Rosacée

De Wikimedica
Rosacée
Maladie
Caractéristiques
Signes Blépharite, Rosacée oculaire, Chalazion, Papule, Lésion cutanée, Rhinophyma, Croûte, Télangiectasie, Pustule, Squame, ... [+]
Symptômes
Orgelet, Bouffées vasomotrices, Lésion traumatique cutanée (approche clinique), Atteinte esthétique, Sensibilité du visage, Xérophtlamie, Sensation de corps étranger oculaire
Diagnostic différentiel
Lupus, Carcinome basocellulaire, Exanthème médicamenteux, Acné vulgaire, Dermatite séborrhéique, Rosacée stéroïdienne, Kératose pilaire, Dermatite périorificielle, Candidose cutanée, Photodommage, ... [+]
Informations
Wikidata ID Q831530
Spécialité Dermatologie

Page non révisée

La rosacée est une maladie inflammatoire chronique courante qui se manifeste par:

  • des bouffées vasomotrices récurrentes
  • un érythème,
  • une télangiectasie
  • des papules ou des pustules sur le nez, le menton, les joues et le front.

Il existe quatre sous-types cliniques de rosacée basés sur les signes et symptômes prédominants:

  • érythémato-télangiectatique,
  • papulo-pustuleux,
  • phymateux
  • et oculaire qui est présente dans 50-75% des rosacées
  • Les sous-types ne sont pas mutuellement exclusifs. Les patients peuvent présenter des caractéristiques de plusieurs sous-types, et les caractéristiques et domaines d'implication prédominants peuvent changer avec le temps. Cinquante à soixante-quinze pour cent des patients atteints de rosacée ont une atteinte oculaire avec des symptômes tels que sécheresse, rougeur, larmoiement, sensation de picotement / brûlure, sensation de corps étranger, sensibilité à la lumière et vision trouble. En plus des symptômes cutanés et oculaires, la rosacée peut causer de l'anxiété, de l'embarras et de la dépression et peut avoir un impact significatif sur la qualité de vie. Bien que généralement limitée à la peau, une association de la rosacée avec des comorbidités systémiques telles que les maladies neurologiques, les maladies inflammatoires de l'intestin et les maladies cardiovasculaires a été rapportée.

Épidémiologie

Le diagnostic de la rosacée étant principalement basé sur un jugement clinique.

Un grand nombre de patients, en particulier ceux atteints d'une maladie bénigne, peuvent ne pas être diagnostiqués.

Incidence mondiale de la rosacée est supérieure à 5% de la population, et touchant plus de 10% des Blancs

Elle favorise les adultes entre 30 et 50 ans, touche plus les femmes que les hommes et est plus fréquemment diagnostiquée chez les individus à peau claire (phototypes I et II), . [1][2][3]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

L'étiologie exacte de la rosacée n'est pas entièrement comprise. Elle demeure multifactorielle.

Physiopathologie

La dysrégulation neurovasculaire, l'activation du système immunitaire et l'infestation par les acariens Demodex font partie des mécanismes physiopathologiques postulés pour la rosacée.


Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

La rosacée se présente généralement à l'âge adulte, bien qu'elle puisse rarement affecter les enfants.

La rosacée présente 4 sous-types cliniques différents au cours de la maladie.

  • Le sous-type érythématotélengiectatique: Généralement est la première manifestation clinique de la rosacée, se déclare par un érythème persistant avec des rougeurs intermittentes du nez et des joues.
  • Dans la forme papulo-pustuleuse: les patients présentent des éruptions de papules et de pustules sur la zone touchée du visage. Appelé «acné adulte» en raison de la similitude dans l'apparence des lésions, ce sous-type manque notamment de comédons, ce qui aide à le différencier du véritable acné.
  • Le sous-type phymateux se manifeste par une fibrose et une hypertrophie des glandes sébacées. Le rhinophyma est généralement observé sur le nez des patients de sexe masculin , mais peut également affecter les joues, le menton et la glabelle. Bien que le phyma soit généralement une manifestation tardive de la rosacée, des cas de novo sans modification cutanée préalable ont été signalés.
  • La rosacée oculaire se présente avec larmoiement, sécheresse oculaire, sensation de gravier, prurit, orgelet et blépharite.

Sur la base des dernières directives de diagnostic du Comité d'experts de la National Rosacea Society, l'une des présentations cliniques suivantes est considérée comme un diagnostic de la rosacée: [3]

Érythème centro-facial fixe dans un schéma caractéristique qui peut périodiquement s'intensifier [3]

Changements phymatiques[3]

Deux des principaux critères suivants ci-dessous sont également considérés comme diagnostiques: [3]

Rinçage [3]

Papules et pustules[3]

Télangiectasie[3]

Manifestations oculaires, y compris télangiectasie du bord de la paupière, injection conjonctivale interpalpébrale, infiltrat en forme de pelle dans la cornée et sclérite et sclérokératite.

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

La rosacée est un diagnostic clinique. Les patients doivent être interrogés sur les déclencheurs potentiels. Une évaluation ophtalmique est nécessaire pour les patients présentant des symptômes oculaires.

Histopathologie

La rosacée est un diagnostic clinique et une biopsie n'est généralement pas nécessaire. Les résultats histologiques de la rosacée peuvent varier selon les différents sous-types. L'élastose solaire, la télangiectasie, l'œdème et l'infiltration lymphohistiocytaire périvasculaire peuvent être observés dans le sous-type érythématotélangiectatique. La rosacée papulopustuleuse présente une infiltration neutrophile dans les follicules pileux. Une hyperplasie des glandes sébacées, une fibrose et une dilatation des follicules pileux sont observées dans la rosacée phymateuse. La formation de granulomes est observée dans le sous-type de rosacée granulomateuse.

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Acné: Bien que les deux maladies partagent des papules et des pustules, la présence de comédons est unique à l'acné et aide à distinguer les deux.

La dermatite séborrhéique se manifeste par un érythème et une desquamation grasse sur le cuir chevelu et le visage. Il a tendance à se répartir davantage dans les plis nasogéniens et les zones poilues du visage. Étant donné que les deux conditions sont courantes, de nombreux patients présenteront à la fois une dermatite séborrhéique et une rosacée. Le traitement de l'un peut démasquer l'autre.

La kératose pilaire rubra affecte généralement les patients adolescents présentant de minuscules papules folliculaires des joues latérales et du cou sur des plaques érythémateuses.

Bouffées de chaleur: Les bouffées de chaleur dans la rosacée sont généralement limitées au visage. Un rinçage impliquant d'autres zones mérite une attention particulière.

Lupus érythémateux cutané aigu: l'éruption malaire du lupus peut ressembler à la rosacée, mais elle épargne généralement les plis nasogéniens et manque de papulopustules.

Éruption acnéiforme d'origine médicamenteuse: L'apparition est généralement brusque et temporellement liée à la prise de médicaments. Les lésions sont généralement monomorphes (toutes les papules ou pustules au même stade) et impliquent le tronc.

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

La première étape du traitement de la rosacée consiste à conseiller au patient d'identifier puis d'éviter les déclencheurs tels que la lumière UV, les épices, les changements climatiques et les boissons alcoolisées. Les recommandations universelles de soins de la peau pour tous les patients atteints de rosacée comprennent des nettoyants pour la peau à pH équilibré (par opposition aux savons), un écran solaire à large spectre avec un FPS 30 ou plus et l'utilisation régulière d'hydratants. La rosacée rend souvent la peau sensible et irritable, et les produits qui provoquent une irritation doivent être évités. Les cosmétiques contenant du pigment vert sont les meilleurs pour masquer l'érythème persistant.[6] Le choix du traitement est guidé par les signes et symptômes présents pour chaque patient. La majorité des thérapies visent à réduire l'inflammation. Bien qu'ils fournissent des propriétés anti-inflammatoires, les stéroïdes topiques doivent être évités dans la rosacée car ils sont associés à une poussée de rebond ou à l'induction d'une dermatite périorale de type rosacée. système vasculaire, comme la brimonidine, l'oxymétazoline ou le laser vasculaire. Les changements phymateux de la rosacée entraînent des changements irréversibles de la peau qui nécessitent une intervention chirurgicale lorsque cela est indiqué.

Traitement topique [3]

Érythème[3]


  • Tartrate de brimonidine (agoniste alpha-2) 0,33% gel (application quotidienne sur le visage)
  • Chlorhydrate d'oxymétazoline (agoniste alpha-1) crème 1% (application quotidienne sur le visage)
  • Papules et pustules inflammatoires
  • Crème Ivermectine 1% (application quotidienne)
  • Gel à l'acide azélaïque 15%, mousse ou crème 20% (application quotidienne 1 à 2 fois)
  • Gel ou crème métronidazole 0,75% et 1% (application quotidienne 1 à 2 fois) [3]

Implication oculaire [3]

Larmes artificielles[3]


  • Gel d'acide fusidique (application quotidienne 1 à 2 fois sur les paupières) données limitées disponibles pour l'efficacité
  • Gel de métronidazole à 0,75% (application quotidienne 1 à 2 fois sur les paupières) données limitées disponibles pour l'efficacité
  • Cyclosporine 0,05% collyre, (une goutte toutes les 12 heures) données limitées disponibles pour l'efficacité [3]

Traitement systémique[3]

Rinçage [3]


  • Propranolol (20 à 40 mg 2 à 3 fois / jour), carvédilol (6,25 mg 2 à 3 fois / jour)
  • Clonidine (50 mcg deux fois par jour) [3]

Papules et pustules inflammatoires[3]


  • Doxycycline à dose sous-antimicrobienne, à libération modifiée (40 mg par jour, 30 mg de billes à libération immédiate et 10 mg de billes à libération retardée, pendant 8 à 12 semaines)
  • Minocycline (50 à 100 mg deux fois par jour pendant 8 à 12 semaines)
  • Tétracycline (250 à 500 mg deux fois par jour pendant 8 à 12 semaines)
  • Azithromycine (250-500 mg 3 fois par semaine pendant 4 à 8 semaines)
  • Isotrétinoïne (0,25 à 0,3 mg / kg / jour pendant 12 à 16 semaines) [3]

Phyma (enflammé) [3]


  • Doxycycline (100 mg 1 à 2 fois par jour pendant 8 à 12 semaines)
  • Tétracycline (250 à 500 mg deux fois par jour pendant 8 à 12 semaines)
  • Isotrétinoïne (0,25-0,3 mg / kg / jour pendant 3 à 4 mois) [3]

Implication oculaire [3]


  • Doxycycline à dose sous-antimicrobienne, à libération modifiée (40 à 100 mg par jour) [3]

Procédures / Interventions[3]


  • Érythème / télangiectasie
  • Thérapie par la lumière pulsée intense
  • Laser NdYAG
  • Laser à colorant pulsé PDL 585 à 595 nm[3]

Phyma (non enflammé) [3]


  • Laser CO2 10 600 nm
  • Résection chirurgicale
  • Électrochirurgie[3]

La référence à un ophtalmologiste est recommandée si le patient présente une atteinte oculaire, en particulier des symptômes sévères ou des troubles visuels. Un traitement topique est recommandé chez la femme enceinte. L'azithromycine, l'érythromycine et la clarithromycine sont considérées comme sûres chez les femmes enceintes atteintes de rosacée inflammatoire légère à sévère. Les thérapies systémiques sont souvent utilisées pour les poussées qui ne répondent pas à la seule thérapie topique. La poursuite du traitement topique est recommandée pour maintenir la rémission après avoir contrôlé la poussée. [7][1][8][9][10][3]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

La rosacée n'est pas une maladie potentiellement mortelle et le pronostic global de la rosacée est bon. Cependant, cela peut conduire à la dépression et à l'anxiété. S'ils ne sont pas traités, les patients peuvent développer des cicatrices permanentes et un érythème persistant. De plus, les séquelles oculaires pourraient être une complication de la rosacée oculaire non traitée. Des études récentes ont élaboré sur la corrélation possible de la rosacée avec les comorbidités neurologiques, cardiovasculaires, endocriniennes et gastro-intestinales. La prise en compte de ces comorbidités chez les patients atteints de rosacée peut être justifiée, bien qu'aucune recommandation de dépistage fondée sur des données probantes n'ait été établie à l'heure actuelle.[11][12][3]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Il faut conseiller aux patients de rédiger un journal des facteurs déclenchants et de les éviter. Protection UV stricte avec l'utilisation quotidienne d'un écran solaire, de préférence des produits minéraux, des soins de la peau doux, l'utilisation de nettoyants sans savon et non comédogènes, et en évitant les recommandations de produits cosmétiques et de soins de la peau irritants que les fournisseurs devraient discuter avec les patients.

Références

__NOVEDELETE__
  1. 1,0 et 1,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29091565
  2. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31487337
  3. 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 3,10 3,11 3,12 3,13 3,14 3,15 3,16 3,17 3,18 3,19 3,20 3,21 3,22 3,23 3,24 3,25 3,26 3,27 3,28 et 3,29 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/32491506
  4. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29499802
  5. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :2
  6. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15810806
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  8. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées :6
  9. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29499797
  10. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30585305
  11. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29089181
  12. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29107339
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