« Cancer du sein masculin » : différence entre les versions

De Wikimedica
(→‎Étiologies : suivi)
Ligne 24 : Ligne 24 :


{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Étiologies}}
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Étiologies}}
Les étiologies sont :
* l'{{Étiologie|nom=étiologie 1|affichage=étiologie 1 - '''Ceci est une balise sémantique de type étiologie que vous devez modifier.'''}}
* l'{{Étiologie|nom=étiologie 2|affichage=étiologie 2 - '''Ceci est une balise sémantique de type étiologie que vous devez aussi modifier.'''}}
* l'{{Étiologie|nom=étiologie 3|affichage=étiologie 3 - '''Copiez ce modèle pour définir d'autres étiologies.'''}}
* ...
Certaines études émettent l'hypothèse qu'en plus de l'obésité et de l'alcool, des facteurs alimentaires pourraient augmenter l'incidence de ce cancer. Évidemment, des recherches plus spécifiques doivent être mises en place pour confirmer de telles hypothèses.<ref name=":9">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24518595</ref> Malgré ces corrélations possibles, de nombreuses personnes chez qui un cancer du sein masculin a été diagnostiqué ne présentent aucun facteur de risque identifiable.<ref name=":8" /><ref name=":0">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30252292</ref>
Certaines études émettent l'hypothèse qu'en plus de l'obésité et de l'alcool, des facteurs alimentaires pourraient augmenter l'incidence de ce cancer. Évidemment, des recherches plus spécifiques doivent être mises en place pour confirmer de telles hypothèses.<ref name=":9">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24518595</ref> Malgré ces corrélations possibles, de nombreuses personnes chez qui un cancer du sein masculin a été diagnostiqué ne présentent aucun facteur de risque identifiable.<ref name=":8" /><ref name=":0">https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30252292</ref>


Ligne 108 : Ligne 103 :


En général, en comparaison avec le cancer du sein chez la femme, le cancer du sein chez l'homme a plus de chance d'être positif aux récepteurs de l'oestrogène et négatif aux récepteurs 2 du facteur de croissance épidermique humain (HER2).<ref name=":3" /> Certaines études montrent qu'environ 90 % de ces cancers expriment le récepteur des œstrogènes (ER) et 81 % expriment le récepteur de la progestérone.<ref name=":10" /> Ainsi, le traitement adjuvant est généralement dirigé vers l'inhibition de ces récepteurs, ce qui est abordé dans la section « traitement ».<ref name=":0" />
En général, en comparaison avec le cancer du sein chez la femme, le cancer du sein chez l'homme a plus de chance d'être positif aux récepteurs de l'oestrogène et négatif aux récepteurs 2 du facteur de croissance épidermique humain (HER2).<ref name=":3" /> Certaines études montrent qu'environ 90 % de ces cancers expriment le récepteur des œstrogènes (ER) et 81 % expriment le récepteur de la progestérone.<ref name=":10" /> Ainsi, le traitement adjuvant est généralement dirigé vers l'inhibition de ces récepteurs, ce qui est abordé dans la section « traitement ».<ref name=":0" />
==Approche clinique==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Approche clinique}}


==Diagnostic==
==Diagnostic==
Ligne 160 : Ligne 151 :


{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Suivi}}
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Suivi}}
Une surveillance à long terme est nécessaire, car les hommes présentent un risque accru de développer une seconde lésion mammaire primaire.<ref name=":0" /> Le risque absolu est d'un peu moins de 2 %.<ref name=":3" />
Une surveillance à long terme est nécessaire, car les hommes présentent un risque accru de développer une seconde lésion mammaire primaire.<ref name=":0" /> Le risque absolu est d'un peu moins de 2 %.<ref name=":3" /> Pour les hommes ayant eu recours à une mastectomie partielle, une mammographie ipsilatérale pourrait être proposée annuellement si elle est techniquement faisable selon l'American Society of Clinical Oncology.<ref name=":6">{{Citation d'un article|langue=en|prénom1=Michael J.|nom1=Hassett|prénom2=Mark R.|nom2=Somerfield|prénom3=Sharon H.|nom3=Giordano|titre=Management of Male Breast Cancer: ASCO Guideline Summary|périodique=JCO Oncology Practice|volume=16|numéro=8|date=2020-08|issn=2688-1527|issn2=2688-1535|doi=10.1200/JOP.19.00792|lire en ligne=https://ascopubs.org/doi/10.1200/JOP.19.00792|consulté le=2022-11-23|pages=e839–e843}}</ref> Ces derniers proposent aussi de demander une mammographie controlatérale annuelle pour les patients ayant des antécédents de cancer du sein et une mutation génétique prédisposante.<ref name=":6" />  


Les patients utilisant un analogue de la GnRH sont à risque d'ostéoporose. Il est alors conseillé de leur faire passer un test de densité osseuse aux 2 ans.  
Concernant les hormonothérapies, un suivi est pertinent. Les patients utilisant un analogue de la GnRH sont à risque d'ostéoporose. Il est alors conseillé de leur faire passer un test de densité osseuse aux 2 ans. De plus, le tamoxifène entre autre a plusieurs effets secondaires dont certains qui peuvent être pris en charge. Un suivi est donc bénéfique pour augmenter les chances que les patients soient observant à leur traitement d'hormonothérapie pendant au moins 5 ans. 


==Complications==
==Complications==
Ligne 168 : Ligne 159 :
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Complications}}
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Complications}}
Les complications de cette maladie sont :
Les complications de cette maladie sont :
* la {{Complication|nom=complication 1}}
* Une infection du site chirurgicale
* la {{Complication|nom=complication 2}}
* Un abcès
* la {{Complication|nom=complication 3}}
* Un lymphoedème du membre supérieur ipsilatéral
* ...


==Évolution==
==Évolution==

Version du 23 novembre 2022 à 01:35

Cancer du sein masculin
Maladie
Caractéristiques
Signes Cachexie, Masse mammaire, Lymphadénopathie (approche clinique), Écoulement mammaire , Desquamation, Ulcération cutanée , Douleur à la palpation du sein, Rétraction mamelonnaire
Symptômes
Douleur osseuse, Masse mammaire, Dyspnée , Fatigue , Symptômes neurologiques focaux , Écoulement mammaire , Douleur mammaire, Masse axillaire
Diagnostic différentiel
Abcès, Gynécomastie, Métastase, Lipome, Sarcome, Mastite péricanalaire
Informations
Wikidata ID Q6742919

Page non révisée
La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Le cancer du sein est une maladie qui touche généralement les femmes, mais aussi les hommes. Effectivement, les personnes de sexe masculin ont des tissus mammaires, bien qu'en petite quantité, susceptibles de subir une transformation maligne.

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Le cancer du sein chez l'homme est rare, il correspond qu'à 1% de tous les cancers du sein. Cependant, il est très important de le connaître puisque les hommes atteints sont souvent diagnostiqués tardivement et ont une mortalité élevée.[1] En effet, environ 40 % de tous les cancers du sein chez l'homme sont des maladies de stade III ou IV au moment du diagnostic initial.[2]

Le cancer du sein représente environ 0,5 % de tous les diagnostics de cancer chez les hommes. Il semblerait même y avoir une augmentation de l'incidence dans les dernières décennies.[2]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Certaines études émettent l'hypothèse qu'en plus de l'obésité et de l'alcool, des facteurs alimentaires pourraient augmenter l'incidence de ce cancer. Évidemment, des recherches plus spécifiques doivent être mises en place pour confirmer de telles hypothèses.[3] Malgré ces corrélations possibles, de nombreuses personnes chez qui un cancer du sein masculin a été diagnostiqué ne présentent aucun facteur de risque identifiable.[2][4]

Lorsqu'on discute de l'étiologie du cancer du sein chez l'homme, il faut découvrir les facteurs de risque génétiques ou environnementaux potentiels. Il est également important de garder à l'esprit que la majorité des hommes diagnostiqués avec un CSM n'ont aucun risque identifiable autre que l'âge (âge moyen du diagnostic de 71 ans).[5][4]

Comme pour les femmes, les hommes ont un risque plus élevé de cancer du sein s'ils ont un parent au premier ou au deuxième degré atteint d'un cancer du sein. Des études ont montré qu'un frère ou un parent affecté de l'un ou l'autre sexe peut augmenter le risque de cancer du sein chez les hommes ou les femmes de la famille. Bévier et al. (2012) ont noté dans leur étude que le risque relatif (RR) de cancer du sein était similaire chez les descendants lorsque le père ou la mère était affecté (RR = 1,73 et 1,74, respectivement), mais le risque était légèrement plus élevé chez les femmes lorsque le frère est affecté par opposition à lorsque la sœur est affectée (RR = 2,48 et 1,39, respectivement). Bien qu'il soit rare qu'un homme ait une mutation BRCA, les porteurs de la mutation BRCA2 ont un risque accru de 6 % et BRCA1 un risque de 4 % de développer la maladie.[6] D'autres troubles génétiques ont été impliqués dans l'augmentation du risque de MBC, y compris Klinefelter (47, XXY), syndrome de Cowden (gène suppresseur de tumeur PTEN), syndrome de Li-Fraumeni (TP53), syndrome de Lynch (PALB2 et gènes de réparation des mésappariements).[5][6][4]

Il est important de noter les modifications des rapports œstrogènes/androgènes lors de l'examen de l'étiologie du cancer du sein chez l'homme. L'œstrogène, qui stimule le développement canalaire dans les seins, a également été impliqué comme facteur de risque potentiel de MBC de la même manière que les femmes. Le syndrome de Klinefelter, comme mentionné précédemment, peut augmenter le risque de MBC par stimulation excessive des œstrogènes. D'autres déclencheurs potentiels ont également été identifiés et comprennent l'obésité, la consommation de marijuana, le dysfonctionnement hépatique, les maladies thyroïdiennes et les médicaments contenant des œstrogènes. comme la cryptorchidie, l'orchite et l'orchidectomie.[7][4]

Enfin, des facteurs environnementaux ont également été impliqués dans la possibilité d'augmenter le risque de cancer du sein chez l'homme. Comme pour les femmes, une radiothérapie antérieure a été notée comme un facteur de risque potentiel. Il convient de noter que la radiothérapie a été utilisée pour traiter la gynécomastie, mais il a été constaté que ces patients présentaient un risque multiplié par 7 de MBC. les usines, ainsi que les professions impliquées dans les solvants organiques tels que le trichloroéthylène.[8][4]

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont :

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les éléments à aller questionner à l'histoire sont:

Les principaux symptômes sont:

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique peut permettre d'objectiver les signes suivants :

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Évaluation diagnostique

La meilleur façon d'évaluer le cancer du sein est avec les modalités diagnostiques suivantes:

  1. L'examen clinique (discuté dans la section « présentation clinique »)
  2. La mammographie ou l'échographie
    1. Mammographie
      • Sensibilité de 92 % et une spécificité de 90 %
      • Modalité qui peut être limité par la petite taille des seins
    2. Échographie
  3. Biopsie au trocart
    • Guidé par échographie
    • Diagnostic le plus définitif de cancer du sein chez la personne de sexe masculin

Étant donné que les hommes qui ont un cancer du sein sont plus à risque d'avoir une mutation du gène BRCA, il est conseiller de tous les référer à un spécialiste pour faire les tests génétiques.[9]

Histopathologie

Le type histologique de cancer du sein chez l'homme le plus fréquemment observé est le carcinome canalaire infiltrant. Effectivement, il représente environ 90 % de tous les cancers du sein masculins.[10] Les autres types histologiques impliqués sont les carcinomes papillaires, mucineux et lobulaires.[9]

En général, en comparaison avec le cancer du sein chez la femme, le cancer du sein chez l'homme a plus de chance d'être positif aux récepteurs de l'oestrogène et négatif aux récepteurs 2 du facteur de croissance épidermique humain (HER2).[9] Certaines études montrent qu'environ 90 % de ces cancers expriment le récepteur des œstrogènes (ER) et 81 % expriment le récepteur de la progestérone.[10] Ainsi, le traitement adjuvant est généralement dirigé vers l'inhibition de ces récepteurs, ce qui est abordé dans la section « traitement ».[4]

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Les stades du cancer du sein chez l'homme sont les même que ceux du cancer du sein chez la femme. Le stade est déterminé à partir du système TNM.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel du cancer du sein chez les hommes comprend:

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

De manière générale, le traitement et la prise en charge du cancer du sein chez l'homme vont suivre les lignes directrices du cancer du sein chez la femme. C'est en partie expliqué par le fait qu'il y a moins de recherche sur le cancer du sein chez l'homme étant donné que c'est beaucoup plus rare que le cancer du sein chez les personne de sexe féminin.

Oncologie chirurgicale

La mastectomie simple est l'option pour les cancers T1 et T2.[4]

Pour la maladie à un stade précoce (T1-T2, N0-N1), la mastectomie qui épargne le muscle pectoral semblerait être un bon choix étant donné que certaines études n'ont pas montré de différence significative du taux de mortalité ni du taux de récidive lorsque comparée à la mastectomie radicale.[11] Des biopsies de ganglions lymphatiques axillaires ou sentinelles sont également faites étant donné leur valeur pronostique. Contrairement à l'approche chirurgicale chez les personnes de sexe féminin, les approches conservatrices du sein sont rarement envisagées chez les hommes en raison de la quantité moindre de tissu mammaire.[4]

Radio-oncologie

La radiothérapie est généralement proposée aux hommes ayant un stade tumoral T3 ou supérieur, des marges chirurgicales positives ou quatre ganglions lymphatiques positifs ou plus.[4]

Les indications de la radiothérapie pour le cancer du sein chez les personnes de sexe masculin sont semblables à celles de sexe féminin:[11]

  • Une résection mammaire conservatrice
  • Une maladie avancée (T3 ou T4) même-ci elles ont eu une mastectomie radicale

Cependant, il y a peu de donnés probantes montrant un bénéfice de la radiothérapie chez les hommes touchés par le cancer du sein.[5][4]

Oncologie médicale

C'est le tamoxifène qui est le traitement adjuvant le plus utilisé chez les personnes de sexe masculin avec un cancer du sein.[4] En effet, étant donné que la majorité des cancers du sein chez l'homme sont positifs pour les récepteurs aux œstrogènes, l'hormonothérapie est un traitement de choix. Il est utilisé pour 5 à 10 ans. Plusieurs études montrent qu'il y a un bénéfice à l'utiliser au niveau de la survie.[9] D'autre part, les inhibiteurs de l'aromatase ont un taux d'efficacité moins clair chez les hommes. Selon certaines études, des hommes ayant été traités avec des inhibiteurs de l'aromatase avaient un taux de survie inférieur à ceux ayant reçu du tamoxifène. Il y a également des études montrant l'efficacité de l'utilisation d'un analogue de la GnRH seul ou avec un inhibiteur de l'aromatase.[9]

Les données sont également limitées concernant l'efficacité de la chimiothérapie adjuvante. Effectivement, des études rétrospectives ont montré que l'hormonothérapie était plus efficace que la chimiothérapie pour les cancers du sein de stade avancé chez les hommes.[5] Les données probantes étant limités, les indications de chimiothérapie sont les mêmes que chez les femmes:

  • Ganglions positifs > 1 cm
  • Récepteurs hormonaux négatifs

Selon certaines sources, les oncologues envisageraient donc la chimiothérapie seulement en cas d'échec de l'hormothérapie.[12][4]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Une surveillance à long terme est nécessaire, car les hommes présentent un risque accru de développer une seconde lésion mammaire primaire.[4] Le risque absolu est d'un peu moins de 2 %.[9] Pour les hommes ayant eu recours à une mastectomie partielle, une mammographie ipsilatérale pourrait être proposée annuellement si elle est techniquement faisable selon l'American Society of Clinical Oncology.[13] Ces derniers proposent aussi de demander une mammographie controlatérale annuelle pour les patients ayant des antécédents de cancer du sein et une mutation génétique prédisposante.[13]

Concernant les hormonothérapies, un suivi est pertinent. Les patients utilisant un analogue de la GnRH sont à risque d'ostéoporose. Il est alors conseillé de leur faire passer un test de densité osseuse aux 2 ans. De plus, le tamoxifène entre autre a plusieurs effets secondaires dont certains qui peuvent être pris en charge. Un suivi est donc bénéfique pour augmenter les chances que les patients soient observant à leur traitement d'hormonothérapie pendant au moins 5 ans.

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de cette maladie sont :

  • Une infection du site chirurgicale
  • Un abcès
  • Un lymphoedème du membre supérieur ipsilatéral

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

En raison du retard de diagnostic couramment observé dans le cancer du sein masculin, la survie globale à 5 ans est d'environ 40 % à 65 %. Lorsqu'ils sont stratifiés, le stade I est de 75 % à 100 %, le stade II est de 50 % à 80 %, le stade III est de 30 % à 60 % et le stade IV est de 20 % à 30 %.[10] Malgré ces résultats, lorsqu'ils sont associés à divers pronostics des facteurs tels que l'âge, le stade de la maladie et le grade, la mortalité des hommes atteints d'un cancer du sein ne s'est pas avérée significativement plus élevée que celle des femmes atteintes d'un cancer du sein.[10][4]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Le dépistage systématique des hommes atteints d'un cancer du sein n'est pas établi en raison de la rareté des cas. Pourtant, les hommes (en particulier ceux de plus de 35 ans) devraient être informés des facteurs de risque potentiels discutés et être conseillés sur le conseil génétique s'ils ont des antécédents familiaux de cancer du sein (chez les hommes et les femmes) ou d'autres cancers qui peuvent être déclenchés par un Gène BRCA, par exemple, cancers de l'ovaire, du pancréas, des testicules ou de la prostate.[14][4]

Références

__NOVEDELETE__
!
Cette page a besoin de vous !

Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.

Fait partie de la présentation clinique de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.

Est une complication de ...