Utilisateur:Marie-Pier Chevalier/Brouillons/Pneumothorax iatrogène

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Pneumothorax iatrogène
Maladie
Caractéristiques
Signes Signe clinique
Symptômes
Symptôme
Diagnostic différentiel
Diagnostic différentiel
Informations
Terme anglais Pneumothorax iatrogène

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Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Le pneumothorax est un gaz dans l'espace pleural. Cette condition peut se présenter de trois manières: spontanée (primaire), secondaire et traumatique. Cette activité se concentre sur un sous-ensemble de pneumothorax traumatiques connu sous le nom de pneumothorax iatrogène. Il s'agit d'un pneumothorax qui s'est développé à la suite d'une procédure invasive telle que la biopsie pulmonaire à l'aiguille (transthoracique et transbronchique), la mise en place d'une ligne veineuse centrale ou la ventilation à pression positive.[1] As une complication de l'un d'entre eux, un pneumothorax sous tension peut se développer lorsque la pression dans l'espace pleural est positive tout au long du cycle respiratoire. Cela entraîne une diminution du retour veineux, une hypotension et une hypoxie. Un pneumothorax peut aller d'asymptomatique à potentiellement mortel. Le pneumothorax iatrogène est un indicateur de la sécurité du patient (PSI) des procédures ci-dessus.[2]

Épidémiologie

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Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

L'incidence d'un pneumothorax iatrogène est directement proportionnelle au nombre de procédures invasives effectuées.[3] Les patients en situation de traumatisme instable ou de code sont plus susceptibles de subir une intervention invasive. Ceci, associé à un accès limité aux sites jugulaires internes lorsqu'un site veineux non fémoral est souhaité, entraîne un risque élevé de pneumothorax iatrogène. [4][2]

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Un pneumothorax iatrogène est une complication connue des procédures invasives telles que la biopsie pulmonaire à l'aiguille (transthoracique et transbronchique), la mise en place d'une ligne veineuse centrale ou la ventilation à pression positive. Les rapports de cas incluent des pneumothoraces bilatéraux après placement incorrect d'un kit de nébulisation chez un patient intubé à respiration spontanée, [5] après insertion d'un stimulateur nerveux hypoglosse, [6] ou même après acupuncture.[7] L'insertion sous-clavière d'une ligne veineuse centrale (CVL) est cependant procédure la plus courante associée à un pneumothorax iatrogène. [4][2]

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Toute intervention à proximité de l'abdomen, en particulier du thorax, peut provoquer un pneumothorax iatrogène. Ceci est particulièrement vrai lors de la mise en place d'un cathéter veineux central sous-clavier sans l'utilisation d'ultrasons (c'est-à-dire «aveuglément») en utilisant des repères. Dans le placement d'un cathéter veineux central sous-clavier basé sur des repères, selon Kilbourne et al., [8] six erreurs techniques courantes comprennent une identification inadéquate du repère, une mauvaise position d'insertion, l'insertion de l'aiguille à travers le périoste, une trajectoire trop peu profonde avec l'aiguille, en visant l'aiguille aussi cephalad, et le fait de ne pas maintenir l'aiguille en place pour le passage du fil. La technique de référence dépend également de la capacité et de l'expérience du professionnel de la santé effectuant la procédure, ce qui rend le pneumothorax iatrogène plus probable dans un hôpital d'enseignement tertiaire.

Présentation clinique

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Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

La présentation chez un patient atteint d'un pneumothorax peut varier d'asymptomatique à potentiellement mortel en fonction de la taille, du taux de développement et de la santé du poumon sous-jacent. Un pneumothorax iatrogène fait partie d'un diagnostic différentiel chez un patient souffrant de douleur pleurétique et de dyspnée, de tachypnée et de tachycardie. Les bruits respiratoires diminués ou absents du côté affecté sont très suspects. Tout pneumothorax peut devenir un pneumothorax sous tension. Les résultats peuvent inclure une hypoxie, une hypotension, des veines du cou distendues, une trachée déplacée et une diminution unilatérale des bruits respiratoires.

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Examen clinique

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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Le pneumothorax iatrogène peut être diagnostiqué cliniquement. L'échographie au point de service a l'avantage d'être rapide, très sensible et spécifique, et facilement reproductible. Les résultats suggestifs incluent le manque de glissement pleural. Un «signe ponctuel» (pleural glissant à côté de plèvre non glissante) est diagnostique. Une radiographie thoracique postéro-antérieure verticale a une sensibilité de 83%. [9] La TDM thoracique est plus sensible que la radiographie thoracique mais entraîne un retard du traitement.

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Bien que le diagnostic de pneumothorax doive être définitif et précis, un patient présentant une douleur pleurétique sans prise en charge supplémentaire doit obtenir un diagnostic différentiel robuste [10] tel que: [2]


  • Infarctus du myocarde
  • Ischémie myocardique
  • Embolie pulmonaire
  • Péricardite
  • Pleurésie
  • Pneumonie [2]

Traitement

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Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Tout d'abord, déterminez si le patient est stable ou instable. Ensuite, fournissez de l'oxygène supplémentaire à un taux permettant de maintenir une oxygénation adéquate. intervention chirurgicale.[11] Le traitement a priorité sur l'imagerie. S'il est jugé cliniquement instable, la première étape traditionnelle consiste à effectuer une aspiration ou une décompression à l'aiguille pour réduire l'excès d'air dans l'espace pleural. Placer une aiguille de gros calibre dans le deuxième espace intercostal de la ligne médio-claviculaire comme mesure temporaire.[12][13]

La thoracostomie au doigt est la technique la plus récemment utilisée. On fait une incision sur la paroi thoracique latérale dans le «triangle de sécurité» formé par le bord latéral du grand pectoral, le bord latéral du latismus dorsi, le cinquième espace intercostal et la base de l'aisselle. Ensuite, on insère un doigt sur le cinquième espace intercostal et on dissèque brutalement dans l'espace pleural. Il est rapide et sûr car il ne provoque pas de pneumothorax et s'adresse à la circonférence croissante des patients d'aujourd'hui. La thoracostomie est la thérapie définitive et utilise la pression négative générée par un joint hydraulique ou une aspiration pour réduire l'air dans l'espace pleural.[14] Les tubes thoraciques sont insérés dans le deuxième ou le troisième espace intercostal de la ligne médio-claviculaire (position de Monaldi). Ils peuvent également être insérés en avant de la ligne médio-axillaire du quatrième ou cinquième espace intercostal (position Bulau) .[15] Les deux autres choix de traitement sont purement chirurgicaux et réservés aux cas sévères.

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Le pneumothorax sous tension est la complication la plus notable de tout pneumothorax décrit précédemment. Ce trouble met la vie en danger et nécessite une intervention immédiate.[16]

Une autre complication bien décrite du pneumothorax est une fuite d'air persistante et / ou un échec de la ré-expansion pulmonaire, qui nécessitent généralement une intervention chirurgicale supplémentaire.[17][2]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Le risque estimé de récidive de pneumothorax est de 23% à 50% sur une période de suivi de 1 à 5 ans, avec le risque le plus élevé au cours du premier mois. .

Chez les patients qui ont subi une thoracostomie par sonde, il est sécuritaire pour eux de voler dès 72 heures après le retrait de la sonde sans risque accru de récidive.[18][2]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Un pneumothorax, également connu sous le nom de poumon effondré, survient lorsque l'air (provenant du poumon ou de l'extérieur) s'accumule dans l'espace entre le poumon et la paroi thoracique. L'objet de cet article est la cause spécifique d'un collapsus pulmonaire, appelé iatrogène ou causé accidentellement lors d'une intervention chirurgicale ou d'une procédure. Les symptômes d'un effondrement sont une douleur thoracique aiguë ou lancinante et / ou des difficultés respiratoires. Les personnes ayant de petites quantités d'air peuvent ne présenter aucun symptôme. Cette condition peut être une urgence et nécessiter un traitement immédiat. Le traitement consiste à extraire l'air emprisonné entre le poumon et la paroi thoracique par une aiguille, un scalpel et un doigt, ou un tube thoracique. Quoi qu'il en soit, un drain thoracique est inséré et reste en place jusqu'à ce que le poumon atteigne sa taille normale. Certaines personnes atteintes de cas graves peuvent nécessiter une intervention chirurgicale. Après avoir été traité pour un poumon effondré avec un tube, les chances d'avoir une récidive sont faibles mais possibles. Les patients doivent éviter de faire de la plongée sous-marine et de voler dans un avion pendant au moins 72 heures.

Concepts clés

  • Le pneumothorax iatrogène est une condition d'indicateur de sécurité du patient (PSI). Il s'agit d'un pneumothorax traumatique secondaire à une procédure ou à une chirurgie invasive.
  • La cause la plus fréquente est la mise en place d'une ligne veineuse centrale sous-clavière (CVL).
  • Les autres causes comprennent la biopsie pulmonaire à l'aiguille (transthoracique et transbronchique), la mise en place d'une sonde nasogastrique ou la ventilation à pression positive. Il y a des rapports de cas après avoir placé des kits de nébulisation et l'acupuncture sur la paroi thoracique.
  • La présentation est principalement une douleur thoracique pleurétique et une dyspnée avec des bruits respiratoires diminués à absents du côté affecté pendant ou après une intervention.
  • Le traitement ne doit pas être retardé pour l'imagerie.
  • Le diagnostic est idéalement posé cliniquement. L'évaluation échographique pour vérifier le pneumothorax est en train de devenir un outil très précis et rapide.
  • Le traitement consiste en une décompression à l'aiguille suivie d'une thoracostomie par tube. Les VATS et la thoracotomie ouverte sont réservées aux cas récurrents ou sévères.[2]

Études pertinentes et essais en cours

Étant donné que le pneumothorax iatrogène est un indicateur de sécurité des patients (PSI) directement lié aux procédures invasives, la plupart des études pertinentes et des essais en cours se concentrent sur l'amélioration de la qualité et la réduction de l'incidence. L'insertion d'un cathéter veineux central est la principale cause des pneumothoraces iatrogènes; ainsi, les facteurs du patient (état sous-jacent, anatomie, agitation, procédures antérieures), la prise de décision en matière de procédure (site, type de cathéter) et les facteurs cliniques sont particulièrement pris en compte pour l'amélioration des résultats. ont démontré une amélioration et une réduction soutenue des cas iatrogènes grâce à une intervention à multiples facettes. Cela comprenait la normalisation clinique et de la documentation, l'ajout d'aides cognitives, la formation sur simulateur, l'utilisation de l'équipement d'échographie et la rétroaction aux services cliniques.[4] D'autres études ont lié les médecins en formation à de pires résultats en raison d'un manque d'expérience cependant, la maîtrise basée sur la simulation a montré qu'elle améliorait les résultats pour les patients.[19][2]

Références

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  1. Andrea Loiselle, James M. Parish, James A. Wilkens et Dawn E. Jaroszewski, « Managing iatrogenic pneumothorax and chest tubes », Journal of Hospital Medicine, vol. 8, no 7,‎ , p. 402–408 (ISSN 1553-5606, PMID 23765922, DOI 10.1002/jhm.2053, lire en ligne)
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 2,4 2,5 2,6 2,7 et 2,8 Jafet A. Ojeda Rodriguez et John E. Hipskind, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30252313, lire en ligne)
  3. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19629891
  4. 4,0 4,1 et 4,2 Lisa Shieh, Minjoung Go, Daniel Gessner et Jonathan H. Chen, « Improving and sustaining a reduction in iatrogenic pneumothorax through a multifaceted quality-improvement approach », Journal of Hospital Medicine, vol. 10, no 9,‎ , p. 599–607 (ISSN 1553-5606, PMID 26041246, Central PMCID 5548000, DOI 10.1002/jhm.2388, lire en ligne)
  5. Sunil Kumar Garg, Pragya Garg, Nidhi Anchan et Ashish Jaiswal, « Iatrogenic Bilateral Simultaneous Pneumothorax: Call for Vigilance », Indian Journal of Critical Care Medicine: Peer-Reviewed, Official Publication of Indian Society of Critical Care Medicine, vol. 21, no 9,‎ , p. 607–609 (ISSN 0972-5229, PMID 28970663, Central PMCID 5613615, DOI 10.4103/ijccm.IJCCM_108_17, lire en ligne)
  6. Alberto A. Arteaga, Kristen D. Pitts et Andrea F. Lewis, « Iatrogenic pneumothorax during hypoglossal nerve stimulator implantation », American Journal of Otolaryngology, vol. 39, no 5,‎ , p. 636–638 (ISSN 1532-818X, PMID 29941192, DOI 10.1016/j.amjoto.2018.06.014, lire en ligne)
  7. Rumi Tagami, Takashi Moriya, Kosaku Kinoshita et Katsuhisa Tanjoh, « Bilateral tension pneumothorax related to acupuncture », Acupuncture in Medicine: Journal of the British Medical Acupuncture Society, vol. 31, no 2,‎ , p. 242–244 (ISSN 1759-9873, PMID 23449179, DOI 10.1136/acupmed-2012-010284, lire en ligne)
  8. Michael J. Kilbourne, Grant V. Bochicchio, Thomas Scalea et Yan Xiao, « Avoiding common technical errors in subclavian central venous catheter placement », Journal of the American College of Surgeons, vol. 208, no 1,‎ , p. 104–109 (ISSN 1879-1190, PMID 19228511, DOI 10.1016/j.jamcollsurg.2008.09.025, lire en ligne)
  9. M. Swierzy, M. Helmig, M. Ismail et J. Rückert, « [Pneumothorax] », Zentralblatt Fur Chirurgie, vol. 139 Suppl 1,‎ , S69–86; quiz S87 (ISSN 1438-9592, PMID 25264729, DOI 10.1055/s-0034-1383029, lire en ligne)
  10. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21213209
  11. Keegan Tupchong, « Update: Is Needle Aspiration Better Than Chest Tube Placement for the Management of Primary Spontaneous Pneumothorax? », Annals of Emergency Medicine, vol. 72, no 1,‎ , e1–e2 (ISSN 1097-6760, PMID 29615265, DOI 10.1016/j.annemergmed.2018.02.025, lire en ligne)
  12. Matteo Bruschettini, Olga Romantsik, Luca Antonio Ramenghi et Simona Zappettini, « Needle aspiration versus intercostal tube drainage for pneumothorax in the newborn », The Cochrane Database of Systematic Reviews, no 1,‎ , CD011724 (ISSN 1469-493X, PMID 26751585, DOI 10.1002/14651858.CD011724.pub2, lire en ligne)
  13. Nimesh D. Naik, Matthew C. Hernandez, Jeff R. Anderson et Erika K. Ross, « Needle Decompression of Tension Pneumothorax with Colorimetric Capnography », Chest, vol. 152, no 5,‎ , p. 1015–1020 (ISSN 1931-3543, PMID 28499514, Central PMCID 5812769, DOI 10.1016/j.chest.2017.04.179, lire en ligne)
  14. Chengdi Wang, Mengyuan Lyu, Jian Zhou et Yang Liu, « Chest tube drainage versus needle aspiration for primary spontaneous pneumothorax: which is better? », Journal of Thoracic Disease, vol. 9, no 10,‎ , p. 4027–4038 (ISSN 2072-1439, PMID 29268413, Central PMCID 5723764, DOI 10.21037/jtd.2017.08.140, lire en ligne)
  15. H. Drinhaus, T. Annecke et J. Hinkelbein, « [Chest decompression in emergency medicine and intensive care] », Der Anaesthesist, vol. 65, no 10,‎ , p. 768–775 (ISSN 1432-055X, PMID 27629501, DOI 10.1007/s00101-016-0219-7, lire en ligne)
  16. Derek J. Roberts, Simon Leigh-Smith, Peter D. Faris et Christopher Blackmore, « Clinical Presentation of Patients With Tension Pneumothorax: A Systematic Review », Annals of Surgery, vol. 261, no 6,‎ , p. 1068–1078 (ISSN 1528-1140, PMID 25563887, DOI 10.1097/SLA.0000000000001073, lire en ligne)
  17. Mark Slade, « Management of pneumothorax and prolonged air leak », Seminars in Respiratory and Critical Care Medicine, vol. 35, no 6,‎ , p. 706–714 (ISSN 1098-9048, PMID 25463161, DOI 10.1055/s-0034-1395502, lire en ligne)
  18. David Zonies, Joel Elterman, Christopher Burns et Vincent Paul, « Trauma patients are safe to fly 72 hours after tube thoracostomy removal », The Journal of Trauma and Acute Care Surgery, vol. 85, no 3,‎ , p. 491–494 (ISSN 2163-0763, PMID 29782482, DOI 10.1097/TA.0000000000001976, lire en ligne)
  19. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29068818
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