Maladie de Parkinson

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Révision datée du 24 octobre 2022 à 14:38 par Gabrielle Voyer (discussion | contributions) (physiopatho, facteurs de risque)
Maladie de Parkinson
Maladie
Caractéristiques
Signes Hypotension orthostatique, Rigidité, Hypertonie , Adiadococinésie, Bradykinésie , Hypophonie, Micrographie, Instabilité posturale, Posture voûtée, Absence d'expression faciale, ... [+]
Symptômes
Chute, Troubles neurocognitifs, Insomnie, Dysphagie, Hypotension orthostatique, Hypersomnolence, Rigidité, Hallucinations, Hyposmie , Asthénie , ... [+]
Diagnostic différentiel
Dégénérescence corticobasale, Démence à corps de Lewy, Hypothyroïdie, Hyperthyroïdie, Maladie de Wilson, Hypercalcémie, Encéphalopathie hépatique, Tremblement essentiel, Maladie de Creutzfeldt-Jakob, Paralysie supranucléaire progressive, ... [+]

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La maladie de Parkinson est une atteinte neurodégénérative progressive idiopathique du système nerveux central qui survient principalement chez la personne âgée.

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Épidémiologie

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Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

La maladie de Parkinson affecte entre 2 et 3 personnes sur 1000 dans la population générale, la prévalence augmentant à 2 pour 100 chez les personnes de plus de 65 ans. Âge moyen de survenue est de 60 ans, mais tout de même 20% des cas surviennent chez des personnes de moins de 50 ans.[1]

Étiologie

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

La maladie de Parkinson est habituellement idiopathique. Une prédisposition génétique serait possible dans certains cas, où des mutations génétiques ont été identifiées, dont celle du gène PARK8. On retrouve des antécédents familiaux de maladie de Parkinson dans environ 10% des cas.[2]

Physiopathologie

La physiopathologique de la maladie de Parkinson se définit par deux éléments majeurs. Le premier étant la perte et la dégénérescence des neurones dopaminergiques de la substances noire, ce qui entraine un manque de dopamine au niveau des noyaux gris centraux et provoque par le fait même les atteintes motrices de la maladie. Le deuxième élément est le développement de corps de Lewy dans les neurones dopaminergiques, sauf dans les formes de la maladie dues aux mutations génétiques. Ces éléments pathologiques peuvent précéder la symptomatologie de plusieurs années. Certaines études suggèrent que l'âge et l'exposition à certaines toxines provoquent un processus inflammatoire contribuant au vieillissement des neurones. [3][2]

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Présentation clinique

***EN LISANT LA SECTION D'INSTRUCTIONS, ON NE PEUT PAS METTRE D'INFOS DANS CETTE SECTION, ÇA DOIT ÊTRE DANS LES SOUS-SECTIONS...

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

La maladie de Parkinson étant le plus souvent idiopathique, peu de facteurs de risque y sont associée[3].

  • Âge : il s'agit du facteur de risque le plus important, l'âge moyen de survenue étant de 60 ans
  • sexe : les hommes sont 1,5 fois plus susceptible d'être atteints que les femmes
  • antécédents familiaux : par la prédisposition génétique dans certains cas de la maladie
  • Exposition aux pesticides
  • D'autres liens on été établis de façon moins significative entre la maladie de Parkinson et des entités tel que le diabète, la dyslipidémie et l'obésité, ainsi que l'exposition à certaines toxines (telles que le plomb ou le cuivre).

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

***JE NE SAIS PAS SI CES 3 «SX» SONT PLUS DANS L'EXAMEN CLINIQUE, JE NE SAIS PAS COMMENT LES NOMMER COMME UN SX...

Les caractéristiques cardinales de la maladie de Parkinson sont le tremblement, la bradykinésie et la rigidité. Les symptômes commencent souvent de façon unilatérale et s'étendent ensuite aux deux côtés du corps. L'instabilité posturale est une autre caractéristique clé, mais elle survient généralement plus tard dans l'évolution de la maladie. Il est donc extrêmement rare que les troubles à la marche soient la première manifestation d'une maladie de Parkinson primaire[4][5].

  • tremblements : tremblement de repos, c'est-à-dire un tremblement qui s'améliore ou se résout même lors d'un mouvement volontaire. C'est le symptôme moteur le plus fréquent au début de la maladie, se présentant d'abord en distal et de manière asymétrique. Le tremblement atteint surtout les membres supérieurs, mais également les jambes, les lèvres et le menton.
  • bradykinésie : la bradykinésie est une lenteur généralisée des mouvements. Dans les membres supérieurs, la bradykinésie commence généralement de façon distale par une diminution de la dextérité manuelle des doigts. Dans les membres inférieurs, elle se manifeste par un traînement des pas raccourcis et traînants. Le patient se plaint souvent de lenteur lorsqu'il se tourne dans le lit, sort d’une voiture ou boutonne ses vêtements. Le patient ou ses proches peuvent remarquer une hypophonie, une akinésie faciale, une voix monotone, une micrographie.
  • rigidité : La rigidité est une résistance accrue aux mouvements passifs et prend souvent la forme d'une roue dentée lorsque le membre est déplacé dans son amplitude.

Face à un patient chez qui on suspecte une maladie de Parkinson, un questionnaire exhaustif comprend la recherche de manifestations non motrices, qui se développent habituellement plusieurs années avant les symptômes moteurs classiques[4] :

Si le patient se plaint des symptômes suivants, il est nécessaire de rechercher une cause secondaire de parkinsonisme, car ces symptômes sont atypiques pour une maladie de Parkinson[4] :

Examen clinique

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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

En cas de suspicion de maladie de Parkinson, un examen neurologique complet est nécessaire. Vous trouverez ci-dessous les caractéristiques de la maladie de Parkinson qui peuvent être trouvées lors de l'examen physique.[4][5]

Inspection:

  • Réduction des mouvements spontanés de la main
  • Clignement des yeux moins fréquent
  • Hypomimie : absence d'expression faciale, bras le long du corps à la marche
  • Tremblement : typiquement asymétrique et présent au repos, il pourra être observé lorsque le patient laissera ses au repos sur ses cuisses ou lorsque le patient marche.
  • Hypophonie : discours monotone et indistinct
  • Posture anormale : généralement voûtée

Manœuvres spéciales:

  • La bradykinésie est souvent évaluée par des mouvements alternés rapides (MAR). Il faut observer le rythme et l’amplitude du mouvement, qui aura tendance à diminuer avec les répétitions des MAR .
  • Une rigidité́ en roue dentée
  • L’épreuve de la traction (pull-test) permet d’évaluer une instabilité́ posturale. Cette manœuvre consiste à tirer fermement les épaules du patient vers l’arrière en évaluant sa capacité à garder son équilibre.
  • Lors de l'observation de la démarche du patient, le Time Up & Go (TUG) est généralement lent car la longueur des pas est réduite (démarche traînante) et chaque pas peut devenir progressivement plus petit alors que le patient tente de conserver son équilibre (démarche festinante). La capacité du patient à se tourner peut aussi être altérée en raison de l'instabilité posturale.
  • Pendant que le patient essaie d'écrire une phrase, nous pouvons observer une micrographie progressive asymétrique.
  • Lorsque le patient défait le bouton supérieur de sa chemise, sa dextérité et sa vitesse de mouvement peuvent être diminuées.

Signaux d’alarme à l’examen physique qui suggèrent un autre diagnostic:

  • Atteinte des mouvements oculaires
  • Signes pyramidaux (hyperréflexie, signes de Babinski en extension)
  • Signes corticaux focaux (atteinte sensitive, apraxie)
  • Absence de tremblement de repos ou tremblement atypique
  • Atteinte cérébelleuse, ataxie
  • Atteinte précoce des réflexes posturaux

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

La maladie de Parkinson est un diagnostic clinique. De ce fait, aucune imagerie n'est absolument requise pour établir le diagnostic. Les tests paracliniques poussés sont généralement réservés aux présentations atypiques et incertaines. [6][4][7]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.


Le diagnostic de la maladie de Parkinson repose sur l'histoire clinique et l'examen neurologique (5). Au minimum, la bradykinésie plus le tremblement ou la rigidité doivent être présents[6].

Une réponse bénéfique au traitement dopaminergique est un élément de soutien important du diagnostic, tandis que l'absence de réponse observable exclut souvent le diagnostic du Parkinson[6].

Les autres éléments en soutien d’un diagnostic de Parkinson sont une amélioration marquée en augmentant la dose de molécule dopaminergique ou une aggravation marquée avec la diminution de la dose, la présence d'une dyskinésie induite par la lévodopa, le tremblement au repos d'un membre et la présence d'une perte olfactive ou d'une dénervation sympathique cardiaque à la scintigraphie à la métaiodobenzylguanidine (MIBG, iobenguane I-123)[6].

Il faut généralement attendre au moins trois ans avant de considérer un diagnostic de Parkinson possible comme un Parkisons probable[1].

Échelle de gravité[1]

Échelle de Hoehn et Yahr modifiée :

  • Stade 0 : aucun signe de la maladie.
  • Stade 1 : atteinte unilatérale.
  • Stade 1,5 : atteinte unilatérale ou de la ligne médiane.
  • Stade 2 : atteinte bilatérale, sans atteinte de l’équilibre.
  • Stade 2,5 : atteinte bilatérale légère, avec récupération à l’épreuve de la poussée.
  • Stade 3 : atteinte bilatérale avec atteinte de la stabilité posturale précoce.
  • Stade 4 : maladie grave requérant une assistance importante.
  • Stade 5 : malade confiné au lit ou à la chaise roulante si non aidé.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la maladie de Parkinson comprend[1][6] :

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Approche pharmacologique  

  • Le traitement des symptômes moteurs se fait via la correction du déficit dopamine. La carbidopa/levodopa (Sinemet), les agonistes dopaminergiques (ex.: pramipexole ou Mirapex) et les inhibiteurs de la monamine oxidase (MAO-B) constituent la première ligne de traitement[8]. Généralement, le traitement est débuté lorsqu’une atteinte fonctionnelle est constatée[3]   La maladie de Parkinson, contrairement à d’autres diagnostics différentiels, répond généralement de façon significative à la lévodopa. Une réponse non concluante devrait porter à reconsidérer le diagnostic. [1] Les agents anticholinergiques peuvent également être utilisés pour contrer les symptômes moteurs, comme les tremblements.   Parmi les principaux effets secondaires des traitements, environ 40% des patients peuvent expériencer un désordre d’impulsivité des comportements[8]. Ils peuvent également souffrir de psychose, d’hallucination[3]
Classe de médicament Molécules Précision Effets secondaires
Levodopa Carbidopa-levodopa (Sinemet)

Levodopa-Benzérazide

Généralement première ligne chez patient âgé Nausées

Orthostatisme

Hallucinations

Dyskinésie

Agoniste dopaminergique Ropinirole

Pramipexole

Hallucinations

Dyskinésie

Trouble d'impulsivité des comportements

Inhibiteur MAO-B Rasagiline

Safinamide

Sélégéiline

Première ligne surtout si patient jeune

Peut servir d'adjuvant si patient âgé

Nausées

Orthostatisme

Dyskinésie

Trouble du sommeil

Inhibiteur COMT Entacapone

Opicapone

Tolcapone

Nausées

Orthostatisme

Dyskinésie

Trouble du sommeil

Anticholinergique Benztropine Pas d'effets sur la dyskinésie Anxiété

Étourdissement

Somnolence

Constipation

Xérostomie

Amandine Peut servir à traiter la dyskinésie dans les cas avancés Orthostatisme

Hallucinations

Somnolence

Étourdissements

D'autres traitements sont disponibles ou en investigation pour la gestion des symptômes moteurs lors d'un stade avancé et réfractaire de la maladie, tels que des injections sous-cutanées, des gels intestinaux ou des patchs dermiques, qui peuvent servir à pallier la médication orale[3]. La stimulation cérébrale profonde est également utilisée dans certains cas.

Sympômes non moteurs
Symptôme / présentation clinique Classe de médication Précisions
Dépression ISRS

IRSN

Antidépresseurs tricycliques

5% des patients présentent une augmentation des tremblements avec les ISRS.

Prudence avec les antidépresseurs tricycliques vu leur activité anticholinergique.

TNC Inhibiteurs de l'acétylcholinestérase Cesser médication potentiellement aggravante : anticholinergique, benzodiazépines
Trouble du sommeil Mélatonine

Trazodone

Zopiclone

Conseils d'hygiène du sommeil

Identifier et traiter le syndrome de jambes sans repos

Symptômes psychotiques Parfois antipsychotiques D'abord diminuer la polypharmacie

Tenter de diminuer les doses de levodopa et les anticholinergiques

Hypersalivation Atropine ou Ipatropium sous-lingual

Toxine botulinique

Dysautonomie Capsules de NaCl

Hypotenseurs

Hydratation, bas supports

Approche non pharmacologique

Les mesures pharmacologiques ne peuvent pas ralentir de façon significative l’évolution de la maladie, mais peuvent servir à améliorer certaines de ses facettes. L’éducation du patient peut permettre de munir le patient et lui permettre de faire face à la progression inévitable, diminuer l’anxiété et améliorer sa propre prise en charge, afin de favoriser une observance plus idéale à la médication et aux diverses recommandations. Les groupes de support sont également une aide possible et bien démontrée qui peuvent être suggérée aux patients et qui leur permettent une meilleure acceptation de la maladie[3].

D'autres approches non pharmacologiques ont été liées à une amélioration de la qualité de vie, sans toutefois avoir d'effet sur la progression de la maladie, L'exercice physique et la saine alimentation sont à encourage dès le diagnostic, et peuvent optimiser le traitement des symptômes non moteurs comme les troubles de sommeils, et les rétentions urinaires et fécales.

La prise en charge du Parkinson est également amélioré par une équipe multidisciplinaire. L'inclusion d'un orthophoniste, un ergothérapeute ou un nutritionniste peut être avantageux pour le patient.

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

L'une des caractéristiques de la maladie de Parkinson est la dysfonction autonomique, qui peuvent comprendre l'orthostatisme, la dysphagie, la rétention urinaire et fécale, la diaphorèse et plusieurs autres synptômes, qui peuvent mettre le patient à risque de diverses complications, dont :[5]

  • Les chutes, perpétuées par l'orthostatisme et exacerbée par l'évolution du trouble de la marche au fil du temps
  • Les fractures
  • L'aspiration pulmonaire
  • Malnutrition

De façon plus tardive, la maladie de Parkinson peut également évoluer vers la démence.

La mortalité n'est que légèrement plus élevée chez les patients atteints de Parkinson, par rapport à la population générale du même âge. En effet, les causes de mort chez ce groupe sont souvent non reliées à leur maladie.

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Notes

La section facultative Notes ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement.
Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die


Références

La section obligatoire Références ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 « Maladie de Parkinson », sur lanthiermed.com (consulté le 19 octobre 2022)
  2. 2,0 et 2,1 « Maladie de Parkinson », sur Merck Manual, (consulté le 24 octobre 2022)
  3. 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4 et 3,5 Janice M. Beitz, « Parkinson's disease: a review », Frontiers in Bioscience-Scholar, vol. 6, no 1,‎ , p. 65–74 (ISSN 1945-0516, DOI 10.2741/S415, lire en ligne)
  4. 4,0 4,1 4,2 4,3 et 4,4 « Ne tremblez plus devant la maladie de Parkinson ! », sur https://lemedecinduquebec.org,
  5. 5,0 5,1 et 5,2 « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 19 octobre 2022)
  6. 6,0 6,1 6,2 6,3 et 6,4 « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 19 octobre 2022)
  7. « Canadian guideline for Parkinson disease », sur www.parkinsonclinicalguidelines.ca
  8. 8,0 et 8,1 « Diagnosis and Treatment of Parkinson Disease: A Review », sur https://jamanetwork.com (consulté le 19 octobre 2022)
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