@Michaël St-Gelais, j'ai ajouté la section comorbidités tel que suggéré dans Sujet:Xwv3xeo4mazmiy8o.
Ton avis svp avant que je l'ajoute aussi à Classe:Classe de maladie.
Non modifiable
La discussion précédente a été archivée dans Discussion Wikimedica:Ontologie/Maladie/Archive 1 le 2018-09-10.
@Michaël St-Gelais, j'ai ajouté la section comorbidités tel que suggéré dans Sujet:Xwv3xeo4mazmiy8o.
Ton avis svp avant que je l'ajoute aussi à Classe:Classe de maladie.
Merci pour l'ajout.
Pas sûr que c'est une bonne idée par contre de mettre une courte description des symptômes de la comorbidité. Ça m'apparait non nécessaire.
Pour ton exemple, ça donnerait ceci.
Les comorbidités de la dyspepsie fonctionnelle sont :
Aussi, y a-t-il une raison pour laquelle tu l'as mis après l'examen clinique plutôt qu'après les facteurs de risque ? Naturellement, j'ai envie de le mettre juste après les facteurs de risque.
Dans les commentaires, j'expliquerais la différence entre étiologie, facteur de risque, comorbidité et diagnostic différentiel. J'ajusterais également les autres sections commentaires pour en tenir compte.
La courte description c'est pour encourager à garder l'oeil ouvert. Pour la dyspepsie fonctionnelle, c'est d'une pertinence limitée, mais pense à la PMR dans l'artétrite temporale (et vice-versa), ou les arthrites assoicées aux MII. Il y a des comorbidités importantes qu'il ne faut pas manquer.
La raison pour laquelle je l'ai mise à la fin, c'est parce qu'il y a des éléments de questionnaire et d'examen clinique qui devraient mettre sur la piste de comorbidités. C'est pour ne pas distraire le lecteur avec des signes et symptômes qui ne sont pas forcément en lien avec la maladie principale. C'est discutable.
Ceci dit, ne trouves-tu pas que ce serait plus logique que cette section soit une sous-section des Complications ou sa propre section mais après les examens paracliniques ?
Il y a des comorbidités qui n'ont pas de signes ou de symptômes et que l'on retrouvera seulement lors des examens paracliniques. Pensons par exemple à tous les trucs que l'on retrouve plus fréquemment dans les syndromes (genre la trisomie 21 et les malformations cardiaques).
Nous préférons conserver « Questionnaire » comme nom de section.
@Antoine Mercier-Linteau, les psychiatres du RNETSA remettent le nom de cette section en question pour Anamnèse.
Mon opinion : Anamnèse est un terme légèrement plus complexe. Je trouve que pour des étudiants francophones en dehors d'Europe et du Québec, c'est peut-être un peu intense comme nom ? Ceci dit, c'est probablement plus précis. Les psychiatres sont très précis dans les choix des mots qu'ils utilisent généralement. ;)
En effet. J'avoue que c'est très dans le technique et pas forcément partagé par toute la francophone.
On peut certainement créer un alias pour donner aux éditeurs la possibilité de l'utiliser.
Question d'uniformité sur le wiki, est-ce que ça vaut la peine d'ajouter un alias ? C'est la question que je me pose.
Avec le temps, on a une « signature visuelle » en lien avec les articles.
On garde questionnaire ?
Je crois que c'est mieux.
Idée à mûrir. Pour l'instant, nous ne ferons pas de section population particulière sur les pages de maladie.
@Michaël St-Gelais, je me demande comment on pourrait traiter les populations particulières dans nos pages de maladie (enfants, femmes enceintes, etc.) Prend l'exemple de la page sur la PNA.
Une section ?
Un modèle ?
En englobant ça dans un modèle (p. ex: {{Particularié|groupe=grossesse|texte=Un suivi de la culture d'urine est nécéssaire 1 semaine après le traitement antibiotique.}}
), ça pourrait permettre aux utilisateurs de masquer certains blocs de texte (genre, ceux qui ne traitent jamais d'enfants).
On pourrait même utiliser ce modèle pour montrer ou cacher certains éléments d'information selon si le lecteur vient du Québec ou de France.
Tant qu'à moi, si une page contient trop de particularités, elle devrait fait l'objet d'une page totalement à part (PNA adulte, PNA enfant), un peu comme RGO nourrisson et RGO.
Pour les particularités qui peuvent être présentées dans une page, je laisserais le soin aux éditeurs de le mettre de la manière appropriée selon le contexte.
Je n'aurais pas tendance à montrer/cacher des éléments d'info selon le lieu géographique. Ça sera un enfer à entretenir.
En regardant l'interface de Pathway j'ai trouvé pas mal plus ergonomique d'avoir les cas spécifiques mis en évidence, beaucoup plus facile à naviguer sur un téléphone.
On le fait d'ailleurs déjà un peu pour les pages d'approche clinique en ayant un session dédié.
Les éditeurs seront libres de disposer les particularités où ils veulent dans la page. Par un modèle, on va leur donner une manière de les mettre en évidence.
À mûrir. Essaie d'imaginer cette manière de faire lorsque tu navigues le wiki en clinique.
Pour la modulation de l'information selon le lieux géographique, je crois au contraire que ça va en faciliter l'entretien. Le besoin n'est pas là en ce moment par contre.
@Michaël St-Gelais, les co-morbidités, on:
Peux-tu me donner un exemple dans lequel ce serait pertinent de le mettre ?
Voici une définition de la comorbidité :
Le gros problème à l'horizon, ce sera de bien expliquer la différence entre ces deux concepts aux éditeurs. Mais c'est une question pertinente.
En lisant ces définitions, j'aurais tendance à mettre ça dans complications, vu que c'est un peu un concept en lien avec l'histoire naturelle d'une maladie.
Effectivement, expliquer la différence entre co-morbidité et complication ne sera pas une mince affaire. Il faudra s'aider d'une sous-section distincte je pense.
Probablement en effet. Je suis d'accord avec ton analyse. Les comorbidités sont des maladies ou des états qui augmentent le risque de développer une forme sévère ou des complications de la maladie. Je définirais ça à peu près comme ça.
Mais par exemple, dans la Fracture de Segond, est-ce qu'on peut dire que la rupture du LCA est co-morbide?
Je dirais que non. La fracture de Segond n'augmente pas le risque de développer une forme sévère ou des complications de la rupture du LCA. Ça ne correspond pas à la définition.
La fracture de Segond est un signe paraclinique radiologique de la rupture du LCA.
Comment pourrait-on indiquer que les deux sont associés de manière sémantique?
À ce titre, je crois qu'on doit réviser notre définition. Co-morbidité ne serait pas qu'un risque de développer des complications. Par exemple, le symdrome métabolique et la schizophrénie, qui est oui cause par les antipsychotiques, mais aussi par des facteurs psychosociaux.
Les associations sont fréquentes en orthopédie. Par exemple, 15% des fractures de la malléolle interne sont accompagnés de fracture de Maisonneuve.
Est-ce qu'une balise association dans la section Complications ferait le travail?
Je comprends ce que tu veux dire, mais ce ne sont pas des associations de la même nature.
Bref, je crois qu'il y aurait de la place pour quelques nouvelles balises.
J'ai envoyé un courriel à Michel Cauchon pour lui poser la question. Voyons voir s'il répond.
Toujours pas de réponse de Michel Cauchon ? Sur la page de la MAP, j'aimerais bien indiquer que la MCAS et la maladie cérébro-vasculaire est co-morbide.
Non mais je l'ai vu à l'épicerie la semaine passée et il a pris des nouvelles du projet. C'est probablement un excellent moment pour lui renvoyer un courriel avec mon adresse personnelle. Je fais ça à l'instant.
Les modifications proposées lors du CA de décembre 2021 ont été mis en place.
@Antoine Mercier-Linteau, je veux implémenter ce qui a été décidé en CA par rapport à DDx vs approche clinique. Voici ce qu'on a pour les deux sections actuellement.
Description: | Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement. |
Formats: | Texte, Liste à puces, Tableau |
Balises sémantiques: | |
Commentaires: |
|
Exemple: | |
Description: | Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic. |
Formats: | Liste à puces |
Balises sémantiques: | Diagnostic différentiel |
Commentaires: |
|
Exemple: | Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
|
Pour la description de l'Approche clinique, je trouve ça ok. Pour la description du ddx, je crois que c'est là qu'il faut modifier un peu. J'avais écrit :
Si vous désirez décrire des caractéristiques essentielles pour différencier la maladie dont vous êtes en train de traiter d'autres maladies, ceci a plutôt sa place dans la section d'Approche clinique. Par exemple, si vous voulez décrire les signes et les symptômes clés pour différentier l'infarctus du myocarde du pneumothorax sur la page du pneumothorax, ceci a sa place soit 1) sur la page d'approche clinique Douleur thoracique 2) dans la section Approche clinique du pneumothorax/infarctus.
Je remplacerais ce point par les trois points suivants.
Parfait, je corrigerais juste la formulation du dernier point:
Pour élaborer sur les différents diagnostics différentiels et comment les distinguer (quels éléments rechercher, ce qu'il faut éliminer, les examens paracliniques), servez-vous de la section Approche clinique.
J'ai modifié ceci après une période de repos.
Mieux ?
Afin de garder le paragraphe court, ne voudrait-ton pas donner les exemples dans la section Exemple?
Genre:
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
- l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
- l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
- la grossesse ectopique [diagnostic différentiel]
- la cystite [diagnostic différentiel].
- la bronchiolite [diagnostic différentiel].
Pour différencier la bonchiolite de l'asthme, il faut débuter par le questionnement du patient, car les facteurs de risques ....(ce genre d'explication va dans la section Approche clinique)
Je ferais les deux !
Pas nécessaire d'un point de vue sémantique.
@Michaël St-Gelais, il serait intéressant de spécifier sur les pages de maladie si on est en présence d'un diagnostic clinique ou non. C'est quelque chose de disponible sur BMJ Best Practice (exemple) et je trouve ça pratique.
Est-ce qu'on pourrait spécifier ça dans la section examen paracliniques? Diagnostic? Avec une donnée sémantique?
Dans la section Diagnostic, ça m'apparait approprié. Par contre, au-delà de l'intérêt, est-ce nécessaire ? Les gens vont le dire de toute façon au travers du texte. Y a-t-il un bienfait du point de vue sémantique ? Si les indications des examens paracliniques sont pour éliminer des complications, c'est tout de même assez implicite.
Est-ce qu'on ajouterait la contre-partie diagnostic clinique, diagnostic biochimique, diagnostic génétique, diagnostique radiologique, diagnostique histopathologique ?
Ouais ... j'ai muri le sujet et c'est peut être pas indiqué d'un point de vue sémantique. Les éditeurs pourront le mentionner dans la section approche clinique.
Implémenté.
@Antoine Mercier-Linteau, tel que discuté précédemment, j'ai ajouté dans les descriptions ce à quoi on s'attend (texte vs liste à puce). Ça te va ?
Je me disais qu'on pourrait le définir comme propriété de manière à ce que ce soit plus directement explicité:
{{#subobject: |ontologie_section_nom=Étiologies |ontologie_section_obligatoire=0 |ontologie_section_description=Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas nécessairement synonymes. |ontologie_section_définie_par=Maladie |subobject_type=ontologie_section |ontologie_section_position=3 |ontologie_section_format=liste |ontologie_section_propriétés=Étiologies }}
On pourrait également en profiter pour sortir les propriétés sémantiques du texte et les afficher plus clairement.
De cette manière aussi, un éventuel système de vérification pourra confirmer que les sections contiennent les bonnes propriétés et sont bel et bien au format liste lorsque requis.
Bonne idée ! Ça va apparaître de quelle manière concrètement ? De toute manière, c'est une bonne idée de le mettre dans les propriétés, car on va finir par définir chacune des sections de chacune des pages pour soit liste ou texte.
Agent causal supprimé car le modèle étiologie englobe l'agent causal. Conséquemment, cette propriété est superflue.
@Antoine Mercier-Linteau, le modèle Agent causal n'existe pas. Est-il nécessaire de l'avoir dans les propriétés ? Quelle est la différence pour toi entre Étiologie et Agent causal ? Pour moi, l'agent causal est un cas particulier de l'étiologie. Que dirais-tu de garder seulement Étiologie ?
Je suis complètement d'accord, je comptais le supprimer.
@Antoine Mercier-Linteau On avait pensé aux facteurs de risque. Mais les facteurs de protection, ce serait intéressant de les avoir en données sémantiques. Est-ce qu'on crée un nouveau modèle ou on adapte le modèle Facteurs de risque ?
Voir par exemple : Utilisateur:Elisabeth Rajotte/Brouillons/Carie dentaire.
Bonne idée!
Peut-être qu'un facteur de protection peut être un Facteur de risque avec comme modificateur Pas de? Quoique dans le cas de la carie dentaire, ça se mêle pas mal avec la prévention.
Les facteurs de protection pourraient être considérés comme étant fondamentalement non modifiables, genre le sexe féminin pour la MCAS.
Il faut que je me mettes sérieusement sur les modificateurs...
Je pense qu'on est rendu là. Surtout si cet hiver on recrute des nouveaux pour l'écriture des pages, il faudrait qu'on ait mis en place aussi les données épidémiologiques, questions de les partir sur la bonne voie dès le début.
La section Questionnaire pourra contenir des propriétés de type Signe clinique pour autant que les bons modificateurs lui soient appliqués.
@Michaël St-Gelais, la cyanose et l'hypotonie sont des signes cliniques, mais dans le contexte du BRUE, ils sont mis en évidence au questionnaire et non à l'examen physique. On les est définit donc comme symptômes.
Je propose donc que la balise sémantique de type Symptôme puisse contenir autant des Symptômes que des Signes cliniques.
Est-ce qu'en réalité l'hypotonie et la cyanose seraient des signes cliniques objectivés par des tiers ? Si je te dis que j'ai des crépitants à l'auscultation, est-ce que ça en fait des symptômes ? :P
Dans ce cas-ci, les tiers seraient les parents du nouveau-né, donc pas fiables. Si tu me dis qu'un patient a des crépitants, je te crois car tu es un professionnel. Quoique légalement cela ne me dispense pas d'aller objectiver le signe moi-même.
Les trucs qui me chicotent:
La cyanose et l'hypotonie, on ne pourrait pas mettre ça dans les signes mais d'ajouter que c'est autorésolutif comme modificateur ou bien que c'est objectivé par les parents seulement ?
C'est vrai que ya plusieurs signes et symptômes qui sont sur la ligne entre les deux. Comment traite-t-on la fièvre ? C'est un signe et un symptôme...
La fièvre est objectivable. Les signes sont pour beaucoup aussi sources de symptômes, pense à un bras déformé par une fracture, du péritonisme, etc.
Mais oui, pour la cyanose et l'hypoxie, il faudra spécifier que c'est autorésolutif.
La fièvre est objectivable, mais la cyanose aussi. La dyspnée, c'est subjectif, mais la tachypnée, c'est objectif. Je dirais que les frissons sont le symptôme, et la fièvre est un signe clinique, car mesurable.
Pour le BRUE de manière spécifique, je mettrais la cyanose dans les signes cliniques, et je rajouterais comme spécificateur par les parents ou à l'histoire.
Définis comme Signes cliniques dans la section Questionnaire? Ça m'irait.
Réellement, le système se fout un peu dans quelle section se trouve quelle balise sémantique. Donc on pourrait dire qu'il est permis de mettre des signes cliniques (avec modificateurs) dans la section Questionnaire.
Ah ok ! Ça m'irait. On met le modèle « Signe clinique » dans la section « Questionnaire ».