Diabète de type 2 (programme d'exercices)

De Wikimedica

L'activité physique est définie comme tout mouvement corporel produit par la contraction des muscles squelettiques qui entraîne une augmentation de la dépense énergétique[1]. L'exercice est une de ses formes plus spécifique qui est structurée et conçue pour améliorer plusieurs composantes de la condition physique (endurance cardiorespiratoire, force et endurance musculaire et flexibilité). Sa pratique amène de nombreux bénéfices pour la santé dont la réduction de la morbidité due aux maladies chroniques, le retardement de la mortalité de toutes causes confondues et la réduction des risques de la maladie cardiovasculaire[1]. L'activité physique est donc un traitement considérable pour le diabète de type 2 (DB2).

Diabète de type 2 (programme d'exercices)
Programme d'exercices
Programme d'exercices
Indications Diabète de type 2
Contre-indications relatives Hypoglycémie, Rétinopathie diabétique, Hypertension artérielle non contrôlée, Dysautonomies, Hypoglycémie asymptomatique, Neuropathie autonome cardiovasculaire
Complications
Hypoglycémie, Déshydratation, Décollement de la rétine, Coup de chaleur, Hyperglycémie, Hémorragie du vitré

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Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Contexte

Le diabète est l’une des principales maladies chroniques au Canada[2]. Entre 2013 et 2014, 3,0 millions de canadiens (8,1 %) étaient atteints d’un diabète diagnostiqué[3]. En général, sa prévalence augmente avec l’âge et elle est plus élevée chez les hommes (8,7 %) que chez les femmes (7,6 %)[3].

Le diabète de type 2 (DB2) est le plus fréquent, celui-ci représente 90 à 95 % de l’ensemble des cas de diabète[4]. Cette maladie se développe généralement après l'âge de 25 ans cependant, son incidence chez les enfants a augmenté au cours des deux dernières décennies[5]. Elle est définit comme un trouble métabolique caractérisé par la présence d’une hyperglycémie, causé par une diminution de la sécrétion d’insuline et/ou de son action dans l’organisme[6]. Le maintien chronique d’un taux de glycémie élevé peut mener à d'importantes complications micro vasculaires et à un risque accru de la maladie cardiovasculaire à long terme[7].

Il existe de nombreux traitements pour cette maladie, dont la pharmacothérapie et l'adoption de saines habitudes de vie. L'objectif de cette page est de décrire l'importance et l'impact du traitement en activité physique chez les personnes diabétiques de type 2.

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Description: Il s'agit d'une description de la problématique d'intérêt. Ce passage doit être court et référer à la maladie que le programme vise à traiter.
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  • Cela devrait être un court paragraphe qui amène le lecteur à comprendre l'importance de l'activité physique dans le traitement de cette maladie ainsi que quelques données épidémiologiques par rapport à l'importance de cette maladie.
  • Ne répétez pas les mêmes éléments que dans « Bénéfices anticipés ».
Exemple:
 
Consultez la page Diabète de type 2 (programme d'exercices) pour un exemple d'une section « Contexte » bien réussie.

Indications

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Description: Section dans laquelle est énumérée l'ensemble des indications d'effectuer le traitement. Les éléments de cette section sont définis avec des propriétés de type Indication.
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Exemple:
 
  1. Chez l'ensemble de la population atteinte de maladie cardiovasculaire et de maladie chronique, comme le DB2.
  2. Chez tous les patients atteints de DB2 désirant améliorer la gestion de leur maladie en prévenant les comorbidités
  3. Chez les patients désirant améliorer leur contrôle glycémique, leur condition physique et leurs facteurs de risque de la maladie cardiovasculaire

Indication d'une épreuve d'effort

L'épreuve d'effort n’est généralement pas nécessaire pour les diabétiques ou les prédiabétiques qui sont asymptomatiques, à faible risque de maladie cardiovasculaire, c'est-à-dire un score de risque de Framingham (SRF) de moins de 10% et qui désire débuter l’exercice d’intensité faible à modérée[8].

Elle peut être indiqué avec un électrocardiogramme (ECG) chez les diabétiques sédentaires qui désirent débuter des activités d’intensité élevée. L'évaluation annuelle des facteurs de risque de la maladie cariovasculaire est recommandé chez les patients atteints de DB2, car une ischémie silencieuse passe souvent inaperçue chez cette population.

Contre-indications

Il n'existe aucune contre-indication absolue ou relative à l'exercice spécifique au diabète de type 2. Il existe tout de même plusieurs considérations à l'exercice chez cette population (voir section 6). Cependant, il est pertinent de connaître les contre-indications pour les maladies cardiaques indiqués dans les lignes directrices de l'ACSM, comme ces patients ont 2 à 4 fois plus de risque de développer des maladies cardiovasculaires[9].

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Exemple:
 

Absolues

  1. contre-indication absolue 1
  2. contre-indication absolue 2
  3. contre-indication absolue 3

Relatives

  1. contre-indication relative 1
  2. contre-indication relative 2
  3. contre-indication relative 3

Prescription recommandée

FIIT de l'ACSM (tableau)

Recommandations FIIT pour les diabétiques[7]
Aérobie Musculation Flexibilité
Fréquence 3 à 7 fois/sem Au moins 2 fois/sem non consécutives,

préférablement 3 fois/sem

≥ 2 à 3 fois/sem
Intensité Modérée (40-59% VO2R ou 11-12 EPE) à élevée (60-89% VO2R ou 14-17 EPE) Modérée (50-69% du 1-RM)

à élevée (70-85% du 1-RM)

Étirer jusqu'au point de sentir une raideur ou un léger inconfort.
Durée DB1 : 150 min/sem d'intensité modérée ou 75 min/sem d'intensité élevée ou combinée

DB2 : 150 min/sem d'intensité modérée à élevée

Au moins 8-10 exercices, 1-3 séries de 10-15 répétitions.

Progression : Poids plus lourds, 1-3 séries de 8-10 répétitions.

Tenir l'étirement statique pendant 10-30s, 2-4 répétitions de chaque exercice.
Type Activités prolongées et rythmées utilisant les grands groupes musculaires (ex: marche, vélo, nage). Appareils d'entraînement et poids libres. Étirements statiques, dynamiques et/ou FNP.
DB1, diabète de type 1; DB2, diabète de type 2; 1-RM, une répétition maximale; FNP, facilitation neuromusculaire proprioceptive; EPE, échelle de perception de l'effort; VO2R, consommation d'oxygène de réserve.
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Description: Exemple de prescription type pour le programme d'exercice
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  • Remplissez le tableau FITT.
  • Attention de ne pas confondre la prescription recommandée et l'exécution. La prescription recommandée, c'est vraiment similaire à un médicament avec un dosage et une posologie. L'exécution, c'est davantage en lien avec l'individualisation de la prescription et l'application de celle-ci.
Exemple:
 
Consultez la page Insuffisance rénale chronique (programme d'exercices) pour un exemple d'une section « Prescription recommandée » bien réussie.

Exécution

Séance optimale

La prescription d'exercices doit être faite pour favoriser au maximum la condition de santé du patient, mais doit également tenir compte des objectifs et des besoins du patient. Il est important que la prescription corresponde aux atteintes du patient pour s'assurer de son adhérence. La démonstration et l'explication des effets de chaque type d'entraînement permet de favoriser la compréhension du patient et donc d'optimiser la gestion de sa maladie. Peu importe l'activité physique choisit par le patient, l'important est d'inclure l'entraînement aérobie et musculaire. Cette combinaison a été démontrée comme celle ayant le plus d'effet sur la santé***. La prescription d'exercices doit être adaptée à chaque individu selon ses comorbidités, ses contre-indications et sur ses objectifs réalistes[10].

Aérobie

Les séances d'exercices aérobies devraient idéalement durer au moins 10 min, dans le but d'atteindre 30 min/jour ou plus, la plupart des jours semaine pour les adultes atteints de diabète de type 2[1]. Ces séances devraient toujours contenir un échauffement et un retour au calme d'intensité faible.

Échauffement

Cette phase d'une durée d'au moins 5 à 10 minutes est une transition à la phase de conditionnement permettant au corps de s'adapter aux demandes physiologiques, biomécaniques et bioénergétiques imposées par l'effort. Il améliore également l'amplitude des mouvements et peut réduire le risque de blessure. L'échauffement permet donc d'être préparé pour la période d'effort et favorise les performances pendant celle-ci[7]. Plus spécifiquement, cette phase permet aux vaisseaux en périphérie de se vasodilater, permettant un meilleur passage du sang en réponse à l'exercice. Cela permet donc de faciliter le travail du cœur à l'effort, qui est une élément important à considérer chez les patients diabétiques de type 2, car ceux-ci ont généralement plusieurs facteurs de risque de la maladie cardiovasculaire.

Retour au calme

Cette phase d'une durée d'au moins 5 à 10 minutes se déroule après la phase de conditionnement. Elle permet une récupération graduelle de la fréquence cardiaque et de la tension artérielle ainsi qu'une élimination des déchets métaboliques produits par les muscles lors des efforts d'intensités plus élevée.

Musculation

Chez les patients ayant un risque des maladies cardiovasculaires, dont le diabète de type 2 *****, il est recommandé d'éviter la manœuvre de Valsalva qui consiste à bloquer le souffle à l'effort[11]. Cette manœuvre qui consiste à retenir le souffle lors d augmente la pression intra-abdominale et intrathoracique ce qui impose une charge supplémentaire au cœur en augmentant la fréquence cardiaque et la tension artérielle. Cette technique est à éviter, car elle augmente le risque d'évènement cardiovasculaire.

Progression de l'entraînement

Avec le temps, les activités doivent progresser en intensité, en fréquence et/ou durée pour atteindre au moins 150 min/semaine d'exercice d'intensité modérée afin d'optimiser les bénéfices sur la santé. Faire de l'exercice quotidiennement ou au moins éviter 2 jours consécutifs sans exercice est recommandé pour diminuer la résistance à l'insuline, quel que soit le type de diabète[12][13].

Type d'activité

Les différents type d'activité physique ont des effets différents sur la glycémie[14].

Les activité aérobies d'intensité faible à modérée amènent généralement une tendance à la baisse de la glycémie, tandis que les activités aérobie ou de résistance d'intensité élevée amène une tendance de la glycémie à la hausse. Pour les patients qui débutent l'exercice à des valeurs de glycémies élevée, il peut être pertinent de faire un échauffement de faible intensité plus long pour normaliser la glycémie. Pour les patients qui débutent l'exercice à des valeurs près de l'hypoglycémie, une stratégie possible serait de commencer par la musculation et ensuite l'aérobie par exemple. Il est important de mentionner que cette notion s'applique davantage aux patients à risque d'hypoglycémie.

Réduction du temps sédentaire

Des preuves récentes montrent que tous les individus, y compris les diabétiques, devrait être encouragé à réduire temps passé à être sédentaires en rompant ces périodes (plus de 30 min) en se tenant debout, en marchant ou en effectuant d'autres activités physiques légères *brièvement (187[15] 188[16]). Bouger (AVQ, AVD, AVL) et éviter les périodes sédentaires prolongées peuvent aider à prévenir le type 2 diabète pour les personnes à risque (189[17],190[18]) et peut également aider au contrôle de la glycémie pour ceux qui sont diabétiques.

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Description: Étapes pour exécuter le programme.
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  • Attention de ne pas confondre la prescription recommandée et l'exécution. La prescription recommandée, c'est vraiment similaire à un médicament avec un dosage et une posologie. L'exécution, c'est davantage en lien avec l'individualisation de la prescription et l'application de celle-ci.
Exemple:
 

Complications

Considérations à l'exercice

Il est primordial d'évaluer le risque cardiovasculaire et reconnaître la présentation atypique de la maladie coronarienne, comme une diminution récente de la tolérance à l'effort. Les patients à haut risque devraient débuter par de l'exercice de faible intensité et augmenter lentement l'intensité et la durée selon la tolérance. Évaluer les patients pour des conditions qui pourraient être contre-indiquées pour certains types d'exercices ou prédisposent à des blessures, comme une hypertension non maîtrisée, rétinopathie proliférative non traitée, neuropathie autonome, neuropathie périphérique, et une histoire d'ulcères du pied ou pied de Charcot. L’âge du patient et ses antécédents physiques, le niveau d'activité doit être pris en compte pour adapter le programme d'exercices aux besoins de l'individu. Ceux qui ont des complications peuvent avoir besoin d'une évaluation plus approfondie avant de commencer un programme d'exercices.

- Ajustement Tx pharmaco

Les individus atteints de diabète de type 2 ont souvent plusieurs comorbidités dont l'obésité, la dyslipidémie et l'hypertension artérielle[1]. L'ensemble des conditions de santé du patient est primordial en prendre en compte avant de prescrire de l'activité physique.

  1. Nécessité d'une évaluation médicale avant de débuter un programme d'exercice
  2. Température élevée
  3. Risque d'hypoglycémie chez les patients à risque
  4. Risques liés à l'hyperglycémie

Hypoglycémies

Chez les personnes prenant de l'insuline et/ou des sécrétagogues de l'insuline, l'activité physique peut provoquer une hypoglycémie si la dose du médicament ou la consommation de glucides n'est pas ajusté en fonction de son impact pendant et après l'exercice sur la glycémie. Patients avec ces thérapies peut avoir besoin d'ingérer quelques glucides pré-exercice si les taux de glucose sont <5,0 mmol/L, selon qu'ils sont capables de réduire au niveau des doses des médicaments[19]. Chez certains patients, l'hypoglycémie peut se produire après l'exercice et durer plusieurs heures en raison d'une sensibilité accrue à l'insuline. L'exercice intense peut même augmenter la glycémie au lieu de la baisser, surtout si les niveaux de glucose avant l'AP sont élevés[19]. Les patients doivent être éduqués au sujet de l'impact de la durée et de l'intensité de l'exercice sur leur glycémie, en raison de la variation de sa réponse, ceux à risque d'hypo doivent vérifier leur glycémie avant et après leur séance, surtout lorsqu'il s'agit d'une nouvelle activité[20]****.

Rétinopathie

Si rétinopathie diabétique proliférante ou non proliférative sévère est présente, l'exercice aérobique ou de résistance d'intensité élevée peut être contre-indiqué en raison du risque de déclencher une hémorragie du vitré ou un décollement de la rétine[21]. Consultation avec un ophtalmologiste avant de s'engager dans un Px d'exercice intense est recommandé.

Neuropathie périphérique

Diminution de la sensation de douleur et augmentation du seuil de douleur dans les extrémités peut entraîner un risque accru de lésions cutanées, des infections et de la destruction de l'articulation de Charcot avec certains types d'exercice. Par conséquent, une évaluation approfondie doit être faite pour s'assurer que la neuropathie n'altère pas la sensation kinesthésique ou proprioceptive pendant l'activité physique, en particulier dans ceux qui ont une neuropathie plus sévère. Des études ont montré qu'une intensité modérée, la marche peut ne pas conduire à un risque accru d'ulcères du pied ou de réulcération chez les personnes avec neuropathie périphérique qui utilisent des chaussures correctement[22]. De plus, 150min/semaine d'exercice modéré a été signalé à améliorer les résultats chez les patients atteints de neuropathie prédiabétique[23]. Toutes les personnes atteintes de neuropathie périphérique devraient portez des chaussures appropriées et examinez leurs pieds quotidiennement pour détecter les lésions précocement. Toute personne ayant une blessure au pied ou une plaie ouverte devrait être limité aux activités sans mise en charge.

Neuropathie autonome

La neuropathie autonome peut augmenter le risque de blessure induite par l'exercice ou d'événements indésirables en raison d'une diminution de la réactivité à l'exercice, hypotension orthostatique, altération de la thermorégulation, altération de la vision nocturne due à une réaction papillaire altérée, et une plus grande susceptibilité à l'hypoglycémie[24]. La neuropathie autonome cardiovasculaire est aussi un facteur de risque indépendant pour la mort cardiovasculaire et ischémie myocardique silencieuse[25]. Par conséquent, les personnes atteintes de diabète avec la neuropathie automne doivent avoir une investigation cardiaque avant de commencer l'activité physique plus intense que celle à laquelle ils sont habitués.

Maladie rénale diabétique

L'activité physique peut fortement augmenter l'excrétion urinaire d'albumine. Cependant, il n'y a aucune preuve que l'intensité élevée accélère le taux de progression de DKD, et il ne semble pas être nécessaire d'avoir des restriction spécifique en exercice pour les personnes atteintes de DKD en général[26].

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Description: On décrit dans cette section l'ensemble des complications pouvant survenir pendant et après l'activité physique dans le cas spécifique de la maladie traitée.
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Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Les éléments de cette section sont définis avec des propriétés de type Complication.
  • La section complication s'intéresse aux complications spécifiques en lien avec la maladie traitée. Par exemple, dans le cas du diabète de type 2, on mentionnerait la possibilité d'hypoglycémie, mais ce serait inutile de mentionner qu'une complication potentielle est l'angine instable : l'angine instable est en lien avec une complication à l'activité physique d'une comorbidité (la MCAS), et non en lien avec le diabète de type 2 lui-même.
  • Dans certains cas, il est possible qu'il n'y ait pas de complication en lien avec l'exercice. Cette section est alors très simple et on peut insérer une phrase simple qui mentionne qu'il n'y a pas de complication anticipée par rapport à la pratique de l'activité physique pour cette maladie.
Exemple:
 
  1. complication 1
  2. complication 2
  3. complication 3

Suivi

Paramètres à monitorer

Glycémie

Le monitoring de la glycémie est pertinent chez les patients ayant un contrôle non-optimal de leur diabète et ceux étant à risque d'hypoglycémie.

Contrôle non-optimal

Le monitoring de la glycémie capillaire n'est pas la méthode à privilégier pour observer le contrôle glycémique, il s'agit plutôt de l'hémoglobine glyquée***. Cependant, dans le contexte de la pratique d'activité physique, il peut être pertinent de prendre la glycémie avant et après l'exercice pour démontrer son effet au patient. Il s'agit d'une moyen concret pour que le patient comprenne l'impact de l'exercice sur le contrôle de sa maladie.

Patients à risque d'hypoglycémie

Chez les patients prenant de l'insuline ou des sécrétagogues de celle-ci, le monitoring de la glycémie capillaire avant, parfois pendant et après l'exercice est nécessaire pour s'assurer de la sécurité du patient.

Hémodynamie

Le monitoring de la fréquence cardiaque et de la pression artérielle est pertinente chez les patients qui commencent un programme d'exercice et ceux à risque de maladie cardiovasculaire, dont le diabète de type 2. La mesure de ces paramètres permet d'observer la réponse hémodynamique à l'effort.

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Description: Section qui décrit le suivi à effectuer après le traitement (suivi radiologique, biochimique, clinique, etc.). Précisez la fréquence du suivi.
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Commentaires:
 
Exemple:
 

Bénéfice anticipé

Les programmes d’exercices supervisés se sont avérés particulièrement efficaces chez les personnes atteintes de diabète de type 2 pour améliorer la maîtrise de la glycémie, réduire le besoin d’anti-hyperglycémiants et d’insuline, permettre une perte de poids modeste, mais soutenue et améliorer le bien-être[27]. améliorer le bien-être[28].

L'activité physique améliore la sensibilité à l'insuline, la tolérance au glucose et réduit les risques de la maladies cardiovasculaires.

Effets bénéfiques de l'entraînement pour stimuler l'entrée du glucose dans les tissus en réponse à l'action de l'insuline.

La pratique régulière d'activité physique est une intervention thérapeutique efficace pour améliorer l'action de l'insuline dans le muscle squelettique et le tissu adipeux chez les individus résistants à l'insuline. L'exercice chronique entraîne de nombreuses adaptations physiologiques et cellulaires qui favorisent une amélioration durable de l'action de l'insuline. Il permet de réduire la concentration d'hémoglobine glyquée (HbA1c) chez les patients atteints du DB2 et amène donc une amélioration de leur contrôle glycémique[1].


Finalement, il faut retenir que la pratique d'activité physique est un traitement efficace qui procure des avantages significatifs pour la santé des patients atteints de DB2[29].

***Facilitating...https://doi.org/10.2337/dc21-S005****


Il a été démontré que les interventions d'exercices structurées d'une durée d'au moins 8 semaines réduit l'HbA1c de 0,66 % en moyenne chez les personnes atteintes de diabète de type 2, même sans changement significatif de l'IMC[30].

Progression importante : car chez DB2, des séances d'entraînement à des intensités élevées sont associés à de plus grandes améliorations de l'HbA1c et de l'aptitude cardiorespiratoire, des améliorations soutenues de la condition cardiorespiratoire et une perte de poids ont également été associées à un risque plus faible d'insuffisance cardiaque[31].

L'activité physique et l'exercice devraient être recommandés et prescrits à tous les diabétiques dans le cadre de la gestion de la glycémie et de l'état de santé général. Les recommandations et les précautions spécifiques varient par le type de diabète, l'âge, l'activité pratiquée, et la présence de problèmes de santé liés au diabète et ses complications. Les recommandations devraient être adapté pour répondre aux besoins spécifiques de chaque individu[4].


CONTRÔLE GLYCÉMIQUE

Musculation

L'entraînement en résistance peut réduire l'HbA1c chez les personnes âgées avec DB2[32] et pour un bénéfice supplémentaire de l'exercice combiné d'aérobie et de résistance chez les adultes atteints de diabète de type 2[33].

Risque cardiovasculaire

Comparativement à la population générale, les personnes diabétiques présentent un risque au moins trois fois plus élevé d’être hospitalisées en raison d’une maladie cardiovasculaire, 12 fois plus élevé d’être hospitalisées pour une néphropathie en phase terminale et près de 20 fois plus élevé d’être hospitalisées à cause d’une amputation non traumatique d’un membre inférieur (4)[34].


La section facultative Bénéfice anticipé ne contient pour le moment aucune information.
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Description:
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Commentaires:
 
Exemple:
 

Notes

La section facultative Notes ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
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Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement.
Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die


Références

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Description: Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement.
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Commentaires:
 
Exemple:
 
  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 et 1,4 Walter R. Thompson, ACSM's clinical exercise physiology, (ISBN 978-1-4963-8780-6 et 1-4963-8780-5, OCLC 1055569278, lire en ligne)
  2. Anja Bilandzic et Laura Rosella, « Les coûts du diabète sur 10 ans au Canada : intégration des coûts en soins de santé imputables au diabète à un modèle de prédiction de son incidence », Promotion de la santé et prévention des maladies chroniques au Canada, vol. 37, no 2,‎ , p. 54–59 (ISSN 2368-7398, DOI 10.24095/hpcdp.37.2.03f, lire en ligne)
  3. 3,0 et 3,1 (en) Jean-Marie Ekoe, Ronald Goldenberg et Pamela Katz, « Screening for Diabetes in Adults », Canadian Journal of Diabetes, vol. 42,‎ , S16–S19 (DOI 10.1016/j.jcjd.2017.10.004, lire en ligne)
  4. 4,0 et 4,1 Sheri R. Colberg, Ronald J. Sigal, Jane E. Yardley et Michael C. Riddell, « Physical Activity/Exercise and Diabetes: A Position Statement of the American Diabetes Association », Diabetes Care, vol. 39, no 11,‎ , p. 2065–2079 (ISSN 0149-5992 et 1935-5548, DOI 10.2337/dc16-1728, lire en ligne)
  5. Kristen Nadeau et Dana Dabelea, « Epidemiology of Type 2 Diabetes in Children and Adolescents », Endocrine Research, vol. 33, no 1-2,‎ , p. 35–58 (ISSN 0743-5800 et 1532-4206, DOI 10.1080/07435800802080138, lire en ligne)
  6. Zubin Punthakee, Ronald Goldenberg et Pamela Katz, « Definition, Classification and Diagnosis of Diabetes, Prediabetes and Metabolic Syndrome », Canadian Journal of Diabetes, vol. 42,‎ , S10–S15 (ISSN 1499-2671, DOI 10.1016/j.jcjd.2017.10.003, lire en ligne)
  7. 7,0 7,1 et 7,2 Deborah American College of Sports Medicine, Jonathan K. Ehrman, Gary Liguori et Meir Magal, ACSM's guidelines for exercise testing and prescription, (ISBN 978-1-4963-3906-5, 1-4963-3906-1 et 1-4963-3907-X, OCLC 958942491, lire en ligne)
  8. (en) Ralph B. D’Agostino, Ramachandran S. Vasan, Michael J. Pencina et Philip A. Wolf, « General Cardiovascular Risk Profile for Use in Primary Care: The Framingham Heart Study », Circulation, vol. 117, no 6,‎ , p. 743–753 (ISSN 0009-7322 et 1524-4539, DOI 10.1161/CIRCULATIONAHA.107.699579, lire en ligne)
  9. (en) James A. Stone, Robyn L. Houlden, Peter Lin et Jacob A. Udell, « Cardiovascular Protection in People With Diabetes », Canadian Journal of Diabetes, vol. 42,‎ , S162–S169 (ISSN 1499-2671 et 2352-3840, PMID 29650091, DOI 10.1016/j.jcjd.2017.10.024, lire en ligne)
  10. (en) Romeu Mendes, Nelson Sousa, António Almeida et Paulo Subtil, « Exercise prescription for patients with type 2 diabetes—a synthesis of international recommendations: narrative review: Table 1 », British Journal of Sports Medicine, vol. 50, no 22,‎ , p. 1379–1381 (ISSN 0306-3674 et 1473-0480, DOI 10.1136/bjsports-2015-094895, lire en ligne)
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