Sujet sur Discussion:Entérocolite nécrosante

Bonjour Laurie,

1) j'ai encore changé la définition dans l'introduction, elle ne reflétait pas tout à fait l'essence de la maladie.

2) j'ai changé l'intro de pathophysio en me fiant au textbook de ped, le Nelson 2020. J'ai aussi introduit le concept de NEC totalis, dont on ne parlait pas.

3) j'ai ajouté d'autres facteurs de risque, j'ai fait deux sections. @Michaël St-Gelais Je ne suis pas capable de faire un modèle facteur de risque qui soit aussi un hyperlien vers un de nos articles déjà existant, exemple ici : gastroschisis, Hirschprung

4) paraclinique : j'ai ajouté la glycémie. D'ailleurs, le métabolisme des nouveaux nés étant très fragile, dans tout sepsis néonatal, la glycémie est très labile et on la dose fréquemment.

5) j'ai mis une intro à la section traitement et une intro explicative aussi dans la section prise en charge chirurgicale. Dans ce genre de pathologie, on doit établir des critères rapides pour déterminer s'il y a échec au traitement médical AVANT qu'il ne soit trop tard pour aller en chirurgie. Auquel cas, parfois, l'opération est futile car le patient est dans une cascade dangereuse (hypothermine, coagulopathie, acidose profonde ....). J'ai donc commencé la section chirurgie avec les critères opératoires plutôt que les techniques. J'ai conclu avec le head-to-head des deux procédures afin d'aiguiller le choix opératoire ou non, littérature à l'appui.

6) complication : je ne dirais pas que la chirurgie a un taux de mortalité de 50%, mais plutôt que rendu là, le taux de décès est de 50%. c'est subtile comme nuance, mais pour le consentement opératoire, ça change tout ! Exemple : on rencontre les parents pour leur dire que leur enfant a 50% de mourir suite à la chirurgie, vs leur enfant a 50% de risque de décès si on n'opère pas. Ce n'est pas de la chirurgie dont il décède, mais de la maladie en elle-même.

Voilà ! j'ai terminé ! Je vais aller réviser sous peu ton article d'atrésie.

Bonne soirée ! Dre Milot