Entérite à Campylobacter

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Entérite à Campylobacter
Maladie
Vidéo
Caractéristiques
Signes Hypotension orthostatique, Muqueuse buccale sèche, Oligurie, Diminution de l'état général, Pli cutané, Tachycardie , Tachypnée , Hépatosplénomégalie, Refill capillaire allongé, Sensibilité abdominale diffuse, ... [+]
Symptômes
Frissons, Courbatures, Crampes abdominales, Vertige , Douleur abdominale, Diarrhée , Hématochézie , Perte de poids
Diagnostic différentiel
Appendicite, Saignement gastro-intestinal, Malabsorption, Syndrome du colon irritable, Cytomégalovirus, Colite ulcéreuse, Herpes simplex, Norovirus, Salmonella, Shigella, ... [+]
Informations
Terme anglais Campylobacter Infection
Autres noms Campylobactériose, Infection à Campylobacter,
Wikidata ID Q131488
Spécialités Médecine familiale, Médecine d'urgence, Gastro-entérologie

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Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Les espèces de Campylobacter représentent l'une des causes les plus courantes de maladies diarrhéiques bactériennes dans le monde.

Épidémiologie

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Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Campylobacter est une cause majeure de diarrhée dans les pays en développement et dans les pays développés, qui est devenue de plus en plus répandue. Selon les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) des États-Unis, il y a environ 1,3 million de cas d'infection à Campylobacter chaque année aux États-Unis seulement. Cela entraîne un coût économique compris entre 1,3 et 6,8 milliards de dollars par an aux États-Unis.[1] En mars 2013, le CDC a signalé une augmentation de 14% des cas de C. jejuni aux États-Unis. Un pour cent de la population humaine européenne est touché chaque année par la campylobactériose. Dans les pays en développement, Campylobacter est responsable de 5 à 20% des maladies d'origine alimentaire. La campylobactériose peut survenir dans tous les groupes d'âge, bien qu'elle affecte principalement les patients pédiatriques dans les pays en développement. Malgré la mise en place de modalités de traitement et d'éradication dans les réservoirs d'animaux, il y a eu une augmentation dramatique des cas dans les régions développées et sous-développées du monde.[1][2] Dans les pays développés, 90% des cas surviennent pendant les mois d'été, ce qui serait lié à la viande insuffisamment cuite dans les installations extérieures. La maladie affecte le plus souvent les enfants de moins de 4 ans et les jeunes adultes âgés de 15 à 44 ans.[2][3] La prévalence mondiale de la maladie met en évidence la capacité de Campylobacter à survivre dans un large éventail d'environnements. Avec la popularité croissante des voyages internationaux du bétail et des humains, la propagation de Campylobacter est difficile à contrôler.

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].
Photographie au microscope électronique de Campylobacter jejuni

Les voies de transmission aux humaines de l'infection à Campylobacter comprennent:

La bactérie Campylobacter est un bâtonnet à Gram négatif courbé et mobile en forme de tire-bouchon.[5] Ils varient en taille de 0,5 à 5 microns de longueur sur 0,2 à 0,9 micron de largeur. Alors qu'il existe des dizaines d'espèces, trois espèces représentent les principales sources d'infection humaine: Campylobacter jejuni, Campylobacter coli et Campylobacter lari. C. jejuni est l'espèce la plus souvent impliquée. [1][2]

Des études contrôlées par des volontaires ont mis en évidence la virulence relative de Campylobacter. Une infection à des doses aussi faibles que 800 UFC[note 1] peut provoquer des symptômes.[6] Cette virulence met en évidence le besoin de propreté chez ceux qui sont en contact avec des réservoirs d'infection, tels que la volaille, l'eau contaminée et les produits laitiers crus.[2]

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Les selles sanglantes et muqueuses sont fréquentes et résultent de l'invasion de l'épithélium par les bactéries de l'intestin. Cela conduit à des lésions inflammatoires et à des lésions muqueuses. Bien que la pathogenèse soit mal comprise, le plasmide pVir est associé à une maladie plus invasive et à une probabilité accrue de diarrhée sanglante.

Présentation clinique

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

L'infection à Campylobacter se manifeste généralement par une entérite avec diarrhée volumineuse (plus de 10 selles par jour peuvent survenir). Une phase prodromique durant 1 à 3 jours est présente chez 30% des individus. Les symptômes de la phase prodromique comprennent:

Cette phase prodromique est associée à une évolution de la maladie plus sévère. L'apparition des symptômes survient généralement 24 à 72 heures après l'ingestion de la bactérie; bien que cela puisse prendre plus de temps à se développer chez les individus infectés par de plus petites quantités de bactéries. Le pic de maladie dure généralement de 24 à 48 heures. La durée moyenne de la phase diarrhéique aiguë de l'entérite à Campylobacter est d'environ 7 jours. Il n'est pas rare que les symptômes de douleurs abdominales persistent pendant des jours à des semaines après la résolution de la diarrhée.[2][7]

Pendant la phase aiguë de la maladie, les symptômes les plus fréquents sont:

Examen clinique

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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

À l'examen clinique, il est possible de noter:

Examens paracliniques

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Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les tests suivants permettent de diagnostiquer une infection à Campylobacter:

Pour une culture de selles, des colonies d'espèces de Campylobacter sont cultivées en utilisant des techniques de culture sélectives conçues pour améliorer l'isolement de C. coli et C. jejuni. Ces bactéries sont thermophiles, se développent mieux à 42 degrés Celsius et sont microaérophiles, poussant mieux dans un environnement contenant 5% à 10% d'oxygène.[3] L'EIA et la PCR ont montré une sensibilité accrue par rapport à la culture de selles. Les développements utilisant la réaction de transcription inverse-polymérase en chaîne (RT-PCR), ont permis le développement de tests plus sensibles pour le dépistage de sources alimentaires potentiellement infectées. [8][2]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

La méthode de diagnostic définitive est la culture de selle.[5]

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel comprend d'autres pathogènes pouvant causer une diarrhée bactérienne infectieuse. Le tableau suivant regroupe quelques pathogènes pouvant être en cause de la diarrhée.

Tableau: Pathogènes associées à la diarrhée infectieuse[9][10][2]
Virus Bactérie Parasite

Le diagnostic différentiel comprend également:

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

L'infection par Campylobacter qui est généralement spontanément résolutive et légère est traitée par:

  • hydratation (orale ou parentérale)
  • reconstitution des électrolytes
  • antibiotique (pour les patients à haut risque, tels que les immunodéprimés et les personnes âgées et les personnes atteintes d'une forme grave de la maladie, soit les patients présentant une fièvre, une diarrhée sanglante ou une douleur abdominale sévère): macrolides (ex.: azithromycine, érythromycine) ou fluoroquinolone (si résistance).[2][12][13]
  • Évitez les agents anti-motilité, car ils peuvent entraver la résolution de l'infection.[14]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Il existe de nombreuses complications médicales associées à l'infection à Campylobacter, dont beaucoup ont un pronostic pire que l'infection aiguë elle-même. Les infections à Campylobacter peuvent provoquer des maladies touchant les systèmes gastro-intestinal, neurologique, pulmonaire, immunologique et cardiaque, telles que: [2]

Évolution

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Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
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Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

La mortalité globale pour l'infection à Campylobacter est de 24 pour 10 000 cas confirmés par culture. Chez les patients en bonne santé, les infections à Campylobacter ont une évolution auto-limitée avec d'excellents résultats cliniques. Environ 10,8% des patients nécessitent une hospitalisation, ce qui en fait la troisième cause d'hospitalisation pour gastro-entérite. Les patients immunodéprimés et âgés présentent les risques les plus élevés de maladie prolongée et mortelle. La plupart des patients connaissent une résolution de la maladie sans complications.[2][12]

Moins de 1% des patients présentent une bactériémie transitoire, qui survient au cours de l'infection aiguë. La bactériémie est associée à une mortalité comprise entre 2,5 et 12,5%.[21] Les patients immunodéprimés et les patients âgés sont plus susceptibles de présenter une bactériémie.[22] Les patients VIH / SIDA ont une incidence accrue d'infection par Campylobacter et une évolution plus virulente. Ces patients peuvent nécessiter plusieurs doses d'antibiothérapie. Ils sont plus susceptibles de présenter des symptômes extra-intestinaux et d'avoir une mortalité plus élevée.[2][23]

Prévention

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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
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Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

S'assurer que la volaille et la viande sont bien cuites à 70 ° C avant l'ingestion réduit le risque d'infection. Le CDC recommande de laver les articles qui entrent en contact avec de la volaille crue. Ils recommandent également des planches à découper séparées pour la viande crue et le nettoyage des ustensiles après leur contact avec la viande crue.[1] Le lait et le fromage non pasteurisés doivent être évités. L'eau non traitée ne doit pas être consommée. Pratiquer une hygiène de base des mains diminue le risque d'infection.[2][24]

Concepts clés

  • Campylobacter est l'une des principales causes de maladies d'origine alimentaire dans le monde. C. jejuni est le plus souvent identifié comme étant le coupable le plus courant des infections humaines.
  • Campylobacter est une espèce robuste de bactéries qui peut survivre dans un large éventail d'environnements. Un petit nombre de bactéries peut provoquer une infection.
  • Les personnes les plus exposées au risque d'infection sont les voyageurs internationaux, les personnes qui entrent fréquemment en contact avec le bétail, en particulier la volaille, et les consommateurs d'eau non traitée ou de lait non pasteurisé.
  • Cliniquement, l'infection à Campylobacter se manifeste généralement par une diarrhée (parfois sanglante) qui culmine généralement 1 à 2 jours après son apparition. La phase d'entérite aiguë de l'infection est généralement spontanément résolutive et disparaît après 7 jours.
  • La culture de selles, PCR ou EIA établit le diagnostic.
  • L'infection à Campylobacter est généralement auto-limitée, et certains cas nécessitent un réapprovisionnement en liquide et en électrolytes. Lorsque des antibiotiques sont nécessaires, les macrolides tels que l'azithromycine sont le traitement de choix.
  • Il existe de multiples complications liées à l'infection à Campylobacter, telles que le syndrome de Guillain-Barré.[2]

Références

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  1. 1,0 1,1 1,2 et 1,3 Nadeem O. Kaakoush, Natalia Castaño-Rodríguez, Hazel M. Mitchell et Si Ming Man, « Global Epidemiology of Campylobacter Infection », Clinical Microbiology Reviews, vol. 28, no 3,‎ , p. 687–720 (ISSN 1098-6618, PMID 26062576, Central PMCID 4462680, DOI 10.1128/CMR.00006-15, lire en ligne)
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 2,15 2,16 2,17 2,18 et 2,19 Greg H. Fischer et Elizabeth Paterek, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30725718, lire en ligne)
  3. 3,0 et 3,1 Sharon V. R. Epps, Roger B. Harvey, Michael E. Hume et Timothy D. Phillips, « Foodborne Campylobacter: infections, metabolism, pathogenesis and reservoirs », International Journal of Environmental Research and Public Health, vol. 10, no 12,‎ , p. 6292–6304 (ISSN 1660-4601, PMID 24287853, Central PMCID 3881114, DOI 10.3390/ijerph10126292, lire en ligne)
  4. Nompilo Sibanda, Aaron McKenna, Anne Richmond et Steven C. Ricke, « A Review of the Effect of Management Practices on Campylobacter Prevalence in Poultry Farms », Frontiers in Microbiology, vol. 9,‎ , p. 2002 (ISSN 1664-302X, PMID 30197638, Central PMCID 6117471, DOI 10.3389/fmicb.2018.02002, lire en ligne)
  5. 5,0 5,1 et 5,2 « Application Chirurgie » (consulté le 13 novembre 2020)
  6. R. E. Black, M. M. Levine, M. L. Clements et T. P. Hughes, « Experimental Campylobacter jejuni infection in humans », The Journal of Infectious Diseases, vol. 157, no 3,‎ , p. 472–479 (ISSN 0022-1899, PMID 3343522, DOI 10.1093/infdis/157.3.472, lire en ligne)
  7. G. Kapperud, J. Lassen, S. M. Ostroff et S. Aasen, « Clinical features of sporadic Campylobacter infections in Norway », Scandinavian Journal of Infectious Diseases, vol. 24, no 6,‎ , p. 741–749 (ISSN 0036-5548, PMID 1287808, DOI 10.3109/00365549209062459, lire en ligne)
  8. 8,0 et 8,1 Paolo Bonilauri, Lia Bardasi, Roberto Leonelli et Mattia Ramini, « Detection of Food Hazards in Foods: Comparison of Real Time Polymerase Chain Reaction and Cultural Methods », Italian Journal of Food Safety, vol. 5, no 1,‎ , p. 5641 (ISSN 2239-7132, PMID 27800434, Central PMCID 5076710, DOI 10.4081/ijfs.2016.5641, lire en ligne)
  9. P. Rohner, D. Pittet, B. Pepey et T. Nije-Kinge, « Etiological agents of infectious diarrhea: implications for requests for microbial culture », Journal of Clinical Microbiology, vol. 35, no 6,‎ , p. 1427–1432 (ISSN 0095-1137, PMID 9163457, DOI 10.1128/JCM.35.6.1427-1432.1997, lire en ligne)
  10. Andrew Slack, « Parasitic causes of prolonged diarrhoea in travellers - diagnosis and management », Australian Family Physician, vol. 41, no 10,‎ , p. 782–786 (ISSN 0300-8495, PMID 23210100, lire en ligne)
  11. A. S. Mee, M. Shield et M. Burke, « Campylobacter colitis: differentiation from acute inflammatory bowel disease », Journal of the Royal Society of Medicine, vol. 78, no 3,‎ , p. 217–223 (ISSN 0141-0768, PMID 3973886, Central PMCID 1289637, DOI 10.1177/014107688507800309, lire en ligne)
  12. 12,0 et 12,1 Guillermo M. Ruiz-Palacios, « The health burden of Campylobacter infection and the impact of antimicrobial resistance: playing chicken », Clinical Infectious Diseases: An Official Publication of the Infectious Diseases Society of America, vol. 44, no 5,‎ , p. 701–703 (ISSN 1537-6591, PMID 17278063, DOI 10.1086/509936, lire en ligne)
  13. Taradon Luangtongkum, Byeonghwa Jeon, Jing Han et Paul Plummer, « Antibiotic resistance in Campylobacter: emergence, transmission and persistence », Future Microbiology, vol. 4, no 2,‎ , p. 189–200 (ISSN 1746-0921, PMID 19257846, Central PMCID 2691575, DOI 10.2217/17460913.4.2.189, lire en ligne)
  14. C. M. Nolan, K. E. Johnson, M. B. Coyle et K. Faler, « Campylobacter jejuni enteritis: efficacy of antimicrobial and antimotility drugs », The American Journal of Gastroenterology, vol. 78, no 10,‎ , p. 621–626 (ISSN 0002-9270, PMID 6624735, lire en ligne)
  15. Faisal Inayat, Nouman Safdar Ali, Iqra Riaz et Hafeez Ul Hasan Virk, « From the Gut to the Heart: Campylobacter jejuni Enteritis Leading to Myopericarditis », Cureus, vol. 9, no 6,‎ , e1326 (ISSN 2168-8184, PMID 28690959, Central PMCID 5501719, DOI 10.7759/cureus.1326, lire en ligne)
  16. Janet E. Pope, Adriana Krizova, Amit X. Garg et Heather Thiessen-Philbrook, « Campylobacter reactive arthritis: a systematic review », Seminars in Arthritis and Rheumatism, vol. 37, no 1,‎ , p. 48–55 (ISSN 0049-0172, PMID 17360026, Central PMCID 2909271, DOI 10.1016/j.semarthrit.2006.12.006, lire en ligne)
  17. T. Hannu, L. Mattila, H. Rautelin et P. Pelkonen, « Campylobacter-triggered reactive arthritis: a population-based study », Rheumatology (Oxford, England), vol. 41, no 3,‎ , p. 312–318 (ISSN 1462-0324, PMID 11934969, DOI 10.1093/rheumatology/41.3.312, lire en ligne)
  18. Michael Kwok, Andrew Maurice, Carl Lisec et Jason Brown, « Campylobacter colitis: Rare cause of toxic megacolon », International Journal of Surgery Case Reports, vol. 27,‎ , p. 141–143 (ISSN 2210-2612, PMID 27614338, Central PMCID 5018068, DOI 10.1016/j.ijscr.2016.08.030, lire en ligne)
  19. Sandra Macfarlane, Elizabeth Furrie, George T. Macfarlane et John F. Dillon, « Microbial colonization of the upper gastrointestinal tract in patients with Barrett's esophagus », Clinical Infectious Diseases: An Official Publication of the Infectious Diseases Society of America, vol. 45, no 1,‎ , p. 29–38 (ISSN 1537-6591, PMID 17554697, DOI 10.1086/518578, lire en ligne)
  20. Marc Lecuit, Eric Abachin, Antoine Martin et Claire Poyart, « Immunoproliferative small intestinal disease associated with Campylobacter jejuni », The New England Journal of Medicine, vol. 350, no 3,‎ , p. 239–248 (ISSN 1533-4406, PMID 14724303, DOI 10.1056/NEJMoa031887, lire en ligne)
  21. H. Nielsen, K. K. Hansen, K. O. Gradel et B. Kristensen, « Bacteraemia as a result of Campylobacter species: a population-based study of epidemiology and clinical risk factors », Clinical Microbiology and Infection: The Official Publication of the European Society of Clinical Microbiology and Infectious Diseases, vol. 16, no 1,‎ , p. 57–61 (ISSN 1469-0691, PMID 19673969, DOI 10.1111/j.1469-0691.2009.02900.x, lire en ligne)
  22. Jérôme Pacanowski, Valérie Lalande, Karine Lacombe et Cherif Boudraa, « Campylobacter bacteremia: clinical features and factors associated with fatal outcome », Clinical Infectious Diseases: An Official Publication of the Infectious Diseases Society of America, vol. 47, no 6,‎ , p. 790–796 (ISSN 1537-6591, PMID 18699745, DOI 10.1086/591530, lire en ligne)
  23. W. Tee et A. Mijch, « Campylobacter jejuni bacteremia in human immunodeficiency virus (HIV)-infected and non-HIV-infected patients: comparison of clinical features and review », Clinical Infectious Diseases: An Official Publication of the Infectious Diseases Society of America, vol. 26, no 1,‎ , p. 91–96 (ISSN 1058-4838, PMID 9455515, DOI 10.1086/516263, lire en ligne)
  24. A. Facciolà, R. Riso, E. Avventuroso et G. Visalli, « Campylobacter: from microbiology to prevention », Journal of Preventive Medicine and Hygiene, vol. 58, no 2,‎ , E79–E92 (ISSN 1121-2233, PMID 28900347, Central PMCID 5584092, lire en ligne)
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