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{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Définition}} Tel que mentionné dans la boite de section ci-dessus, ici doit figurer la définition médicale de la mort.
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Définition}} La mort humaine implique la perte irréversible de la capacité de conscience, combinée à la perte irréversible de la capacité de respirer. <ref>{{Citation d'un article|langue=English|prénom1=D.|nom1=Gardiner|prénom2=S.|nom2=Shemie|prénom3=A.|nom3=Manara|prénom4=H.|nom4=Opdam|titre=International perspective on the diagnosis of death|périodique=British Journal of Anaesthesia|volume=108|date=2012-01-01|issn=0007-0912|issn2=1471-6771|doi=10.1093/bja/aer397|lire en ligne=https://www.bjanaesthesia.org/article/S0007-0912(17)32163-3/abstract|consulté le=2022-04-26|pages=i14–i28}}</ref>
==Épidémiologie==
==Épidémiologie==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Épidémiologie}}Le CDC collecte et rapporte chaque année des données sur les décès aux États-Unis d'Amérique. En évaluant ces informations, les tendances peuvent être identifiées et traitées. De nouvelles recherches, l'amélioration des processus et des programmes communautaires peuvent être développés en utilisant ces informations et les tendances de ces informations.<ref name=":0">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30725663</ref> 5,87 décès pour 1 000 naissances vivantes<ref name=":0" /> Toutes les causes de décès par âge en 2016 :<ref name=":0" />
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Épidémiologie}}Le CDC collecte et rapporte chaque année des données sur les décès aux États-Unis d'Amérique. En évaluant ces informations, les tendances peuvent être identifiées et traitées. De nouvelles recherches, l'amélioration des processus et des programmes communautaires peuvent être développés en utilisant ces informations et les tendances de ces informations.<ref name=":0">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30725663</ref> 5,87 décès pour 1 000 naissances vivantes<ref name=":0" /> Toutes les causes de décès par âge en 2016 :<ref name=":0" />

Version du 26 avril 2022 à 13:14

Décès
État
Caractéristiques
Signes Hypotonie, Apnée, Incontinence urinaire , Incontinence fécale, Asystolie, Ptose, Mydriase , Pupille fixe
Symptômes
Asymptomatique
Diagnostic différentiel
Coma, Hypernatrémie, Hyponatrémie, Mort cérébrale, Alcalose, Arrêt respiratoire, Asystolie, Hypercalcémie, Arrêt cardiaque, Hypothermie, ... [+]
Informations
Autres noms Mort
Wikidata ID Q4
Spécialité Médecine

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La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

La mort humaine implique la perte irréversible de la capacité de conscience, combinée à la perte irréversible de la capacité de respirer. [1]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Le CDC collecte et rapporte chaque année des données sur les décès aux États-Unis d'Amérique. En évaluant ces informations, les tendances peuvent être identifiées et traitées. De nouvelles recherches, l'amélioration des processus et des programmes communautaires peuvent être développés en utilisant ces informations et les tendances de ces informations.[2] 5,87 décès pour 1 000 naissances vivantes[2] Toutes les causes de décès par âge en 2016 :[2]

  • Moins de 1 an : 23 161 : Les malformations congénitales, les déformations et les anomalies chromosomiques sont les principales causes
  • 1 à 4 ans : 4045 : Les blessures non intentionnelles sont la principale cause
  • 5 à 14 ans : 5503 : Les blessures non intentionnelles sont la première cause
  • 15 à 24 ans : 32 575 : Les blessures non intentionnelles sont la première cause
  • 25 à 44 ans : 135 408 : Les blessures non intentionnelles sont la première cause
  • 45 à 64 ans : 539 961 : Les tumeurs malignes sont les principales causes
  • 65 ans et plus : 2 003 458 : Les maladies cardiaques sont les principales causes[2] Le taux de mortalité ajusté selon l'âge pour tous les a ges, par sexe pour 100 000 habitants en 2016 :[2]
  • Masculin : 861,0
  • Féminin : 617,5[2]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) de 2016 aux États-Unis d'Amérique, les décès pour les principales causes sont les suivants :[2]

  • Maladie cardiaque : 635 260
  • Cancer : 598 038
  • Accidents (blessures non intentionnelles) : 161 374
  • Maladies chroniques des voies respiratoires inférieures : 154 596
  • Accident vasculaire cérébral (maladies cérébrovasculaires) : 142 142
  • Maladie d'Alzheimer : 116 103
  • Diabète : 80 058
  • Grippe et Pneumonie : 51 537
  • Néphrite, syndrome néphrotique et néphrose : 50 046
  • Automutilation intentionnelle (suicide) : 44 965[2]

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

La grande majorité des patients qui éprouvent une mort naturelle, c'est-à-dire sans intervention médicale vitale pour contrer le processus, suit un schéma stéréotypé de signes et de symptômes dans la période précédant la mort. Ce laps de temps est souvent appelé « mort active » ou « mort imminente ». Il est important que les prestataires de soins de santé se familiarisent avec ce processus, non seulement pour qu'ils sachent à quoi s'attendre lorsqu'ils prodiguent des soins directs aux patients pendant cette période, mais aussi pour qu'ils puissent aider la famille à comprendre à quoi s'attendre pendant ce processus et à fournir un soutien. au besoin.[2]

  • Stade précoce : Perte de mobilité et alité ; perte d'intérêt ou de capacité à boire et à manger; changements cognitifs pour inclure une augmentation du temps de sommeil ou de délire. Le délire peut être un état hyperactif ou agité ou un état hypoactif. Le point caractéristique du délire est qu'il y a un changement aigu dans le niveau d'excitation.[3]
  • Stade intermédiaire : déclin supplémentaire de l'état mental jusqu'à devenir obnubilé ou éveil lent avec stimulation et seulement de brèves périodes d'éveil. Les patients présentent souvent le "râle de la mort" qui est une respiration bruyante causée par une accumulation de sécrétions orales due à la perte du réflexe de déglutition.
  • Stade avancé : coma ; fièvre, peut-être due à une pneumonie par aspiration ; un schéma respiratoire altéré qui peut être des périodes d'apnée alternées avec de l'hyperpnée ou une respiration irrégulière ; et des extrémités tachetées dues à la constriction de la circulation périphérique [2] La chronologie pour chaque patient est variable. Un patient peut ressentir ces signes et symptômes pendant 24 heures ou pendant plus de 14 jours.[4][2]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

La mort est l'état final de tout processus pathologique ; cependant, chaque maladie a une progression et un cours différents. Il est important d'évaluer le patient pour les résultats liés à son processus pathologique sous-jacent ainsi que ses besoins liés au processus de mort et de fin de vie.[2] L'autodétermination du patient capable doit être respectée. Lorsque le patient peut faire ses propres choix, son autonomie doit être préservée. Ce n'est pas le rôle du prestataire de transmettre ses valeurs et ses croyances aux patients. Les familles des patients peuvent éprouver un deuil anticipé et avoir du mal à gérer pleinement la situation actuelle, et elles peuvent vouloir pousser leurs choix personnels face à la situation au lieu de respecter les souhaits et les choix de leur proche. En tant que prestataires de soins de santé menant des discussions familiales liées à ces sujets difficiles, n'oubliez pas de garder les objectifs du patient au premier plan à tout moment.[2] Ce type de discussion peut survenir pour les raisons suivantes (mais sans s'y limiter) : selon l'évaluation clinique, sont entrés dans le processus de la mort

  • Les patients ne souhaitent plus recevoir de traitement de maintien de la vie en cas d'arrêt cardiaque ; également connu sous le nom de mise en œuvre d'une ordonnance de ne pas réanimer (DNR)
  • Patients diagnostiqués avec un processus de maladie progressive qui causera finalement leur mort ; les exemples incluent les maladies cardiaques, les maladies rénales, les cancers
  • Les patients qui ont déjà été diagnostiqués avec des maladies évolutives qui ont un nouveau déclin de leur état
  • Les patients qui souhaitent arrêter les traitements curatifs
  • Les patients qui demandent à discuter de ces questions[2] Lors de la collecte d'informations sur un patient et face à une situation, il est important de créer un environnement calme et de permettre au patient et à sa famille de se sentir à l'aise. Donnez-leur suffisamment de temps pour répondre aux questions. S'assurer que les objectifs de chaque partie ont été discutés ; du patient, de la famille et de l'équipe médicale.[5][6][2]

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont :

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les symptômes de cette maladie sont :

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :

  • aux signes vitaux :
    • pas de respiration
    • pas de battement de coeur
  • à l'inspection générale :
    • des pertes des intestins ou de la vessie
    • des paupières légèrement ouvertes; les yeux fixés sur un certain endroite; pas d'activité pupillaire
    • la mâchoire détendue
    • la bouche légèrement ouverte[2]

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents sont :

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.
  • ... Il est important d'identifier comment savoir que le décès est survenu et d'informer la famille d'un patient susceptible d'être en train de mourir. Ceci est particulièrement important si le patient choisit de mourir à domicile. [2]
  • Absence de respiration
  • Absence de rythme cardiaque
  • Absence de réponse aux stimuli verbaux ou tactiles
  • Perte des intestins ou de la vessie
  • Paupières légèrement ouvertes ; les yeux fixés sur un certain endroit ; pas d'activité pupillaire
  • Mâchoire relâchée et bouche légèrement ouverte[8][2]

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la maladie est :

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

traitement 2

  • le traitement 3
  • ... L'objectif premier du traitement des patients est de soulager la souffrance. Les soins palliatifs et les soins palliatifs sont souvent confondus. Les soins palliatifs sont le terme donné aux soins prodigués lorsqu'un patient reçoit un pronostic de décès dans les 6 mois et qu'il ne poursuit pas de traitements curatifs. Ils se concentrent sur l'amélioration de la qualité de vie, ce qui peut signifier beaucoup de choses. Les soins palliatifs peuvent être intégrés au plan de soins à tout moment pour tout patient qui souffre et qui souhaite soulager cette souffrance sans traiter directement la cause de cette souffrance. Quelqu'un peut avoir recours aux soins palliatifs en plus des traitements curatifs. La souffrance peut prendre plusieurs formes et la prise en charge doit être pluridisciplinaire. Certains domaines qui peuvent être abordés sont spirituels avec les services d'aumônerie ; la fatigue des soignants avec les ressources communautaires ou un travailleur social; des symptômes physiques tels que douleurs, nausées, constipation avec une approche multimodale ; et même un chef d'équipe de soins palliatifs pour coordonner toutes les pièces mobiles et tenir la famille et le patient au courant de ce qui se passe. Il est important d'établir un objectif de traitement avec le patient et sa famille et de comprendre que cet objectif peut évoluer.[6][2]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

Les complications du décès touchent les vivants :

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

La plupart des gens mourront à l'hôpital ; cependant, la plupart des Américains déclarent qu'ils ne souhaiteraient pas mourir à l'hôpital s'ils le pouvaient. Le nombre de jours passés à la maison est un résultat important centré sur le patient. Lors de l'examen des données des personnes âgées vivant dans la communauté, les jours passés à la maison au cours des 6 derniers mois de la vie ne différaient pas selon l'âge, le sexe ou la race/l'origine ethnique, mais ils étaient significativement plus faibles pour les patients souffrant d'insuffisance organique et les plus élevés pour la mort subite et cancer.[9][2]

Références

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