Utilisateur:Charles-Éric Noël Laflamme/Brouillons/Maltraitance envers les aînés format situtation clinique

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Maltraitance envers les aînés format situtation clinique
Approche clinique
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Informations
Wikidata ID Q427883

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Objectif du CMC
Nom de l'objectif du CMC (Numéro)
La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

La maltraitance des personnes âgées est considérée comme une action directe, une inaction ou une négligence envers une personne âgée qui lui fait du mal ou la met en danger, soit par une personne en position de confiance présumée, soit par une personne extérieure ciblant la victime en fonction de son âge. ou handicap.[1][2][3]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur le sujet de la page (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion homme:femme, régions où la prévalence est la plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque.
  • Le pronostic est présenté dans cette section, le cas échéant (contrairement aux pages de maladie).
Exemple:
 
Les saignements digestifs bas représentent 20% à 30% de tous les patients présentant des saignements GI majeurs. L'HDB est moins fréquente que les hémorragies digestives hautes (HDH) avec une prévalence de 20 à 27 cas par 100 000 vs 50 à 150 cas par 100 000.

La maltraitance des personnes âgées est un problème mondial répandu avec une prévalence estimée de 5 à 10% dans la population générale des personnes âgées aux États-Unis. [1][3][4] L'agresseur est souvent une personne que la victime connaît, comme un membre de la famille, un ami, un voisin ou le personnel des établissements de soins.[1][5] Parmi les catégories de maltraitance, la négligence, la maltraitance psychologique et l'exploitation financière sont les plus courantes, les violences physiques et sexuelles étant les moins fréquentes. [6] Les personnes âgées atteintes de démence ou d'autres troubles cognitifs sont les plus à risque, avec près de cinq fois le taux de maltraitance des personnes âgées par rapport aux personnes âgées sans démence.[4][6][7]

Les autres groupes dont les niveaux d'abus sont disproportionnellement élevés sont les femmes, les personnes âgées de plus de 80 ans, les minorités, les résidents des établissements de soins de longue durée et les personnes souffrant de comorbidités multiples. En raison des données limitées et contradictoires, il est difficile de déterminer si des facteurs tels que la race, l'appartenance ethnique et le sexe sont des facteurs de risque indépendants de maltraitance.

Les données démographiques varient selon le type d'abus, les femmes étant beaucoup plus souvent victimes d'abus sexuels que les hommes. [8] La prévalence exacte de la maltraitance des personnes âgées est difficile à déterminer, car on estime que seulement 5% des cas de maltraitance sont signalés. [9][2][10][7]

Étiologies

La section obligatoire Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description:
  • Cette section décrit les étiologies de l'approche clinique, c'est-à-dire ce qui cause la situation couverte dans la page d'approche clinique (ex. polype intestinal pour l'hémorragie digestive basse).
  • Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Ne pas ajouter de section Diagnostic différentiel à la page de type Approche clinique. La présente section couvre déjà les maladies qui provoquent l'approche clinique dont il est question sur cette page. Par définition, une page d'approche clinique ne contient pas de diagnostic différentiel, mais bien des étiologies.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau, selon ce qui vous apparait le plus efficace. S'il y a une ou deux étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les format plus simple (l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce).
  • Si la liste à puce est utilisée, elle est toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Les étiologies de l'hémorragie digestive basse sont :
  • la diverticulose [Étiologie]
  • la colite ischémique [Étiologie]
  • le cancer colorectal [Étiologie]
  • le polype intestinal [Étiologie].

La maltraitance des personnes âgées se décompose en cinq catégories, elles-mêmes pouvant prendre différentes formes.

  1. Violence physique
    • Coups
    • Pincements
    • Brûlures
    • Contention
    • Toutes autres formes de douleurs physiques
  2. Maltraitance sexuelle
    • Viol
    • Nudité forcée
    • Photographie explicite
    • Dénigrement sexuel
  3. Violence psychologique ou morale
    • Menaces
    • Harcèlement
    • Intimidation
    • Isolement
    • Dénigrement
    • Infantilisation
  4. Exploitation financière ou matérielle
    • Vol
    • Falsification de signature
    • Modification de testament
    • Paiements excessifs
    • Extorsion
    • Chantage
  5. Négligence
    • Malnutrition
    • Hygiène innappropriée
    • Non-renouvellement de la médication

La maltraitance des personnes âgées est un phénomène complexe comportant de nombreux facteurs de risque et déterminants sociaux prendre en compte. Celles-ci incluent les caractéristiques des victimes et des agresseurs, les perceptions de la société et les facteurs environnementaux.[5][9][10][4][7][6]

Facteurs de risque liés à la maltraitance
Facteurs de risque liés à la victime Facteurs de risque liés à l'agresseur Facteurs de risque environnemtaux
Dépendance à l'égard du soignant Toxicomanie Manque de ressources communautaires
Incapacité cognitive ou physique Expériences antérieures de violence Taux de criminalité élevé
Histoire de violence familiale Dépendance financière à la victime Absence de formation chez le personnel infirmier
Liens familiaux déficitaires Proche de la victime Isolement
Peur de représailles/d'instutionnalisation Maladies mentales et troubles de personnalité Manque de sensibilisation de la maltraitance chez les personnes âgées

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Alors que les sections Évaluation et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie. C'est la section par excellence pour l'enseignement.
  • En lisant cette section, le lecteur doit être en mesure de comprendre la stratégie à adopter au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques pour naviguer les étiologies de l'approche clinique.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du diagramme est encouragée (voir Aide:Diagramme).
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
  • La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques. C'est une section où les trucs du métier, les stratégies pour le diagnostic et le raisonnement clinique sont expliqués : c'est la section idéale pour l'enseignement.
Exemple:
 

Questionnaire

La section facultative Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Cette section liste des symptômes discriminants au questionnaire.
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Questionnaire, Symptôme discriminant et Élément d'histoire discriminant.
  • Ces éléments servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Questionnaire, Symptôme discriminant, Élément d'histoire discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les symptômes discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Symptôme discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Symptôme est utilisé exclusivement sur les pages de Maladie et de Classe de maladie.
  • Les éléments d'histoire discriminants se distinguent des symptômes. Par exemple, la chute dans une page d'approche clinique de la céphalée aiguë est un élément d'histoire discriminant (modèle Élément d'histoire discriminant), et non un symptôme.
  • Le modèle Élément d'histoire discriminants est utilisé exclusivement sur les pages de type Approche clinique. Le modèle Élément d'histoire est utilisé sur les pages de type Maladie et Classe de maladie.
  • Cette section ne détaille pas l'histoire d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Chez les patients atteints de dyspnée aiguë, les symptômes à rechercher sont :
  • au questionnaire cardiaque [Questionnaire] :
    • l'oedème des membres inférieurs [Symptôme discriminant], qui évoque une insuffisance cardiaque décompensée
    • une douleur thoracique [Symptôme discriminant] qui évoque un syndrome coronarien aigu, une insuffisance cardiaque décompensée ou une embolie pulmonaire
    • la lipothymie [Symptôme discriminant] et la la syncope [Symptôme discriminant], qui pourront être présents lors du syndrome coronarien aigu, de l'arrythmie et de l'embolie pulmonaire
    • etc.
  • au questionnaire pulmonaire [Questionnaire]
    • la toux [Symptôme discriminant], présente dans la pneumonie et l'EAMPOC et parfois dans l'embolie pulmonaire et l'insuffisance cardiaque
    • les crachats [Symptôme discriminant], présents dans la pneumonie et l'EAMPOC
    • les hémoptysies [Symptôme discriminant] sont un symptôme grave qui indique une potentielle embolie pulmonaire
    • un traumatisme récent [Élément d'histoire discriminant] évoque une fracture de côte ou une costo-chondrite
  • etc.

Si de la maltraitance envers une personne âgée est suspectée, il est recommander d'effectuer les mesures suivantes lors de l'anamnése. [6][5][7][4]

  • Demander au soignant de quitter la pièce afin de questionner le patient
  • Ne pas utiliser les soignants ou membres de la famille comme trraducteur
  • Mettre le patient à l'aise et lui donner le temps approprié pour répondre
  • Questionner les abus soupçonnés de manière spécifique
  • Tenter d'identifier les facteurs de risque médicaux et psychosociaux à la maltraitance
  • Dresser l'historique détaillé d'une blessure suspecte
  • Interroger les membres de la famille, soignants, services médicaux d'urgence, forces de l'ordre, etc. à la recherche d'incohérences dans les récits et de drapeaux rouges
  • Dresser une note médicale détaillée, car elle pourrait ultiérieurement faire partie d'une enquête

Il est également pertinent d'aborder directement le soignant. En effet, certains soignants font vivre de la maltraitance sans même en avoir conscience. Au moment approprié, il est donc recommander de questionner les éléments suivants.

  • L'épuisement du soignant
  • Le besoin d'être directif ou de hausser le ton avec le patient
  • La difficulté à s'occuper et gérer les besoins du patient

Examen clinique

Si de la maltraitance envers une personne âgée est suspectée, il est recommander d'effectuer les mesures suivantes lors de l'examen physique. [6][5][7]

  • Procéder à un examen physique complet de la tête aux pieds à la recherche de:
    • Marques de morsures
    • Ecchymoses
    • Hémorragies sous-conjonctivales
    • Blessures intra-orales
    • Blessures dans des régions suspectes comme les poignets, le visage, le cou et les oreilles
    • Signes de déshydratation
    • Signes de mauvaises hygiène (vptements sales, longs ongles, etc.)
    • Escarres de pression
  • Procéder à l'examen des parties génitales à la recherche de:
    • Lacérations
    • Déchirures
    • Rougeurs
    • Ecchumoses
    • Incontinence
    • Signes de maladies transmises sexuellement comme du drainage, des lésions ou une odeur nauséabonde
  • Prodécer à l'observation de l'interaction patient soignant à la recherche de:
    • Mauvais contact visuel
    • Signes d'anxiété
La section facultative Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
  • Cette section traite des signes à rechercher à l'examen clinique qui permettent de différencier les étiologies entre elles.
  • Cette section doit faire l'usage du modèle Examen clinique et du modèle Signe clinique discriminant.
  • Ces éléments servent à discriminer une étiologie par rapport à une autre ou une complication potentielle.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique discriminant
Commentaires:
 
  • Alors que la section Approche clinique sert à intégrer les facteurs de risque, les signes, les symptômes et les examens paracliniques, cette section sert uniquement à lister les examens cliniques et les signes cliniques discriminants et leur associer des étiologies potentielles.
  • Attention d'utiliser le bon modèle sémantique. Le modèle Signe clinique discriminant est le bon modèle dans les pages de type Approche clinique. Le modèle Signe clinique est utilisé exclusivement sur les pages de maladie et de classe de maladie.
  • Cette section ne détaille pas l'examen clinique et les signes cliniques d'une étiologie particulière : ceci est laissé aux pages de maladies. La section Approche clinique permet d'expliquer les caractéristiques distinctives et discriminantes pour les différents diagnostics au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
Exemple:
 
Chez les patients atteints d'une dyspnée aiguë, les éléments suivants sont à rechercher à l'examen clinique :
  • à l'examen cardiaque [Examen clinique] :
    • un souffle systolique [Signe clinique discriminant] indique une sténose aortique critique
    • de l'oedème des membres inférieurs [Signe clinique discriminant] indique une insuffisance cardiaque décompensée
    • la TVC augmentée [Signe clinique discriminant] évoque une insuffisance cardiaque décompensée ou sera présent dans 13% des embolies pulmonaires
  • à l'examen pulmonaire [Examen clinique] :
    • des crépitants [Signe clinique discriminant] en présence d'une pneumonie ou d'une surcharge secondaire à une insuffisance cardiaque décompensée.
    • des sibilances [Signe clinique discriminant] en cas d'asthme, d'EAMPOC et parfois d'insuffisance cardiaque.

Drapeaux rouges

La section obligatoire Drapeaux rouges ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description:
  • Les drapeaux rouges sont des signes, des symptômes, des facteurs de risque ou des signes paracliniques qui, lorsqu'ils sont présents, peuvent orienter vers un diagnostic grave ou demandant une prise en charge immédiate.
  • Chaque drapeau rouge devrait être défini à l'aide d'une propriété sémantique de type Drapeau rouge.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Drapeau rouge
Commentaires:
 
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Cette section doit rester simple et courte.
Exemple:
 
Les drapeaux rouges des patients qui se présentent en céphalée aiguë sont :
  • une altération de l'état de conscience [Drapeau rouge] indique une possible méningite, encéphalite, un AVC hémorragie ou une HIP
  • une faiblesse [Drapeau rouge] évoque un AVC
  • de la diplopie [Drapeau rouge] évoque également un AVC du tronc ou une lésion occupant de l'espace
  • une immunosuppression [Drapeau rouge] pourrait évoquer une méningite, encéphalite ou un abcès cérébral ou spinal
  • etc.
  • Blessure inexpliquées ou fréquentes
  • Malnutrition et cachexie
  • Hygiène négligée
  • Retard de consultation après l'apparition d'une maladie ou d'une blessure
  • Non-respect du régime médical
  • Décompensation fréquentes de la condition médicale malgré une bonne planification médicale
  • Absence de rendez-vous de suivi
  • Histoire changeante, vague ou non-crédible
  • Examens contradictoires avec l'histoire
  • Aîné non fonctionnel sans soutien ou soignant
  • Réticence de l'accompagnateur à quitter la pièce

Investigation

La section facultative Investigation ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Les examens d'investigation inclut tout examen approprié à la condition ou à la plainte initiale et accepté par le patient. Les conditions suivantes pourraient être vérifiées à l'aide d'une formule sanguine complète ou autres tests appropriés. [6][7]

  • Déshydratation
  • Malnutrition
  • Infection
  • Anémie
  • Coagulopathies
  • Rhabdomyolyse
  • Intoxication médicamenteuse
  • Débalancements endocriniens

En effet, il est également important d'éliminer les diagnostics différentiels pouvant mimer des signes de négligence comme de la déshydratation, une perte de poids, des ecchymoses et des fractures.

Diagnostic différentiel pouvant mimer des signes de maltraitance
Déshydratation Perte de poids Ecchymoses Fractures
Troubles métaboliques Troubles métaboliques Troubles métaboliques Troubles métaboliques
Infection Infection Coagulopathies Ostéopénie
Trouble endocrinien Trouble endocrinien Utilisation d'anticoagulants Tumeurs malignes
Démence Dépression Alitement prolongé
Problèmes dentaires Tumeurs malignes
Tumeurs malignes

Contrairement à la maltraitance des enfants, il existe des données limitées pour identifier des schémas radiologiques spécifiques pathognomoniques pour la maltraitance des personnes âgées. Certains résultats radiologiques peuvent cependant être des signes potentiels d'abus.

  • Fractures des côtes postérieures
  • Fractures de chronicité variable
  • Fracture la diaphyse ulnaire distale
  • Fractures du crâne
  • Hématomes sous-duraux
  • Hématomes de l'intestin grêle
  • Fracture à haute énergie dans le cadre d'un mécanisme à faible énergie

Si une imagerie est obtenue, il est important de communiquer avec le radiologue. Les choses qui peuvent être utiles pour le radiologue comprennent la connaissance de la capacité fonctionnelle du patient, les antécédents médicaux pertinents et le mécanisme de la blessure pour l'aider à déterminer si la blessure est cohérente avec le mécanisme décrit.[9][7]

Un autre aspect de l’évaluation consiste à déterminer la capacité de l’individu à prendre ses propres décisions. Si une personne a la capacité de prendre ses propres décisions, même dans le contexte de la violence, elle peut rester dans son environnement abusif si elle le souhaite.[6] Les outils de dépistage tels que le mini-examen d'état mental ou l'évaluation rapide de l'orientation ne sont généralement pas suffisants pour déterminer capacité.[4] D'autres outils de dépistage, tels que le test d'évaluation des compétences de Hopkins, doivent être envisagés car ils sont plus fréquemment corrélés à la détermination de la capacité par un psychiatre.

Des outils de dépistage tels que l'indice de suspicion de mauvais traitements envers les aînés ou l'indice de vulnérabilité aux mauvais traitements envers les aînés peuvent également être utiles. Ces outils aident à identifier les personnes âgées actuellement maltraitées ainsi que celles qui risquent de l'être, ce qui peut guider l'utilisation de l'éducation et des ressources. [4][6][3][7]

Prise en charge

La section facultative Prise en charge ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description:
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 

Bien que la maltraitance des personnes âgées soit répandue et ait des conséquences graves, elle est rarement détectée. Il est important de détecter et d'intervenir rapidement, car les retards peuvent entraîner une augmentation de la morbidité et de la mortalité.[2][7]

Lorsqu'un membre soupçonne des mauvais traitements infligés à un aîné par l'équipe de soins, il faut agir et en faire rapport pour mobiliser des ressources pour la victime. Cette action n'est pas seulement une obligation morale, mais la plupart des États considèrent les médecins, les psychologues, le personnel d'application de la loi et les infirmières comme tous les signaleurs obligatoires de maltraitance présumée envers les aînés.

Il doit y avoir une collaboration et une communication claire entre les premiers intervenants, les forces de l'ordre, les infirmières, les médecins, le travail social, la gestion de cas, l'administration de l'hôpital et l'équipe juridique de l'hôpital. Les infirmières jouent également un rôle crucial dans l'identification des abus car elles sont susceptibles de passer le plus de temps avec le patient et sa famille. Les patients pouvaient confier à l'infirmière quelque chose qu'ils ne voulaient pas dire au médecin. L'infirmière peut également prendre note des interactions tendues entre le patient et le soignant ou des résultats d'examens supplémentaires tout en aidant à prendre un bain, à aller aux toilettes ou à effectuer des procédures telles que la pose d'un cathéter urinaire.

Les travailleurs sociaux et la gestion de cas font également partie intégrante de l'équipe. Ils peuvent identifier des facteurs de risque non médicaux d'abus qui n'ont pas été initialement appréciés et peuvent aider à organiser les ressources et le soutien pour le patient et sa famille. -up et surveillance après le retour du patient à la maison.

Une approche globale et interprofessionnelle est nécessaire pour identifier et gérer efficacement les complexités médicales, psychosociales et sociétales de la maltraitance des personnes âgées. En augmentant la sensibilisation et en travaillant en équipe interdisciplinaire, nous espérons commencer à courber la prévalence de la maltraitance des personnes âgées et à fournir de meilleurs soins aux patients âgés.[7]

Le traitement doit initialement se concentrer sur la correction du problème ou de la blessure aiguë. Cependant, il est essentiel de s'attaquer également aux composantes sociales et psychologiques de la maltraitance des personnes âgées. Les interventions sociales peuvent inclure la coordination des services de santé à domicile, la livraison des repas, le transport pour les rendez-vous, l'aide à la mise en place d'une assurance ou la mise en relation de la personne âgée avec une garderie pour adultes ou un centre pour personnes âgées.

Si le patient est en danger immédiat, il est vital de le protéger. Cette action pourrait nécessiter l'implication des forces de l'ordre ou de la sécurité hospitalière, du travail social, de l'équipe juridique de l'hôpital et éventuellement une demande de tutelle d'urgence. Une étape essentielle dans la gestion de la maltraitance des personnes âgées est de signaler l'abus, même s'il n'est que suspecté et pas encore prouvé, car cela déclenche l'implication des agences appropriées, telles que les services de protection des adultes, pour enquêter plus avant sur l'abus et peut amener l'individu à obtenir l'aide dont il a besoin.

La plupart des professionnels de la santé sont qualifiés de déclarants obligatoires de la maltraitance présumée des personnes âgées, bien que les détails varient selon les États. Cependant, de nombreux cas de maltraitance possible envers les aînés ne sont pas signalés. Certaines raisons pour ne pas signaler les abus comprennent la perte de contrôle du médecin, la perte de confiance du patient, les conséquences négatives involontaires, la subtilité des résultats et les représailles des auteurs contre la victime.

  • Évalutation de l'aptitude du patient du patient si il y a doute sur sa capacité à consentir
  • Signalement selon la législation provinciale
  • Hospitalisation si la condition médicale le nécessite ou si doute sur la sécurité du patient à domicile
  • Référence aux organismes de services santé compétents
  • Évaluation par une équipe multidisciplinaire
    • Ériatrie
    • Travailleur social
    • Ergothérapie
    • Pharmacien
    • Infirmière
    • Psychologue

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de l'approche clinique
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Y a-t-il des examens paracliniques à répéter ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
Exemple:
 

Complications

La section facultative Complications ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des complications possibles de l'approche clinique classées en ordre de probabilité (si possible).
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication. Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Attention ! Les complications sont celles de l'approche clinique elle-même et non de son traitement. Par exemple, l'anémie est une complication de l'hémorragie digestive basse, mais la perforation intestinale en raison d'une colonoscopie doit plutôt être décrit sur la page de la procédure Colonoscopie.
Exemple:
 

La maltraitance des personnes âgées est importante pour identifier et intervenir rapidement non seulement pour atténuer les effets physiques et psychosociaux persistants, mais pour prévenir les effets à long terme. La maltraitance des personnes âgées est associée à une augmentation significative de la morbidité et de la mortalité.

  • SSPT
  • Mauvais contrôle des maladies chroniques
  • Diminution de la qualité de la vie
  • Rupture de confiance
  • Décès prématuré[1][6][7]

Éducation aux patients

Un aspect difficile du contrôle de la maltraitance des aînés est qu'elle est souvent non identifiée et sous-déclarée. Les campagnes visant à réduire la maltraitance des personnes âgées devraient se concentrer sur l'éducation des travailleurs de la santé, des soignants, des patients et de la communauté sur la prévalence, les facteurs de risque et les signes de maltraitance des personnes âgées ainsi que sur les ressources disponibles pour aider. L'amélioration des ressources communautaires est également nécessaire pour mieux soutenir les victimes et les familles. [4][7]

Identifier et minimiser les facteurs de risque ainsi que fournir un soutien aux familles pourrait aider à réduire la prévalence de la maltraitance et, par la suite, à réduire le fardeau des services médicaux d'urgence, des hôpitaux, des frais de soins médicaux et du besoin de placement dans un établissement de soins de longue durée.

Les établissements de soins de longue durée peuvent minimiser le risque d'abus en évitant le manque de personnel, en créant un environnement calme, en faisant en sorte que le personnel se sente apprécié et en éduquant davantage le personnel sur la façon de gérer les résidents difficiles ou agressifs.

Références

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