ULaval:MED-2200/Quiz de l'examen 1
1.Glycémie à jeun
2.Bilan lipidique
3.Bilan de thrombophilie
4.Créatinine sérique- 1 et 3
- toutes ces réponses
- 2 et 4
- 1,2 et 3
b
Voir quiz rencontre 3, dernière question.
Les facteurs de risque comportent entre autres le diabète (évaluation de glycémie), la dyslipidémie (donc bilan lipidique), l'HTA (évaluée par la fonction rénale, donc la créatinine sérique), les troubles de coagulation ainsi que la sédentarité / le tabagisme / l'obésitéDoppler cervical, Holter, Échographie cardiaque transthoracique (± échographie transeosophagienne, ECG)
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
L'aire de Broca se situe dans le gyrus frontal inférieur dans l'hémisphère dominant.
Artère cérébrale antérieure
Artère cérébrale postérieure
Artère cérébrale moyenne
L’association d’au moins deux de ces éléments : Dysarthrie, diplopie, dysphagie, ataxie, vertige
Il peut aussi y avoir une atteinte des paires crâniennes, une association avec le syndrome de l’artère cérébrale postérieure et la présence d’un syndrome alterne
- Le lobe frontal
- Le thalamus
- La protubérance
- La capsule interne
b
Perte de vision monoculaire passagère d'environs 10 minutes.
Syndrome de Claude Bernard Horner (ptose, myosis, anhydrose)
Nerfs: olfactif, optique, occulomoteur, trochléaire, trijumeaux, facial, vestibulo-cochléaire, glosso-pharyngé, vague, hypoglosse, accessoire.
(artères) vertébrales, basilaire, cérébelleuse antéro-inférieure, cérébelleuse supérieure, cérébelleuse postérieure et cérébrales postérieures.
Dans le lobe occipital, de part et d'autre de la fissure calcarine.
Les radiations optiques supérieures (Baum) et inférieures (Meyer) passent par les lobes pariétaux et temporaux.
une artère communicante antérieure, deux artères cérébrales antérieures, deux artères communicantes postérieures, deux artères cérébrales postérieures
(artères) ophtalmique, communicante postérieure, choroïdienne antérieure, cérébrale antérieure, cérébrale moyenne [OPAAM]
Thalamus
- Ipsilatéral: anesthésie faciale, Horner, atteinte vestibulaire, atteinte cérébelleuse, atteinte pharyngée et motrice
- Controlatéral:hémianesthésie épargnant le visage
- Vrai
- Faux
b
L'anémie lors du 3e trimestre de grossesse est lorsque l’hémoglobine est <110 g/L
- Anémie ferriprive
- Hémolyse
- Alcoolisme
- Déficit en vitamine B12
a
- Vrai
- Faux
a
Tachycardie, hypotension, SaO2 diminuée, fièvre possible (cause inflammatoire)
- Céphalées pulsatiles
- Palpitations
- Perte de poids
- Dyspnée à l'effort
c
FSC et réticulocytes, frottis sanguin, bilan martial (fer sérique, ferritine, capacité totale de fixation et % totale de fixation de la transferrine), bilan hémolytique (bilirubine non conjuguée, haptoglobine, LDH) B12, créatinine, ponction biopsie/aspiration moelle
déficit en vitamine B12, déficit en folates, alcoolisme (malnutrition), hémolyse
anémie ferriprive (hémorragie chronique: perte chronique de fer), talassémies
320-360
Moins de 320: hypochromie
Normocytaire: 80-99 fL
plus de 100: macrocytaire
moins de 80: microcytaire
pâleur, dyspnée, ictère si anémie hémolytique
si anémie ferriprive sévère: chéilite, koïlonychie
palpitations, céphalée pulsatile, acouphènes, dyspnée d'effort
H adulte: Hb moins de 130 g/L
F adulte: Hb moins de 125 g/L
- Vrai
- Faux
a
- Syndrome myélodysplasique
- Déficit en folates
- Thalassémie
- Déficit en B12
c
- Calcium
- Vitamine C
- Soya
- Anti-acides
b
Wheezing, pouls paradoxal, tachypnée, tachycardie, efforts respiratoires visibles (utilisation des muscles suprasternaux et du cou, position droite, lèvre pincée, incapacité de parler), phase expiratoire prolongée (rapport inspiratoire : expiratoire d’au moins 1 :3)
Le patient st en hypercapnie, en hypoxémie, en insuffisance respiratoire et c’est potentiellement létal.
- 1h pm
- 8h am
- 4h am
c
Status asthmaticus
- Vrai
- Faux
b
Rapport VEMS/CVF moins que la limite inférieure de la normale selon l’âe, le sexe, la taille et l’appartenance ethnique (<0,75-0,8) ET augmentation du VEMS de ≥12% et d’un minimum de ≥ 200 ml après la prise d’un bronchodilatateur ou d’une thérapie d’entretien (réversibilité).
- L'inhalation d'air chaud
- L'ASA
- Les moisissures
- Les bêta-bloquants
- Le glutamate
a
Fréquence des sx diurnes :
Fréquence des sx nocturnes :
Activité physique :
Exacerbations :
Absentéisme :
Fréquence des bêta-agonistes PRN :
VEMS :
DEP :
Variabilité du DEP :<4/semaine
<1/semaine
Normale
Légère, fréquentes
Aucun
<4 doses/semaine
≥90% du meilleur résultat personnel
≥90% du meilleur résultat personnel
<10-15% de la diurne
Baisse du murmure vésiculaire, possible léger tympanisme, prolongation de la phase d’expiration, sibilances
- Infection
- Effort
- Émotions
- Aspirine
- Toutes ces réponses
e
- Sx diurnes: <4 par semaine
- Sx noctures: <1 par semaine
- Activité physique: normale
- Exacerbations: légères
- Absentéisme: aucun
- B-agoniste: <4 par semaine
- VEMS: ≥90% du meilleur résultat personnel
- DEP: ≥90% du meilleur résultat personnel
- Variabilité du DEP: <10-15% de la variation diurne
- Vrai
- Faux
b
- Spirométrie
- Variation du DEP
- Test de provocation à la métacholine
a
- Vrai
- Faux
a
Air froid, exercice, émotions et odeurs fortes
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Ils peuvent être présent lors des deux phases ou seulement à l'expiration.
MPOC: > 40 ans, ATCD de tabagisme, expectorations fréquentes, maladie évolutive avec exacerbations, spirométrie ne se normalise jamais, symptômes cliniques persistants et chroniques
Asthme: < 40 ans, allergies fréquentes, évolution de la maladie stable avec exacerbations, spirométrie souvent normale, symptômes cliniques intermittents et variables
Les épreuves fonctionnelles respiratoires
Syndrome obstructif réversible
- Vrai
- Faux
a
Procurer une vie normale avec certaine précaution et un minimum de médicaments.
- Vrai
- Faux
b
Il doit éviter tous les facteurs déclenchants sauf l'exercice physique.
- Aspirine
- AINS
- Bêta-bloquants
- Tabagisme
- Agoniste β2
- Allergène
e
- Vrai
- Faux
b
Il est envisagé si l'asthme est mal maitrisé malgré de fortes doses de CSI et une thérapie d'appoint appropriée. Il est très coûteux et il est seulement utilisé dans les cas très sévères.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Une crise asthmatique prolongée ou sévère qui résiste au traitement
C'est une réaction d'hypersensibilité à l'Aspergillus qui arrive souvent chez le sujet asthmatique.
Apnée du sommeil, infection respiratoire, MPOC, obésité, RGO, psychopathologie, rhinite allergique et sinusite chronique
Cyanose, thorax silencieux, hypoxémie, hypercapnie, tachycardie > 120, anomalies à l'ECG, troubles de l'altération de l'état de conscience et fatigue extrême, hyperinflation sévère à la Rx pulmonaire, pneumomédiastin, pneumothorax et pouls paradoxal
Lésion de l’œil, de la pupille ou du 2e nerf crânien.
- Opiacés
- Toxines cholinergiques
- Collyre pour le glaucome
- Neurosyphillis
- Hémorragie pontique
d
- Méningiome
- Adénome hypophysaire
- Glaucome
- Gliome hypothalamique
- Craniopharyngiome
c
Fissure calcarine supérieure droite et lobe pariétal supérieur droit
C’est une déviation latente (visible uniquement lorsqu’un œil est caché).
Le patient penche la tête à gauche (en controlatéral de l’atteinte) pour compenser le manque d’intorsion. Le patient présente une diplopie oblique.
Le muscle droit inférieur innervé par le 3e nerf crânien et le muscle grand oblique innervé par le 4e nerf crânien
Les noyaux rouges et les noyaux d’Edinger-Westphal
- Paralysie du 3e nerf crânien
- Prise d'opiacés
- Prise de coicaine
- Prise d'atropine
b
- Vrai
- Faux
b
Les réflexes pupillaires sont préservés
- Myosis
- Mydriase
b
- Intorsion
- Extorsion
a
Nerf trochléaire (IV)
- Vrai
- Faux
b
C'est la constipation qui entraîne de la diverticulose.
- Hypercalcémie
- Hypokaliémie
- Déshydratation
- Diabète mellitus
- Prise d'antibiotiques
- Grossesse
- Prise d'anticholinergique ou d'opiacés
c
AG = Na- (Cl + HCO3)
Cela signifie que le rein est atteint et incapable d'excréter l'acide dans les urines.
OsmP - (2Na + glucose + urée)
- Vrai
- Faux
b
Le traitement augmente les risques de syndrome hémolytique urémique
- Yersinia
- Shigella
- Salmonella
- Staph. aureus
- Entemoeba histolytica
- Campylobacter
d
- Sécrétoire
- Osmotique
b
- Osmotique
- Sécrétoire
- Inflammatoire
- Motrice
a
- Acidose métabolique
- Alcalose métabolique
a
Vitamine A
- Fer
- Calcium
- Acide folique
- B12
- Magnésium
- Sels biliaires
- Malabsorption
- Maldigestion
a
- Malabsorption
- Maldigestion
b
- Amylase
- Disaccharidase
b
Colipase
- Sanguine
- Lymphatique
b
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
- Pariétale
- Viscérale
- Référée
a
Hypochondre gauche
- Hémorroïde externe
- Hémorroïde interne
b
- Hémorroïde externe
- Hémorroïde interne
a
Grade 3
- Grade 1: pas de prolapsus
- Grade 2: rentre spontanément
- Grade 3: nécessite manipulation digitale
- Grade 4: prolapsus non réductible
- Latérale
- Postérieure
a
Drainage chirurgical
- Hypercoagulabilité
- Stase sanguine
- Altération de l'endothélium vasculaire
- Pâleur
- Polar
- Pain
- Paresthésie
- Paralysie
- Pulselessness
> 30 mmHg
- Adrénaline et antihistaminiques
- Tocolyse
- Thrombolyse
- Diéthylcarbamazine
a
Échelle d'Epworth
Choc modéré
- Vrai
- Faux
a
- Systolique
- Diastolique
b
- Vrai
- Faux
a
En cas de sepsis
- Vrai
- Faux
a
Le stade de préchoc
Le choc compensé ou le choc cryptique
Il s’agit des réponses compensatoires à une baisse de la perfusion tissulaire.
La tachycardie, un changement modeste de la pression artérielle systémique et hyperlactatémie légère ou modérée
Les mécanismes compensatoires deviennent dépassés.
- 1
- 1.5
- 2
- 2.5
- 3
d
Dommage réversible aux organes, défaillance multiorganique et mort
Anurie, IRA, hypotension sévère, hyperlactatémie et acidémie
Une incapacité du coeur à assurer un débit d’éjection adéquat
Il est causé par un dommage cardiaque (infarctus du myocarde, valvulopathies, arythmie, cardiomyopathie).
Le choc septique, le choc anaphylactique et le choc neurogénique
- Vrai
- Faux
b
Il est caractérisé par la vasodilatation pathologique.
Il s’agit d’une obstruction ou d'une action extra-myocardique qui empêche le coeur d’assurer un débit optimal.
Coma myoedémateux et thyrotoxicose
- Vrai
- Faux
a
Réplétion du volume circulant, contrôle de l’hémorragie, anti-hypotenseur au besoin
Chirurgie pour les valvulopathies ou l’infarctus, restauration du rythme cardiaque pour les arythmies, vasodilatateur, bêta-1-agoniste ou catécholamines au besoin, s’assurer qu’il n’y a pas d’hypertension pulmonaire lors de la réplétion du volume intravasculaire
Réanimation liquidienne agressive avec ou sans perfusion d’amines IV, agent anti-hypotenseur ou agent inotrope, traiter la cause du choc, antibiothérapie si septique, épinéphrine IV si anaphylactique
Il vise à relever l’obstruction au remplissage du coeur. Il varie selon la cause.
- Vrai
- Faux
b
Ils sont généralement évités, car ils peuvent causer une vasodilatation.
- Vrai
- Faux
b
L’hypoperfusion tissulaire rend cette absorption faible, donc tous les médicaments parentéraux sont administrés par voie IV.
La cause, l’affection préexistante ou une complication, le délai pour établir le diagnostic, la rapidité et l’adéquation du traitement
- Na urinaire
- Fraction d'éjection du Na
- Fraction d'éjection de l'urée
- Créatinine urinaire/créatinine plasmatique
d
- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
c
Vous demandez des examens para clinique et vous concluez à un coma hyperosmolaire. Son DFGe est estimé à 76 mL/minute alors que lors de son dernier labo remontant à il y a 2 mois, il était de 94 mL/minute.
Quel est le stade d'insuffisance rénale chronique de la patiente?- 1
- 2
- 3
- 4
- 5
a
< 3 mois, détérioration DFG, potentiellement réversible, reins de taille normale, anémie
> 3 mois, persistance d’une baisse de DFG, habituellement irréversible, petits reins, anémie plus marquée, nycturie de longue date, ATCD de maladie rénale
- Vrai
- Faux
a
Formule sanguine complète, échographie rénale, SMU-DCA, gaz capillaire, ECG, d’autres examens peuvent être prescris selon la clinique
- Urée
- Créatinine
a
- Urée
- Créatinine
b
IRA pré-rénale
Surcharge volémique, hypertension, hyperkaliémie, acidose métabolique, changement de la structure osseuse, hypocalcémie, anémie, immunosuppression
- Glomerulosa
- Fasciculata
- Reticularis
- Médulla
a
Ac anti-21alpha hydroxylase
- Hyperpigmentation
- Hypotension
a
Arrêt rapide de corticothérapie
- Vrai
- Faux
a
- Crohn
- Colite ulcéreuse
a
- Crohn
- Colite ulcéreuse
b
Grade 2
- Grade 1: effort vigoureux
- Grade 2: marche rapidement sur une surface plane ou monte une pente légère
- Grade 3: marche moins rapidement que les individus du même âge ou s'arrête pour reprendre son souffle lorsqu'il marche à son rythme sur une surface plane
- Grade 4: essoufflé après avoir marché 100m
- Grade 5: trop essoufflé pour quitter la maison, essoufflé lorsqu'il s'habille
- Vrai
- Faux
b
Si le patient présente seulement une MPOC, il faut investiguer pour un cancer du poumon.
Entre 30% et 50%
- Légère: ≥80%
- Modérée: entre 50% et 80%
- Sévère: entre 30% et 50%
- Très sévère: inférieur à 30%
- Vrai
- Faux
b
Ils sont utilisés en dernier recours, juste avant l'oxygène.
- 5%
- 15%
- 30%
- 60%
b
Toux productive quotidienne qui survient la plupart des jours pendant au moins 3 mois de l’année pour au moins deux ans consécutifs, en excluant les autres causes de toux comme l’asthme
- Peu de toux
- Infections fréquentes
- Tirage
- Obésité
- Respiration à lèvres pincées
- Cachexie
- Cyanose
a, c, e, f
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
a
Infections virales ou bactériennes
Fumée de cigarette, exposition à des irritants non spécifiques, air froid, polluants
Augmentation de la dyspnée, augmentation des expectorations, augmentation de la purulence des expectorations
Tout patient de plus de 40 ans, fumeur ou ex-fumeur, présentant un des symptômes suivant (toux persistante, expectorations régulières, dyspnée, sibilances à l’effort ou pendant la nuit, épisodes d’infections respiratoires fréquentes et persistantes) devrait être soumis à une spirométrie
Les paquets-années
Ostéoporose, glaucome, cachexie, dysfonction musculaire périphérique, cancer du poumon, dépression
Elle partage un facteur de risque principal (tabagisme).
- Vrai
- Faux
b
Évaluer la sévérité de l’emphysème
Spirométrie, volumes pulmonaires et diffusion au monoxyde de carbone, radiographie pulmonaire, gazométrie artérielle, test à l’exercice, TDM, échographie cardiaque
Diagnostic incertain, MPOC chez un patient <40 ans, dyspnée disproportionnée par rapport au VEMS sous traitement optimal, visites à l’urgence et hospitalisations fréquentes, mauvaise réponse au traitement, évaluation avant programme de réadaptation, indication et suivi de l’O2 à domicile
VEMS/CVF <70%, CVF>5pc, CPT>5pc, ne doit pas être réversible
GOLD 1, GOLD 2, GOLD 3 et GOLD 4
Abandon tabagique, programme d’éducation, vaccination antigrippale/pneumocoque, programme de réadaptation respiratoire et physique
Bronchodilatateur, CSI, antibiothérapie, remplacement de l’alpha-1-antitrypsine, chirurgie
- Vrai
- Faux
b
Ils ne sont qu’utilisés lors des exacerbations.
S’il y a présence d’expectorations purulentes
- Temporale
- Zygomatique
- Buccale
- Mandibulaire
- Cervicale
- AVC
- Paralysie de Bell
a
5, 7 et 8
- Surdité de conduction à droite
- Surdité de conduction à gauche
- Surdité de perception à droite
a
Estime de soi diminué
- S: sommeil
- A: appétit
- D: dépression
- I: intérêt diminué
- F: fatigue
- A: agitation
- C: concentration
- E: estime de soi diminué
- S: suicide en tête
Choc modéré
- Vrai
- Faux
a
- Systolique
- Diastolique
b
- Vrai
- Faux
a
En cas de sepsis
- Vrai
- Faux
a
Le stade de préchoc
Le choc compensé ou le choc cryptique
Il s’agit des réponses compensatoires à une baisse de la perfusion tissulaire.
La tachycardie, un changement modeste de la pression artérielle systémique et hyperlactatémie légère ou modérée
Les mécanismes compensatoires deviennent dépassés.
- 1
- 1.5
- 2
- 2.5
- 3
d
Dommage réversible aux organes, défaillance multiorganique et mort
Anurie, IRA, hypotension sévère, hyperlactatémie et acidémie
Une incapacité du coeur à assurer un débit d’éjection adéquat
Il est causé par un dommage cardiaque (infarctus du myocarde, valvulopathies, arythmie, cardiomyopathie).
Le choc septique, le choc anaphylactique et le choc neurogénique
- Vrai
- Faux
b
Il est caractérisé par la vasodilatation pathologique.
Il s’agit d’une obstruction ou d'une action extra-myocardique qui empêche le coeur d’assurer un débit optimal.
Coma myoedémateux et thyrotoxicose
- Vrai
- Faux
a
Réplétion du volume circulant, contrôle de l’hémorragie, anti-hypotenseur au besoin
Chirurgie pour les valvulopathies ou l’infarctus, restauration du rythme cardiaque pour les arythmies, vasodilatateur, bêta-1-agoniste ou catécholamines au besoin, s’assurer qu’il n’y a pas d’hypertension pulmonaire lors de la réplétion du volume intravasculaire
Réanimation liquidienne agressive avec ou sans perfusion d’amines IV, agent anti-hypotenseur ou agent inotrope, traiter la cause du choc, antibiothérapie si septique, épinéphrine IV si anaphylactique
Il vise à relever l’obstruction au remplissage du coeur. Il varie selon la cause.
- Vrai
- Faux
b
Ils sont généralement évités, car ils peuvent causer une vasodilatation.
- Vrai
- Faux
b
L’hypoperfusion tissulaire rend cette absorption faible, donc tous les médicaments parentéraux sont administrés par voie IV.
La cause, l’affection préexistante ou une complication, le délai pour établir le diagnostic, la rapidité et l’adéquation du traitement
1. Vertiges 2. Perte auditive neurosensorielle fluctuante 3. Acouphène
nerf VI ipsilatéral
- Droit
- Gauche
b
- Ipsilatéral à la lésion
- Controlatéral à la lésion
a
- Hautes fréquences
- Basses fréquences
b
- Neuronite vestibulaire
- Labyrinthite
b
Chez les personnes souffrant déjà de crampes abdominales à cause de leur constipation
Les stimulants
- Vrai
- Faux
b
Il suffit seulement d'au moins 240 ml d'eau pour pouvoir contrer la constipation.
- Psyllium
- Bisacodyl
- Docusate de sodium
- Lactulose
- Sennoside
- PEG-3350
- Sorbitol
d,f,g
- Vrai
- Faux
a
Chez les insuffisants rénaux ainsi que chez les personnes qui suivent un régime hyposodique
Polyéthylène glycol 3350 avec électrolytes
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
b
Les données probantes sont insuffisantes pour corroborer son efficacité dans le traitement de la constipation.
Parce que le magnésium est absorbé dans la circulation systémique et son accumulation est dangereuse.
90 ml/h
D5W
Lactate Ringer et NaCl 0,9%
280-290 mOsm/Kg H2O
NaCl 0,45%
NaCl 0,9%, Lactate Ringer, soluté 1/3-2/3 et D5W
Lactate Ringer et Normosol-M
Normosol-M et soluté 1/3-2/3
isotonique et sans dextrose
- Les solutés avec dextrose deviennent hypotoniques une fois le dextrose métabolisé
NaCl 0.9%, Lactate Ringer et Mixte 1F
NaCl 0,45%, D5W, Normosol-M, Mixte 1/2F et soluté 1/3 -2/3
Normosol-M
Lactate Ringer
Lactate Ringer et Normosol-M
- Hyalin
- Granuleux
L'urée et la créatinine sérique
1. L'examen visuel 2. L'examen biochimique général 3. L'examen microscopique
- Vrai
- Faux
b
Il ne renseigne pas bien sur la fonction rénale. Il peut cependant nous permettre de dépister des maladies du tractus urinaire et orienter le clinicien dans sa démarche diagnostique.
- Vrai
- Faux
a
Notez que l'urine n'est pas centrifugée pour l'examen à l'oeil nu et biochimique.
L'urine devrait être limpide et de couleur jaune pâle à jaune foncée.
La présence de colorants artificiels ou naturels (betteraves, bonbons), la présence de médicaments (phénazopyridine, rifampicine) ou une porphyrie peuvent donner une couleur rouge à l'urine.
- Vrai
- Faux
b
Le plus souvent, il s'agit d'une hématurie glomérulaire, où les globules rouges ont séjourné longtemps dans l'urine.
- Vrai
- Faux
b
Ce n'est pas nécessairement anormal. Il est important de soupçonner une infection urinaire dans le cas d'une urine trouble.
À l'aide de bâtonnets réactifs qui permettent de faire plusieurs identifications. Notez que l'urine est non centrifugée. Permet la détection qualitative (et jusqu'à un certain point, quantitative) de divers composants de l'urine et des paramètres.
- Vrai
- Faux
a
Le test de détection des protéines décèle surtout l'albumine, plutôt plus que les globulines. La sensibilité est bonne, il détecte 200 à 300 mg/l de protéines.
1. Quand la protéinurie est faite de globulines. 2. Quand la protéinurie est faite de chaînes légères.
- Vrai
- Faux
b
C'est la quantité d'albumine dans l'urine qui est moindre. Il existe des bâtonnets particuliers pour la détecter. Il donne un résultat positif au-dessus de 20 mg/l. On parle de microalbuminurie entre 30 et 300 mg/ jour.
La micro-albuminurie
1. Globules rouges intacts 2. Produits de dégradation dont l'hémoglobine libre
- Vrai
- Faux
a
Et leur présence n'en est pas moins anormale.
- Entre 2,4 et 5,2
- Entre 7,8 et 12,0
- Entre 4,5 et 8,0
c
- Vrai
- Faux
b
Il ne doit pas y avoir de glucose dans l'urine. Par contre, pendant la grossesse, à cause de l'augmentation de la filtration glomérulaire, il peut y avoir une glycosurie non pathologique dans ce cas.
Dans les infections urinaires
L'infection urinaire
1. Les cellules 2. Les cylindres 3. Les lipides 4. Les bactéries 5. Les cristaux
0-3 hématies/grand champ. Et la présence d'hématies dans à peu près tous les champs est anormale.
1. Les glomérulo-tubulaires sont souvent plus petites, plus frêles, plus pâles et de taille irrégulière. Elles sont comme vidées de leur hémoglobine.
2. Les urologiques sont davantage comme les hématies du frottis sanguin, car elles sont moins déformées.
1. Glomérulonéphrites 2. Néphrites tubulo-interstitielles 3. Nécrose tubulaire aigue 4. Pyélonéphrites 5. Cystites 6. Prostatites 7.Urétrites
1-4 leucocytes/grand champ
- Vrai
- Faux
b
Ce sont des éléments figurés qui sont formés dans les tubules rénaux par coagulation protéique (mucoprotéines et protéines filtrées).
Les 7 types sont: 1. Hyalins 2. Granuleux (On les retrouve dans la nécrose tubulaire aiguë en grande quantité et ils sont pigmentés.) 3. Cireux 4. Graisseux 5. Hématiques 6. Leucocytaires 7. Épithéliaux
- Vrai
- Faux
a
Il signe une glomérulonéphrite, ou plus rarement, une néphrite tubulo-interstitielle.
Non, c'est dans la véritable infection urinaire que l'on retrouve des bactéries.
Note: Attention toutefois aux contaminations qui peuvent survenir en cas de contact avec des sécrétions vaginales. Par contre, dans cette situation, on peut voir des bactéries en PETIT nombre sur une lame de sédiment urinaire.
- Vrai
- Faux
a
Il signe une cystinurie lié à un désordre d'excrétion de la cystine et de 3 autres acides aminés conduisant à la formation de calculs de cystine.
- AST
- ALT
a
- Hémolyse
- Obstruction intra-hépatique
- Syndrome de Gilbert
- Ictère du nourrisson
b
Le fer sérique, la ferritine, la capacité totale de fixation et le pourcentage total de fixation de la transferrine
- Normocytaire et normochrome
- Macrocytaire et normochrome
- Microcytaire et hypochrome
c
- Vrai
- Faux
a
Au contraire, la ferritine est augmentée en présence d'anémie inflammatoire.
- Hypothyroidie primaire
- Hypothyroidie secondaire
- Hypothyroidie tertiaire
a
Neutrophiles
1. Margination 2. Diapédèse et chimiotaxie 3. Opsonisation et phagocytose 4. Bactéricide 5. Digestion intracellulaire
Note : La principale fonction du neutrophile est la phagocytose.
1. Les globules blancs (GB) 2. L'hémoglobine (HB) 3. Le volume glomérulaire moyen (VGM) 4. La teneur moyenne en hémoglobine (TGMH) 5. La concentration glomérulaire moyenne en hémoglobine (CGMH)
Une infection
La déshydratation
Le volume glomérulaire moyen (VGM)
Les neutrophiles
1. Les neutrophiles 2. Les lymphocytes 3. Les monocytes 4. Les eosinophiles 5. Les basophiles
Aux infections parasitaires et à l'asthme/manifestation allergique importante
Ils ont une fonction essentielle de transport de l'O2 aux tissus et de ramener le CO2 aux poumons. Le processus est assuré par l'hémoglobine.
1. L'immunité cellulaire est assuré par les lymphocytes T. 2. L'immunité humorale est assurée par les lymphocytes B.
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La femme enceinte est considérée anémique à moins de 110g/L d'hémoglobine alors que la femme l'est à moins de 125 g/L.
1. Femme : moins de 125g/L 2. Homme : moins de 130g/L
Elle exprime le taux de globules blancs dans le sang en augmentation. Elle est souvent secondaire à une infection. On retrouve des leucocytoses caractérisées par divers polynucléaires : neutrophiles, eosinophiles, basophiles, lymphocytes, monocytes.
1. Naissance 2. Grossesse 3. Menstruations 4. Exercice violent
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b
La leucocytose est causée par l'infection sous-jacente.
L'allergie et les parasites
Note : Très rarement, elle peut être en lien avec une une périartérite noueuse, une maladie de Hodgkin ou un cancer.
1. Hémorragie aigüe 2. Hémodilution
1. Anémie ferriprive 2. Thalassémies
1. Déficit en vitamine B12 2. Déficit en folates 3. Alcoolisme (malnutrition) 4. Hémolyse
Oui, mais c'est rare.
1. Plus de 100 fL (macrocytaire) 2. De 80-99 fL (normocytaire) 3. Moins de 80 fL (microcytaire)
Note : Macrocytaire fait référence à de gros globules rouges et microcytaire à de petits globules rouges.
Entre 320 et 360 mmol/L
Note : Les globules rouges sont hypochromes (pâles) si la valeur du CGMH est de moins de 320 mmol/L.
Au niveau de l'artère radiale ou sinon de l'artère fémorale au niveau du pli de l'aine.
Il peut être fait à différents endroits. Chez les nouveau-nés, on le fait normalement au niveau du talon. Dès l'âge de 1 an et jusqu'à l'âge adulte, il peut être fait au bout du doigt.
La différence de pression partielle d'oxygène (pO2) est plus grande dans le sang capillaire que dans le sang artériel. La pO2 du sang capillaire est plus basse d'environ 20 à 30 mm Hg que la pO2 du sang artériel.
1. Méthode de référence 2. On la préconise si l'hémodynamie est instable (PaO2 plus précise)
1. Invasif 2. Plus difficile d'accès 3. Complications : thrombose, hématome, dissection artérielle, douleur, risque de piqure accidentelle 4. Doit être fait par un professionnel
1. Utile chez les enfants 2. À préconiser si hémodynamie stable 3. Peu douloureux, simple, non invasif 4. Peut être fait par infirmière
1. Plusieurs facteurs d'influence comme l'application ou non de chaleur avant l'échantillonnage, la présence de bulles d'air, le temps d'entreposage, l'exposition à l'air libre 2. PaO2 moins précise
1. Suspicion d'intoxication 2. Baisse de l'état de conscience 3. Hémodynamie instable 4. Troubles respiratoires (hypo ou hyperventilation)
1. Le degré d'extraction de l'oxygène et le métabolisme sont altérés 2. Il n'y a plus de corrélation entre les valeurs de pH, de pCO2 et de bicarbonates 3. Écart plus grand entre les valeurs de sang artériel et du sang capillaire/veineux
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b
Il n'en faut qu'un des trois
Les distances entre les pédicules des vertèbres lombaires et leurs processus épineux sont égales (sauf si scoliose) et les deux côtés du bassin sont d'aspect symétrique.
Un pneumopéritoine, qui est une urgence médicale.
Note: Il forme un croissant aérique.
1. Diamètre moins de 3 cm 2. Moins de 3 niveaux hydro-aériques 3. Épaisseur de la paroi de moins de 3 mm
Note: Cette règle s'applique pour l'adulte.
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a
Car il pleure et avale beaucoup d'air.
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a
Parce que les selles sont encore semi-liquides dans ce segment colique.
1. Urolithiases 2. Appendicholite 3. Cholelithiase 4. Calcifications pancréas 5. Sans signification clinique : aorte et ses branches (athérosclérose), ganglions mésentériques, phlébolites pelviens
Une pneumonie
1. Dilatation anses digestives 2. Niveaux hydro-aériques 3. Peu ou pas d'aération des anses distales à l'obstruction (si obstruction mécanique)
1. Les anses grêles dilatées ont des replis muqueux qui traversent complètement la lumière intestinale (valvules conniventes)
2. Le côlon dilaté a des replis muqueux qui ne traversent pas complètement la lumière intestinale (haustrations)
1. AP couché 2. AP debout 3. AP debout centré sur le diaphragme
1. Corps étranger pour aider à situer dans le plan antéropostérieur 2. Anévrysme de l'aorte ( on peut mesurer le diamètre en antéropostérieur)
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- II
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- IV
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1. Vaisseaux brachio-céphaliques (veine et artère) D 2. Veine cave supérieure 3. Oreillette droite
1. Veine brachiocéphalique et artère sous-clavière G 2. Arc aortique 3. Tronc pulmonaire 4. Auricule gauche 5. Ventricule gauche
1. Nom du patient 2. Date 3. Marqueur de position D/G
1. Inspiration : Côtes antérieures au-dessus du diaphragme OU 10 côtes postérieures 2. Position: L'apophyse épineuse du corps vertébral thoracique supérieur (D1) au milieu de l'espace inter claviculaire proximale 3. Exposition : Transparence adéquate
1. Les tissus mous 2. Les structures osseuses 3. Le médiastin 4. Les hiles 5. Les poumons 6. Les plèvres 7. Les structures abdominales
1. Les seins : On recherche l'absence d'un sein (mastectomie). On recherche des métastases. 2. Les tissus mous thoraciques et cervicaux : On recherche de l'air (emphysème sous-cutané) qui pourrait indiquer un pneumomédiastin.
Des fractures, des écrasements vertébraux et des tumeurs
1. La trachée et les bronches principales : On regarde pour un déplacement/compression, corps étranger, tumeur 2. La silhouette cardio-médiastinale: On mesure la taille du coeur (normal en bas de 50%) et on évalue les contours du coeur et du médiastin (voussures anormales)
1. Position anormale 2. Asymétrie de taille 3. Asymétrie de densité 4. Voussures anormales
1. Asymétrie de transparence des deux poumons 2. Densités anormales 3. Distribution vasculaire anormale 4. Position anormale des scissures
1. Décollement pleural (pneumothorax) 2. Émoussement des culs-de-sac costco-diaphragmatiques (épanchement pleural) 3. Épaississement/masse
1. Position anormale de la bulle à air gastrique 2. Air libre sous les coupoles diaphragmatiques (pneumopéritoine)
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a
Utile pour détecter une pneumonie.
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b
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a
Trop blanc signifie qu'il y a moins d'air que dans le thorax normal, ce qui se produit lorsqu'une pathologie remplace (causes pulmonaires) ou comprime (causes pleurales) le tissu pulmonaire normal.
Les causes pulmonaires :
1. Nodule-masse 2. Infiltration 3. Atélectasie
Les causes pleurales :
1. Épanchement 2. Fibrose 3. Masse
Trop noir signifie qu'il y a plus d'air que dans le thorax normal, soit dans les poumons ou soit dans l'espace pleural.
Les causes pulmonaires:
1. Hyperinflation 2. Destruction du parenchyme (emphysème)
Les causes pleurales :
1. Pneumothorax
Elle survient lorsque la quantité de liquide est suffisamment importante, ce qui le fait s'intercaler latéralement entre le poumon et la paroi thoracique et remonte vers l'aisselle.
Le poumon du coté atteint se collabe et le médiastin à tendance à se déplacer vers le côté sain.
IMPORTANT DE LE DIAGNOSTIQUER !!!
1. Bronchogramme aérique (signe pathognomonique) 2. Opacités floues et mal délimités, sauf si elles sont adjacentes à une scissure. 3. Signe de la silhouette possible
Poumon droit : Lobe supérieur, lobe moyen et lobe inférieur
Poumon gauche: Lobe supérieur, lingula, lobe inférieur
1. Une augmentation de taille de la silhouette cardiaque (cardiomégalie) 2. Une redistribution vasculaire aux sommets pulmonaires (stade précoce) 3. Des fines travées horizontales (lignes de Kerley B) traduisant la stase lymphatique 4. Un épanchement pleural
1. La silhouette peut être de taille normale 2. Une augmentation de volumes des cavités cardiaques droites et/ou gauches (fonction de la maladie cardiaque responsable)
1. Installation progressive de l'oedème aigu du poumon (OAP) 2. Redistribution vasculaire vers le sommet 3. Les hiles sont flous 4. Opacités à contours dégradés en ailes de papillon 5. Épanchements aux bases, surtout à droite 6. Lignes de Kerley B
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La PA ou l'AP et la latérale
1. Patient incapable de rester debout 2. Radiographie au lit 3. Jeunes enfants
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1. Décubitus latéral (utile en épanchement pleural) 2. Lordotique (utile pour évaluer une lésion dans la région de la clavicule et des sommets pulmonaires) 3. Expiration (utile pour le pneumothorax)
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- Artériel
- Capillaire
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- Maladies inflammatoires
- Néoplasies généralisées
- Hyper-gammaglobulinémie