« Utilisateur:Ariane Paquette/Brouillons/Dissociation auriculo-ventriculaire » : différence entre les versions

De Wikimedica
mAucun résumé des modifications
m (identification des infos avec bloc complet seulement)
Ligne 4 : Ligne 4 :


== Épidémiologie ==
== Épidémiologie ==
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Épidémiologie}} ((La dissociation AV a une incidence qui varie entre 0,02 à 0,04% de manière générale, mais incidence plus élevée atteignant 1,1% a été fortement associée avec le diabète sucré <ref>{{Citation d'un article|langue=en|prénom1=Mohammad-Reza|nom1=Movahed|prénom2=Mehrtash|nom2=Hashemzadeh|prénom3=M. Mazen|nom3=Jamal|titre=Increased Prevalence of Third-Degree Atrioventricular Block in Patients With Type II Diabetes Mellitus|périodique=Chest|volume=128|numéro=4|date=2005-10|doi=10.1378/chest.128.4.2611|lire en ligne=https://linkinghub.elsevier.com/retrieve/pii/S0012369215526809|consulté le=2022-03-02|pages=2611–2614}}</ref> et les patients plus âgés ayant des comorbidités cardiaques dégénératives. <s><ref name=":3" /><ref name=":4" /></s> (laquelle des 2 citations est bonne pour se passage??)))
{{Section ontologique|classe=Maladie|nom=Épidémiologie}} bloc complet: ((La dissociation AV a une incidence qui varie entre 0,02 à 0,04% de manière générale, mais incidence plus élevée atteignant 1,1% a été fortement associée avec le diabète sucré <ref>{{Citation d'un article|langue=en|prénom1=Mohammad-Reza|nom1=Movahed|prénom2=Mehrtash|nom2=Hashemzadeh|prénom3=M. Mazen|nom3=Jamal|titre=Increased Prevalence of Third-Degree Atrioventricular Block in Patients With Type II Diabetes Mellitus|périodique=Chest|volume=128|numéro=4|date=2005-10|doi=10.1378/chest.128.4.2611|lire en ligne=https://linkinghub.elsevier.com/retrieve/pii/S0012369215526809|consulté le=2022-03-02|pages=2611–2614}}</ref> et les patients plus âgés ayant des comorbidités cardiaques dégénératives. <s><ref name=":3" /><ref name=":4" /></s> (laquelle des 2 citations est bonne pour se passage??)))


AV dissociation occurs in 0.48% to 0.68% in all electrocardiogram (ECG) tracings. It is seen more often in elderly patients with comorbid degenerative cardiovascular disease. If included with the incidence of complete heart block, the incidence is higher.<ref name=":3">{{Citation d'un article|prénom1=H. J.|nom1=Marriott|prénom2=A. F.|nom2=Schubart|prénom3=S. M.|nom3=Bradley|titre=A-V dissociation: a reappraisal|périodique=The American Journal of Cardiology|volume=2|numéro=5|date=1958-11|issn=0002-9149|pmid=13594847|doi=10.1016/0002-9149(58)90186-3|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/13594847|consulté le=2022-01-30|pages=586–605}}</ref><ref name=":4">{{Citation d'un article|prénom1=R. A.|nom1=Harrigan|prénom2=A. D.|nom2=Perron|prénom3=W. J.|nom3=Brady|titre=Atrioventricular dissociation|périodique=The American Journal of Emergency Medicine|volume=19|numéro=3|date=2001-05|issn=0735-6757|pmid=11326350|doi=10.1053/ajem.2001.22657|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/11326350|consulté le=2022-01-30|pages=218–222}}</ref>  
AV dissociation occurs in 0.48% to 0.68% in all electrocardiogram (ECG) tracings. It is seen more often in elderly patients with comorbid degenerative cardiovascular disease. If included with the incidence of complete heart block, the incidence is higher.<ref name=":3">{{Citation d'un article|prénom1=H. J.|nom1=Marriott|prénom2=A. F.|nom2=Schubart|prénom3=S. M.|nom3=Bradley|titre=A-V dissociation: a reappraisal|périodique=The American Journal of Cardiology|volume=2|numéro=5|date=1958-11|issn=0002-9149|pmid=13594847|doi=10.1016/0002-9149(58)90186-3|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/13594847|consulté le=2022-01-30|pages=586–605}}</ref><ref name=":4">{{Citation d'un article|prénom1=R. A.|nom1=Harrigan|prénom2=A. D.|nom2=Perron|prénom3=W. J.|nom3=Brady|titre=Atrioventricular dissociation|périodique=The American Journal of Emergency Medicine|volume=19|numéro=3|date=2001-05|issn=0735-6757|pmid=11326350|doi=10.1053/ajem.2001.22657|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/11326350|consulté le=2022-01-30|pages=218–222}}</ref>  

Version du 3 mars 2022 à 10:18

Dissociation auriculo-ventriculaire
Maladie
Caractéristiques
Signes Signe clinique, Tachypnée , Altération de l'état de conscience , Signe clinique 1, Signe clinique 2, Rétraction, Peau fraîche, Diminution recharge capillaire, Diaphorèse
Symptômes
Dyspnée , Vertige , Douleurs thoraciques, Lipothymie , Syncope , Fatigue , Diminution de tolérance à l'effort, Essouflement, [[:Antécédant de maladie cardiovasculaire accompagnée ou uniquement de facteurs de risques incluant diabète sucré, hypertension, ... [+]
Diagnostic différentiel
Diagnostic différentiel

Page non révisée
La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

(La dissociation auriculo-ventriculaire (AV), aussi appelé bloc AV du troisième degré est un type d'arythmie où il y une absence complète de la transmission des impulsions électriques au niveau de la conduction AV. Il y a une perte de la relation entre le noeud sino-auriculaire (SA) et l'activation ventriculaire ainsi que de la coordination entre oreillettes et des ventricules qui se retrouvent contrôlés par des stimulateurs indépendants. [1][2])

Le terme dissociation auriculo-ventriculaire (AV) décrit une famille d'arythmies où des stimulateurs indépendants contrôlent les oreillettes et les ventricules. L'activation standard des circuits cardiaques fonctionne dans l'ordre de transmission des impulsions du nœud sino-auriculaire (SA) aux oreillettes, au nœud AV et à l'activation ventriculaire via le système His-Purkinje.[1] La perturbation de cette voie entraîne une dissociation entre le taux de conduction des oreillettes et du ventricule. La gravité de cet événement varie, allant de bénigne en cas de dissociation AV isorythmique à un bloc cardiaque complet, qui dans certains cas peut être fatal s'il n'est pas traité avec un stimulateur cardiaque permanent. Une autre cause importante de cette affection est la tachycardie ventriculaire, qui est mortelle si elle n'est pas reconnue ou traitée de manière appropriée.[1]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

bloc complet: ((La dissociation AV a une incidence qui varie entre 0,02 à 0,04% de manière générale, mais incidence plus élevée atteignant 1,1% a été fortement associée avec le diabète sucré [3] et les patients plus âgés ayant des comorbidités cardiaques dégénératives. [4][5] (laquelle des 2 citations est bonne pour se passage??)))

AV dissociation occurs in 0.48% to 0.68% in all electrocardiogram (ECG) tracings. It is seen more often in elderly patients with comorbid degenerative cardiovascular disease. If included with the incidence of complete heart block, the incidence is higher.[4][5]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

bloc complet vs incomplet haut grade (demander à patrick)

OPTION1:

Le bloc AV de troisième degré a de nombreuses causes qui peuvent être réversibles et irréversibles[6] :

  • la pathologie dégénérative
  • les médicaments (ex: inhibiteurs beta, inhibiteurs canaux calciques, digoxine[7])
  • l'ischémie (ex: infractus myocarde)
  • l'hypertonie vagale
  • l'anomalie congénitale (aplasie ganglions AV)
  • la surface valvulaire aortique calcifiée (SAo)
  • le remplacement valvulaire aortique (RVAo)
  • l'implantation transcathéter d'une valve aortique (TAVI)
  • la chirurgie cardiaque
  • la myocardite
  • l'endocardite
  • la maladie de Chagas
  • la maladie de Lyme
  • la fièvre rhumatismale
  • la toxoplasmose
  • la collagénose
  • le syndrome d'apnée hypopnée du sommeil (SAHS)
  • le déséquilibre E+
  • l'hypoT4
  • l'acidose
  • la cardiomyopathie dilatée (CMP)
  • la cardiomyopathie infiltrative
  • le lymphome
  • la tumeur cardiaque
  • la maladie neuromusculaire (ex: maladie de Steiner[8])
  • l'épilepsie
  • la maladie du tissus de conduction héréditaire familiale (Lev-Lenegre)

OPTION 2 [8]:

- fibrose biparentale bilatérale idiopathique

- dommages ischémiques

-cardiomyopathies

-calcifications

-atteinte tumorale

-anomalies congénitales

-maladie du collagène

-dommages chirurgicaux ou traumatiques

OPTION 4[9]:

  • la fibrose idiopathique
  • les cardiopathies structurelles
  • les cardiopathies ischémiques aïgues
  • les médicaments (ex: les anti-arythmiques et digoxine)
  • l'ablation nodale
  • les déséquilibres électrolytiques
  • les blocages cardiaques postopératoires chirurgicaux ou les remplacements de valve transcathéter
  • la maladie de Lyme
  • les maladies systémiques (ex: trouble vasculaire du collagène, l'amylose, la sarcoïdose et le lupus érythémateux disséminé)


OPTION 3 STAT PEARL initial téléchargé:

Le taux de décharge du nœud SA peut ralentir, donnant des stimulateurs cardiaques subsidiaires avec la conduction préférence du système, conduisant à des rythmes non sinusaux et à une dissociation dans les oreillettes et le ventricule. Les causes peuvent inclure : [1]

  • Bradycardie sinusale
  • Tonus vagal élevé
  • Médicaments de contrôle de la fréquence cardiaque, tels que les bêta-bloquants et les inhibiteurs calciques[1]

À l'inverse, certaines insultes entraînent une accélération du rythme des stimulateurs cardiaques subsidiaires, les obligeant à se conduire préférentiellement. Par exemple :[1]

  • Ischémie myocardique
  • État élevé de catécholamines
  • Toxicité digitalique[1]

Diverses arythmies avec conduction désorganisée peuvent entraîner une dissociation AV. En voici des exemples :[1]

  • Tachycardie ventriculaire complexe large[10]
    • La dissociation AV avec battements de capture et de fusion sont des caractéristiques diagnostiques de la tachycardie ventriculaire.
    • Il s'agit d'une cause fréquente de dissociation AV.
  • Tachycardie ventriculaire à branche réentrante (BBRVT)[11]
    • Il s'agit d'une forme de tachycardie ventriculaire qui utilise les deux branches du faisceau dans son circuit réentrant. Ces circuits circulaires n'impliquent pas les oreillettes, entraînant ainsi une dissociation AV
  • Tachycardie jonctionnelle
    • Le nœud AV peut devenir autonome et dépasser la fréquence sinusale. Souvent dans le cadre d'une toxicité à la digoxine, d'une chirurgie cardiaque ou d'un infarctus du myocarde.

Néanmoins, un bloc cardiaque complet provoque une dissociation AV importante car les impulsions du nœud SA ne conduisent pas aux ventricules. Une distinction doit être faite, car très souvent, tout cas de dissociation AV est considéré comme un bloc cardiaque complet. Cependant, bien que tous les cas de bloc cardiaque complet incluent une dissociation AV, tous les cas de dissociation AV ne sont pas un bloc cardiaque complet.[1]

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Il y a trois mécanismes physiopathologiques distincts de la dissociation auriculo-ventriculaire chez un patient. [1]

  • Dissociation AV par défaut : Cela se produit en raison du ralentissement du stimulateur cardiaque dominant, tel que le nœud SA, entraînant la prédominance d'un stimulateur ventriculaire indépendant. Démontré par des rythmes jonctionnels et d'échappement. Souvent observé en raison d'une causalité normale.
  • Dissociation AV par usurpation : Accélération des stimulateurs cardiaques latents dans les ventricules, dont les fréquences dépassent les fréquences auriculaires intrinsèques. La capture auriculaire rétrograde ne sera pas observée ici. Souvent pathologique par opposition à la dissociation AV par défaut.[12]
  • Bloc cardiaque complet : la conduction entre le nœud SA et les ventricules est empêchée en raison d'un blocage pathologique, entraînant des rythmes indépendants.[13][1]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont :

Une anamnèse complète doit être vérifié, y compris : [1] * Antécédents de maladie cardiaque * Symptômes de bloc cardiaque * Procédures cardiaques récentes * Examen des médicaments et de la posologie. Surtout les médicaments cardiogéniques tels que, * Bêta-bloquants, inhibiteurs calciques et autres médicaments limitant la fréquence * Amiodarone et autres médicaments anti-arythmiques [1]

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

(bloc complet)

La présentation clinique d'un bloc AV est plutôt variable, car il y aura des manifestations en fonction de la maladie sous-jacente s'il y lieu et du taux de rythme d'évasion (à reformuler). Les patients avec cette condition sont le plus souvent symptomatiques.[9] Étant un trouble arythmique, on pourra retrouver des symptômes caractéristiques de la bradyarythmie.[14]

La présentation clinique du patient peut inclure [1](référence pour les 4 premiers):


Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :


(bloc complet)

L'examen physique général peut montrer des anomalies des signes vitaux dues à des tachy- ou bradyarythmies. Les résultats spécifiques cardiovasculaires à l'examen physique peuvent révéler une variabilité de l'intensité du premier son cardiaque, de grandes ondes « a » de canon et une division paradoxale du deuxième son cardiaque. (stat pearl)

Selon l'étiologie, comme c'est le cas dans la maladie de Lyme, l'endocardite ou encore la fièvre rhumatismale, il est possible d'avoir des signes infectieux ou une éruption cutanée caractéristique. La présence d'un souffle cardiaque ou des signes d'insuffisance cardiaques peuvent également être notés en fonction de l'étiologie du bloc AV notamment dans une cardiomyopathie ou encore avec la coexistance avec une autre pathologie. Les patients peuvent présenter une instabilité hémodynamique importante. [9]

De plus, lorsque la fréquence cardiaque s'abaisse en dessous de 40 battements/minute, les patients peuvent présentés d'autres signes à l'examen physique comme[9]:

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents sont :

Un ECG à 12 dérivations est nécessaire pour le diagnostic. Les traits caractéristiques de la dissociation AV sont : [1] * Ondes P dissociées : elles apparaissent comme des "ondes P traversant le complexe QRS". Les intervalles PR peuvent sembler devenir progressivement plus courts. * Battements de capture et de fusion : les battements de capture se produisent lorsqu'une impulsion auriculaire occasionnelle atteint le ventricule alors qu'il n'est pas réfractaire, entraînant la capture du rythme sinusal. Les battements de fusion se produisent lorsqu'une impulsion ventriculaire et supraventriculaire active simultanément les ventricules. Ils fusionnent en une onde ECG transformée.[1] En fonction de la présence ou de l'absence de battements de capture, la dissociation AV peut être classée comme dissociation AV incomplète ou complète.[1] * Incomplète : une capture occasionnelle d'un battement auriculaire se produit. Des périodes irrégulières d'intervalles RR seront observées, interrompues par des "battements de capture". Deux variantes spécifiques de dissociation AV incomplète sont : * Dissociation AV d'interférence : Cela se produit lorsque les impulsions du nœud SA ralentissant ou des impulsions ventriculaires indépendantes entrent en collision en raison d'une conduction rétrograde. Apparaissent souvent dans un bloc cardiaque au deuxième degré. Dans un exemple de niche, une physiologie nodale AV double présente une alternance de raccourcissement et d'allongement des intervalles PR (PR alternans). Cela indique des voies de conduction rapides et lentes pour les ventricules qui se produisent ensemble.[15] * Dissociation AV isorythmique : une dissociation synchronisée, alors que les oreillettes et les ventricules battent indépendamment les uns des autres, ils battent à la même vitesse. Ainsi, apparaissant comme une association entre les deux chambres. Ceci est souvent observé dans les rythmes jonctionnels et peut nécessiter une bande ECG plus longue pour la mesure. La fréquence auriculaire est souvent inférieure ou égale à la fréquence ventriculaire. Les intervalles PP et RR restent constants, mais l'intervalle PR varie.[1] Fait important, le manque de conduction des ondes P est principalement dû à la synchronisation des ondes P par rapport au complexe QRS, car les ondes P arrivant pendant le réfractaire phase des ventricules ne sera pas effectuée. Plutôt qu'une présence affirmative de bloc AV complet. Les révisions actuelles de la nomenclature recommandent désormais que la classification passe à la dissociation AV avec ou sans battements de capture. Après avoir confirmé la présence d'une dissociation AV, l'étape suivante consiste à comparer les fréquences auriculaire et ventriculaire pour identifier la présence d'un bloc cardiaque complet. : exclut un bloc cardiaque complet[1] De plus, le diagnostic de bloc cardiaque complet ne doit être posé que si la fréquence ventriculaire est inférieure à 40 battements par minute.[16] Une évaluation plus approfondie des causes réversibles de bloc cardiaque doit être effectuée. Cardite de Lyme, en particulier pour les patients dans les zones endémiques. 49 % des patients atteints de cardite de Lyme sont susceptibles de développer un bloc cardiaque du troisième degré, en particulier ceux dont l'intervalle PR est ≥ 300 ms. essai. L'hyperkaliémie est également une cause potentielle. Des taux de potassium supérieurs à 7 mmol/L peuvent entraîner des troubles de la conduction AV. Les électrolytes doivent être prélevés et l'ECG doit être observé pour les modifications hyperkaliémiques, bien que la corrélation entre les modifications de l'ECG et les taux de potassium soit faible.[17] D'autres causes peuvent inclure l'hypothyroïdie et la myocardite virale. Les investigations sur les causes réversibles du bloc cardiaque sont cruciales pour le traitement car un stimulateur cardiaque ne peut être placé tant que ces causes n'ont pas été exclues.

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel du BAV du 3e degré est :

La dissociation auriculo-ventriculaire pourrait imiter quelques autres menant à la tachycardie, il est donc crucial que les fournisseurs de soins de santé connaissent les autres troubles qui pourraient se présenter de manière similaire. Voici quelques diagnostics différentiels importants de la dissociation AV :[1] * Bloc auriculo-ventriculaire de haut grade * Tachycardie réentrante nodale auriculo-ventriculaire * Tachycardie supraventriculaire avec aberration * Tachycardie orthodromique[1]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Les traitements proposés sont les suivants :

Le traitement de la cause sous-jacente résout souvent la dissociation auriculo-ventriculaire. Si la dissociation AV est une conséquence de tachycardies supraventriculaires ou ventriculaires, l'arrêt de l'arythmie est justifié. Une attention particulière doit être portée aux arythmies jonctionnelles car y mettre fin éliminerait également la seule source de conduction. La toxicité de la digitaline peut être traitée avec une combinaison de Fab immunitaire à la digoxine. Des médicaments tels que l'isoprotérénol et l'atropine peuvent être envisagés pour augmenter le taux nodal SA. Dans le cas d'un bloc cardiaque complet, l'atropine sera inefficace pour augmenter la fréquence cardiaque, car elle agit sur le nœud AV. Les causes réversibles de bloc cardiaque doivent être traitées. La cardite de Lyme est spontanément résolutive; cependant, les antibiotiques peuvent raccourcir l'évolution de la maladie.[18] [1] Une thérapie de remplacement du potassium, comprenant l'utilisation d'agents bêta 2 agonistes et d'insuline, ainsi que du gluconate de calcium pour la protection cardiaque, doit être entreprise s'il existe des preuves à l'ECG et en laboratoire d'un bloc cardiaque complet induit par l'hyperkaliémie . Une fois que les causes réversibles sont exclues, les patients souffrant d'un bloc cardiaque complet nécessitent la mise en place d'un stimulateur cardiaque. Un stimulateur cardiaque transcutané est le moyen le plus rapide d'assurer une stimulation cardiaque. Si cela ne réussit pas à obtenir une capture électrique et mécanique, un stimulateur cardiaque transveineux doit être envisagé. * Stimulateur cardiaque à double chambre, avec deux sondes implantées dans l'oreillette et le ventricule droits. * Stimulateur biventriculaire, similaire au double chambre mais avec une sonde supplémentaire avançant dans le sinus coronaire pour la stimulation épicardique ventriculaire gauche.[1] Parmi ces trois, le stimulateur double chambre est le plus courant et le plus efficace en cas de bloc AV. Bien que des études récentes indiquent maintenant la supériorité des stimulateurs cardiaques biventriculaires pour réduire l'incidence future de l'insuffisance cardiaque due à la stimulation.

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de cette classe de maladie sont :

Les complications liées à la dissociation auriculo-ventriculaire résultent du compromis hémodynamique associé. Souvent de son agression causale, à savoir une bradycardie sinusale sévère et une tachycardie ventriculaire. La syncope est de loin la complication la plus fréquente. D'autres effets non traités de l'hypoperfusion peuvent entraîner des complications graves telles qu'une insuffisance rénale aiguë (due à une hypoperfusion de l'artère rénale) ou une ischémie myocardique.[1]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Le pronostic de la dissociation AV dépend de la cause de l'insulte, plutôt que de l'effet de la dissociation AV elle-même. Souvent, avec l'élimination de l'insulte causale, il y a une guérison complète chez les patients. y compris son étiologie et son impact sur la vie quotidienne. Les agents incriminés doivent être arrêtés et les médicaments revus. L'examen devrait inclure des avertissements sur les dosages, par exemple, les dosages de digoxine chez les patients souffrant d'insuffisance rénale. Les interactions médicamenteuses doivent également être conseillées. Les patients présentant une bradycardie prononcée et une dissociation AV bénéficieront des stimulateurs cardiaques. [1] Le patient doit être informé des risques de la procédure. En outre, ils doivent être informés des contrôles réguliers de la fonction des sondes et des évaluations du seuil et de la batterie. Ils doivent être avertis des interférences électromagnétiques et des anomalies d'imagerie et faire preuve de prudence lors des évaluations futures.[19][1]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Références

__NOVEDELETE__
  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 1,15 1,16 1,17 1,18 1,19 1,20 1,21 1,22 1,23 1,24 et 1,25 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/33085352
  2. Modèle {{Lien web}} : paramètre « titre » manquant. https://www.icm-mhi.org/sites/default/files/docs/Enseignement/Ateliers_formation_profesionnels_en_soins_cardiovasculaires/20160502les_bav_version_web.pdf
  3. (en) Mohammad-Reza Movahed, Mehrtash Hashemzadeh et M. Mazen Jamal, « Increased Prevalence of Third-Degree Atrioventricular Block in Patients With Type II Diabetes Mellitus », Chest, vol. 128, no 4,‎ , p. 2611–2614 (DOI 10.1378/chest.128.4.2611, lire en ligne)
  4. 4,0 et 4,1 H. J. Marriott, A. F. Schubart et S. M. Bradley, « A-V dissociation: a reappraisal », The American Journal of Cardiology, vol. 2, no 5,‎ , p. 586–605 (ISSN 0002-9149, PMID 13594847, DOI 10.1016/0002-9149(58)90186-3, lire en ligne)
  5. 5,0 et 5,1 R. A. Harrigan, A. D. Perron et W. J. Brady, « Atrioventricular dissociation », The American Journal of Emergency Medicine, vol. 19, no 3,‎ , p. 218–222 (ISSN 0735-6757, PMID 11326350, DOI 10.1053/ajem.2001.22657, lire en ligne)
  6. David Laflamme, Précis de cardiologie, (ISBN 978-2-87671-630-8 et 2-87671-630-5, OCLC 1164544417, lire en ligne)
  7. Adel Elmoselhi, Cardiology : an integrated approach, (ISBN 9780071791540, OCLC 1005078995, lire en ligne)
  8. 8,0 et 8,1 « ClinicalKey », sur www.clinicalkey.com (consulté le 2 mars 2022)
  9. 9,0 9,1 9,2 9,3 9,4 9,5 et 9,6 Vinicius Knabben, Lovely Chhabra et Matthew Slane, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 31424783, lire en ligne)
  10. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11382741
  11. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/16943949
  12. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11326350
  13. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/5932450
  14. 14,0 14,1 et 14,2 comment on cite un PDF? institut de cardiologie de UDM
  15. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28491767
  16. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22578952
  17. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15604312
  18. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25451629
  19. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31424783