Utilisateur:Lisa hannane/Brouillons/Otite moyenne avec épanchement

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Révision datée du 7 novembre 2022 à 21:40 par Sarah Kadi (discussion | contributions) (modification définition)
Otite moyenne avec épanchement
Maladie
Caractéristiques
Signes Signe clinique, Signe clinique 1, Signe clinique 2
Symptômes
Symptôme, Élément d'histoire 1
Diagnostic différentiel
Diagnostic différentiel

Page non révisée
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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

L'otite moyenne avec épanchement (OME) est définie par la présence de liquide dans l'oreille moyenne, sans aucun signe d'infection aiguë, mais dont l'accumulation exerce une pression sur la membrane tympanique, l'empêchant ainsi de vibrer correctement. Cela diminue la conduction sonore et entraîne donc une diminution de l'audition du patient.

L'OME chronique est une OME qui persiste pendant 3 mois ou plus, bien que certains cliniciens recommandent de réserver le terme « otite moyenne chronique » aux patients chez lesquels la membrane tympanique est perforée. [1][2]

L'otite moyenne avec épanchement (OME) est également appelée: otite moyenne séreuse, sécrétoire ou non suppurative.

L'otite moyenne aiguë (OMA) et l'OME font partie d'un spectre continu ; l'OME précède souvent le développement de l'AOM ou suit sa résolution.

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

L'OME est l'une des maladies infectieuses les plus fréquentes chez l'enfant et la cause de surdité acquise la plus fréquente chez l'enfant. [3] La maladie affecte généralement les enfants âgés de 1 à 6 ans. Il y a une prévalence plus élevée à l'âge de 2 ans, qui diminue après l'âge de 5 ans. L'OME est plus fréquente pendant les mois d'hiver, ce qui correspond à des taux plus élevés de patients atteints d'atteintes respiratoires supérieures. infections. [2]

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Les étiologies sont :

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Après une otite moyenne aiguë chez l'enfant, du liquide s'accumule dans l'oreille moyenne, inhibant la vibration de la membrane tympanique et la transmission subséquente du son dans l'oreille interne oreille. Avec ce déficit, les enfants peuvent avoir une capacité réduite à communiquer dans des environnements bruyants. L'enfant peut montrer des signes d'inattention ou une diminution des performances scolaires.[2] Chez les patients présentant de grosses végétations adénoïdes, les végétations adénoïdes peuvent obstruer la trompe d'Eustache, entraînant une mauvaise ventilation de l'oreille moyenne. Ce type de blocage peut entraîner un OME. Parce que les végétations adénoïdes sont une structure lymphatique, il est possible qu'elles puissent transmettre des bactéries dans la trompe d'Eustache et permettre la croissance de biofilms. Une telle croissance bactérienne peut provoquer une inflammation qui faciliterait également le blocage et l'accumulation de liquide dans l'oreille moyenne.[2]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

, est la plainte la plus fréquente chez les patients OME. Les patients ou les parents de patients peuvent se plaindre de difficultés de communication, de retrait et de manque d'attention. Au cours d'un examen, un clinicien peut remarquer une altération du développement de la parole et du langage. L'otalgie, le mal d'oreille, peut être intermittent chez ces patients. Dans de nombreux cas, ils auront le symptôme de plénitude auditive ou une sensation que l'oreille saute. Chez l'adulte, l'OME est plus souvent unilatérale. Les patients adultes peuvent signaler des acouphènes et la sensation d'un corps étranger dans le conduit auditif externe. Chez les enfants ou les adultes, l'OME survient généralement en même temps que les infections des voies respiratoires supérieures. Par conséquent, il est bon d'interroger les patients sur les otites antérieures ou récurrentes, l'obstruction nasale et les infections des voies respiratoires supérieures.[2] Lors d'un examen physique, les signes d'OME comprennent l'opacification de la membrane tympanique et la perte du réflexe lumineux. Il peut également y avoir une rétraction de la membrane tympanique avec une mobilité réduite. Si une rétraction grossière de la membrane tympanique est observée, une intervention peut être nécessaire pour empêcher la formation d'une poche de rétraction, telle qu'une tympanoplastie d'augmentation du cartilage modifié. [8][1][2]

Facteurs de risque

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont :

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les symptômes de cette maladie sont :

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents sont :

  • l'examen paraclinique 1 :
  • l'examen paraclinique 2 :
  • ... Une audiométrie et une tympanométrie adaptées à l'âge doivent être testées chez les patients atteints d'otite moyenne avec épanchement. Un tympanogramme « plat » soutiendra un diagnostic d'otite moyenne avec épanchement. [9]L'audition peut être testée chez les nourrissons à l'aide des réponses auditives du tronc cérébral (ABR). Cet examen teste l'activité électrique du tronc cérébral aux stimuli acoustiques. Le test détecte à la fois la gamme de fréquences et les niveaux d'intensité sonore dans lesquels le cerveau du patient réagit. Les patients n'ont pas besoin de pouvoir parler et n'ont même pas besoin d'être éveillés pour effectuer le test. Il est donc idéal pour les enfants de la naissance à 5 ans. [10][2] Chez les enfants plus âgés et les adultes, bien que les tests ABR puissent toujours être effectués, il est plus courant de faire un examen audiologique classique. Cet examen consiste à diffuser des sons dans les oreilles gauche et droite du patient à différentes tonalités et intensités. Les patients sont priés de lever la main droite ou gauche lorsqu'ils entendent un son dans l'oreille droite ou gauche, respectivement. Les résultats identifieront la plage de fréquences et les niveaux d'audition normaux du patient.[2] Les personnes ayant une audition normale peuvent détecter des fréquences plus basses à un décibel inférieur (c'est-à-dire une intensité) que des fréquences plus élevées, ce qui signifie qu'un individu normal a besoin d'un son plus fort pour percevoir les aigus fréquences que les basses fréquences. Lors d'un examen audiologique, la gamme de fréquences qu'un individu peut percevoir est tracée sur un audiographe. La gamme de décibels (dB) des individus avec OME est diminuée dans l'audiographe. [2] Niveaux de perte auditive (réduction des seuils auditifs par rapport aux niveaux normaux) :[2]
  • Déficience légère : 26-40 dB
  • Déficience modérée : 41-60 dB
  • Déficience sévère : 61-80 dB
  • Déficience auditive sévère : 71-90 dB
  • Profonde déficience, y compris la surdité : 81 dB ou plus. [11][2]

Histopathologie

La première ligne de défense de l'oreille moyenne serait le système de défense mucociliaire de la trompe d'Eustache. Les immunoglobulines produites par la muqueuse contribuent à ce système de défense. En raison de l'élévation significative de ces immunoglobulines dans les épanchements, ces systèmes de défense peuvent être hyperactifs dans l'OME. [12][2]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la maladie est :

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

}

  • le traitement 3
  • ... L'otite moyenne avec épanchement se résorbe généralement spontanément avec une attente vigilante. Cependant, si elle est persistante, la myringotomie avec insertion d'un tube de tympanostomie est considérée comme un traitement efficace. [15] Dans ce traitement, un tube de ventilation permet l'entrée d'air dans l'oreille moyenne, empêchant la réaccumulation de liquide. Après cette procédure, de nombreux patients n'ont pas besoin de traitement supplémentaire en raison de la croissance et du développement de l'angle de la trompe d'Eustache, ce qui permettra le drainage. [2] L'adénoïdectomie est actuellement utilisée dans les cas d'OME qui impliquent des végétations adénoïdes hypertrophiées et constitue un complément important à la prise en charge des patients atteints d'OME. [16][2] La perte auditive infantile peut affecter le développement du langage [17]. Par conséquent, les prothèses auditives peuvent être considérées comme une option non invasive pour traiter l'OME. [18][2] Les décisions du clinicien pour le traitement interventionnel correct de l'OME pour un patient spécifique incluent une variété de facteurs. patient
  • Probabilité d'adhésion du patient au traitement
  • Assistance familiale au traitement[2] Une approche centrée sur le patient doit être adoptée lors de l'évaluation du handicap auditif. La façon dont l'enfant s'adapte socialement et à l'école est plus importante que les résultats des examens audiométriques. [19][20][21] Although most OME patients will warrant a conservative management approach as opposed to more invasive interventions, all physical and social factors should be examined to provide a patient-centered treatment plan that optimizes outcomes for the patient.[22][23][24][2]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Parallèlement au traitement médical et chirurgical de l'OME, la rééducation des trompes d'Eustache peut également être utile dans la prise en charge. La rééducation de la trompe d'Eustache peut inclure des exercices de renforcement musculaire des muscles tenseur veli palatini et releveur veli palatini par auto-insufflation, des exercices de respiration et une éducation pour l'amélioration de l'hygiène nasale. [25][2]

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de cette maladie sont :

  • la complication 1
  • la complication 2
  • la complication 3
  • ... Des modifications à long terme de l'oreille moyenne et de la membrane tympanique peuvent survenir avec un OME persistant, entraînant une perte auditive permanente. Les tubes de ventilation sont utilisés pour essayer de prévenir ces complications à long terme. Cependant, même chez les patients traités, des complications telles que la tympanosclérose peuvent survenir. [26][2]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

La plupart des cas d'OME se résolvent d'eux-mêmes. Dans les cas persistants, la condition entrave la capacité d'un patient à entendre. Par conséquent, la communication et la socialisation peuvent être affectées. Chez les jeunes enfants, les déficits auditifs peuvent causer des problèmes d'apprentissage ou retarder le développement du langage. L'impact de l'OME sur ces facteurs n'a pas été entièrement étudié. [27] Les complications inhabituelles de l'OME comprennent les étourdissements, les troubles du comportement et la maladresse. [28][2]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Pour éviter le potentiel de complications du tube de ventilation, de nombreux médecins et parents préfèrent les thérapies non invasives, par exemple, l'utilisation d'appareils auditifs. La réassurance et l'explication de l'approche « d'attente vigilante » est une partie importante de la prise en charge pour les patients qui n'ont pas de problèmes d'élocution, de langage ou de développement et pour ceux dont l'audiométrie montre une audition normale. Si «l'attente vigilante» est utilisée, le patient doit être surveillé de près pour détecter des changements dans les symptômes ou des signes d'augmentation de la pression sur la membrane tympanique, car une rupture induirait un mauvais pronostic pour la future audition chez ces patients.[2] Parents d'enfants atteints d'OME récurrents doivent être informés et éduqués sur l'anatomie de l'oreille moyenne. Les cliniciens doivent identifier les activités familiales de l'enfant par rapport à la position de la tête (par exemple, l'allaitement, les habitudes de sommeil). La manipulation de la position de la tête au cours de ces activités peut permettre un drainage optimal et aider l'enfant à prévenir des épisodes ultérieurs d'OME dans le futur. [2]

Toxicocinétique

L'otite peut également être causée par une inflammation provoquée par des virus ou des allergies. Alors que l'allergie est un facteur de risque important pour l'otite moyenne, les lignes directrices de pratique clinique (2004) ont conclu qu'il y avait peu de preuves pour soutenir des stratégies de gestion spécifiques pour l'OME induite par l'allergie. Cependant, il est logique de conclure qu'un traitement agressif de la rhinite allergique peut aider les patients qui développent une OME en conjonction avec des allergies. [29][2]

Oncologie chirurgicale

Bien que les patients atteints d'OME puissent ne présenter aucun signe ou symptôme à l'exception de la perte d'audition associée à l'OME, 5,7 % des patients développent l'OME en raison d'une obstruction causée par un carcinome du nasopharynx. L'examen du nasopharynx, ainsi que du méat acoustique externe, est suggéré chez les patients OME. Si des anomalies sont observées dans le nasopharynx, une biopsie de l'espace postnasal est suggérée. UNIQréf0000003C-QINU`"'?UNIQréf0000003D-QINU`"'?

Radio-oncologie

Chez les patients atteints d'un carcinome du nasopharynx, l'OME peut être induite par des traitements de radiothérapie. Ce type d'OME peut persister plusieurs mois. [30] Des recherches supplémentaires sont nécessaires pour déterminer les risques de développer un OME post-radiothérapie et comment les doses d'irradiation peuvent influencer cette complication. [31][2]

Études pertinentes et essais en cours

Plusieurs thérapies différentes ont été essayées pour trouver des options de traitement efficaces pour l'OME. L'utilisation de stéroïdes oraux chez les enfants a montré certains avantages. Cependant, on ne sait pas si ces avantages sont cliniquement significatifs. [32] Des gouttes otiques ont également été utilisées pour maintenir la perméabilité du tube de tympanostomie. Ces essais n'ont montré aucune différence statistique dans le taux d'occlusion entre les patients qui ont reçu le traitement médicamenteux et les conditions de contrôle (sans médicament). [33][2]

Planification du traitement

L'OME est le plus souvent causée par des facteurs viraux ou allergiques, et non par une infection bactérienne. Par conséquent, l'utilisation d'antibiotiques n'est pas recommandée. De plus, il n'a pas été prouvé que les corticoïdes pour le traitement des allergies avaient un impact significatif sur les résultats de l'OME chez les patients. Pour ces raisons, les antibiotiques et les corticoïdes ne sont pas recommandés pour traiter l'OME. La meilleure pratique pour les patients OME est une attente vigilante de trois mois en première intention. Dans les cas où l'OME persiste, une référence à un spécialiste peut être faite pour évaluer les options de traitement chirurgical. [34][2]

Gestion de la toxicité et des effets secondaires

Les gouttes ototopiques peuvent être ototoxiques si elles pénètrent dans l'oreille moyenne et atteignent l'oreille interne [35]. Cependant, les gouttes ototopiques ne sont pas systématiquement utilisées pour traiter l'OME.[2]

Medical Oncology

La radiothérapie après un carcinome du nasopharynx peut entraîner diverses complications. La complication la plus courante est la xérostomie (c'est-à-dire la bouche sèche causée par un manque de salive). Dans certains cas, un OME persistant peut se développer, facilitant le besoin d'un traitement supplémentaire ou d'une intervention chirurgicale. [35][2]

Consultations

Le contact avec un large éventail de professionnels de la santé, y compris les audiologistes et les oto-rhino-laryngologistes, est important à l'OME pour assurer une prise en charge holistique de ces patients.[2]

Références

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  1. 1,0 et 1,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30342609
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 2,15 2,16 2,17 2,18 2,19 2,20 2,21 2,22 2,23 2,24 2,25 2,26 2,27 2,28 2,29 et 2,30 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30855877
  3. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30554684
  4. 4,0 et 4,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29158869
  5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30564785
  6. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29224762
  7. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26701940
  8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26396960
  9. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28637148
  10. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/2657580
  11. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21776317
  12. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1267366
  13. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15138413
  14. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26976514
  15. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28025605
  16. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30570973
  17. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22845829
  18. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28688552
  19. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30647195
  20. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30640191
  21. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30335043
  22. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30256199
  23. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30208983
  24. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29398506
  25. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22500063
  26. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10577815
  27. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11466181
  28. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10577789
  29. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19843400
  30. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28540514
  31. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29698103
  32. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30407151
  33. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29631747
  34. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29033123
  35. 35,0 et 35,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22249834
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