ULaval:MED-1209/Nez et sinus/Flashcards
- Aire respiratoire
- Aire olfactive
Conduction
- Vrai
- Faux
a
12-24 cycles/minute
Sphénoïde
Artères carotides interne et externe
- turbulent
- augmente
- défavorisé
- 35
Os temporal, plus précisément dans la partie du rocher
2-3°C
80% L'humidification nasale de l'air inspiré empêche la dessiccation des voies respiratoires inférieures.
- Vrai
- Faux
a
Puisque l'humidification, le réchauffement et les mécanismes de résistance nasale ne sont pas faits.
C'est un flot turbulent qui augmente le temps de contact entre l'air et la muqueuse.
Note: Si le flot diminue (moins de 0,3l/seconde), on aura plutôt un flot laminaire et inversement, si le flot augmente (plus e 35l/min) la respiration buccale doit contribuer.
1. Le gonflement des cornets 2. La sécrétion des glandes séreuses 3. La sécrétion des glandes muqueuses 4. La transsudation à partir des vaisseaux
Note: Tout ces processus sont sous l'influence du parasympathique.
Le mécanisme principal responsable est la conduction.
1. Augmentation de la température de l'air inspiré 2. Évaporation de l'eau sur la muqueuse
Note: Chez l'humain, 10% de la chaleur corporelle est perdue par le nez.
Oui
À la valve nasale
Note: La résistance au niveau du nez permet de garder les alvéoles ouvertes (pression positive) à l'expiration.
1. Le système sympathique entraîne une diminution de la résistance de par la vasoconstriction. 2. Le système parasympathique entraîne une congestion nasale et une augmentation des sécrétions.
Note: C'est au niveau des cornets que la vascularisation est la mieux développée.
1. L'hypoxie et l'hypercapnie 2. L'exercice physique 3. Les corticostéroïdes 4. Les sympathicomimétiques et leurs agonistes (ex. éphédrine) 5. La cocaïne
1. L'oestrogène (rhinite de grossesse, menstruations, puberté) 2. La thyroxine 3. La fumée de cigarette et les vapeurs d'ammoniac 4. L'alcool 5. Les médicaments anti-hypertenseurs 6. Les parasympathicomimétiques et leurs agonistes
2à4 heures
Note: Il peut aussi durer 6 heures et il est présent chez 80% des gens.
Note: La résistance totale demeure égale tout au long du cycle.
Les réflexes naso-pulmonaires et les réflexes naso-cardiaques
Note: Le réflexe naso-pulmonaire est le fait qu'une augmentation du flot aérien dans une fosse nasale augmente la ventilation du poumon homolatéral.
1. La gel layer qui est superficielle et plus visqueuse dans laquelle on retrouve beaucoup de glycoprotéines. 2. La sol layer qui est une couche plus profonde et plus aqueuse et qui permet le mouvement efficace des cils vibratoires.
1. La lactoferrine 2. Le lysozyme 3. Le complément 4. L'immunoglobuline (IgA et IgE +++)
1. La sécheresse 2. Une température plus basse que 10 ou plus haute que 45 3. Une solution saline isotonique plus grande que 5% ou plus petite que 0,2% 4. Une infection 5. Des médicaments (adrénaline diminue et acétylcholine augmente)
- Vrai
- Faux
b
Elle se fait aussi dans la partie supérieure du septum nasal et des cornets moyens et supérieurs
Ils doivent toucher la muqueuse et être solubles dans l'eau et les lipides.
17 odeurs
L'ammoniac (et le piment aussi)
1. La rhinolalie ouverte survient quand le son passe trop par le nez. 2. La rhinolalie fermée survient quand le son ne passe pas suffisamment par le nez.
Ce sont des réservoirs d'oxide nitrique. (fonctionnement muco-ciliaire et défense immunitaire)
1. La rhinoscopie nasale 2. L'endoscopie nasale 3. La cytologie nasale 4. La rhinomanométrie
Le TDM
Note: On procède dans 3 plans : coronale, axiale et sagittale
L'atrésie choanale
1. La rhinite virale 2. La rhinite bactérienne (streptocoque pneumoniae, haemophilus influenzae, streptocoque beta-hémolytique groupe A) 3. La rhinite allergique (la saisonnière et la pérannuelle) 4. La rhinite vasomotrice 5. La rhinite eosinophilique non allergique 6. La rhinite atrophique 7. La rhinite médicamenteuse 8. La rhinite de grossesse
Elle peut être une séquelle d'une chirurgie turbinale agressive, d'une consommation ancienne ou active de cocaïne, idiopathique.
- Vrai
- Faux
b
Ils améliorent les éternuements, le prurit et la rhinorrhée. Ce sont les corticostéroïdes topiques qui améliorent la congestion nasale.
- Vrai
- Faux
a
- Vrai
- Faux
b
Ils pourraient empirer la situation.
L'usage des décongestionnants nasaux topiques utilisés plus de 3à 5 jours peuvent entraîner une vasodilatation secondaire due à la fatigue des vasoconstricteurs, à l'hypoxie et à l'accumulation de métabolites.
Note: On remarque un oedème marqué dans cette condition.
1. Obstruction ostium 2. Diminution de la pression partielle en O2 3. Augmentation de la pression partielle en CO2 4. Hypertrophie polypoïde de la muqueuse sinusienne 5. Diminution du battement ciliaire 6. Stase des sécrétions 7. Prolifération bactérienne primaire ou secondaire
- Vrai
- Faux
a
Note: La majorité des sinusites sont d'origine virale.
1. Streptococcus pneumoniae 2. Haemophilus influenzae
1. Douleur faciale ou dentaire unilatérale 2. Rhinorrhée colorée antérieure ou postérieure 3. Obstruction/congestion nasale
- Vrai
- Faux
a
1. Atteinte importante état général 2. Oedème/rougeur périorbitraire 3. Atteinte SNC 4. Céphalée intense
Note: Dans ces cas, on demande une consultation en milieu hospitalier urgente.
1. Antipyrétique et analgésique 2. Irrigation nasale (au moins 2 fois par jour) 3. Décongestionnant topique à faible dose au moment où la congestion est la plus incommodante.
Avec ou sans polypes
Les corticostéroïdes topiques. On veut traiter l'inflammation.
1. Mucocèle 2. Ostéomyélite (tumeur Pott ) 3. Complications orbitaires 4. La thrombose du sinus caverneux (bilatéralité des symptômes oculaires)
Note: La classification de Chandler décrit les complications orbitaires des sinusites
1. Papillome inversé 2. Rhinophyma 3. Ostéome (la plus fréquente) 4. Angiofibrome juvénile (jeunes hommes-ne pas biopsier car risque de saignement !)
Les carcinomes malpighiens
Dans le sinus maxillaire (60%)
Aire de Kiesselbach (tâche vasculaire)
La déviation septale