ULaval:MED-1202/Physiologie/Flashcards
PaO2 = 100mmHg
Hb= 150g/L- O2 dissout= PaO2 X 0.003 = 100x 0.003 = 0.3mL/100mL
+
- O2 lié= Hb x (1.34ml O2/g Hb) X (%Sat) = 15 X 1.34 X 0.98 = 19.7mL/100mL
O2 total = 0.3 + 19.7 = 20 mL/100mL
L'hémoglobine est en g/DL
Pour trouver le % de saturation on regarde l'équivalent selon la PaO2 donnée dans le tableau. Une PaO2 de 100 mmHg équivaut à une SaO2 de 97-98%O2 dissout = PaO2 (mmHg) x 0.003
O2 lié = Hb X (1.34 mLO2/g Hb) X (%Sat)
C'est le volume d'O2 présent dans le sang artériel.
- Vrai
- Faux
a
C'est la PaO2 à laquelle la SaO2 est de 50%. Valeur normale de 26 mmHg
un déplacement vers la droite se traduirait par une augmentation de la P50 (donc >26mmHg)
Car il y a une compétition avec l'O2 pour sur fixer sur l'Hb
- Un déplacement vers la droite signifie que la saturation de l'hémoglobine est plus basse pour une PaO2 donnée. Donc une tendance à augmenter la libération de l'oxygène vers les tissus
- L'anémie, une augmentation de la température, l'altitude cause un déplacement vers la droite de la courbe
- Un déplacement vers la gauche signifie qu'il y a une diminution de libération d'Oxygène aux tissus
- L'exercice et la diminution de pH bouge la courbe vers la gauche
- Une diminution de PaCO2 déplace la courbe vers la gauche
d
La courbe se déplace vers la droite lors d'une diminution de pH (augmentation d'ions H+), de température
La courbe se d.place vers la gauche dans les conditions inverses (diminution T°, augmentation de pH, diminution de PaCO2,...)- Vrai
- Faux
b
Faux
directe mais non linéaire
- Vrai
- Faux
a
Le % de sites de transport de l'O2 qui sont occupés
- Il y a 2 places sur l'hémoglobine pour le fer
- Le fer est contenu dans le groupe globine qui lui est lié aux chaînes de hème (alpha et bêta)
- La concentration normale de l'Hb est de 5g\100mL
- 1 gramme d'hémoglobine a la capacité de transporter 1.34mL d'O2 lorsque la saturation est à 100%
d
- A= 4 places disponibles (1 groupe hème par chaîne de globine et 4 chaînes par hémoglobine)
- B= le fer est sur le groupe hème lié à chacune des 4 chaînes de globine (2 alpha et 2 bêta)
- C= concentration normale de 15g/100mL de sang
- Le volume dissout d'O2 est directement proportionnel à la pression partielle d'O2 (PaO2)
- Quand la PaO2 est de 100mmHg, on calcule 0.003mL/100mL d'O2 sous forme dissoute
- L'hémoglobine permet d'augmenter par un facteur de 10 la capacité de transport d'oxygène dans le sang
- L'hémoglobine a un haut poids moléculaire composée de 4 chaînes d'acides aminés (2 alpha et 2 bêta)
c
- Vrai
- Faux
b
Faux
On parle de 0.003ml d'O2/mmHg/100mL de sang. Ça va surtout être la forme combinée à l'hémoglobine
- Bronchite chronique, SLA, fibrose kystique
- Fibrose kystique, bronchite chronique, emphysème
- Asthme, SLA, fibrose kystique
- Asthme, bronchite chronique, emphysème
d
- Si on a un VEMS à 75% et un indice de Tiffenneau 85%, on parle d'une obstruction bronchique
- Un VEMS à 85% et un VEMS/CVF de 65% est un critère positif d'obstruction bronchique
- S'il y a une augmentation du VEMS de 250cc et une augmentation du VEMS de 5%, alors c'est un critère positif de réversibilité aux bronchodilatateurs
- Si les critères de syndrome restrictif sont rencontrés, alors on va nécessairement penser à la Fibrose Kystique
b
- A= C'est un syndrome restrictif si VEMS<80% et VEMS/CVF >80% et diminution des volumes pulmonaires
- B= un VEMS/CVF <70% de la valeur prédite et un VEMS <100% est un critère d'obstruction bronchique
- C= Augmentation du VEMS de >200cc et augmentation de VEMS de >12% = critère de réversibilité au bronchodilatateurs
- D= Il faut regarder la DLCO ou la KCO pour savoir si le syndrome est parenchymateux (fibrose kystique, la DLCO et KCO seront affectées ) ou extraparenchymateux (SLA (DLCO normale) ou pneumonectomie(DLCO diminuée mais KCO normale))
- La courbe d'expiration forcée doit être prise après le bronchodilatateur seulement
- Pour déterminer s'il y a une obstruction bronchique, on doit mesurer le VEMS et la CVF
- La boucle débit-volume, dérivée de la courbe d'expiration forcée, doit faire partie de ce bilan
- La CPT, la CRF et le VR sont des volumes qu'on doit mesurer lors du bilan fonctionnel repsiratoire
a
- L'épaississement de la membrane alvéolo-capillaire peut retarder la diffusion
- L'emphysème diminue la diffusion
- Un exercice intense, qu'elle soit associée ou non à une maladie ou à l'altitude, peut diminuer la capacité de diffusion.
- Il faut au moins 0.75 sec pour atteindre l'équilibration de part et d'autre de la membrane alvéolo-capillaire
d
Que la diffusion est inversement proportionnelle à sa densité
- Épaississement de la membrane alvéolo-capillaire (fibrose)
- Diminution du gradient de pression (altitude)
- Exercice intense
- Diminution de la surface d'échange (pneumonectomie et emphysème)
0,25 secondes
Loi de Graham
- La méthode en apnée (respiration unique) consiste en la mesure du taux de disparition du CO du gaz alvéolaire lors d'une apnée de 10 secondes
- Une personne qui fume aura une DLCO diminuée
- Une personne qui a passé 5 jours en altitude aura une meilleure DLCO
- La diffusion du CO n'est pas limité par la membrane
d
La fibrose va augmenter la membrane = limiter la diffusion
les autres facteurs qui limitent la diffusion : Diminution du gradient de pression (altitude), exercice intense, diminution de la surface d'échange (pneumonectomie ou emphysème)0,75 secondes au repos et 0,25 secondes à l'effort
0,5 microns
- Méthode en apnée ou à respiration unique
- Méthode en état stable ou en respiration spontanée multiple
unités par mL/min/mmHg de pression alvéolaire
Méthode en état stable ou en respiration spontanée multiple= sujet respire une concentration basse de CO (0.1%). On mesure le taux de disparition du CO du gaz alvéolaire en fonction de la concentration alvéolaireDL = (VCO)/ PACO2
- DL= diffusion
- V= débit du gaz
- P1-P2 = gradient de pression de CO de part et d'autres de la membrane (alvéolo-capillaire). Mais comme la pression partielle de sang dans le cpaillaire est négligeable, on va seulement considérer la pression partielle alvéolaire du CO
- Vrai
- Faux
a
- La diffusion nécessite un temps d'équilibration suffisant pour atteindre un équilibre
- Le temps de transit du sang le long de la membrane est de 0.25 sec au repos
- La diffusion a besoin d'avoir un nombre suffisant d'unités alvéolo-capillaires
- Si on veut évaluer la diffusion, on est mieux d'utiliser la CO
b
- Perfusion
- Diffusion
20 fois plus rapidement
- La diffusion est proportionnelle à la différence de pression partielle de part et d'autre du tissu
- La diffusion est inversement proportionnelle à l'épaisseur du tissu
- Plus une molécule est grosse, plus la diffusion se fait rapidement
- Le transfert d'un gaz peut être limité par la perfusion et par la diffusion
c
Loi de Fick
V gaz = (A x D x (P1-P2)) / T
- V= débit
- A = surface
- D= capacité de la membrane à diffuser
- P1 et P2 = pressions partielles de part et d'autre
- T= épaisseur
- La pression artérielle de CO2 (PACO2) est proportionnelle à la production en CO2 (VCO2)
- PACO2 est indirectement proportionnelle à la ventilation alvéolaire (VA)
- La ventilation alvéolaire est inversement proportionnelle à la production de CO2
- Le débit cardiaque du coeur gauche est égal au débit cardiaque du coeur droit
c
La ventilation alvéolaire est proportionnelle à la production de CO2
PACO2 = (VCO2 x 0.863) / VA
ou
VA = (VCO2 x 0.863) / PACO2- Le volume d'O2 qui atteint l'alvéole est directement contrôlé par la ventilation
- La ventilation est médiée par le niveau de O2 artériel
- L'excrétion de CO2 se fait avant l'apport d'O2
- Il y a une relation directe entre la PaCO2 et la ventilation alvéolaire
d
- a= Indirectement
- b= c'est le CO2 qui influence la ventilation
- c= se font simultanément
- Ventilation (quantité O2 suffisante pour atteindre alvéole)
- Diffusion (L'interface ventilation-perfusion doit durer assez longtemps)
- Respiration externe (O2 air ambiant --> sang dans poumon)
- Transport de l'oxygène ([Hb] et Q)
- Respiration interne (O2 capillaires --> tissus)
- Quand la Ppl < Ptm-crit (ou PTM1) , le débit est indépendant de l'effort généré
- Le débit dépend des propriétés élastico-résistives du poumon
- La résistance à l'écoulement de l'air se situe entre l'alvéole et le point de PTM1
- Le débit diminue avec le volume pulmonaire parce que la pression élastique diminue et la résistance augmente
- Le débit expiratoire maximal dépend de l'interaction entre les pressions, le volume et la résistance bronchique
a
- Recul élastique des poumons
- Pression de fermeture critique des voies aériennes
- Résistance des voies aériennes en amont du segment compressible
L'endroit exact où la compression des bronches survient
Point d'égale pression
- Le diamètre des voies aériennes augmente avec le volume pulmonaire
- Le débit augmente avec l'effort tant qu'on est au-dessus de 75% de la CVF
- La compression dynamique des voies aériennes survient au PEP
- La limitation du débit expiratoire survient lorsque la pression transmurale critique est atteinte.
b
RES-100, RES-101
La compression survient un peu après le PEP (à la pression transmurale critique)- Un sujet normal devrait pouvoir expirer 80% de sa CVF après 1 seconde et 95% après 3 secondes
- Le débit expiratoire est effort-dépendant tout le long de l'expiration
- On atteint un débit maximal au début de l'expiration forcée (précocement)
- La résistance des voies aériennes est inversement proportionnelle au volume pulmonaire
b
RES-101, RES-099
Au départ, il est effort-dépendant, mais plus on expire, plus la pression diminue jusqu'à ce qu'on obtienne le point d'égal pression. Passé ce niveau, les voies aériennes sont comprimées et finissent par se fermer. Ainsi, peu importe l'effort qu'on voudrait y ajouter, ce facteur n'influencera plus le débit.3 secondes
Le rapport VEMS/CVF
VEMS
- L'air sort des poumons tant que la pression pleurale est plus basse (en valeur absolue) que la pression de recul de l'élastique du poumon
- À la fin de l'inspiration, l'alvéole a accumulé de l'énergie élastique. Donc quand les muscle inspiratoires se relâchent, la pression intra-pleurale devient moins négative ce qui mène à une pression positive intra-alvéolaire
- Lors de l'expiration forcée, la pression pleurale devient très positive, alors que dans l'expiration normale, la pression pleurale devient simplement moins négative
- Lors de l'expiration forcée, la pression transpulmonaire est plus élevée que lors d'une expiration normale
c
RES-098
Lors de l'expiration forcée, la pression transpulmonaire demeure la même que lors d'une inspiration normale, mais on a augmenté la pression pleurale augmentée augmente le gradient entre l'intérieur de l'alvéole et l'atmosphère.- L'air cesse d'entrer dans l'alvéole une fois l'équilibre est atteint entre la pression intra alvéolaire et la pression atmosphérique
- L'air va entrer dans le poumon tant que la pression pleurale est plus élevée en valeur absolue que la pression de recul élastique du poumon
- La pression de recul élastique du poumon s'accumule au fur et à mesure que l'air entre dans l'alvéole et que celle-ci augmente en volume
- En absence de mouvement d'air, la pression de recul élastique du poumon demeure plus négative que la pression pleurale
d
RES-098
Si ø mvt de l'air, la pression de recul élastique du poumon est égale et opposée à la pression pleurale- Vrai
- Faux
b
- Vrai
- Faux
a
La cage thoracique est de moins en moins compliante lorsque le volume des poumons diminue.
Le poumon est de moins en moins compliant lorsque le volume des poumons augmente.
- Recul élastique de la cage thoracique
- Fermeture des voies aériennes
- Force des muscles expiratoires
- Le recul élastique du poumon détermine le VR
- La force des muscles inspiratoires détermine le VR alors que la force des muscles expiratoires détermine la CPT
- Le recul élastique de la cage thoracique détermine le VR
- La fermeture des voies aériennes détermine le VR
c
le recul élastique du poumon et la force des muscles inspiratoires
La courbe de changement de volume par changement de pression
- À la CPT, la pression maximale dans le système respiratoire est de +40cmH2O
- En-dessous de la CRF la pression dans le système est toujours négative alors qu'elle est toujours positive au-dessus de la CRF
- Au VR la pression minimale du système respiratoire est d'environ -10cmH2O
- La CRF correspond au moment d'équilibre entre la tendance du poumon à se collaber et de la cage thoracique à s'expandre = aucun travail des muscles respiratoire n'est nécessaire
- Si on veut augmenter le volume au-dessus de la CRF, on a besoin des muscles inspiratoires. Si on veut diminuer le volume sous la CRF, on aura besoin des muscles expiratoires
c
RES-096, RES-097
au VR la pression minimale correspond à -25cmH2O- La pression à l'intérieur du poumon est à +30 cmH2O à la CPT pour un poumon isolé
- La pression du poumon augmente avec le volume de façon curvilinéaire
- La pression dans la cage thoracique isolée au VR est de -20cmH2O
- La pression dans la cage thoracique isolée est de 0cmH2O à la CPT
d
RES-096, RES-097
Est de +10cmH2O à CPT- Plus le poumon gonfle, plus il veut se dégonfler, donc plus il faut travailler fort pour continuer à le gonfler.
- La tendance qu'à le poumon à se collaber à la fin d'une expiration normale est contrecarrée par la tendance de la cage thoracique à s'expandre (point d'équilibre lors de la CRF)
- La courbe de compliance correspond au changement de pression (∆V/∆P)
- La cage thoracique sans poumon s'écrase sur elle-même
d
RES-096, RES-097
Le poumon seul va se vider complètement. La cage thoracique seule va s'expandre un litre au-dessus de la CRF- Vrai
- Faux
b
C'est lorsque la pression augmente
- On pourrait la trouver en ouvrant la valve exactement à la fin de l'expiration forcée (V2 correspond au moment où on ouvre la valve donc tout dépend où on est dans la respiration) mais c'est plus difficile et moins reproductible
- On peut simplement soustraire le VRE de la CRF afin d'avoir le VR
- La méthode de dilution à l'hélium (C1V1=C2V2)
- La méthode pléthysmographique.
- Les voies aériennes supérieures servent à filtrer, réchauffer et humidifier l'air ambiant.
- Les muscles intercostaux sont des muscles accessoires à la respiration, mais sont peu actifs au repos
- La spirométrie permet de mesurer la CRF et la CPT
- La CRF correspond à VRE + VR
c
RES-091, RES-092
La spirométrie ne permet pas de mesure le VR, donc impossible de trouver la CRF et la CPT- La plèvre viscérale est innervée alors que la plèvre pariétale ne l'est pas
- Les 3 composantes de la tructure fonctionnelle sont : pompe (cage thoracique + muscles) , réseau de distribution (voies aériennes) et la membrane alvéolo-capillaire
- L'espace mort est situé distalement aux bronches terminales alors que la ventilation se fait proximalement aux bronches terminales
- La surface d'échange totale n'occupe que 10 m^2
b
RES-091, RES-092
- a = contraire
- c= espace mort est proximale alors que la ventilation est distale aux bronches temrinales
- d= surface d'échange est de 70m^2
C'est le volume d'air maximal qui peut être expiré après une inspiration maximale (VRE + Vt + VRI).
Il s’agit du volume d'air supplémentaire qu'on peut encore inspirer après une inspiration normale (volume courant).
- La capacité inspiratoire est le volume maximal d'air qui peut être inhalé à partir de la position de repos (Vt + VRI)
- La capacité résiduelle fonctionnelle est le volume d'air qui demeure dans les poumons après une expiration normale (VR + VRE)
- L'air contenu dans l'espace mort participe aux échanges gazeux
- La capacité vitale est le volume d'air maximal qui peut être expiré après une inspiration maximale (VRE+ Vt + VRI)
c
Les voies aériennes inférieures débutent à la jonction du larynx avec la trachée et englobent la trachée, les bronches, les bronchioles et les alvéoles.
- Voies de conduction --> Jusqu'aux bronchioles terminales (espace mort anatomique)
- Zone respiratoire = distalement aux bronchioles respiratoires. Début d'apparition de bourgeonnement alvéolaire. (lobule primaire = portion de poumon distale à la bronchiole terminale. Début des échanges gazeux)
- Nez
- Sinus paranasaux
- Pharynx
- Larynx
Elle provient des 3e, 4e et 5e nerfs cervicaux (nerf phrénique).
Le diaphragme
- les côtes
- le thorax osseux
- les muscles respiratoires
- le diaphragme
- les muscles intercostaux
- les muscles accessoires.
la pompe ventilatoire, un réseau de distribution de l'air et une surface d'échange pour les gaz