Syndrome sérotoninergique

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Syndrome sérotoninergique
Maladie
Caractéristiques
Signes Convulsions, Nystagmus , Hyperréflexie, Clonus, Tachycardie , Tachypnée , Désorientation, Rigidité musculaire, Babinski, Peau moite, ... [+]
Symptômes
Confusion, Agitation, Nausées, Anxiété , Altération de l'état conscience, Diarrhée , Vomissement , Diaphorèse
Diagnostic différentiel
Délirium, Encéphalite, Épilepsie, Attaque de panique, Hémorragie intra-crânienne, Sevrage alcoolique, Tempête thyroïdienne, Syndrome malin des neuroleptiques, Toxicité aux sympatomimétiques, Psychose (approche clinique), ... [+]
Informations
Terme anglais Serotonergic syndrome
Autres noms Toxidrome sérotoninergique, Toxicité sérotoninergique, Intoxication aux agents sérotoninergiques
Wikidata ID Q616181
Spécialité Médecine d'urgence

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Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Le syndrome sérotoninergique est le résultat d'une intoxication à des agents sérotoninergiques. Il fait partie des toxidromes observés en toxicologie[1]. [2][3]

Épidémiologie

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Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Il est difficile de connaitre la réelle épidémiologie du syndrome sérotoninergique, car le nombre de cas est souvent sous-estimé. En effet, certains cas sont attribués à d'autres étiologies, tandis que certains cas légers ne sont pas considérés par les cliniciens. Toutefois, au fil des années, on remarque une augmentation de son incidence en raison de l'utilisation accrue d'agents sérotoninergiques. Le syndrome sérotoninergique survient dans tous les groupes d'âge[4].

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Principaux agents sérotoninergiques

Il existe de nombreux agents sérotoninergiques, incluant des médicaments d'ordonnance, des produits de santé naturel ainsi que des drogues illicites. On y retrouve notamment plusieurs antidépresseurs, analgésiques et anticonvulsivants. Par différents mécanismes d'actions, ils peuvent engendrer un syndrome sérotoninergique. Le tableau ci-dessous regroupe les principaux agents sérotoninergiques[5][6][7][8].

Exemples d'agents sérotoninergiques
Catégories d'agent

sérotoninergique

Exemples de molécules
Inhibiteur de la recapture

de la sérotonine (ISRS)

  • Citalopram
  • Escitalopram
  • Fluoxétine
  • Paroxétine
  • Sertaline
  • Trazodone
Inhibiteur de la dopamine et de

la noradrénaline (ISRN)

  • Burpropion
Antidépresseurs tricycliques (ATC)
  • Imipramine
  • Amiptryptiline
  • Desipramine
Inhibiteur de la

monoamine oxydase (IMAO)

  • Phénelzine
  • Tranylcypromine
  • Isocarboxazide
  • Sélégiline
Modulateur autre de la sérotonine
  • Tramadol
  • Fentanyl
  • Métpclopramide
  • Acide valproïque
  • Carbamazépine
  • Cyclobenzaprine
  • Buspirone
  • Dérivés de l'ergot
Produits de santé naturels
  • Millepertuis
  • Tryptophane
Drogues illicites
  • Amphétamines
  • Cocaïne
  • Ecstacy
  • LSD

Étiologies de l'intoxication

Le syndrome sérotoninergique est causé par une intoxication intentionnelle ou accidentelle aux agents sérotoninergiques. L'intoxication accidentelle est plus fréquemment le résultat d'une combinaison de plusieurs agents sérotoninergiques. Elle peut autrement être causée par des interactions médicamenteuses entre différents agents ou par une surdose d'un seul agent sérotoninergique[4]. Chez les patients utilisant chroniquement des agents sérotoninergiques, le syndrome sérotoninergique est plus souvent déclenché par l'ajout d'une nouvelle molécule sérotoninergique que par une surdose d'un des agents de longue date.

Les antidépresseurs, plus précisément les ISRS, sont la classe de médicaments la plus fréquemment impliquée dans le syndrome sérotoninergique en raison de leur utilisation très répandue[4].

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Notions de base sur la sérotonine

La sérotonine, ou 5-hydroxytryptamine (5-HT), est un neurotransmetteur dont le précurseur est le tryptophane. La sérotonine se trouve principalement dans le tractus gastro-intestinal, le système nerveux central et dans les plaquettes sanguines. Elle est métabolisée par la monoamine oxydase au niveau du foie. La sérotonine module l'attention, l'humeur, l'appétit, le sommeil ainsi que certaines fonctions cognitives[9]. La sérotonine régule également la chaleur corporelle, favorise l'agrégation plaquettaire, la contraction utérine, la bronchoconstriction, la vasoconstriction et la motilité gastro-intestinale[10].

Pathophysiologie du syndrome sérotoninergique

Tous les agents sérotoninergiques énumérés dans la section Étiologies plus haut augmentent par divers mécanismes l'activité sérotoninergique au niveau du système nerveux central. Par exemple, les ISRS diminuent la recapture de la sérotonine de la fente synaptique dans le neurone présynaptique, alors que les IMAO inhibent la dégradation de la sérotonine[5]. La hausse de la concentration de sérotonine au niveau des fentes synaptiques stimule alors les récepteurs post-synaptiques 5-HT1A et 5-HT2A et engendre les effets associés au syndrome sérotoninergique[4].

Présentation clinique

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Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Le syndrome sérotoninergique se manifeste principalement par une altération de l'état de consicence, une instabilité autonomique et une activité neuromusculaire augmentée. Les symptômes peuvent varier en sévérité, allant de symptômes légers à potentiellement mortels[4].

Pour ce qui est de l'altération de conscience, on retrouve au questionnaire:

Pour ce qui est l'instabilité autonomique, on remarque:

L'activité neuromusculaire augmentée se constate particulièrement à l'examen physique.

Les symptômes ont tendance à se développer rapidement après l'exposition à l'agent sérotoninergique: 30% des cas développe des symptômes une heure post-exposition et 60% les développe après 6 heures. Presque tous les patients en syndrome sérotoninergique développent des symptômes dans les 24 heures suivant l'exposition[4].

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Les patients chez qui l'on suspecte un syndrome sérotoninergique nécessitent un examen physique complet et minutieux.

Généralement, les signes vitaux révèlent[11]:

À l'examen neurologique, on retrouve[note 1][11]:

À l'examen des téguments, on retrouve une peau moite, tandis qu'à l'examen de l'abdomen, on repère des bruits intestinaux augmentés.

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les investigations paracliniques en contexte de syndrome sérotoninergique permettent surtout de rétrécir le diagnostic différentiel et d'évaluer les conséquences du toxidrome sur l'ensemble des systèmes. Étant donné la présence d'altération de conscience chez ces patients, il est nécessaire de demander un bilan métabolique large incluant[4] :

tests suivants peuvent être utiles pour évaluer les patients atteints du syndrome sérotoninergique et rétrécir le diagnostic différentiel: formule sanguine complète, électrolytes, créatinine et BUN, créatine phosphokinase, transaminases hépatiques, études de coagulation, analyse d'urine, dépistage du médicament, neuroimagerie et ponction lombaire. Aucun test de laboratoire ne confirme le diagnostic, mais les patients peuvent présenter une leucocytose, une créatine phosphokinase élevée et une diminution de la concentration sérique de bicarbonate. Les patients peuvent développer des troubles de la pression artérielle, de la fréquence cardiaque et des troubles du rythme cardiaque, une coagulation intravasculaire disséminée, une rhabdomyolyse, une insuffisance rénale, une acidose métabolique, une myoglobinurie et une insuffisance respiratoire.

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Étant donné qu'il y a tellement de médicaments qui peuvent causer le syndrome sérotoninergique, il est important pour les prestataires de prendre soigneusement l'historique de leurs médicaments lors de l'ajout de nouveaux médicaments.

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Le syndrome sérotoninergique est diagnostiqué cliniquement. Plusieurs critères existent pour poser le diagnostic: Sternbach, Radomski et Hunter. Le test de Hunter est accepté comme le plus précis, mais les critères ont été conçus spécifiquement pour les patients présentant un surdosage IRSS, et non le syndrome sérotoninergique d'autres agents; par conséquent, il peut ne pas révéler la maladie chez les patients présentant des symptômes mineurs. [12][13][4]

Critères de chasseur[4]


Plusieurs critères existent pour faire ce diagnostic clinique, mais les critères de Hunter sont généralement acceptés comme les plus précis. Le diagnostic peut être posé chez les patients ayant des antécédents d'exposition à un médicament sérotoninergique plus un ou plusieurs des éléments suivants: clonus spontané, clonus inductible avec agitation et diaphorèse, clonus oculaire avec agitation et diaphorèse, tremblements et hyperréflexie, hypertonie, température supérieure à 38 C avec clonus oculaire ou inductible.

  • Antécédents d'exposition à un médicament sérotoninergique
  • Plus un ou plusieurs des éléments suivants: [4]


  • clonus spontané
  • clonus inductible avec agitation et diaphorèse
  • clonus oculaire avec agitation et diaphorèse
  • tremblements et hyperréflexie
  • hypertonie
  • température supérieure à 38 C avec clonus oculaire ou inductible [4]

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Les cas bénins de syndrome sérotoninergique, avec des symptômes subtils tels que tremblements ou agitation, sont souvent complètement négligés ou attribués à l'anxiété ou à l'état psychiatrique sous-jacent. Lorsque des symptômes gastro-intestinaux sont présents, les symptômes sont souvent attribués à une intoxication alimentaire ou à la grippe. Les cas graves partagent de nombreuses caractéristiques communes avec le syndrome malin des neuroleptiques (SMN), l'hyperthermie maligne, la toxicité anticholinergique, la toxicité sympathomimétique ou des causes infectieuses telles que la méningite ou l'encéphalite. Le SMN peut provoquer une incontinence urinaire. Des antécédents médicamenteux et des tests diagnostiques soignés aideront à délimiter la cause.[4]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

La prise en charge consiste en l'arrêt immédiat des agents sérotoninergiques, l'hydratation et les soins de soutien pour gérer la pression artérielle, l'hyperpyrexie et les complications respiratoires et cardiaques. La sédation est mieux facilitée avec les benzodiazépines. Les cas réfractaires peuvent répondre à l'antidote, la cyproheptadine, qui doit être administré par voie orale ou par sonde gastrique. L'efficacité de la cyproheptadine n'est pas prouvée, mais de nombreux rapports de cas appuient son utilisation chez les patients qui ne répondent pas à la sédation et aux soins de support. [1-4].

La plupart des cas de syndrome sérotoninergique sont bénins et se résoudront avec l'élimination du médicament incriminé seul. Après l'arrêt de tous les médicaments sérotoninergiques, la prise en charge est largement de soutien et vise à prévenir les complications. Les patients ont souvent besoin d'une sédation, ce qui est mieux facilité avec les benzodiazépines. Les antipsychotiques doivent être évités en raison de leurs propriétés anticholinergiques, qui peuvent inhiber la transpiration et la dissipation thermique. Les signes vitaux doivent être normalisés avec des liquides intraveineux (IV) et des mesures de refroidissement. Les antipyrétiques tels que l'acétaminophène sont inefficaces car une activité musculaire accrue provoque l'hyperthermie dans le syndrome sérotoninergique. Une hyperthermie sévère peut nécessiter une sédation, une paralysie et une intubation pour une ventilation mécanique. L'instabilité autonome peut nécessiter des antihypertenseurs ou des vasopresseurs, selon la présentation, et peut être assez labile et difficile à gérer. Des agents à courte durée d'action tels que l'esmolol sont recommandés si des antihypertenseurs sont nécessaires. La plupart des cas d'hypotension peuvent être gérés avec des liquides IV seuls, mais dans les cas réfractaires, les sympathomimétiques à action directe tels que la phényléphrine, la norépinéphrine et l'épinéphrine sont préférables.[4]

La cyproheptadine est un antagoniste des récepteurs de l'histamine-1 avec des propriétés antagonistes non spécifiques du 5-HT1A et du 5-Ht2A. Bien qu'il n'y ait pas de preuves solides à l'appui de son utilisation, il est largement utilisé comme antidote pour le syndrome sérotoninergique. Les effets secondaires peuvent inclure la sédation, qui peut être souhaitable, et l'hypotension, qui dans la plupart des cas répondra aux liquides IV. La dose initiale habituelle est de 12 mg, suivie de 2 mg supplémentaires toutes les deux heures tant que les symptômes persistent. À mesure que le patient s'améliore, la cyproheptadine est généralement poursuivie à une dose de 8 mg toutes les 6 heures jusqu'à ce que les symptômes disparaissent.

Les patients présentant des signes vitaux anormaux doivent être admis dans un milieu surveillé et les cas graves justifient des soins en unité de soins intensifs.

Suivi

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Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

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Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Évolution

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Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Le syndrome a un large spectre de gravité allant de à peine perceptible à mortel. La plupart des cas de syndrome sérotoninergique disparaîtront complètement dans les 24 à 72 heures sans séquelles s'ils sont reconnus et traités avec élimination de l'agent précipitant et soins de soutien appropriés. Les patients asymptomatiques 6 à 8 heures après un surdosage sont peu susceptibles de développer une toxicité significative. Les IRSS sont rarement associés à la mort, même en cas de surdosage, lorsqu'ils sont utilisés seuls. La plupart des décès associés aux IRSS sont dus à la co-ingestion avec d'autres médicaments. Les décès, lorsqu'ils surviennent, ont tendance à se produire dans les premières 24 heures et sont plus susceptibles de survenir chez les patients sous IMAO que sous IRSS.[4]

Prévention

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Références

__NOVEDELETE__
  1. James Francescangeli, Kunal Karamchandani, Meghan Powell et Anthony Bonavia, « The Serotonin Syndrome: From Molecular Mechanisms to Clinical Practice », International Journal of Molecular Sciences, vol. 20, no 9,‎ (ISSN 1422-0067, PMID 31075831, Central PMCID 6539562, DOI 10.3390/ijms20092288, lire en ligne)
  2. Stephen R. Duma et Victor Sc Fung, « Drug-induced movement disorders », Australian Prescriber, vol. 42, no 2,‎ , p. 56–61 (ISSN 0312-8008, PMID 31048939, Central PMCID 6478951, DOI 10.18773/austprescr.2019.014, lire en ligne)
  3. Ankit Srivastava, Priyanka Singh, Hitesh Gupta et Harpreet Kaur, « Systems Approach to Identify Common Genes and Pathways Associated with Response to Selective Serotonin Reuptake Inhibitors and Major Depression Risk », International Journal of Molecular Sciences, vol. 20, no 8,‎ (ISSN 1422-0067, PMID 31018568, Central PMCID 6514561, DOI 10.3390/ijms20081993, lire en ligne)
  4. 4,00 4,01 4,02 4,03 4,04 4,05 4,06 4,07 4,08 4,09 4,10 4,11 4,12 et 4,13 Leslie V. Simon et Michael Keenaghan, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 29493999, lire en ligne)
  5. 5,0 et 5,1 Andrée-Anne Hudon Thibeault, J. Thomas Sanderson et Cathy Vaillancourt, « Serotonin-estrogen interactions: What can we learn from pregnancy? », Biochimie, vol. 161,‎ , p. 88–108 (ISSN 1638-6183, PMID 30946949, DOI 10.1016/j.biochi.2019.03.023, lire en ligne)
  6. Michael Ott, Julie K. Mannchen, Fariba Jamshidi et Ursula Werneke, « Management of severe arterial hypertension associated with serotonin syndrome: a case report analysis based on systematic review techniques », Therapeutic Advances in Psychopharmacology, vol. 9,‎ , p. 2045125318818814 (ISSN 2045-1253, PMID 30886699, Central PMCID 6413434, DOI 10.1177/2045125318818814, lire en ligne)
  7. Julie Le Mestre, Céline Duparc, Yves Reznik et Fidéline Bonnet-Serrano, « Illicit Upregulation of Serotonin Signaling Pathway in Adrenals of Patients With High Plasma or Intra-Adrenal ACTH Levels », The Journal of Clinical Endocrinology and Metabolism, vol. 104, no 11,‎ 11 01, 2019, p. 4967–4980 (ISSN 1945-7197, PMID 31074783, Central PMCID 6937520, DOI 10.1210/jc.2019-00425, lire en ligne)
  8. Ramesh Hasani, Jahnabee Sarma et Sudha Kansal, « Serotonin Syndrome Induced by Combined Use of Sertraline and Linezolid », Anesthesia, Essays and Researches, vol. 13, no 1,‎ , p. 188–190 (ISSN 0259-1162, PMID 31031504, Central PMCID 6444965, DOI 10.4103/aer.AER_173_18, lire en ligne)
  9. Richard C. Shelton, « Serotonin and Norepinephrine Reuptake Inhibitors », Handbook of Experimental Pharmacology, vol. 250,‎ , p. 145–180 (ISSN 0171-2004, PMID 30838456, DOI 10.1007/164_2018_164, lire en ligne)
  10. Pradhum Ram, Jorge L. Penalver, Kevin Bryan U. Lo et Janani Rangaswami, « Carcinoid Heart Disease: Review of Current Knowledge », Texas Heart Institute Journal, vol. 46, no 1,‎ , p. 21–27 (ISSN 1526-6702, PMID 30833833, Central PMCID 6378997, DOI 10.14503/THIJ-17-6562, lire en ligne)
  11. 11,0 et 11,1 Maude Lebel, « Au royaume des toxidromes », Le Médecin du Québec, vol. 45, no 6,‎ , p. 35-43
  12. Geoffrey Peter Ronan, Nicola Ronan, Siobhan McGettigan et Gemma Browne, « Serotonin syndrome unmasking thyrotoxicosis », BMJ case reports, vol. 12, no 3,‎ (ISSN 1757-790X, PMID 30850570, Central PMCID 6424276, DOI 10.1136/bcr-2018-228404, lire en ligne)
  13. Laura M. Tormoehlen et Daniel E. Rusyniak, « Neuroleptic malignant syndrome and serotonin syndrome », Handbook of Clinical Neurology, vol. 157,‎ , p. 663–675 (ISSN 0072-9752, PMID 30459031, DOI 10.1016/B978-0-444-64074-1.00039-2, lire en ligne)


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