« Traumatisme craniocérébral léger » : différence entre les versions
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Version du 2 mars 2022 à 04:10
Un traumatisme cranio-cérébral (TCC) est une lésion cérébrale d'origine traumatique. Lorsque le trauma est léger (TCCL), on parle également de commotion cérébrale.[1] Les symptômes qui en découlent peuvent être d'ordre physique, cognitif et psychoaffectif[2].
Maladie | |
Caractéristiques | |
---|---|
Signes | Altération de l'état de conscience , Inconscient, Désorientation, Examen neurologique normal, Dysmétrie, Adiadococinésie, GCS 13, GCS 14, GCS 15, Altération de la mémoire immédiate, ... [+] |
Symptômes |
Confusion, Insomnie, Irritabilité, Vision trouble, Nausées, Consommation d'alcool, Consommation de drogue, Photophobie, Antiplaquettaires, Vertige , ... [+] |
Diagnostic différentiel |
Délirium, Encéphalite, Hydrocéphalie, Hémorragie sous-arachnoïdienne, Acidocétose diabétique, Hypoglycémie, Épilepsie, Trouble d'adaptation, Migraine, Hypertension maligne, ... [+] |
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Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire. |
Exemple: | L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice. |
Épidémiologie
Le TCCL est une cause fréquente d'invalidité, souvent temporaire, dans la population générale. Le TCCL affecte 1 153 sur 100 000 personnes par année . Il est deux à trois fois plus fréquent chez l'homme que chez la femme. Par contre, les femmes ont plus de chance d'avoir une période de rétablissement plus longue. Environ la moitié des TCCL se produisent chez les personnes âgées de 15 à 34 ans. Jusqu'à 20% des athlètes de sports de contact (ex: les joueurs de hockey, de football, etc.) auront un TCCL durant leur saison sportive.[3]
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution. |
Exemple: | La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an. |
Étiologies
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Étiologie |
Commentaires: |
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Exemple: | Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
|
Les étiologies les plus communes sont[4] :
- les accidents de véhicule motorisé (20-45 %)
- les chutes (30-38 %)
- les accidents liés au travail (10 %)
- les accidents liés aux loisirs et aux sport (10 %)
- les agressions (5-17 %)
Physiopathologie
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie. |
Exemple: | Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique. |
Le trauma craniocérébral léger résulte du mouvement d’accélération et de décélération du cerveau frappant la boite crânienne, sans qu'il n'y ait nécessairement un trauma direct de la boite crânienne sur un objet. Les conséquences du trauma craniocérébral sont davantage de nature fonctionnelles que structurelles.
Plusieurs théories sont considérées pour expliquer les symptômes du TCCL. Il y aurait d'abord des micro déchirures au niveau des axones, ce qui entrainerait un défaut de transport axonale des neurotransmetteurs, de l’inflammation et de l’œdème. Par la suite, il y aurait la relâche de substances excitatrices (acétylcholine, glutamate, aspartate) qui vont entrainer l'hyperexcitation des cellules, contribuant à leur dysfonctionnement et favorisant l'inflammation. Il y aurait aussi une entrée massive de calcium dans les cellules provoquant des problèmes de polarisation et de dépolarisation des membranes cellulaires normalement essentielles à la transmission de l’influx nerveux, entrainant un déséquilibre métabolique entre l’utilisation d’oxygène et de glucose acheminés au cerveau. [5][6]
Présentation clinique
De façon générale, selon la gravité du TCC, on peut s'attendre à retrouver les caractéristiques suivantes :
Gravité | Caractéristiques du TCC | ||||
---|---|---|---|---|---|
Durée de la perte ou de l’altération de la conscience | GCS obtenu à l’urgence ou 30 minutes après le TCC | Lésions à l'imagerie
(fracture ou lésion intracrânienne) |
Examen neurologique (signes focaux) | Amnésie post-traumatique | |
Léger | Entre 0 et 30 minutes | 13-15 | Peut être positive ou négative | Peut être positif | Variable, mais ≤ 24 heures |
Modéré | Généralement entre 30 minutes et 6 heures, mais < 24 heures | 9-12 | Généralement positive | Positif | Variable, mais généralement entre 1 et 14 jours |
Grave | Souvent > 24 heures à plusieurs jours, mais obligatoirement > 6 heures | 3-8 | Positive | Positif | Plusieurs semaines |
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: |
(Aucun texte)
(Texte)
(Texte)
(Texte) |
Facteurs de risque
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Facteur de risque |
Commentaires: |
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Exemple: | Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
|
Les facteurs de risque sont [4][1] :
- les sports de contact
- un status socio-économique bas
- un antécédents de trouble d'usage de substance
- une consommation d'alcool ou de drogue
Questionnaire
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Symptôme, Élément d'histoire |
Commentaires: |
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Exemple: | Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :
Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :
|
L'évaluation initiale a pour but de poser le diagnostic de TCCL en plus d'éliminer une forme plus grave de TCC, une pathologie cervicale ou une autre maladie s'apparentant aux symptômes de TCCL. Il est important de garder en tête que les symptômes peuvent se présenter 24-48h après l'événement [3][7]. Si un TCCL est soupçonné chez un patient, le questionnaire devrait débuter par :
- la description complète du mécanisme de blessure (ex: accélération-décélération, impact sur la tête ou le cou, vitesse, projection ou éjection, etc.)
- l'aperçu des soins ou des actions posées après le trauma (retour au jeu, évaluation médicale sur place, immobilisation, etc.)
- les antécédents médicaux, dont les antécédents de TCCL
- la prise de médicament, dont les anticoagulants et les antiplaquettaires
- l'heure du dernier repas
- les habitudes de vie, principalement la consommation d'alcool ou de drogues
Physiques | Comportementaux et affectifs | Cognitifs |
---|---|---|
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Les signaux d'alarmes d'un TCCL doivent également être recherchés, car la présence d'un de ceux-ci va modifier notre prise en charge [9] :
- la perte de conscience, la détérioration de l'état de conscience ou la confusion prolongée
- les vomissements répétés
- la convulsion
- la céphalée qui s'exacerbe
- la somnolence importante
- la difficulté à marcher ou parler
- la difficulté à reconnaitre les gens ou les lieux
- la diplopie
- l'agitation importante ou les pleurs excessifs chez l'enfant
Examen clinique
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Examen clinique, Signe clinique |
Commentaires: |
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Exemple: | L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
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Rappelons nous que l'évaluation initiale a pour but de poser le diagnostic de TCCL en plus d'éliminer une forme plus grave de TCC, une pathologie cervicale ou une autre maladie s'apparentant aux symptômes de TCCL. L'examen clinique d'un TCCL ne révèle habituellement pas d'anomalies particulières. Toutefois, il est nécessaire d'effectuer un examen complet qui s'articule autour de l'ATLS afin d'éliminer un traumatisme plus grave [1][10]:
- Examen primaire
- examen secondaire, dont un examen cardiaque et pulmonaire, un examen de l'abdomen ainsi qu'un examen du bassin. Il est important de porter une attention particulière à :
- L'examen de la tête et du visage à la recherche de :
- un hématome ou lacération du cuir cheveluou une dépression du crâne(fracture)
- une fracture du visage, par la palpation de l'ensemble des bords osseux du visage, y compris l'orbite, le maxillaire, le nez et la mâchoire
- une fracture de la base du crâne : le signe de Battle(ecchymoses derrière les oreilles), les yeux de raton laveur(ecchymoses sous les yeux), l'hémotympan(sang derrière le tympan) et l'écoulement du LCRpar le nez (rhinorrhée) ou l'oreille (otorrhée).
- Examen de la colonne cervicale
- Examen neurologique, dont des scores Glasgow en série ou répétés doivent être effectués pour identifier les changements dans la fonction neurologique après une blessure traumatique.
- L'examen de la tête et du visage à la recherche de :
Points | Réponse visuelle | Réponse verbale | Réponse motrice |
---|---|---|---|
6 | - | - | Obéissance aux ordres simples |
5 | - | Orientée | Réponse dirigée à la douleur |
4 | Ouverture spontanée | Confuse | Retrait à la douleur |
3 | Ouverture à la demande | Inappropriée | Décortication |
2 | Ouverture à la stimulation douloureuse | Incompréhensible | Décérébration |
1 | Absence de réponse | Absence de réponse | Absence de réponse |
Examens paracliniques
Imagerie [1]
La tomodensitométrie et l’imagerie par résonance magnétique (IRM) classique ne permettent habituellement pas de déceler des signes d’anomalies cérébrales structurales en cas de TCCL.[7] La TDM de la tête (et colonne cervicale si pertinent) est la modalité diagnostique de choix lors de l'évaluation initiale des patients souffrant d'un TCC, car elle est souvent facilement et rapidement disponible. Pour les règles de décision clinique permettant de déterminer si une TDM de la tête est nécessaire chez un patient adulte, consulter le Canadian Head CT rule. Pour les patients pédiatriques, le meilleur outil de décision pour déterminer le besoin de la TDM est la règle de décision du PECARN.
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | Examen paraclinique, Signe paraclinique |
Commentaires: |
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Exemple: | Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
|
Études de laboratoire
**JE SAIS PAS COMMENT L'ÉCRIRE ICI, IL FAUDRAIT PEUT ETRE ÉCRIRE DANS QUEL CONTEXTE ON DOIT DEMANDER LES BILANS, CE N'EST PAS SI CLAIR COMME CELA** -> Je sais pas si c'est mieux? Elle a copié cette partie sur la page TCC initialement...
Les bilans sanguins ne sont pas nécessaires pour poser le diagnostic de TCCL. Des études de laboratoire peuvent être envisagées, s'il y a présence d'un polytraumatisme concomitant ou si une sévérité plus grave qu'un TCCL est suspecté afin d'exclure d'autres diagnostics [12][13]. Dans cette éventualité, un bilan comprenant la formule sanguine complète, la glycémie, les électrolytes, les tests de fonction rénale, les tests de fonction hépatique et le profil de coagulation sera effectué.
Approche clinique
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Diagnostic
Le diagnostic de TCCL est basé sur le tableau clinique du patient. Un TCCL devrait être soupçonné chez toute personne victime d'un impact au niveau de la tête, du visage, de la nuque ou du corps et qui démontre n'importe quel signe et/ou symptôme de TCCL.
Pour les TCCL en lien avec le sport, il existe le SCAT5, un outil d'évaluation standardisé des TCCL. Cet outils permet d'évaluer rapidement les athlètes de 13 ans et plus. Pour les athlètes de 12 ans et moins, il existe le SCAT5 pour enfants.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent). |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.
Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :
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Diagnostic différentiel
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Diagnostic différentiel |
Commentaires: |
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Exemple: | Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
|
Le diagnostic différentiel d'un TCC peut comprendre plusieurs autres entités cliniques dont [1] :
Traitement
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section décrit le traitement de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Tableau, Texte |
Balises sémantiques: | Traitement, Traitement pharmacologique |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Comme l'explique le Guide de l'INESSS [9], il est recommandé de suivre les étapes suivantes pour prendre en charge un TCCL :
Période de repos initial
À la suite d'un TCCL, il est important de se reposer pendant au moins 48 h. Il est suggéré de :
- Rester dans un milieu calme
- Éviter l'exposition aux écrans
- Éviter de rester au lit toute la journée
- Limiter les activités qui demandent de la concentration ou de la réflexion
- Limiter l'activité physique aux activités de la vie quotidienne (ex : cuisiner, s'habiller, etc.)
- Répondre aux besoins physiologiques du corps en matière d'alimentation et hydratation
- Éviter l'alcool, les drogues, les boissons stimulantes et les médicaments favorisant le sommeil
- Ne pas conduire
Une fois la période initiale de repos complétée, la reprise graduelle des activités physiques et intellectuelles peut se faire simultanément, en autant que les symptômes ne s'empirent pas.
La présence de symptômes légers est normale pendant l'activité. Par contre, si les symptômes s'empirent, il est important de prendre une journée de repos avant de poursuivre avec la reprise graduelle des activités [9][14][15].
Reprise graduelle des activités intellectuelles
Il est recommandé d'attendre au moins 24 heures entre chaque étape. Si les symptômes reviennent ou s'empirent, retourner à l'étape précédente.
- Début d'activité intellectuelle à domicile
- Commencer les activités intellectuelles dans des périodes de 15-20 minutes, selon la tolérance (ex : lecture, télévision)
- Si les symptômes ne s'empirent pas ou sont absents, passer à l'étape 2
- Reprise graduelle des activités structurées (école, travail, loisir) à temps partiel
- Commencer par des demi-journées et augmenter graduellement la durée des activités structurées selon la tolérance
- Prendre des pauses au besoin en allant dans un endroit calme et tranquille
- Éviter les situations stressantes dans les 2 premières semaines (ex: examen)
- Reprise des activités à temps plein (avec des mesures d'adaptation au besoin)
- Reprendre la routine quotidienne tout en limitant le stress et l'anxiété
- Pour les étudiants, reprendre progressivement les examens selon la tolérance
- Passer à l'étape 4 seulement si les symptômes sont disparus
- Retour complet aux activités intellectuelles sans mesures d'adaptation
Reprise graduelle des activités physiques et sportives
Il est recommandé d'attendre au moins 24 heures entre chaque étape. Si les symptômes reviennent ou s'empirent, retourner à l'étape précédente.
- Activités très légères
- recommencer les activités simples de la vie quotidienne (ex : marcher, ménage léger) pour de courtes périodes de 15-20 minutes
- Activités aérobiques individuelles légères
- faire une activité ou un exercice qui augmente légèrement le rythme cardiaque pendant 20-30 minutes (ex : marche soutenue, vélo)
- Exercices individuelles spécifiques
- commencer les exercices comprenant des mouvements spécifiques à l'activité ou au sport pratiqué
- augmenter graduellement la durée et l'intensité de l'activité
- avant de passer à l'étape 4, s'assurer que :
- les symptômes ont disparu, autant à l'activité qu'au repos
- le retour complet aux activités intellectuelles a été fait
- Exercices ou entrainements plus exigeant avec ou sans coéquipiers
- reprendre les exercices techniques plus complexes nécessitant de la concentration et de la coordination
- augmenter graduellement l'intensité
- introduire les exercices en résistance (ex : musculation)
- une autorisation médicale est requise pour les activités à risque de contact ou chute afin de passer à l'étape 5
- Entrainement sans restriction
- reprendre l'entrainement complet dans la discipline pratiquée, incluant les risques de contact et chutes
- Retour complet à la compétition
Suivi [9]
Toute l'information par rapport à la reprise des activités intellectuelles et des activités physiques et sportives devrait être donné au patient tant de vive voix que par écrit. Le site internet de l'INESSS contient d'ailleurs de nombreuses ressources pour les patients (pamphlet, vidéo). La période informative vise à expliquer la pathologie, guider et rassurer le patient par rapport au processus normal de rétablissement et de symptômes ainsi qu'à bien rappeler l'importance de la reprise graduelle des activités [3][8].
Un suivi auprès d'un professionnel de la santé devrait être fait chez les athlètes avant que ceux-ci reprennent les activités à risque de contact, collision ou chute.
Un suivi à plus long terme devrait être effectué chez les patients qui présentent des signes ou symptômes persistants de TCCL.
Certains facteurs peuvent prédisposer à une période de récupération plus lente, il faut donc être à l'affut de ces éléments [3][8]:
- Certains facteurs peuvent prédisposer à une période de récupération plus lente, il faut donc être à l'affut de ces éléments [3][8]:
- Certains facteurs peuvent prédisposer à une période de récupération plus lente, il faut donc être à l'affut de ces éléments [3][8]:
- Certains facteurs peuvent prédisposer à une période de récupération plus lente, il faut donc être à l'affut de ces éléments [3][8]:
- Certains facteurs peuvent prédisposer à une période de récupération plus lente, il faut donc être à l'affut de ces éléments [3][8]:
- Certains facteurs peuvent prédisposer à une période de récupération plus lente, il faut donc être à l'affut de ces éléments [3][8]:
- Certains facteurs peuvent prédisposer à une période de récupération plus lente, il faut donc être à l'affut de ces éléments [3][8]:
- Certains facteurs peuvent prédisposer à une période de récupération plus lente, il faut donc être à l'affut de ces éléments [3][8]:
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite du suivi de la maladie. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
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Exemple: | |
Complications
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Cette section traite des complications possibles de la maladie. |
Formats: | Liste à puces, Texte |
Balises sémantiques: | Complication |
Commentaires: |
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Exemple: | Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
|
Un TCCL peut mener à certaines complications, notamment [16][1]:
- le syndrome de second impact (survient lorsque le cerveau subit un 2e impact dans la période ou il est vulnérable suite au TCCL initial)
- l'hématome intra-crânien aigu
- les déficits neurologiques
- la fuite du liquide céphalo-rachidien
- l'hydrocéphalie
- l'infection
- la convulsion
- l'oedème cérébral
- l'hernie cérébrale
- la thrombose veineuse profonde
Certaines personnes resteront avec des séquelles à long terme suite à leur TCCL. Voici les séquelles communes :
- la difficulté d'attention ou de concentration
- la fatigue persistante
- la céphalée persistante
- l'acouphène
Évolution [9]
La majorité des patients ayant subi un TCCL voient une diminution des symptômes dans les premiers 14 jours suite au traumatisme et une disparition complète des symptômes après 1 mois. Par contre, certaines personnes ont des séquelles à plus long terme. Celles-ci peuvent durer plusieurs mois, voir des années.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an. |
Prévention[1]
La prévention est essentielle aux traumatismes cérébraux. Les collisions de véhicules à moteur, la cause la plus fréquente de traumatisme crânien, ne sont pas toujours évitables. Cependant, certaines mesures peuvent être prises pour réduire les risques, notamment le port de la ceinture de sécurité, la non-conduite sous l'influence de drogues ou d'alcool et l'utilisation de sièges d'appoint appropriés pour les enfants en fonction de l'âge. Les cyclistes et les motocyclistes devraient être encouragés à porter un casque. Il existe des recherches actives sur les traumatismes crâniens récurrents dans le sport. Chez un patient qui a déjà subi un traumatisme crânien, il est important de ne pas reprendre ses activités tant qu'il ne s'est pas amélioré. Un traumatisme cérébral récurrent peut exposer les patients à des symptômes à vie, et il peut y avoir des effets cumulatifs et permanents. Chez les patients qui ont déjà subi une blessure, la récupération post-traumatique est un processus difficile de récupération physique, mentale et émotionnelle. Les complications neurologiques et psychiatriques sont courantes. La prévention du suicide chez les patients qui ont subi un traumatisme crânien est également importante et les patients doivent toujours être encouragés à demander de l'aide.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent). |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
|
Notes
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.
Description: | Dans la section notes se trouve toutes les notes de bas de page (références du groupe "note" [ou autres]). |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | Pour ajouter des notes, passez par la fonction d'ajout de notes. Il est aussi possible d'ajouter des notes d'autres groupes, comme "pharmaco", "pédiatrie", "indications", etc. Classez ces autres groupes de notes dans des sous-sections. N'ajoutez pas de notes manuellement. |
Exemple: | TRAITEMENTS
Les traitements:
NOTES Gériatrie
Pédiatrie
|
Références
Toute contribution serait appréciée.
Description: | Dans la section références se trouve toutes les références (références sans groupe). Pour ajouter des références, passez par la fonction d'ajout de références. N'ajoutez pas de références manuellement. |
Formats: | Texte |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: | |
Exemple: | |
- ↑ 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 et 1,6 « Traumatisme cranio-cérébral », Wikimedica, (lire en ligne)
- ↑ H. Audrit et E. de Guise, « Le traumatisme cranio-cérébral léger : les symptômes et la prise en charge », Journal de Réadaptation Médicale : Pratique et Formation en Médecine Physique et de Réadaptation, vol. 34, no 3, , p. 109–113 (ISSN 0242-648X, DOI 10.1016/j.jrm.2014.06.006, lire en ligne)
- ↑ 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 3,10 et 3,11 « Prise en charge des commotions cérébrales », sur lemédecinduquébec.org, (consulté le 17 février 2022)
- ↑ 4,0 et 4,1 « Acute milt traumatic brain injury (concussion) in adults », sur uptodate.com, (consulté le 17 février 2022)
- ↑ « Acute mild traumatic brain injury (concussion) in adults », sur Uptodate, fév. 2018.
- ↑ (en) Mayumi Prins, Tiffany Greco, Daya Alexander et Christopher C. Giza, « The pathophysiology of traumatic brain injury at a glance », Disease Models & Mechanisms, , dmm.011585 (ISSN 1754-8411 et 1754-8403, PMID 24046353, Central PMCID PMC3820255, DOI 10.1242/dmm.011585, lire en ligne)
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