ULaval:MED-1202/Insuffisance respiratoire/Flashcards
l’hypoventilation alvéolaire globale et l’accroissement du volume d’espace mort
la réduction de la FiO2, la réduction de la Patm et l’augmentation de la PACO2
- Vrai
- Faux
b
L'espace mort est plutôt composé des voies aériennes proximales aux bronchioles respiratoires.
- pneumonie
- embolies pulmonaires
- conditions fibrotiques
a,b,c
10 mmHg
Le shunt physiologique
Le retour veineux des veines bronchiques et des veines coronariennes se fait en partie dans le ventricule gauche et les veines pulmonaires. Il y a donc passage de sang non oxygéné dans le sang oxygéné, ce qu'on appelle un shunt.
- Vrai
- Faux
b
Ils sont rarement suffisants seuls. Toutefois, ils sont une source d'embolisation artérielle potentielle, c'est pourquoi, des interventions correctrices pourront être réalisées.
C'est le déséquilibre entre les alvéoles qui sont mieux perfusées que ventilées.
Les désordres de rythmicité et l'insuffisance de l'appareil ventilatoire effecteur.
la réduction de la PAO2, l’hypoventilation alvéolaire, le shunt et les anomalies ventilation/perfusion
En hyperventilant.
Il s’agit d’un déficit oxygénatif au niveau tissulaire se traduisant par une dysfonction cellulaire et le passage en anaérobie.
Il s’agit d’un abaissement du contenu en oxygène du sang, généralement défini comme une PaO2 inférieure à 60 mmHg.
En administrant de l'oxygène supplémentaire
- survie
- diminution de la dyspnée
- qualité de vie
a
Faux, elle est utile lorsque l’obstruction se situe au-dessus de la membrane crycothyroïdienne.
La manoeuvre de compression sous-diaphragmatique dite de Heimlich
Lors de l’inspiration.
Car la lumière des voies aériennes intra-thoraciques diminue en expiration due aux pressions intra-pleurales qui deviennent nulles.
Elles sont indépendantes du cycle ventilatoire.
Les symptômes incluent généralement la dyspnée d’effort, la respiration bruyante (appelée stridor si inspiratoire) et l’inconfort en position déclive.
L’obstruction doit être haut située, au sein de la sphère ORL après le carrefour naso-buccal (pharynx, larynx, glotte) ou de la trachée (Note : l’obstruction doit être en amont de la carène, puisque si l’obstruction était plus basse, le poumon controlatéral pourrait assurer les fonctions oxygénatives et ventilatoires).
En apnée, la PCO2 s’élève de 3-5 mmHg à la minute.
Il peut y avoir : panique, agitation, efforts respiratoires inefficaces, cyanose, perte de conscience et convulsions.
les centres nerveux de la respiration qui permettent la rythmicité, l’appareil respiratoire effecteur, qui inclut le système nerveux efférent, la cage thoracique, les muscles respiratoires, les voies aériennes, le parenchyme pulmonaire et sa vascularisation qui permettent le flot aérien et la mise en contact de l’atmosphère avec le sang veineux, ainsi que la membrane alvéolaire qui réalise l’échange gazeux