État de mal épileptique

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État de mal épileptique
Maladie
Caractéristiques
Signes Confusion, Mouvements anormaux, Nystagmus , Spasmes musculaires, Tachycardie , Altération de l'état de conscience , Cyanose , Symptômes neurologiques focaux , Paralysie de Todd, Hypoxie, ... [+]
Symptômes
Coma, Confusion, Agitation, Incontinence, Anorexie , Mouvements anormaux, Nystagmus , Nausées, Aggressivité, Idées délirantes, ... [+]
Diagnostic différentiel
Traumatisme, Attaque de panique, Accident vasculaire cérébral, Syncope (symptôme), Hypoxie, cyanose (approche clinique), Pseudo-convulsions, Intoxication (approche clinique)
Informations
Terme anglais Status Epilepticus
Spécialité Neurologie

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L'état de status epilepticus (SE) est une urgence neurologique nécessitant une évaluation et une prise en charge immédiates pour éviter une morbidité ou une mortalité significative. Auparavant défini comme une crise d'une durée égale ou supérieure à 30 minutes, ou une série de crises dans lesquelles le patient ne retrouve pas un état mental normal entre les crises, la définition du SE a subit une révision en 2012. Les lignes directrices de la Neurocritical Care Society de 2012 définissent désormais cet état par une crise persistant 5 minutes ou plus ( activité convulsive clinique et / ou électrographique continue) ou deux crises consécutives sans une reprise de conscience et récupération entre les crises.[1][2][3][4]

Le SE peut être convulsif, non convulsif, moteur focal ou myoclonique et n'importe lequel de ceux-ci peut devenir réfractaire. Il constitue l'urgence neurologique pédiatrique la plus courante.[5][6][3]

Épidémiologie

L'incidence du SE est distribuée de façon bimodale selon l'âge, avec des pics pendant la petite enfance et chez les personnes âgées. Le taux d'incidence varie d'environ 7 à 40 cas pour 100 000 personnes / années.[7] L'atteinte semble être plus fréquente chez les hommes et une proportion significative d'enfants (16% à 38%) et d'adultes (42% à 50%) atteints de SE ont des antécédents d'épilepsie.[3][7] L'incidence chez la personne agée est de 3 à 10 fois plus grande que chez le jeune adule.[8] La mortalité à court terme (dans les 30 jours) du SE varie de 7,6% à 22% dans tous les groupes d'âge et est la plus élevée chez les personnes âgées. [7][3]

Étiologies

Il existe de multiples étiologies pour le SE. [9]

Étiologies du Status Epilepticus[3]
Processus aigus Processus chroniques
infections du système nerveux central (SNC)[3] Épilepsie préexistante avec des crises convulsives[3]
perturbations métaboliques[3] non-observance des médicaments antiépileptiques[3]
accidents cérébrovasculaires (ACV)[3] tumeurs du SNC[10]
lésions anoxiques[3][10] lésion cérébrale antérieure[10]
lésions traumatiques[3]
  • un traumatisme crânien avec saignement intracrânien
  • un traumatisme crânien sans saignement intracrânien.
encéphalopathie périnatale[3][10]
toxicité médicamenteuse[3][10]
  • le non-respect de la médication antiépileptique
  • le retrait du traitement
  • une surdose de médicaments antiépileptiques
  • une surdose de médicaments non-antiépileptiques.
troubles neurodégénératifs évolutifs[3]
Syndromes de sevrage médicamenteux[3]
  • un sevrage à l'alcool
  • un sevrage aux benzodiazépines
  • un sevrage aux barbituriques.
urgence hypertensive[3]
maladies auto-immunes[3]

Les processus aigus représentent la plupart des cas d'état de SE chez les adultes. Le SE fébrile est la cause la plus fréquente chez les patients pédiatriques. Les infections du SNC et les erreurs innées du métabolisme sont également des étiologies courantes chez les enfants. La majorité des patients pédiatriques présentant un premier épisode de SE n'ont pas d'antécédents de convulsions.[3]

Physiopathologie

Une crise convulsive consiste en une décharge électrique paroxystique des neurones du cerveau, entraînant un changement de fonction ou de comportement. Il est important de comprendre qu'une crise est un événement du SNC et peut se présenter comme convulsive ou non convulsive. Il existe à la fois des neurotransmetteurs excitateurs (glutamate, aspartate et acétylcholine) et des neurotransmetteurs inhibiteurs (acide gamma-aminobutyrique). Certains mécanismes du cerveau jouent un rôle dans la genèse et l'inhibition des crises isolées tels que le courant d'ions K+ dépendant des ions Ca2+ et le blocage du Mg2+ du N-méthyl-d-aspartate (NMDA). Une excitation excessive et / ou une inhibition inadéquate entraînent un status epilepticus.[3] Le GABA a un effet principalement inhibiteur via l’ouverture de canaux Cl- qui hyperpolarisent les neurones. Cette hyperpolarisation rend alors les neurones plus réfractaires à l’activation d’un potentiel d’action. Le glutamate, pour sa part, a un effet excitateur en favorisant l’ouverture de canaux Na+ et Ca2+, ce qui dépolarise la cellule, la rendant plus excitable. Les mécanismes permettant au GABA d’accomplir sa tâche d’inhibition finissent par se fatiguer, favorisant le glutamate, créant ainsi une tendance à l'excitation perpétuelle de la cellule, menant à un SE et un état réfractaire.[3][11]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque du status epilepticus sont:

Questionnaire

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les symptômes suivant sont à rechercher et aideront à déterminer l'étiologie de la crise. On retrouve à l'histoire[3]:


Il est aussi important d'aborder les éléments suivants au questionnaire[3] :

  • le contexte de survenue
  • la durée de la perte de conscience et de la période post ictale. La période post ictale, ou post critique représente l'état de confusion suite à la reprise de conscience
  • les antécédants de crises survenues dans le passé
  • la distinction entre une crise et une pseudocrise épileptique (troubles d'origine psychogène)
  • la recherche de facteurs déclenchants comme la prise de médicaments, la fatigue, etc.


Au questionnaire du SE, il importe également de décrire le type de crise survenue lors de l'événement.

Le status epilepticus convulsif se présente avec[3] :

Le status epilepticus non convulsif se présente avec[3]:

Le SE moteur focal se présente avec[3]:

Le SE myoclonique se présente avec[3]:

Le SE réfractaire se présente avec[3]:

  • des crises persistantes (convulsives ou non convulsives) malgré l'administration de médicaments antiépileptiques.

Examen clinique

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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Signes vitaux[3] :

Après 20 minutes de crises, les signes suivant peuvent se présenter[3] :

Examen neurologique[12] :

Examens paracliniques

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Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Le diagnostic du status epilepticus convulsif est posé cliniquement, mais nécessite une neuroimagerie et des études de laboratoire pour identifier une étiologie potentielle.

Imageries[2][3][13]

  • une tomodensitométrie (TDM) de la tête : une TDM est appropriée dans la plupart des situations et c'est la plus facile à obtenir
  • une imagerie par résonance magnétique (IRM): l'IRM du cerveau est plus sensible pour identifier les malformations chez les patients pédiatriques, mais peut être difficile à obtenir et peut nécessiter une sédation.
  • un électroencéphalogramme (EEG)

Études de laboratoires [3]:

D'autres études peuvent être envisagées en fonction de la présentation:[14][15][16][3]

Le status epilepticus non convulsif nécessite toutes les études d'imagerie et de laboratoire mentionnées précédemment pour l'identification d'une étiologie sous-jacente, mais nécessite également une surveillance EEG pour le diagnostic.[14][15][16][3]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

L'approche clinique comprend une identification et prise en charge de la crise rapidement pour assurer la sécurité du patient. Lorsque stabilisé, un questionnaire et un examen physique complet doivent etre réalisés de sorte à identifier la possible étiologie de la crise. Des imageries sont aussi souvent nécessaires.

Si un diagnostic épileptique est posé il est important de prendre en charge le patient dans son entiereté. Pour commencer, plusieurs modalités thérapeutiques sont disponibles. On y compte entre autre la médication (anti épileptiques), la chirurgie(lorsqu'une région précise du cerveau est en cause pour les crises) et la thérapie par stimulation du nerf vague[17].

Ensuite, il est important de fournir au patient de l'information quant aux impacts des crises sur son métier et ses loisirs. La conduite peut aussi représenter un risque particulier avant un controle médicamenteux optimal. Il doit etre s'écouler 5 ans sans crise pour conduire un véhiclue ou 6 mois avec un nouveau controle médicamenteux sans crise[18].

Il est important de discuter des déclencheurs de crise avec le patient. La photosensibilité par exemple est une hypersensibilité visuelle du cerveau face a des stimulis vascillants ou scintillants qui peuvent ensuite exacerber des crises épileptiques. 3-5% des personnes épileptiques sont affectées par la photosensibilité. Le stress et la fatigue sont aussi des facteurs de risque associé à la photosensibilité[19].

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Le diagnostic est principalement clinique et se base sur la réponse à au moins un des deux critères suivants : une convulsion d'une durée supérieure à 5 minutes ou deux épisodes de convulsions sans reprise de conscience entre les crises.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Les diagnostics différentiels de l'état de mal épileptique comprennent: [3]

  • Intoxication aiguë
  • Hypoxie cérébrale catastrophique précoce
  • Encéphalopathie d'origine toxique et métabolique
  • AVC ischémique
  • Crises non épileptiques (syncope et attaque de panique inclues)
  • Traumatisme[3]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 
Contenu TopMédecine
  • Le traitement du “status épilepticus” en préhospitalier (SPU)

L'état de mal épileptique doit être traité rapidement et de manière organisée, avec une évaluation / gestion simultanée des voies respiratoires, de la respiration et de la circulation, tout en administrant un traitement antiépileptique (DEA). L’objectif principal de la prise en charge est d’interrompre définitivement l’activité épileptique le plus rapidement possible tout en soutenant l’état cardiovasculaire et respiratoire du patient.[16][20][3]

Voici alors les étapes de la prise en charge adéquate d'une crise.

Respiration et circulation

  • Positionner la tête pour maintenir les voies respiratoires ouvertes (une intubation rapide peut être nécessaire à tout moment pendant la prise en charge si l'oxygénation ou la ventilation est altérée).
  • Fournir de l'oxygène supplémentaire.
  • Lancer la surveillance de la fréquence cardiaque, de la fréquence respiratoire, de la pression artérielle et de la saturation en oxygène.
  • Obtenez un accès vasculaire.
  • Vérifier une glycémie au chevet et traiter l'hypoglycémie si présente (si une carence en thiamine est possible, administrer de la thiamine avant le dextrose).

Traitement médicamenteux

  • Les benzodiazépines représentent le médicament antiépileptique de choix pour le contrôle d'urgence. Le lorazépam est préféré en raison de son début d'action rapide et est dosé à 0,1 mg / kg IV. Pas plus de 2 mg doivent être administrés par minute. Si le lorazépam n'est pas disponible, le diazépam peut être utilisé à raison de 0,15 mg / kg IV jusqu'à un maximum de 5 mg par minute. Une dose répétée peut être administrée après 3-5 minutes si les crises ne disparaissent pas après la première dose. L'administration intraveineuse est préférée mais les benzodiazépines peuvent être administrées par voie intramusculaire, rectale, nasale ou buccale si l'accès vasculaire n'est pas disponible.
  • Les antiépileptiques doivent être administrés en même temps que les benzodiazépines. Les choix incluent la fosphénytoïne (20 mg / kg d'équivalents phénytoïne (PE) jusqu'à 100-150 PE / minute, la phénytoïne (20 mg / kg jusqu'à 25-50 mg / minute), le lévétiracétam (40-60 mg / kg jusqu'à un total de 4500 mg plus de 15 minutes) et d'acide valproïque (30 mg / kg à 10 mg / kg / minute) (préoccupation pour l'hépatotoxicité avec l'utilisation d'acide valproïque chez les enfants de moins de deux ans).
  • Si la deuxième dose de benzodiazépines n'interrompt pas les crises, traiter comme état de mal épileptique réfractaire.
  • L'état de mal épileptique réfractaire doit être traité avec une perfusion continue d'un médicament antiépileptique. Les choix incluent une perfusion intraveineuse (IV) de midazolam, de pentobarbital, de thiopental ou de propofol (la perfusion de propofol ne doit pas être utilisée chez les enfants en raison du risque de syndrome de perfusion de propofol).
  • Le sulfate de magnésium est indiqué pour les femmes enceintes atteintes d'éclampsie.

Un neurologue doit être consulté dès le début de la prise en charge, en même temps que l'administration du traitement de première intention.[3] Tous les patients présentant un état de mal épileptique doivent être hospitalisés, de préférence à l'unité de soins intensifs.[3]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Il est important d'effectuer un suivi auprès du patient de sorte vérifier si il y a eu une récidive de crise ou des complications additionnelles. De plus, un suivi permet d'évaluer la compliance et l'efficacité de la médication.

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de l'état de mal épileptique peuvent être séparées en complications médicales et neurologiques et également en complications immédiates et retardées.[3]

1. Les complications médicales :

Les complications médicales comprennent :

Ces complications sont graves quoique couramment observées chez les patients souffrant d'un état de mal épileptique [21]. [3]

2. Les complications neurologiques :

On retrouve dans cette catégorie la progression vers l'épilepsie chronique et l'état de mal épileptique récurrent. En cas d'état de mal épileptique réfractaire prolongé, il peut y avoir des dommages neurologiques permanents induits par l'activité hyper-métabolique dans les régions du cerveau qui subissent une activité électrique prolongée et anormale.[3]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Le taux de mortalité des patients présentant le premier épisode d'état épileptique convulsif généralisé se situe entre 16 et 20 pour cent [20], [[22]. La mortalité dépend de l'étiologie de l'état de mal épileptique, l'état de mal épileptique anoxique approchant 80 pour cent [23]. L'état de mal épileptique réfractaire a des taux de mortalité entre 35 et 60 pour cent, les patients nécessitant des traitements prolongés de barbituriques ou de benzodiazépines étant les plus affectés. Les jeunes patients qui ont un état de mal épileptique réfractaire cryptogène s'en sortent un peu mieux que les patients plus âgés dont l'étiologie est identifiée. [24], [25]. Certains modèles in vitro montrent que des lésions neurologiques permanentes peuvent s'installer après 30 minutes d'état de mal épileptique. Environ 40 pour cent des patients avec le premier épisode de mal épileptique développent une épilepsie ultérieure et il existe un risque de 25 à 30 pour cent de récidive de statut épileptique après le premier épisode [26].[3]

Prévention

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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Le SE est souvent considéré comme une affection d'apparition aléatoire. Toutefois un controle ambulatoire des patients souffrant d'épilepsie permet d'agir rapidement en cas de crise[27].

Références

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  1. Michael Y. Xu, « Poststroke seizure: optimising its management », Stroke and Vascular Neurology, vol. 4, no 1,‎ , p. 48–56 (ISSN 2059-8696, PMID 31105979, Central PMCID 6475084, DOI 10.1136/svn-2018-000175, lire en ligne)
  2. 2,0 et 2,1 László Horváth, István Fekete, Márk Molnár et Réka Válóczy, « The Outcome of Status Epilepticus and Long-Term Follow-Up », Frontiers in Neurology, vol. 10,‎ , p. 427 (ISSN 1664-2295, PMID 31105639, Central PMCID 6498966, DOI 10.3389/fneur.2019.00427, lire en ligne)
  3. 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 3,10 3,11 3,12 3,13 3,14 3,15 3,16 3,17 3,18 3,19 3,20 3,21 3,22 3,23 3,24 3,25 3,26 3,27 3,28 3,29 3,30 3,31 3,32 3,33 3,34 3,35 3,36 3,37 3,38 3,39 3,40 3,41 et 3,42 Pan Peng, Jing Peng, Fei Yin et Xiaolu Deng, « Ketogenic Diet as a Treatment for Super-Refractory Status Epilepticus in Febrile Infection-Related Epilepsy Syndrome », Frontiers in Neurology, vol. 10,‎ , p. 423 (ISSN 1664-2295, PMID 31105638, Central PMCID 6498987, DOI 10.3389/fneur.2019.00423, lire en ligne)
  4. Alexander B. Ramos, Roberto A. Cruz, Nicole R. Villemarette-Pittman et Piotr W. Olejniczak, « Dexamethasone as Abortive Treatment for Refractory Seizures or Status Epilepticus in the Inpatient Setting », Journal of Investigative Medicine High Impact Case Reports, vol. 7,‎ , p. 2324709619848816 (ISSN 2324-7096, PMID 31104535, Central PMCID 6537247, DOI 10.1177/2324709619848816, lire en ligne)
  5. Sae-Yeon Won, Daniel Dubinski, Lisa Sautter et Elke Hattingen, « Seizure and status epilepticus in chronic subdural hematoma », Acta Neurologica Scandinavica, vol. 140, no 3,‎ , p. 194–203 (ISSN 1600-0404, PMID 31102548, DOI 10.1111/ane.13131, lire en ligne)
  6. Sara Matricardi, Laura Canafoglia, Anna Ardissone et Isabella Moroni, « Epileptic phenotypes in children with early-onset mitochondrial diseases », Acta Neurologica Scandinavica, vol. 140, no 3,‎ , p. 184–193 (ISSN 1600-0404, PMID 31102535, DOI 10.1111/ane.13130, lire en ligne)
  7. 7,0 7,1 et 7,2 Barbara C. Jobst, Elinor Ben-Menachem, Kevin E. Chapman et Aradia Fu, « Highlights From the Annual Meeting of the American Epilepsy Society 2018 », Epilepsy Currents, vol. 19, no 3,‎ , p. 152–158 (ISSN 1535-7597, PMID 31050308, Central PMCID 6610384, DOI 10.1177/1535759719844486, lire en ligne)
  8. (en) Simon Shorvon et Arjune Sen, « What is status epilepticus and what do we know about its epidemiology? », Seizure - European Journal of Epilepsy, vol. 75,‎ , p. 131–136 (ISSN 1059-1311 et 1532-2688, PMID 31786006, DOI 10.1016/j.seizure.2019.10.003, lire en ligne)
  9. Lisa Langenbruch, Julia Krämer, Sati Güler et Gabriel Möddel, « Seizures and epilepsy in multiple sclerosis: epidemiology and prognosis in a large tertiary referral center », Journal of Neurology, vol. 266, no 7,‎ , p. 1789–1795 (ISSN 1432-1459, PMID 31069528, DOI 10.1007/s00415-019-09332-x, lire en ligne)
  10. 10,0 10,1 10,2 10,3 10,4 10,5 et 10,6 (en) Kyle C McKenzie, Cecil D Hahn et Jeremy N Friedman, « La prise en charge d’urgence du patient pédiatrique en état de mal épileptique convulsif », Paediatrics & Child Health, vol. 26, no 1,‎ , p. 58–66 (ISSN 1205-7088 et 1918-1485, Central PMCID PMC7850287, DOI 10.1093/pch/pxaa128, lire en ligne)
  11. « État de mal épileptique où que tu sois, je te traiterai », sur Le Médecin du Québec,
  12. (en) « Epilepsy physical examination - wikidoc », sur wikidoc.org (consulté le 14 mars 2022)
  13. (en) Neurocritical Care Society Status Epilepticus Guideline Writing Committee, Gretchen M. Brophy, Rodney Bell et Jan Claassen, « Guidelines for the Evaluation and Management of Status Epilepticus », Neurocritical Care, vol. 17, no 1,‎ , p. 3–23 (ISSN 1541-6933 et 1556-0961, DOI 10.1007/s12028-012-9695-z, lire en ligne)
  14. 14,0 et 14,1 N. Huertas González, A. Barros González, V. Hernando Requejo et J. Díaz Díaz, « Focal status epilepticus: a review of pharmacological treatment », Neurologia (Barcelona, Spain),‎ (ISSN 1578-1968, PMID 31072691, DOI 10.1016/j.nrl.2019.02.003, lire en ligne)
  15. 15,0 et 15,1 Iván Sánchez Fernández, Marina Gaínza-Lein, Nathan Lamb et Tobias Loddenkemper, « Meta-analysis and cost-effectiveness of second-line antiepileptic drugs for status epilepticus », Neurology, vol. 92, no 20,‎ , e2339–e2348 (ISSN 1526-632X, PMID 31068480, DOI 10.1212/WNL.0000000000007503, lire en ligne)
  16. 16,0 16,1 et 16,2 W. Müllges, « [Diagnosis and treatment of status epilepticus in the intensive care unit] », Medizinische Klinik, Intensivmedizin Und Notfallmedizin, vol. 114, no 5,‎ , p. 475–484 (ISSN 2193-6226, PMID 31053866, DOI 10.1007/s00063-019-0581-8, lire en ligne)
  17. (en) « Epilepsy - Diagnosis and treatment - Mayo Clinic », sur www.mayoclinic.org (consulté le 14 mars 2022)
  18. « L'épilepsie, c'est quoi? », sur www.epilepsiequebec.com (consulté le 14 mars 2022)
  19. « Vivre avec l’épilepsie » (consulté le 14 mars 2022)
  20. 20,0 et 20,1 Preena Uppal, Michael Cardamone, Christopher Webber et Nancy Briggs, « Management of status epilepticus in children prior to medical retrieval: Deviations from the guidelines », Journal of Paediatrics and Child Health, vol. 55, no 12,‎ , p. 1458–1462 (ISSN 1440-1754, PMID 30924266, DOI 10.1111/jpc.14448, lire en ligne)
  21. Raoul Sutter, Tolga Dittrich, Saskia Semmlack et Stephan Rüegg, « Acute Systemic Complications of Convulsive Status Epilepticus-A Systematic Review », Critical Care Medicine, vol. 46, no 1,‎ , p. 138–145 (ISSN 1530-0293, PMID 29099419, DOI 10.1097/CCM.0000000000002843, lire en ligne)
  22. G. Logroscino, D. C. Hesdorffer, G. Cascino et J. F. Annegers, « Short-term mortality after a first episode of status epilepticus », Epilepsia, vol. 38, no 12,‎ , p. 1344–1349 (ISSN 0013-9580, PMID 9578531, DOI 10.1111/j.1528-1157.1997.tb00073.x, lire en ligne)
  23. A. R. Towne, J. M. Pellock, D. Ko et R. J. DeLorenzo, « Determinants of mortality in status epilepticus », Epilepsia, vol. 35, no 1,‎ , p. 27–34 (ISSN 0013-9580, PMID 8112254, DOI 10.1111/j.1528-1157.1994.tb02908.x, lire en ligne)
  24. Raoul Sutter, Stephan Marsch, Peter Fuhr et Stephan Rüegg, « Mortality and recovery from refractory status epilepticus in the intensive care unit: a 7-year observational study », Epilepsia, vol. 54, no 3,‎ , p. 502–511 (ISSN 1528-1167, PMID 23294049, DOI 10.1111/epi.12064, lire en ligne)
  25. Jan Novy, Giancarlo Logroscino et Andrea O. Rossetti, « Refractory status epilepticus: a prospective observational study », Epilepsia, vol. 51, no 2,‎ , p. 251–256 (ISSN 1528-1167, PMID 19817823, DOI 10.1111/j.1528-1167.2009.02323.x, lire en ligne)
  26. D. C. Hesdorffer, G. Logroscino, G. D. Cascino et W. A. Hauser, « Recurrence of afebrile status epilepticus in a population-based study in Rochester, Minnesota », Neurology, vol. 69, no 1,‎ , p. 73–78 (ISSN 1526-632X, PMID 17606884, DOI 10.1212/01.wnl.0000265056.31752.ff, lire en ligne)
  27. Amengual-Gual M, Ulate-Campos A, Loddenkemper T. Status epilepticus prevention, ambulatory monitoring, early seizure detection and prediction in at-risk patients. Seizure. 2019 May;68:31-37. doi: 10.1016/j.seizure.2018.09.013. Epub 2018 Sep 18. PMID: 30391107.
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