Dermatite séborrhéique

De Wikimedica
Dermatite séborrhéique (DS)
Maladie

Photographie de dermatite séborrhéique du visage chez l'adulte
Caractéristiques
Signes Maladie de Parkinson, VIH, Dermatite atopique, Blépharite, Conjonctivite, Tinea versicolor, Pellicules, Folliculite, Pustulose céphalique néonatale, Cuir chevelu, ... [+]
Symptômes
Asymptomatique , Sensation de brûlure, Pellicules, Prurit cutané , Érythème cutané
Diagnostic différentiel
Impétigo, Dermatomyosite, Dermatite de contact, Dermatite atopique, Tinea corporis, Eczéma nummulaire, Syphilis secondaire, Tinea versicolor, Candidose, Maladie de Darier, ... [+]
Informations
Terme anglais Seborrheic dermatitis
Autres noms dermite séborrhéique
Spécialité Dermatologie

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

La dermatite séborrhéique (DS) est une maladie érythémato-squameuse inflammatoire et chronique de la peau localisée aux zones riches en glandes sébacées [1][2].

Épidémiologie

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Environ 5% de la population mondiale, toutes ethnies confondues, est atteinte de DS. Il est toutefois intéressant de noter que les pellicules, la version non inflammatoire de la maladie, touche approximativement 50% des gens [3]. Les hommes en sont davantage atteints [4].

La prévalence de la DS évolue en fonction de l'âge. En effet, elle est plus importante de 0 à 3 mois de vie, où elle peut atteindre 72% des nourrissons selon une étude Australienne. Vient ensuite un autre pic débutant vers la fin de l'adolescence et chez les jeunes adultes, se poursuivant jusqu'à l'âge de 40 ans. D'après les résultats de l'étude de Rotterdam, 14% des adultes d'âge moyen et âgés étaient touchés par la DS [2][5]. Étant donné la grande prévalence durant les premiers mois de vie, la DS infantile (DSI) se distingue de la DS de l'adulte (DSA), faisant de la DS une maladie ayant deux formes de présentation [1][2][6][4]. Dans la forme adulte, les hommes sont davantage touchés tandis que chez le nouveau-né, les deux sexes sont également atteints [4].

Une prévalence importante de DS plus sévère et plus réfractaire aux traitements, est rencontrée dans le VIH-SIDA. Sa prévalence varie selon le stade de la maladie. Ainsi, elle touche 35% des personnes infectées à un stade précoce tandis que la prévalence s'élève à 85% chez les patients atteints du SIDA [6][7][8]. La prévalence est également plus élevée dans la maladie de Parkinson et chez les patients développant un parkinsonisme par la prise de neuroleptiques, dans la dépression, dans le syndrome de Down et finalement dans les cas de cancer des voies aériennes et digestives supérieures [2][9].

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Celle généralement reconnue soutient l'interaction entre levure du genre Malassezia, microorganisme non pathogène de la flore normale, certains composants du sébum et la sensibilité de l'individu à la présence de ces deux facteurs [6][10][8].

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

La physiopathologie de la DS demeure actuellement incomplète, cependant, il est connu que la production de sébum par les glandes sébacées y soit associée. Tout d'abord, une production accrue de sébum survient naturellement aux âges où la DS est plus la prévalent, soit chez le nouveau-né et le jeune adulte. Ensuite, la DS se situe justement aux endroits où la densité des glandes sébacées est la plus élevée. Ces éléments viennent donc appuyer l'implication de la séborrhée dans la physiopathologie, toutefois, celle-ci n'est pas toujours liée au développement de la DS comme l'ont démontré certaines études sur l'acné par exemple. La séborrhée agirait alors possiblement comme un facteur favorisant l'apparition de la DS et la présence de Malassezia. Il est également possible que la production d'androgène soit associée à une activité pilosébacée accrue. En effet, le développement de la DSA coïncide avec la puberté, elle est plus fréquente chez les hommes [2][4][11].

Ensuite, une modification de la flore normale de la peau pourrait être à l'origine d'une réaction immunitaire anormale à la levure Malassezia, à ses toxines ou à ses lipases. L'effet immunogène pourrait expliquer la réaction inflammatoire observée ainsi que la réponse altérée des lymphocytes T et du complément dans la DS chez les personnes susceptibles. La prévalence accrue chez les personnes porteuses du VIH supporte cette l'hypothèse de l'implication du système immunitaire. De plus, cette levure aurait un rôle dans la lyse du sébum, produisant ainsi des acides gras libres aux effets potentiellement inflammatoires tout en modifiant la composition lipidique cutanée. Certaines études ont démontré une présence plus importante de Malassezia sur les zones touchées, bien que plusieurs autres ne sont pas arrivées à la même conclusion, alimentant le débat. Néanmoins, l'hypothèse du rôle de cette levure est également appuyée par l'efficacité des traitements antifongiques.

S'ajoutent aux phénomènes décrits ci-haut une desquamation exagérée des kératinocytes, une altération des neurotransmetteurs de la peau ainsi que de la propriété barrière de celle-ci.

Finalement, les hypothèses avancées jusqu'à maintenant ne permettent pas de trouver un lien entre la forme infantile et adulte. Chez les nouveau-nés, la forte prévalence suggère quant à elle une explication davantage physiologique [2][4][8][11][12][13][14].

Présentation clinique

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque de développer la dermatite séborrhéique sont [8]:

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Chez l'adulte, les symptômes de la DS sont chroniques et récidivants. Ils peuvent survenir de façon soudaine et sévère chez les patients atteints du VIH. Les symptômes de la dermatite séborrhéiques sont [8]:

Chez le nouveau-né et le nourrisson, la DS apparait à partir de la 2e semaine de vie et le plus souvent, ils sont asymptomatiques. Ils ne présentent généralement pas de douleur ou de prurit.[8]

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].
Zones préférentielle de la dermatite séborrhéique
Dermatite séborrhéique du cuir chevelu chez l'adulte
Croûte de lait chez le nourrisson

Les éléments suivants sont à rechercher à l'examen clinique [8]:

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les tests suivants peuvent être faits, surtout pour éliminer des diagnostics alternatifs. En effet, le diagnostic de la dermatite séborrhéique est clinique et il n'est pas obligatoire d'effectuer de culture ou de test au KOH pour y parvenir. Les test pouvant être utiles sont les suivants [8]:

Histopathologie

L'histopathologie de la DS est non spécifique et n'est donc pas essentielle au diagnostic. Les éléments pouvant être retrouvés à l'histologie sont [4][8][17]:

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Le diagnostic de la DS est généralement clinique et basé sur les caractéristiques des lésions, leur distribution aux zones riches en glandes sébacées et l'évolution chronique par poussée et rémission. Il est important d'éliminer une infection au VIH devant un patient présentant une forme sévère et d'installation rapide. Il faut également voir à éliminer également une maladie de Parkinson devant un patient plus âgé présentant une DS grave et diffuse puisque cette dermatose s'améliore avec le traitement antiparkinsonien. Il faut finalement penser à éliminer une cause iatrogénique dont les syndromes extrapyramidaux médicamenteux [4][8][17].

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].
Diagnostic différentiel de la dermatite séborrhéique infantile et adulte [8]
DSA région diagnostic différentiel caractéristiques
Cuir chevelu psoriasis habituellement sans prurit, souvent localisé aux régions occipitale et frontale contrairement à la DS qui se trouve davantage au vertex et zones pariétales
eczéma (contact) survient après l'utilisation de shampooings et de teintures à cheveux
maladie de Darier les papules rugueuses sont en dôme, de couleur brun jaunâtre, disposées en grappe dans les régions séborrhéiques, acanthosis
dermatomyosite [20] sur le cuir chevelu, les plaques sont rosées et squameuses, présence d'un rash héliotrope et d'oedème périoculaire au visage et rechercher une atteinte systémique [20]
Visage psoriasis il est rarement isolé au visage, ongles piqués, lésions plus épaisses et squames moins gras que dans la DS [4]
lupus érythémateux (LE) le lupus discoïde se présente par une atrophie de la peau et par une alopécie cicatricielle
acné vulgaire on retrouve la présence de comédons
blépharite staphylococcique
dermatite (contact, irritative ou allergique) de contact : les paupières sont fréquemment atteintes

irritative : peau sèche, squames

allergique : peau enflée, vésicules

maladie de Darier rechercher une modification des ongles
Ongles dans la maladie de Darier
rosacée présence érythème et télangiectasie, peut causer une meibomite (inflammation des glandes de Meibomius)
Tronc psoriasis des plaques rouges bien délimitées, écailles argentées
pityriasis rosé la plaque maîtresse initiale est rosée, annulaire et entourée d'une collerette de squames. Après 5 à 10 jours, il y a apparition de multiples papules ovalaires saumonées distribuées en arbre de Noël [21]
pityriasis versicolor distribution non symétrique, hypo/hyperpigmentation
lupus érythémateux subaigu la localisation se situe aux zones photosensibles
eczéma nummulaire un prurit important, des lésions en forme de pièce de monnaie [22]
tinea corporis des lésions aux bordures surélevées, squameuses, rouges et à centre clair, peu fréquent chez les nourrissons
érythème annulaire centrifuge un érythème polycyclique récidivant, s'étendant et disparaissant lentement
Érythème annulaire centrifuge
maladie de Darier des papules et plaques graisseuses, verruqueuses
maladie de Grover (dermatose acantholytique transitoire) de l'acanthose
réaction médicamenteuse rechercher la prise de neuroleptiques, d'immunosuppresseurs, de lithium et de traitements PUVA
parapsoriasis chez la personne âgée, lésions résistantes aux traitements et à croissance très lente
pemphigus foliacé des cloques fragiles et douloureuses, un Nikolsky positif
syphilis secondaire des plaques cuivrées sur les paumes des mains et les plantes des pieds, antécédent de chancre, adénopathies généralisées et symptômes grippaux [17]
Syphilis secondaire sur les paumes des mains
Régions intertrigineuses psoriasis inverse des plaques rouges bien délimitées
dermatite de contact du prurit, des vésicules
tinea cruris une bordure surélevée, très rare chez le nourrisson
erythrasma une couleur rouge corail à la lampe de Wood
candidose des plaques érythémateuses, érosives, pustules satellites, obésité et immunodéficience
pemphigus bénin familial de l'acanthose
DSI Cuir chevelu (croûte de lait) tinea capitis des cheveux cassés, des points noirs
impétigo des croûtes jaunes, couleur miel
croûtes d'impétigo
Siège dermatite de contact irritative une tendance à épargner les plis
psoriasis des plaques rouges bien délimitées, des écailles argentées
histiocytose X (à cellules de Langerhans) tend à se limiter aux plis, purpura
acrodermatite entéropathique une atteinte périorificielle, mesure du zinc sérique

Traitement

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Outre les soins standards d'hygiène et d'hydratation de la peau [2][23], les traitements pouvant améliorer la qualité de vie des patients adultes sont les suivants [8]:

Traitements de la dermatite séborrhéique chez l'adulte
Indications Médicaments Usages
Crèmes, onguents et lotions atteinte de la peau et cuir chevelu
  • traitement de première intention [24][17]
  • traiter la pathologie sous-jacente
  • ils peuvent également avoir un effet anti-inflammatoire et donc de diminuer l'usage des corticostéroïdes [2]
  • traiter l'hyperkératose
  • traiter l'infection sous-jacente
  • soulager les symptômes associés dont les démangeaisons et l'inconfort
  • pour les symptômes importants des poussées modérées à sévères [24]
  • préférer l'alternance de puissances différentes de corticostéroïdes pour éviter les effets secondaires [25]
  • utiliser les corticostéroïdes topiques avec parcimonie et en 2e ligne de traitement et de courte durée [2][17]
  • les inhibiteurs de la calcineurine sont utilisés en 2e ligne de traitement [17]
Shampooing atteinte de la peau et cuir chevelu
  • traiter la pathologie sous-jacente
  • traiter le prurit, l'hyperkératose et l'infection staphylococcique sous-jacente
  • laver la région atteinte et laisser agir 5 à 10 minutes puis rincer
  • les shampooings à base de goudron, de pyrithione de zinc, de sulfure de sélénium ou d'acide salicylique sont disponibles en vente libre [2][17]
Médicaments oraux DS généralisée et diffuse ou réfractaire aux traitements topiques
  • l'itraconazole aide à prévenir les poussées et améliore la qualité [25][26]
  • surveiller la fonction hépatique, rénale et les interactions médicamenteuses au besoin [27]
  • une référence en dermatologie est appropriée [17]

Dans la DSI, le traitement diffère et le traitement des croûtes de lait est le suivant [8]:

Dans le cas de la DS associée au VIH-SIDA, le traitement est le suivant [28]:

Dans la DS associée à la maladie de Parkinson, le traitement est le suivant [28]:

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

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Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Quoique très rares et surtout associées au mauvais diagnostic [29], les complications de la DS sont [8]:

Évolution

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Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

La DSI est une affection bénigne et auto-résolutive, les lésions disparaissant en quelques semaines à quelques mois [2][4][8][11].

Bien que la DSA puisse être contrôlée par les différents traitements, celle-ci demeure incurable et évolue de façon chronique selon un mode de présentation par poussées et rémissions [8].

Prévention

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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

La DSI inquiète davantage les parents alors que l'enfant n'est que peu ou pas affecté. Ainsi, l'éducation aux parents s'avère importante afin de les rassurer sur l'évolution bénigne de la DSI puisque ceux-ci peuvent être très anxieux [8].

Pour ce qui est de la DSA, l'éducation aux patients est tout aussi importante, puisque lorsqu'ils sont bien renseignés sur celles-ci, il leur est possible de bien contrôler la maladie par les traitements. Par contre, il faut les informer qu'il n'existe pas de traitement curatif [8][31]. Pour cette raison, un traitement d'entretien est nécessaire pour éviter les rechutes [2].

Il existe aussi plusieurs traitements en vente libre pouvant servir au traitement de la DS. Il est donc possible de renseigner les patients sur ces options afin de leur éviter certaines consultations ou encore pour diminuer les coûts de certains traitements au besoin [8].

Références

__NOVEDELETE__
  1. 1,0 et 1,1 Francesca Sampogna, Dennis Linder, Stefano Piaserico et Gianfranco Altomare, « Quality of life assessment of patients with scalp dermatitis using the Italian version of the Scalpdex », Acta Dermato-Venereologica, vol. 94, no 4,‎ , p. 411–414 (ISSN 1651-2057, PMID 24287710, DOI 10.2340/00015555-1731, lire en ligne)
  2. 2,00 2,01 2,02 2,03 2,04 2,05 2,06 2,07 2,08 2,09 2,10 et 2,11 G. Quéreux, « Dermatite séborrhéique », EMC - Dermatologie-Cosmétologie, vol. 2, no 3,‎ , p. 147–159 (DOI 10.1016/j.emcdc.2005.07.002, lire en ligne)
  3. I. Palamaras, K. P. Kyriakis et N. G. Stavrianeas, « Seborrheic dermatitis: lifetime detection rates », Journal of the European Academy of Dermatology and Venereology: JEADV, vol. 26, no 4,‎ , p. 524–526 (ISSN 1468-3083, PMID 21521374, DOI 10.1111/j.1468-3083.2011.04079.x, lire en ligne)
  4. 4,00 4,01 4,02 4,03 4,04 4,05 4,06 4,07 4,08 4,09 4,10 4,11 4,12 4,13 et 4,14 L. Misery, « La dermatite séborrhéique de l’enfant », Journal de Pédiatrie et de Puériculture, vol. 33, no 4,‎ , p. 174–176 (ISSN 0987-7983, DOI 10.1016/j.jpp.2020.02.003, lire en ligne)
  5. M. G. H. Sanders, L. M. Pardo, O. H. Franco et R. S. Ginger, « Prevalence and determinants of seborrhoeic dermatitis in a middle-aged and elderly population: the Rotterdam Study », The British Journal of Dermatology, vol. 178, no 1,‎ , p. 148–153 (ISSN 1365-2133, PMID 28856679, DOI 10.1111/bjd.15908, lire en ligne)
  6. 6,0 6,1 et 6,2 Jean Bolognia, Julie V. Schaffer, Karynne O. Duncan et Christine J. Ko, Dermatology essentials, (ISBN 978-0-7020-5539-3 et 0-7020-5539-5, OCLC 877821912, lire en ligne)
  7. Paola Scognamiglio, Giacomina Chiaradia, Gabriella De Carli et Massimo Giuliani, « The potential impact of routine testing of individuals with HIV indicator diseases in order to prevent late HIV diagnosis », BMC infectious diseases, vol. 13,‎ , p. 473 (ISSN 1471-2334, PMID 24112129, Central PMCID 3852490, DOI 10.1186/1471-2334-13-473, lire en ligne)
  8. 8,00 8,01 8,02 8,03 8,04 8,05 8,06 8,07 8,08 8,09 8,10 8,11 8,12 8,13 8,14 8,15 8,16 8,17 et 8,18 Dan Tucker et Sadia Masood, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 31869171, lire en ligne)
  9. EMH, « Erratum », Forum Médical Suisse ‒ Swiss Medical Forum, vol. 11, no 07,‎ (ISSN 1661-6146 et 1661-6138, DOI 10.4414/fms.2011.07431, lire en ligne)
  10. M. B. Zani, R. C. Soares, A. C. B. B. Arruda et L. H. F. de Arruda, « Ketoconazole does not decrease fungal amount in patients with seborrhoeic dermatitis », The British Journal of Dermatology, vol. 175, no 2,‎ , p. 417–421 (ISSN 1365-2133, PMID 26920094, DOI 10.1111/bjd.14501, lire en ligne)
  11. 11,0 11,1 11,2 11,3 11,4 et 11,5 (en) Ak Gupta et R Bluhm, « Seborrheic dermatitis », Journal of the European Academy of Dermatology and Venereology, vol. 18, no 1,‎ , p. 13–26 (ISSN 0926-9959 et 1468-3083, DOI 10.1111/j.1468-3083.2004.00693.x, lire en ligne)
  12. Luciana Campos Paulino, « New perspectives on dandruff and seborrheic dermatitis: lessons we learned from bacterial and fungal skin microbiota », European journal of dermatology: EJD, vol. 27, no S1,‎ , p. 4–7 (ISSN 1952-4013, PMID 28690211, DOI 10.1684/ejd.2017.3038, lire en ligne)
  13. Prasanna Honnavar, Arunaloke Chakrabarti, Ghandam S. Prasad et Pankaj Singh, « β-Endorphin enhances the phospholipase activity of the dandruff causing fungi Malassezia globosa and Malassezia restricta », Medical Mycology, vol. 55, no 2,‎ , p. 150–154 (ISSN 1460-2709, PMID 27497434, DOI 10.1093/mmy/myw058, lire en ligne)
  14. G. A. Turner, M. Hoptroff et C. R. Harding, « Stratum corneum dysfunction in dandruff », International Journal of Cosmetic Science, vol. 34, no 4,‎ , p. 298–306 (ISSN 1468-2494, PMID 22515370, Central PMCID 3494381, DOI 10.1111/j.1468-2494.2012.00723.x, lire en ligne)
  15. A. Lally, D. Casabonne, B. Imko-Walczuk et R. Newton, « Prevalence of benign cutaneous disease among Oxford renal transplant recipients », Journal of the European Academy of Dermatology and Venereology: JEADV, vol. 25, no 4,‎ , p. 462–470 (ISSN 1468-3083, PMID 20738465, DOI 10.1111/j.1468-3083.2010.03814.x, lire en ligne)
  16. 16,0 et 16,1 Clio Dessinioti et Andreas Katsambas, « Seborrheic dermatitis: etiology, risk factors, and treatments: facts and controversies », Clinics in Dermatology, vol. 31, no 4,‎ , p. 343–351 (ISSN 1879-1131, PMID 23806151, DOI 10.1016/j.clindermatol.2013.01.001, lire en ligne)
  17. 17,00 17,01 17,02 17,03 17,04 17,05 17,06 17,07 17,08 17,09 et 17,10 Gary W. Clark, Sara M. Pope et Khalid A. Jaboori, « Diagnosis and Treatment of Seborrheic Dermatitis », American Family Physician, vol. 91, no 3,‎ , p. 185–190 (ISSN 0002-838X et 1532-0650, lire en ligne)
  18. J. Peyrí, M. Lleonart et Grupo español del Estudio SEBDERM, « [Clinical and therapeutic profile and quality of life of patients with seborrheic dermatitis] », Actas Dermo-Sifiliograficas, vol. 98, no 7,‎ , p. 476–482 (ISSN 0001-7310, PMID 17669302, lire en ligne)
  19. « Laboratory tests for fungal infection | DermNet NZ », sur dermnetnz.org (consulté le 15 juillet 2021)
  20. 20,0 et 20,1 Jean Bolognia, Julie V. Schaffer, Karynne O. Duncan et Christine J. Ko, Dermatology essentials, (ISBN 978-0-7020-5539-3 et 0-7020-5539-5, OCLC 877821912, lire en ligne)
  21. « MED-1225/Maladies érythémato-squameuses », sur Wikimedica (consulté le 15 juillet 2021)
  22. « Eczéma nummulaire - DermIS », sur DermIS.net (consulté le 15 juillet 2021)
  23. M. Augustin, N. Kirsten, A. Körber et D. Wilsmann-Theis, « Prevalence, predictors and comorbidity of dry skin in the general population », Journal of the European Academy of Dermatology and Venereology: JEADV, vol. 33, no 1,‎ , p. 147–150 (ISSN 1468-3083, PMID 29953684, DOI 10.1111/jdv.15157, lire en ligne)
  24. 24,0 et 24,1 Anousha Victoire, Parker Magin, Jessica Coughlan et Mieke L. van Driel, « Interventions for infantile seborrhoeic dermatitis (including cradle cap) », The Cochrane Database of Systematic Reviews, vol. 3,‎ , CD011380 (ISSN 1469-493X, PMID 30828791, Central PMCID 6397947, DOI 10.1002/14651858.CD011380.pub2, lire en ligne)
  25. 25,0 et 25,1 Anupam Das et Saumya Panda, « Use of Topical Corticosteroids in Dermatology: An Evidence-based Approach », Indian Journal of Dermatology, vol. 62, no 3,‎ , p. 237–250 (ISSN 1998-3611, PMID 28584365, Central PMCID 5448257, DOI 10.4103/ijd.IJD_169_17, lire en ligne)
  26. Zaheer Abbas, Seyedeh Z. Ghodsi et Robabeh Abedeni, « Effect of itraconazole on the quality of life in patients with moderate to severe seborrheic dermatitis: a randomized, placebo-controlled trial », Dermatology Practical & Conceptual, vol. 6, no 3,‎ , p. 11–16 (ISSN 2160-9381, PMID 27648378, Central PMCID 5006547, DOI 10.5826/dpc.0603a04, lire en ligne)
  27. C. S. L. Kamamoto, A. S. Nishikaku, O. F. Gompertz et A. S. Melo, « Cutaneous fungal microbiome: Malassezia yeasts in seborrheic dermatitis scalp in a randomized, comparative and therapeutic trial », Dermato-Endocrinology, vol. 9, no 1,‎ , e1361573 (ISSN 1938-1972, PMID 29484095, Central PMCID 5821162, DOI 10.1080/19381980.2017.1361573, lire en ligne)
  28. 28,0 28,1 et 28,2 Matej Skorvanek et Kailash P. Bhatia, « The Skin and Parkinson's Disease: Review of Clinical, Diagnostic, and Therapeutic Issues », Movement Disorders Clinical Practice, vol. 4, no 1,‎ , p. 21–31 (ISSN 2330-1619, PMID 30363435, Central PMCID 6174479, DOI 10.1002/mdc3.12425, lire en ligne)
  29. Jessica L. Schwartz et Tony S. Clinton, « Darier’s Disease Misdiagnosed as Severe Seborrheic Dermatitis », Military Medicine, vol. 176, no 12,‎ , p. 1457–1459 (ISSN 0026-4075 et 1930-613X, DOI 10.7205/milmed-d-11-00147, lire en ligne)
  30. Georgios Gaitanis, Prokopios Magiatis, Markus Hantschke et Ioannis D. Bassukas, « The Malassezia Genus in Skin and Systemic Diseases », Clinical Microbiology Reviews, vol. 25, no 1,‎ , p. 106–141 (ISSN 0893-8512 et 1098-6618, DOI 10.1128/cmr.00021-11, lire en ligne)
  31. Marianne Hald, Maiken C. Arendrup, Else L. Svejgaard et Rune Lindskov, « Evidence-based Danish guidelines for the treatment of Malassezia-related skin diseases », Acta Dermato-Venereologica, vol. 95, no 1,‎ , p. 12–19 (ISSN 1651-2057, PMID 24556907, DOI 10.2340/00015555-1825, lire en ligne)
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