Maladie de Lyme

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Maladie de Lyme
Maladie
Caractéristiques
Signes Insuffisance cardiaque, Radiculopathie, Oedème articulaire, Péricardite aiguë, Érythème migrant, Mononeuropathie, Bradycardie , Plexopathie, Névrite crânienne, Paralysie faciale périphérique, ... [+]
Symptômes
Faiblesse musculaire, Paresthésies, Anorexie , Myalgies, Hyporéflexie, Nausées, Dyspnée , Photophobie, Vertige , Diplopie , ... [+]
Diagnostic différentiel
Dermatite de contact, Infection, Sarcoïdose, Arthrite septique, Syndrome de Guillain-Barré, Méningite tuberculeuse, Paralysie de Bell, PAR, MCAS, Méningite bactérienne, ... [+]

Page non révisée
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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

La maladie de Lyme est une zoonose causée par les bactéries spirochètes Borrelia Burgdorferi et transmise par les tiques, notamment Ixodes scapularis. Elle peut affecter plusieurs systèmes et comporte de multiples stades. Elle fait partie des maladies à déclaration obligatoire (MADO) au Canada.

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

La maladie de Lyme est l'infection transmise par les tiques la plus courante au Canada, aux États-Unis et en Europe.

Le Québec, l'Ontario et la Nouvelle-Écosse sont les trois provinces canadiennes les plus touchées. Aux États-unis se sont majoritairement les États du Nord-Est et du Centre Nord qui sont atteints.[1]

Selon l'INSPQ, en 2021, on dénombrait 709 cas de maladie de Lyme déclarés au Québec, dont 650 cas acquis dans la province. Il s'agit d'une maladie dont l'incidence est en augmentation marquée annuellement depuis 2013, avec une légère diminution de l'incidence en 2020 par rapport à 2019[note 1]. Les principales régions touchées sont l'Estrie, la Montérégie et l'Outaouais. Par contre, il est possible de contracter la maladie de Lyme dans l'ensemble du Québec. Néanmoins, les cartes interactives de surveillance accrue de la maladie de Lyme sont accessibles pour consultation dans la section dédiée du site de l'INSPQ, ainsi que la liste des municipalités considérées à risque.[2]

Cette infection est plus fréquente au printemps et en été, mais un certain risque est présent à l'année. Elle touche davantage les enfants et les adultes d'âge mûr.[2]

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

L'étiologie de la maladie de Lyme est l'infection par la bactérie spirochète Borrelia. Seulement quelques espèces en sont responsables :

Physiopathologie

Les tiques infectées, permettant la transmission de la bactérie, sont retrouvées sous trois stades ; la larve, la nymphe, puis l'adulte. Les tiques immatures, soient les nymphes, sont les principales responsables de la transmission de la bactérie à l'humain. Celles-ci mesurent moins de 1 mm. C'est leur petite taille qui rend leur identification difficile, leur permettant de rester loger plus longtemps à la peau. La tique adulte, quant à elle, mesure de 3 à 5 mm. Elle peut tripler de volume lorsqu'elle est gorgée de sang et atteindre une taille de 8 à 13 mm.[3] Les tiques grimpent sur les herbes, buissons et arbustes. Au contact de l'humain elle peut se déplacer sur sa peau.

La transmission de la spirochète à l'homme requiert un certain temps. Pendant l'alimentation de la tique, l'augmentation de la température corporelle de l'arthropode, favorisée par l'apport sanguin, permet la réplication de la bactérie dans l'intestin de la tique et certains changements phénotypiques essentiels à la transmission. La transmission via les glandes salivaires de la tique nécessite minimalement 24 à 36h. Le risque augmente proportionnellement à la durée d'attachement d'Ixodes scapularis et est donc plus important après 72h.[4][5]

On estime que le principal réservoir de la spirochète B. burgdorferi est la souris à patte blanche. Plusieurs autres mammifères et oiseaux peuvent en être porteurs et favoriser la dispersion de la maladie. Le cerf de Virginie serait l'espèce responsable de la reproduction de la tique Ixodes scapularis, sans être un réservoir important de la bactérie.[4]

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont :[6]

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Afin de guider le diagnostic, l'outil d'aide au diagnostic de la maladie de Lyme, publié par l'INESSS en mars 2021 est une référence utile.

L'identification de la maladie de Lyme repose majoritairement sur le questionnaire et les expositions possibles du patient. Il est donc primordial de rechercher les éléments suivants au questionnaire :

  • les activités extérieures
    • plus particulièrement celles prenant place dans un boisé ou à proximité de végétation
  • les secteurs géographiques visités
  • les animaux de compagnie en contact avec l'extérieur
  • l'observation d'une tique sur la peau, particulièrement les endroits exposés.
    • la caractérisation de la tique peut également être intéressante (ex: absence d'aile et d'antenne, présence de huit pattes)
    • le temps estimé où elle est demeurée sur la peau.
Principales manifestations de la maladie de Lyme selon les stades[6]
Localisé Apparaît de 3 à 30 jours après la piqure de la tique, parfois jusqu'à 3 mois. Représente le début de l'infection avant la dissémination des bactéries dans la circulation sanguine.

Il est couramment asymptomatique et est surtout caractérisé par l'érythème migrant (se référer à la section examen physique), mais peut être accompagné des symptômes non spécifiques suivants :

Disséminé précoce Se manifeste quelques jours après l'érythème migrant, ou quelques semaines après l'infection initiale. Il est possible d'identifier la maladie à ce stade jusqu'à 6 mois après l'infection. L'atteinte isolée et disséminée précoce peuvent se chevaucher.

Le stade disséminé précoce peut se présenter avec les symptômes systémiques suivants:


Plus rarement, ce stade peut se présenter avec des symptômes oculaires :

Disséminé tardif Se manifeste des semaines à mois après l'infection initiale et couramment jusqu'à un an après celle-ci. Il s'agit de la complication du stade disséminé précoce. L'arthrite de Lyme, fréquente en Amérique du Nord, peut se caractériser par la présence de poussées-rémissions.

Les symptômes du stade tardif sont :

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :

Érythème migrant
Description de l'atteinte cutanée
Type d'atteinte Caractéristiques
EM isolé Atteinte typique
  • Rougeur circulaire ou ovalaire débutant à l'endroit de la morsure
  • Au moins 5 cm de diamètre
    • S'étend progressivement sur plusieurs jours (critère le plus spécifique)
  • Apparence en cible ou homogène[note 2]
  • Peut avoir une apparence très pâle et des contours mal délimités
  • Durée d'au moins 48 h
  • Peu ou pas associé à la douleur ou à la démangeaison
Autres caractéristiques possibles mais moins typiques
  • Peut avoir des vésicules, des squames, des croûtes, des pétéchies
  • Peut avoir une forme qui n'est pas circulaire, annulaire ou ovalaire
  • Peut avoir un diamètre de moins de 5 cm (mais une progression doit être visible)
  • L'outil d'aide au diagnostic de la maladie de Lyme comprend de nombreuses photos aidant à l'identification
EM multiple Atteinte très variable
  • Présence de plusieurs lésions diffuses sur le corps
  • Peuvent partager certaines caractéristiques de l'EM isolé
  • Peuvent avoir un diamètre inférieur à 5 cm, classiquement les lésions sont plus petites
  • Apparence souvent lisse, sans squame, plus pâle, maculaire ou papulaire

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents, selon la présentation du patient, sont :

Références à relocaliser car étaient dans le titre de la section présentation clinique

- [9]

Approche clinique

L'approche clinique de la maladie de Lyme nécessite la considération des facteurs de risque, de l'histoire médicale actuelle ainsi que des signes et symptômes présentés par le patient. Une suspicion de maladie de Lyme associée à la piqûre simple d'une tique, sans autre symptôme, peut être diagnostiquée en clinique et traitée en prophylaxie.

La présence de symptômes nécessitera toutefois un régime d'antibiotiques complet pour contrer l'infection, mais le diagnostic est seulement clinique.

Quant à elle, la forme tardive nécessitera des tests sérologiques étant donné la présence d'un diagnostic différentiel élargit.

Algorithme pour antibioprophylaxie

La prophylaxie est actuellement indiquée dans certaines régions au Québec[10] et dans certaines provinces au Canada. Les régions du Québec peuvent varier. [10] En plus d'une histoire de piqûre dans un secteur géographique visé, la décision de donner une prophylaxie repose sur trois critères :

  • être asymptomatique
  • le délai entre le retrait de la tique et la consultation est de moins de 72h
  • la tique est restée accrochée à la peau au moins 24h.[6]

Une durée de moins de 24h n'est pas suffisante pour permettre l'infection alors qu'une durée de retrait de plus de 72h n'est pas associé à un bénéfice à la prise de la prophylaxie.

La présence de symptômes nécessitent un traitement complet plutôt qu'une simple prophylaxie.

L'algorithme suivant permet de guider les investigations selon la présentation du patient :


La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La maladie de Lyme est un diagnostic majoritairement clinique qui nécessite du jugement clinique. Il est basé sur l'intégration des facteurs de risque, de l'histoire et de la présentation clinique. Certains examens paracliniques permettront de réunir la constellation de signes cliniques permettant d'identifier l'infection. Néanmoins, les stades disséminés précoces et tardifs nécessiteront parfois l'utilisation d'un test sérologique. Celui-ci se déroule en deux étapes ;

  • le test de dépistage, également appelé le EIA ou ELISA
  • le test de confirmation, également appelé le Westernblot

Le test EIA possède une meilleure sensibilité, mais est moins spécifique que le test de Westernblot. La combinaison de ces deux tests permet donc d'augmenter la sensibilité et la spécificité.[11]

Il est pertinent de noter que les tests sérologiques ont une faible sensibilité pour les stades précoces de la maladie. En effet, le stade isolé et le stade disséminé précoce possède respectivement une sensibilité de 17 à 40% et de 40 à 100%. La sensibilité augmente significativement en stade disséminé tardif avec une valeur de 96 à 100%.[11][6] Ce phénomène est expliqué par l'apparition des anticorps quatre à six semaines après le début des symptômes.

Le test EIA ou ELISA possède certaines réactions croisées, notamment chez les patients atteints du virus Ebstein-Barr, de maladie auto-immune, d'une autre infection par des spirochètes ou à l'Helicobacter Pylori. [12] Un résultat positif ou incertain à ce test guidera vers la deuxième étape, soit le Westernblot. Par contre, un test EIA négatif nécessitera la répétition du test dans quatre à six semaines et l'hypothèse d'un autre diagnostic.

Le test de Westernblot permet de diminuer les faux positifs. La positivité du résultat doit être corrélée à la suspicion clinique de la maladie puisque les faux positifs sont plus fréquents lorsque la suspicion pré-test est faible.

L'interprétation de ces deux tests peut être établie selon l'algorithme suivant :

Épreuve sérologique en 2 volets
La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel varie encore une fois selon l'amalgame de symptômes présenté par le patient. Il est donc préférable de différencier les atteintes afin d'identifier les diagnostics associées. Encore une fois, l'outil d'aide au diagnostic fait par l'INESSS continent plusieurs informations pour aider la différenciation. Voici donc une liste non-exhaustive des pathologies à considérer :

Concernant le système cutanée :

Le diagnostic différentiel de l'érythème migrant isolé comprend :

L'érythème multiple a comme diagnostic différentiel plus spécifique :

L'atteinte neurologique peut être associé à d'autres pathologies telles que :

L'atteinte cardiaque a comme diagnostic différentiel :

Les manifestations musculosquelettiques ont comme diagnostic différentiel:

Traitement

Le traitement repose sur l'utilisation d'antibiotiques. La posologie varie selon le stade de la maladie.

Lorsqu'elle est indiquée, la prophylaxie de l'infection est réalisée avec la prise de doxycycline. À noter qu'un délai maximal de 72h doit s'être écoulée entre le retrait de la tique et la prise de la médication. La posologie selon l'âge est résumée dans l'encadrée suivant :

Posologie selon l'âge[14]
≥ 12 ans Dose unique 200 mg PO
< 12 ans Dose unique PO

< 45kg : 4,4mg/kg (max 200 mg)

≥ 45kg : 200 mg PO

La doxycycline est à éviter en grossesse, particulièrement à partir de la 16e semaine de gestation. Elle n'est également pas recommandée chez les enfants de < 8 ans en raison du risque d'altération permanente de la teinte des dents et de l'hypoplasie de l'émail. Cependant, de nouvelles données suggèrent que cet effet est très rare lorsque le médicament est donné pendant une courte durée de temps. La doxycycline peut donc être utilisée de façon sécuritaire chez cette clientèle pour des durées ≤ 21 jours et ce pour des indications spécifiques, tel que le traitement de la maladie de Lyme. [15]

Le traitement de l'érythème migrant est fait grâce à l'utilisation de la doxycycline. Certaines spécificités concernant la durée de traitement et les autres options sont résumés dans le tableau suivant :

Traitement de l'atteinte cutanée +/- autres symptômes[16][17]
1er choix Autres options
EM isolé seul Adulte doxycycline PO 100 mg BID x 10j amoxicilline PO 500 mg TID x 10j

OU

Céfuroxime axétil PO 500 mg BID x 10j

Enfant doxycycline PO 4,4mg/kg/j divisé en

2 doses (max 100mg/dose) x 10j

amoxicilline PO 50mg/kg/j divisié

en 3 doses (max 500mg/dose) x 14j

OU

Céfuroxime axétil PO 30mg/kg/j

divisé en 2 doses (max 500mg/dose) x 14j

EM isolé + symptômes systémiques

OU

EM multiples +/- symptômes systémiques

Adulte doxycycline PO 100 mg BID x 14j amoxicilline PO 500 mg TID x 14j

OU

Céfuroxime axétil PO 500 mg BID x 14j

Enfants doxycycline PO 4,4mg/kg/j divisé en

2 doses (max 100mg/dose) x 10j

amoxicilline PO 50mg/kg/j divisié

en 3 doses (max 500mg/dose) x 14j

OU

Céfuroxime axétil PO 30mg/kg/j

divisé en 2 doses (max 500mg/dose) x 14j

Traitement des atteintes neurologiques[16][17]
1er choix Autres options
Atteinte périphérique Adulte doxycycline PO 100 mg BID x 14j amoxicilline PO 500 mg TID x 14j

OU

céfuroxime axetil PO 500 mg BID x 14j

Enfant doxycycline PO 4,4mg/kg/j divisé en

2 doses (max 100mg/dose) x 14j

amoxicilline PO 50mg/kg/j divisié

en 3 doses (max 500mg/dose) x 14j

OU

céfuroxime axetil PO 30mg/kg/j

divisé en 2 doses (max 500mg/dose) x 14j

Atteinte centrale

OU

Méningite

Adulte 'ceftriaxone' IV 2g DIE x 14j cefotaxime IV 2g TID x 14j

OU

pénicilline G IV 18-24 millions d'unités

divisé q4h x 14j

Enfant ceftriaxone IV 75-100mg/kg/j (max 2g)

en une dose x 14j

cefotaxime IV 225-300mg/kg/j divisé

en 3 à 4 doses (max 12g/j) x 14j

OU

pénicilline G IV 200 000 à 400 000 U/kg/j

divisé q4h (max dose adulte) x 14j

Traitement des atteintes cardiaques
1er choix Autres options
Bloc AV 1er degré

+ PR < 300ms2

Adulte doxycycline PO 100 mg BID x 14j amoxicilline PO 500 mg TID x 14j

OU

céfuroxime axetil PO 500 mg BID x 14j

Enfant doxycycline PO 4,4mg/kg/j divisé en

2 doses (max 100mg/dose) x 14j

amoxicilline PO 50mg/kg/j divisié

en 3 doses (max 500mg/dose) x 14j

OU

céfuroxime axetil PO 30mg/kg/j

divisé en 2 doses (max 500mg/dose) x 14j

Bloc AV 1er degré

+ PR > 300ms2

OU

Bloc AV haut degré

OU

Myocardite

OU

Péricardite

Adulte ceftriaxone IV 2g DIE x 14j cefotaxime IV 2g TID x 14j

OU

pénicilline G IV 18-24 millions d'unités

divisé q4h x 14j

Enfant ceftriaxone IV 75-100mg/kg/j (max 2g)

en une dose x 14j

cefotaxime IV 150-200 mg/kg/j divisé

en 3 à 4 doses (max 6g/j) x 14j

OU

pénicilline G IV 200 000 à 400 000 U/kg/j

divisé q4h (max dose adulte) x 14j

Traitement des atteintes articulaires[17][16]
1er choix Autres options
Arthrite de Lyme Adulte doxycycline PO 100 mg BID x 28j amoxicilline PO 500 mg TID x 28j

OU

céfuroxime axetil PO 500 mg BID x 28j

Enfant ≥ 8 ans doxycycline PO 4,4mg/kg/j divisé en

2 doses (max 100mg/dose) x 28j

amoxicilline PO 50mg/kg/j divisié

en 3 doses (max 500mg/dose) x 28j

OU

céfuroxime axetil PO 30mg/kg/j

divisé en 2 doses (max 500mg/dose) x 28j

< 8 ans amoxicilline PO 50mg/kg/j divisié

en 3 doses (max 500mg/dose) x 28j

OU

céfuroxime axetil PO 30mg/kg/j

divisé en 2 doses (max 500mg/dose) x 28j

Si allergie pénicilline très sévère considérer

traitement avec doxycycline PO **

Récidive d'une

arthrite de Lyme

Adulte doxycycline PO 100 mg BID x 28j

OU

ceftriaxone IV 2g DIE x 14 à 28j

amoxicilline PO 500 mg TID x 28j

OU

céfuroxime axetil PO 500 mg BID x 28j

OU

cefotaxime IV 2g TID x 14 à 28j

OU

pénicilline G IV 18-24 millions d'unités

divisé q4h x 14 à 28j

Enfant ≥ 8 ans doxycycline PO 4,4mg/kg/j divisé en

2 doses (max 100mg/dose) x 28j

OU

ceftriaxone IV 75-100mg/kg/j (max 2g)

en une dose x 14 à 28j

amoxicilline PO 50mg/kg/j divisié

en 3 doses (max 500mg/dose) x 28j

OU

céfuroxime axetil PO 30mg/kg/j

divisé en 2 doses (max 500mg/dose) x 28j

OU

cefotaxime IV 150-200 mg/kg/j divisé

en 3 à 4 doses (max 6g/j) x 14 à 28j

OU

pénicilline G IV 200 000 à 400 000 U/kg/j

divisé q4h (max dose adulte) x 14 à 28j

< 8 ans amoxicilline PO 50mg/kg/j divisié

en 3 doses (max 500mg/dose) x 28j

OU

céfuroxime axetil PO 30mg/kg/j

divisé en 2 doses (max 500mg/dose) x 28j

OU

ceftriaxone IV 75-100mg/kg/j (max 2g)

en une dose x 14 à 28j

cefotaxime IV 150-200 mg/kg/j divisé

en 3 à 4 doses (max 6g/j) x 14 à 28j

OU

pénicilline G IV 200 000 à 400 000 U/kg/j

divisé q4h (max dose adulte) x 14 à 28j

OU

Si allergie pénicilline très sévère considérer

traitement avec doxycycline PO **

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Suivi

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Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

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Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Il est possible que certains patients aient des symptômes non spécifiques persistants, et ce, plusieurs mois après le traitement antibiotique. La proportion des patients développant le syndrome de Lyme post-traitement est de 5 à 15%. Les symptômes se dissiperont chez la majorité des patients en six à douze mois.[18]

Le diagnostic peut être posé si le patient a une histoire de maladie de Lyme confirmée, un traitement antibiotique adéquat ainsi que des symptômes généraux, tels que la fatigue, des myalgies, des arthralgies ou des atteintes cognitives apparues avant le traitement et persistants plus de six mois après celui-ci.[19] [20]

La maladie de Lyme chronique, est un terme regroupant plusieurs phénomènes pathologiques. En effet, celui-ci peut comprendre le syndrome de Lyme post-traitement, mais aussi tout autre tableau clinique ressemblant aux manifestations de la maladie de Lyme, sans toutefois avoir de lien avec l'infection par la bactérie Borrelia sp. [18][19] Il est donc primordial de considérer le diagnostic différentiel dans ces cas, puisque les patients pourraient souffrir d'une autre pathologie, comme la fibromyalgie[21], qui ont des traitements spécifiques.

Évolution

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Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Prévention

La prévention est le meilleur moyen d'éviter de contracter l'infection. Il est conseillé d'éviter les habitats des tiques, particulièrement au printemps et au début de l'été, au moment où les tiques sont au stade de nymphe et donc plus difficile à notifier sur la peau. Les tiques adultes sont davantage retrouvées à l'automne. Il existe des cartes qui permettent d'identifier les régions les plus à risque au Québec [22] et au Canada2[23]. Il est à noter que les tiques préfèrent les endroits humides et ombragés tels que les zones boisées denses et les herbes hautes.[24]

J'ENLÈVERAIS LES CARTES - SE RÉFÉRER À L'INSPQ -> comment fait-on pour les retirer ??


2* : Carte en coupe transversale de 5 zones connues pour leur risque d'exposition aux tiques, 2021

Si la fréquentation d'un tel endroit est nécessaire, certaines mesures sont à prendre pour diminuer les risques[25][24] :

  • Porter des vêtements longs et introduire le pantalon dans les chaussettes
  • Suivre les sentiers prédéfinis
  • Inspecter votre corps, votre animal de compagnie ou votre enfant à la recherche de tique.
  • Favoriser les vêtements de couleurs claires pour pouvoir facilement identifier les tiques.
  • Appliquer un insectifuge sur votre peau et vos vêtements
  • Prendre une douche au retour à la maison et changer de vêtements
  • Si une tique est identifiée ; la retirer le plus rapidement possible.
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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Notes

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Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement.
Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die
  1. Possiblement expliqué par les impacts de la pandémie de la COVID-19, l'été 2020 ayant été plus chaud et sec que les années précédentes, ainsi que les modifications méthodologiques quant au moment d'extraction des données.
  2. Le rash est souvent précédé d'une papule érythémateuse qui deviendra ensuite le centre de la lésion en cible et dont le point initial peut devenir nécrotique ou vésiculaire.

Références

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Description: Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
  1. « Maladie de Lyme au Canada, aux États-Unis et dans le monde », sur msss.gouv.qc.ca, (consulté le 7 avril 2022)
  2. 2,0 et 2,1 « Résultats annuels de surveillance de la maladie de Lyme - Année 2020 », sur INSPQ (consulté le 7 avril 2022)
  3. (es) « Est-ce une tique? », sur INSPQ (consulté le 2 avril 2022)
  4. 4,0 et 4,1 « Description de la maladie - Maladie de Lyme - Professionnels de la santé - MSSS », sur www.msss.gouv.qc.ca (consulté le 30 mars 2022)
  5. N. Cary Engleberg, Victor J. DiRita et Michael Joseph Imperiale, Schaechter's mechanisms of microbial disease, (ISBN 978-1-9751-5150-8 et 1-9751-5150-X, OCLC 1266208905, lire en ligne)
  6. 6,0 6,1 6,2 6,3 et 6,4 Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS). Outil d'aide au diagnostic : Maladie de Lyme aux stades localisés et disséminés, Québec, Qc : INESSS; 2021. Disponible à : https://www.inesss.qc.ca/fileadmin/doc/INESSS/Rapports/Biologie_medicale/Lyme_Diag-traitement/Outil_diagnostic.pdf
  7. « Avis - Maladie de Lyme - stade localisé et disséminé », sur inesss.qc.ca
  8. (en) Joyce L. Sanchez, « Clinical Manifestations and Treatment of Lyme Disease », Clinics in Laboratory Medicine, vol. 35, no 4,‎ , p. 765–778 (DOI 10.1016/j.cll.2015.08.004, lire en ligne)
  9. Gary P. Wormser, Raymond J. Dattwyler, Eugene D. Shapiro et John J. Halperin, « The clinical assessment, treatment, and prevention of lyme disease, human granulocytic anaplasmosis, and babesiosis: clinical practice guidelines by the Infectious Diseases Society of America », Clinical Infectious Diseases: An Official Publication of the Infectious Diseases Society of America, vol. 43, no 9,‎ , p. 1089–1134 (ISSN 1537-6591, PMID 17029130, DOI 10.1086/508667, lire en ligne)
  10. 10,0 et 10,1 Ariane Adam-Poupart et Laboratoire de santé publique du Québec, Recommandation de prophylaxie postexposition de la maladie de Lyme : avis d'experts, (ISBN 978-2-550-79327-4 et 2-550-79327-7, OCLC 1021293133, lire en ligne)
  11. 11,0 et 11,1 (en) Martin E. Schriefer, « Lyme Disease Diagnosis », Clinics in Laboratory Medicine, vol. 35, no 4,‎ , p. 797–814 (DOI 10.1016/j.cll.2015.08.001, lire en ligne)
  12. « Maladie de Lyme »
  13. (en) Thomas S. Murray et Eugene D. Shapiro, « Lyme Disease », Clinics in Laboratory Medicine, vol. 30, no 1,‎ , p. 311–328 (PMID 20513553, Central PMCID PMC3652387, DOI 10.1016/j.cll.2010.01.003, lire en ligne)
  14. (en) Paul M Lantos, Jeffrey Rumbaugh, Linda K Bockenstedt et Yngve T Falck-Ytter, « Clinical Practice Guidelines by the Infectious Diseases Society of America (IDSA), American Academy of Neurology (AAN), and American College of Rheumatology (ACR): 2020 Guidelines for the Prevention, Diagnosis and Treatment of Lyme Disease », Clinical Infectious Diseases, vol. 72, no 1,‎ , e1–e48 (ISSN 1058-4838 et 1537-6591, DOI 10.1093/cid/ciaa1215, lire en ligne)
  15. « Doxycycline », sur RxVigilance (consulté le 2 avril 2022)
  16. 16,0 16,1 et 16,2 Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS). Maladie de Lyme chez l'adulte. Médicaments antibiotique. Québec, Qc : INESSS; 2021. Disponible à :https://www.inesss.qc.ca/fileadmin/doc/INESSS/Rapports/Biologie_medicale/Lyme_Diag-traitement/Guide_Lyme-adulte_web_FR.pdf
  17. 17,0 17,1 et 17,2 Institut national d’excellence en santé et en services sociaux (INESSS). Maladie de Lyme chez l'enfant. Médicaments antibiotique. Québec, Qc : INESSS; 2021. Disponible à :https://www.inesss.qc.ca/fileadmin/doc/INESSS/Rapports/Biologie_medicale/Lyme_Diag-traitement/Guide_Lyme-enfant_web_FR.pdf
  18. 18,0 et 18,1 (en) Henry M. Feder, Barbara J.B. Johnson, Susan O'Connell et Eugene D. Shapiro, « A Critical Appraisal of “Chronic Lyme Disease” », New England Journal of Medicine, vol. 357, no 14,‎ , p. 1422–1430 (ISSN 0028-4793 et 1533-4406, DOI 10.1056/NEJMra072023, lire en ligne)
  19. 19,0 et 19,1 Gary P. Wormser, Raymond J. Dattwyler, Eugene D. Shapiro et John J. Halperin, « The clinical assessment, treatment, and prevention of lyme disease, human granulocytic anaplasmosis, and babesiosis: clinical practice guidelines by the Infectious Diseases Society of America », Clinical Infectious Diseases: An Official Publication of the Infectious Diseases Society of America, vol. 43, no 9,‎ , p. 1089–1134 (ISSN 1537-6591, PMID 17029130, DOI 10.1086/508667, lire en ligne)
  20. Johannes Nemeth, Enos Bernasconi, Ulrich Heininger et Mohamed Abbas, « Update of the Swiss guidelines on post-treatment Lyme disease syndrome », Swiss Medical Weekly, vol. 146,‎ , w14353 (ISSN 1424-3997, PMID 27922168, DOI 10.4414/smw.2016.14353, lire en ligne)
  21. R. W. Lightfoot, B. J. Luft, D. W. Rahn et A. C. Steere, « Empiric parenteral antibiotic treatment of patients with fibromyalgia and fatigue and a positive serologic result for Lyme disease. A cost-effectiveness analysis », Annals of Internal Medicine, vol. 119, no 6,‎ , p. 503–509 (ISSN 0003-4819, PMID 8357117, DOI 10.7326/0003-4819-119-6-199309150-00010, lire en ligne)
  22. « La maladie de Lyme et les maladies transmises par les tiques », sur INSPQ (consulté le 2 avril 2022)
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