Tachycardie supraventriculaire paroxystique

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Tachycardie supraventriculaire paroxystique (TSVP)
Maladie

Caractéristiques
Signes Tachycardie , Diaphorèse
Symptômes
Nausées, Dyspnée , Lipothymie , Syncope , Fatigue , Anxiété , Douleur thoracique , Asymptomatique , Palpitations , Polyurie
Diagnostic différentiel
Flutter auriculaire, Fibrillation auriculaire, Syndrome coronarien aigu, Tachycardie auriculaire multifocale, Tachycardie antidromique à QRS large
Informations
Terme anglais Paroxysmal supraventricular tachycardia
Wikidata ID Q28032350
Spécialité Cardiologie

Page non révisée

La tachycardie supraventriculaire paroxystique (TSVP) est responsable d'épisodes intermittents de tachycardie supraventriculaire avec début et fin soudains. La TSVP fait partie des tachycardies à QRS fins avec une réponse ventriculaire régulière contrairement à la tachycardie auriculaire multifocale, à la fibrillation auriculaire et au flutter auriculaire[1][note 1].

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Aux États-Unis, la prévalence de la TSVP est d'environ 0,2 % et son incidence est d'un à trois cas pour mille patients. Le type le plus courant de TSVP est la fibrillation auriculaire, avec un taux de prévalence d'environ 0,4% à 1% survenant également chez les hommes et les femmes ; il devrait affecter jusqu'à 7,5 millions de patients d'ici 2050. Le risque de développer une TSVP s'est avéré être deux fois plus élevé chez les femmes que chez les hommes dans une étude basée sur la population, la prévalence de la TSVP étant plus élevée avec l'âge. La tachycardie par réentrée ganglionnaire auriculo-ventriculaire est plus fréquente chez les patients d'âge moyen ou plus âgés. Alors que TSVP avec une voie accessoire est plus fréquente chez les adolescents, et leur apparition diminue avec l'âge.[2][3][4][1]

En plus de se produire chez des personnes en bonne santé, la TSVP peut également survenir après un infarctus du myocarde (IM), une maladie cardiaque rhumatismale, un prolapsus de la valve mitrale, une pneumonie, une maladie pulmonaire chronique et une péricardite. La toxicité de la digoxine est souvent associée au TSVP.[1]

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Les étiologies sont diverses, elle regroupent entre-autre :

  • médicaments
    • Hydralazine, Atropine, Adénosine, Vérapamil, Salbutamol
    • Toxicité à la digoxine

De nombreuses affections et médicaments peuvent entraîner une TSVP chez les patients. [5][6][7][8][1]

Certains de ces troubles et médicaments sont répertoriés ci-dessous :[1]


  • Hyperthyroïdie
  • Boissons caféinées
  • Infarctus du myocarde
  • Maladie cardiaque structurelle
  • Anomalie d'Ebstein
  • Péricardite
  • Myocardite
  • Cardiomyopathie
  • Embolie pulmonaire
  • Cardiopathie rhumatismale
  • Prolapsus de la valve mitrale
  • Pneumonie
  • Maladie pulmonaire chronique
  • Traumatisme de la paroi thoracique
  • Anxiété
  • Hypovolémie
  • Hypoxie[1]

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.
Système de conduction du coeur

La TSVP est souvent due à différents circuits de réentrée dans le cœur. Les causes moins fréquentes incluent une automaticité accrue ou anormale et une activité déclenchée. Les circuits de réentrée comprennent une voie à l'intérieur et autour du nœud sinusal, dans le myocarde auriculaire, dans le nœud auriculo-ventriculaire, ou une voie accessoire impliquant le nœud auriculo-ventriculaire.


  • Nœud sinusal : tachycardie par réentrée du nœud sino-auriculaire
  • Myocarde auriculaire : flutter auriculaire, fibrillation auriculaire et tachycardie auriculaire multifocale
  • Nœud auriculo-ventriculaire : tachycardie auriculo-ventriculaire réentrante nodale, tachycardie auriculo-ventriculaire réentrante[1]

Présentation clinique

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

La gravité des symptômes chez les patients atteints de TSVP dépend de toute cardiopathie structurelle sous-jacente, de la fréquence des épisodes de TSVP et de la réserve hémodynamique du patient. Habituellement, les patients atteints de TSVP présentent des symptômes d'étourdissements, de syncope, de nausées, d'essoufflement, de palpitations intermittentes, de douleur ou d'inconfort dans le cou, de douleur ou d'inconfort dans la poitrine, d'anxiété, de fatigue, de transpiration et de polyurie secondaire au facteur natriurétique auriculaire sécrété principalement par les oreillettes du cœur en réponse à l'étirement auriculaire. Les symptômes les plus courants sont les vertiges et les palpitations. Les patients atteints de TSVP et ayant des antécédents connus de maladie coronarienne peuvent présenter un infarctus du myocarde secondaire au stress sur le cœur. Les patients atteints de TSVP et ayant des antécédents connus d'insuffisance cardiaque peuvent présenter une exacerbation aiguë. Des TSVP fréquentes chez un patient peuvent entraîner une insuffisance cardiaque d'apparition récente secondaire à une cardiomyopathie induite par la tachycardie.[9][1]

Une histoire détaillée du patient avec TSVP doit inclure les antécédents médicaux et cardiaques, le moment de l'apparition des symptômes, les épisodes antérieurs et les traitements. La liste actuelle des médicaments du patient doit être obtenue. Des enquêtes sur la participation à des activités physiques telles que l'exercice ou les sports de plein air doivent être effectuées, car les patients présentant des TSVP symptomatiques évitent de tels passe-temps. Les patients présentant des TSVP doivent subir un examen physique approfondi, y compris les signes vitaux (fréquence respiratoire, pression artérielle, température et fréquence cardiaque), pour évaluer leur stabilité hémodynamique.[10][1]

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont :

Questionnaire

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les symptômes de cette maladie sont :

Examen clinique

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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique permet d'objectiver les signes

Il n'y a pas d'autres signes cliniques objectivables spécifiques à la TSVP.

Examens paracliniques

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Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents sont :

Une composante importante de l'évaluation pour un patient qui présente des signes et des symptômes de TSVP est l'anamnèse et l'examen physique. Ceux-ci devraient inclure les signes vitaux (fréquence respiratoire, pression artérielle, température et fréquence cardiaque), un examen de la liste des médicaments du patient et un électrocardiogramme à 12 dérivations. Au cours d'une évaluation, un professionnel de la santé doit établir si le patient est stable sur le plan hémodynamique et s'il souffre d'une cardiopathie ischémique sous-jacente ou d'une insuffisance cardiaque. La toxicité de la digoxine doit être exclue.[1]

Les prestataires de soins de santé doivent envisager des tests de la fonction thyroïdienne, des tests de la fonction pulmonaire, y compris des analyses de sang de routine, et une échocardiographie dans le cadre de leur évaluation initiale des patients présentant des TSVP symptomatiques.[11][12][1]

Caractéristiques ECG : [1]


  • Tachycardie sinusale avec une fréquence cardiaque supérieure à 100 bpm avec des ondes P normales
  • Tachycardie auriculaire avec une fréquence cardiaque comprise entre 120 et 150 bpm. La morphologie de l'onde P peut être différente du rythme sinusal normal.
  • Tachycardie auriculaire multifocale avec des fréquences cardiaques de 120 à 200 bpm avec 3 morphologies d'ondes P différentes ou plus
  • Flutter auriculaire avec une fréquence cardiaque de 200 à 300 bpm
  • Fibrillation auriculaire avec rythme irrégulièrement irrégulier et pas d'ondes P visibles
  • AVNRT avec une fréquence cardiaque de 150 à 250 bpm, ondes P avant ou dans le complexe QRS, intervalle PR court
  • AVRT avec une fréquence cardiaque comprise entre 150 et 250 bpm, un complexe QRS étroit en conduction orthodromique et un complexe QRS large en conduction antidromique[1]

Histopathologie

Dans la plupart des cas, un examen minutieux chez les patients atteints de TSVP montrera les circuits de réentrée décrits ci-dessus. Aucun résultat histopathologique spécifique n'a été trouvé chez les patients présentant des TSVP secondaires à une activité déclenchée et à une automaticité accrue ou anormale.[13][1]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la classe de maladie est :[1][14][15]

  • Tachycardie auriculaire
  • Tachycardie auriculaire multifocale (MAT)
  • Tachycardie réentrante intra-auriculaire
  • Tachycardie sinusale
  • Tachycardie sinusale inappropriée
  • Tachycardie par réentrée du nœud sino-auriculaire
  • Tachycardie par réentrée nodale auriculo-ventriculaire
  • Tachycardie auriculo-ventriculaire alternative (réentrée)
  • Tachycardie ectopique jonctionnelle
  • Tachycardie jonctionnelle non paroxystique[1]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 
TSVP traité à l'Adénosine

Les traitements suggérés sont les suivants :


Manoeuvre de Valsalva

Le Valsalva induit un ralentissement temporaire de la conduction et de l’activité du nœud sinusal par stimulation des barorécepteurs l’aorte. Ainsi une activation reflexe du tonus vagal et donc inhibition de l’activité sympathique. La coopération du patient est primordiale et le monitoring cardiaque est nécessaire pour confirmer le succès de la manœuvre.

Une revue, Cochrane de 2013 qui comparait le Valsalva aux autres manœuvres vagales ne pouvait conclure à l’efficacité de la technique, cependant l’innocuité de la technique facilite son utilisation.[16]


Massage du Sinus Carotidien

Le massage du sinus carotidien induit lui aussi une diminution de la conduction et de l’activité du nœud sinusal. La pression appliqué sur le bulbe carotidien stimule les barocepteurs qui stimule une augmentation reflexe du tonus vagal et une inhibition sympathique.

Le massage du sinus carotidien est généralement sécuritaire et bien toléré. Il est a noter que les complications peuvent inclure l’hypotension, la bradycardie, les ICT (ischémie cérébrale transitoire), les AVCs, et d’autre arythmies. Ainsi un monitoring adéquat de la pression et l’ECG est nécessaire.


Adénosine Intra-veineuse

L'adénosine agit en active les récepteurs A1 des cellules myocardiques, facilitant la polarisation par perte de potassium via les récepteurs potassium. De plus, une diminution parallèle d’entrée de calcium intracellulaire via une activité antagoniste de l’adénylate cyclase permet de diminuer le rythme sinusal et la conduction du nœud sinusal.[17]

Le temps de demi-vie de l’Adénosine est de moins de 5 secondes, réduisant ainsi le risque d’effet secondaires indésirés.[18]

L’administration rapide d’adénosine intraveineuse en quelques secondes à un site périphérique, suivi d’une purge de tubulure avec de la solution salin 0.9%. La dose initiale est de 6mg intra-veineuse, puis une dose maximale de 12mg si non efficace. Il n’y a pas d’avantages de reprise de dose de 12mg si non efficace. Le vérapamil 5 mg IV ou diltiazem 0,25 à 0,35 mg/kg en injections IV sont des alternatives.[18]


Le traitement de la TSVP chez un patient dépend du type de rythme présent sur l'électrocardiogramme et de la stabilité hémodynamique du patient. Les patients présentant une hypotension, un essoufflement, une douleur thoracique, un choc ou une altération de l'état mental sont considérés comme instables sur le plan hémodynamique et leur évaluation par électrocardiogramme doit être effectuée pour déterminer s'ils sont en rythme sinusal ou non. S'ils ne sont pas en rythme sinusal, ces patients doivent subir une cardioversion synchrone en urgence. S'il est déterminé qu'ils présentent une tachycardie sinusale appropriée, leur étiologie sous-jacente doit être traitée. Pour toute manifestation d'ischémie cardiaque, des bêta-bloquants intraveineux doivent être envisagés. S'ils présentent une tachycardie sinusale inappropriée à l'électrocardiogramme et sont déterminés comme étant hémodynamiquement instables, un traitement par bêta-bloquants intraveineux peut être approprié.[19][20][21][1]

Si, lors de l'évaluation initiale, un patient s'avère hémodynamiquement stable, le traitement du patient dépend de la TSVP spécifique présente sur l'électrocardiogramme. Si l'électrocardiogramme à 12 dérivations montre que le rythme est irrégulier et que les ondes P sont absentes, le patient doit être traité de manière appropriée pour une fibrillation auriculaire. Si le rythme sur l'électrocardiogramme est irrégulier et que des ondes de flutter sont présentes, le patient doit être traité pour un flutter auriculaire. Si le rythme sur l'électrocardiogramme est irrégulier et que plusieurs morphologies d'ondes P sont présentes, le patient doit être traité pour une tachycardie auriculaire multifocale.[22][1]

Chez les patients hémodynamiquement stables et présentant un rythme régulier avec des ondes P visibles sur l'électrocardiogramme, puis une évaluation de la fréquence auriculaire, la relation entre la stimulation auriculaire et ventriculaire, la morphologie de l'onde P et la position de l'onde P dans le rythme cycle est nécessaire. Type de TSVP présent (tachycardie auriculaire, tachycardie auriculaire multifocale, flutter auriculaire, flutter auriculaire avec un bloc variable, tachycardie réentrante intra-auriculaire, tachycardie sinusale, tachycardie réentrante sino-auriculaire, tachycardie réentrante ganglionnaire auriculo-ventriculaire, tachycardie réentrante sino-auriculaire tachycardie jonctionnelle non paroxystique) détermine le traitement.[23][24][1]

Les patients qui sont hémodynamiquement stables et qui ont un électrocardiogramme qui montre un rythme régulier avec des ondes P indétectables, des manœuvres de Valsalva, un massage du sinus carotidien ou de l'adénosine intraveineuse peuvent être utilisés pour ralentir la fréquence ventriculaire ou convertir le rythme en rythme sinusal et ainsi aider au diagnostic . Dans certains cas, l'augmentation de la vitesse du papier de l'électrocardiogramme de 25 mm par seconde à 50 mm par seconde peut également aider. Si l'adénosine intraveineuse ne fonctionne pas, des inhibiteurs calciques intraveineux ou oraux ou des bêta-bloquants doivent être utilisés. Les patients atteints de TSVP doivent également subir une évaluation pour tout syndrome de pré-excitation sous-jacent, et les patients qui échouent au traitement médical ou ceux qui pourraient avoir besoin d'une ablation par cathéter par radiofréquence ont besoin d'une consultation en cardiologie.[25][26][27][1]

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de cette classe de maladie sont :

Si elles ne sont pas identifiées rapidement, des complications symptomatiques telles que syncope, fatigue ou vertiges peuvent survenir. [1]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Dans les cas sans maladie cardiaque structurelle, le pronostic de la TSVP est raisonnablement bon. Pour les patients atteints de cardiopathie structurelle, le pronostic est souvent réservé. L'arythmie peut survenir soudainement et durer de quelques secondes à plusieurs jours. La plupart des patients développent de l'anxiété, un sentiment de malheur, et d'autres peuvent développer un compromis hémodynamique. L'arythmie peut entraîner une insuffisance cardiaque congestive, un infarctus du myocarde et un œdème pulmonaire.[1]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Éduquer les patients à risque pour ce rythme et établir une communication en boucle fermée entre eux et leurs prestataires peut aider à améliorer encore la gestion de ces rythmes. Si disponible, l'éducation du patient doit être fournie en utilisant des ressources familières au patient, y compris des ressources en ligne et des brochures. [1]

Concepts clés

Une TSVP fréquente peut entraîner une cardiomyopathie induite par la tachycardie ; une étude sur des femmes enceintes a révélé que la TSVP au cours du premier au deuxième mois de gestation augmentait les chances que l'enfant développe une communication interauriculaire ostium secundum.[1]

Notes

  1. Origine auriculaire et rythme régulier
    • Tachycardie sinusale
    • Tachycardie sinusale inappropriée
    • Tachycardie sino-auriculaire réentrante ganglionnaire
    • Flutter auriculaire
    Auriculaire d'origine et rythme irrégulier
    • Tachycardie auriculaire multifocale
    • Flutter auriculaire avec bloc variable
    • Fibrillation auriculaire
    Origine du nœud AV et rythme régulier
    • Tachycardie jonctionnelle
    • Tachycardie par réentrée nodale auriculo-ventriculaire
    • Tachycardie par réentrée auriculo-ventriculaire
    Nœud AV à l'origine et rythme irrégulier
    • Aucun

Références

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  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 1,15 1,16 1,17 1,18 1,19 1,20 1,21 1,22 et 1,23 Yamama Hafeez, Bryan S. Quintanilla Rodriguez, Intisar Ahmed et Shamai A. Grossman, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29939521, lire en ligne)
  2. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9426034
  3. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/15851189
  4. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11835934
  5. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/7800009
  6. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11858914
  7. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11055681
  8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/1998282
  9. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23050527
  10. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19046562
  11. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9403161
  12. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9152669
  13. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/6200854
  14. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25828600
  15. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8417081
  16. Gavin D. Smith, Kylie Dyson, David Taylor et Amee Morgans, « Effectiveness of the Valsalva Manoeuvre for reversion of supraventricular tachycardia », The Cochrane Database of Systematic Reviews, no 3,‎ , CD009502 (ISSN 1469-493X, PMID 23543578, DOI 10.1002/14651858.CD009502.pub2, lire en ligne)
  17. L. I. Ganz et P. L. Friedman, « Supraventricular tachycardia », The New England Journal of Medicine, vol. 332, no 3,‎ , p. 162–173 (ISSN 0028-4793, PMID 7800009, DOI 10.1056/NEJM199501193320307, lire en ligne)
  18. 18,0 et 18,1 John D. Ferguson et John P. DiMarco, « Contemporary management of paroxysmal supraventricular tachycardia », Circulation, vol. 107, no 8,‎ , p. 1096–1099 (ISSN 1524-4539, PMID 12615783, DOI 10.1161/01.cir.0000059743.36226.e8, lire en ligne)
  19. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12615783
  20. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/332025
  21. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9403162
  22. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/7898144
  23. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9152672
  24. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/14557344
  25. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23543578
  26. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25297337
  27. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/8124793
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