Bloc auriculoventriculaire du troisième degré

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Bloc auriculoventriculaire du troisième degré
Maladie
Caractéristiques
Signes Pâleur, Bruits cardiaques, Remplissage capillaire, Bradycardie , Onde A canon des jugulaires, Hypotension artérielle , Diaphorèse , Bruit de canon
Symptômes
Confusion, Signes vitaux, Maladie de Lyme, Myocardite, Pâleur, Chirurgie cardiaque, Intoxication médicamenteuse, Dyspnée , Syndrome coronarien aigu, Nausée, ... [+]
Diagnostic différentiel
Épilepsie, Hypotension orthostatique, Attaque de panique, Accident vasculaire cérébral, Bradycardie sinusale, Tamponnade cardiaque, Hypersensibilité du sinus carotidien, Fibrillation ventriculaire, Tachycardie ventriculaire, Bloc auriculo-ventriculaire du premier degré, ... [+]
Informations
Terme anglais Bloc auriculo-ventriculaire du troisième degré

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Un bloc auriculo-ventriculaire (AV) est une perte de fonction régulière des voies électroconductrices cardiaques. Le bloc AV du troisième degré est une perte complète de communication entre les oreillettes et les ventricules. Sans conduction appropriée à travers le nœud AV, le nœud SA ne peut pas agir pour contrôler la fréquence cardiaque, et le débit cardiaque peut diminuer suite à une perte de coordination des oreillettes et des ventricules. [1]

Épidémiologie

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Bien que les blocs AV soient assez fréquents, les blocs AV du troisième degré sont relativement rares. [2] L'incidence dans la population générale semble être faible, environ 0,02 % à 0,04 %. chez les personnes ayant un fardeau de maladie plus important, l'incidence augmente avec une étude de patients de la Veterans Health Administration, démontrant une incidence de 1,1 % chez les personnes atteintes de diabète sucré et de 0,6 % chez celles souffrant d'hypertension.[3][1]

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Les étiologies sont :

  • l'étiologie 1
  • l'étiologie e 2
  • l'étiologie 3
  • ... La cause sous-jacente des blocs AV est variée et la même pour tous les degrés de blocs. Ces causes comprennent la fibrose idiopathique et les maladies cardiaques chroniques sous-jacentes telles que les cardiopathies structurelles, les cardiopathies ischémiques aiguës, la toxicité des médicaments, l'ablation ganglionnaire, les anomalies électrolytiques et le bloc cardiaque postopératoire, comme après un remplacement chirurgical ou transcathéter de la valve aortique.[4] Autres causes de Le bloc AV comprend la maladie de Lyme et certaines maladies systémiques telles que les troubles vasculaires du collagène, l'amylose, la sarcoïdose et le lupus érythémateux disséminé. avec un bloc cardiaque complet infranodal est une affection potentiellement mortelle. Environ 5 à 10 % des patients présentant un IDM de la paroi inférieure développeront un bloc cardiaque complet, mais celui-ci peut disparaître en 2 à 48 heures. En général, un bloc cardiaque complet après un IDM aigu est rare. Les blocs AV peuvent accompagner l'occlusion de l'artère coronaire droite et la plupart disparaissent après revascularisation.[1] Un bloc AV peut survenir après une chirurgie à cœur ouvert, une perfusion septale d'alcool et des interventions coronariennes percutanées. Après chirurgie valvulaire aortique, le bloc cardiaque complet est plus fréquemment observé chez les patientes et celles présentant une calcification annulaire.[1]
Tableau 1. Les étiologies des blocs AV [5]
Catégories Étiologies
Congénitales
  • mutations génétiques
  • Bloc AV congénital
Infectieuses
Inflammatoires
Ischémiques
Dégénératives
Vagales (augmentation du tonus)
Métaboliques et endocrines
Autres
Iatrogéniques

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Dans un bloc AV de troisième degré, aussi appelé bloc AV complet, la conduction électrique qui se fait normalement entre l’oreillette et le ventricule n’est jamais transmise[6]. Cela mène à une dissociation auriculo-ventriculaire, caractérisée par des ondes P et des complexes QRS avec des rythmes distincts à l’ECG. Effectivement, le nœud SA poursuit son activité à un rythme fixe, mais les ventricules s'activent par un rythme d'échappement (jonctionnel ou ventriculaire) afin de conserver la fonction cardiaque***.

Les blocs de conduction sont regroupés en deux grandes catégories selon leur localisation dans le circuit électrique cardiaque: au-dessus du faisceau de His (échappement jonctionnel via des fascicules) ou au-dessous du faisceau de His (échappement ventriculaire via les myocytes). La morphologie du complexe QRS, la fréquence du rythme d’échappement ainsi que la présentation clinique peut varier pour ces deux catégories.

Pour un bloc supra-hissien, par exemple au niveau du noeud AV, les QRS seront étroits avec un rythme de 40 à 60 bpm. Pour un bloc infra-hissien, par exemple au niveau du faisceau de His, les QRS seront larges avec un rythme plus lent, soit de de 20 à 40 bpm[7].

Plus le rythme d’échappement est lent, plus le débit sanguin est altéré et donc pire est la présentation clinique.  Les patients avec cette maladie peuvent manifester des symptômes d’hypoperfusion, avoir des complications hémodynamiques comme des syncopes et peuvent même en mourir si leur condition n’est pas traitée.

La fréquence cardiaque sera généralement inférieure à 45 à 50 battements/min et la plupart des patients seront hémodynamiquement instables. Ce rythme est insensible à l'atropine et à l'exercice.[1]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Rarement, les patients sont asymptomatiques. Habituellement, ils peuvent présenter une fatigue généralisée, de la fatigue, des douleurs thoraciques, un essoufflement, une présyncope ou une syncope. Ils peuvent présenter une instabilité hémodynamique importante et peuvent être obnubilés. L'état du patient au moment de la présentation peut varier en fonction de la maladie concomitante et de la vitesse du rythme d'échappement. Les patients présentant un bloc AV complet accompagnant un infarctus aigu du myocarde présentent souvent des symptômes ischémiques de douleur thoracique ou de dyspnée. Les antécédents médicaux incluent souvent la présence d'une maladie cardiovasculaire et/ou de ses facteurs de risque, notamment le diabète sucré, l'hypertension, la dyslipidémie et le tabagisme, etc.[1] L'examen physique est généralement remarquable pour la bradycardie. L'examen JVP montre souvent des ondes A en canon dues à la contraction simultanée des oreillettes et des ventricules. Ainsi, une très grande onde de pression est ressentie contre la veine. En particulier avec des fréquences cardiaques inférieures à 40/min, les patients peuvent également présenter des caractéristiques compatibles avec une insuffisance cardiaque décompensée, une détresse respiratoire et une hypoprofusion telles que diaphorèse, tachypnée, altération de l'état mental, rétraction, peau froide et diminution du remplissage capillaire.[1] La présence de tout nouveau souffle doit être noté car il existe une forte association entre le bloc AV complet et les cardiomyopathies, la calcification mitrale, la calcification aortique ou l'endocardite. S'il existe une insuffisance cardiaque concomitante mise en évidence par un galop en S, un œdème périphérique ou une hépatomégalie, la stimulation immédiate est un élément crucial de la prise en charge. les endocardites, qui provoquent des blocs cardiaques.[1]

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont :

Questionnaire

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

***Les patients avec des blocs du troisième degré peuvent avoir des présentations cliniques variées.

Les enfants et les adolescents avec un bloc AV complet isolé peuvent être asymptomatiques, mais manifesteront en général des symptômes à l’âge adulte[8]. Cependant, presque la totalité des patients seront symptomatiques. De plus, ceux avec une pathologie cardiaque sous-adjacente, des complexes QRS larges, un long segment QT ou un bloc AV complet découvert à un jeune âge sont plus à risque d’être symptomatiques et même de mourir subitement[9].

Voici les éléments à rechercher au questionnaire si suspicion d’un bloc AV de troisième degré :

  • Étourdissement
  • Présyncope
  • Syncope cardiaque (Syndrome d'Adams-Stroke*), survient typiquement avec un début et une fin soudaine et sans prodrome
  • Fatigue généralisée
  • Douleur thoracique
  • Essoufflement
  • Dyspnée
  • Changement au niveau de l'état mental
  • Instabilité hémodynamique

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique permet d'objecter iver les signes suivants :

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents sont :

  • l'examen paraclinique 1 :
  • le signe paraclinique 2
  • l'examen paraclinique 2 :
  • le signe paraclinique 4, ...
  • ... Les patients en bloc cardiaque complet peuvent présenter une détresse importante. Après avoir stabilisé le patient, l'élément le plus important de l'évaluation est l'électrocardiogramme. L'électrocardiogramme aura une activité auriculaire et ventriculaire complètement indépendante sans relation entre l'onde P et le complexe QRS. La fréquence auriculaire, démontrée par l'onde P, devrait être plus rapide que la fréquence ventriculaire, comme le démontre le complexe QRS. Selon la localisation du bloc, le complexe QRS peut être de morphologie étroite (complexe QRS d'échappement jonctionnel) ou de morphologie large (complexe QRS d'échappement ventriculaire). Un ECG devrait également avoir une évaluation des signes d'ischémie. Un panel métabolique de base doit être obtenu pour corriger les anomalies électrolytiques et pour évaluer et corriger le glucose, qui pourrait être faible en toxicité des bêta-bloquants. La troponine doit également être évaluée et orientée pour rechercher un infarctus du myocarde. Chez les patients qui prennent de la digoxine, un taux de digoxine doit être obtenu pour exclure la toxicité de la digoxine. Une radiographie pulmonaire et une formule sanguine complète sont nécessaires pour évaluer les maladies concomitantes.[1]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le différentiel diagnostic de la maladie est :

  • le diagnostic différentiel 1
  • le diagnostic différentiel 2
  • le diagnostic différentiel 3
  • ... Le bloc cardiaque du troisième degré est souvent un diagnostic simple sur l'ECG 12 dérivations. Elle se caractérise par la présence d'une dissociation AV complète, avec une fréquence auriculaire plus rapide que la fréquence ventriculaire. Il est crucial de différencier le bloc cardiaque complet de la dissociation AV liée à d'autres causes telles que les rythmes idioventriculaires où la fréquence ventriculaire est plus rapide que les fréquences auriculaires. Parfois, un bloc cardiaque du deuxième degré et des blocs AV de haut degré peuvent se faire passer pour un bloc cardiaque complet. Des ECG répétés ou des bandes de rythme plus longues sont souvent utiles pour faire une telle distinction.[1]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

traitement 1}}

  • le traitement 2
  • le traitement 3
  • ... La prise en charge initiale des patients bradycardiques symptomatiques commence généralement par l'utilisation d'atropine intraveineuse comme selon les recommandations avancées de réanimation cardiaque. Malheureusement, l'atropine agit au niveau du nœud AV et, en tant que telle, est rarement efficace pour augmenter la fréquence cardiaque chez les patients présentant un bloc cardiaque complet. Par la suite, les options médicales pour le traitement de la bradycardie symptomatique comprennent la dopamine et l'épinéphrine, mais les deux peuvent servir de mesure de soutien temporaire uniquement et peuvent également échouer à améliorer la fréquence cardiaque du patient dans le bloc AV du troisième degré. Souvent, les patients souffrant d'un bloc cardiaque du troisième degré auront besoin d'une stimulation. La stimulation transcutanée est plus rapide, même si la capture électrique et mécanique doit être assurée.[1] Si la stimulation transcutanée échoue, un stimulateur cardiaque transveineux est nécessaire. Chez les patients stables, une consultation cardiologue/électrophysiologiste pour la pose d'un stimulateur cardiaque permanent est la plus appropriée. La stimulation peut échouer si les maladies sous-jacentes à l'origine du bloc cardiaque ne sont pas traitées ; cela est particulièrement vrai dans le cas de la toxicité des médicaments. Chez ces patients, bien que le clinicien puisse essayer de stimuler, la priorité doit être de traiter la cause sous-jacente. Chez les patients présentant un bloc cardiaque secondaire à un infarctus aigu du myocarde, une stimulation temporaire est envisagée dans le laboratoire de cathétérisme. Chez les patients présentant un infarctus aigu inférieur secondaire à une occlusion de l'artère coronaire droite, la restauration rapide de la perfusion artérielle peut souvent conduire à une amélioration du bloc cardiaque complet. Au contraire, un bloc cardiaque complet lié à un infarctus antérieur est plus susceptible de nécessiter éventuellement la mise en place d'un stimulateur cardiaque permanent que les patients présentant un infarctus inférieur. Dans une vaste étude récente utilisant les bases de données nationales d'échantillons de patients hospitalisés chez des patients atteints d'un STEMI, l'incidence d'un bloc cardiaque complet s'est avérée être d'environ 2,2 % chez les patients atteints d'un IM aigu avec sus-décalage du segment ST. Elle a démontré que la mortalité hospitalière était significativement plus élevée chez les patients avec un bloc cardiaque complet que chez ceux qui n'en avaient pas. Bien que l'utilisation de la stimulation temporaire ait été plus élevée chez les patients atteints d'IM inférieur, le besoin d'un éventuel stimulateur cardiaque permanent était significativement plus élevé chez les patients atteints d'IM antérieur. bloc cardiaque complet. Une perfusion rapide augmente la probabilité de restauration du rythme natif.[1]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de cette maladie sont :

  • la complication 1
  • la complication 2
  • la complication 3
  • ... les blocs cardiaques de degré sont vulnérables à une diminution de la perfusion liée à une bradycardie symptomatique et à une diminution du débit cardiaque. Les patients peuvent subir des chutes et des blessures à la tête liées à la syncope. Les patients gravement malades peuvent être incapables de protéger leurs voies respiratoires et peuvent développer des nausées, éventuellement aspirer et peuvent avoir un délire. Les complications liées au traitement à court terme sont la malposition ou le délogement d'une sonde de stimulateur cardiaque et la perforation cardiaque à court terme et l'insuffisance cardiaque associée au stimulateur cardiaque à long terme. Comme c'est le cas pour le pronostic d'un bloc cardiaque du troisième degré, les complications dépendront fréquemment de l'état de santé général du patient et des mécanismes compensatoires.[1]

Évolution

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Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Long terme le pronostic du bloc AV du troisième degré n'est pas bien étudié (car il nécessite souvent un traitement en milieu aigu). Le pronostic dépend probablement de la charge de morbidité sous-jacente du patient et de la gravité de la présentation clinique à son arrivée. Le bloc cardiaque complet est parfois réversible dans des contextes tels que l'infarctus du myocarde aigu en rétablissant la perfusion coronarienne et dans des conditions telles que la maladie de Lyme par un traitement aux antibiotiques. Historiquement, les blocs AV de haut grade ont été considérés comme un marqueur de mauvais pronostic chez les patients atteints d'infarctus du myocarde avec élévation du segment ST, et des études plus récentes indiquent que cela continue d'être vrai à l'ère de l'intervention coronarienne percutanée.[10] Comme mentionné précédemment, le la présence d'un bloc cardiaque complet dans l'IM aigu est un prédicteur indépendant de l'augmentation de la mortalité chez ces patients. Le bloc cardiaque complet survient plus fréquemment chez les patients avec un IM inférieur qu'avec un IM antérieur. Bien que l'utilisation de la stimulation temporaire soit plus élevée chez les patients atteints d'IM inférieur, le besoin d'un éventuel stimulateur cardiaque permanent était significativement plus élevé chez les patients atteints d'IM antérieur. En outre, la mortalité associée à un bloc cardiaque complet est plus élevée chez les patients atteints d'IM antérieur que chez les patients atteints d'IM inférieur. question de jugement du clinicien.[11] Une enquête italienne portant sur un peu plus de 24 000 patients a révélé que 21 % recevaient une stimulation pour les blocs AV du troisième degré.[12] Bien que le stimulateur cardiaque soit le traitement définitif pour les patients en bloc AV du troisième degré, il entraîne une certaine charge cardiaque l'échec lui-même. Une étude de 2017 a conclu que les patients avec des blocs AV sont plus enclins à développer une insuffisance cardiaque que ceux sans bloc AV, à la fois aiguë (plus de 6 mois) et chronique (6 mois à 4 ans), ce qui peut être lié à la dépendance aux RV fréquents. stimulation.[13][1]

Prévention

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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

L'éducation des patients doit se concentrer sur la diminution du fardeau global de la maladie. Bien qu'ils ne soient pas directement responsables, les facteurs de risque cardiaque sous-jacents tels que le diabète sucré et l'hypertension, comme indiqué ci-dessus, sont associés à une prévalence accrue de bloc AV du troisième degré. D'une manière générale, l'accent mis sur la santé cardiaque globale devrait améliorer le pronostic. [1] Après l'implantation d'un stimulateur cardiaque permanent, les patients doivent être conseillés sur le soin des plaies et recevoir des instructions postopératoires. Les patients doivent souvent s'abstenir de conduire pendant environ 2 à 3 semaines et doivent utiliser une écharpe pendant la nuit et par intermittence pendant la journée pour éviter tout mouvement du bras au-dessus du niveau de l'épaule. Ils devraient recevoir une formation sur les appareils connus pour causer des interférences électromagnétiques importantes avec le stimulateur cardiaque, bien que cela soit moins préoccupant avec les appareils de stimulation de nouvelle génération disponibles sur le marché. Les patients doivent également être informés des contrôles périodiques du stimulateur cardiaque, y compris, mais sans s'y limiter, de la fonction de la sonde, des seuils de sonde et de l'évaluation de la durée de vie de la batterie. bloc AV). Chez les patients présentant un infarctus aigu du myocarde, une insuffisance cardiaque congestive ou des symptômes d'hypoperfusion, une consultation cardiologique urgente est indiquée. Un électrophysiologiste doit également être consulté le cas échéant.[1]

Références

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Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.

Fait partie de la présentation clinique de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.

Est une complication de ...

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