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}}{{Question | |||
| question = Quelles conditions les patients apnéiques sont-ils fréquemment porteurs? | |||
| réponse = Du syndrome métabolique, d'intolérance au glucose et du diabète de type II. | |||
| explication = | |||
| image_question = | |||
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}}{{Question | }}{{Question | ||
| question = Quel type d’apnée s’accompagne des effets secondaires les plus importants ? | | question = Quel type d’apnée s’accompagne des effets secondaires les plus importants ? | ||
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}}{{Question vrai ou faux | |||
| question = Les enregistrements de niveau 3 et 4 comprennent un enregistrement de l'électroencéphalogramme | |||
| réponse = 0 | |||
| explication = Dans ces niveaux, le nombre de paramètres enregistrés est moindre comparativement à l'étude polysomnographique et ne comprend pas d'électroencéphalogramme. | |||
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}}{{Question | }}{{Question | ||
| question = Comment peut on évaluer la probabilité de risque d’apnée obstructive du sommeil ? | | question = Comment peut on évaluer la probabilité de risque d’apnée obstructive du sommeil ? |
Version du 19 août 2020 à 18:21
Il y a: la Pression Positive Continue (PPC), les orthèses d'avancement mandibulaires, la chirurgie ORL et la perte de poids.
Il y a l’augmentation de l’activité sympathique, de la sécrétion de cortisol, du stress oxydatif et la libération de cytokines pro-inflammatoires.
Du syndrome métabolique, d'intolérance au glucose et du diabète de type II.
l’apnée obstructive
Il y a l'obstructive, c'est-à-dire s'accompagnant d'efforts respiratoires maintenus, la non obstructive, donc caractérisée par l'absence de ceux-ci ou les mixtes, c'est-à-dire composées par la succession de ces deux types d'événements.
Il s’agit d’une réduction de la ventilation s'accompagnant d'une baisse de la SaO2 et/ou d'un micro-éveil.
Une apnée est définie comme étant un arrêt des débits aériens au nez et à la bouche pendant au moins dix secondes.
Ça consiste en l'enregistrement simultané de l'électroencéphalogramme (EEG), l'électromyogramme (EMG sous-mentonnier et du muscle tibial antérieur) et l'électro-oculogrammre (EOG), la saturation artérielle en oxygène (SaO2) par oxymétrie au doigt ou à l'oreille, l'électrocardiogramme, les débits aériens au nez et à la bouche, la direction et l'amplitude des mouvements thoraco-abdominaux par pléthysmographie d'inductance.
- Vrai
- Faux
b
Dans ces niveaux, le nombre de paramètres enregistrés est moindre comparativement à l'étude polysomnographique et ne comprend pas d'électroencéphalogramme.
La probabilité de risque clinique peut être évaluée par un score constitué de: la mesure de la circonférence du cou, la présence ou non d’hypertension artérielle, de ronflements et d’apnées observées par l’entourage.
Il peut y avoir : ronflement, apnées observées, étouffements nocturnes, hypersomnie diurne, surcharge pondérale, anomalies crânio-mandibulaires, anomalies des voies aériennes supérieures, circonférence du cou augmentée, hypertension artérielle et antécédents familiaux
Un questionnaire de type EPWORTH.
Il faut chercher une macroglossie, une hypertrophie de la luette ou des amygdales, un prolongement postérieur du voile du palais, un aspect flasque de la muqueuse pharyngée, une micro ou rétrognathie et des signes d'obstruction nasale.
Elle est de 77 % dans cette population.
Il s’agit de la fatigue diurne.
l’hypersomnolence, les épisodes de cataplexie (totale ou partielle) survenant à l’occasion d’émotions, les hallucinations hypnagogiques et la paralysie du sommeil
Elle est de l’ordre de est de 9 à 24 %.
Vrai