Périchondrite auriculaire

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Périchondrite auriculaire
Maladie

Caractéristiques
Signes Abcès, Otite moyenne aiguë, Oreille oedématiée, Oreille érythémateuse, Oreille chaude, Douleur à la palpation du pavillon de l'oreille, Adénopathies rétroauriculaires, Adénopathies préauriculaires, Marie-Pier Clément/Brouillons/Otite externe aiguë, Température corporelle élevée
Symptômes
Oedème, Chaleur, Otalgie , Érythème cutané , Température corporelle élevée
Diagnostic différentiel
Granulomatose avec polyangéite, Mastoïdite, Otite externe maligne, Otite moyenne aiguë, Cellulite bactérienne, Polychondrite récidivante, Marie-Pier Clément/Brouillons/Otite externe aiguë
Informations
Spécialité ORL

Page non révisée


La périchondrite auriculaire est une inflammation et une infection de la paroi périchondrale du cartilage de l'oreille également appelée périchondrite du pavillon de l'oreille qui survient généralement à la suite d'un traumatisme [1]. Lorsque le cartilage est impliqué, le terme chondrite est utilisé. Les cas de périchondrite ont augmenté ces dernières années selon les auteurs suite à une augmentation du piercing trans cartilagineux, qui comparé au piercing du lobule présente un plus grand risque d'infection[2]. Non traitée, la périchondrite peut conduire à la formation d'abcès, la nécrose focale du cartilage avec déformation de l'oreille et même à une septicémie[3]. Lorsque le cartilage est impliqué, le terme chondrite est utilisé. La périchondrite se présente classiquement comme une rougeur et un gonflement douloureux de l'oreille qui épargne le lobule[4].

Épidémiologie

Bien que l'incidence puisse augmenter avec l'utilisation de Piercings des oreilles, la périchondrite est une condition qui reste relativement rare[1] . Le pseudomonas aeruginosa est le principal agent pathogène de la périchondrite suppurée ( c'est à dire abcédé). Dans une série de 112 cas rapporté par Tejs Ehlers Klug et al qui comprenait 12 patients avec abcès et 100 sans abcès, Pseudomonas aeruginosa étaient retrouvés dans 58% des cas avec abcès tandis que le Staphylococus aureus était retrouvé dans 49% des cas sans abcès. Seulement 7% des cultures faites en absence d'abcès contenaient le P. aeruginosa[5]. Dans la littérature, il est recommandé une antibiothérapie couvrant cette bactérie anaérobique surtout dans les formes abcédées. Les agents pathogènes associés à la périchondrite sans abcès autre que le Staphylococcus aureus ne sont pas clarifiés. P. aeruginosa et Staphylococcus aureus ont été isolés dans plusieurs cas. Escherichia coli and Proteus ont été évoqués comme autres germes responsables. A ce jour il n'existe pas de méta analyse ou d'essai contrôlé randomisé sur les périchondrites pour guider clairement l'approche thérapeutique.[6]

Étiologies

Etiologie Mécanisme Particularités
Traumatisme Il peut s'agir d'un traumatisme direct ou d'un micro traumatisme par un object telle qu'une aiguille d'acupuncture. La périchondrite survient via la formation d'un hématome sous-périchondral
Brûlure Augmentation de la perméabilité capillaire conduisant à un œdème, chondronécrose due au choc thermique, augmentation de la pression tissulaire et diminution de la vascularisation.[7]
Le percing transcartilage C'est l'étiologie la plus courant chez les adolescents et les jeunes adultes en particulier les perforations du cartilage du tiers supérieur du pavillon causant une panniculite du pavillon [8]
Morsure d'insectes Par piqure et inoculation directe mais aussi les lésions de grattage
Otite moyenne aigue C'est une complication de l'otite non traité qui s'étend au pavillon et au cartilage de l'oreille
Otite externe La chondrite et la périchondrite peuvent résulter d'un traumatisme ou d'une extension directe d'une otite externe. Les étiologies infectieuses courantes comprennent les espèces telles que P. aeruginosa , S. aureus , E. coli et Proteus
Otite maligne externe Se fait via l'infection invasive de l'os temporal classiquement causée par le Pseudomonas aeruginosa.
Maladies systémiques
  • Granulomatose avec poly angéite: la péri chondrite entre dans le cadre de l'atteinte ORL par inflammation chronique suite à l'infiltrat des lymphocytes, cellules épithélioïdes et parfois cellules géantes.
  • Polychondrite atrophiante: Inflammation récurrente d'origine probablement auto immune touchant les cartilages des oreilles et du nez, et s'accompagnant entre autres de manifestations ostéo articulaires, rénales, trachéobronchiques, cardio vasculaire[9]
Cancers: Leucémie aigue myéloblastique, lymphome à cellules B et T, Syndrome d'Immuno- déficience acquise relié au Lymphome non hodgkinien La périchondrite peut être un mode de révélation de ces cancers par infiltration tumorale[10]
Périchondrite iatrogénique Suite à un arthroplastie de l ' articulation temporo-mandibulaire
Périchondrite post opératoire Périchondrite auriculaire postopératoire après une tympanoplastie par voie endaurale[11]

Physiopathologie

Plusieurs auteurs postulent qu'une incidence croissante de périchondrite peut être associée à la popularité croissante du perçage élevé de l'oreille chondrale. Le périchondre est une couche de tissu conjonctif épais et facilite la croissance et la réparation du cartilage. Un traumatisme peut entrainer une micro fracture du cartilage avasculaire et causer un détachement de la couche péri chondrale du cartilage aboutissant ainsi à la dévascularisation et la nécrose[12]. La vascularisation précaire du cartilage de l'oreille rend cette zone susceptible aux infections malgré les mesures d'asepsie. Si le sang se collecte dans les espaces crées par le cartilage surélevé, celui ci va se solidifier et aboutir à une déformation structurale permanente appelée "oreille en chou fleur". Non traitée, la périchondrite va s'étendre aux tissus mous ce qui va aboutir à une cellulite ou des abcès[13].

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Présentation clinique

Le patient se présente souvent en consultation avec des otalgies qui s 'aggrave avec le temps , un œdème ,une rougeur et une chaleur sont souvent présents. D'autres symptômes peuvent être en fonction de la cause sous jacente.

A l'interrogatoire, il est important de rechercher:

  • Les circonstances d'apparition (brulures, morsures, chirurgie, acupuncture) et l'évolution
  • La présence de signes généraux (fièvre, fatigue, anorexie…)
  • Une otorrhée qui orientera vers une otite externe. On peut noter un gonflement et même une sténose du conduit auditif , ce qui rend impossible la visibilité de la membrane tympanique[14] .
  • Une hypoacousie ou surdité
  • Une atteinte bilatérale doit faire suspecter une maladie systémique. L'association à une douleur du nez ,à une symptomatologie articulaire, respiratoire , cardio vasculaire ou rénale sera recherchée. Il faudra aussi préciser la notion d'une pathologie auto immune chez le patient ou dans sa famille
  • Une atteinte des paires crâniennes[15]
  • Présence d'une comorbidité (diabète, immunodépression, infection au virus Herpes Zona…)
  • Une affection dermatologique (psoriasis, eczéma…)
  • Les traitements pris notamment les antibiotiques

Par la suite , un examen physique complet sera performé:

Examen physique
Inspection Recherche d 'une tuméfaction douloureuse , une rougeur , hématome, signe de nécrose, abcès, signes de grattage, une déformation, un écoulement. L'examen sera bilatérale
Palpation Recherche d'une chaleur , une sensibilité ou nodule du pavillon de l'oreille. Le lobule de l 'oreille et le tragus sont souvent épargnés. Palpation de l'apophyse mastoïde et des régions pré et rétro auriculaire
Examen du tympan Débute par l'oreille saine. Recherche d'une otite moyenne, d'une collection et étude du conduit auditif externe pour distinguer l'otite moyenne de l'otite externe étendue
Autre En fonction des données de l'interrogatoire:
  • Examen oto-rhino-laryngologique complet pour rechercher d'autres atteintes cartilagineuse notamment
  • Examen ostéo articulaire, respiratoire, cardio vasculaire, rénale pour les maladies systémiques
  • Examen abdominal et des aires ganglionnaire pour affections hématologiques

Les symptômes comprennent une rougeur et une tuméfaction douloureuse. L'évolution de la périchondrite peut être indolente, récidivante, durable et destructrice.

À la palpation, une sensibilité a/n du pavillon. Le lobule de l'oreille et le tragus sont généralement épargnés , de la chaleur et un oedème fluctuant doivent être recherché. Toujours chercher une douleur a/n de la région mastoide. Examen du CAE et du tympan sont systématiques.signes vitaux, était normal. Les caractéristiques importantes qui aident à distinguer une otite externe étendue ou d'une otite moyenne étaient l'épargne du lobule de l'oreille et du conduit auditif normal et des membranes tympaniques. Les autres diagnostics différentiels pris en compte incluaient l'otite externe maligne, la mastoïdite et l'hématome auriculaire, mais chacun d'entre eux a des caractéristiques distinctives qui ne sont pas présentes dans la périchondrite et sont bien décrites dans la littérature.

En outre, si une formation d'abcès est suspectée ou cliniquement identifiée, le patient a besoin d'antibiotiques parentéraux et d'une évaluation rapide par un spécialiste ORL, car une incision et un drainage avec un éventuel débridement des tissus nécrotiques du cartilage peuvent être nécessaires.

Facteurs de risque

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Examen clinique

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Examens paracliniques

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Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Le diagnostic est généralement clinique. Si présence de pus faire la culture. Si suspicion d'otite maligne, un CT Scan ou une IRM peuvent être demandés. Si hypoacousie, un audiogramme est recommandé

Approche clinique

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

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Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Traitement

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Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 
  • traitement 1
  • traitement 2
  • traitement 3
  • ...
  • antibiothérapie intraveineuse couvrant S. aureus est un traitement empirique suffisant et approprié chez la majorité des patients atteints de périchondrite sans abcès. La couverture antibiotique doit être étendue pour inclure P. aeruginosa si la réponse clinique est décevante ou si les cultures font pousser P. aeruginosa . Les risques et les inconvénients de cette approche semblent limités car seule une minorité de patients a souffert de séquelles cosmétiques (mineures) et de rechute d'infection dans notre cohorte de patients atteints de périchondrite non abcès initialement traités avec des antibiotiques ne couvrant pas P. aeruginosa[16]

Les fluoroquinolones orales (par exemple, la lévofloxacine) chez les adolescents et les adultes. Cependant, le traitement ambulatoire avec des fluoroquinolones peut toujours être un défi pour les médecins, non pas en raison des effets indésirables, mais en raison des profils croissants de résistance aux antibiotiques. Il est recommandé de prendre en compte les antibiogrammes locaux pour décider de traiter en ambulatoire ou en hospitalisation et choisir l'antibiotique empirique approprié. Certains auteurs recommandent systématiquement une hospitalisation pour tous les cas de périchondrite, car les patients bénéficieront d'une évaluation urgente spécialisée et d'une antibiothérapie parentérale, en particulier chez les patients pédiatriques. Les fluoroquinolones, telles que la ciprofloxacine, ont une excellente pénétration tissulaire et peut-être les seuls véritables médicaments anti-pseudomonaux oraux disponibles. Malheureusement, en pédiatrie, l'utilisation de fluoroquinolones à la fois systémiques et topiques a été historiquement limitée en raison des risques apparents de dommages au cartilage en croissance et d'arthropathies. [17]

Souvent, un corticostéroïde systémique pour ses effets anti-inflammatoires est ajouté. [18]

En cas d'abcès ou de gonflement fluctuant, la prise en charge justifie une hospitalisation pour les agents anti-pseudomonaux parentéraux et une évaluation par un spécialiste ORL pour une éventuelle incision et un drainage avec débridement tissulaire si nécessaire.

Un traitement à l'oxygène hyperbare chez les patients diabétiques atteints de périchondrite du pavillon de l'oreille a été proposé. [19]

Tout matériau étranger (p. ex., anneau) doit être enlevé. Si l'étiologie n'est pas clairement infectieuse (p. ex., piercing infecté), les patients doivent être évalués à la recherche d'un trouble inflammatoire ( Revue générale des vascularites). [18]

Suivi

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].
  • complication 1
  • complication 2
  • complication 3
  • ...
  • La périchondrite auriculaire aiguë doit être diagnostiquée rapidement par le SU ou le médecin de soins primaires, car un diagnostic et un traitement retardés peuvent entraîner une nécrose du cartilage liquéfactif et des résultats esthétiques permanents. En cas d'abcès ou de gonflement fluctuant, la prise en charge justifie une hospitalisation pour les agents anti-pseudomonaux parentéraux et une évaluation par un spécialiste ORL pour une éventuelle incision et un drainage avec débridement tissulaire si nécessaire. En cas de tentative de prise en charge ambulatoire initiale, les fluoroquinolones orales peuvent être utilisées en toute sécurité chez un patient pédiatrique, à condition qu'il y ait un suivi ambulatoire adéquat et rapproché pour la réponse au traitement et la surveillance des événements indésirables

La formation d'abcès associée à la périchondrite entraîne souvent une perte de cartilage et une déformation de l'oreille (oreille en chou-fleur). [20]

La formation d'abcès associée à la périchondrite entraîne souvent une perte de cartilage et une déformation de l'oreille (oreille en chou-fleur). [20] Même avec un traitement antibiotique opportun et approprié, ces infections peuvent entraîner une nécrose du cartilage et une défiguration esthétique. [21]

Évolution

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Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
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La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Prévention

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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
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Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Notes

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TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die

Références

  1. 1,0 et 1,1 H. Kishore C. Prasad, S. Sreedharan, H. Sampath C. Prasad et M. Hari Meyyappan, « Perichondritis of the auricle and its management », The Journal of Laryngology and Otology, vol. 121, no 6,‎ , p. 530–534 (ISSN 1748-5460, PMID 17319983, DOI 10.1017/S0022215107005877, lire en ligne)
  2. Z. W. Liu et P. Chokkalingam, « Piercing associated perichondritis of the pinna: are we treating it correctly? », The Journal of Laryngology and Otology, vol. 127, no 5,‎ , p. 505–508 (ISSN 1748-5460, PMID 23442437, DOI 10.1017/S0022215113000248, lire en ligne)
  3. Najeed Khan et Nina Cunning, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 34283447, lire en ligne)
  4. Mark D Rivera-Morales, Jennifer L Rodríguez-Belén, Ariel Vera et Latha Ganti, « Perichondritis: Not All Ear Pain Is Otitis », Cureus, vol. 12, no 10, {{Article}} : paramètre « année » ou « date » manquant (ISSN 2168-8184, PMID 33251051, Central PMCID 7686808, DOI 10.7759/cureus.11141, lire en ligne)
  5. « Résolveur de lien WorldCat, le serveur-lien OpenURL d'OCLC », sur mcgill.on.worldcat.org (consulté le 23 juin 2022)
  6. H. Kishore C. Prasad, S. Sreedharan, H. Sampath C. Prasad et M. Hari Meyyappan, « Perichondritis of the auricle and its management », The Journal of Laryngology and Otology, vol. 121, no 6,‎ , p. 530–534 (ISSN 1748-5460, PMID 17319983, DOI 10.1017/S0022215107005877, lire en ligne)
  7. (en) Demetrios G. Skedros, I. William Goldfarb, Harvey Slater et James Rocco, « Chondritis of the Burned Ear: A Review », Ear, Nose & Throat Journal, vol. 71, no 8,‎ , p. 359–362 (ISSN 0145-5613 et 1942-7522, DOI 10.1177/014556139207100806, lire en ligne)
  8. Alan Lucerna et James Espinosa, « Acute atraumatic pinna (auricular) perichondritis », World Journal of Emergency Medicine, vol. 9, no 2,‎ , p. 152–153 (ISSN 1920-8642, PMID 29576831, Central PMCID 5847504, DOI 10.5847/wjem.j.1920-8642.2018.02.013, lire en ligne)
  9. « Polychondrite (récidivante) atrophiante - Troubles musculosquelettiques et du tissu conjonctif », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 23 juin 2022)
  10. « Perichondritis - an overview | ScienceDirect Topics », sur www.sciencedirect.com (consulté le 23 juin 2022)
  11. Chih-Chieh Tseng et An-Suey Shiao, « Postoperative auricular perichondritis after an endaural approach tympanoplasty », Journal of the Chinese Medical Association: JCMA, vol. 69, no 9,‎ , p. 423–427 (ISSN 1726-4901, PMID 17051753, DOI 10.1016/S1726-4901(09)70285-0, lire en ligne)
  12. J. Hanif, A. Frosh, C. Marnane et K. Ghufoor, « Lesson of the week: "High" ear piercing and the rising incidence of perichondritis of the pinna », BMJ (Clinical research ed.), vol. 322, no 7291,‎ , p. 906–907 (ISSN 0959-8138, PMID 11302908, Central PMCID 1120071, DOI 10.1136/bmj.322.7291.906, lire en ligne)
  13. Najeed Khan et Nina Cunning, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 34283447, lire en ligne)
  14. Eli Bress et Jason E. Cohn, « Perichondritis: inspect the lobule », International Journal of Emergency Medicine, vol. 13,‎ (ISSN 1865-1372, PMID 33115411, Central PMCID 7594288, DOI 10.1186/s12245-020-00310-z, lire en ligne)
  15. Najeed Khan et Nina Cunning, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 34283447, lire en ligne)
  16. Tejs Ehlers Klug, Niels Holm, Thomas Greve et Therese Ovesen, « Perichondritis of the auricle: bacterial findings and clinical evaluation of different antibiotic regimens », European archives of oto-rhino-laryngology: official journal of the European Federation of Oto-Rhino-Laryngological Societies (EUFOS): affiliated with the German Society for Oto-Rhino-Laryngology - Head and Neck Surgery, vol. 276, no 8,‎ , p. 2199–2203 (ISSN 1434-4726, PMID 31079204, DOI 10.1007/s00405-019-05463-z, lire en ligne)
  17. Eli Bress et Jason E. Cohn, « Perichondritis: inspect the lobule », International Journal of Emergency Medicine, vol. 13, no 1,‎ , p. 51 (ISSN 1865-1372, PMID 33115411, Central PMCID 7594288, DOI 10.1186/s12245-020-00310-z, lire en ligne)
  18. 18,0 et 18,1 « Périchondrite de l'oreille - Affections de l'oreille, du nez et de la gorge », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 30 novembre 2020)
  19. Diving and Hyperbaric Medicine Journal, Diving and Hyperbaric Medicine Journal (lire en ligne)
  20. 20,0 et 20,1 (en-US) Gail M. Stewart, Andrea Thorp et Lance Brown, « Perichondritis-A Complication of High Ear Piercing », Pediatric Emergency Care, vol. 22, no 12,‎ , p. 804–806 (ISSN 0749-5161, DOI 10.1097/01.pec.0000248687.96433.63, lire en ligne)
  21. « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 30 novembre 2020)
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