Rhinite allergique

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Rhinite allergique
Maladie
Caractéristiques
Signes Asthme, Dermatite atopique, Œdème, Respiration buccale, Faciès adénoïdien, Reniflements, Raclement de la gorge, Lignes de Dennie-Morgan, Pli nasal transversal, Faciès allergique
Symptômes
Congestion nasale, Rhinorrhée, Larmoiements, Prurit oculaire, Toux , Éternuements, Prurit nasal, Prurit palatin, Exposition à un allergène
Diagnostic différentiel
Rhinite atrophique, Granulomatose avec polyangéite, Infection des voies respiratoires supérieures, Polypes nasaux, Rhinite vasomotrice, Rhinosinusite chronique, Rhinite d'origine médicamenteuse, Rhinite hormonale, Rhinite chimique, Fuite de liquide céphalo-rachidien, ... [+]
Informations
Spécialités ORL, Médecine familiale

Page non révisée
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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

La rhinite allergique (RA) est une inflammation allergique des muqueuses nasales.

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

La prévalence de la RA basée sur le diagnostic médical est d'environ 15%. Cependant, la prévalence basée sur la présence de symptômes nasaux est estimée à 30%[1]. Le sous-diagnostic de la RA est lié avec l'utilisation de médicaments disponibles en pharmacie sans ordonnance du médecin et à l'évitement volontaire des allergènes connus par les patients, ce qui diminue leurs symptômes et leur besoin de consulter un médecin. La prévalence de la RA est la plus élevée chez les 25 à 44 ans (20%) et est la plus basse chez les 65 ans et plus (12%). Elle touche plus souvent les femmes (19%) que les hommes (15%)[2]. L'augmentation du nombre de cas de RA serait, particulièrement dans les zones urbaines[3], serait en lien avec les changements climatiques qui prolongent la durée de la saison du pollen, un allergène reconnu[4].

L'incidence de la RA dans la population pédiatrique est également élevée et constitue ainsi un des troubles pédiatriques chroniques les plus courants. Selon les données de l'étude internationale sur l'asthme et les allergies chez l'enfant, 14,6% des 13 à 14 ans et 8,5% des 6 à 7 ans présentent des symptômes de rhinoconjonctivite liés à la rhinite allergique. [5] La rhinite allergique saisonnière semble être plus fréquente dans le groupe d'âge pédiatrique, alors que la rhinite chronique est plus fréquente chez les adultes. [6][7]

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

La rhinite allergique est généralement provoquée par l'exposition à des allergènes. Il existe deux grandes catégories de RA, soit la rhinite allergique saisonnière et la rhinite allergique persistante.

La rhinite allergique saisonnière (aussi appelée «rhume des foins» ou allergie saisonnière) est liée à l'exposition au pollen de diverses plantes extérieures (pollen d'arbre, d'herbes, d'herbacés, etc.). Les allergènes peuvent varier selon la saison et la géographie. Les symptômes de rhinite allergique saisonnière surviennent souvent à la même période de l'année.

La rhinite allergique persistante est liée à l'exposition prolongée à divers allergènes pouvant être retrouvés à la maison (ex: acariens, poussière, moisissures, poils et plumes d'animaux, etc.) ou encore à une forte réactivité au pollen pendant plusieurs saisons de l'année.

Il existe d'ailleurs une association entre la RA et les autres types d'atopies, tels que la dermatite et l'asthme[8].

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.


La rhinite allergique est une réponse médiée par les immunoglobulines (IgE) contre les allergènes inhalés qui induisent une inflammation provoquée par les cellules auxiliaires de type 2 (Th2). Les anticorps IgE se lient aux récepteurs IgE des mastocytes de la muqueuse respiratoire et aux basophiles du sang périphérique. Lorsque le même allergène est par la suite inhalé, les anticorps IgE sont pontés à la surface de la cellule par un allergène, ce qui entraîne l'activation cellulaire.

La réponse cellulaire suite à l'exposition à l'allergène est caractérisée par la dégranulation des mastocytes, qui libèrent plusieurs médiateurs chimiques préformés, dont principalement l'histamine (H). L'histamine induit des éternuements via le nerf trijumeau et joue également un rôle dans la rhinorrhée en stimulant les glandes muqueuses[9]. Quatre à six heures après la réponse initiale, les mastocytes induisent un afflux de cytokines (particulièrement les interleukines IL-4 et IL-13). Ces cytokines facilitent l'infiltration des éosinophiles, des lymphocytes T et des basophiles dans la muqueuse nasale et provoquent une congestion nasale[10][7].

Dans la RA chronique, en raison de l'infiltration éosinophile et de l'obstruction de la muqueuse nasale, une hyperréactivité non-médiée par les IgE se développe. La muqueuse nasale devient très réactive aux stimuli normaux (ex: l'air froid, la fumée secondaire du tabac, etc.) et provoque alors des symptômes tels que les éternuements, de la rhinorrhée et du prurit nasal. [11][7]

Il existe également une composante génétique considérable de la réaction allergique. L'expression des allergies des voies respiratoires supérieures suit un modèle d'hérédité autosomique dominant avec pénétrance incomplète. L'inhalation des allergènes induit alors une production de niveaux élevés d'IgE spécifiques. Cette réponse est contrôlée par des gènes situés dans le complexe majeur d'histocompatibilité (CMH) sur le chromosome 6[12]. D'autres régions spécifiques sur les chromosomes 3 et 4 sont également en corrélation avec ces réponses allergiques[13][7]. ll est à noter que les jumeaux monozygotes présentent une concordance de 45 à 60% et les jumeaux dizygotes ont un taux de concordance d'environ 25% dans le développement de la RA. [13][7]

Présentation clinique

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Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les principaux facteurs de risque de la rhinite allergique sont:

  • le sexe masculin
  • des antécédents personnels d'atopie
  • des antécédents familiaux d'atopie
  • des IgE sériques de plus de 100 UI/mL avant l'âge de 6 ans
  • un statut socio-économique élevé[14]

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les symptômes principaux de la rhinite allergique sont:

  • la rhinorrhée claire
  • la congestion nasale
  • des accès d'éternuements
  • un prurit nasal
  • des larmoiements
  • des démongeaisons oculaires et palatines

Les personnes qui ne sont pas traitées peuvent développer une conjonctivite allergique, un goutte-à-goutte post-nasal, une toux sèche, un dysfonctionnement de la trompe d'Eustache ou une sinusite chronique[7].

Il est pertinent de questionner les antécédents personnels et familiaux en lien avec la RA. Les patients souffrant de RA souffrent d'ailleurs souvent d'asthme concomitant. Il est aussi important de demander aux patients s'ils ont remarqué des déclencheurs tels que les pollens, les squames animales, les revêtements de sol / tissus d'ameublement, la moisissure, l'humidité et / ou la fumée de tabac.

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen physique de la rhinite allergique peut démontrer les éléments suivants:

  • Une respiration buccale, des reniflements fréquents et / ou un raclement de la gorge, un pli nasal transversal et des cernes sous les yeux
  • Œdème infra-orbitaire et assombrissement dû à une veino-dilatation sous-cutanée
  • Plis accentués sous les paupières inférieures (lignes de Dennie-Morgan),suggérant une conjonctivite allergique concomitante
  • Un pli nasal transversal dû aux frottements répétés
  • Le «faciès allergique», qui est généralement observé chez les enfants atteints de rhinite allergique précoce, consiste en un palais très arqué, une bouche ouverte en raison de la respiration buccale et une malocclusion dentaire[9].

Durant l'examen physique, il est probable que la palpation des sinus puisse provoquer une sensibilité chez les patients présentant des symptômes chroniques. Il est important de rechercher les signes cliniques de l'asthme et de la dermatite par la même occasion[15].

Un examen endoscopique de la cavité nasale devrait être effectué pour évaluer les polypes nasaux et les anomalies structurelles. Les trouvailles possibles en lien avec la RA sont les suivantes:

  • La muqueuse nasale des patients atteints de rhinite allergique active semble avoir une teinte bleu pâle ou une pâleur accompagnée d'un œdème cornéen
  • Une rhinorrhée claire peut être visible
  • Les membranes tympaniques peuvent se rétracter ou du liquide séreux peut s'accumuler derrière les membranes tympaniques chez les patients présentant un gonflement important de la muqueuse nasale et un dysfonctionnement de la trompe d'Eustache [9].

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Le diagnostic de la RA est en grande partie clinique. Il est basé sur une anamnèse approfondie et un bon examen physique. De plus, une bonne réponse à un traitement empirique avec un glucocorticoïde nasal peut aider à établir le diagnostic.

Prick test (test cutané allergique)

Un diagnostic plus formel est possible soit avec des tests sériques pour les IgE spécifiques à un allergène, soit avec des tests cutanés d'allergie[16] . Comme indiqué par les directives de l'American Academy of Otolaryngology, les tests d'allergie doivent être réservés aux patients qui ne répondent pas au traitement empirique ou qui nécessitent l'identification d'un allergène spécifique pour cibler le traitement.[17] Les tests d'allergie cutanée nécessitent un professionnel qualifié pour effectuer les tests et les résultats sont disponibles immédiatement. D'autre part, les tests sériques ne nécessitent pas de techniciens qualifiés et le patient n'a pas besoin d'arrêter de prendre des antihistaminiques à l'avance.

Chez les patients présentant des symptômes saisonniers, les tests devraient être préférablement effectués lorsque les symptômes sont présents afin de pouvoir identifier au mieux les déclencheurs.[16] Les tests cutanés sont connus pour avoir une sensibilité légèrement meilleure que les tests sériques et sont plus rentables. Les contre-indications aux tests d'allergie cutanée incluent les patients souffrant d'asthme non contrôlé ou sévère, de maladie cardiovasculaire instable, de grossesse et / ou de traitement concomitant par bêtabloquants. Les antagonistes des récepteurs H2, les antidépresseurs tricycliques et l'anticorps monoclonal anti-IgE, l'omalizumab peuvent interférer avec la réponse aux tests cutanés allergiques. Par conséquent, l'arrêt est conseillé avant le test. [15][7]

La cytologie nasale, bien qu'elle soit relativement non spécifique et insensible, est effectuée par certains chercheurs pour aider à différencier la rhinite due à une allergie de celle due à une infection. Les sécrétions nasales peuvent être obtenues avec un coton-tige ou en demandant au patient de se moucher sur du papier ciré ou du cellophane. La coloration de Wright des sécrétions nasales révèle généralement une prédominance des éosinophiles dans les cas de rhinite allergique. Par comparaison, la présence de neutrophiles suggère un processus infectieux.[9]

L'imagerie n'est pas systématiquement recommandée pour le diagnostic de la RA. Elle est essentiellement utilisée pour écarter d'autres affections telles que la rhinosinusite.[15][7]

Il est à noter qu'il existe plusieurs tests de diagnostic non prouvés ou inappropriés qui sont proposés par divers types de prestataires avec une fréquence croissante (tests cytotoxiques, tests de neutralisation de provocation et des déterminations d'immunoglobulines G (IgG) spécifiques ou non spécifiques). Les résultats de ces méthodes ne sont utiles ni pour le diagnostic ni pour la gestion.[9]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la RA comprend d'autres formes de rhinite qui ne sont pas allergiques. Il est important de penser à évaluer les enfants, en particulier ceux de moins de 2 ans, pour les causes congénitales d'obstruction nasale (atrésie des choanes et les déficits immunitaires)[18][16][15][7].

DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL
Rhinite infectieuse aiguë Les symptômes les plus courants sont la rhinite et la congestion nasale. Peut être d’origine bactérienne ou virale. Surtout observée en population pédiatrique.
Rhinosinusite chronique (RSC) Affection qui dure 12 semaines ou plus, malgré les tentatives de prise en charge médicale. Elle peut coexister avec la rhinite allergique.
Rhinite d'origine médicamenteuse Complication des sprays nasaux vasoconstricteurs (qui peuvent se développer dans les 5 jours d'utilisation) ou de l'abus de cocaïne intranasal. Causée également par : AINS, inhibiteurs de l'ECA.
Rhinite atrophique Congestion nasale chronique et perception de mauvaise odeur persistante. Associée à une colonisation par Klebsiella Ozaenae.
Rhinite associée à des chagements hormonaux On parle de rhinite de la grossesse ou de l’hypothyroidie. Le diagnostic est clinique et est appuyé par des tests cutanés négatifs.
Rhinite unilatérale ou polypes nasaux Infiltration d'éosinophiles dans les tissus nasaux sans sensibilisation allergique
Rhinite avec troubles immunologiques Un certain nombre de maladies auto-immunes systémiques présentent des symptômes nasaux ou peuvent affecter la muqueuse nasale. Ceux-ci incluent la granulomatose avec polyangéite et polychondrite récurrente
Rhinite vasomotrice Rhinite non inflammatoire qui peut être déclenchée par un changement de température, d'odeurs ou d'humidité
Fuite de liquide céphalo-rachidien Rhinite claire réfractaire au traitement
Rhinite chimique Exposition aux produits chimiques par le travail, aux produits chimiques ménagers, aux sports / loisirs.

Traitement

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Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Le traitement et la gestion de la rhinite allergique comporte un volet non-pharmacologique et un volet pharmacologique.

  • Non pharmacologique:
    • Éviter les déclencheurs, surtout chez les personnes présentant des symptômes saisonniers. Des précautions peuvent être prises pour éviter les acariens, les squames animales et les tissus d'ameublement. Il est important de noter que cela peut prendre jusqu'à 20 semaines pour éliminer complètement les squames de chat d'une maison, même après le retrait de l'animal.
    • Utiliser des couvertures de literie imperméables aux allergènes, laver les draps à l'eau chaude et utiliser un aspirateur avec des filtres à air particulaire à haute efficacité (HEPA) .[13][7]
  • Pharmacologique:
    • Antihistaminiques
      • Les antihistaminiques de première et de deuxième génération sont efficaces pour contrôler les symptômes de la RA, mais ceux de première génération peuvent être sédatifs en raison de leur capacité à traverser la barrière hémato-encéphalique. En agissant sur les récepteurs muscariniques, ils provoquent des effets secondaires tels que la xérostomie, la rétention urinaire, la constipation et/ou la tachycardie. Les antihistaminiques de deuxième génération ont une sélectivité H1 améliorée, sont moins sédatifs et ont des demi-vies plus longues (12 à 24 heures) que ceux de première génération. La fexofénadine n'a aucun effet sédatif, mais la loratadine et la desloratadine peuvent être sédatives à des doses plus élevées. La cétirizine a le plus grand potentiel de sédation de tous les antihistaminiques de deuxième génération. En termes de soulagement des symptômes, aucun agent n'est supérieur aux autres[13]. Les antihistaminiques intranasaux, tels que l'azélastine, ont un début rapide et sont plus efficaces que les antihistaminiques oraux pour soulager les symptômes nasaux. Ils sont recommandés en thérapies de première ou deuxième intention pour la RA.[15][7]
    • Stéroïdes intranasaux
      • La corticothérapie intranasale peut être utilisée en monothérapie ou en association avec des antihistaminiques oraux chez les patients présentant des symptômes légers, modérés ou sévères. Les corticostéroïdes intranasaux seraient d'ailleurs supérieurs aux antihistaminiques pour réduire efficacement l'inflammation nasale et améliorer la pathologie muqueuse.[19] Les vaporisateurs nasaux couramment disponibles aux États-Unis comprennent la béclométhasone, le budésonide, le propionate de fluticasone, le furoate de mométasone et l'acétonide de triamcinolone. Une bonne administration de spray nasal est essentielle pour obtenir une réponse clinique optimale. Par conséquent, les patients doivent toujours recevoir des conseils sur l'utilisation appropriée des dispositifs. Ils doivent être utilisés régulièrement, car leur effet maximal peut prendre plusieurs jours à se développer. L'effet indésirable le plus fréquemment signalé est l'irritation nasale, qui peut être évitée en vaporisant loin de la cloison nasale. [20] Il a été démontré que les stéroïdes oraux et injectables soulagent les symptômes de la RA mais ne sont pas recommandés pour une utilisation systématique en raison de leur profil d'effets secondaires importants. .[15][7]
    • Antagonites des récepteurs des leucotriènes (LTRA)
      • Les antagonistes des récepteurs des leucotriènes (LTRA), tels que le montélukast et le zafirlukast, peuvent être bénéfiques chez les patients atteints de RA, mais ils ne sont pas aussi efficaces que les corticostéroïdes intranasaux.[21] Leur utilisation est souvent associée à une thérapie en association avec d'autres agents. Pour les patients chez qui les mesures d'évitement et la pharmacothérapie combinées ne sont pas efficaces, une immunothérapie allergénique doit être envisagée. L'immunothérapie sous-cutanée (SCIT) ou l'immunothérapie sublinguale (SLIT) sont des thérapies couramment utilisées. Des doses hebdomadaires supplémentaires sont administrées pendant 6 à 8 mois, suivies de doses d'entretien pendant 3 à 5 ans. En règle générale, les patients ressentent un effet protecteur prolongé et le traitement peut être interrompu.[17][7]
    • Décongestionnants oraux
      • Les décongestionnants oraux, tels que la pseudoéphédrine, sont utiles pour soulager les symptômes, mais ne sont pas recommandés pour une utilisation quotidienne prolongée en raison de leur profil d'effets secondaires. Les décongestionnants intranasaux tels que la xylométazoline sont des alpha-agonistes qui sont administrés directement aux tissus nasaux pour produire une vasoconstriction. L'utilisation prolongée de décongestionnants intranasaux présente un risque de provoquer une congestion nasale rebond (rhinite médicamenteuse) et, par conséquent, ne doit pas être utilisée pendant plus d'une semaine[15]. Le cromoglycate de sodium (Cromolyn) est efficace pour réduire les éternuements, la rhinorrhée et le prurit nasal, donc c'est une option raisonnable. Le traitement chirurgical est réservé aux patients atteints de rhinite, de polypose ou de maladie chronique des sinus réfractaires à un traitement médical.[13] Le budésonide est le seul agent approuvé par la FDA pour les patientes enceintes présentant des symptômes de rhinite allergique.[17] Omalizumab, un anticorps monoclonal, s'est avéré bénéfique pour patients atteints de RA, bien que le coût associé à la thérapie soit un facteur limitant dans son utilisation.[22] Une solution saline nasale peut être une autre option en conjonction avec d'autres modalités de traitement. Les solutions isotoniques se sont avérées plus bénéfiques chez les adultes, tandis que les solutions hypertoniques peuvent être plus efficaces chez les enfants. [15][7]

Pour les patients présentant des comorbidités[23], voir tableau ci-contre:

Comorbidité Traitement
Conjonctivite allergique Combinaison d'un glucocorticoïde spray nasal et des gouttes ophtalmiques antihistaminique, comme épinastine, azélastine, émédastine ou olopatadine, plutôt que les pulvérisations glucocorticoïde ainsi que des antihistaminiques oraux

Le cromolyn sodique est disponible sous forme de préparations ophtalmiques et peut également être utile en tant que traitement prophylactique avant des expositions aux allergènes prévisibles.

Asthme modéré à sévère Ces agents sont disponibles pour l'asthme modéré à sévère qui n'est pas contrôlé avec des doses élevées de glucocorticoïdes inhalés et améliorent également les symptômes de la rhinite allergique: l'omalizumab et le dupilumab.

Pour les femmes enceintes

  • Le cromolyn sodique intranasal peut être considéré comme un traitement de première intention pour la rhinite allergique légère pendant la grossesse en raison de son excellent profil de sécurité. Sa prise peut aller jusqu'à une fois six fois par jour. Son utilité est limitée par le besoin d'un nombre de dosage fréquent et une efficacité inférieure aux autres traitements. Pour la RA modérée à sévère, les sprays glucocorticoïdes sont le traitement de choix, il faut veiller à l'usage de la dose minimale efficace. [24]

Pour la population gériatrique

  • Les sprays nasaux glucocorticoïdes sont les agents de première intention. Les antihistaminiques à sédation minimale peuvent être de bon usage également, bien que certains patients puissent ressentir des effets indésirables. Les sprays nasaux antihistaminiques sont également une bonne option. Il est recommandé d'éviter les antihistaminiques sédatifs de première génération chez cette population[25].

Pour la population pédiatrique, il a été convenu de la diviser en deux sous populations[25] qui sont : les moins de 2 ans et les plus de 2 ans:

  • Moins de 2 ans: il est rare de mettre le doigt sur une rhinite allergique dans cette tranche d'âge, mais il est capital d'éliminer d'abord toute autre cause (ex: fibrose kystique, atrésie des choanes, végétations adénoïdes, etc.) ou encore des infections à répétition. Si, au final, une rhinite allergique est confirmée, il convient d'administrer au nourisson de plus de 6 mois un antihistaminique de faible sédation ou encore le croglycate de sodium (qui n'a pratiquement pas d'effets secondaires). Pour les patients réfractaires au traitement, l'utilisation d'un glucocorticoïde nasal est de mise.
  • Pour les jeunes patients de plus de 2 ans, le traitement est le même que celui de l'adulte.

Études pertinentes et essais en cours

Des études comparant les effets des corticostéroïdes intranasaux aux antihistaminiques topiques et oraux ont montré que les stéroïdes intranasaux se sont avérés plus bénéfiques pour soulager les symptômes d'éternuements, de rhinorrhée, de prurit et de congestion nasale. Les stéroïdes intranasaux sont donc recommandés comme traitement de première intention pour tous les patients avec AR[26]. L'efficacité de l'immunothérapie pour la RA et l'asthme allergique a été prouvée et elle constitue la seule intervention de modification de la maladie dans les conditions allergiques. [27][7]

Les antihistaminiques anti-H3 et anti-H4 sont actuellement à l'étude pour une utilisation dans la RA, mais aucun agent n'a encore été approuvé. Le roflumilast, un inhibiteur de la phosphodiestérase-4 (PDE4) approuvé pour les patients atteints de MPOC, s'est avéré bénéfique dans la RA dans une petite étude, mais d'autres études à plus grande échelle devront être réalisées pour valider les résultats obtenus. Une nouvelle voie d'administration pour l'immunothérapie est l'injection d'allergène directement dans les ganglions lymphatiques. Il a été prouvé qu'il induisait une réponse IgG spécifique de l'allergène 10 fois plus élevée, démontrée par une efficacité et une sécurité améliorées. Le dapilumab, un anticorps monoclonal entièrement humanisé, a amélioré les symptômes nasaux liés à la RA dans un récent essai randomisé, en double aveugle et contrôlé par placebo. Il agit en inhibant la signalisation de l'IL-4 et de l'IL-13, qui sont les deux facteurs clés des maladies immunitaires. De nouvelles approches thérapeutiques telles que celles-ci sont en cours de développement ou d'essais cliniques et semblent prometteuses dans le traitement de la RA.[27][7]

Évolution

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Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

On pense que la prévalence de la RA culmine à l'adolescence et diminue progressivement avec l'âge. Dans une étude longitudinale, au moment du suivi de 23 ans, 54,9% des patients ont montré une amélioration des symptômes, 41,6% d'entre eux étant sans symptômes. Les patients qui ont présenté des symptômes à un plus jeune âge étaient plus susceptibles de montrer une amélioration. La gravité de la RA peut varier dans le temps et dépend de divers facteurs tels que l'emplacement et la saison[28]. Environ 50% des patients recevant une immunothérapie contre les allergies aux graminées ont noté une amélioration des symptômes qui s'est poursuivie 3 ans après l'arrêt du traitement[29][7].

Il est à noter que les patients dont les symptômes sont sévères ou réfractaires au traitement doivent être référés à un spécialiste des allergies (allergologue) pour une évaluation plus approfondie. Il en est de même pour ceux atteints de rhinite allergique et d'asthme concomitants, et un oto-rhino-laryngologiste (ORL) peut s'avérer d'une grande aide dans la prise en charge des patients présentant des épisodes récurrents de sinusite ou d'otite moyenne[9].

Complications

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Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].


La rhinosinusite chronique est une complication possible de la rhinite allergique. Elle se caractérise par une inflammation nasale accompagnée de symptômes de congestion ou d'écoulement nasal durant plus de 3 mois. La rhinosinusite chronique peut également permettre la mise en évidence des polypes nasaux (polypose nasale) qui se forment suite à une inflammation chronique de la muqueuse des sinus paranasaux. Les polypes nasaux sont généralement bénins et présents de façon bilatérale. Inversement, les polypes nasaux unilatéraux devraient susciter des inquiétudes quant à la malignité. L'incidence des polypes nasaux dans la population générale est d'environ 4% et plus fréquente chez les hommes. Les options de traitement comprennent les stéroïdes topiques et l'irrigation saline. L'ablation chirurgicale est réservée aux patients qui ne répondent pas au traitement médical[17][7].

De plus, il est établi que la sensibilisation aux allergènes dans la RA peut modifier les paramètres immunologiques des végétations adénoïdes, entraînant une hypertrophie adénoïde. Environ 10 à 40% des patients atteints de RA souffrent également d'asthme concomitant, et certaines études suggèrent que l'asthme est plus fréquent dans la rhinite persistante modérée à sévère. De nombreuses études ont démontré que la RA est un facteur de risque indépendant de l'asthme, en particulier chez les patients diagnostiqués avec une RA pendant la petite enfance. D'autres complications pouvant être associées comprennent l'otite moyenne avec épanchement, la toux persistante et l'œsophagite à éosinophiles[15] [7].

Les patients subissant une désensibilisation aux allergènes (injections contre les allergies) peuvent présenter une exacerbation aiguë de la rhinite ou de l'asthme, et, dans le pire des cas, évoluer vers une anaphylaxie. Par conséquent, il est primordial que les membres du personnel qui dispensent cette thérapie aient les traitements et médicaments d'urgence appropriés (en particulier l'épinéphrine) pour gérer ces réactions graves potentielles.

Quand référer ?

La rhinite allergique est le plus souvent diagnostiquée et prise en charge par des médecins généralistes. Cependant, les patients qui échouent aux thérapies traditionnelles pour la RA peuvent être référés à un spécialiste, tel qu'un allergologue ou un oto-rhino-laryngologiste (ORL). Les patients qui sont considérés comme des candidats à l'immunothérapie obtiennent généralement une référence à des allergologues pour une thérapie. Des résultats spécifiques de l'examen physique devraient également inciter à une référence, comme de multiples polypes nasaux chez un patient pédiatrique, évocateur de fibrose kystique. Les patients qui présentent un écoulement nasal sanglant ou unilatéral (et non un épistaxis de base) doivent être référés d'urgence à un ORL pour exclure une tumeur maligne. Tout problème de fuite de liquide céphalo-rachidien provoquant une rhinorrhée justifie également une référence à un spécialiste ORL.

Il est recommandé de référer les patients suivants à un allergologue/immunologue[25]:

Population pédiatrique ayant rhinite allergique modérée à sevère
Patients cortico-dépendant pour soulager leurs symptômes
Patients ayant des effets secondaires des médicaments qui nuisent à leur productivité quotidienne
Patients présentant des complications importantes
Patients ayant des comorbidités comme polypose nasale tel que cité ci-haut
Patients pharmaco-résistants.

Prévention

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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
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Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Les patients sous-estiment souvent la gravité de la RA et ne recherchent pas de traitement médical. Il est important de maîtriser la rhinite, en particulier en raison de son lien avec l'asthme. Ainsi, un mauvais contrôle de la rhinite prédit généralement une pauvre observance de l'asthme. Les patients doivent recevoir du matériel éducatif sur la RA et ses implications, notamment les causes, les symptômes ainsi que l'importance de l'évitement des déclencheurs. De plus, l'éducation des patients sur l'administration appropriée des sprays nasaux joue également un rôle essentiel dans la réponse du patient au traitement. Il convient de souligner que le patient ne doit pas respirer profondément, ni renifler fortement après la pulvérisation. D'ailleurs, pour certains patients, le traitement peut prendre plusieurs jours avant un effet maximal.

Il est important de porter une attention particulière aux enfants qui utilisent les sprays stéroidiens (effet ralentisseur de croissance)[30].

Pendant la grossesse, la RA peut prendre des tournures différentes selon les patientes, soit une amélioration, une aggravation ou aucun changement observable dans la gravité. Durant la grossesse il serait généralement convenable de baisser les doses médicamenteuses à la dose minimale nécessaire et de discuter avec son médecin concernant les médicaments en vente libre[25].

Notes

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Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
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Commentaires:
 
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Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die

Références

  1. « Rhinite allergique » (consulté le 23 décembre 2022)
  2. « La rhinite allergique au Québec », (consulté le 23 décembre 2022)
  3. « Allergic rhinitis: Clinical manifestations, epidemiology, and diagnosis », sur uptodate, (consulté le 23 novembre 2020)
  4. « La rhinite allergique en quelques chiffres » (consulté le 23 décembre 2022)
  5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22701858
  6. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26075169
  7. 7,00 7,01 7,02 7,03 7,04 7,05 7,06 7,07 7,08 7,09 7,10 7,11 7,12 7,13 7,14 7,15 7,16 7,17 et 7,18 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30844213
  8. « Rhinite allergique », sur Le manuel Merck, (consulté le 23 décembre 2022)
  9. 9,0 9,1 9,2 9,3 9,4 et 9,5 « Rhinite allergique: manifestations cliniques, épidémiologie et diagnostic », sur Uptodate, (consulté le 23 novembre 2020)
  10. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22053313
  11. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20358020
  12. « Pathogenèse de la rhinite allergique », sur uptodate, (consulté le 23 novembre 2020)
  13. 13,0 13,1 13,2 13,3 et 13,4 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21738880
  14. « Rhinite allergique », sur Cloud Hospital (consulté le 23 décembre 2022)
  15. 15,0 15,1 15,2 15,3 15,4 15,5 15,6 15,7 et 15,8 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29438602
  16. 16,0 16,1 et 16,2 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25629743
  17. 17,0 17,1 17,2 et 17,3 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27545735
  18. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11449200
  19. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12452206
  20. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22166009
  21. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12775135
  22. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28051241
  23. « Pharmacothérapie de la rhinite allergique », sur uptodate, (consulté le 23 novembre 2020)
  24. « Reconnaissance et prise en charge des maladies allergiques pendant la grossesse. », sur uptodate, (consulté le 23 novembre 2020)
  25. 25,0 25,1 25,2 et 25,3 « Pharmacothérapie de la rhinite allergique », sur uptodate, (consulté le 25 novembre 2020)
  26. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25838332
  27. 27,0 et 27,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30676119
  28. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9801740
  29. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20109743
  30. « Éducation des patients: rhinite allergique (au-delà des bases) », sur uptodate, (consulté le 25 novembre 2020)
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