Lésion splénique traumatique

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Révision datée du 10 novembre 2022 à 12:50 par JosianeBouchard (discussion | contributions) (Examen physique)
Lésion splénique traumatique
Classe de maladie
Caractéristiques
Signes Péritonite, Fracture costale, Signe de Cullen, Signe de la ceinture de sécurité , Douleur à la palpation abdominale, Abrasion cutanée , Choc hémorragique, Contusion, Lacération cutanée
Symptômes
Endoscopie, Chirurgie abdominale, Traumatisme pénétrant, Traumatisme contondant, Douleur pleurétique , Douleur abdominale , Choc hémorragique, Signe de Kehr
Étiologies
Iatrogénie, Traumatismes contondants, Traumatismes pénétrants
Informations
Terme anglais Blessure splénique

Page non révisée
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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

La lésion splénique traumatique est fréquente lors des traumatismes abdominaux. Une rupture de la rate non reconnue peut mener rapidement à une instabilité hémodynamique et au décès. [1][2] [3] La prise en charge chirurgicale des lésions traumatiques spléniques est nécessaire pour environ 20 à 40% des cas.[4] En raison des fonctions immunologiques de la rate, le traitement conservateur est intéressant. Cependant, ce n'est pas tous les patients qui y sont éligibles.

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

La rate est souvent blessée lors des traumatismes contondants, qui comptent, en moyenne, pour 25% des admissions par année.[3]

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologie.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

La rate est situé à l'hypocondre gauche avec une juxtaposition avec les 9e, 10e et 11e côtes. Elle est donc susceptible aux blessures lors d'un traumatisme impliquant la partie inférieure gauche du thorax ou la partie supérieure gauche de l'abdomen.

Il y a 3 mécanismes principaux:[3]

  1. Les traumatismes pénétrants, dont les blessures par balle et les coups de couteau.
  2. Les traumatismes contondants, comme les accidents de la route qui sont la cause la plus fréquente.[3]
  3. Les traumatismes indirects correspondent aux causes iatrogéniques, comme les manipulations chirurgicales ou endoscopiques des organes adjacents qui mènent aux blessures spléniques.[5]

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section Physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

La rate est un organe très vascularisé, donc une blessure à cet organe peut entraîner une perte de sang importante, soit du parenchyme, soit des artères et des veines qui l'irriguent. La rate est un organe lymphopoïétique important qui rempli des fonctions hématologiques et immunologiques.[6][3]

Fonctions hématologiques: [3]

  • La maturation des globules rouges
  • L'extraction de cellules anormales par phagocytose
  • L'élimination du sang des bactéries opsonisées ou des cellules recouvertes d'anticorps[3]

Fonctions immunologiques:[3]

  • La contribution à l'immunité humorale et l'immunité à médiation cellulaire[3]

Présentation clinique

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Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique
    • (Aucun texte)
    • Facteurs de risque
      • (Texte)
    • Questionnaire
      • (Texte)
    • Examen clinique
      • (Texte)

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Symptôme et Élément d'histoire lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [symptôme]
  • des sueurs [symptôme]
  • de la dyspnée [symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [symptôme]
  • la fièvre [symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [symptôme]
  • l'absence de toux [symptôme].

Voici les éléments à rechercher au questionnaire : [3]

  • une histoire de traumatisme pénétrant ou contondant au niveau du quadrant supérieur gauche, du bas du thorax gauche ou du flanc gauche
  • une histoire de chirurgie récente ou d'endoscopie récente
  • la prise d'anti-coagulant, d'aspirine ou d'anti-inflammatoire non stéroïdien

Voici les symptômes à rechercher:

Examen clinique

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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [Examen clinique] :
    • de la fièvre [Signe clinique]
    • des signes de choc septique [Signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [Examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [Signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [Signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [Signe clinique]
    • un ressaut positif [Signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [Signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [Signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [Signe clinique].

L'examen physique permet d'objectiver les signes suivants: [3]

Les traumatismes de la rate ne sont pas toujours accompagnés d'un choc hypovolémique. L'hypotension, la tachycardie et les étourdissements ne seront présents qu'en cas de choc.

Chez l'adulte, jusqu'à 20 % des patients présentant une fracture de côte au niveau du thorax inférieur gauche peuvent avoir une lésion splénique associée. Cependant, chez les enfants, la plasticité de la paroi thoracique peut entraîner une lésion sous-jacente grave de la rate en l'absence de toute fracture de côte.

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [Examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [Signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [Examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [Signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [Examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques [Examen paraclinique] : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [Signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [Examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [Signe paraclinique] et l'hypercalcémie [Signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [Examen paraclinique]: l'hyperglycémie [Signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [Examen paraclinique]/ gaz veineux [Examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents sont :

  • l'examen paraclinique 1 :
  • l'examen paraclinique 2 :
  • ... Plusieurs compléments peuvent être utilisés pour identifier une lésion splénique.[7][8][3] Focused Évaluation par échographie des traumatismes (FAST) [3] L'évaluation ciblée par échographie des traumatismes (FAST) permet d'identifier rapidement le liquide intrapéritonéal libre chez les patients présentant un traumatisme abdominal contondant. L'examen FAST est particulièrement utile dans l'évaluation des patients hémodynamiquement instables.[3] Cet examen comporte quatre fenêtres acoustiques (péricardique, périhépatique, périsplénique, pelvienne). FAST est considéré comme positif si le liquide est identifié comme une bande anéchoïque ou un rebord (noir) autour de la rate. L'échographie est une modalité sensible pour identifier l'hémopéritoine. Cependant, il est important de se rappeler qu'une hémorragie intrapéritonéale n'est pas toujours présente, surtout lorsque la capsule splénique reste intacte. Jusqu'à 25 % des lésions spléniques ne présentent pas d'hémorragie intrapéritonéale. L'instabilité hémodynamique en présence de liquide libre à l'examen FAST nécessite une évaluation chirurgicale rapide et une laparotomie immédiate.[3] Certaines blessures telles que les lésions intrapéritonéales impliquant l'intestin et le mésentère et les lésions des organes rétropéritonéaux peuvent ne pas être identifiées par l'examen FAST en raison de la présence d'hémopéritoine.[3] Calculé Tomographie (CT) [3] Le scanner est la modalité diagnostique de choix pour détecter les lésions des organes solides. Les tomodensitogrammes peuvent montrer une perturbation du parenchyme splénique normal, de l'hématome environnant et du sang intra-abdominal libre. La tomodensitométrie est également utile pour identifier les lésions vasculaires des organes solides. Une tomodensitométrie avec contraste doit être obtenue pour déterminer la différence de densité entre le parenchyme splénique et l'hématome. Cela permettra également d'identifier les blessures associées. Il est important d'obtenir une bonne imagerie car l'examen sous-optimal peut entraîner un diagnostic manqué de lésions spléniques subtiles.[3]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
  • Si vous désirez décrire des caractéristiques essentielles pour différencier la maladie dont vous êtes en train de traiter d'autres maladies, ceci a plutôt sa place dans la section d'Approche clinique. Par exemple, si vous voulez décrire les signes et les symptômes clés pour différentier l'infarctus du myocarde du pneumothorax sur la page du pneumothorax, ceci a sa place soit 1) sur la page d'approche clinique Douleur thoracique 2) dans la section Approche clinique du pneumothorax/infarctus.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [Diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [Diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [Diagnostic différentiel]
  • la cystite [Diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la classe de maladie est :

Traitement

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Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Les traitements recommandés sont les suivants :

  • traitement 1
  • traitement 2
  • traitement 3
  • ... La prise en charge initiale du patient traumatisé avec une lésion splénique doit suivre l'ABC (voies respiratoires, respiration et circulation) de la réanimation traumatique. L'évaluation de la circulation au cours de l'enquête primaire comprend une évaluation précoce de la possibilité d'hémorragie chez les patients présentant un traumatisme contondant. Il est important d'évaluer si le patient est en état de choc précoce et de le réanimer rapidement. Méfiez-vous qu'il existe une possibilité de lésion concomitante des viscères creux chez les patients présentant une lésion d'un organe solide. C'est une échelle utile qui catégorise les lésions spléniques, mais elle ne prédit pas la nécessité d'une intervention chirurgicale.[3] Grade 1 [3]
  • Hématome, sous-capsulaire, surface inférieure à 10 %
  • Lacération, déchirure capsulaire, profondeur parenchymateuse inférieure à 1 cm[3] Grade 2 [3]
  • Hématome, sous-capsulaire, 10 % à 50 % de surface
  • Intraparenchymateux, moins de 5 cm de diamètre
  • Lacération, déchirure capsulaire, profondeur de parenchyme de 1 cm à 3 cm n'impliquant pas de vaisseau trabéculaire[3] Grade 3 [3]
  • Hématome, sous-capsulaire, plus de 50 % de superficie en expansion ; hématome sous-capsulaire ou parenchymateux rompu ; hématome intraparenchymateux de 5 cm ou plus et en expansion
  • Lacération, profondeur parenchymateuse supérieure à 3 cm ou impliquant des vaisseaux trabéculaires[3] Grade 4[3]
  • Lacération, lacération impliquant des vaisseaux segmentaires ou hilaires produisant une dévascularisation majeure (plus de 25 % de la rate)[3] Grade 5 [3]
  • Lacération , rate complètement brisée
  • Vasculaire, lésion vasculaire hilaire qui dévascularise la rate[3] Cette cotation CT peut ne pas toujours être en corrélation avec la cotation de la lésion telle qu'identifiée lors de l'exploration chirurgicale. Cela peut être dû à des problèmes techniques et à la variabilité de l'interprétation du scanner.[3] Une hémorragie due à une lésion splénique peut être en cours au moment de la présentation ou peut avoir cessé. Les blessures dans lesquelles le saignement a cessé peuvent être prises en charge sans splénectomie, bien que les patients puissent développer une hémorragie retardée. Une rupture retardée de la rate peut survenir jusqu'à 10 jours après une blessure. Le taux de saignements tardifs peut survenir jusqu'à 10,6 % du temps, mais il varie en fonction du grade de la lésion splénique. Par conséquent, une sélection rigoureuse des patients doit être effectuée et s'assurer que l'on surveille de près ces patients, et un examen abdominal en série doit être effectué. Chez l'enfant, le recours à la prise en charge non opératoire des patients hémodynamiquement stables est devenu la norme de soins. Jusqu'à 80 % des lésions spléniques contondantes peuvent être prises en charge de manière non chirurgicale. Il a été de plus en plus utilisé chez l'adulte et l'âge n'a pas influencé le résultat de la prise en charge non chirurgicale d'un traumatisme fermé de la rate.[3] Cependant, il ne doit être envisagé que chez un patient hémodynamiquement stable sans signe de péritonite. Il est important que seuls les patients qui sont stables et ne présentent aucun signe de perte de sang continue soient sélectionnés pour une prise en charge non opératoire. [3] Une prise en charge non opératoire a été tentée dans les blessures de haut grade tant que le patient reste stable sur le plan hémodynamique sans signe de saignement actif . Ces patients doivent être hospitalisés dans un centre où un chirurgien pédiatre est disponible pour une surveillance étroite et une série d'examens multiples. Dans cette situation, l'option d'une intervention chirurgicale doit être disponible à tout moment.[9][10][3] Les patients nécessitant des transfusions impliquant plus de deux unités de sang, ou présentant des signes de saignement continu, doivent être envisagés pour une prise en charge chirurgicale ou une embolisation.[3] Prise en charge opératoire [3] l'intervention chirurgicale et la splénectomie restent des événements salvateurs pour de nombreux patients. La décision d'intervention chirurgicale dépend de l'état clinique ou hémodynamique et des résultats des études d'imagerie. Ceux-ci incluent :[3]
  • Instabilité hémodynamique que la majorité des chirurgiens traumatologues considèrent comme une indication de splénectomie émergente en cas de traumatisme contondant de la rate
  • Péritonite
  • Formation de pseudo-anévrisme
  • Lésions intra-abdominales associées nécessitant une exploration chirurgicale (lésions intestinales)[3] Embolisation [3] L'embolisation splénique nécessite des installations d'imagerie spécialisées et un interventionniste vasculaire. Voici les lignes directrices pour l'embolisation chez les patients traumatisés de la rate : [3]
  • Lésion splénique de grade 3 ou plus
  • Rougeur contrastée au scanner
  • Hémopéritoine modéré
  • Preuve de saignement continu[3] L'angioembolisation prophylactique chez les patients présentant un traumatisme splénique, un rougeur artérielle active au scanner et une hémodynamique stable n'est pas indiquée.[3] Le taux de complications est jusqu'à 35 %. Les complications suivantes sont fréquentes :[3]
  • L'infarctus splénique est une dévascularisation de plus de 25 % de la rate qui peut survenir chez jusqu'à 20 % des patients après embolisation
  • Ré-hémorragie
  • Abcès[3]

Suivi

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Les patients post-splénectomie doivent être vaccinés contre les bactéries encapsulées avant leur sortie de l'hôpital.[3] Des antibiotiques prophylactiques sont également recommandés.[3]

Complications

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de cette classe de maladie sont :

  • la complication 1
  • la complication 2
  • la complication 3
  • ...
  • Rupture splénique retardée ; Bien qu'il soit rare, il peut survenir jusqu'à 10 jours après la blessure. Ceci est peut-être associé à une lésion subtile de bas grade de la rate qui peut ne pas avoir été identifiée lors d'études d'imagerie.
  • Réadmission pour saignement
  • Pseudo-anévrisme de l'artère splénique
  • Infection post-splénectomie : le risque est élevé dans les 5 premières années de vie mais peut survenir à tout moment.
  • Abcès splénique
  • Pancréatite
  • Décès[3]

Évolution

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Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

En général, la stabilité physiologique du patient est le prédicteur majeur d'une prise en charge non opératoire réussie. En outre, un système de notation basé sur la tomodensitométrie a montré une observation réussie chez les patients présentant une lésion splénique contondante. Dans l'ensemble, les patients présentant une lésion splénique de bas grade pris en charge de manière conservatrice ont de bons résultats. Mais ceux qui subissent une ablation de la rate sont toujours à risque d'infection.[3]

Prévention

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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
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Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Concepts clés

Les patients qui subissent une splénectomie sont plus à risque d'infection et de septicémie accablante. Par conséquent, les vaccins post-splénectomie doivent être administrés pour assurer leur protection contre les bactéries encapsulées, notamment Streptococcus pneumoniae, Neisseria meningitidis et Hemophilus influenzae.[3] Les enfants reçoivent de la pénicilline V (250 mg/jour) pendant au moins deux ans et à vie l'antibiothérapie est recommandée pour les patients à haut risque.UNIQréf0000004E-QINU`"'?

Attention : Étant donné que l'agent de contraste diffuse relativement lentement à travers la pulpe de la rate et peut apparaître comme un défaut de rehaussement ; ceux-ci peuvent être interprétés à tort comme des lésions spléniques.[3]

Conseils

L'activation de l'équipe de traumatologie ou l'implication précoce des services chirurgicaux est importante[3]

Références

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Fait partie de la présentation clinique de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.

Est une complication de ...