! :)

Subdivision de l'étiologie

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Anaïs Lachance (discussioncontributions)

@Johanne Liberge

Bonjour Dre Liberge, j'ai une question concernant la subdivision de l'hyponatrémie dans la section Étiologies. Dans l'article Hyponatraemia - presentations and management (Dineen, Thompson et Sherlock, 2017), les auteurs subdivisent l'hyponatrémie comme je l'ai fait dans la page présentement (1. Hyponatrémie hypotonique (redivisé en 1.1 hypovolémique 1.2 euvolémique 1.3 hypervolémique) 2. Pseudo-hyponatrémie 3. Hyponatrémie non-hypotonique). Dans l'article Hyponatremia (Rondon & Badireddy, 2021), ils subdivisent 1. hyponatrémie hypovolémique 2. hyponatrémie euvolémique 3. hyponatrémie hypervolémique avec une section pour les médicaments. Je me demandais donc quelle était la meilleure façon de subdiviser ?

Merci,

Anaïs

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