Trichomonase

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Trichomonase
Maladie

Trichomona vaginalis à l'état frais
Caractéristiques
Signes Vaginite, Écoulement urétral, Colpitis macularis , Leucorrhée , Vulvite, PH vaginal, Douleur à la mobilisation du col , Sensibilité de la prostate
Symptômes
Écoulement urétral, Dyspareunie , Dysurie , Asymptomatique , Leucorrhée , Prurit de l'appareil génital féminin , Température corporelle élevée
Diagnostic différentiel
Gonorrhée, Candidose vaginale, Vaginose bactérienne, Corps étranger intravaginal, Irritation vaginale, Chlamydiose

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La trichomonase désigne l'infection génito-urinaire à Trichomonas vaginalis, qui est un protozoaire flagellé transmis par voie sexuelle.

Épidémiologie

La trichomonase est la cause la plus fréquente de vaginite associée à une infection transmissible sexuellement[1]. Le nombre de cas annuels est estimé à 170 millions[1]. Il n'y a pas de variation saisonnière[1]. L'infection survient le plus souvent chez les femmes en période d'activité génitale[2]. Au Canada, l'incidence de la trichomonase est difficile à déterminer car sa déclaration n'est pas obligatoire[3].

Étiologies

La transmission de l'infection se fait par l'exposition aux sécrétions génitales contaminées par[4]:

  • contact sexuel (le plus souvent)
  • insémination artificielle de sperme
  • embouts de douche vaginale
  • lingettes humides
  • spéculums
  • sièges de toilette

La transmission materno-foetale est possible mais rare[4].

Physiopathologie

Le Trichomonas vaginalis est un protozoaire flagellé de forme grossièrement ovale ou amiboíde, et mesurant environ 10 μm de longueur et 7 μm de largeur[4]. Son seul réservoir est l'Homme (surtout la femme asymptomatique) et il est transmis par voie sexuelle. Après la colonisation du tractus urogénitales-génital, il reste généralement confiné au tractus génito-urinaire par les défenses immunitaires. Son incubation dure en moyenne 7 jours, avec des extrêmes de 3 à 27 jours. La colonisation est souvent asymptomatique, mais peut être à l'origine d'une inflammation qui peut s'accompagner de leucorrhée, de prurit génital, de dysurie ou de dyspareunie. Les hôtes asymptomatiques peuvent transporter le germe pendant des années. L'inflammation rend plus facile la co-infection avec le virus HIV chez les deux sexes. La néoplasie du col a également été associée à la trichomoniase.

Présentation clinique

Facteurs de risque

Les facteurs de risque sont [5]:

  • l'activité sexuelle non protégée
  • le premier rapports sexuels à un âge jeune
  • les partenaires sexuels multiples
  • l'histoire médicale d'infection à chlamydiae dans les 12 derniers mois

Questionnaire

La trichomonase est souvent asymptomatique[3]. Le questionnaire vise à rechercher la présence des symptômes suivants[1]:

  • chez la femme:
    1. la leucorrhée
    2. le prurit génital
    3. la dysurie
    4. la dyspareunie
    5. la fièvre
    6. l'infertilité
    7. les douleurs pelviennes
    8. une rupture des membranes (chez la femme enceinte)
    9. des contractions utérines précédant le terme (chez la femme enceinte)
  • chez l'homme:
    1. l'écoulement génital
    2. la dysurie
    3. éjaculation douloureuse
    4. la stérilité
  • l' identification des partenaires sexuels pour un éventuel dépistage

Examen clinique

L'examen clinique aura pour but de rechercher :

  • à l'examen général:
    • la fièvre
    • ictère
    • inspection pharyngée
    • inspection des conjonctives
  • à l'examen abdominal:
    • la sensibilité hypogastrique: pouvant être en rapport avec une cystite
    • la sensibilité pelvienne: pouvant évoquer une maladie inflammatoire pelvienne
    • la sensibilité de l'hypochondre droit: pouvant être liée à une périhépatite
  • à l'examen gynécologique:
    • une vulvite
    • une vaginite
    • une colpite: tâches hémorragiques sur la muqueuse du col sont évocateurs; rechercher également des lésions évoquant une néoplasie du col
    • une masse annexielle: pouvant être liée à un pyosalpinx
    • la leucorrhée: déterminer sa couleur, sa consistance, son abondance et son odeur
    • un toucher bimanuel: à la recherche d'une douleur à la mobilisation du col
  • à l'examen uro-génital (chez l'homme)
    • écoulement urétral
    • toucher rectal: à la recherche de d'une sensibilité de la prostate

Examens paracliniques

Les examens paracliniques pertinents sont :

  • le test d'amplification des acides nucléiques (TAAN)
    • ce test est très spécifique. Il permet la détection de l'ARN ribosomal (ARNr) de Trichomonas vaginalis
    • sur écouvillonage vaginal ou urines du premier jet[4]
    • le TAAN constitue la meilleure façon d'identifier le germe[6]
  • l'analyse microscopique au point de service (si disponible) peut mettre en évidence
    • peut parfois mettre en évidence le protozoaire flagellé
  • Whiff test
    • peut être positif en cas de trichomonase, mais aussi en cas de vaginose bactérienne
  • Mesure du pH vaginal
    • Un pH > 4,5 est en faveur d'une trichomonase ou d'une vaginite bactérienne

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

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Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

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Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la maladie est :

  • la candidose vaginale
  • l'infection à Gardnerella vaginalis

Traitement

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

La décision de traiter de façon empirique ou d'attendre les résultats des tests doit être fondée sur :

  • La gravité de l'état clinique;
  • La probabilité qu'une infection soit présente;
  • Les facteurs de risque d'infections transmissibles sexuellement et par le sang (ITSS) décelés chez la personne;
  • La disposition de la personne à s'abstenir de toute activité sexuelle et à revenir pour obtenir les résultats des tests ou faire l'objet d'un suivi.
Traitement empirique pour la trichomonase
Personnes non-enceintes Métronidazole 2 g PO en dose unique [A-l]

ou

Métronidazole 500 mg PO BID pendant 7 jours [A-l]

Remarques :

  • Efficacité de 82 à 88 % pour les deux schémas thérapeutiques; l'efficacité peut atteindre 95 % si le partenaire est traité lui aussiNote de bas de page17.
  • Le gel de métronidazole intra-vaginal n'est pas efficace.
  • La prévalence de T. vaginalis résistant au métronidazole est estimée à 5 %; répond habituellement à une dose élevée de métronidazoleNote de bas de page18.
Personnes enceintes Métronidazole 2 g PO en dose unique, pour soulager les symptômes [A-l].

Remarques :

  • Métronidazole 500 mg PO BID pendant 7 jours [A-l] est un traitement alternatif pendant la grossesse.
  • Il n'est pas recommandé de traiter les femmes enceintes qui ne présentent pas de symptômes [D-l]Note de bas de page19.
  • On ignore si le traitement améliore les issues de la grossesseNote de bas de page4Note de bas de page5.

Traiter les partenaires sexuels actuels avec le même traitement empirique que le cas index.

La tenue d'un test de guérison n'est pas recommandée

Suivi

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Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

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Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de cette maladie sont :

Évolution

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Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Prévention

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Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
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Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Notes

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Description: Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]).
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Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement.
Exemple:
 
TRAITEMENTS

Les traitements:

  • médicament 1, 100-200 mg PO DIE[pédiatrie]
  • traitement 2 BID x 1 sem[gériatrie]

NOTES


Gériatrie

  1. Poursuivre le traitement 2 semaines de plus.

Pédiatrie

  1. 10mg/kg die


Références

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Description: Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement.
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Commentaires:
 
Exemple:
 
__NOVEDELETE__
  1. 1,0 1,1 1,2 et 1,3 Agence de la santé publique du Canada, « Guide sur les Syndromes associés aux ITS : Vaginite », sur www.canada.ca, (consulté le 16 mai 2022)
  2. Jennifer Gratrix, Sabrina Plitt, LeeAnn Turnbull et Petra Smyczek, « Trichomonas vaginalis Prevalence and Correlates in Women and Men Attending STI Clinics in Western Canada », Sexually Transmitted Diseases, vol. 44, no 10,‎ , p. 627–629 (ISSN 1537-4521, PMID 28876319, DOI 10.1097/OLQ.0000000000000650, lire en ligne)
  3. 3,0 et 3,1 Société canadienne de pédiatrie, « Le diagnostic et la prise en charge des infections transmises sexuellement chez les adolescents | Société canadienne de pédiatrie », sur cps.ca (consulté le 17 mai 2022)
  4. 4,0 4,1 4,2 et 4,3 Agence de la santé publique du Canada, « Fiche Technique Santé-Sécurité : Agents Pathogènes – Trichomonas vaginalis », sur www.canada.ca, (consulté le 16 mai 2022)
  5. (en-US) « CDC - Trichomoniasis Statistics », sur www.cdc.gov, (consulté le 17 mai 2022)
  6. (en) Julie van Schalkwyk et Mark H. Yudin, « Vulvovaginite : Dépistage et prise en charge de la trichomonase, de la candidose vulvovaginale et de la vaginose bactérienne », Journal of Obstetrics and Gynaecology Canada, vol. 38, no 12,‎ , S587–S596 (ISSN 1701-2163, PMID 28063567, DOI 10.1016/j.jogc.2016.09.065, lire en ligne)
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Est une complication de ...

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