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Tumeur phyllode
Maladie
Caractéristiques
Signes Masse mammaire, Écoulement mammaire , Masses mammaires fermes, Distension des veines superficielles, Rétraction du mamelon, Ulcération cutanée
Symptômes
Masse mammaire (approche clinique), Masse non douloureuse, Évoluer rapidement, Masse qui dépasse de la peau, Étirer la peau, Ulcération cutanée
Diagnostic différentiel
Sarcome, Maladie fibrokystique des seins, Tumeur stromale périductale, Carcinome métaplasique, Fibroadénome du sein
Informations
Terme anglais Tumeur Phyllode Du Sein

Page non révisée
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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

La tumeur phyllodes du sein est une tumeur fibroépithéliale rarement rencontrée, qui représente 0,3 % à 1 % de toutes les tumeurs.[1] La tumeur phyllodes présente un continuum morphologique allant de bénigne à maligne. Sur la base des caractéristiques histologiques, y compris l'atypie nucléaire, la cellularité stromale, l'activité mitotique, l'apparence de la marge tumorale et la prolifération stromale, l'Organisation mondiale de la santé (OMS) classe les tumeurs phyllodes bénignes, limites et malignes.[1] Les tumeurs phyllodes ont une récurrence inhérente et/ou potentiel métastatique, qui varie en fonction du grade histologique. Leur diagnostic est principalement établi sur la base d'un examen histopathologique. Cependant, le diagnostic différentiel entre les tumeurs phyllodes bénignes et le fibroadénome reste difficile, en particulier sur les échantillons de biopsie au trocart.[2]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Les tumeurs phyllodes surviennent principalement chez les femmes d'âge moyen (âge moyen à la présentation, 40 à 50 ans) environ 15 à 20 ans plus tard que les fibroadénomes.[3][2]

La tumeur phyllodes survient principalement chez les femmes, bien qu'il y ait des rapports de certains cas chez les hommes.[4][2]

L'analyse des données du registre de données du Surveillance, Epidemiology, and End Results Program (SEER) de 2000 à 2004 a révélé que 500 femmes reçoivent un diagnostic de tumeurs phyllodes malignes aux États-Unis chaque année.[5][2]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Les facteurs de risque génétiques des tumeurs phyllodes sont en grande partie inconnus, mais la littérature décrit des tumeurs phyllodes chez des patients atteints du syndrome de Li-Fraumeni et un couple mère-fille.[6] De rares cas de tumeurs phyllodes chez l'homme sont souvent associés à une gynécomastie, suggérant un rôle pour un déséquilibre hormonal. [7][2]

Les chercheurs ont postulé que l'induction stromale de tumeurs phyllodes peut se produire en raison de facteurs de croissance produits par l'épithélium mammaire. Les traumatismes, la grossesse, l'augmentation de l'activité des œstrogènes et l'allaitement sont parfois impliqués comme facteurs stimulant la croissance tumorale. La nature de ces facteurs n'est pas bien comprise, mais l'endothéline-1, un stimulateur de la croissance des fibroblastes mammaires, pourrait être un facteur contributif.[8][2]

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Contrairement au carcinome du sein, les tumeurs phyllodes commencent à l'extérieur des lobules et des canaux, dans le tissu conjonctif du sein, appelé stroma, y compris les ligaments et le tissu adipeux entourant les lobules, les canaux, la lymphe et les vaisseaux sanguins du sein. En plus des cellules épithéliales des canaux et des lobules, les tumeurs phyllodes peuvent également contenir des cellules stromales.[9] Elles se développent très probablement de novo, bien qu'il y ait eu des rapports de progression du fibroadénome en tumeur phyllodes.[10][2]

Caractéristiques moléculaires[2]

Des études récentes se sont concentrées sur la définition d'une classification moléculaire des tumeurs phyllodes. Des études comparatives d'hybridation génomique ont montré des déséquilibres chromosomiques récurrents, notamment +1q, -6q, -13q, -9p, -10p et +5p. Bien qu'actuellement aucune aberration chromosomique n'ait été trouvée spécifique aux tumeurs phyllodes, certains auteurs ont signalé que les tumeurs phyllodes de bas grade et de haut grade (limite/maligne) se séparent en deux groupes génétiques sur la base d'altérations génomiques, avec des tumeurs phyllodes de haut grade montrant systématiquement Gain 1q et perte 13q et tumeurs phyllodes de bas grade montrant peu ou pas d'altérations.

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Cliniquement, les tumeurs phyllodes ont tendance à se présenter comme des masses mammaires unilatérales fermes et indolores qui étirent la peau sus-jacente avec une distension frappante des veines superficielles.[2]

La taille peut aller de 1 à 45 cm et peut occuper tout le sein.[2]

Un écoulement mamelonnaire sanglant causé par un infarctus spontané de la tumeur a été décrit.[2]

L'ulcération et la rétraction du mamelon sont rares.[2]

Bien que la lymphadénopathie axillaire soit courante, les métastases ganglionnaires sont l'exception.[11][2]

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les résultats d'imagerie à la mammographie sont généralement une masse dense lobulée ronde avec des marges partiellement indistinctes ou circonscrites. Les calcifications au sein de la masse sont rares, mais elles peuvent être importantes.[12][2]

A l'échographie, la tumeur phyllode se présente sous la forme d'une masse hypoéchogène, partiellement indistincte ou partiellement circonscrite avec un rehaussement postérieur fréquent. Une composante kystique est plus typique dans les tumeurs phyllodes malignes. Les tumeurs phyllodes montreront fréquemment une vascularisation accrue au Doppler couleur ou puissance. L'évaluation IRM de l'[13] peut être utile pour évaluer l'invasion de la paroi thoracique dans les tumeurs phyllodes malignes. Les caractéristiques présentes sur l'IRM sont typiquement un signal faiblement hétérogène sur les images pondérées en T1, bien que des zones d'hémorragie hyperintense en T1 puissent être visibles. Les images pondérées en T2 montrent généralement une masse lobulée avec un liquide hyperintense dans des espaces en forme de fente et parfois une hyperintensité dans les tissus environnants.[14][2]

Histopathologie

Examen Macroscopique[2]

Les tumeurs phyllodes forment des masses bien circonscrites, fermes et saillantes. Une fois coupé, la surface est beige ou rose à grise et peut se présenter comme charnue et mucoïde. Le motif verticillé caractéristique avec des fentes incurvées ressemblant à des bourgeons foliaires est plus évident dans les grandes lésions, mais les petites lésions peuvent avoir un aspect homogène. Une hémorragie ou une nécrose peuvent être présentes dans les grandes lésions.[1][2]

Examen Microscopique[2]

Les tumeurs phyllodes présentent un schéma de croissance intra-canaliculaire amélioré avec des projections en forme de feuille dans une lumière allongée dilatée de manière variable. La composante épithéliale se compose de cellules épithéliales et myoépithéliales luminales étirées dans des fentes en forme d'arc surmontant les frondes stromales.[1][2]

Classement[2]

Il y a eu des propositions pour plusieurs systèmes de classement, mais l'utilisation du système à trois niveaux, y compris les tumeurs phyllodes bénignes, limites et malignes, est préférée car cette approche conduit à une plus grande certitude aux extrémités du spectre de ces lésions fibroépithéliales.[1][2]

Tumeurs phyllodes bénignes[2]

Cette variété comprend 60 à 75 % de toutes les tumeurs phyllodes. Dans les tumeurs phyllodes bénignes, le stroma est généralement plus cellulaire que dans les fibroadénomes. Les noyaux stromales à cellules fusiformes sont uniformes et les mitoses sont rares, généralement moins de 5 pour 10 champs à fort grossissement. Les zones de cellularité stromale éparse, de hyalinisation ou de modifications myxoïdes ne sont pas rares, reflétant l'hétérogénéité du stroma. Les marges sont généralement bien délimitées et repoussantes.[1][2]

Tumeurs phyllodes borderline[2]

Ces tumeurs sont diagnostiquées lorsque la masse ne possède pas toutes les caractéristiques histologiques défavorables trouvées dans les tumeurs phyllodes malignes. [2]

Les tumeurs phyllodes borderline peuvent avoir des mitoses fréquentes (5 à 9 pour 10 HPF), une cellularité stromale modérée, une bordure circonscrite ou focalement invasive et une atypie stromale. La prolifération stromale est souvent absente.[2]

Tumeurs Malignes Phyllodes[2]

Les tumeurs phyllodes malignes présentent une combinaison de pléomorphisme nucléaire marqué des cellules stromales, de prolifération stromale définie comme l'absence d'éléments épithéliaux dans un champ microscopique de faible puissance ne contenant que du stroma, une augmentation des mitoses (supérieures ou égales à 10 pour 10 HPF), une augmentation du stroma cellularité, généralement diffuse, et frontières infiltrantes.[1][2]

Immunohistochimie[2]

Plusieurs marqueurs d'immunohistochimie ont fait l'objet d'une étude dans le but d'améliorer la classification des PT et de prédire leurs résultats. Des études démontrent que p53, Ki67, CD117, EGFR, p16 et VEGF (étant le plus bas dans les tumeurs phyllodes bénignes et le plus élevé dans les tumeurs phyllodes malignes) sont associés aux grades histologiques des tumeurs phyllodes, mais aucun n'a été prouvé cliniquement utile. [15][16][17][18][2]

Parmi ces marqueurs, l'expression de p53 et l'indice Ki67 ont été rapportés dans certaines études comme étant significativement associés aux survies sans maladie et globales, mais d'autres études n'ont trouvé aucune association avec la récidive ou le comportement clinique.[19][20][2]

L'expression de PAX3 et SIX1 par immunohistochimie et analyse de l'expression génique ont récemment été identifiées dans les tumeurs phyllodes borderline et malignes et sont en corrélation avec un mauvais résultat clinique.[21][2]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].
  • Diagnostic différentiel 1
  • Diagnostic différentiel 2
  • Diagnostic différentiel 3
  • ...
  • Fibroadénome : Le principal diagnostic différentiel des tumeurs phyllodes bénignes est le fibroadénome ayant un profil intracanaliculaire prononcé.[22]
  • Sarcomes : la tumeur phyllode maligne peut être confondue avec les sarcomes purs du sein.[23]
  • Tumeur stromale périductale : la tumeur stromale périductale est une entité qui chevauche histologiquement la tumeur phyllode maligne, la principale différence étant l'absence de processus foliaires. Il est non circonscrit, constitué d'une prolifération de cellules fusiformes localisées autour de tubules ouverts.[24]
  • Carcinome métaplasique : le carcinome fait également partie du diagnostic différentiel des tumeurs phyllodes malignes, mais la démonstration immunohistochimique de la différenciation épithéliale permet de résoudre le problème.[2]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

L'excision locale large et complète avec des marges supérieures à 1 cm est souvent curative et réduit le risque de récidive locale.[25]  Les grosses tumeurs nécessitent une mastectomie. Malgré l'incidence plus élevée de récidive locale secondaire à la chirurgie mammaire conservatrice, les études n'ont montré aucune différence entre la chirurgie mammaire conservatrice et la mastectomie en ce qui concerne la survie sans métastase ou la survie globale. Les options de traitement adjuvant comprennent principalement la radiothérapie, qui s'est avérée réduire les récidives locales. La recherche n'a pas montré d'avantage clinique avec l'administration d'une chimiothérapie adjuvante.[26][2]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Récurrence locale[2]

Des récidives locales peuvent survenir dans toutes les tumeurs phyllodes, à un taux global de 21 %, avec des plages de 10 % à 17 %, de 14 % à 25 % et de 23 % à 30 % pour les tumeurs bénignes, borderline malignes et phyllodes, respectivement. Les récidives locales se développent généralement en 2 à 3 ans.[27][2]

Métastases à distance[2]

Les métastases à distance sont presque exclusivement une caractéristique des tumeurs phyllodes malignes. Les poumons (66 %), les os (28 %) et le cerveau (9 %) sont les sites de propagation les plus courants.?'"`UNIQ--ref-00000004A-QINU`"'? Rarement, les métastases peuvent impliquer le foie et le cœur.?'"`UNIQ--ref-00000004B-QINU`"'?

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Le pronostic de la tumeur phyllode est bon, avec une survie de 87 % à 10 ans. Le risque de récidive varie en fonction de la taille de la tumeur et de l'approche chirurgicale.?'"`UNIQ--ref-00000004C-QINU`"'?

La plupart des tumeurs phyllodes ont un comportement bénin, avec des récidives locales survenant dans une faible proportion des cas. Très rarement, la tumeur peut métastaser, le plus souvent dans les cas de tumeurs malignes. ?'"`UNIQ--ref-00000004D-QINU`"'?

Les tumeurs phyllodes malignes sont de mauvais pronostic.?'"`UNIQ--ref-00000004E-QINU`"'?

Prévention

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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Les patientes peuvent être invitées à examiner régulièrement leurs seins et à consulter leur médecin si une anomalie est détectée.?'"`UNIQ--ref-00000004F-QINU`"'?

Consultations

  • Chirurgien oncologue
  • Oncologue[2]

Références

__NOVEDELETE__
  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 et 1,6 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27362571
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 2,11 2,12 2,13 2,14 2,15 2,16 2,17 2,18 2,19 2,20 2,21 2,22 2,23 2,24 2,25 2,26 2,27 2,28 2,29 2,30 2,31 2,32 2,33 2,34 2,35 2,36 et 2,37 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31082182
  3. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30593154
  4. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1315437
  5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27334214
  6. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22981939
  7. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/3040567
  8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23577269
  9. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30521986
  10. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29290198
  11. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19141133
  12. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21353414
  13. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8539362
  14. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21071383
  15. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21087983
  16. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16258510
  17. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18443904
  18. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20497245
  19. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16889904
  20. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11245343
  21. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24438019
  22. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30029048
  23. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30692487
  24. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12604890
  25. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18234448
  26. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29317034
  27. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22049216
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Est une complication de ...