ULaval:MED-1202/Syndromes restrictifs/Flashcards
Une hypoxémie et une hypercapnie vont progressivement se manifester et entraîner avec une hypertension pulmonaire.
Une ventilation insuffisante, une hypoventilation nocturne et une toux inefficace; ces phénomènes peuvent ensuite entraîner diverses complications telles qu’une prédisposition aux infections et à l’aspiration dans le cas de la toux inefficace.
Il faut qu’il y ait : des symptômes progressifs, une détérioration de la fonction respiratoire, une image radiologique qui se détériore ou l’atteinte de certains organes (coeur, yeux, hypercalcémie).
Les stéroïdes.
- Vrai
- Faux
b
On ne traite pas les patients asymptomatiques.
Faux, il s’agit du granulome non caséeux.
- Vrai
- Faux
b
Même si l'enzyme de conversion de l'angiotensine est élevée dans 50-75% des patients, il n'existe aucune corrélation entre le taux et l'activité de la maladie.
Il y a une augmentation du nombre des macrophages et des lymphocytes T CD4 avec un rapport CD4/CD8 supérieur à la valeur normale de 2.
Il s’agit de l’association d’érythème noueux, d’arthralgie, de fièvre et d’adénopathies hilaires bilatérales; c’est un mode de présentation aigu de la sarcoïdose qui est limité dans le temps et qui se résout spontanément.
L’érythème noueux (nodules rouges, douloureux et surélevés sur la face antérieure des jambes)
Les organes les plus souvent touchés sont les ganglions hilaires et médiastinaux, les poumons, les yeux et la peau.
Aucune. La cause est toujours inconnue
Il y a des infiltrations réticulaires ou réticulo-nodulaires, des images en nid d'abeilles («Honeycombing»), ainsi qu’une perte de volume. Les anomalies sont plus importantes aux régions inférieures.
À l'examen physique, des râles crépitants peuvent être présents (plus importants aux régions inférieures des deux plages pulmonaires), ainsi que l'hippocratisme digital. Des signes d'hypertension pulmonaire et de décompensation cardiaque droite peuvent se présenter dans le cas d’une maladie avancée.
La dyspnée d’effort progressive sur une période de quelques mois à quelques années.
la pneumonite interstitielle (UIP)
L’œdème de la paroi alvéolaire
la pneumonite interstitielle (UIP), la pneumonite desquamative et la bronchiolite respiratoire (DIP/RBILD), la pneumonite interstitielle aiguë (AIP) et la pneumonite interstitielle non spécifique (NSIP)
Les neutrophiles (attirés par des facteurs chimiotactiques libérés par des macrophages activés) libèrent des protéases ainsi que des radicaux libres d'oxygène, deux groupes de substances extrêmement toxiques pour la membrane alvéolaire et l'espace interstitiel.
Un processus immun est suspecté puisqu’il existe des similarités entre la fibrose interstitielle idiopathique et d'autres maladies immunitaires comme les connectivites tant sur le plan clinique que biologique.
Il y a une augmentation du pourcentage des polynucléaires neutrophiles et parfois des éosinophiles. Au début de la maladie, il peut y avoir une augmentation des lymphocytes.
Il est constitué d'environ 8 à 12 millions de cellules, dont 85% de macrophages et 15% de lymphocytes et de rares neutrophiles.
Une maladie parmi: Bronchiectasies, Aspiration, Pneumonite interstitielle desquamative, Fibrose pulmonaire idiopathique, Réactions médicamenteuses, Amiantose, Maladies du collagène...
Au sommet
Faux, la dyspnée est plus souvent insidieuse.
Faux, ils sont généralement âgés de plus de 50 ans.
25 à 40%
- Vrai
- Faux
b
Lorsque le diagnostic est évident à la radiographie pulmonaire, on ne fait pas de tomodensitométrie à haute résolution.
- fibrose pulmonaire idiopathique
- amiamtose
- silicose
- sarcoïdose
Il peut y avoir des symptômes de dyspnée ou de toux, une radiographie pulmonaire anormale, des symptômes reliés à la maladie primaire et des anomalies sur des tests de fonction respiratoire.
Toute maladie du parenchyme pulmonaire caractérisée par de l’inflammation et de la fibrose et entraînant des altérations extensives de l’architecture des alvéoles et des voies aériennes.
Les trois mécanismes sont : une maladie neuromusculaire qui limite la capacité des muscles respiratoires à gonfler le poumon, une atteinte de la plèvre ou de la cage thoracique qui compriment le poumon sous-jacent ou limitent son expansion et une atteinte intrinsèque du parenchyme pulmonaire qui diminue la compliance du poumon.
Diminués
La capacité à augmenter son volume suite à un changement de pression.
Le volume d’air d’une respiration normale.
La capacité pulmonaire totale moins le volume résiduel.
Le volume d’air qui peut être expulsé à la fin d’une expiration normale