Utilisateur:Isabelle Thibault/Brouillons/Toux aiguë (approche clinique)

De Wikimedica
Toux aiguë
Approche clinique

Patient se présentant avec toux
Caractéristiques
Symptômes discriminants Rhinorrhée, Myalgies, Nausées, Dyspnée (symptôme), Céphalée (symptôme), Expectorations, Sueurs nocturnes, Douleur thoracique (symptôme), Pyrosis, Toux (symptôme), ... [+]
Signes cliniques discriminants
Bronchophonie (signe clinique), Ronchi (signe clinique), Diminution du murmure vésiculaire, Signe clinique discriminant 1, Rhinorrhée et muqueuse nasale tuméfiée, Les sibilants ou Wheezing, Les crépitants, Le stridor, Température corporelle élevée (signe clinique)
Examens paracliniques
Radiographie thoracique, Bronchoscopie, Examen paraclinique 1, Angio scanner, Scintigraphie pulmonaire
Drapeaux rouges
Drapeau rouge, Tabagisme, Dysphagie, Stridor, Détresse respiratoire, Immunodéficience, Difficultés respiratoires, Inhalation d'un corps étranger, Hémoptysies (signe clinique), Vomissement (signe clinique), ... [+]
Informations
Terme anglais Cough
Wikidata ID Q35805
Spécialités Pneumologie, infectiologie, cardiologie

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Objectif du CMC
Toux (18)

La toux est une action réflexe du tractus respiratoire permettant de dégager les voies respiratoires supérieures. C’est un symptôme fréquent et peu spécifique.[1][2][3] La toux peut être aiguë ou chronique[3]:

  • aiguë < 3 semaines
  • chronique > 3 semaines.

Cette page concerne la toux aiguë, pour la toux chronique, voir Toux chronique (approche clinique).

Épidémiologie

La toux est l’une des symptômes les plus courants pour lesquels des soins ambulatoires sont recherchés auprès des cliniciens. L’évaluation et la gestion de la toux peuvent représenter jusqu'à 40 % de consultations auprès des cliniciens.[4]

Étiologies

Les principales causes de la toux aiguë sont :

  1. l'exposition à des substances irritantes
  2. l'exacerbation aiguë de maladie pulmonaire obstructive chronique
  3. l'asthme
  4. l'embolie pulmonaire
  5. l'infection des voies respiratoires supérieures
  6. l'insuffisance cardiaque
  7. la pneumonie acquise en communauté
  8. la bronchite
  9. une maladie pulmonaire occupationnelle
  10. les bronchiectasies
  11. la COVID-19
  12. l'influenza
  13. la tuberculose: dans les zones d'endémie, il faut envisager la tuberculose pulmonaire chez tous les patients qui toussent, quelle que soit la durée[5]
  14. la coqueluche chez les patients présentant des facteurs de risque, par exemple une sous- immunisation et/ou un contact avec une personne infectée[6]
  15. les IECAs et dans une moindre mesure les ARAs.

Physiopathologie

La toux est une action réflexe du tractus respiratoire ayant pour but de dégager les voies respiratoires supérieures. Il en résulte d’une irritation des récepteurs de la toux aux stimuli mécaniques et chimiques. Divers mécanismes physiopathologiques peuvent mener à la toux par des récepteurs, dépendamment de l'étiologie. Ces récepteurs se retrouvent au niveau de l'épithélium des voies respiratoires supérieures et inférieures, le péricarde, l'œsophage, le diaphragme et l'estomac. Les récepteurs chimiques sensibles à l'acide, au froid, à la chaleur, aux composés de type capsaïcine et à d'autres irritants chimiques déclenchent le réflexe de toux via l'activation des canaux ioniques Au niveau des voies respiratoires supérieures, la toux peut notamment être due à un écoulement post-nasal, une irritation directe ou une inflammation des récepteurs. Déplus, les récepteurs mécaniques de la toux peuvent être stimulés par des déclencheurs tels que le toucher ou le déplacement.  Les impulsions des récepteurs de la toux stimulée traversent une voie afférente par le nerf vague vers le centre de la toux dans la moelle. Ce processus est en partie sous un certain contrôle des centres corticaux supérieurs. La toux involontaire est régulée par des afférences nerveuses vagales. Il y a toutefois un important contrôle cortical pouvant se manifester par l'inhibition de la toux ou par une toux volontaire. Par conséquent, l'effet placébo peut avoir un effet important sur la toux. Pour la même raison, des problématiques psychologiques peuvent causer la toux. [7][2][1]

Évaluation clinique

Facteurs de risques

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les principaux facteurs de risque discriminants à l'histoire. Ces facteurs de risques servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les facteurs de risque discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Facteur de risque discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Facteur de risque est utilisé exclusivement sur les pages de maladie et de classe de maladie.
  • Les antécédents personnels, familiaux, les habitudes de vie et les médicaments sont détaillés dans cette section (et non dans la section Questionnaire).
  • Cette section ne détaille pas les facteurs de risque d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les facteurs de risque à rechercher chez les patients qui se présentent avec céphalée sont :
  • des antécédents personnels de migraine [Facteur de risque discriminant] qui pourront indiquer cette pathologie
  • des antécédents personnels de cancer [Facteur de risque discriminant], un drapeau rouge qui évoque des métastases cérébrales
  • l'utilisation chronique de médicaments pour les céphalées [Facteur de risque discriminant] qui pourrait entraîner une céphalée de surconsommation médicamenteuse
  • le tabagisme [Facteur de risque discriminant], pouvant indiquer des métastases cérébrales.

Les facteurs de risque à recherche [8]sont :

Questionnaire

La section facultative Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Cette section liste des symptômes discriminants au questionnaire.
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Questionnaire, Symptôme discriminant et Élément d'histoire discriminant.
  • Ces éléments servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Questionnaire, Symptôme discriminant, Élément d'histoire discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les symptômes discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Symptôme discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Symptôme est utilisé exclusivement sur les pages de Maladie et de Classe de maladie.
  • Les éléments d'histoire discriminants se distinguent des symptômes. Par exemple, la chute dans une page d'approche clinique de la céphalée aiguë est un élément d'histoire discriminant (modèle Élément d'histoire discriminant), et non un symptôme.
  • Le modèle Élément d'histoire discriminants est utilisé exclusivement sur les pages de type Approche clinique. Le modèle Élément d'histoire est utilisé sur les pages de type Maladie et Classe de maladie.
  • Cette section ne détaille pas l'histoire d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Chez les patients atteints de dyspnée aiguë, les symptômes à rechercher sont :
  • au questionnaire cardiaque [Questionnaire] :
    • l'oedème des membres inférieurs [Symptôme discriminant], qui évoque une insuffisance cardiaque décompensée
    • une douleur thoracique [Symptôme discriminant] qui évoque un syndrome coronarien aigu, une insuffisance cardiaque décompensée ou une embolie pulmonaire
    • la lipothymie [Symptôme discriminant] et la la syncope [Symptôme discriminant], qui pourront être présents lors du syndrome coronarien aigu, de l'arrythmie et de l'embolie pulmonaire
    • etc.
  • au questionnaire pulmonaire [Questionnaire]
    • la toux [Symptôme discriminant], présente dans la pneumonie et l'EAMPOC et parfois dans l'embolie pulmonaire et l'insuffisance cardiaque
    • les crachats [Symptôme discriminant], présents dans la pneumonie et l'EAMPOC
    • les hémoptysies [Symptôme discriminant] sont un symptôme grave qui indique une potentielle embolie pulmonaire
    • un traumatisme récent [Élément d'histoire discriminant] évoque une fracture de côte ou une costo-chondrite
  • etc.

Chez les patients atteints par cette problématique, les symptômes à rechercher au questionnaire sont :


Questionnaire devant une toux
Anamnèse de la maladie actuelle doit déterminer la durée et les caractéristiques de la toux (p. ex., sèche ou productive de crachats ou de sang et si elle est accompagnée d'une dyspnée et/ou d'une douleur thoracique). Poser des questions sur les facteurs déclenchants (p. ex., l'air froid, les odeurs fortes) et le moment de la toux (p. ex., surtout la nuit) peut être révélateur.
Revue des systèmes doit rechercher des symptômes de cause possible, dont rhinorrhée et maux de gorge (infection des voies respiratoires supérieures, écoulement nasal postérieur); fièvre, frissons et douleur thoracique pleurétique (pneumonie); sueurs nocturnes et perte de poids (tumeur, tuberculose); pyrosis (reflux gastro-œsophagien); et difficulté à déglutir ou épisodes d'étouffement en mangeant ou en buvant (fausses routes).
Recherche des antécédents médicaux doit porter sur des infections respiratoires récentes (c'est-à-dire, au cours des 1 à 2 mois précédents); des antécédents d'allergies, d'asthme, de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et de reflux gastro-œsophagien; des facteurs de risque (ou une infection connue) de tuberculose ou d'infection par le VIH; et les antécédents de tabagisme. L'anamnèse médicamenteuse doit spécifiquement comprendre la recherche de prise d'inhibiteurs de l'ECA. En cas de toux chronique, il faut interroger les patients sur une exposition à des irritants ou à des allergènes respiratoires et des séjours ou une résidence dans des régions d'endémie de maladies fongiques.[14]Le clinicien doit notamment être en mesure de diagnostiquer la cause, la gravité et les complications, ainsi que de porter une attention particulière sur la distinction entre une toux de cause bénigne et une toux de cause plus grave exigeant un examen complet et une prise en charge plus poussée. Il doit être apte à énumérer et interpréter les constatations cliniques cruciales (toux aiguë versus toux chronique, cause bénigne versus cause grave, déclencheurs et facteurs aggravants).[3]
Apparition & Chronologie
  • Toux aiguë (< 3 semaines)
  • Toux chronique (3 semaines ou plus)
Déclencheurs & Facteurs aggravants
  • Expositions
    1. Antigènes
    2. Fumée tabagique, ceci est notamment le cas chez les enfants.[1]
  • Médicaments
    1. La prise de bêtabloqueurs chez les patients asthmatiques peut causer une exacerbation de cette pathologie.[1]
    2. Prise d'inhibiteurs de l'enzyme de conversion de l'angiotensine (IECA).[1]
  • Décubitus dorsal
    1. Dyspnée paroxystique nocturne
Qualité
  • Toux sèche
  • Toux grasse
  • Toux grasse non-productive
  • Toux productive
  • Expectorations claires
  • Expectorations colorées
  • Hémoptysies
  • Rouille
  • Sang clair
Intensité / sévérité Quatité et fréquence
Antécédents, Habitus & Facteurs de risque
  • Antécédents médicaux personnels
    1. asthme
    2. infections respiratoires récentes : 1 à 2 mois précédents
    3. antécédents d'allergies, de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) et de reflux gastro-œsophagien;
    4. des facteurs de risque (ou une infection connue) de tuberculose ou d'infection par le VIH;
    5. antécédents de tabagisme.
  • Médication :
    1. prise d'inhibiteurs de l'ECA. En cas de toux chronique,
    2. prise de béta bloquants
    3. exposition à des irritants ou à des allergènes respiratoires
  • séjour ou une résidence dans des régions d'endémie de maladies fongiques

Examen clinique

La section facultative Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Cette section traite des signes à rechercher à l'examen clinique qui permettent de différencier les étiologies entre elles.
  • Cette section doit faire l'usage du modèle Examen clinique et du modèle Signe clinique discriminant.
  • Ces éléments servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les examens cliniques et les signes cliniques discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Signe clinique discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Signe clinique est utilisé exclusivement sur les pages de maladie et de classe de maladie.
  • Cette section ne détaille pas l'examen clinique et les signes cliniques d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Chez les patients atteints d'une dyspnée aiguë, les éléments suivants sont à rechercher à l'examen clinique :
  • à l'examen cardiaque [Examen clinique] :
    • un souffle systolique [Signe clinique discriminant] indique une sténose aortique critique
    • de l'oedème des membres inférieurs [Signe clinique discriminant] indique une insuffisance cardiaque décompensée
    • la TVC augmentée [Signe clinique discriminant] évoque une insuffisance cardiaque décompensée ou sera présent dans 13% des embolies pulmonaires
  • à l'examen pulmonaire [Examen clinique] :
    • des crépitants [Signe clinique discriminant] en présence d'une pneumonie ou d'une surcharge secondaire à une insuffisance cardiaque décompensée.
    • des sibilances [Signe clinique discriminant] en cas d'asthme, d'EAMPOC et parfois d'insuffisance cardiaque.

À l'examen physique, il est pertinent de rechercher les éléments suivants :

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit les examens paracliniques (ex. laboratoires, imageries, etc.) à effectuer pour cette approche clinique. Les signes paracliniques discriminants orientant vers une étiologie particulière ou une complication sont listés.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique discriminant
Commentaires:
 
  • En lisant cette section, le lecteur devrait être en mesure de comprendre les indications et les signes paracliniques attendus pour chaque examen paraclinique, ce qui lui permettra d'avoir une compréhension approfondie de la manière d'utiliser les examens paracliniques pour naviguer le diagnostic différentiel et diagnostiquer la maladie. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Chaque examen paraclinique devrait être défini à l'aide d'une propriété sémantique de type Examen paraclinique. Le modèle Signe paraclinique n'est pas utilisé.
  • La liste à puce ou le tableau sont les formats à utiliser. Lorsque la liste à puce est utilisée, celle-ci est toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les examens paracliniques suggérés dans le cas d'une céphalée aiguë sont :
  • une tomodensitométrie cérébrale sans contraste [Examen paraclinique] pour éliminer un saignement intracrânien [Signe paraclinique discriminant] (AVC démorragique) et des masses intracrâniennes [Signe paraclinique discriminant] (métastases ou cancer cérébal) grossières
  • une ponction lombaire [Examen paraclinique] si le patient fait de la fièvre ou s'il y a des signes de méningisme à l'examen physique :
    • en cas de méningite, une leucocytose importante dans le LCR [Signe paraclinique discriminant] et une coloration au Gram positive [Signe paraclinique discriminant] est caractéristique
  • une vitesse de sédimentation [Examen paraclinique] chez tous les patients de plus de 50 ans pour éliminer l'artérite temporale ou chez tous les patients qui pourraient avoir des symptômes compatibles
  • etc.

Dans la très grande majorité des cas, la toux aiguë ne nécessite pas d'exploration complémentaire. Une radiographie de thorax est à réaliser en cas d'examen physique anormal notamment de bruits anormaux à l'auscultation

Les examens paracliniques suggérés dans le cas d'un patient qui se présente avec cette situation clinique sont :[19]

  • 'Radiographie thoracique :
  • Angio scanner : est l’examen de référence à pratiquer en urgence pour confirmer le diagnostic de embolie pulmonaire. Lorsqu’il est négatif il n’est pas nécessaire de pratiquer d’autres examens[20]
  • scintigraphie pulmonaire : ventilation / perfusion est une alternative pour poser le diagnostic d'EP quand il n’est pas possible de réaliser un angio scanner ou quand l’angio scanner est contre indiqué


Les principales causes de la toux aigue et les examens clinique associés [21]

Causes Signes évocateurs Procédure diagnostique
Toux aiguë
Corps étranger* Apparition brutale chez un petit enfant qui ne présente pas d'infection des voies respiratoires supérieures ni de symptômes généraux Rx thorax(en inspiration et expiration)

Bronchoscopie

Insuffisance cardiaque*

Dyspnée

Râles crépitants fins Bruits extrasystoliques du cœur Pression veineuse jugulaire élevée Œdèmes périphériques déclives Orthopnée Dyspnée paroxystique nocturne

Rx thorax

Taux de peptide natriurétique cérébral (de type B)

Echocardiographie transthoracique

Pneumonie (virale, bactérienne, par inhalation, rarement fongique)

Fièvre

Toux productive Dyspnée Douleur thoracique pleurale Bruits bronchiques localisés ou égophonie

Rx thorax

Cultures (p. ex., d'expectoration, de liquide pleural, hémocultures et éventuellement de lavages bronchiques) chez les sujets gravement atteints et les patients qui présentent des pneumonies nosocomiales

Écoulement nasal postérieur (origine allergique, virale ou bactérienne)

Céphalée

Maux de gorge Nausées Aspect pavimenteux de l'oropharynx postérieur Muqueuse nasale pâle, empâtée, tuméfiée Fréquents éclaircissements de la gorge

Bilan clinique


Réponse à un traitement empirique antihistaminique ou décongestionnant

TDM des sinus si le diagnostic est incertain

Embolie pulmonaire*

Douleur thoracique pleurale

Dyspnée Tachycardie

Angio-TDM

Moins souvent, scintigraphie de ventilation/perfusion et éventuellement artériographie pulmonaire

Infection des voies respiratoires supérieures (dont la bronchite aiguë)

Rhinorrhée

Muqueuse nasale rouge, tuméfiée Maux de gorge Malaise

Bilan clinique

Hyperactivité des voies respiratoires après résolution de l'infection des voies respiratoires Toux sèche, non productive qui peut persister pendant des semaines ou des mois après une infection aiguë des voies respiratoires Rx thorax typique
Les caractéristiques des maladies respiratoires à l'origine de la toux [22][23]
Catégorie Exemples
Maladie pulmonaire obstructive Asthme

Maladie pulmonaire obstructive chronique

Bronchectasie

Bronchiolite

Maladie parenchymateuse Fibrose pulmonaire idiopathique

Asbestose

Pneumopathie interstitielle desquamative

Sarcoïdose

Faiblesse neuromusculaire Sclérose latérale amyotrophique

Le syndrome de Guillain Barre

Myasthénie grave

Atteinte de la paroi thoracique / maladie pleurale Cyphoscoliose

Spondylarthrite ankylosante

Épanchements pleuraux chroniques

Maladie vasculaire pulmonaire Embolie pulmonaire

Hypertension artérielle pulmonaire

Maladie veinoocclusive pulmonaire

Vasculite

Malignité Carcinome bronchogène (cancer du poumon non à petites cellules et à petites cellules)

Maladie métastatique

Maladies infectieuses Pneumonie

Bronchite

Trachéite

Drapeaux rouges

La section obligatoire Drapeaux rouges ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description:
  • Les drapeaux rouges sont des signes, des symptômes, des facteurs de risque ou des signes paracliniques qui, lorsqu'ils sont présents, peuvent orienter vers un diagnostic grave ou demandant une prise en charge immédiate.
  • Chaque drapeau rouge devrait être défini à l'aide d'une propriété sémantique de type Drapeau rouge.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Drapeau rouge
Commentaires:
 
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Cette section doit rester simple et courte.
Exemple:
 
Les drapeaux rouges des patients qui se présentent en céphalée aiguë sont :
  • une altération de l'état de conscience [Drapeau rouge] indique une possible méningite, encéphalite, un AVC hémorragie ou une HIP
  • une faiblesse [Drapeau rouge] évoque un AVC
  • de la diplopie [Drapeau rouge] évoque également un AVC du tronc ou une lésion occupant de l'espace
  • une immunosuppression [Drapeau rouge] pourrait évoquer une méningite, encéphalite ou un abcès cérébral ou spinal
  • etc.

Les drapeaux rouges [24] à surveiller chez les patients qui présentent cette situation clinique sont :

  • dyspnée évoque la présence d'une détresse respiratoire
  • hémoptysies évoque la présence d'une embolie pulmonaire
  • perte de poids (signe clinique) évoque la présence d'une atteinte par la tuberculose ou d'une malignité (cancer bronchique, cancer pulmonaire ou Lymphome de localisation intra bronchique)
  • fièvre (signe clinique) persistante évoque lune pneumonie ou abcès pulmonaire
  • immunosuppression ou conditions socio-économiques défavorables orientent vers une atteinte par la tuberculose ou infection fongique sur terrain de VIH [25]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: La section contient la prise en charge générale qui s'applique à l'ensemble des étiologies. Que doit-on faire avant que la cause n'ait été clairement établie ? Des traitements généraux doivent-ils être amorcés avant l'identification de la cause ? Comment traite-t-on la symptomatologie du patient ? Quelles sont les indications d'hospitalisation ? Quand doit-on demander une consultation ? Un résumé de la prise en charge de certaines étiologie clés peut aussi être résumée avec un lien vers la page dédiée à la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique (seulement pour le traitement des symptômes, pas pour les étiologies)
Commentaires:
 
  • Le traitement spécifique associé à chaque étiologie est spécifié sur sa page de maladie (ne pas la décrire sur la page d'approche clinique). Le traitement général en lien avec l'approche clinique est décrit (par exemple, le soulagement du symptôme).
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Le tableau peut être adéquat en fonction du contexte.
  • Des algorithmes de traitement peuvent être présentés avec le modèle Flowchart (voir Aide:Diagramme).
Exemple:
 

Le traitement de la toux dépend de la cause

Traitement de la toux [26]
Approche clinique specifique de la toux
  • Prescrire les médicaments indiqués
  • Les thérapies de suppression de la toux
  • Conseiller et renseigner le patient présentant une toux chronique
  • Rassurer le patient s'il n'a pas besoin de subir des examens plus poussés
  • Conseiller le patient sur les enjeux liés au travail

Par ailleurs, d'autres médicaments pourraient utiliser auprès des patients qui présentent de la toux comme:

  • Les antitussifs inhibent le centre médullaire de la toux.
  • Les expectorants entraînent une diminution de la viscosité et favorisent la toux ou l'expectoration des sécrétions mais ont un intérêt limité.
  • Les traitements locaux, tels que les gouttes ou les sirops pour la toux (émollients) à base d'acacia, de réglisse, de glycérine, de miel et de baies sauvages sont parfois efficaces, peut-être pour des raisons psychologiques, mais leur efficacité n'a pas été scientifiquement prouvée.
  • Les médicaments qui stimulent la toux (pro-tussifs) sont indiqués dans les pathologies telles que la mucoviscidose et la bronchectasie, dans lesquelles une toux productive est considérée comme importante pour libérer les voies respiratoires et préserver la fonction respiratoire.
  • Les bronchodilatateurs, tels que l'albutérol, l'ipratropium disodique ou les corticostéroïdes inhalés, peuvent être efficaces dans la toux après une infection des voies respiratoires supérieures et dans la variante d'asthme avec toux.[26]
  • Les antibiotiques ne sont pas recommandés pour le traitement de routine de la toux à moins qu'il y ait une indication prouvée, par exemple, dans la pneumonie ou la sinusite bactérienne aiguë .

Mesures de soutien

  • Recommander le repos et une hydratation adéquate.
  • Conseillez aux patients d'éviter les irritants pulmonaires , par exemple la fumée. [27]
  • Des mesures non pharmacologiques peuvent être bénéfiques, par exemple :[28]
    • Solution saline nasale pour la congestion nasale
    • Un humidificateur

Traitement symptomatique de la toux[29][30][31]

Mécanisme d'action Indication effets secondaires en cas de surdosage
Expectorants
  • Augmenter le liquide bronchique pour réduire la viscosité du mucus (pas de suppression de la toux)
peut être envisagée pour les toux productives :
  • Guaifénésine (libération immédiate ou libération prolongée)
  • Iodure de potassium
  • des nausées et des maux de tête (Guaifénésine )
  • des nausées, des vomissements, un gonflement et une sensibilité des glandes salivaires (Iodure de potassium)
  • vomissements , une altération de l'état mental (due à une dépression du système nerveux central )
  • l' hyperkaliémie et troubles de rythme cardiaque
Antitussifs
  • Action centrale : supprimer l' arc réflexe de la toux au niveau du système nerveux central (ex : codeine)
  • Action périphérique : supprime les déclencheurs périphériques de l' arc réflexe de la toux en anesthésiant les récepteurs d'étirement respiratoires
peut être envisagée pour les toux sèches nocturnes
  • codeine (hors AMM)
  • Benzonatate (Anesthésique local aux propriétés antitussives administré sous forme de gélules

Les médicaments antitussifs diminuent la toux et, par conséquent, ne doivent être utilisés qu'en cas de toux non productive, car la toux favorise l'expectoration de mucus.

  • nausées, vomissements, constipation , étourdissements , sédation, palpitations , prurit (Codéine)
  • nausées, étourdissements , maux de tête , altération de l'état mental (Benzonatate)
  • intoxication aux opioides
  • troubles visuels, tremblements , convulsions
Mucolytiques
  • Liquéfier le mucus en réduisant les liaisons disulfure des mucoprotéines (N-acétylcystéine )
peut étre envisagé dans les
  • Maladies bronchopulmonaires chroniques hypervisqueuses (p. ex. MPOC , fibrose kystique )
Kinésithérapie thoracique
  • Desserre et mobilise le mucus des voies respiratoires par percussion physique, vibrations et drainage postural
  • Peut être bénéfique pour les patients présentant une toux inefficace (p. ex., troubles neuromusculaires) et/ou des maladies bronchopulmonaires avec augmentation de la viscosité des expectorations (p. ex., fibrose kystique , bronchectasie , pneumonie )

Traitement des symptômes associés

  • Antihistaminiques : Envisager si un composant allergique est suspecté, par exemple, dans la rhinite allergique .
  • Bronchodilatateurs (p. ex., bêta-agonistes ) :Traiter les  indiqués pour le traitement de l'asthme et de la MPOC
  • Stéroïdes
    • Stéroïdes intranasaux ou inhalés : utilisés dans la rhinite allergique , l'asthme
    • Traiter les Stéroïdes systémiques : utilisés chez les patients souffrant d'inflammation aiguë et/ou d' œdème , par exemple, en cas d' anaphylaxie, MPOC, d'exacerbation aiguë de l'asthme , de croup
  • Décongestionnants (p. ex., oxymétazoline, pseudoéphédrine): peut être utilisé pour traiter la congestion nasale [32]
  • AINS : peuvent être utilisés pour traiter les myalgies , les maux de tête et la fièvre

Complications

La section facultative Complications ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des complications possibles de l'approche clinique classées en ordre de probabilité (si possible).
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication. Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Attention ! Les complications sont celles de l'approche clinique elle-même et non de son traitement. Par exemple, l'anémie est une complication de l'hémorragie digestive basse, mais la perforation intestinale en raison d'une colonoscopie doit plutôt être décrit sur la page de la procédure Colonoscopie.
Exemple:
 


Chez les patients ayant une toux inefficace, il est recommandé d'anticiper et surveiller l'apparition de complications telles que la pneumonie, l'atélectasie et l'insuffisance respiratoire.[1]

Résumé des complication possibles de la toux[33]
Cardiovasculaire
Hypotension artérielle
Perte de conscience
Rupture des veines sous-conjonctivales, nasales et anales
Déplacement / dysfonctionnement des cathéters intravasculaires
Bradyarythmies, tachyarythmies
Neurologique
Syncope de la toux
Mal de crâne
Embolie gazeuse cérébrale
Rhinorrhée du LCR
Radiculopathie cervicale aiguë
Dysfonctionnement des shunts ventriculo-auriculaires
Convulsion
AVC dû à la dissection de l'artère vertébrale
Gastro-intestinal
Événements de reflux gastro-œsophagien
Hydrothorax en dialyse péritonéale
Dysfonctionnement du bouton de gastrostomie
Rupture splénique
Hernie inguinale
Génito-urinaire
Incontinence urinaire
Inversion de la vessie par l'urètre
Musculosquelettique
De l'élévation asymptomatique de la créatine phosphokinase sérique

à la rupture des muscles droits de l'abdomen

Fractures des côtes
Respiratoire
Emphysème interstitiel pulmonaire, avec risque potentiel

de pneumatose intestinale, pneumomédiastin,

pneumopéritoine, pneumorétropéritoine, pneumothorax, emphysème sous-cutané

Traumatisme laryngé
Traumatisme trachéobronchique (p.ex., bronchite, rupture bronchique)
Exacerbation de l'asthme
Hernie pulmonaire intercostale
Divers
Pétéchies et purpura
Perturbation des plaies chirurgicales
Symptômes constitutionnels
Changements de style de vie
Conscience de soi, enrouement, étourdissements
Peur d'une maladie grave
Diminution de la qualité de vie

Particularités

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Description: Cette section traite des particularités concernant la gestion de l'approche clinique pour certaines clientèles.
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Exemple:
 

Pédiatrie

La section facultative Pédiatrie ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section mentionne les particularités concernant la gestion de l'approche clinique chez une clientèle pédiatrique.
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Commentaires:
 
  • Le format texte est à privilégier.
  • Il est possible que l'approche clinique en pédiatrie nécessite une approche clinique complètement différente. Dans ce cas, il est préférable de faire un page d'approche clinique séparée. (ex. Ictère chez le nouveau-né est trop différente de l'Ictère chez la personne âgée)
Exemple:
 

Il est recommandé de prendre en charge la toux chez l’enfant en fonction des données probantes pédiatriques et des lignes directrices pédiatriques, car les facteurs étiologiques et les traitements peuvent différer comparativement à la toux chez l’adulte. Lorsque ceci n’est pas possible, les recommandations adultes doivent être utilisées avec précaution.[1]

  • drapeaux rouges :
    • enfant présente des difficultés respiratoires ou pour avaler
    • voix éteinte ou modifier
    • altération de son état général
    • toux rauque ou aboiement
    • contexte évocateur d'une inhalation d'un corps étrangers
    • signes de détresse respiratoire (tirage sus sternal, intercostal, battement des ailes du nez)
  • Prise en charge pédiatrique
    • Chez les enfants souffrant de toux, il est recommandé de déterminer l’étiologie afin d’orienter le traitement. [1]
    • Chez les enfants présentant une toux non spécifique et des facteurs de risques pour l’asthme, il est recommandé de tenter un court essai d’un corticostéroïde inhalé:
      • Durée approximative de 2 à 4 semaines.
      • La plupart des enfants avec une toux non spécifique n’ont pas d’asthme.
      • Les enfants doivent toujours être réévalués après 2 à 4 semaines. cesser la médication et de considérer des diagnostics alternatifs. Il n’est pas recommandé d’utiliser un antitussif. [note 1][1]
    • Rechercher les facteurs d’exacerbation tels que l’exposition à la fumée tabagique. [1]
    • Déterminer les attentes de parents et d’adresser leurs inquiétudes. [1]

Notes

  1. Ces médicaments sont associés à une mortalité et une morbidité significatives, en particulier les enfants plus jeunes. Ceci inclue les antitussifs en vente libre. (SCT, recommandation de grade D)

Références

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  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 et 1,11 (en) Richard S. Irwin, Michael H. Baumann, Donald C. Bolser et Louis-Philippe Boulet, « Diagnosis and Management of Cough Executive Summary », Chest, vol. 129, no 1,‎ , p. 1S–23S (DOI 10.1378/chest.129.1_suppl.1S, lire en ligne)
  2. 2,0 et 2,1 (en) Kian Fan Chung et Ian D Pavord, « Prevalence, pathogenesis, and causes of chronic cough », The Lancet, vol. 371, no 9621,‎ , p. 1364–1374 (DOI 10.1016/S0140-6736(08)60595-4, lire en ligne)
  3. 3,0 3,1 et 3,2 « 18 Toux | Le Conseil médical du Canada », sur mcc.ca (consulté le 3 mai 2020)
  4. « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 6 mars 2021)
  5. (en) Richard S. Irwin, Cynthia L. French, Anne B. Chang et Kenneth W. Altman, « Classification of Cough as a Symptom in Adults and Management Algorithms », Chest, vol. 153, no 1,‎ , p. 196–209 (DOI 10.1016/j.chest.2017.10.016, lire en ligne)
  6. (en) Anne B. Chang, John J. Oppenheimer, Richard S. Irwin et Todd M. Adams, « Managing Chronic Cough as a Symptom in Children and Management Algorithms », Chest, vol. 158, no 1,‎ , p. 303–329 (DOI 10.1016/j.chest.2020.01.042, lire en ligne)
  7. « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 6 mars 2021)
  8. « Toux chez l'adulte - Troubles pulmonaires », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 7 janvier 2023)
  9. Agence de la santé publique du Canada, « Maladie à coronavirus (COVID-19) », sur www.canada.ca, (consulté le 7 janvier 2023)
  10. Agence de la santé publique du Canada, « Tuberculose : Symptômes et traitement », sur www.canada.ca, (consulté le 7 janvier 2023)
  11. « symptômes du cancer du poumon »
  12. « Symptômes, transmission et traitement (COVID-19) », sur www.quebec.ca (consulté le 7 janvier 2023)
  13. « Reflux gastro-œsophagien résistant aux IPP », sur FMC-HGE, (consulté le 7 janvier 2023)
  14. « Toux chez l'adulte - Troubles pulmonaires », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 10 avril 2021)
  15. « Embolie pulmonaire - Troubles pulmonaires », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 7 janvier 2023)
  16. « MPOC, Emphysème et Bronchite », sur Association pulmonaire du Québec (consulté le 7 janvier 2023)
  17. « Symptômes, transmission et traitement (COVID-19) », sur www.quebec.ca (consulté le 7 janvier 2023)
  18. « Évaluation du patient pulmonaire - Troubles pulmonaires », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 7 janvier 2023)
  19. Info santé, « Radiographie des poumons : interprétation · Info santé », sur infosante.be (consulté le 22 février 2023)
  20. « Embolie pulmonaire - Quels examens ? », sur Figaro Santé (consulté le 22 février 2023)
  21. « Toux chez l'adulte - Troubles pulmonaires », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 10 avril 2021)
  22. Patricia A. Kritek et Bruce D. Levy, Harrison's Principles of Internal Medicine, McGraw-Hill Education, (lire en ligne)
  23. Christopher H. Fanta, Harrison's Principles of Internal Medicine, McGraw-Hill Education, (lire en ligne)
  24. V. M. Bhagwat et B. V. Ramachandran, « Malathion A and B esterases of mouse liver-I », Biochemical Pharmacology, vol. 24, no 18,‎ , p. 1713–1717 (ISSN 0006-2952, PMID 14, DOI 10.1016/0006-2952(75)90011-8, lire en ligne)
  25. (en-US) « Pneumocystis pneumonia | Fungal Diseases | CDC », sur www.cdc.gov, (consulté le 7 janvier 2023)
  26. 26,0 et 26,1 « Toux chez l'adulte - Troubles pulmonaires », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 10 mars 2021)
  27. « Produit intérieur brut (PIB) », sur PIB et dépenses, (consulté le 15 mars 2022)
  28. Felix Holzinger, Sabine Beck, Lorena Dini et Christiane Stöter, « The Diagnosis and Treatment of Acute Cough in Adults », Deutsches Ärzteblatt international,‎ (ISSN 1866-0452, DOI 10.3238/arztebl.2014.0356, lire en ligne)
  29. (en) Alan B. Goldsobel et Bradley E. Chipps, « Cough in the Pediatric Population », The Journal of Pediatrics, vol. 156, no 3,‎ , p. 352–358.e1 (DOI 10.1016/j.jpeds.2009.12.004, lire en ligne)
  30. Thomas E. Brown, Marc-Antoine Crocq et Alexis Boehrer, Trouble Déficit de L'attention-Hyperactivité Chez L'enfant et L'adulte, Elsevier, (lire en ligne), p. 125–145
  31. (en) Jennifer A. Lowry et J. Steven Leeder, « Over-the-Counter Medications: Update on Cough and Cold Preparations », Pediatrics In Review, vol. 36, no 7,‎ , p. 286–298 (ISSN 0191-9601 et 1526-3347, DOI 10.1542/pir.36.7.286, lire en ligne)
  32. (en) Susan M Smith, Knut Schroeder et Tom Fahey, Cochrane Database of Systematic Reviews, John Wiley & Sons, Ltd, (DOI 10.1002/14651858.cd001831.pub3., lire en ligne), p. CD001831.pub3
  33. « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 6 mars 2021)