Discussion Classe:Maladie

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La discussion précédente a été archivée dans Discussion Wikimedica:Ontologie/Maladie/Archive 1 le 2018-09-10.

Section comorbidités

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Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)
Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Merci pour l'ajout.

Pas sûr que c'est une bonne idée par contre de mettre une courte description des symptômes de la comorbidité. Ça m'apparait non nécessaire.

Pour ton exemple, ça donnerait ceci.

Les comorbidités de la dyspepsie fonctionnelle sont :

  • le RGO (30%) [comorbidité]
  • le SCI [comorbidité].

Aussi, y a-t-il une raison pour laquelle tu l'as mis après l'examen clinique plutôt qu'après les facteurs de risque ? Naturellement, j'ai envie de le mettre juste après les facteurs de risque.

Dans les commentaires, j'expliquerais la différence entre étiologie, facteur de risque, comorbidité et diagnostic différentiel. J'ajusterais également les autres sections commentaires pour en tenir compte.

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

La courte description c'est pour encourager à garder l'oeil ouvert. Pour la dyspepsie fonctionnelle, c'est d'une pertinence limitée, mais pense à la PMR dans l'artétrite temporale (et vice-versa), ou les arthrites assoicées aux MII. Il y a des comorbidités importantes qu'il ne faut pas manquer.

La raison pour laquelle je l'ai mise à la fin, c'est parce qu'il y a des éléments de questionnaire et d'examen clinique qui devraient mettre sur la piste de comorbidités. C'est pour ne pas distraire le lecteur avec des signes et symptômes qui ne sont pas forcément en lien avec la maladie principale. C'est discutable­.

Ceci dit, ne trouves-tu pas que ce serait plus logique que cette section soit une sous-section des Complications ou sa propre section mais après les examens paracliniques ?

Il y a des comorbidités qui n'ont pas de signes ou de symptômes et que l'on retrouvera seulement lors des examens paracliniques. Pensons par exemple à tous les trucs que l'on retrouve plus fréquemment dans les syndromes (genre la trisomie 21 et les malformations cardiaques).

Anamnèse vs questionnaire

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Résumé par Michaël St-Gelais

Nous préférons conserver « Questionnaire » comme nom de section.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

@Antoine Mercier-Linteau, les psychiatres du RNETSA remettent le nom de cette section en question pour Anamnèse.

Mon opinion : Anamnèse est un terme légèrement plus complexe. Je trouve que pour des étudiants francophones en dehors d'Europe et du Québec, c'est peut-être un peu intense comme nom ? Ceci dit, c'est probablement plus précis. Les psychiatres sont très précis dans les choix des mots qu'ils utilisent généralement. ;)

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

En effet. J'avoue que c'est très dans le technique et pas forcément partagé par toute la francophone.

On peut certainement créer un alias pour donner aux éditeurs la possibilité de l'utiliser.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Question d'uniformité sur le wiki, est-ce que ça vaut la peine d'ajouter un alias ? C'est la question que je me pose.

Avec le temps, on a une « signature visuelle » en lien avec les articles.

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

On garde questionnaire ?

Je crois que c'est mieux.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Oui clairement. D'accord.

Populations particulières

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Résumé par Michaël St-Gelais

Idée à mûrir. Pour l'instant, nous ne ferons pas de section population particulière sur les pages de maladie.

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

@Michaël St-Gelais, je me demande comment on pourrait traiter les populations particulières dans nos pages de maladie (enfants, femmes enceintes, etc.) Prend l'exemple de la page sur la PNA.

Une section ?

Un modèle ?

En englobant ça dans un modèle (p. ex: {{Particularié|groupe=grossesse|texte=Un suivi de la culture d'urine est nécéssaire 1 semaine après le traitement antibiotique.}}), ça pourrait permettre aux utilisateurs de masquer certains blocs de texte (genre, ceux qui ne traitent jamais d'enfants).

On pourrait même utiliser ce modèle pour montrer ou cacher certains éléments d'information selon si le lecteur vient du Québec ou de France.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Tant qu'à moi, si une page contient trop de particularités, elle devrait fait l'objet d'une page totalement à part (PNA adulte, PNA enfant), un peu comme RGO nourrisson et RGO.

Pour les particularités qui peuvent être présentées dans une page, je laisserais le soin aux éditeurs de le mettre de la manière appropriée selon le contexte.

Je n'aurais pas tendance à montrer/cacher des éléments d'info selon le lieu géographique. Ça sera un enfer à entretenir.

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

En regardant l'interface de Pathway j'ai trouvé pas mal plus ergonomique d'avoir les cas spécifiques mis en évidence, beaucoup plus facile à naviguer sur un téléphone.

On le fait d'ailleurs déjà un peu pour les pages d'approche clinique en ayant un session dédié.

Les éditeurs seront libres de disposer les particularités où ils veulent dans la page. Par un modèle, on va leur donner une manière de les mettre en évidence.

À mûrir. Essaie d'imaginer cette manière de faire lorsque tu navigues le wiki en clinique.

Pour la modulation de l'information selon le lieux géographique, je crois au contraire que ça va en faciliter l'entretien. Le besoin n'est pas là en ce moment par contre.

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

@Michaël St-Gelais, les co-morbidités, on:

  • les mets avec les facteurs de risques ? complications ?
  • on les spécifie avec une balise sémantique propre ?
  • on leur crée leur propre section dans Complications ?
Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Peux-tu me donner un exemple dans lequel ce serait pertinent de le mettre ?

Voici une définition de la comorbidité :

  • « Association de deux maladies, psychiques ou physiques, fréquemment observée dans la population (sans causalité établie, contrairement aux complications) ; état qui en résulte »
  • En médecine, le terme "comorbidité" désigne la présence de maladies et/ou divers troubles aigus ou chroniques s'ajoutant à la maladie initiale (par exemple : avoir du diabète et de l'hypertension, avoir du diabète et être infecté par la Covid-19). À noter que ces maladies "secondaires" peuvent être directement dues à la première ou ne pas avoir de liens apparents avec celle-ci ou en être la conséquence, ou même partager les mêmes facteurs de risque. Pour donner un exemple, le diabète est une maladie présentant une forte comorbidité : il est fréquent que d'autres maladies y soient associées. Selon l'OMS "la prévalence du diabète chez les schizophrènes est d'environ 15%, contre 2% à 3% dans la population générale". En psychologie, le terme revêt un sens différent. Il est ainsi appliqué lorsque plusieurs diagnostics sont émis pour le même individu. Le malade peut pourtant très bien n'avoir qu'une seule maladie mentale. La complexité de son cas empêche simplement de poser un diagnostic simple. Distinguer "comorbidités" et "multimorbidités" La multimorbidité se définit par l'association de plusieurs maladies chez une même personne, sans référence à une pathologie index particulière. Par exemple : les cardiopathies ischémiques, la dépression, le cancer bronchique sont des comorbidités fréquentes chez un malade atteint de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Le malade qui souffre d'une BPCO, d'une cardiopathie ischémique, d'une dépression a une multimorbidité.
Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Le gros problème à l'horizon, ce sera de bien expliquer la différence entre ces deux concepts aux éditeurs. Mais c'est une question pertinente.

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

En lisant ces définitions, j'aurais tendance à mettre ça dans complications, vu que c'est un peu un concept en lien avec l'histoire naturelle d'une maladie.

Effectivement, expliquer la différence entre co-morbidité et complication ne sera pas une mince affaire. Il faudra s'aider d'une sous-section distincte je pense.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Probablement en effet. Je suis d'accord avec ton analyse. Les comorbidités sont des maladies ou des états qui augmentent le risque de développer une forme sévère ou des complications de la maladie. Je définirais ça à peu près comme ça.

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

Mais par exemple, dans la Fracture de Segond, est-ce qu'on peut dire que la rupture du LCA est co-morbide?

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Je dirais que non. La fracture de Segond n'augmente pas le risque de développer une forme sévère ou des complications de la rupture du LCA. Ça ne correspond pas à la définition.

La fracture de Segond est un signe paraclinique radiologique de la rupture du LCA.

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

Comment pourrait-on indiquer que les deux sont associés de manière sémantique?

À ce titre, je crois qu'on doit réviser notre définition. Co-morbidité ne serait pas qu'un risque de développer des complications. Par exemple, le symdrome métabolique et la schizophrénie, qui est oui cause par les antipsychotiques, mais aussi par des facteurs psychosociaux.

Les associations sont fréquentes en orthopédie. Par exemple, 15% des fractures de la malléolle interne sont accompagnés de fracture de Maisonneuve.

Est-ce qu'une balise association dans la section Complications ferait le travail?

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Je comprends ce que tu veux dire, mais ce ne sont pas des associations de la même nature.

  • La fracture de Segond est une maladie qui est un signe paraclinique de la rupture du LCA.
    • Un peu comme la péricardite est un signe clinique ou un symptôme du lupus.
      • Le lupus n'est pas une complication de la péricardite.
      • La péricardite n'est pas une complication du lupus.
      • La péricardite est causée par le lupus.
      • Le lupus peut provoquer des symptômes de péricardite.
        • Parlerait-on alors de complication ? Pas certain, car les sérosites ne sont pas des complications du lupus, mais bien une manifestation clinique du lupus.
  • Syndrome métabolique et schizophrénie
    • Le schizophrénie est un facteur de risque du syndrome métabolique.
    • Le syndrome métabolique est un effet secondaire/effet indésirable de la prise d'antipsychotique qui est la conséquence de la schizophrénie.
    • Il y a aussi le fait qu'il y a des liens entre la sz et le syndrome métabolique qui ne sont pas expliqué par les éléments ci-haut.
  • Fracture de la malléole interne et fracture de maisonneuve
    • Pourrait-on considérer que la fracture de maisonneuve complique la fracture de la malléole interne 15 % du temps ? Pas certain.
    • Pourrait-on considérer que la fracture de la malléole interne complique la fracture de maisonneuve ? Pas certain.
    • C'est vrai que c'est une maladie qui se présente en même temps, mais il ne s'agit pas vraiment d'une complication, alors il faudrait présenter cette information ailleurs. C'est proche des facteurs de risque en termes de définition.
  • Pour la définition de la comorbidité, je ne commencerais pas à se concocter une définition maison, mais bien de prendre ce qui est reconnu comme définition.
    • « Association de deux maladies, psychiques ou physiques, fréquemment observée dans la population (sans causalité établie, contrairement aux complications) ; état qui en résulte »
      • Donc deux maladies qui existent sans lien de causalité.
    • En médecine, le terme "comorbidité" désigne la présence de maladies et/ou divers troubles aigus ou chroniques s'ajoutant à la maladie initiale (par exemple : avoir du diabète et de l'hypertension, avoir du diabète et être infecté par la Covid-19). À noter que ces maladies "secondaires" peuvent être directement dues à la première ou ne pas avoir de liens apparents avec celle-ci ou en être la conséquence, ou même partager les mêmes facteurs de risque. Pour donner un exemple, le diabète est une maladie présentant une forte comorbidité : il est fréquent que d'autres maladies y soient associées. Selon l'OMS "la prévalence du diabète chez les schizophrènes est d'environ 15%, contre 2% à 3% dans la population générale". En psychologie, le terme revêt un sens différent. Il est ainsi appliqué lorsque plusieurs diagnostics sont émis pour le même individu. Le malade peut pourtant très bien n'avoir qu'une seule maladie mentale. La complexité de son cas empêche simplement de poser un diagnostic simple. Distinguer "comorbidités" et "multimorbidités" La multimorbidité se définit par l'association de plusieurs maladies chez une même personne, sans référence à une pathologie index particulière. Par exemple : les cardiopathies ischémiques, la dépression, le cancer bronchique sont des comorbidités fréquentes chez un malade atteint de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Le malade qui souffre d'une BPCO, d'une cardiopathie ischémique, d'une dépression a une multimorbidité.
    • OQLF : Facteur important, tel que l'obésité, le diabète, l'insuffisance rénale, l'hypertension artérielle, une bronchite chronique, l'emphysème, le tabagisme ou une cardiopathie, qui n'est pas lié à la maladie pour laquelle une personne reçoit des soins, mais qui a des conséquence sur les chances de survie du malade.  
    • Wikipédia :
      • les morbidités associées sont des maladies intercurrentes qui peuvent être indépendantes du motif d'admission (exemple : un cancer de la prostate pour un patient venant pour une fracture du fémur, une obésité morbide, une infection VIH, etc.)
    • Le mot comorbidité est de la famille du mot latin morbus, qui veut dire « maladie ». Dans la même famille, on trouve aussi morbide, morbidité. Le mot morbidité désigne le fait d’être malade. Le taux de morbidité est le pourcentage de personnes malades dans une population. Comorbidité est apparu en français dans les années 1970. Il est formé à partir de morbidité et du préfixe co-, qui exprime une idée de simultanéité, de concomitance.
    • Wiktionnaire
      • (Médecine) Présence simultanée chez quelqu’un de plusieurs troubles ou de plusieurs diagnostics, pouvant découler d’une maladie initiale.
        • le diabète est une maladie présentant une forte comorbidité : il est fréquent que d'autres maladies y soient associées. — (sante-medecine.journaldesfemmes.com, 2016.)
        • D’une manière générale, les patients présentant une comorbidité entre trouble addictologique et trouble mental sont à risque de ne pas être diagnostiqués pour l’une des deux conditions. — (www.revmed.ch, Alcool et comorbidités psychiatriques pour le praticien, 2011.)
        • De plus, le vaccin semble fonctionner chez l’ensemble des sous-populations étudiées, incluant les personnes âgées, les minorités ethniques et les personnes présentant des comorbidités (diabète, maladie cardiovasculaire) qui les rendent à haut risque de développer des formes graves de COVID-19. — (Richard Béliveau, Une arme de plus dans notre guerre au coronavirus, Le Journal de Montréal, 17 novembre 2020)
      • Pas certain que wiktionnaire ait raison !

Bref, je crois qu'il y aurait de la place pour quelques nouvelles balises.

  • facteur protecteur (voir Sujet:Vu9ua3uqm2it7e4f) --> à mettre dans la section actuelle Facteurs de risque ?
  • comorbidité --> à ajouter dans la section « facteurs de risque » ?
  • Renommer la section facteurs de risque pour « association » ??
    • Comme ça, ça regrouperait mieux facteur de risque + facteur protecteur + comorbidité
Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

J'ai envoyé un courriel à Michel Cauchon pour lui poser la question. Voyons voir s'il répond.

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

Toujours pas de réponse de Michel Cauchon ? Sur la page de la MAP, j'aimerais bien indiquer que la MCAS et la maladie cérébro-vasculaire est co-morbide.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Non mais je l'ai vu à l'épicerie la semaine passée et il a pris des nouvelles du projet. C'est probablement un excellent moment pour lui renvoyer un courriel avec mon adresse personnelle. Je fais ça à l'instant.

Approche clinique vs diagnostic différentiel

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Résumé par Michaël St-Gelais

Les modifications proposées lors du CA de décembre 2021 ont été mis en place.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

@Antoine Mercier-Linteau, je veux implémenter ce qui a été décidé en CA par rapport à DDx vs approche clinique. Voici ce qu'on a pour les deux sections actuellement.

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 
La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
  • Si vous désirez décrire des caractéristiques essentielles pour différencier la maladie dont vous êtes en train de traiter d'autres maladies, ceci a plutôt sa place dans la section d'Approche clinique. Par exemple, si vous voulez décrire les signes et les symptômes clés pour différentier l'infarctus du myocarde du pneumothorax sur la page du pneumothorax, ceci a sa place soit 1) sur la page d'approche clinique Douleur thoracique 2) dans la section Approche clinique du pneumothorax/infarctus.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel]
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Pour la description de l'Approche clinique, je trouve ça ok. Pour la description du ddx, je crois que c'est là qu'il faut modifier un peu. J'avais écrit :

Si vous désirez décrire des caractéristiques essentielles pour différencier la maladie dont vous êtes en train de traiter d'autres maladies, ceci a plutôt sa place dans la section d'Approche clinique. Par exemple, si vous voulez décrire les signes et les symptômes clés pour différentier l'infarctus du myocarde du pneumothorax sur la page du pneumothorax, ceci a sa place soit 1) sur la page d'approche clinique Douleur thoracique 2) dans la section Approche clinique du pneumothorax/infarctus.

Je remplacerais ce point par les trois points suivants.

  • Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants qui permettent de différencier la maladie que vous traitez sur la présente page de chaque diagnostic différentiel (voir exemple). Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse. Si c'est plus long, vous pourriez utiliser les notes de bas de page.
  • La section Approche clinique peut également être approprié pour développer sur la manière de distinguer deux diagnostics entre eux. Par exemple, sur la page de l'asthme, il peut être approprié d'écrire un paragraphe entier dans la section Approche clinique sur la manière de distinguer ces deux diagnostics entre eux.
Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

Parfait, je corrigerais juste la formulation du dernier point:

Pour élaborer sur les différents diagnostics différentiels et comment les distinguer (quels éléments rechercher, ce qu'il faut éliminer, les examens paracliniques), servez-vous de la section Approche clinique.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

J'ai modifié ceci après une période de repos.

  • Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique. Par exemple, si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer l'asthme de la bronchiolite, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.

Mieux ?

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

Afin de garder le paragraphe court, ne voudrait-ton pas donner les exemples dans la section Exemple?

Genre:

Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :

  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel]
  • la cystite [diagnostic différentiel].
  • la bronchiolite [diagnostic différentiel]. Pour différencier la bonchiolite de l'asthme, il faut débuter par le questionnement du patient, car les facteurs de risques .... (ce genre d'explication va dans la section Approche clinique)
Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Je ferais les deux !

  • Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

Parfait comme ça !

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Mise en place des modifications proposées en CA.

Résumé par Antoine Mercier-Linteau

Pas nécessaire d'un point de vue sémantique.

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

@Michaël St-Gelais, il serait intéressant de spécifier sur les pages de maladie si on est en présence d'un diagnostic clinique ou non. C'est quelque chose de disponible sur BMJ Best Practice (exemple) et je trouve ça pratique.

Est-ce qu'on pourrait spécifier ça dans la section examen paracliniques? Diagnostic? Avec une donnée sémantique?

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Dans la section Diagnostic, ça m'apparait approprié. Par contre, au-delà de l'intérêt, est-ce nécessaire ? Les gens vont le dire de toute façon au travers du texte. Y a-t-il un bienfait du point de vue sémantique ? Si les indications des examens paracliniques sont pour éliminer des complications, c'est tout de même assez implicite.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Est-ce qu'on ajouterait la contre-partie diagnostic clinique, diagnostic biochimique, diagnostic génétique, diagnostique radiologique, diagnostique histopathologique ?

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

Ouais ... j'ai muri le sujet et c'est peut être pas indiqué d'un point de vue sémantique. Les éditeurs pourront le mentionner dans la section approche clinique.

Précision par rapport à liste à puce vs texte

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Résumé par Antoine Mercier-Linteau

Implémenté.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

@Antoine Mercier-Linteau, tel que discuté précédemment, j'ai ajouté dans les descriptions ce à quoi on s'attend (texte vs liste à puce). Ça te va ?

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

Je me disais qu'on pourrait le définir comme propriété de manière à ce que ce soit plus directement explicité:

{{#subobject:
 |ontologie_section_nom=Étiologies
 |ontologie_section_obligatoire=0
 |ontologie_section_description=Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas nécessairement synonymes.
 |ontologie_section_définie_par=Maladie
 |subobject_type=ontologie_section
 |ontologie_section_position=3
 |ontologie_section_format=liste
 |ontologie_section_propriétés=Étiologies
}}

On pourrait également en profiter pour sortir les propriétés sémantiques du texte et les afficher plus clairement.

De cette manière aussi, un éventuel système de vérification pourra confirmer que les sections contiennent les bonnes propriétés et sont bel et bien au format liste lorsque requis.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Bonne idée ! Ça va apparaître de quelle manière concrètement ? De toute manière, c'est une bonne idée de le mettre dans les propriétés, car on va finir par définir chacune des sections de chacune des pages pour soit liste ou texte.

Résumé par Michaël St-Gelais

Agent causal supprimé car le modèle étiologie englobe l'agent causal. Conséquemment, cette propriété est superflue.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

@Antoine Mercier-Linteau, le modèle Agent causal n'existe pas. Est-il nécessaire de l'avoir dans les propriétés ? Quelle est la différence pour toi entre Étiologie et Agent causal ? Pour moi, l'agent causal est un cas particulier de l'étiologie. Que dirais-tu de garder seulement Étiologie ?

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

Je suis complètement d'accord, je comptais le supprimer.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

C'est fait. J'ai supprimé agent causal.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)
Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

Bonne idée!

Peut-être qu'un facteur de protection peut être un Facteur de risque avec comme modificateur Pas de? Quoique dans le cas de la carie dentaire, ça se mêle pas mal avec la prévention.

Les facteurs de protection pourraient être considérés comme étant fondamentalement non modifiables, genre le sexe féminin pour la MCAS.

Il faut que je me mettes sérieusement sur les modificateurs...

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Je pense qu'on est rendu là. Surtout si cet hiver on recrute des nouveaux pour l'écriture des pages, il faudrait qu'on ait mis en place aussi les données épidémiologiques, questions de les partir sur la bonne voie dès le début.

Utilisation de signes cliniques comme symptômes

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Résumé par Antoine Mercier-Linteau

La section Questionnaire pourra contenir des propriétés de type Signe clinique pour autant que les bons modificateurs lui soient appliqués.

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

@Michaël St-Gelais, la cyanose et l'hypotonie sont des signes cliniques, mais dans le contexte du BRUE, ils sont mis en évidence au questionnaire et non à l'examen physique. On les est définit donc comme symptômes.

Je propose donc que la balise sémantique de type Symptôme puisse contenir autant des Symptômes que des Signes cliniques.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Est-ce qu'en réalité l'hypotonie et la cyanose seraient des signes cliniques objectivés par des tiers ? Si je te dis que j'ai des crépitants à l'auscultation, est-ce que ça en fait des symptômes ? :P

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

Dans ce cas-ci, les tiers seraient les parents du nouveau-né, donc pas fiables. Si tu me dis qu'un patient a des crépitants, je te crois car tu es un professionnel. Quoique légalement cela ne me dispense pas d'aller objectiver le signe moi-même.

Les trucs qui me chicotent:

  • un diagnostic de BRUE doit avoir un examen physique en tout point normal (en soit un signe clinique);
  • on ne peut logiquement pas mettre cyanose et hypotonie dans la section Examen clinique, ça va logiquement dans le Questionnaire;
  • il y aura des modificateurs associés à ces signes.
Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

La cyanose et l'hypotonie, on ne pourrait pas mettre ça dans les signes mais d'ajouter que c'est autorésolutif comme modificateur ou bien que c'est objectivé par les parents seulement ?

C'est vrai que ya plusieurs signes et symptômes qui sont sur la ligne entre les deux. Comment traite-t-on la fièvre ? C'est un signe et un symptôme...

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

La fièvre est objectivable. Les signes sont pour beaucoup aussi sources de symptômes, pense à un bras déformé par une fracture, du péritonisme, etc.

Mais oui, pour la cyanose et l'hypoxie, il faudra spécifier que c'est autorésolutif.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

La fièvre est objectivable, mais la cyanose aussi. La dyspnée, c'est subjectif, mais la tachypnée, c'est objectif. Je dirais que les frissons sont le symptôme, et la fièvre est un signe clinique, car mesurable.

Pour le BRUE de manière spécifique, je mettrais la cyanose dans les signes cliniques, et je rajouterais comme spécificateur par les parents ou à l'histoire.

Antoine Mercier-Linteau (discussioncontributions)

Définis comme Signes cliniques dans la section Questionnaire? Ça m'irait.

Réellement, le système se fout un peu dans quelle section se trouve quelle balise sémantique. Donc on pourrait dire qu'il est permis de mettre des signes cliniques (avec modificateurs) dans la section Questionnaire.

Michaël St-Gelais (discussioncontributions)

Ah ok ! Ça m'irait. On met le modèle « Signe clinique » dans la section « Questionnaire ».