ULaval:MED-1291/Flashcards pour la partie 1
- Perte de force ou de sensibilité d'un hémicorps
- Atteinte du language
- Vision double (qui se corrige en fermant un oeil)
- Atteinte des champs visuels
a,d
Atteinte de l'attention, mémoire, jugement, langage, etc. Truc mémotechnique: JOMAC Jugement, orientation, mémoire, attention/concentration, calcul
Système extrapyramidal
Adiadococinésie, Dysarthrie, Nystagmus/saccades anormales, Ataxie, Dysmétrie, Hypotonie
Truc mémotechnique: ADN ADH
Un processus lésionnel focal
Fosse postérieure
Un évènement vasculaire
À une maladie inflammatoire ou infectieuse touchant le système nerveux.
La migraine et la céphalée de tension
Rupture d'anévrisme cérébraux
À des céphalées tensionnelles ou cervicogéniques
Syndrome du tunnel carpien
Une difficulté à effectuer des mouvements complexes malgré l'intégrité des fonctions motrices, sensitives et cognitives requises pour les accomplir.
Utilisation > 15 jours par mois d'analgésiques simples ou > 10 jours par mois d'analgésiques combinés
- Céphalée nouvelle à partir de 40 ans
- Changement de patron des céphalée usuelle
- Céphalée diurne
- Céphalée provoquée par l'activité sexuelle
- Raideur de la nuque
b,d,e
- Céphalée nouvelle à partir de 50 ans
- Céphalée nocturne ou matinale
Migraine, Céphalée tensionnelle, Céphalée de Horton
Nausée, vomissement, sonophobie, photophobie
4 à 72h
Migraine
- Vrai
- Faux
b
Elle est présente davantage chez l'homme. La céphalée tensionnelle est un peu plus présente chez la femme.
- Pulsatile
- Bilatérale
- Augmentée par l'activité physique
- Pas de nausées ou de vomissements
b,d
Hématome sous-dural
Céphalée de Horton
Crises d'une durée de 15 à 180 minutes qui se répètent entre 1 fois aux 2 jours à 8 fois par jour de façon continue ou pendant une période de quelques semaines, parfois de façon saisonnière.
Tumeur ou masse cérébrale
Hémorragie sous-arachnoïdienne
Hématome sous-dural
Méningite
Sinusite, dentaire, glaucome, dissection artérielle
Hypertension artérielle sévère, fièvre / bactériémie
Hypertension artérielle sévère
- ↑ Ratté, F., Thériault, J. F., & Isabelle, C. (2017). Démarche clinique: raisonnement clinique, examen physique, entrevue médicale. Québec: Les Presses de l'Université Laval.
- Saignement nasal
- Un problème local au niveau du nez (rhinite allergique, rhume, obstruction nasale)
- Tabagisme
- Alcoolisme
- Lésions unilatérales du cortex olfactif
- Lésion aux fibres olfactives lors de leur passage à travers la lame criblée (après un trauma crânien par exemple)
- Tumeur ou autres lésions près du bulbe olfactif
b, c, f, g
Une lésion des fibres olfactives lors de leur passage à travers la lame criblée cause habituellement une atteinte olfactive bilatérale alors qu'une tumeur ou autre lésion près du bulbe olfactif cause une hyposmie unilatérale
Une lésion unilatérale du cortex olfactif ne cause pas de déficit olfactif puisque la représentation corticale de l'odorat est bilatérale
Références:
- Ratté, F., Thériault, J. F., & Isabelle, C. (2017). Démarche clinique. Québec: Les Presses de l'Université Laval.
- Vrai
- Faux
b
L'examen du nerf olfactif consiste à placer un tube contenant une substance odoriférante (café, cannelle, etc.). Le patient a les yeux fermés et il faut tester UNE narine à la fois en changeant d'odeur pour l'autre narine
- Vrai
- Faux
b
Faux
Une lésion préchiasmatique entraine généralement une perte de vision MONOculaire
Une lésion préchiasmatique peut être une névrite optique (inflammation nerf optique), observée dans la sclérose en plaques.
Voir image p.309 du livre de Démarche clinique pour une meilleure visualisationEn 4 quadrants (nasal et temporal, supérieur et inférieur)
Une hémianopsie bitemporale (amputation de la moitié temporale des champs de vision de chaque oeil
- Sclérose en plaque
- AVC
- Lésion préchiasmatique
- Épilepsie
b
Elle est mesurée avec une carte de Snellen
Cette technique de dépistage consiste à comparer le champ visuel du patient avec le vôtre. Elle est généralement incluse dans l'évaluation de la paire crânienne III.
- Vrai
- Faux
b
La tête du nerf optique s'appelle la papille et elle est évalué lors d'un fond d'oeil
Les fibres motrices somatiques et les fibres viscérales
- Droit supérieur
- Gauche supérieur
- Petit oblique
- Droit interne
- Gauche externe
- Droit inférieur
- Grand oblique
a,c,d,f
Le droit interne est responsable de l'adduction de l'œil (mouvement latéral vers le côté nasal) Le droit inférieur est responsable du regard vers le bas Le droit supérieur amène l'œil vers le haut
Le petit oblique est responsable du regard vers le haut et d'une extorsion du globe oculaireFaiblesse, atteinte cérébelleuse, mouvements anormaux controlatéraux à l'atteinte oculaire
1- Diplopie verticale ou oblique 2- Ptose (peut s'accompagner d'une activité exagérée du muscle frontalis) 3- Dilatation pupillaire (mydriase) 4- Position de l'œil en abduction et légèrement vers le bas due à une action non opposée des muscles grand oblique et droit externe
- Nerf oculomoteur
- Nerf trochléaire
- Nerf abducens
- Nerf trijumeau
b
- Vrai
- Faux
a
Vrai
Quand l’œil est en adduction (sous l’effet du droit interne), le nerf IV produit surtout une dépression, alors que, si l’œil est en abduction (sous l’effet du droit latéral), la force d’intorsion est maximale et l’action dépressive est minime.
- Vrai
- Faux
b
- Atteinte microvasculaire (s'obstrue vite si diabète ou HTA)
- Traumatisme, même si léger
- Paralysie congénitale du nerf IV est très fréquente
- Vrai
- Faux
b
Faux
Elle est plus marquée quand le patient regarde vers le BAS
Au niveau du tronc cérébral par des zones spécialisées
Faiblesse ou une paralysie du muscle droit latéral ipsilatéral
Cela résultera en une limitation d'abduction de l'œil atteint.
L'œil peut paraitre dévié vers l'intérieur à cause de l'action non opposée du muscle droit interneUne sorte d'oscillation involontaire rapide du globe oculaire
Il peut être congénital ou acquis, en lien avec une atteinte des voies vestibulaires centrales ou périphériques ou même associé à certaines médications.
Le nystagmus est pathologique s'il est présent autrement qu'en périphérique du regard ou s'il est asymétrique- Pupille de Bell
- Arythmie pupillaire
- Pupille de Marcus Gunn
- Swinging flashlight
c
Le déficit survient s'il y a une atteinte partielle unilatérale ou asymétrique des voies afférentes
- Vrai
- Faux
a
Le trijumeau est le nerf sensitif principal du visage
Ganglion trigéminé (ou ganglion de Gasser)
Pour permettre le contrôle volontaire de la mastication
- Nerf facial
- Nerf trijumeau
- Nerf vestibulo-cochléaire
- Nerf abducens
a
- Vrai
- Faux
b
Une atteinte combinée des nerfs VI et VII suggère une lésion de la protubérance alors qu'une atteinte des nerfs VII et VIII suggère une lésion de l'angle pontocérébelleux ou du conduit auditif interne
La région du noyau du nerf facial responsable de la portion supérieure du visage reçoit une innervation bilatérale en provenance du cortex cérébral alors que la portion inférieure reçoit une innervation controlatérale seulement
- Vrai
- Faux
b
Le nerf facial sert à fermer l'oeil
La paralysie de Bell est un exemple classique d'atteinte périphérique du nerf facial.
Elle résulte en une faiblesse faciale unilatérale qui touche toute l'hémiface de façon proportionnelle
Il en résulte une diminution marquée de l'expression faciale du côté atteint avec un abaissement du sourcil et un effacement du sillon nasolabial du côté atteint
Périphériques
- Vrai
- Faux
a
Une hypoesthésie unilatérale du pharynx, de l'amygdale et du voile du palais
- Vrai
- Faux
b
La gustation des 2/3 antérieurs sont innervés par le VII alors que la gustation et la sensibilité du 1/3 postérieur est innervé par le IX. La sensibilité des 2/3 antérieurs est innervé par le nerf V.
Une paralysie de la corde vocale du côté atteint et modifiera la voix.
- Sensitive
- Motrice
- Sensitive et motrice
b
Les muscles trapèze et sternocléidomastoïdien
- Vrai
- Faux
a
Une atteinte mènera à une faiblesse de la langue ipsilatérale, causant une déviation du côté de la lésion avec atrophie et fasciculations de l'hémilangue
- ↑ Ratté, F., Thériault, J. F., & Isabelle, C. (2017). Démarche clinique: raisonnement clinique, examen physique, entrevue médicale. Québec: Les Presses de l'Université Laval.
- Vrai
- Faux
b
Le système pyramidal est responsable de la motricité et de la force musculaire alors que le système extrapyramidal exerce un contrôle sur l'initiation et la suppression du mouvement
- Cortex sensitif dans le lobe temporal
- Cortex moteur dans le lobe occipital
- Cortex moteur dans le lobe frontal
- Cortex sensitif dans le lobe frontal
c
- Atteinte du motoneurone supérieur du système pyramidal
- Atteinte du motoneurone inférieur du système pyramidal
b
1- Inspection 2- Évaluation de la force musculaire 3- Évaluation du tonus musculaire 4- Évaluation des réflexes (ostéotendineux, cutané plantaire)
Les fasciculations sont des contractions involontaires et brèves impliquant seulement quelques fibres musculaire à la fois
Il faut stabiliser l'articulation ou le segment proximal avec une main
Elle est gradée sur une échelle de 5 appelée l'échelle MRC (Medical Research Council)
0/5 Absence de contraction musculaire 1/5 Contraction musculaire visible sans mouvement du membre 2/5 Mouvement actif du membre, mais ne vainc pas la gravité 3/5 Mouvement actif du membre qui vainc la gravité, mais aucune résistance contre l'examinateur 4/5 Mouvement actif du membre et maintien d'une certaine résistance
5/5 Force musculaire normale (examinateur incapable de vaincre le patient, sauf pour certains muscles des mains et des pieds)- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Le serment permet de dépister une faiblesse aux membres supérieurs alors que la manoeuvre de Mingazzini permet de dépister une faiblesse aux membres inférieurs
La tension du muscle perçue par le clinicien lors de la mobilisation passive d'un membre
Ils ont de la difficulté à se relâcher complètement.
Flaccide
- Rigidité
- Paratonie
- Spasticité
- Flexibilité
d
- Vrai
- Faux
b
Elle est dite vélocité-dépendante
Elle est caractéristique du système extrapyramidal comme la maladie de Parkinson
Elle est caractéristique d'une atteinte des lobes frontaux
- Vrai
- Faux
a
La roue dentée est ressentie comme des saccades lors du mouvement passif comme si "ça donnait des coups"
- Réflexes ostéotendineux
- Réflexes subconscients
- Réflexes cutanés
- Réflexes primitifs
b
Réflexe stylo-radial (C5-C6) Réflexe bicipital (C5-C6) Réflexe tricipital (C6-C7-C8) Réflexe rotulien ((L2) L3-L4) Réflexe achilléen (S1)
- 5
- 3
- 4
- 10
a
0 - Absence de réflexe (aréflexie) 1 - Ébauche de réponse ou mouvement obtenu avec manoeuvre de rendorcement seulement 2 - Réflexe normal 3 - Réflexe vif (hyperréflexie)
4 - Réflexe très vifUne atteinte du motoneurone inférieur
Le réflexe cutané plantaire
- Vrai
- Faux
b
Un cutané plantaire en extension équivaut à un signe de Babinski présent
Tremblement postural Tremblement kinétique d'intention Tremblement kinétique simple Tremblement isométrique
Un tremblement de repos asymétrique de type pronation-supination au membre supérieur
Tremblement de repos, Bradykinésie, Rigidité
Adiadococinésie, Dysmétrie, Ataxie à la marche
Asthénie, Lipothymie, Douleur mécanique
Conditions pouvant amener une asthénie décrite par le patient comme la faiblesse: - Cachexie associée à un cancer - Infection systémique - Maladie inflammatoire chronique - Anémie - Hypothyroïdie - Maladie cardiorespiratoire
- Dépression- ↑ Ratté, F., Thériault, J. F., & Isabelle, C. (2017). Démarche clinique: raisonnement clinique, examen physique, entrevue médicale. Québec: Les Presses de l'Université Laval.
La voie spinothalamique et la voie lemniscale
- Tact léger
- Douleur
- Température
- Vibration
- Proprioception
a,b,c
- Tact léger
- Douleur
- Température
- Vibration
- Proprioception
a,d,e
Dans la moelle épinière
Bulbe inférieur
- Vrai
- Faux
b
Syndrome de Brown-Sequard
- C2 = Cuir chevelu
- C5 = Peau sur le deltoïde
- C6 = Auriculaire
- C7 = Majeur
- C8 = Pouce
a,b,d
- T2 = Mamelons
- T10 = Nombril
- L3 = Gros orteil
- L5 = Genou
- S1 = Plante du pied
b,e
Nerf sciatique (portion péronière)
- Vrai
- Faux
a
Les nerfs suivants sont des branches sensitives du nerf fémoral : Cutané médian de la cuisse, cutané intermédiaire de la cuisse et saphène.
- Cutané brachial postérieur
- Cutané brachial latéral inférieur
- Cutané latéral de l'avant-bras
- Cutané postérieur de l'avant-bras
- Radial superficiel
a,b,d,e
- Sural
- Calcanéen
- Médial plantaire
- Latéral plantaire
a,b,c,d
La douleur et la température
- Controlatérale
- Ipsilatérale
b
Niveau sensitif
- Vrai
- Faux
b
On ne peut distinguer les deux voies avec ce test
Au moins un point de contact sur chaque dermatome pour chaque membre. On touche les deux côtés du corps pour savoir si la sensation est identique.
température
Par une atteinte de la vibration et de la proprioception.
- Atteinte de la vibration
- Atteinte de la douleur
- Hyperréflexie
- Diminution de la sensibilité thermique
- Atteinte de la proprioception
- Hyporéflexie
a,e,f
On place un diapason de 128 Hz sur une proéminence osseuse
Sur la tête du 1er métacarpe, à la base du 1er orteil ou sur l'articulation interphalangienne du gros orteil
- Environ 8 s
- Environ 10 s
- Environ 12 s
- Environ 14 s
c
25 s
Car le patient peut percevoir la pression facilement même si la proprioception est déficiente.
10 à 30°
- Vrai
- Faux
a
L'intégrité des cordons postérieurs OU l'intégrité de l'appareil vestibulaire
Le patient oscille ou perd l'équilibre à la fermeture des yeux seulement. Dans le cas d'une atteinte vestibulaire, le patient tombe de manière franche du côté atteint.
- Vrai
- Faux
b
L'oreille interne et la proprioception
Les sensibilités corticales ou discriminatives (percevoir la forme, la texture, la grosseur d'un objet)
La stéréognosie, la graphesthésie et la discrimination entre 2 points
La capacité d'identifier un objet par la manipulation seulement
C'est la capacité de reconnaître un dessin tracé sur la peau.
- Hyperalgésie
- Paresthésie
- Dysesthésies
- Hypoesthésie
- Anesthésie
b
- Hyperalgésie
- Paresthésie
- Dysesthésies
- Hypoesthésie
- Anesthésie
e
- Hyperalgésie
- Paresthésie
- Dysesthésies
- Hypoesthésie
- Anesthésie
a
- Hyperalgésie
- Paresthésie
- Dysesthésies
- Hypoesthésie
- Anesthésie
c
- Hyperalgésie
- Paresthésie
- Dysesthésies
- Hypoesthésie
- Anesthésie
d
- ↑ Ratté, F., Thériault, J. F., & Isabelle, C. (2017). Démarche clinique: raisonnement clinique, examen physique, entrevue médicale. Québec: Les Presses de l'Université Laval.
• Dysarthrie • Dysmétrie • Nystagmus • Hypotonie • Dysmétrie • Adiadococinésie • Ataxie
Incoordination unilatérale
Atteinte cérébelleuse médiane (vermis)
Lors d'une atteinte cérébelleuse, la parole perd son rythme et devient irrégulière et scandée. Le patient a de la difficulté à prononcer les mots et le rythme du langage est altéré.
- Vrai
- Faux
b
Oscillation rythmique rapide et involontaire des yeux
Phase lente de déviation oculaire suivie d'une saccade correctrice rapide en direction opposé.
- Vrai
- Faux
a
Par la direction de sa composante rapide
- Atteinte du cervelet
- Phase rapide dirigé vers le côté opposé à la lésion
- Généralement important
- Vertical
b, c
- Atteinte du nerf vestibulaire
- Phase rapide survient vers le côté de la lésion
- Toujours vertical
- Nystagmus persistant
- Associés à symptômes qui pointent vers une atteinte centrale
b,d,e
La dysmétrie, le tremblement d'intention et l'adiadococinésie
Irrégularité ou instabilité dans la vitesse, la force ou la direction d'un mouvement qui devrait être fluide et aisé.
Type de tremblement d'action qui s'accentue au fur et à mesure que le membre s'approche d'une cible.
Incapacité à effectuer des mouvements alternés rapides de manière régulière et coordonnée.
L'atteinte d'un hémisphère cérébelleux
L'adiadocinésie
- Vrai
- Faux
b
Il faut terminer en comparant les 2 côtés
- Vrai
- Faux
a
La pince évalue l'adiadococinésie
Taper du pied
L'ataxie à la marche
Instabilité en position assise alors que le tronc oscille de façon irrégulière.
Spasmes musculaires douloureux quand les structures inflammées (racines nerveuses et méninges) sont mise sous tension.
La raideur de la nuque, le signe de Brudzinski et le signe de Kernig.
La raideur de la nuque se trouve seulement quand le cou est manipulé en flexion alors qu'une raideur cervicale indique une résistance aux mouvements du cou dans toutes les directions (flexion, extension, rotation). La raideur cervicale n'indique pas une atteinte méningée.
- Vrai
- Faux
b
Lors de ce mouvement la traction sur le nerf sciatique et le déplacement de la moelle provoquent beaucoup de douleur et un spasme involontaire.
Le patient fléchit les genoux et les hanches dans une tentative inconsciente de réduire la tension induite par la flexion du cou.
Le patient couché sur le dos on fléchit la jambe et le genou à 90° puis on essaie d'étendre le genoux. En cas d'irritation méningée le patient résiste, se plaint de douleur ou effectue une flexion réflexe du cou.
7 et 45 ans
Déplacement du centre de gravité vers l'avant, démarche à petits pas et augmentation de la base de sustentation pour compenser.
De l'initiation de la marche et des mouvements automatiques (balancement des bras).
La phase d'appui et la phase de balancement
Fluidité des pas, largeur du polygone de sustentation, longueur des pas, balancement des bras (il faut rechercher toute anomalie ou asymétrie des mouvements).
- Vrai
- Faux
a
Lorsque le pied se déplace sur le côté au lieu de monter pendant la phase de balancement.
Faiblesse, spasticité, contrôle moteur et atteinte sensitive
Diminution asymétrique du balancement des bras
Démarche irrégulière avec un polygone élargi et des déviations subites rattrapées par le patient.
Adduction excessive des membres inférieurs
Un pied tombant
Une démarche antalgique
Atteinte du motoneurone supérieur (ex. sclérose en plaques ou AVC ancien)
Paraplésie spastique (ex. paralysie cérébrale, sclérose en plaques, lésion médullaire)
Démarche parkinsonienne
Dysfonction des noyaux gris centraux (maladie de Parkinson, parkinsonisme médicamenteux)
Apraxie à la marche
Un manque d'intégration et d'organisation du mouvement au niveau du cortex
Ataxie sensitive
D'une faiblesse de la ceinture pelvienne
Le patient se relève de la position accroupie en appuyant ses mains sur ses jambes.
- ↑ Ratté, F., Thériault, J. F., & Isabelle, C. (2017). Démarche clinique: raisonnement clinique, examen physique, entrevue médicale. Québec: Les Presses de l'Université Laval.