Trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité

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Trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité
Maladie
Caractéristiques
Signes
Symptômes
Inattention, Hyperactivité, Impulsivité, Procrastination
Diagnostic différentiel
Trouble cyclothymique, Hyperthyroïdie, Schizophrénie, Trouble dépressif caractérisé, Anxiété (symptôme), MAB, Troubles d'usage, Troubles d'apprentissage et difficultés scolaires (approche clinique), Troubles du langage et de la parole en pédiatrie (approche clinique), Troubles du sommeil (approche clinique), ... [+]
Informations
Wikidata ID Q181923

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Le trouble du déficit de l'attention avec hyperactivité (TDAH) est un trouble psychiatrique affectant la capacité des enfants à fonctionner. Les personnes souffrant de ce trouble présentent des schémas de niveaux d'inattention, d'hyperactivité ou d'impulsivité inappropriés sur le plan du développement. Bien qu'il y ait eu auparavant deux diagnostics différents de trouble déficitaire de l'attention vs trouble d'hyperactivité avec déficit de l'attention, le DSM IV a combiné cela en un trouble avec trois sous-types: principalement inattentif, principalement hyperactif ou de type combiné. [1]

Les symptômes commencent à un jeune âge et comprennent généralement le manque d'attention, le manque de concentration, la désorganisation, la difficulté à accomplir les tâches, l'oubli et la perte de choses. Ces symptômes doivent être présents avant l'âge de 12 ans, avoir duré six mois et interférer avec les activités de la vie quotidienne afin d'être étiquetés comme «TDAH». Cela doit être présent dans plus d'un cadre (c.-à-d. À la maison et à l'école, ou à l'école et aux activités parascolaires). Cela peut avoir de lourdes conséquences, notamment des interactions sociales, une augmentation des comportements à risque, des pertes d'emplois et des difficultés à réussir à l'école. [1]

Le TDAH doit être considéré dans le contexte de ce qui est approprié sur le plan du développement et de la culture pour une personne. Il est considéré comme un dysfonctionnement du fonctionnement exécutif, principalement une activité du lobe frontal. Par conséquent, les patients atteints de TDAH présentent un handicap non seulement dans l'attention et la concentration, mais aussi dans la prise de décision et la régulation émotionnelle. Les enfants atteints de TDAH peuvent avoir des difficultés avec les interactions sociales, peuvent être facilement frustrés et peuvent être impulsifs. Ils sont souvent qualifiés de «fauteurs de troubles». [1]

Le TDAH n'est pas une maladie nouvelle et a été appelé de différents noms à travers l'histoire. Il a été qualifié de `` dysfonctionnement cérébral minimal dans les années 1930 et a depuis changé de nom pour TDA et TDAH respectivement.[2] Sa prévalence a augmenté au fil du temps, avec un pic apparent dans les années 1950 à mesure que l'école devenait plus standardisée pour les enfants. [1]

Il est important de diagnostiquer et de traiter le trouble à un jeune âge afin que les symptômes ne persistent pas à l'âge adulte et ne provoquent pas d'autres conditions comorbides. Le traitement du trouble est principalement lié aux stimulants et à la psychothérapie.[3] Cette revue permettrait de mieux comprendre les facteurs causaux, la physiopathologie et la prise en charge du TDAH.[1]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

On constate que les sous-types de troubles déficitaires de l'attention ont un taux de prévalence différent dans un groupe d'individus souffrant de ces troubles. On constate que le sous-type inattentif est répandu chez environ 18,3% du total des patients alors que les hyperactifs / impulsifs et combinés représentent respectivement 8,3% et 70%. On constate également que le sous-type inattentif est plus courant parmi la population féminine. Les troubles (collectivement) sont trouvés dans un rapport homme / femme de 2: 1 selon différentes recherches.[4] Il est répandu dans environ 3% à 6% de la population adulte.[5] C'est l'un des troubles les plus répandus trouvés dans l'enfance. Il existe des preuves que le TDAH est plus répandu aux États-Unis que dans d'autres pays développés. [1]

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

L'étiologie du TDAH est liée à une variété de facteurs qui comprennent à la fois une composante génétique et une composante environnementale. C'est l'une des maladies les plus héréditaires en termes de troubles psychiatriques. Il y a une concordance beaucoup plus grande chez les jumeaux monozygotes que chez les dizygotes. Les frères et sœurs ont deux fois plus de risques de souffrir de TDAH que la population générale. De même, les infections virales, le tabagisme pendant la grossesse, les carences nutritionnelles et l'exposition à l'alcool chez le fœtus ont également été étudiés comme causes possibles du trouble. Il n'y a pas de résultats cohérents sur l'imagerie cérébrale des patients atteints de TDAH. Le nombre de récepteurs dopaminergiques a également été impliqué dans le développement du trouble par lequel la recherche a montré que les récepteurs sont diminués dans les lobes frontaux chez les personnes atteintes de TDAH.[6][2] Il existe également des preuves du rôle de l'implication des récepteurs noradrénergiques dans le TDAH. [1]

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Le TDAH est associé à des déficits cognitifs et fonctionnels liés à des anomalies diffuses dans le cerveau. Le gyrus cingulaire antérieur et le cortex préfrontal dorsolatéral (DLFPC) sont petits chez les personnes souffrant de TDAH. On pense que ces changements expliquent les déficits du comportement axé sur les objectifs. De plus, l'activité dans la région frontostriatale est également réduite chez ces individus, telle que mesurée par IRMf. Il est important de comprendre ces mécanismes physiopathologiques afin que la pharmacothérapie soit dirigée sur eux.[7] Il est important de se rappeler que le TDAH est un diagnostic clinique. Il n'y a pas de résultats de laboratoire ou d'imagerie standard chez les patients atteints de TDAH. [1]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Afin de diagnostiquer le TDAH, il est très important de prendre une histoire pertinente de la personne concernée. Le TDAH est diagnostiqué chez les enfants en fonction de leurs antécédents où les enfants rencontrent des difficultés dans au moins 6 des 9 symptômes mentionnés dans le DSM V.Les symptômes d'inattention comprennent: ne pas prêter une attention particulière aux tâches, manquer de petits détails, se précipiter dans les tâches, ne pas sembler écouter quand on parle deux, difficulté à organiser les choses, ne pas terminer le travail, n'aime pas ou évite les tâches qui demandent un effort mental soutenu, perdre du poids ou être oublieux. Les symptômes hyperactifs comprennent: s'agiter, se sentir comme un «moteur interne» qui marche toujours, quitter son siège, grimper sur des objets, être bruyant, laisser échapper des réponses, parler de manière excessive ou hors de son tour, avoir du mal à attendre son tour, interrompt ou empiète sur les autres . Ces symptômes doivent être présents dans plusieurs contextes.[1]

Chez les adultes, cependant, ces symptômes de base peuvent être absents et ils peuvent se manifester par d'autres problèmes tels que la procrastination, l'instabilité de l'humeur et une faible estime de soi. Ils seront probablement de nature plus impulsive, ou inattentifs, car les symptômes d'hyperactivité peuvent être mieux contrôlés. Les symptômes d'inattention ou d'hyperactivité seront probablement déclenchés lors de la réalisation d'une histoire appropriée de l'enfance, mais peuvent avoir été manqués. [1]

Le TDAH interfère avec le fonctionnement et le développement. Cela peut être inclus chez les adultes qui ne travaillent pas et est souvent licencié dans cette population. Par exemple, une mère au foyer peut avoir des difficultés à amener ses enfants à l'école à l'heure, à organiser sa maison, à faire attention en conduisant, etc., ce qui affecte son fonctionnement et sa vie quotidienne même si elle n'est pas au travail ou à l'école. Il est important d'en tenir compte lors du diagnostic. [1]

Différentes échelles sont utilisées pour mesurer les problèmes dont souffrent les patients atteints de TDAH. Un tel exemple est l'échelle de trouble de déficit d'attention de Brown qui comprend des zones communes dans lesquelles ces personnes font face à des difficultés et peut être utilisée chez les adultes pour identifier le trouble. Pour les enfants, l'échelle Vanderbilt TDAH est souvent utilisée car elle comporte à la fois une composante enseignant et parent. Un examen physique, en revanche, n'est pas aussi utile dans le diagnostic du TDAH, mais il peut tout de même être utilisé pour exclure des causes médicales telles que des problèmes de thyroïde. Cela pourrait également aider à identifier tout problème médical qui pourrait ainsi orienter les options de traitement. Par exemple, les personnes souffrant d'hypertension peuvent ne pas opter pour des stimulants comme option de traitement. [8][9][10][1]

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Questionnaire

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Le TDAH est un trouble qui est diagnostiqué cliniquement et qui ne fait l'objet d'aucun examen de laboratoire ou radiologique spécifique. Les tests neuropsychologiques ne sont pas aussi sensibles pour diagnostiquer le trouble et, par conséquent, le trouble doit être diagnostiqué en fonction des antécédents du patient.[8] L'évaluation du patient atteint de TDAH est généralement effectuée avec différentes échelles d'évaluation et plusieurs informateurs qui peuvent inclure les enseignants et Parents. Il est nécessaire pour un clinicien de rechercher d'autres troubles car ils peuvent être une cause des symptômes que l'enfant présente. Il ne doit pas être diagnostiqué dans le contexte de symptômes d'un autre trouble, par exemple, un épisode psychotique ou un épisode maniaque. [1]

Approche clinique

DSM V: types de ADHD[1]


  • Principalement inattentif
  • Principalement impulsif ou hyperactif
  • Combinaison des [1] ci-dessus


  • L'apparition est généralement avant l'âge de 12 ans
  • Symptômes présents à l'école, au travail ou à la maison
  • La perturbation entraîne une altération significative du fonctionnement social, professionnel et scolaire
  • Le trouble n'est expliqué par aucun autre trouble du comportement [1]

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Il est important de différencier le TDAH des autres troubles cliniques car il peut avoir des symptômes qui peuvent se chevaucher avec eux. Les troubles de l'humeur tels que la dépression et l'anxiété peuvent être mal diagnostiqués chez un patient atteint de TDAH car ces symptômes (inattention et mauvaise concentration, perte de mémoire, distractibilité, etc.) persistent généralement chez les personnes atteintes du trouble. Les troubles liés à la toxicomanie doivent également être soigneusement examinés car les enfants atteints de TDAH sont sujets à la toxicomanie. Il est important d'exclure les troubles de l'audition, les troubles d'apprentissage et les troubles du développement liés au TDAH. [7][1]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

La thérapie pharmacologique reste le pilier du traitement des patients souffrant de TDAH. Il est divisé en deux grandes catégories qui relèvent des stimulants ou des non-stimulants. Les stimulants sont ensuite divisés en amphétamines et méthylphénidates. Les deux types de stimulants bloquent la recapture de la dopamine au niveau des membranes présynaptiques et postsynaptiques. Les amphétamines libèrent également directement de la dopamine. Les stimulants sont le pilier du traitement du TDAH. Ils sont efficaces chez environ 70% des patients. Il y en a un certain nombre à traiter de 2. Il existe plusieurs formulations de chaque sous-type de stimulants, y compris la libération immédiate et la libération prolongée, à action prolongée ou prolongée. Les effets secondaires des stimulants comprennent des modifications de la pression artérielle, une diminution de l'appétit et du sommeil, et le risque de dépendance. Cependant, il existe un risque accru de consommation de substances chez les patients atteints de TDAH et des études montrent que le traitement avec un stimulant diminue leur risque global d'abus de substances à vie. Les stimulants étant des substances contrôlées, les prestataires hésitent souvent à les utiliser. Cependant, des preuves répétées ont montré à quel point il est impératif d'essayer des stimulants dans le TDAH. [1]

Il y a eu des inquiétudes concernant l'utilisation de stimulants chez les patients souffrant de convulsions. Cependant, des études récentes ont montré que l'utilisation de stimulants pour le TDAH est sans danger dans l'épilepsie [11][12][1]

Il peut y avoir une augmentation de la fréquence des tics chez les patients atteints de TDAH et de Tic. L'ajout d'alpha-agonistes peut aider à réduire les tics.[13][1]

Parmi l'option non stimulante, il existe également deux types: les antidépresseurs et les alpha-agonistes. Dans la catégorie des antidépresseurs, l'atomoxétine est la plus connue et agit comme un inhibiteur sélectif de la recapture de la noradrénaline. Il est connu pour être efficace dans de nombreux essais en tant qu'option de traitement pour le TDAH, mais pas aussi efficace que les stimulants. Il a également des effets antidépresseurs minimes. Il est souvent utilisé chez les enfants qui ne tolèrent pas les stimulants ou qui souffrent d'anxiété. D'autres antidépresseurs incluent le bupropion, qui cible la dopamine et la sérotonine, et les TCA qui sont les dernières options de choix. Ceux-ci fonctionnent en ciblant la norépinéphrine.[1]

Enfin, les alpha-agonistes tels que la clonidine et la guanfacine peuvent être utilisés comme traitement efficace du TDAH. Cependant, ceux-ci sont associés à de multiples effets cardiovasculaires tels que baisse de la pression artérielle, sédation (clonidine plus que guanfacine), prise de poids, étourdissements, etc. Ils se révèlent plus efficaces chez les jeunes enfants que chez les adultes.[7] [1]

Le traitement psychosocial est l'autre forme de traitement utilisée pour les personnes souffrant du trouble. Cette forme de traitement comprend une psychoéducation pour la famille et le patient et des programmes d'entraînement cognitivo-comportemental conçus spécifiquement pour que le patient atteigne ses objectifs à court et à long terme. La recherche a montré que ces programmes de formation se révèlent très efficaces lorsqu'ils sont utilisés avec la pharmacothérapie. Cependant, contrairement à d'autres troubles psychiatriques, il existe des preuves solides de la prise en charge des médicaments sans thérapie comme étant la plus efficace. [14][15][16][1]

La FDA vient d'approuver le système de stimulation du nerf trijumeau pour les enfants qui ne prennent pas de médicaments. L'appareil génère une impulsion électrique de bas niveau qui supprime l'hyperactivité. [1]

Il n'y a pas de régime qui améliore le TDAH[1]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Le pronostic du TDAH est variable selon l'âge de l'individu qui éprouve les symptômes. On constate que les symptômes du TDAH persistent jusqu'à l'adolescence et peuvent concerner les domaines sociaux et académiques de la vie. Les deux cinquièmes des patients continuent à ressentir les symptômes à l'adolescence, tandis qu'un quart d'entre eux sont également diagnostiqués avec un trouble antisocial concomitant. Cependant, une tendance importante à long terme a également été notée, selon laquelle les symptômes des patients atteints de TDA ont diminué à l'âge adulte d'environ 50%. La règle générale est que 50% des patients «sortent» du TDAH, en particulier avec un traitement, et 25% n'ont pas besoin de traitement à l'âge adulte. Cette théorie est double; premièrement, les stimulants aident à améliorer le développement du lobe frontal au fil du temps, et deuxièmement, les adultes choisissent souvent des carrières qui ne nécessitent pas une attention soutenue. À l'âge adulte, ces patients sont capables d'atteindre leurs objectifs éducatifs et professionnels.[17][1]

Il a également été démontré que le traitement du TDAH améliore les symptômes du trouble oppositionnel avec provocation et du trouble des conduites. Il a montré une diminution du risque de consommation de substances. [1]

Cependant, le TDAH non traité peut entraîner un dysfonctionnement persistant et des conséquences dévastatrices, y compris, mais sans s'y limiter, une incapacité de travail à long terme, une augmentation des accidents de voiture et une augmentation de la toxicomanie. [18][19][1]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Il est important que les patients atteints de TDAH soient suivis régulièrement pour vérifier leurs symptômes et comorbidités. Afin d'atteindre les objectifs du traitement, le rôle de l'éducation des patients ne peut être suffisamment souligné. Pour les enfants qui souffrent de TDAH, les parents doivent être formellement informés sur le trouble afin qu'ils comprennent le concept derrière le diagnostic. Le traitement médicamenteux ne peut être optimisé que s'il y a une interaction continue entre le soignant principal et la famille.[20][1]

Références

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Est une complication de ...

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