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{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Questionnaire}}Les caractéristiques de la pneumonie bactérienne à rechercher à l'histoire peuvent varier d'indolentes à fulminantes. La manifestation clinique comprend à la fois des découvertes constitutionnelles et des découvertes dues à des lésions pulmonaires et des tissus associés. Les symptômes le plus caractéristiques de la pneumonie bactérienne sont: <ref name=":0" /><ref name=":13">{{Citation d'un article|prénom1=Ilene|nom1=Claudius|prénom2=Larry J.|nom2=Baraff|titre=Pediatric emergencies associated with fever|périodique=Emergency Medicine Clinics of North America|volume=28|numéro=1|date=2010-02|issn=1558-0539|pmid=19945599|doi=10.1016/j.emc.2009.09.002|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19945599|consulté le=2021-03-21|pages=67–84, vii–viii}}</ref>
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* l'{{Symptôme | nom = atteinte de l'état général|affichage=|prévalence=}}
* l'{{Symptôme | nom = atteinte de l'état général|affichage=|prévalence=}}
* des {{Symptôme | nom = frissons|affichage=|prévalence=}} et/ou {{Symptôme | nom = sueurs|affichage=|prévalence=}}
* des {{Symptôme | nom = frissons|affichage=|prévalence=|PLR=1.6|NLR=0.85}} et/ou {{Symptôme | nom = sueurs|affichage=|prévalence=|PLR=2.1|NLR=0.71}}
* des {{Symptôme | nom = douleurs thoraciques pleurétiques|affichage=|prévalence=}}
* des {{Symptôme | nom = douleurs thoraciques pleurétiques|affichage=|prévalence=}}
* de la {{Symptôme | nom = dyspnée|affichage=|prévalence=}} à l'effort
* de la {{Symptôme | nom = dyspnée|affichage=|prévalence=|PLR=1.4|NLR=0.67}} à l'effort
* de la {{Symptôme | nom = toux productive|affichage=|prévalence=}} (avec {{Symptôme|nom=expectorations mucoïdes|affichage=|prévalence=}}, {{Symptôme|nom=purulentes|affichage=|prévalence=}} ou {{Symptôme|nom=hémoptysies|affichage=|prévalence=}}) ou {{Symptôme | nom = toux non productive|affichage=|prévalence=}}
* de la {{Symptôme | nom = toux productive|affichage=|prévalence=|PLR=1.8|NLR=0.31}} (avec {{Symptôme|nom=expectorations mucoïdes|affichage=|prévalence=}}, {{Symptôme|nom=purulentes|affichage=|prévalence=}} ou {{Symptôme|nom=hémoptysies|affichage=|prévalence=}}) ou {{Symptôme | nom = toux non productive|affichage=|prévalence=}}
* de la {{Symptôme | nom = fatigue|affichage=|prévalence=}}
* de la {{Symptôme | nom = fatigue|affichage=|prévalence=}}
* des {{Symptôme | nom = maux de tête|affichage=|prévalence=}}
* des {{Symptôme | nom = maux de tête|affichage=|prévalence=}}
* de la {{Symptôme | nom = myalgie|affichage=|prévalence=}}
* de la {{Symptôme | nom = myalgie|affichage=|prévalence=|PLR=1.3|NLR=0.58}}
* de l'{{Symptôme | nom = arthralgie|affichage=|prévalence=}}
* de l'{{Symptôme | nom = arthralgie|affichage=|prévalence=}}
Certaines causes bactériennes ont des manifestations particulières, telles que: <ref name=":0" />
Certaines causes bactériennes ont des manifestations particulières, telles que: <ref name=":0" />
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=== Examen clinique ===
=== Examen clinique ===


{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Examen clinique}}Les signes physiques varient également d'un patient à l'autre et dépendent principalement de la gravité de la consolidation pulmonaire, du type d'organisme, de l'étendue de l'infection, des facteurs de l'hôte et de l'existence ou non d'un épanchement pleural. Les principaux résultats cliniques sont les suivants: <ref name=":0" />
{{Section ontologique | classe = Maladie | nom = Examen clinique}}Les signes physiques varient également d'un patient à l'autre et dépendent principalement de la gravité de la consolidation pulmonaire, du type d'organisme, de l'étendue de l'infection, des facteurs de l'hôte et de l'existence ou non d'un épanchement pleural. Les principaux résultats cliniques sont les suivants: <ref name=":0" /><ref>{{Citation d'un ouvrage|langue=anglais|auteur1=David L. Simel & Drummond Rennie|titre=The rational clinicat examination, évidence-based clinicat diagnoses|passage=527-538|lieu=Etats-Unis|éditeur=JAMAevidence|date=|pages totales=940|isbn=|lire en ligne=}}</ref>
* les {{Examen clinique | nom = signes vitaux|indication=}}:  
* les {{Examen clinique | nom = signes vitaux|indication=}}:  
** une {{Signe | nom = tachypnée|prévalence=}}(plus de 18 respirations / min)
** une {{Signe | nom = tachypnée|prévalence=|affichage=|PLR=1.2|NLR=0.66}}(plus de 18 respirations / min)
** une {{Signe | nom = tachycardie|affichage=|prévalence=}} (plus de 100 / min)  
** une {{Signe | nom = tachycardie|affichage=|prévalence=|PLR=1.6|NLR=0.73}} (plus de 100 / min)  
** une {{Signe | nom = Cyanose (signe clinique)|affichage=|prévalence=}}
** une {{Signe | nom = Cyanose (signe clinique)|affichage=|prévalence=}}
** de la {{Signe | nom = fièvre|affichage=|prévalence=}} (généralement plus de 38 °C ou 100,4 F) <ref name=":13" />
** de la {{Signe | nom = fièvre|affichage=|prévalence=|PLR=4.4|NLR=0.78}} (généralement plus de 38 °C ou 100,4 F) <ref name=":13" />
* l'{{Examen clinique | nom = inspection|indication=}}:  
* l'{{Examen clinique | nom = inspection|indication=}}:  
** de la {{Signe | nom = toux productive|affichage=|prévalence=}} avec possible {{Signe | nom = hémoptysies|affichage=|prévalence=}}
** de la {{Signe | nom = toux productive|affichage=|prévalence=}} avec possible {{Signe | nom = hémoptysies|affichage=|prévalence=}}
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** une {{Signe | nom = augmentation des vibrations vocales|affichage=|prévalence=}}
** une {{Signe | nom = augmentation des vibrations vocales|affichage=|prévalence=}}
* la {{Examen clinique | nom = percussion|indication=}}:
* la {{Examen clinique | nom = percussion|indication=}}:
** une {{Signe | nom = matité|affichage=|prévalence=}} au niveau de la zone de consolidation
** une {{Signe | nom = matité|affichage=|prévalence=|PLR=4.3|NLR=0.93}} au niveau de la zone de consolidation
* l'{{Examen clinique | nom = auscultation|indication=}}:
* l'{{Examen clinique | nom = auscultation|indication=}}:
** une {{Signe | nom = diminution des murmures vésiculaires|affichage=|prévalence=}}
** une {{Signe | nom = diminution des murmures vésiculaires|affichage=|prévalence=|PLR=2.3|NLR=0.78}}
** une {{Signe | nom = souffle tubaire|affichage=|prévalence=}}
** une {{Signe | nom = souffle tubaire|affichage=|prévalence=}}
** des {{Signe | nom = râles crépitants|affichage=|prévalence=}}
** des {{Signe | nom = râles crépitants|affichage=|prévalence=|PLR=2.7|NLR=0.87}}
** des {{Signe | nom = ronchis|affichage=|prévalence=}}
** des {{Signe | nom = ronchis|affichage=|prévalence=|PLR=1.5|NLR=0.85}}
** des {{Signe | nom = sibilances|affichage=|prévalence=}} possibles
** des {{Signe | nom = sibilances|affichage=|prévalence=}} possibles
** de l'{{Signe | nom = égophonie|affichage=|prévalence=}}<ref name=":0" />
** de l'{{Signe | nom = égophonie|affichage=|prévalence=|PLR=8.6|NLR=0.96}}<ref name=":0" />
** de la {{Signe | nom = pectoriloquie aphone|affichage=|prévalence=}}
** de la {{Signe | nom = pectoriloquie aphone|affichage=|prévalence=}}
** de la {{Signe | nom = bronchophonie|affichage=|prévalence=}}
** de la {{Signe | nom = bronchophonie|affichage=|prévalence=|PLR=3.5|NLR=0.90}}
** du {{Signe | nom = frottement pleural|affichage=|prévalence=}}
** du {{Signe | nom = frottement pleural|affichage=|prévalence=}}



Version du 1 avril 2021 à 17:58

Pneumonie acquise en communauté
Maladie
Caractéristiques
Signes Bronchophonie , Ronchi , Tachycardie , Tirage , Tachypnée , Matité, Égophonie, Diminution des murmures vésiculaires, Râles crépitants, Cyanose , ... [+]
Symptômes
Confusion, Frissons, Myalgies, Dyspnée , Toux productive, Céphalée , Fatigue , Arthralgie , Douleur pleurétique , Atteinte de l'état général, ... [+]
Diagnostic différentiel
Embolie pulmonaire, Insuffisance cardiaque, Maladie pulmonaire obstructive chronique, Asthme, Fongique, Néoplasie pulmonaire, Abcès pulmonaire, Bronchite aiguë, Bronchiolite, Atélectasie, ... [+]
Informations
Terme anglais Pneumonie bactérienne

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Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
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Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

La pneumonie bactérienne est une inflammation aiguë du parenchyme pulmonaire provoquée par une infection bactérienne. Il existe de nombreuses causes de pneumonie comme les bactéries, les virus, les champignons et les parasites. Cet article se concentrera sur la pneumonie bactérienne, car c'est la principale cause de morbidité et de mortalité. Selon la nouvelle classification de la pneumonie, il existe quatre catégories: les pneumonies d'origine communautaire (CAP), nosocomiales (HAP), associées aux soins de santé (HCAP) et les pneumonies associées à la ventilation (PAV). [1][2][3][4]

Les types de pneumonie bactérienne sont définis de façon suivante:[4]

  • la CAP: infection aiguë du tissu pulmonaire chez un patient qui l'a contracté dans la communauté ou dans les 48 heures suivant l'admission à l'hôpital.
  • l'HAP: infection aiguë du tissu pulmonaire chez un patient non intubé qui se développe après 48 heures d'hospitalisation.
  • la PAV: type d'infection nosocomiale du tissu pulmonaire qui se développe généralement 48 heures ou plus après l'intubation pour ventilation mécanique.
  • l'HCAP: infection aiguë du tissu pulmonaire acquise dans les établissements de santé tels que les maisons de soins infirmiers, les centres de dialyse et les cliniques ambulatoires ou d'un patient ayant des antécédents d'hospitalisation au cours des trois derniers mois.

Certains articles incluent à la fois HAP et VAP dans la catégorie HCAP, donc la définition de HCAP est problématique et controversée.[4]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Aux États-Unis, les infections des voies respiratoires inférieures sont responsables de plus de morbidité et de mortalité que toute autre infection.[5] L'incidence de la PAC aux États-Unis est de plus de 5 millions par an; 80% de ces nouveaux cas sont traités en ambulatoire avec un taux de mortalité inférieur à 1%, et 20% sont traités comme des patients hospitalisés avec un taux de mortalité de 12% à 40% .[4]

L'incidence de la PAC varie selon les sexes; par exemple, il est plus fréquent chez les hommes et les Afro-Américains que les femmes et les autres Américains. Cependant, le nombre total de décès est en augmentation chez les femmes.[6] Les taux d'incidence sont plus élevés aux extrêmes d'âge; le taux adulte est généralement de 5,15 à 7,06 cas pour 1000 personnes par an, mais dans la population âgée de moins de 4 ans et de plus de 60 ans, le taux est supérieur à 12 cas pour 1000 personnes. En 2005, la grippe et la pneumonie combinées étaient la huitième cause de décès la plus fréquente aux États-Unis et la septième cause de décès la plus courante au Canada. Le taux de mortalité est variable selon les régions, par exemple 7,3% pour les États-Unis et le Canada, 9,1% pour l'Europe et 13,3% pour l'Amérique latine.[7][8][4]

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Les bactéries causant les pneumonies bactériennes ont été classées en deux divisions sur la base de l'étiologie selon qu'il s'agit des organismes «typiques» ou «atypiques». Les organismes typiques peuvent être cultivés sur des milieux standards ou vus sur une coloration de Gram, mais les organismes "atypiques" n'ont pas de telles propriétés. [9][4]

Les pathogènes causant la pneumonie bactérienne sont également légèrement différents selon s'ils proviennent de la communauté, s'ils sont de nature nosocomiale ou associés aux établissements de soins de santé. La cause la plus fréquente:

Système respiratoire

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Les voies respiratoires inférieures ne sont pas stériles et sont toujours exposées à des agents pathogènes environnementaux. L'invasion et la propagation des bactéries mentionnées ci-dessus dans le parenchyme pulmonaire au niveau alvéolaire provoquent une pneumonie bactérienne, et la réponse inflammatoire du corps provoque le syndrome clinique de la pneumonie.[4]

Alvéoles pulmonaire et pneumocytes

Pour empêcher cette prolifération de micro-organismes, il existe au sein des voies respiratoires, un certain nombre de défenses naturelles de l'hôte. Certaines défenses sont mécaniques comme par exemple les poils dans les narines et le mucus sur le nasopharynx et l'oropharynx et d'autres chimiques comme certaines protéines produites par les cellules épithéliales des alvéoles que l'on nomme le surfactant A et D qui a la propriété de faire l'opsonisation les bactéries. Le système de défense pulmonaire comporte également des cellules immunitaires telles que les macrophages alvéolaires, qui travaillent pour engloutir et tuer les bactéries proliférantes. Cependant, il arrive que les bactéries surpassent la capacité de défense de l'hôte, et arrivent à proliférer. Dans ce contexte, les macrophages alvéolaires déclenchent la réponse inflammatoire pour renforcer les défenses des voies respiratoires inférieures. Cette réponse inflammatoire est la principale raison de la manifestation clinique de la pneumonie bactérienne. Les cytokines sont libérées en réponse à la réaction inflammatoire et provoquent les symptômes constitutionnels. Par exemple, l'IL-1 (interleukine-1) et le TNF (facteur de nécrose tumorale) libérés provoquent de la fièvre. L'IL-8 de type chimiokine (interleukine-8) et les facteurs de stimulation des colonies comme le G-CSF (facteur de stimulation des colonies de granulocytes) favorisent respectivement la chimiotaxie et la maturation des neutrophiles, entraînant une leucocytose en laboratoire sérologique et des sécrétions purulentes. Ces cytokines sont responsables de la fuite de la membrane alvéolaire-capillaire au site de l'inflammation, provoquant une diminution de la compliance et un essoufflement. Parfois, même les érythrocytes traversent cette barrière et entraînent une hémoptysie. [10][11][12][4]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les différents facteurs de risque associés à la pneumonie bactérienne diffèrent selon:

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les caractéristiques de la pneumonie bactérienne à rechercher à l'histoire peuvent varier d'indolentes à fulminantes. La manifestation clinique comprend à la fois des découvertes constitutionnelles et des découvertes dues à des lésions pulmonaires et des tissus associés. Les symptômes le plus caractéristiques de la pneumonie bactérienne sont: [4][13]

Certaines causes bactériennes ont des manifestations particulières, telles que: [4]

La pneumonie atypique se manifeste par des manifestations pulmonaires et extra-pulmonaires, telles que la pneumonie à Legionella, souvent accompagnée:

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Les signes physiques varient également d'un patient à l'autre et dépendent principalement de la gravité de la consolidation pulmonaire, du type d'organisme, de l'étendue de l'infection, des facteurs de l'hôte et de l'existence ou non d'un épanchement pleural. Les principaux résultats cliniques sont les suivants: [4][14]

Un patient gravement malade peut présenter une septicémie ou une défaillance multi-organe. [4]

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

L'approche utilisée pour évaluer et diagnostiquer la pneumonie dépend de l'état clinique, des paramètres de laboratoire et de l'évaluation radiologique.[15][4] Les examens suivants peuvent être utiles dans la démarche diagnostique:

Certains résultats d'examen sont spécifiques à certaines étiologies, telles que: [4]

  • la bradycardie (Legionella)
  • les maladies dentaires (Anaérobies)
  • l'insuffisance du réflexe nauséeux (Pneumonie par aspiration)
  • des nodules cutanés (Nocardiose)
  • une myringite bulleuse (Mycoplasma)[4]
Pneumonie bactérienne à Enterococcus (histologie)

Histopathologie

Pneumonie lobaire (pathologie)

Sur le plan pathologique, la pneumonie lobaire est l'inflammation exsudative aiguë d'un lobe pulmonaire. Elle comporte les quatre étapes avancées suivantes se elle n'est pas traitée: [4]

  • une congestion: à ce stade, le parenchyme pulmonaire n'est pas complètement consolidé et, au microscope, les alvéoles ont des exsudats séreux, des agents pathogènes, quelques neutrophiles et des macrophages.
  • une hépatisation rouge: à ce stade, le lobe devient consolidé, ferme et semblable au foie. Au microscope, il y a un ajout de fibrine avec un exsudat séreux, des agents pathogènes, des neutrophiles et des macrophages. Les capillaires sont encombrés et les parois alvéolaires sont épaissies.
  • une hépatisation grise: le lobe est toujours de consistance hépatique mais de couleur grise en raison d'alvéoles suppuratives et remplies d'exsudat.
  • une résolution: après une semaine, il commence à se résorber lorsque le drainage lymphatique ou une toux productive élimine l'exsudat.[4]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

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Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

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Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Distinguer la pneumonie des autres maladies pulmonaires peut être une tâche ardue, en particulier chez les patients présentant une pathologie pulmonaire coexistante. Les diagnostics différentiels sont différents pour les enfants et les adultes, comme mentionné ci-dessous: [4]

Traitement

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Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Chez tous les patients atteints de pneumonie bactérienne, un traitement empirique doit être instauré dès que possible. La première étape du traitement est une évaluation des risques pour savoir si le patient doit être traité en ambulatoire ou en milieu hospitalier. Les affections cardiopulmonaires, l'âge et la gravité des symptômes affectent le risque de pneumonie bactérienne, en particulier pou les CAP.[18][19][20][4]

Un score de gravité de la pneumonie CURB-65 ou CURB-65 élargi peut être utilisé pour la quantification du risque. Il comprend C = Confusion, U = Urémie (BUN supérieur à 20 mg / dL), R = Fréquence respiratoire (supérieure à 30 par min), B = B.P (TA inférieure à 90/60 mmHg) et âge supérieur à 65 ans. Un point est marqué pour chacun de ces facteurs de risque. Pour un score de 0 à 1, un traitement ambulatoire est conseillé. Si le score total est de 2 ou plus, cela indique une admission au service médical. Si le score total est de 3 ou plus, cela indique l'admission aux soins intensifs. Les traitements recommandés pour les différentes situations sont les suivants: [4]

Traitement des pneumonies en fonction des différentes étiologies.[18][19][20][4]
Classification de la gravité de la pneumonie selon le CURB-65 Traitement
Pneumonie nécessitant traitement ambulatoire Antibiothérapie:
  • pour les patients souffrant de comorbidités (par exemple, diabète, tumeur maligne, etc.)
  1. la fluoroquinolone ou
  2. les bêta-lactamines + les macrolides
  • pour les patients sans conditions comorbides, de manière empirique:
  1. les macrolides ou
  2. la doxycycline

L'état du patient doit s'améliorer après 72 heures de traitement.

Pneumonie nécessitant admission médicale (non-USI) Antibiothérapie:
  • pour les patients souffrant de comorbidités (par exemple, diabète, tumeur maligne, etc.)
  1. la fluoroquinolone ou
  2. les bêta-lactamines + les macrolides

Soins de support:

Pneumonie nécessitant admission aux soins intensifs (USI) Antibiothérapie:
  • pour les patients souffrant de comorbidités (par exemple, diabète, tumeur maligne, etc.)
  1. les bêta-lactamines + les macrolides ou
  2. les bêta-lactamines+ la fluoroquinolone

Soins de support:

Pneumonie à infection à SARM Antibiothérapie:

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Après avoir obtenu un résultat de laboratoire positif à la culture, le traitement doit être modifié en fonction de l'agent pathogène spécifique à la culture.[4]

Le patient peut également bénéficier d'un sevrage tabagique, de conseils et d'une vaccination contre la grippe et le pneumocoque. [4]

Tous les patients traités à domicile doivent être programmés pour une visite de suivi dans les 2 jours pour évaluer toute complication de la pneumonie.[4]

Le rôle des corticostéroïdes reste controversé et peut être utilisé chez les patients qui restent hypotendus avec une insuffisance surrénalienne présumée.[4]

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].
Empyème pleural

Les complications les plus courantes de la pneumonie bactérienne sont[4]:

Les autres complications potentielles de la pneumonie bactérienne comprennent: [4]

Abcès pulmonaire

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Le pronostic de la pneumonie dépend de nombreux facteurs, notamment l'âge, les comorbidités et le milieu hospitalier (hospitalisé ou ambulatoire). En général, le pronostic est prometteur chez des patients en bonne santé. Les patients âgés de plus de 60 ans ou de moins de 4 ans ont un pronostic relativement plus mauvais que les jeunes adultes. Si la pneumonie n'est pas traitée, la mortalité globale peut atteindre 30%. La résistance aux antibiotiques est très préoccupante en raison de l'utilisation excessive et injustifiée d'antibiotiques. L'indice de gravité de la pneumonie (PSI) peut être utilisé comme un outil pour établir le risque de mortalité d'un patient.[4]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Il faut conseiller aux patients d'arrêter de fumer, de s'abstenir de toute intoxication alcoolique et de garder une hygiène dentaire adéquate. En outre, pour prévenir la pneumonie bactérienne, les recommandations comprennent: [4]

  • la vaccination contre le pneumocoque
  • le vaccin annuel contre la grippe H [4]

Les patients âgés et immunodéprimés doivent être informés de la nécessité de consulter un médecin dès qu'ils développent des symptômes tels que dyspnée, frissons ou fièvre.

Concepts clés

  • La plupart des patients répondent avec une amélioration dans les 48 à 72 heures.
  • Les résultats de la radiographie pulmonaire sont en retard par rapport aux caractéristiques cliniques et peuvent prendre de 6 à 12 semaines pour disparaître.
  • Si les patients ne s'améliorent pas dans les 72 heures, une autre cause doit être suspectée, une résistance aux antibiotiques ou le développement de complications comme l'empyème.

Références

[2]

__NOVEDELETE__
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  2. 2,0 2,1 et 2,2 Samuel N. Grief et Julie K. Loza, « Guidelines for the Evaluation and Treatment of Pneumonia », Primary Care, vol. 45, no 3,‎ , p. 485–503 (ISSN 1558-299X, PMID 30115336, Central PMCID 7112285, DOI 10.1016/j.pop.2018.04.001, lire en ligne)
  3. John V. Ashurst et Adam Dawson, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30085546, lire en ligne)
  4. 4,00 4,01 4,02 4,03 4,04 4,05 4,06 4,07 4,08 4,09 4,10 4,11 4,12 4,13 4,14 4,15 4,16 4,17 4,18 4,19 4,20 4,21 4,22 4,23 4,24 4,25 4,26 4,27 4,28 4,29 4,30 4,31 4,32 4,33 4,34 4,35 4,36 4,37 4,38 4,39 4,40 4,41 4,42 et 4,43 Saud Bin Abdul Sattar et Sandeep Sharma, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30020693, lire en ligne)
  5. Joseph P. Mizgerd, « Acute lower respiratory tract infection », The New England Journal of Medicine, vol. 358, no 7,‎ , p. 716–727 (ISSN 1533-4406, PMID 18272895, Central PMCID 2711392, DOI 10.1056/NEJMra074111, lire en ligne)
  6. Hsiang-Ching Kung, Donna L. Hoyert, Jiaquan Xu et Sherry L. Murphy, « Deaths: final data for 2005 », National Vital Statistics Reports: From the Centers for Disease Control and Prevention, National Center for Health Statistics, National Vital Statistics System, vol. 56, no 10,‎ , p. 1–120 (ISSN 1551-8922, PMID 18512336, lire en ligne)
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  8. Ishaq Lat, Mitchell J. Daley, Anand Shewale et Mark H. Pangrazzi, « A Multicenter, Prospective, Observational Study to Determine Predictive Factors for Multidrug-Resistant Pneumonia in Critically Ill Adults: The DEFINE Study », Pharmacotherapy, vol. 39, no 3,‎ , p. 253–260 (ISSN 1875-9114, PMID 30101412, DOI 10.1002/phar.2171, lire en ligne)
  9. Sebnem Calik, Alpay Ari, Oktay Bilgir et Tugba Cetintepe, « The relationship between mortality and microbiological parameters in febrile neutropenic patients with hematological malignancies », Saudi Medical Journal, vol. 39, no 9,‎ , p. 878–885 (ISSN 0379-5284, PMID 30251730, Central PMCID 6201010, DOI 10.15537/smj.2018.9.22824, lire en ligne)
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  18. 18,0 et 18,1 Adejumoke I. Ayede, Amir Kirolos, Kayode R. Fowobaje et Linda J. Williams, « A prospective validation study in South-West Nigeria on caregiver report of childhood pneumonia and antibiotic treatment using Demographic and Health Survey (DHS) and Multiple Indicator Cluster Survey (MICS) questions », Journal of Global Health, vol. 8, no 2,‎ , p. 020806 (ISSN 2047-2986, PMID 30254744, Central PMCID 6150611, DOI 10.7189/jogh.08-020806, lire en ligne)
  19. 19,0 et 19,1 Alexandra M. Hanretty et Jason C. Gallagher, « Shortened Courses of Antibiotics for Bacterial Infections: A Systematic Review of Randomized Controlled Trials », Pharmacotherapy, vol. 38, no 6,‎ , p. 674–687 (ISSN 1875-9114, PMID 29679383, DOI 10.1002/phar.2118, lire en ligne)
  20. 20,0 et 20,1 A. Julián-Jiménez, I. Adán Valero, A. Beteta López et L. M. Cano Martín, « [Recommendations for the care of patients with community-acquired pneumonia in the Emergency Department] », Revista Espanola De Quimioterapia: Publicacion Oficial De La Sociedad Espanola De Quimioterapia, vol. 31, no 2,‎ , p. 186–202 (ISSN 1988-9518, PMID 29619807, Central PMCID 6159381, lire en ligne)
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Fait partie de la présentation clinique de ...

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