@Antoine Mercier-Linteau, ça vaudrait peut-être la peine de revoir cet article avec l'app de Chirurgie. Il y a un article dans l'app sur le spino.
On peut aussi faire ça lors de la prochaine révision.
@Antoine Mercier-Linteau, ça vaudrait peut-être la peine de revoir cet article avec l'app de Chirurgie. Il y a un article dans l'app sur le spino.
On peut aussi faire ça lors de la prochaine révision.
En effet. Peux-tu me prendre une capture d'écran du contenu de l'application et me l'envoyer? Je vais compléter.
Je viens de t'envoyer les captures d'écran. Après tes exams, ok ? ;) hahahhaha
Révision linguistique faite.
@Antoine Mercier-Linteau Révision linguistique complétée.
Envoi fait.
Q: Mme Judith RL, patiente âgée de 60 ans, se présente à votre bureau pour une "croûte qui guérit mal" au niveau de l'avant-bras depuis quelques mois. Au questionnaire, Mme fume environ un paquet de cigarettes par jour depuis une quarantaine d'années. Elle avoue avoir été une très grande amateure de salons de bronzage quand elle était plus jeune. À votre examen clinique, vous notez un nodule induré et érythémateux avec une ulcération centrale au niveau de l'avant-bras mesurant 3 x 4 mm, sensible à la palpation.
Vous suspectez dans ce contexte un carcinome épidermoïde (ou carcinome spinocellulaire), quelle est votre conduite?
R: Les CSC ont habituellement l'aspect d'un nodule induré de couleur chair ou érythémateuse, avec soit des squames, des croûtes, des ulcérations ou de l'hyperkératose. On peut parfois noter à la palpation une atteinte sous-cutanée également. Le CSC peut parfois être douloureux et sensible, possible signe d'invasion périneurale.
Le traitement change selon le niveau de risque de la lésion. On considère une lésion à risque élevé dans les cas suivants:
Les traitements sont les suivants:
L'enseignement sur la protection solaire incluant l'utilisation d'écran solaire et de vêtements de protection et l'évitement du soleil pendant les périodes d'intensité maximale doit faire partie de la prise en charge des patients avec un CSC. Ils doivent également être suivis régulièrement en fonction du risque de récidive. Les patients ayant des antécédents de plusieurs CSC et de kératoses actiniques peuvent être suivis tous les six à douze mois, tandis que ceux présentant de nombreux CSC ou des tumeurs agressives devraient être vus de façon plus rapprochée.
Salut @Olivia Yip,
Voici deux pages que je pourrais t'importer:
Laquelle tu préfères?