ULaval:MED-1221/Questions de l'examen 2
- Vrai
- Faux
b
La douleur arthritique est causée par l'exposition de l'os sous-chondral.
- Douleur nocturne
- Une douleur inguinale
- Douleur au mollet
- Ankylose articulaire
- gonflement articulaire / déformations articulaires
- Diminution de la distance de marche
b,d,e,f
A= Bien que ce soit possible, la douleur nocturne n'est habituellement pas typique de l'arthrose
B= La douleur inguinale est une présentation classique d'arthrose de hanche
C= Une douleur à la cuisse/ mollet n'est pas typique d'arthrose du genou- Vrai
- Faux
b
Flexion + rotation interne de la hanche
- Vrai
- Faux
b
Faux
Bien qu'il fasse partie d'un des 4 signes radiologiques de l'arthrose, le kyste sous-chondral est rarement retrouvé.
- Médial
- Latéral
a
- Ipsilatéral à l'articulation affectée
- Controlatéral à l'articulation affectée
a
- Valgus
- Varus
b
Flexion (90 degrés) et rotation interne de la hanche
- Vrai
- Faux
b
Faux
Dans la majorité des cas, la radiographie simple avec mise en charge est suffisante
De plus, le rôle de l'IRM dans l'investigation d'un patient >60 ans avec arthrose est très limité. En effet, même si on soupçonne une déchirure méniscale associée, elle ne serait pas traitable par arthroscopie à cause de l'arthrose sous-jacente.
Donc en gros, l' IRM n'aide ni au traitement, ni au diagnostic d'arthrose du genou chez les >60 ans.- Vrai
- Faux
b
Faux
Cette trouvaille nous pointerait d'avantage vers une atteinte inflammatoire (PAR par exemple).
- Pincement articulaire
- Sclérose sous-chondrale
- Ostéophytes
- Kystes sous-chondraux
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
b
Faux
C'est au contraire, très encouragé. Surtout si le patient présente un surplus de poids.
- Vrai
- Faux
b
Par contre, ne pas sous-estimer l'effet placebo!
- Cortisone
- Acide hyaluronique
a
- Vrai
- Faux
b
Faux
Bien qu'elle agisse plus longtemps, elle est efficace pour l'arthrose de bas grade (donc léger-modéré= donc grade I ou II = quand il y a encore du cartilage à la radiographie)
- Vrai
- Faux
a
Vrai
En effet, l'arthrose sera toujours présente. Ainsi, le patient aura toujours besoin de soulagement. Il est important de trouver d'autres moyens que les narcotiques afin d'éviter les effets secondaires et la narcodépendance.
- Ostéotomie
- Arthrodèse
- Arthroplastie
Thrombophlébite
PTG : 14 jours
PTH: 35 jours
- Un patient avec arthrose modérée diagnostiquée la semaine passée
- Patient avec atteinte sévère qui l'empêche de dormir
- Patiente avec atteinte sévère soulagée par infiltration de cortisone, mais qui n'aime pas l'idée de se faire injecter 4 fois par année
- Patient avec arthrose sévère qui ne peut plus travailler malgré le traitement conservateur
b,d
L'arthrose doit être sévère et associée àa une des conditions suivants:
- Traitement conservateur épuisé
- Atteinte de la qualité de vie
- Distance de marche limitée
- Sommeil perturbé par la douleur
- Présence d'une chirurgie appropriée au problème
- Risque chirurgical acceptable
Score T ≤ -2,5
- Vrai
- Faux
b
Faux
La définition ostéotomodensitométrique de l'ostéoporose de l'OMS ne s'applique qu'aux femmes caucasiennes ménopausées . Par contre, on va interpréter le score T d'un homme >50 ans de la même façon (pour le moment on manque de donnés).
- Vrai
- Faux
b
Faux
Bien que la densité minérale osseuse soit un facteur déterminent majeur d'ostéoporose, il n'est pas le seul. On considère en effet la microarchitecture oesseuse et la géométrie des os également.
- Vrai
- Faux
b
Ça prend des corticostéroïdes oraux (> 7,5 mg/j) > 3 mois au cours de l’année écoulée
- Les ostéocytes représentent environ 10% des cellules osseuses, alors que les ostéoblastes et ostéoclastes représentent 90%.
- L'ostéocalcine reflète l'action des ostéoblastes
- La phosphatase alcaline reflète la résorption osseuse
- Le C-télopeptide est le reflet de l'action des ostéoclastes
b,d
A= c'est plutôt le contraire
C= L'ostéocalcine et les phosphatases alcalines reflètent la formation osseuse (donc l'action des ostéoblastes)C-télopeptide
- Une diminution de la taille de 2cm par rapport à la mesure précédente
- Une augmentation de poids de 10% p/r à l'âge à 25 ans
- Une diminution de la distance costo-iliaque
- Une diminution de la distance occipute-mur
a,c
A= on soupçonne une fx de la colonne. Si la dernière mesure date depuis relativement longtemps, on va alors considéré une diminution de 6cm
B= C'est une perte de poids de >10% inexpliquée p/r au poids à 25 ans qui est significative.
C= Ceci représente un signe indirecte de fx vertébrale
D= Une augmentation de la distance occipute mur sera recherchée puisqu'elle est en lien avec la progression de cyphoseÀ partir de 65 ans et plus
- Âge
- Sexe
- Score T au col fémoral
- Vrai
- Faux
a
Ainsi, ce ne sont pas des scores permettant de faire un suivi
- Une RX standard est suffisante pour voir une fracture vertébrale
- Une perte de hauteur de 45% est nécessaire pour considérer qu'il s'agit d'une fracture vertébrale significative en terme d'ostéoporose
- 1 fracture vertébrale ostéoporotique sur 2 sera totalement asymptomatique
- Une ostéoporose densitométrique est nécessaire pour une ostéoporose fracturaire
- Les énoncés 1 et 3 sont vrais
- Les énoncés 2 et 4 sont vrais
- Les énoncés 1, 2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
a
2; une perte de 20 à 25% est nécessaire pour considérer qu'il s'agit d'une fracture vertébrale significative en termes d'ostéoporose.
4; La plupart des fractures ostéoporotiques surviennent chez les personnes n'ayant pas atteint le score T inférieur à -2.5.- La portée des lignes directrices concerne toute femme en âge de procréer
- Repose sur le risque de fracture à 5 ans
- Pour un résultat au score CAROC <10%, on peut considérer traiter avec seulement la pharmacothérapie
- Un traitement plus poussé doit être considéré pour les patients avec un risque élevé >20% au score CAROC ou FRAX
- 1 et 3 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1,2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
e
1; Hommes et femmes >50 ans
2; risque de fracture à 10 ans
3; Si le risque est jugé faible (<10%) aucun traitement n'est recommandé. On considère la pharmacothérapie pour le risque modéré (10-20%).- Elle ne peut pas faire l'objet d'un traitement efficace contre l'ostéoporose fracturaire à elle seule.
- La 25 OH vitamine D doit être dosée 3 à 4 mois après le début de la supplémentation en vitamine D
- Cette supplémentation permet d'optimiser l'efficacité des médicaments antirésorptifs ou ostéoformateurs
- Il faut limiter la dose quotidienne de calcium à 80 mg par jour
- 1 et 3 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1,2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
c
4; c'est la supplémentation en vitamine D qu'on limite à 80 nmol/L die. La dose de calcium recommandée par jour est de 1200 mg
Important de doser le calcium en fonction de l'alimentation. Un excès de calcium est associé à des complications cardio-vasculaires- Le raloxifène prévient les fractures vertébrales seulement
- Les bisphosphonates sont peu absorbés.
- Le dénosumab s'administres sous-cutané aux 6 mois.
- Il est conseillé d'utiliser ces médicaments pour 3 à 5 ans
- 1 et 3 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1,2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
d
- Tériparatide
- Denosumab
- Bisphosphonate
- Raloxifène
- Romosozumab
A. Anticorps monoclonal inhibant la sclérotine, ce qui stimule la formation osseuse et la minéralisation.
B. Anticorps dirigé contre le RANK ligand, inhibant ainsi cette cytokine qui participe notamment à la survie des ostéoclastes.
C. Analogue de la parathormone, permettant de stimuler les ostéoblastes si administrés une fois par jour.
D. Augmentent l'apoptose des ostéoclastes, inhibant ainsi leur activité.
E. Modulateur sélectif du récepteur des oestrogènes.- 1C ; 2D ; 3B ; 4E ; 5A
- 1B ; 2A ; 3C ; 4D ; 5E
- 1C ; 2B ; 3D ; 4E ; 5A
- 1C ; 2B ; 3D ; 4A ; 5E
- 1C ; 2E ; 3D ; 4E ; 5B
c
- Maladie de Pgaet
- Hypocalcémie
- Hyperparathyroïdie
- Élévation inexpliquée des phosphatases alcalines
- ATCD de radiothérapie
- Grossesse
- Individu en croissance
b
- Vrai
- Faux
a
Vrai
Le tériparatide conduit au développement d'ostéosarcose chez les animaux de laboratoire en croissance et traités avec de fortes doses
Bisphosphonates
Modulateur sélectif du récepteur des oestrogènes
Anticorps monoclonal contre le RANK-L
Analogue 1-34 de la parathormone
Anticorps monoclonal contre la sclérostine
- Vrai
- Faux
a
Les fractures atypiques sous-trochantériennes et diaphysaires sont aussi des effets secondaires possibles.
- Le risque de fracture est proportionnel à la dose et à la durée de prise de glucocorticoïdes
- La tériparatide est contre-indiquée dans cette situation
- Un traitement préventif doit être considéré chez toute personne prenant au moins 7,5 mg par jour de glucocorticoïdes
- C'est une forme rare d'ostéoporose
- 1 et 3 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1, 2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
a
2; Bien que le traitement de première intention soit les bisphosphonates ou le dénosumab, la tériparatide serait en fait le traitement le plus approprié, considérant que l'ostéoporose cortisonique est avant tout caractérisée par une réduction de la formation osseuse. Ainsi, un ostéoformateur serait une bonne option (par contre celui-ci est théoriquement associé au développement d'ostéosarcome).
4; L'ostéoporose cortisonique est en fait la cause iatrogène la plus fréquente d'ostéoporose.- Les hommes sont plus souvent atteints de causes primaires d'ostéoporose que les femmes.
- Le dosage de la testostérone doit être fait systématiquement chez tous les hommes avec ostéoporose
- Un supplément de testostérone est le traitement de première intention
- La déprivation androgénique utilisée dans le traitement du cancer de la prostate est une cause majeure d'ostéoporose secondaire chez l'homme.
- 1 et 3 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1, 2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
e
1; causes secondaires
2; Le dosage de testostérone est réservé aux hommes présentant des symptômes d'hypogonadisme
3; La testostérone est offerte en cas d'hypogonadisme et ne constitue pas un traitement de l'ostéoporose. Il faut aussi prescrire un anti-résorptif en première intention.- Plégique
- Parésique
a
- Vrai
- Faux
b
La neuroplasticité est associée à la formation de nouveaux circuits.
- Synaptique
- Anatomique
a
- Vrai
- Faux
b
Se concentre sur le traitement de la cause et des effets secondaires de la maladie. Importance sur les conséquences de la maladie pour permettre un retour fonctionnel permettant une qualité de vie (indépendance et autonomie)
- Vrai
- Faux
a
- Activité
- Participation
- Limitation d'activité
- Restriction de participation
- Facteurs environnementaux
- Fonctions organiques
- Déficience
g
- Des exercices dans l'eau pour une patiente avec SEP qui était nageuse et qui a perdu une certaine fonction de son MSD
- Des exercices répétés de flexion-extension en position assise contre résistance pour un patient avec atrophie du quadriceps 2° luxation traumatique de la hanche
- Incorporer des exercices aérobiques dans un programme de réadaptation
- Programme à chaque jour pour limiter les pertes occasionnées par un repos malgré la fatigue du patient (no pain no gain)
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement l'énoncé 4
a
- Intégrer le plus possible un programme agréable qui touche les intérêts (significatifs pour eux) des patients permet de rendre le programme beaucoup plus efficace (cerveau l'associe à quelque chose de fun).
- Les exercices fonctionnels sont à privilégier le plus possible aux exercices répétés sans buts. Pour un patient qui comprend bien le mouvement, il serait peut-être plus pertinent de faire des exercices assis-debout ou de monter les escaliers avec aide pour renforcer le quadriceps et progresser vers des squats pour adapter la difficulté
- Les pauses sont très pertinentes pour permettre de consolider les apprentissages moteurs. Attention avec le "no pain no gain", c'est faux en réadaptation. Il est donc important de respecter une fréquence/ durée/ quantité adéquates aux fonctions du patient en respectant un nombre de pause adéquat.
- Orthèse
- Prothèse
b
- Ipsilatéral à l'articulation atteinte
- Controlatéral à l'articulation atteinte
b
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
b
C'est généralement l'augmentation de consommation d'O2 nécessaire à l'utilisation de la prothèse, surtout lorsqu'associé à une atteinte cardio-pulmonaire
- Vrai
- Faux
a
20-40% pour tibiale bilat vs 60-70% pour une fémorale unilatérale
- Tétraplégique ≥ C6
- Impotence des 2 MS + 1 MI
- Insuffisance sévère cardiovasculaire ou cardiorespiratoire en plus de la déficience physique
L1
- Sympathique
- Parasympathique
b
- Vrai
- Faux
a
A. spinale antérieure située dans le sillon médian antérieur de la moelle
- Vrai
- Faux
b
Segment le plus caudal
- Vrai
- Faux
a
Choc neurogénique : A
HTO: B
Capacité ventilatoires ok mais difficulté avec la toux: C
Atteinte ventilatoire: DA= D6
B= D6
C= D12
D= C4
Sacrum
- Vrai
- Faux
b
Le meilleur traitement est la prévention!
- Vrai
- Faux
b
Des fois la spasticité peut même être bénéfique pour conserver une certaine fonction (un MI spastique peut permettre un certain support lors des déplacement, alors que s'il est complètement flasque, le transfert sera plus compliqué)
- Vrai
- Faux
b
Le patient la ressent réellement et c'est très très douloureux. Il est important de la traiter sérieusement et agressivement pour éviter un processus de centralisation
- Hémiplégie
- Diplégie
- Triplégie
- Quadraplégie
b
- I
- II
- III
- IV
- V
c
I: marche sans restriction
II: Marche sans restriction maide aide technique à l'extérieur
III: Marche avec aide technique
IV: Mobilité limitée (FR), marche thérapeutique
V: Dépendant, ne tient pas sa tête- Renforcer les membres supérieurs d'un BM atteint a/n D11 afin de faciliter les transferts
- Utiliser une prothèse pour amputés
- Installer une rampe au bain pour assurer son utilisation sécuritaire
- Utilisation d'un fauteuil roulant pour un amputé du MID pour éviter de perdre du temps dans l'apprentissage de la marche avec prothèse et béquilles.
- Exercices de mobilisations passives d'un membre parétique pour éviter les contractures.
d
A= Augmente les systèmes non affectés par la condition pathologique
B= Utilisation d'équipement adapté pour promouvoir la fonction
C= Modifier environnement social et de travail
D= Les équipements utilisés doivent respecter le maximum de fonction du patient pour permettre un retour maximal aux activités. Le fauteuil roulant, dans cette situation, risque d'amener le patient vers un déconditionnement plus rapide.
E= Permet de prévenir ou corriger les incapacités additionnelles- Prévenir et corriger les incapacités additionnelles
- Augmenter les systèmes non-affectés par la condition
- Augmenter les capacités fonctionnelles des systèmes affectés
- Utilisation d'équipements adaptés pour promouvoir la fonction
- Modifier l'environnement social et de travail
- Utilisation de techniques psychologiques afin d'augmenter la performance et l'éducation du patient
- Support
- Protection
- Rigidité
- Flexibilité
- 1 et 3
- 1,2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement l'énoncé 4
d
- Vrai
- Faux
b
- Articulations costo-vertébrales
- Foramen transverse
- Uncus
- Canal spinal
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
e
- L'articulation costo-vertébrale est propre aux vertèbres thoraciques
- Foramen transverse est exclusif aux vertèbres cervicales
- Uncus est une structure retrouvée seulement dans le rachis cervical
- Le Canal spinal, foramen intervertébral, corps vertébral et l'arc postérieur (celui-ci composé de: pédicules + apophyse transverse + lames + facettes articulaires supérieure et inférieure) sont communs à toutes les vertèbres
J'ai une apophyse épineuse dite bifide. Mes apophyses transverses sont trouées, permettant l'artère vertébrale de voyager. J'ai des petits crochets de chaque côté de mon corps qui m'ont mérité une articulation particulière nommée "Luschka".
- Atlas
- C7
- Axis
- C4
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Toutes les vertèbres
- Seulement 4
e
- Stabilité intrinsèque dynamique
- Stabilité intrinsèque statique
- Stabilité extrinsèque dynamique
- Stabilité extrinsèque statique
d
- Disque intervertébral
- Ligaments
- Facettes articulaires
- Muscles dorsaux
d
Intrinsèques
- Le nucléus pulposus est une structure lamellaire
- Le mécanisme de nutrition du disque est assuré par l'a.spinale antérieure et 2 artères spinales postérieures
- Le nucléus pulposus est légèrement innervé
- Il est relié aux corps vertébraux par les plateaux vertébraux et les fibres de Sharpey
- 1 et 3
- 1,2 et 3
- 2 et 4
- Tous
- Seulement 4
e
- Substance gélatineuse au centre du disque. L'annulus fibrosus est une structure lamellaire complexe et élastique qui entour le nucléus pulposus
- La nutrition est assurée par un mécanisme de diffusion nécessitant les mouvements du rachis assurant des échanges métaboliques. Les artères spinales antérieures et postérieures forment le réseau artérielle de la moelle épinière
- Seulement le pourtour de l'annulus est légèrement innervé. Le noyau n'est pas du tout innervé.
- Discogénique
- Facettaire
b
- Assise
- Debout
- décubitus dorsal
- Décubitus latéral
a
- Discogénique
- Facettaire
a
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
b
Signifie seulement que les signes sont plus associés aux émotions, pensées et aux agissements du malade (comportement face à la maladie) qu'au problème physique sous-jacent
- Douleur la nuit ou au repos depuis plus d'un mois
- Usage de drogue inhalée
- Patient <20 ans
- Anesthésie en selle
- Infiltration articulaire de cortisone à 2 reprises
a,c,d
A= dlr constante et progressive aussi
B= drogue intraveineuse
C= et >55 ans
D= et dysfonction sphinctérienne
E= Corticothérapie systémique à répétition ou de longue durée.
Autres éléments:
- Hx infection chronique ou récente
- ATCD néoplasie
- Fièvre + perte de poids
- Immunosuppression
- Perte de l'amplitude articulaire
- Douleur quadricipitale lors de la manoeuvre d'Ely
- Douleur à la percussion du rachis
- Douleur à la position assise
- Lasègue +
c,e
- Vrai
- Faux
b
Faux
La hernie n'explique pas les symptômes dans cette situation. D'autres possibilités sont à considérer (dysfonction S-I droite peut-être).
- La douleur se présente surtout à l'activité
- La mobilité est nécessairement diminuée
- La palpations musculaire sera douloureuse
- On mettra en évidence un déficit neurologique sensitivo-moteur important
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
a
La mobilité ne sera diminuée que s'il y a un spasme important
L'examen neurologique sera plutôt normalIl mentionne aussi qu'il a beaucoup moins mal en montant une côte qu'en la descendant.
Finalement, il mentionne que pour faire ses courses, le fait de pousser son chariot lui permet un certain soulagement et lui permet de compléter son épicerie.
À quelle diagnostic pensez-vous ?- Hernie L5-S1
- Claudication intermittente
- Sténose spinale lombaire
- Syndrome facettaire L5-S1
c
Le patient exprime une claudication neurogène (intolérance à la marche avec symptômes bilatéraux qui ne cessent pas simplement en arrêtant de marcher)
Le fait que la douleur diminue en étant assis ou en montant une côte s'explique par la position de flexion du dos. Cette flexion permet l'ouverture du canal spinal. Un syndrome d'origine discogénique comme la hernie vont généralement augmenter en flexion du tronc.
Le fait de sentir un soulagement avec le chariot (signe du chariot ou signe de Caddie) s'explique aussi par la courbure du dos en appuie sur le chariot qui ouvre le canal
Un syndrome facettaire n'est pas impossible, mais va généralement avoir une présentation plutôt unilatérale.
Ceci est une caricature de la présentation clinique. On n'exclue pas nécessairement les autres diagnostics. Importance d'un questionnaire et d'un examen physique complets- Vrai
- Faux
b
La spondylolyse est seulement la fracture de l'isthme. Le glissement correspond à la spondylolisthésis
La tolérance à la marche.
- Peurs + perceptions erronées + fausses croyances & sentiment injustice
- Catastrophisme
- Kinésiophobie
- Comportement d'évitement
- Vrai
- Faux
b
Faux
les auto-anticorps (auto-immunité sérologique) peuvent être présents chez la population saine et ne causer aucun symptôme ou signe clinique. C'est lorsqu'il y a activation incontrôlée de ces auto-anti-corps qu'on verra la manifestation de symptômes et signes cliniques (auto-immunité clinique)
- Extrêmes d'âge
- Infection récente
- Pris de médicaments
- Sexe masculin
- Hx familiale positive
b,c,e
- Vrai
- Faux
b
Faux
C'est une entité en soi.
MCTD= synovite + Myosite + Raynaud + Sclérodactylie avec l' Anti-RNP
Syndrome de chevauchement = différentes manifestations ne permettant pas de poser un diagnostic.Anti-RNP
Bloqueurs des canaux calciques DHP ou nitroglycérine topique
Si ces traitements ne fonctionnent pas, on procède à des blocs nerveux sympathiques
- FSC
- Bilan rénal et hépatique avec SMU
- Dosage facteur rhumatoïde et complément
- Facteur antinucléaire
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Aucun énoncé ne fait partie de l'investigation
- Seulement 4
d
Si à l'histoire et l'examen physique on ne suspecte pas de cause secondaire, aucune investigation n'est requise.
Par contre, si on pense à un Raynaud secondaire, il faudra faire :
- FSC
- Évaluation fct rénale (créatinine)
- Évaluation fct hépatique (AST/ALT)
- Dosage facteur Rhumatoïde
- Dosage Complément
- Dosage facteur antinucléaire (ANA)
- Surtout chez les jeunes femmes
- Présentation symétrique
- Associé à des migraines ou des colites
- Épargne le pouce
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
d
Raynaud primaire = ø associé à une maladie ou autre cause malgré 2 ans d'évolution
Le secondaire se présentera de manière moins homogène avec un début plus tardif et des épisodes intenses amenant même de l'ischémie/ ulcérations/ nécroses. Associé a des connectivites des ACVONs (anomalies capillaires visibles à l'oeil nu).- Angine Prinzmetal
- Capillaroscopie suggestive de dommages microvasculaires
- Présence de livedo réticularis
- Présence d'auto anti-corps
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
c
HLA-DR2 et DR3
- Vrai
- Faux
b
- Rash discoïde
- Rash/ acné au pli nasogéniens
- Photosensibilité
- Alopécie
- Sérosite
- Arthrite érosive
- Anémie inflammatoire
b,d,f,g
B: rash malaire qui ne touche pas le plie nasogénien (permet de faire la différence avec l'acnée
D: Bien que fréquent, ne fait pas partie des critères
F: L'arthrite, même si elle peut causer des déformations, ne sera pas érosive.
G: Bien que souvent présente, ø critère- Rash malaire
- Rash discoïde
- Photosensibilité
- Aphtes
- Arthrite
- Sérosites
- Atteinte rénale
- Atteinte neurologique
- Atteinte hématologique
- Atteinte immunologique
- Anticorps anti-nucléaires
- Vrai
- Faux
b
Protéinurie persistante
- >500mg / 24 heures
- >3+ au bâtonnet
OU
S'il y a présence de cylindres cellulaires
- Anémie hémolytique
- Leucocytose
- Lymphopénie
- Thrombopénie
b
Le lupus entraine une leucopénie
Les anticorps attaquent les cellules. Le lupus va donc se caractérisée par une cytopénie- ANA (ou FAN)
- Anti-DNA
- Antiphospholipides
- Anti-smooth-muscle
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
b
4; Anti-Sm est pour anti-Smith
FAN est le plus sensible. Par contre, l'anti-DNA et l'anti-Smith sont les plus spécifiques- Vrai
- Faux
b
Faux
Présent chez 5% de la population saine. même jusqu'à 40% des >70 ans
- Tracé ECG caractéristique
- Myosite à la biopsie
- Augmentation des enzymes
- Rash typique de dermatomyosite
- Faiblesse musculaire distale symétrique
a,e
A: Tracé EMG
E: faiblesse proximale- Faiblesse musculaire proximale symétrique
- Myosite à la biopsie
- Augmentation des enzymes
- Tracé EMG caractéristique
- Rash typique de dermatomyosite
- Papules de Gottron
- Rash heliotrope
- Shawl sign
- Mechanic’s hands
- Convulsions
e
- Fibrose pulmonaire
- Tumeurs solide (associé avec DM++)
Potentiels polyphasiques de faible amplitude et courte durée
DM (aussi infiltra péri-fasciculaire)
L'infiltrat infra-vasculaire dans la PM
Anti-Jo1
- Vrai
- Faux
b
C'est une forme limitée , ne pas confondre
Chondrocalcinose, Raynaud, Esophageal dismotility, Sclérodactylie et Télangiectasie
- Peut présenter une phase précoce oedémateuse
- L'atteinte cutanée s'étend distalement aux coudes et aux genoux
- Les organes internes souvent atteints sont les poumons et le rein
- La crise rénale sclérodermique est associée à une mortalité élevée
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
a
- oui, avec démangeaisons avant l'induration
- L'atteinte cutanée, pour la forme diffuse, sera surtout proximalement aux coudes et aux genoux, tandis que la forme localisée (CREST) sera quant à elle distale aux coudes et genoux
- En effet, par fibrose pulmonaire et crise rénale sclérodermique
- Autrefois elle l'était, mais le traitement avec IECA a permis d'améliorer ++ le pronostic
- Anti-Scl70
- Anti-centromère
b
Syndrome antiphospholipies
< 5mm à 5 minutes
- Vrai
- Faux
a
- Xérostomie
- Xérophtalmie
- Leucopénie
- Pneumonite
c
- Vrai
- Faux
b
anion gap normal
- Le test de prédilection est la biopsie des glandes sous-maxillaires
- Le colorant rose Bengal permet d'observer les anomalies de la cornée
- Le traitement se fait par des corticostéroïdes lorsque l'atteinte se limite aux glandes
- La xérophtalmie se manifeste par une impression de sable dans les yeux et un larmoiement
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
c
1: Biopsie des glandes salivaires mineures (plus souvent à l'intérieur de la lèvre
3: Plus souvent symptomatique (larmes artificielles et bouteille d'eau) ou pilocarpine. La cortisone ou les immunosuppresseurs sont parfois nécessaires pour les atteintes extra-articulaires comme l'atteinte neurologique de type SEP- Douleur prédominante la nuit ou le matin
- Raideur matinale de plus d'une heure
- Gonflement articulaire sans atteinte du squelette axial
- Douleur augmentant avec l'activité
- 1 et 2 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1, 2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
e
- Vrai
- Faux
a
- Présentation extra-articulaire
- Mode polyarticulaire symétrique
- Présentation palindromique
- Crise de goutte
c
Forme palindromique
- Endocardite
- Péricardite
- Pneumothorax
- Épanchement pleural
- 1 et 3 sont vrais
- 2 et 4 sont vrais
- 1, 2 et 3 sont vrais
- Tous les énoncés sont vrais
- Seul l'énoncé 4 est vrai
b
Le pannus
- Vrai
- Faux
b
C'est un IgM anti IgG
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Ils servent seulement à soulager les symptômes articulaires
Les antimalariques
4 à 8 semaines
- Per os
- Sous-cutanée
b
1. La présentation polyarticulaire 2. L'arthrite palindromique 3. L'atteinte extra-articulaire
Note : L'atteinte extra-articulaire est rare et se présente généralement par une péricardite ou un épanchement pleural.
- Vrai
- Faux
a
- Poignets
- IPD
- MTP
- Sacro-iliaque
- Rachis cervical
- Rachis lombaire
- Genoux
b,d,f
- Polyarthrite rhumatoïde
- Arthrose
b
1. Les MCP 2. Les IPP 3. Les poignets 4. Les MTP
Note : Les coudes, les épaules, les chevilles, les genoux et les hanches aussi sont touchés mais une moindre mesure.
- Vrai
- Faux
a
Sur les proéminences osseuses et la surface des tendons extenseurs.
Note: Ils peuvent aussi se développer dans plusieurs organes comme les yeux, les poumons, le coeur, les valves cardiaques, le cerveau et la plèvre.
- Vrai
- Faux
b
C'est un critère de classification et non diagnostic.
- Kératoconjonctivite sèche
- Sclérite
- Épisclérite
- Scléromalacie perforante
- . Sclérite antérieure ou nodulaire
Note: Les plus fréquentes sont 1 et 3.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Malgré les traitements, aucune diminution de l'incidence de fibrose pulmonaire n'a été répertoriée. Par contre, elle est souvent asymptomatique. Elle peut toutefois amener des complications pulmonaires.
- Épanchement pleural
- Nodules pulmonaires
- Fibrose pulmonaire
- Pneumopathie organisée cryptogénique
- Hypertension pulmonaire
- Pneumoconiose rhumatoïde (Caplan)
La péricardite
- Inflammation chronique
- Prise de corticostéroïdes
Note : Une autre complication très rare dû à l'inflammation est l'amyloïdose secondaire.
- PAR
- Splénomégalie
- Neutropénie
Note: Rare +++
- Vrai
- Faux
a
Importance de traiter la PAR pour contrôler la MCV
- Les connectivites
- La polymyosite/dermatomyosite
- Le lupus érythémateux disséminé
- La sclérodermie
- Infections et certains états inflammatoires chroniques
- Opaque
- Faible viscosité
- Augmentation des globules blancs et encore plus des neutrophiles
- Lymphocytes
- Polymorphonucléaires
b
- Vrai
- Faux
a
Spécificité 97%. Par contre, il ne peut pas exclure le ddx de PAR s'il est négatif
Parce que les 3 articulations les plus précocément atteintes sont:
- Apophyse styloïde cubitus
- 2e et 3e MCP
- 5e MTP
- Âge
- Sillicose
- Streptocoque B-Hémolytique
- Tabac
d
- Gonflement des tissus mous
- Déminéralisation péri-articulaire
- Érosions
- Pincement articulaire
- Subluxations
- Ankylose
Note : Les articulations touchées en premier sont l'apophyse styloïde du cubitus, le 2e et 3e MCP et la 5e MTP.
- La persistance d'inflammation après une année de traitement
- . Les limitations fonctionnelles
- La présence d'un facteur rhumatoïde ou d'un anti-CCP
- Des érosions articulaires précoces
- La présence de manifestations extra-articulaires (incluant les nodules rhumatoïdes)
Présence de facteur rhumatoïde
Classe 1: capable de faire toutes les activités
Classe 2: limité pour les loisirs
Classe 3 : limité au travail et dans les loisirs
Classe 4: limité dans toutes les activités incluant les soins personnels
- Vrai
- Faux
b
Le plus important est l'histoire et l'examen physique. On ne dosera pas l'anti-CCP à tout le monde.
- Dépistage des hépatites B et C chroniques
- Vaccination préventive (hépatite A et B, pneumocoque, influenza)
- Questionner l'exposition à la tuberculose et test cutané (PPD) - En prévision de la possibilité d'utiliser des agents biologiques
- Vrai
- Faux
b
La différence est sur le plan de la sécurité gastro-intestinale avec un coxib.
- Vrai
- Faux
b
- L'antimalarique
- Le methotrexate
- Le leflunomide
- La sulfasalazine
Une insuffisance rénale modérée à sévère (DFG de moins de 60 ml/min)
- Vrai
- Faux
b
C'est un traitement adjuvant, jamais utilisé seul.
- Sous-cutanée
- Orale
- Sublinguale
- Intra-veineuse
a
Acide folique
1. AINS 2. Prednisone en dose décroissante 3. Methotrexate en dose croissante 4. Hydroxychloroquine (antimalarique) 5. Acide folique 6. Biphosphonates 7. Suppléments de vitamine D et calcium
De plus, le patient quittera le bureau avec une prescription de bilans à faire aux 4 semaines.
Urate de sodium
Apparence: Opaque
Viscosité: Basse
Leucocytes: 5000 mm3
%Neutrophiles: 65%
À quelle situation clinique correspondent ces trouvailles ?- Arthrose
- Normal
- Arthrite inflammatoire
- Arthrite septique
c
Apparence: Claire
Viscosité: Élevée
Leucocytes: 100 mm3
%Neutrophiles: 10%
À quelle situation clinique correspondent ces trouvailles ?- Arthrose
- Normal
- Arthrite inflammatoire
- Arthrite septique
b
Apparence: Claire
Viscosité: Élevée
Leucocytes: 350 mm3
%Neutrophiles: 40%
À quelle situation clinique correspondent ces trouvailles ?- Arthrose
- Normal
- Arthrite inflammatoire
- Arthrite septique
a
Apparence: Opaque
Viscosité: Basse
Leucocytes: 75 000 mm3
%Neutrophiles: 85%
À quelle situation clinique correspondent ces trouvailles ?- Arthrose
- Normal
- Arthrite inflammatoire
- Arthrite septique
d
- Elle peut ressembler à la PAR dans sa forme chronique, mais sera plus souvent asymétrique
- L'hyperparathyroïdie est une cause possible de pseudogoutte
- La prévalence est la même chez les hommes que chez les femmes
- Les cristaux apparaissent jaunes lorsque parallèles à la lumière polarisée
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Toutes les situations cliniques
- Seulement 4
b
1; en effet. La pseudogoutte peut aussi toucher les IPD, alors que cette atteinte est impossible lors de la PAR.
4; les cristaux paraîtront bleus. Dans la goutte ils seront jaunes lorsque parallèles à la lumière polarisée- Palindrome
- Goutte
- Infection
- Début PAR
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
d
- Vrai
- Faux
a
- Décompte cellulaire
- Gram et culture
- Recherche de cristaux
- Vrai
- Faux
b
Il faut toujours aller voir l'articulation contralatérale.
- > 2 crises de goutte par année
- Dépôts tophacés
- Néphrolithiase
- Vrai
- Faux
b
Faux
Elle résulte plutôt de la phagocytose par les neutrophiles
Car la majorité des patients avec crise de goutte sont à haut risque cardiovasculaire ou sont insuffisants rénaux, ce qui est contre-indiqué pour les AINS
Pyrophosphate de calcium
- Hémochromatose
- Hyperparathyroïdie
- Hypothyroïdie
- Hypomagnésémie
- Hypophosphatasie
- Vrai
- Faux
a
- La pseudogoutte chronique crée éventuellement des érosions, visibles à la radiographie
- La pseudogoutte chronique peut toucher les IPD
- Le diagnostic certain se fait par radiographie
- On traite la pseudogoutte idéalement par infiltration IA de stéroïdes
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- seulement 4
c
- À la RX, on verra plutôt des changements d'arthrose secondaire lors de la pseudogoutte chronique (kystes et ostéophytes en crochet aux MCP), ce qui permet la distinction avec la PAR (érosions)
- Ceci est une autre façon de faire la distinction avec la PAR
- Tout comme la goutte, le diagnostic certain se fait par analyse du liquide articulaire
- Oui. Si l'infiltration est impossble; AINS. Si AINS impossible; corticos PO. On peut aussi utiliser la colchicine en phase aiguë et en prophylaxie si >3 crises/ année. Pour la forme chronique, on peut utiliser la méthotrexate.
Hydroxyapatite
- Peuvent toucher les IPD
- Tout comme dans la PAR, on retrouvera la présence de nodules rhumatoïdes
- Typiquement la crise de goutte se présente dans la nuit
- Un prodagre est l'atteinte classique de la goutte et implique la bourse olécrânienne
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement l'énoncé 4
a
- Une des seules arthrite inflammatoires à toucher les IPD avec l'arthrite psoriasique
- Bien que la goutte puisse parfois ressembler à la PAR, les principaux indices de goutte sont la présentation initiale en crises séparées de périodes asymptomatiques ,l'atteinte des IPD et la présence de tophi et non de nodules rhumatoïdes
- Oui, et le patient se présente à l'urgence en pantoufle du côté atteint
- Le podagre est en fait l'atteinte de la première MTP classique de la goutte.
- Une crise articulaire impliquant 4 articulations implique un traitement par injection articulaire de stéroïdes
- La colchicine altère la mobilité et l'adhésion des neutrophiles, inhibant ainsi la phagocytose
- On traite l'hyperuricémie, même si celle-ci est asymptomatique
- L'allopurinol doit être débutée 4-8 semaines après la résolution des symptomes
- 1 et 3 sont faux
- 2 et 4 sont faux
- 1, 2 et 3 sont faux
- Tous les énoncés sont faux
- Seul l'énoncé 4 est faux
a
- L'infiltration articulaire est le traitement de choix pour une crise monoarticulaire. Par contre pour le crise oligo ou polyarticulaire, on prescrira plutôt de la prednisone.
- Vrai, ceci inhibe la phagocytose du neutrophile (responsable de la crise de goutte). La colchicine va aussi bloquer la phospholipase A2
- L'hyperuricémie asymptomatique n'a généralement pas besoin d'être traitée, sauf dans certains cas de chimiothérapie pour une masse tumorale importante
- En effet. Si l'allopurinol est débuté en phase aiguë, il y aura dissolution des tophis et libération de cristaux qui vont paradoxaleent précipiter. On va aussi poursuivre la colchicine de manière concomitante à l'inhibiteur de xanthine oxydase pour au moins 6 mois (ou jusqu'à disparition des tophis)
- Vrai
- Faux
b
On veut éviter les fluctuations sériques d'acide urique
- Goutte
- Pseudogoutte
b
- Vrai
- Faux
b
Non. On fait quand même la ponction pour se permettre de l'exclure pour de vrai.
- Généralement, on peut retracer un évènement déclencheur d'un épisode ou des symptômes d'avertissement
- Si une personne présente de l'hypethermie, on exclue l'arthrite palindromique et on pense plutôt à une arthrite septique
- La méthotréxate est contre-indiquée pour le palindrome
- Les doigts, poignets et les genoux sont les plus souvent touchés
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
e
- Aucune évènement déclencheur ou symtôme d'avertissement dans la plupart des cas.
- Bien qu'on doit toujours suspecter une infection, l'hyperthermie peut aussi se présenter lors d'arthrite palindromique
- La MTX peut réduire le risque de progression du palindrome vers la PAR.
- Ce sont effectivement les articulations les plus touchées, et se présenteront par la douleur, l'enflure, la raideur et la rougeur.
- Dans 90% des cas, elle se limite a une seule articulation
- Les mycobactéries et mycoses donnent généralement des présentations subaiguës et indolentes
- Le Staph. aureus est le pathogène le plus fréquemment rencontré
- L'arthrite septique est peu associée à la PAR
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement 4
b
- La culture du liquide articulaire sera positive pour le germe lors d'un syndrome polyarticulaire avec gonococcémie disséminée
- Ces patients auront des ténosynovites et des lésions cutanées caractéristiques
- Elle se présente toujours par une atteinte polyarticulaire
- L'incidence a beaucoup diminuée dans les dernières années
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement l'énoncé 4
c
- Ce seront plutôt les hémocultures qui seront positives.
- Oui, lors de la gonococcémie
- Il y a 2 présentations; monoarthrite à culture positive ou syndrome polyarticulaire avec gonococcémie disséminée
- Âge de début > 45 ans
- Insidieux
- Amélioré par l'exercice
- Amélioré par le repos
- Douleur en fin de nuit
- Déficit neurologique
- Pas de réponse aux AINS
b,c,e,
Arthrite psoriasique
- Douleur au rachis de type inflammatoire
- Association avec péricardite
- Dactylite
- Présence du Facteur Rhumatoïde
- 1 et 3
- 2 et 4
- 1, 2 et 3
- seulement 4
- Tous les énoncés
a
- Vrai
- Faux
b
Il faut faire attention avec le HLA-B27, puisqu'il s'agit d'un gène présent chez 8% de la population caucasienne.
- Arthrite associée aux MII
- Arthrite réactive
- Spondylite ankylosante
- Arthrite psoriasique
- 1 et 3
- 1 , 2 et 3
- 2 et 4
- Toutes les catégories
- Seulement 4
c
L'arthrite associée aux MII et la spondylite ankylosante amènent plus une uvéite antérieure
L'arthrite réactive est aussi associée à l'uvéite à environ 50% selon le tableau. Mais la conjonctivite fait partie de la triade qui n'a plus de nomIl n'a pas eu de trauma et ne peut saisir exactement à quel moment cette douleur à commencé. Il vous indique qu'il dort mal à cause de cette douleur et se sent raide le matin pour plus d'une heure. Il mentionne que la marche l'aide à se soulager. Sa douleur est surtout localisée a/n de la région fessière. Il mentionne trouver cela étrange puisque des fois c'est plus la fesse droite, d'autres fois c'est plus la gauche. Aucune irradiation de la douleur sous le genou. Il ne rapporte pas être limité dans ses mouvements par rapport à avant.
Avec cette présentation clinique, à quel diagnostic pensez-vous en premier ?- Arthrite psoriasique
- Arthrite réactive
- Arthrite liée à MII
- Spondylite ankylosante
d
- Vrai
- Faux
a
- Spondylite ankylosante
- Arthrose
a
- Préservation de l'espace intervertébral
- Prolongement osseux horizontal
- Érosion osseuse et équarrissement de la vertèbre
- Présent dans l'arthrose
- 1 et 3
- 2 et 4
- 1, 2 et 3
- Tous les énoncés
- Seulement 4
a
- Vrai
- Faux
b
La scintigraphie osseuse a peu d'utilité dans l'investigation de cette pathologie. Il est préférable de faire des radiographies des sacro-iliaques.
- AINS
- Biothérapies
- Stéroïdes
- Agents de rémission conventionnels (MTX)
- 1 et 3
- 2 et 4
- 1,2 et 3
- Tous
- Seulement 4
c
Les agents de rémissions conventionnels n'ont démontré aucune efficacité pour traiter une atteinte axiale inflammatoire
Les stéroïdes peuvent être données PO ou IA pour traiter les sacro-iliites
Biothérapies pour échec de AINSAINS
- Vrai
- Faux
b
Faux
Il n'y a aucune corrélation entre l'atteinte articulaire et la sévérité du psoriasis
Arthrite psoriasique
- Atteinte ongle et cuire chevelu
- Atteinte IPD
- Dactylite
- Atteinte des plis cutanés
- ROH
- Tabac
- >10% surface corporelle atteinte
a,d,f,g
- Vrai
- Faux
a
- Arthrite des IPD
- Arthrite mutilante
- Polyarthrite symétrique
- Oligoarthrite asymétrique
- Spondylite
b
- Pitting
- Sillon transverse
- Leuconychie
- Onycholyse
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
L'atteinte articulaire apparaît entre 2-6 semaines après l'épisode infectieux.
- Arthrite
- Urétrite
- Conjonctivite
- Type 1
- Type 2
a
- Type 1
- Type 2
b
L'atteinte périphérique type 1 montre une association avec l'activité de la MII
Dans l'atteinte du rachis et des sacro-iliaques, on ne note aucun lien avec l'activité de la MII
L'atteinte du rachis et des sacro-iliaques
L'atteinte périphérique a la même prévalence du HLA-B27 que la population générale
Au mininum 6 semaines
- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
- C'est un diagnostic d'exclusion
- Les uvéites se caractérisent par une douleur de type serrement très incommodante
- Débute généralement après l'âge de 1 an
- On va généralement toujours retrouver le facteur rhumatoïde dans la FSC
- 1 et 3
- 1, 2 et 3
- 2 et 4
- Tous les énoncés
- Seulement l'énoncé 4
a
2) Les uvéites sont fréquentes mais généralement asymptomatiques
4) Le FR n'est retrouvé que très rarement- Rash érythémateux évanescent
- Sérosite
- Lymphadénopathie généralisée
- Scroiliite
- Hépato/splénoméaglie
d
- Éruption fugace
- Adénopathies
- Hépato-splénomégalie
- Épanchements séreux
- Leucocytes
- Plaquettes
- Ferritine
- Hémoglobine
- Vitesse de sédimentation
d
5 ou plus
- Forme persistante: touche en tout temps 4 articulations et moins
- Forme étendue: atteint 4 articulations et moins dans les 6 premiers mois et touche par la suite plus de 5 articulations
- Systémique
- Oligoarticulaire
- Polyarticulaire
- Arthrite avec enthésites
b
- Vrai
- Faux
b
Faux
En fait la FSC, sédimentation seront généralement nomraux , ou peu perturbés.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Faux
L'enfant ne présentera pas d'atteinte générale ou de symptômes systémiques.
C'est plutôt l'AJI systémique ou polyarticulaire avec fièvre qui présenteront des manifestations systémiques et qu'il faudra éliminer une infection sévère, une néoplasie, une MII, une vasculite, une connectivite (LED) ...
Par contre dans la polyarticulaire, les manifestations articulaires seront prédominantes- Vrai
- Faux
b
Le pronostic pour une AJI oligoarticulaire est excellent sauf si compliqué d'une uvéite ou si évolue vers une forme étendue (polyarticulaire).
- Vrai
- Faux
b
Faux
En fait elle se présente souvent par l'atteinte d'une seule articulation (dans 50% des cas).
- Vrai
- Faux
b
Faux
Il faudra considérer :
- LED
- Sclérodermie
- Connectivite mixte/ syndrome de chevauchement
A: Monoarthrite avec fièvre
B: Monoarthrite sans fièvre
C: Monoarthrite atteignant la hanche
D: Oligoarthrite et enthésiteA: Arthrite septique (ponction lombaire)
B: Trauma , hémophilie
C: Toute autre cause doit être recherchée (exceptionnel dans l'AJI)
D: Autre forme d'arthrite (ERA/spondylarthropathies)
- Vrai
- Faux
a
- Bien qu'associée à des manifestations extra-articulaires systémiques, ce sont les manifestations articulaires qui prédominent le tableau clinique.
- L'arthrite est généralement symétrique et touche surtout les petites articulations
- Peut atteindre la colonne cervicale et l'ATM
- Pour savoir si le facteur rhumatoïde est positif il faut la retrouver en 2 occasions à 3 semaines d'intervalles.
- 1 et 3
- 2 et 4
- 1, 2 et 3
- Tous les énoncés
- Seul l'énoncé 4
b
- En effet. Les atteintes systémiques sont également moins importantes que dans L'AJI systémique
- Elle est effectivement symétrique mais touche tant les grosses que les petites articulations
- oui (ATM = articulation temporo-mandibulaire)
- le facteur rhumatoïde doit être retrouvé à 2 occasions à 3 mois d'intervalle
- Vrai
- Faux
b
Faux
C'est soit une arthrite et enthésite, OU un arthrite et au moins 2 critères:
- Dlr sacro-iliaques
- Rachialgie inflammatoire
- Présence d'HLA-B27
- ATCD familiaux de Psoriasis , uvéite, ou spondylarthropathie
- Uvéite aiguë antérieure
- Dactylite
- ATCD familial de psoriasis
- Piqueté unguéal ou onicholyse
- Uvéite
d
- Atrophie et rétraction musculaire
- Inégalité d'un membre
- Retard de croissance staturo-pondéral
- Instabilité dorso-lombaire
- Fusion C2-C3
- Difformités
- Uvéite chronique
d
A) Flexum
B) Par accélération de la croissance (membre trop long) ou par fusion prématurée (membre trop court)
D) L'instabilité se trouvera plutôt a/n C1-C2
F) Subluxation/ genou valgum, etc.- Oligoarticulaire
- Polyarticulaire
- Systémique
a
- Vrai
- Faux
b
L'uvéite est généralement asymptomatique et peut apparaître / se réactiver sans égard avec l'activité de l'arthrite. Le dépistage est important et doit être fait de manière régulière et systématique.
- Cataracte
- Amaurose fugace
- Kératopathie en bande
- Synéchies
- Dépôt de leucocytes et de protéines dans la chambre antérieure
b
- Vrai
- Faux
a
Méthotrexate (modulateur)
- AINS
- Programme d'exercice
- Chirurgie
- Le port d'orthèses
d
A) Permet de contrôler l'inflammation de la douleur
B) Permet de prévenir l'ankylose et maintenir une bonne AA
C) La chirurgie est rarement utilisée- Arthrite réactionnelle post streptococcique
- Rhumatisme articulaire aigu
b
Nécrose avasculaire de la tête fémorale
Chirurgie
Repos, AINS
- Syndrome fémoropatellaire (chondromalcie)
- Ostéochondrite disséquante
- Maladie d'Osgood Schlatter
- Ostéomyélite du genou
a
Vous observez un gonflement de la tubérosité tibiale.
À quel diagnostic pensez-vous ?- Ostéome ostéoïde
- Ostéomyélite
- Osgood Schlatter
- Ostéochondrite disséquante
- Syndrome fémoropatellaire
c
Osgood Schlatter
Ostéome ostéoïde
- Vrai
- Faux
a