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(Prescription + exécution aérobie)
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L'exercice peut être envisagé à tous les stades de la maladie, mais devra être adapté selon les capacités de la personne et de la limitation respiratoire. La prescription recommandée par l'ACSM ci-dessous n'est pas un cadre stricte, mais une cible pouvant être adaptée selon les particularités de chaque personne<ref name=":3" />.
L'exercice peut être envisagé à tous les stades de la maladie, mais devra être adapté selon les capacités de la personne et de la limitation respiratoire. La prescription recommandée par l'ACSM ci-dessous n'est pas un cadre stricte, mais une cible pouvant être adaptée selon les particularités de chaque personne<ref name=":3" />.


* '''L'entraînement aérobie''' devrait être pratiqué au moins 3 fois par semaine mais idéalement 5 fois. L'intensité ciblée devrait correspondre à 50-80% du VO<sub>2</sub>max, ou une cote de 4-6 sur l'échelle de Borg modifiée , correspondant à une intensité modérée à élevée. La durée totale devrait être entre 20 à 60 minutes, ou selon la tolérance.
* '''L'entraînement aérobie''' devrait être pratiqué au moins 3 fois par semaine mais idéalement 5 fois. L'intensité ciblée devrait correspondre à 50-80% du VO<sub>2</sub>max, ou une cote de 4-6 sur l'échelle de Borg modifiée , correspondant à une intensité modérée à élevée. La durée totale devrait être entre 20 à 60 minutes, ou selon la tolérance.  
 
* '''L'entraînement en renforcement musculaire''' devrait être réalisé au moins 2 fois par semaine, à deux journées non-consécutives. Dans le but d'améliorer l'endurance musculaire, l'ACSM recommande 2 séries de 15-20 répétitions à 50% de 1 RM. Pour la force musculaire, on recommande 2-4 séries de 8-12 répétitions à 60-70% de 1 RM.
Aerobie:
* '''L'entraînement en flexibilité''' devrait être effectué au moins 2-3 fois par semaine. Des étirements statiques de 10-30 secondes peuvent être effectués 2-4 fois par séance.
 
Favoriser l'exercice aérobie chez tous les stades de la maladie (ACSM guidelines - sources) modéré recommandé. Léger peut être envisagé avec les plus déconditionnés
 
3-5x 20-60 min modéré - intense selon tolérance
 
 
Résistance:
 
Dysfonction musculaire et bénéfices de l'entraînement en résistance (ACSM guidelines)
 
2x/ sem, en endurance ou en force
 
 
Flexibilité:
 
Peut aider avec limitations posturales / mobilité thoracique
{{Section ontologique|classe=Programme d'exercices|nom=Prescription recommandée}}


==Exécution==
==Exécution==
Échauffement / RAC (5 min, 1-2/10)
L'activité physique devrait débuter par un échauffement de 5 minutes à faible intensité. Cela correspond à une intensité de 1-2 sur l'échelle de Borg modifiée. L'échauffement a pour objectif de stimuler la vasodilatation et l'augmentation de la fréquence cardiaque pour augmenter l'apport en oxygène aux muscles à l'effort, et prévenir une augmentation trop importante de la tension artérielle<ref>{{Citation d'un article|prénom1=Gerald F.|nom1=Fletcher|prénom2=Philip A.|nom2=Ades|prénom3=Paul|nom3=Kligfield|prénom4=Ross|nom4=Arena|titre=Exercise Standards for Testing and Training|périodique=Circulation|volume=128|numéro=8|date=2013-08-20|doi=10.1161/CIR.0b013e31829b5b44|lire en ligne=https://www.ahajournals.org/doi/10.1161/CIR.0b013e31829b5b44|consulté le=2022-03-08|pages=873–934}}</ref>. Chez les patients les plus déconditionnés, il se peut que même un effort minimal dépasse cette intensité cible.


Lors de l'entraînement aérobie, certaines personnes peuvent avoir des difficultés à réaliser des entraînements continus pendant toute la période en raison de la limitation à l'effort. Il est possible de fractionner l'effort par des périodes de faible intensité / repos de manière à accumuler au moins 20 minutes à l'intensité cible. L'intensité de travail (ex: watts) et l'échelle de Borg modifiée sont les deux principales méthodes de mesure de l'intensité lors des entraînements<ref name=":3" />. Il n'est pas recommandé d'utiliser la fréquence cardiaque chez les personnes avec une limitation sévère, car elle sera souvent plus élevée au repos, et l'augmentation peut être indépendante de l'intensité d'exercice<ref>{{Citation d'un article|langue=en-US|prénom1=Scott E.|nom1=Brolin|prénom2=Nola M.|nom2=Cecins|prénom3=Sue C.|nom3=Jenkins|titre=Questioning the Use of Heart Rate and Dyspnea in the Prescription of Exercise in Subjects With Chronic Obstructive Pulmonary Disease|périodique=Journal of Cardiopulmonary Rehabilitation and Prevention|volume=23|numéro=3|date=2003-05|issn=1932-7501|lire en ligne=https://journals.lww.com/jcrjournal/Abstract/2003/05000/Questioning_the_Use_of_Heart_Rate_and_Dyspnea_in.12.aspx|consulté le=2022-03-08|pages=228–234}}</ref>.


Intervalles / fractionné pratique pour atteindre intensités plus élevées


Baser l'intensité sur le % VO2 ou EPE


Dyspnée plus importante lors d'exs des MS (ACSM guidelines) inclure dans le programme
Dyspnée plus importante lors d'exs des MS (ACSM guidelines) inclure dans le programme
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Exercices à la maison aussi efficace qu'en centre de réadaptation (Maltais, F, 2008, #466)
Exercices à la maison aussi efficace qu'en centre de réadaptation (Maltais, F, 2008, #466)
{{Section ontologique|classe=Programme d'exercices|nom=Exécution}}
==Complications==
==Complications==
Exacerbations (augmentation inflammation, mucus, dyspnée, toux. Risque d'infections. Durée de 7-10 jours, mais récupération parfois longue - GOLD)
Exacerbations (augmentation inflammation, mucus, dyspnée, toux. Risque d'infections. Durée de 7-10 jours, mais récupération parfois longue - GOLD)
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Amélioration des capacités musculaires (capacité oxydative, fibres I vs II, diminution de la demande ventilatoire pour un même effort sous-max)
Amélioration des capacités musculaires (capacité oxydative, fibres I vs II, diminution de la demande ventilatoire pour un même effort sous-max)
Dysfonction musculaire et bénéfices de l'entraînement en résistance (ACSM guidelines)


Exercice aérobie +++. Résistance important pour améliorer la force musculaire, mais pas plus de bénéfices sur la CCR / statut de santé (GOLD, #225)
Exercice aérobie +++. Résistance important pour améliorer la force musculaire, mais pas plus de bénéfices sur la CCR / statut de santé (GOLD, #225)
Flexibilité:
Peut aider avec limitations posturales / mobilité thoracique (ACSM guidelines)





Version du 8 mars 2022 à 18:21


Cette page vise à résumer les bénéfices et considérations de la pratique d'activité physique chez la population atteinte de maladie pulmonaire obstructive chronique.

Maladie pulmonaire obstructive chronique (programme d'exercices)
Programme d'exercices
Programme d'exercices
Indications Diminution de la qualité de vie, Carences nutritionnelles, Fatigue chronique, Dyspnée chronique, Symptômes respiratoires chroniques, Diminution des capacités fonctionnelles, Difficultés à réaliser les activités quotidiennes, Difficultés avec le traitement médical, Troubles psychosociaux, Usage augmenté de ressources médicales, ... [+]
Contre-indications absolues
Embolie pulmonaire, Thrombose veineuse profonde du membre inférieur, Exacerbation aiguë de la maladie pulmonaire obstructive chronique
Contre-indications relatives
Hypoxémie (signe paraclinique)
Complications
Hypoxémie, Dyspnée (symptôme)

Page non révisée

Contexte

Page principale: maladie pulmonaire obstructive chronique.

La MPOC est une maladie pulmonaire commune qui est caractérisée par une obstruction des bronches, et associée à des symptômes comme la dyspnée, la toux, et la production d'expectorations[1]. La MPOC regroupe plusieurs conditions, dont les deux principales sont la bronchite chronique et l'emphysème[1]. La MPOC serait la troisième cause de mortalité dans le monde, et aurait causé 3.23 millions de morts en 2019 selon l'OMS[2]. Le tabagisme serait le principal facteur de risque de la MPOC[3]. Une diminution de la tolérance à l'effort peut être observée chez les personnes atteintes de MPOC, en partie attribuable à la limitation respiratoire, ainsi qu'à la diminution des capacités musculaires[4]. En raison de la diminution de la tolérance à l'effort, les personnes atteintes de la MPOC sont souvent plus sédentaires, ce qui peut contribuer à la diminution des capacités physiques[5]. L'activité physique (AP) fait partie intégrante des traitements non-pharmacologiques de la MPOC.

Indications

L'exercice ferait partie de la première ligne de traitement de la MPOC, en plus de mesures préventives comme l'arrêt tabagique et la vaccination pour prévenir les exacerbations[6]. La réadaptation pulmonaire comprend l'ensemble des interventions en activité physique, des enseignements l'autogestion de la maladie, et le changement comportemental. Ces interventions peuvent apporter des bénéfices à tous les stades de la maladie, toutefois, une réadaptation débuté dans les premiers stades de la maladie aura un plus grand potentiel d'améliorer l'évolution de la maladie[7].

Les indications pour la participation à un programme de réadaptation pulmonaire sont les suivantes pour les personnes avec des maladies respiratoires chroniques[7]:

  1. Dyspnée/fatigue et symptômes respiratoires chroniques
  2. Diminution de la qualité de vie en lien avec la santé
  3. Diminution des capacités fonctionnelles
  4. Difficultés à réaliser les activités quotidiennes
  5. Difficultés avec le traitement médical
  6. Troubles psychosociaux reliés à la maladie respiratoire
  7. Carences nutritionelles
  8. Usage augmenté de ressources médicales
  9. Anomalies d'échanges gazeux

Chez les personnes incapables de participer à un programme d'activité physique en raison de limitations physiques importantes, l'entraînement des muscles inspiratoires peut être une option envisageable[8]. L'entraînement des muscles inspiratoires comprend des respirations répétées avec un appareil rajoutant une résistance à l'inspiration. Ce type d'entraînement peut aussi être considéré comme complément à un programme d'exercice généralisé, particulièrement chez les patients avec une faiblesse de muscles inspiratoires[9].

L'évaluation à l'activité physique est recommandé avant le début d'un programme d'entraînement en MPOC. Les objectifs de l'évaluation sont les suivants[8]:

  • Évaluer la capacité à l'exercice
  • Assister à l'élaboration de la prescription d'exercice
  • Établir des mesures de départ pour comparaison future
  • Évaluer l'efficacité des traitements pharmacologique

Des tests fonctionnels comme le test de marche de 6 minutes (6MWT), et les tests de navette (ISWT, ESWT) sont souvent utilisés pour évaluer la fonction cardiopulmonaire en réadaptation pulmonaire[10].

Contre-indications

De manière générale, les contre-indications à l'exercice chez les patients MPOC sont toute condition qui peut interférer de manière importante avec l'exercice, ou qui mettrait le patient à risque considérable[5]. Les autres conditions de santé des patients devraient être considérées pour évaluer les potentielles contre-indications, ou limitations à l'exercice.

Spécifiquement en lien avec la MPOC, il est recommandé pour les patients de limiter leur pratique d'exercice lors d'un épisode d'exacerbation aigue, jusqu'à ce que les symptômes se stabilisent[8]. Il est à considérer que le niveau d'activité physique quotidien peut être diminué de manière importante pendant, mais aussi après un épisode d'exacerbation, ce qui contribue au déconditionnement[11]. Le moment optimal pour le retour à l'exercice après un épisode d'exacerbation n'est pas connu, mais un début de réadaptation tôt serait sécuritaire et effiace pour diminuer le risque de réhospitalisation future[5][12].

Prescription recommandée

L'exercice peut être envisagé à tous les stades de la maladie, mais devra être adapté selon les capacités de la personne et de la limitation respiratoire. La prescription recommandée par l'ACSM ci-dessous n'est pas un cadre stricte, mais une cible pouvant être adaptée selon les particularités de chaque personne[8].

  • L'entraînement aérobie devrait être pratiqué au moins 3 fois par semaine mais idéalement 5 fois. L'intensité ciblée devrait correspondre à 50-80% du VO2max, ou une cote de 4-6 sur l'échelle de Borg modifiée , correspondant à une intensité modérée à élevée. La durée totale devrait être entre 20 à 60 minutes, ou selon la tolérance.
  • L'entraînement en renforcement musculaire devrait être réalisé au moins 2 fois par semaine, à deux journées non-consécutives. Dans le but d'améliorer l'endurance musculaire, l'ACSM recommande 2 séries de 15-20 répétitions à 50% de 1 RM. Pour la force musculaire, on recommande 2-4 séries de 8-12 répétitions à 60-70% de 1 RM.
  • L'entraînement en flexibilité devrait être effectué au moins 2-3 fois par semaine. Des étirements statiques de 10-30 secondes peuvent être effectués 2-4 fois par séance.

Exécution

L'activité physique devrait débuter par un échauffement de 5 minutes à faible intensité. Cela correspond à une intensité de 1-2 sur l'échelle de Borg modifiée. L'échauffement a pour objectif de stimuler la vasodilatation et l'augmentation de la fréquence cardiaque pour augmenter l'apport en oxygène aux muscles à l'effort, et prévenir une augmentation trop importante de la tension artérielle[13]. Chez les patients les plus déconditionnés, il se peut que même un effort minimal dépasse cette intensité cible.

Lors de l'entraînement aérobie, certaines personnes peuvent avoir des difficultés à réaliser des entraînements continus pendant toute la période en raison de la limitation à l'effort. Il est possible de fractionner l'effort par des périodes de faible intensité / repos de manière à accumuler au moins 20 minutes à l'intensité cible. L'intensité de travail (ex: watts) et l'échelle de Borg modifiée sont les deux principales méthodes de mesure de l'intensité lors des entraînements[8]. Il n'est pas recommandé d'utiliser la fréquence cardiaque chez les personnes avec une limitation sévère, car elle sera souvent plus élevée au repos, et l'augmentation peut être indépendante de l'intensité d'exercice[14].


Dyspnée plus importante lors d'exs des MS (ACSM guidelines) inclure dans le programme

Exercices unilatéraux pour diminuer la demande cardiaque, et augmenter le travail localisé (Nyberg et al)

Exercices à la maison aussi efficace qu'en centre de réadaptation (Maltais, F, 2008, #466)

Complications

Exacerbations (augmentation inflammation, mucus, dyspnée, toux. Risque d'infections. Durée de 7-10 jours, mais récupération parfois longue - GOLD)


SaO2 < 88% pendant l'exercice - possible indication de supplémentation en O2

Polyglobulie en lien avec la désaturation dans le long terme

Concommitance avec les MCV (spruit et al. - sources)

La section facultative Complications ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: On décrit dans cette section l'ensemble des complications pouvant survenir pendant et après l'activité physique dans le cas spécifique de la maladie traitée.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Les éléments de cette section sont définis avec des propriétés de type Complication.
  • La section complication s'intéresse aux complications spécifiques en lien avec la maladie traitée. Par exemple, dans le cas du diabète de type 2, on mentionnerait la possibilité d'hypoglycémie, mais ce serait inutile de mentionner qu'une complication potentielle est l'angine instable : l'angine instable est en lien avec une complication à l'activité physique d'une comorbidité (la MCAS), et non en lien avec le diabète de type 2 lui-même.
  • Dans certains cas, il est possible qu'il n'y ait pas de complication en lien avec l'exercice. Cette section est alors très simple et on peut insérer une phrase simple qui mentionne qu'il n'y a pas de complication anticipée par rapport à la pratique de l'activité physique pour cette maladie.
Exemple:
 
  1. complication 1
  2. complication 2
  3. complication 3

Suivi

Recommandations GOLD:

Évolution des Sx, exacerbations, besoins d'adapter l'intervention selon l'évolution de la Mx

Mesure de la SpO2 recommandée (ACSM guidelines #173) < 88% O2?

Mesure de TA (MPOC adrénergique, source?)

Indications test à l'effort? (6MWT, CPET, etc, ACSM)

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Section qui décrit le suivi à effectuer après le traitement (suivi radiologique, biochimique, clinique, etc.). Précisez la fréquence du suivi.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Bénéfice anticipé

Demande ventilatoire augmentée en raison des muscles en périphérie (effets de l'entraînement. ACSM guidelines #146)

Amélioration des capacités musculaires (capacité oxydative, fibres I vs II, diminution de la demande ventilatoire pour un même effort sous-max)

Dysfonction musculaire et bénéfices de l'entraînement en résistance (ACSM guidelines)

Exercice aérobie +++. Résistance important pour améliorer la force musculaire, mais pas plus de bénéfices sur la CCR / statut de santé (GOLD, #225)

Flexibilité:

Peut aider avec limitations posturales / mobilité thoracique (ACSM guidelines)


Amélioration des symptômes, qualité de vie (spruit et al #18)

Prévalence élevée d'anxiété/dépression chez les MPOC (spruit et al #559)

Peu de recherche sur l'AP et la diminution des Sx dépressifs auprès de MPOC, mais AP reconnue efficace en Tr dépressifs (source - Knapen et al. #77)

Mortalité et hospitalisation plus faible chez les personnes MPOC plus actives (Garcia-Aymerich)

La section facultative Bénéfice anticipé ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Notes

La section facultative Notes ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
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Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die


Références

  1. 1,0 et 1,1 (en) Walter R. Thompson, ACSM's Clinical Exercise Physiology, American College of Sports Medicine, , 782 p. (ISBN 9781496387806), p.366
  2. (en) « Chronic obstructive pulmonary disease (COPD) », sur who.int, (consulté le 12 février 2022)
  3. Claus F. Vogelmeier, Gerard J. Criner, Fernando J. Martinez et Antonio Anzueto, « Global Strategy for the Diagnosis, Management, and Prevention of Chronic Obstructive Lung Disease 2017 Report. GOLD Executive Summary », American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine, vol. 195, no 5,‎ , p. 557–582 (ISSN 1073-449X, DOI 10.1164/rccm.201701-0218PP, lire en ligne)
  4. François Maltais, Marc Decramer, Richard Casaburi et Esther Barreiro, « An official American Thoracic Society/European Respiratory Society statement: update on limb muscle dysfunction in chronic obstructive pulmonary disease », American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine, vol. 189, no 9,‎ , e15–62 (ISSN 1535-4970, PMID 24787074, Central PMCID 4098112, DOI 10.1164/rccm.201402-0373ST, lire en ligne)
  5. 5,0 5,1 et 5,2 Fabio Pitta, Thierry Troosters, Martijn A. Spruit et Vanessa S. Probst, « Characteristics of physical activities in daily life in chronic obstructive pulmonary disease », American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine, vol. 171, no 9,‎ , p. 972–977 (ISSN 1073-449X, PMID 15665324, DOI 10.1164/rccm.200407-855OC, lire en ligne)
  6. Jean Bourbeau, Mohit Bhutani, Paul Hernandez et Darcy D. Marciniuk, « CTS position statement: Pharmacotherapy in patients with COPD—An update », Canadian Journal of Respiratory, Critical Care, and Sleep Medicine, vol. 1, no 4,‎ , p. 222–241 (ISSN 2474-5332, DOI 10.1080/24745332.2017.1395588, lire en ligne)
  7. 7,0 et 7,1 Martijn A. Spruit, Sally J. Singh, Chris Garvey et Richard ZuWallack, « An Official American Thoracic Society/European Respiratory Society Statement: Key Concepts and Advances in Pulmonary Rehabilitation », American Journal of Respiratory and Critical Care Medicine, vol. 188, no 8,‎ , e13–e64 (ISSN 1073-449X, DOI 10.1164/rccm.201309-1634ST, lire en ligne)
  8. 8,0 8,1 8,2 8,3 et 8,4 (en) American College of Sports Medicine, ACSM's guidelines for Exercise Testing and Prescription 11th Edition, Wolters Kluwer, , 541 p. (ISBN 9781975150181), p. 256-261
  9. (en) R. Gosselink, J. De Vos, S. P. van den Heuvel et J. Segers, « Impact of inspiratory muscle training in patients with COPD: what is the evidence? », European Respiratory Journal, vol. 37, no 2,‎ , p. 416–425 (ISSN 0903-1936 et 1399-3003, DOI 10.1183/09031936.00031810, lire en ligne)
  10. (en) Anne E. Holland, Martijn A. Spruit, Thierry Troosters et Milo A. Puhan, « An official European Respiratory Society/American Thoracic Society technical standard: field walking tests in chronic respiratory disease », European Respiratory Journal, vol. 44, no 6,‎ , p. 1428–1446 (ISSN 0903-1936 et 1399-3003, DOI 10.1183/09031936.00150314, lire en ligne)
  11. (en) Fabio Pitta, Thierry Troosters, Vanessa S. Probst et Martijn A. Spruit, « Physical Activity and Hospitalization for Exacerbation of COPD », CHEST, vol. 129, no 3,‎ , p. 536–544 (ISSN 0012-3692, DOI 10.1378/chest.129.3.536, lire en ligne)
  12. Tam EATON, Pam YOUNG, Wendy FERGUSSON et Lisa MOODIE, « Does early pulmonary rehabilitation reduce acute health-care utilization in COPD patients admitted with an exacerbation? A randomized controlled study », Respirology, vol. 14, no 2,‎ , p. 230–238 (ISSN 1323-7799 et 1440-1843, DOI 10.1111/j.1440-1843.2008.01418.x, lire en ligne)
  13. Gerald F. Fletcher, Philip A. Ades, Paul Kligfield et Ross Arena, « Exercise Standards for Testing and Training », Circulation, vol. 128, no 8,‎ , p. 873–934 (DOI 10.1161/CIR.0b013e31829b5b44, lire en ligne)
  14. (en-US) Scott E. Brolin, Nola M. Cecins et Sue C. Jenkins, « Questioning the Use of Heart Rate and Dyspnea in the Prescription of Exercise in Subjects With Chronic Obstructive Pulmonary Disease », Journal of Cardiopulmonary Rehabilitation and Prevention, vol. 23, no 3,‎ , p. 228–234 (ISSN 1932-7501, lire en ligne)
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