Reflux gastro-œsophagien

De Wikimedica
Reflux gastro-œsophagien
Maladie

Caractéristiques
Signes Érythème pharyngé, Érosion dentaire, Voix enrouée, Aucun signe clinique
Symptômes
Asthme, Anémie, Dysphagie, Halitose, Toux chronique, Méléna, Nausées, Odynophagie, Dysphonie, Hématémèse, ... [+]
Diagnostic différentiel
Ulcère gastroduodénal, Achalasie, Gastroparésie, Œsophagite à éosinophiles, Dyspepsie fonctionnelle, Maladie coronarienne, Syndrome de rumination, Diverticules œsophagiens, Cancer de l'œsophage, Cancer de l'estomac
Informations
Wikidata ID Q223591

Page non révisée
La section obligatoire Définition ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

Le reflux gastro-œsophagien (RGO) est un trouble gastro-intestinal chronique caractérisé par une régurgitation du contenu gastrique dans l'œsophage. Le RGO est causé par de multiples mécanismes différents qui peuvent être intrinsèques, structurels ou les deux, conduisant à la perturbation de la barrière de la jonction gastro-œsophagienne entraînant une exposition de l'œsophage au contenu gastrique acide. La plupart des gens auront des épisodes de reflux, mais il est considéré pathologique lorsqu'il entraine des symptômes ou des lésions à la muqueuse de l'œsophage.

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Le RGO est l'un des troubles gastro-intestinaux les plus courants. Il touche environ 15 à 20% des adultes en Amérique du Nord.[1] Environ 40% de la population aurait plus d'un épisode de reflux par mois et 20% en aurait plus d'une fois par semaine.[2] La forme non érosive est la plus répandue touchant 60 à 70% des patients, suivie de l'œsophagite érosive chez 30% des patients et de l'œsophage de Barrett observé chez 6 à 12% des patients.[3][4][5] Cependant, la prévalence réelle pourrait être plus élevée étant donné le grand nombre de personnes qui se traitent avec des antiacides en vente libre sans consulter un médecin.[6][7] Les hommes sont légèrement plus touchés que les femmes.[8] Ils sont 2 à 3 fois plus susceptibles de développer une œsophagite érosive.[9]

Étiologies

La section facultative Étiologies ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Le RGO peut être causé par des anomalies de la motilité œsophagienne entraînant une altération de la clairance de l'acide œsophagien, une altération du tonus du sphincter œsophagien inférieur (SOI), une relaxation transitoire du SOI ou une vidange gastrique retardée.[10] Par exemple, l'hernie hiatale entrave la fonction du SOI qui est plus court et plus faible entraînant une augmentation de la fréquence des épisodes de reflux. Le retard de la vidange gastrique en cas de gastroparésie contribuerait aux symptômes du RGO en raison d'une distension gastrique et d'une exposition accrue au reflux gastrique.[11][12]

Physiopathologie

La section facultative Physiopathologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

Divers mécanismes sont impliqués dans l'apparition du RGO dont:[12]

  • une incompétence du sphincter œsophagien inférieur (SOI)
  • une hypersécrétion gastrique
  • une atteinte de la muqueuse œsophagienne par le reflux
  • un trouble de motilité de l'œsophage.

Le SOI est une entité physiologique plutôt qu'anatomique.[13] Il s'agit d'une zone de haute pression composée d'un segment de muscle lisse de 3-4 cm situé à la jonction gastro-œsophagienne (JGO). Avec l'aide du diaphragme agissant comme un sphincter externe et de la pression intra-abdominale, le SOI forme une barrière empêchant la migration rétrograde du contenu gastrique acide dans l'œsophage. Normalement, le SOI se relaxe transitoirement en réponse à un repas pour faciliter le passage de la nourriture dans l'estomac. Les patients présentant des symptômes de RGO, peuvent avoir une relaxation transitoire du SOI non déclenchées par la déglutition. La pression intragastrique devient ainsi plus grande que la pression au niveau du SOI permettant le reflux du contenu gastrique dans l'œsophage. Le mécanisme exact de l'augmentation de la relaxation transitoire est inconnu.[14]

Le reflux est composé à la fois d'un contenu gastrique acide (acide chlorhydrique et pepsine) et du contenu duodénal alcalin (sels biliaires et enzymes pancréatiques). L'exposition prolongée au reflux entraine des dommages à la muqueuse œsophagienne.[12][11] Certains patients présenteraient une altération du péristaltisme œsophagien entraînant une diminution de la clairance du reflux gastrique et par conséquent l'apparition de symptômes de reflux sévères.[15]

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Facteurs augmentant la pression sur l’estomac:

Facteurs diminuant la pression du sphincter œsophagien inférieur:

Autres facteurs de risque:

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].
Sténose peptique à l'endoscopie

Les symptômes typiques du RGO sont les suivants: [17]

Érosion dentaire secondaire au reflux gastro-œsophagien

La présentation est atypique lorsque les symptômes extra-digestifs suivants sont présents:[18][19][12]

Les symptômes suivants indiquent une atteinte plus sévère:

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.
Manométrie

Le tableau suivant résume les principaux examens et leur pertinence dans l'évaluation du RGO.[12][20][21][22][23][24][25]

Œsophage de Barrett
Différents examens et leur utilité dans l'évaluation du RGO
Examen Indication Commentaires
Essai d'inhibiteur de la pompe à protons (IPP) Diagnostiquer un RGO En l'absence de signes d'alarme, une réponse à un traitement empirique avec un IPP confirme le diagnostic de RGO
PH-métrie sur 24 heures Confirmer la présence de RGO

Quantifier la fréquence, la durée et la sévérité du reflux

En cas de symptômes réfractaires aux IPP

En présence de symptômes extra-œsophagiens

L'étalon d'or pour le diagnostic

Se fait en ambulatoire par télémétrie ou par cathéter transnasal Le résultat est normal si le pH < 4:

  • en supérieur: <1% du temps
  • en distal: <4% du temps
Œsogastroduodénoscopie (OGD) Identifier la présence de complications (ex. œsophagite)

En présence de signes d'alarme (ex. douleur thoracique)

Normale dans 70 % cas
Gorgée barytée Détecter la présence de complications:
  • une œsophagite modérée à sévère
  • un œsophage de Barrett
  • des strictures
  • des sténoses œsophagiennes
  • une hernie hiatale
  • des tumeurs.

Évaluer la qualité du péristaltisme

Rôle dans l'évaluation du RGO est limité

Faible sensibilité

Pas de rôle dans le diagnostic

Manométrie Exclure un trouble primaire ou systémique de motilité œsophagienne

(ex. achalasie, spasmes œsophagiens diffus, sclérodermie, etc.)

Évaluation pré-opératoire

Pas de rôle dans le diagnostic
Biopsie œsophagienne Exclure d'autres causes Pas systématiquement recommandée

Pas de rôle dans le diagnostic

Le RGO peut être caractérisé par la présence:

  • d'inflammation (œdème, hyperplasie basale, lymphocytes, neutrophiles, éosinophiles)
  • de métaplasie (présence de cellules à gobelet ou œsophage de Barrett)
  • d'allongement des papilles
  • d'amincissement de la couche de cellules squameuses
  • de dilatation des espaces intercellulaires
  • de dysplasie
  • de carcinome

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

La plupart des patients présentant des symptômes de RGO ne nécessiteront pas d'examens cliniques et recevront un essai thérapeutique d'inhibiteurs de la pompe à proton. La réponse au traitement confirme alors le diagnostic de RGO.[12]

Toutefois, la présence de certains signes d'alarme et de caractéristiques particulières nécessite une investigation plus poussée (ex. une OGD):[21]

  • la dysphagie
  • l'odynophagie
  • être âgé de plus de 50 ans ou symptomatique depuis plus de 5 ans
  • l'anorexie
  • l'anémie
  • l'hématémèse
  • les manifestations extra-œsophagiennes
  • symptômes réfractaires au traitement médicamenteux.

En cas d'OGD normale, une manométrie est utile pour exclure un trouble de motilité œsophagienne et gastrique. Finalement, la pH-métrie peut être réalisée pour confirmer que les symptômes du patient sont causés par le RGO.

Les patients présentant un indice de suspicion élevé de maladie coronarienne présentant des symptômes de RGO doivent subir une évaluation cardiovasculaire avant d'être investigués pour une cause gastrointestinale.

En revanche, les patients avec RGO suspecté qui présentent des douleurs thoraciques non cardiaques doivent subir une évaluation diagnostique avec un OGD et une pH-métrie avant l'initiation des IPP. [26]

Diagnostic

La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Le diagnostic repose principalement sur la présence de symptômes typiques de RGO comme les brûlures d'estomac et la régurgitation lors de l'anamnèse. Le diagnostic peut aussi être posé lorsqu'un essai thérapeutique d'IPP est efficace pour soulager les symptômes typiques de RGO.

Sur la base de l’aspect endoscopique et histopathologique, le RGO peut être classé en trois phénotypes différents:[4]

  • le reflux non érosif
  • l'œsophagite érosive
  • l'œsophage de Barrett.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Les principaux diagnostics à éliminer sont les suivants: [12]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Les options de traitement comprennent des modifications du mode de vie, une prise en charge médicale avec des antiacides et des agents antisécrétoires, des thérapies chirurgicales et des thérapies endoluminales.

Mesures non pharmacologiques

Les modifications des habitudes de vie sont considérées comme la pierre angulaire de tout traitement du RGO. Il est recommandé à tous les patients de: [12][17][21][27]

  • perdre du poids si obésité ou prise de poids récente
  • éviter les repas au moins 3 heures avant le coucher
  • élever tête du lit de 4 à 8 pouces

D'autres mesures ne sont pas associées à une amélioration des symptômes, mais sont souvent recommandées:[28]

  • diminuer la consommation de chocolat, menthe, aliments riches en gras, aliments épicés, oignons, alcool et café
  • cesser de fumer
  • diminuer consommation d'alcool.

Thérapie médicale

Le traitement médical est indiqué chez les patients qui ne répondent pas aux changements des habitudes de vie. Le tableau suivant présente les caractéristiques des principaux médicaments utilisés pour le traitement du RGO. [12][21][29][30]

Médicaments Efficacité Commentaires
les inhibiteurs de la pompe à proton (IPP)
  • omeprazole (Losec)
  • lansoprazole (Prevacid)
  • pantoprazole (Pantoloc)
  • rabeprazole (Pariet)
  • esomeprazole (Nexium)
  • dexlansoprazole (Dexilant)
Amélioration des symptômes chez 60-80% des patients
  • Débuter avec une prise par jour 30-60 minutes avant le premier repas
  • Augmenter à deux fois par jour si réponse partielle
  • Durée de traitement recommandée est de 8 semaines
  • Traitement le plus efficace pour le RGO érosif et non érosif.
  • Les résultats attendus sont: [29][30]
    • une amélioration du contrôle des symptômes
    • la guérison de l'œsophagite sous-jacente
    • une diminution des taux de rechute par rapport aux anti-H2.
  • La prise à long terme d'IPP est associée à l'augmentation du risque des complications suivantes: l'hypomagnésémie, la carence en vitamine B12, les fractures de la hanche, l'infection à la C. difficile et la pneumonie.[31]
les antagonistes des récepteurs H2 de l'histamine (anti-H2)
  • Ranitidine (Zantac)
  • Famotidine (Pepcid)
  • Cimetidine (Tagamet)
Amélioration des symptômes chez 50 à 60% des patients
  • L'ajout de anti-H2 au coucher peut être envisagé chez les personnes présentant des symptômes nocturnes non optimisés avec un IPP
  • Risque de tachyphylaxie
les agents prokinétiques
  • métoclopramide (Maxéran)
  • bétanéchol
  • dompéridone
Peu de données d'efficacité
  • Risque augmenté d'effets indésirables centraux et cardiovasculaires (ex. confusion, dépression, dyskinésie, etc.)
  • Indiqué pour la gastroparésie avec symptômes de RGO réfractaires aux IPP
les antiacides
  • Hydroxyde d'aluminium
  • Hydroxyde de magnésium   (Maalox, Gaviscon)
  • Carbonate de calcium (Tums)
Soulagement à court terme seulement
  • Interaction médicamenteuse, risque de chélation.
Fundoplicature de Nissen

Thérapie chirurgicale[12]

La prise en charge chirurgicale peut être envisagée dans certains cas:[32]

  • un RGO réfractaire à la thérapie médicamenteuse
  • l'inobservance au traitement
  • une intolérance ou allergie aux médicaments
  • une contre-indication à la prise de médicament à long terme
  • une hernie hiatale.

Les options chirurgicales disponibles pour le RGO sont la fundoplicature laparoscopique complète et les fundoplicatures partielles. Le tableau suivant présente les principales techniques utilisées.[21] La chirurgie bariatrique est indiquée chez les patients obèses et la dérivation gastrique de Roux-en-Y est la plus efficace.[32][12]Il est recommandé d'effectuer une pH-métrie chez les patients sans œsophagite érosive et sans manométrie œsophagienne pour exclure une achalasie ou une sclérodermie non diagnostiquée avant le traitement chirurgical.

Fundoplicature Description
Nissen 360°
  • Ouverture de l'espace postérieur et dissection de toute la jonction gastro-œsophagienne
  • Ouverture au niveau de la pars flaccida en préservant la branche hépatique du nerf vague
  • Fermeture du pilier diaphragmatique avec une prothèse au besoin
  • Enrouler en postérieur de gauche à droite
  • La manœuvre Shoeshine permet de s'assurer que le fundus glisse librement derrière l'œsophage.
Toupet (modifié) 270o
  • Enrouler en postérieur de gauche à droite
  • Rétrécissement du hiatus (cruroplastie) postérieur
Belsey Mark IV 270o
  • Thoracotomie antéro-latérale gauche, au niveau du 7e espace intercostal
  • Ouverture du hiatus
  • Points fixés à la paroi œsophagienne
  • 2e rang  fixé aux piliers
  • fermeture des piliers.
Dor 180o
  • Pas de dissection postérieure
  • Dissection antérieur à la jonction gastro-œsophagienne
  • Fundus au pilier gauche moyen
  • Grande courbure au rebord pilier.
Watson 90o
  • Dissection latérale ou antérieure
  • Fundus grande courbure au pilier gauche
  • Fundus petite courbure à l'œsophage latéral
  • Œsophage latéral droit au pilier.

La fundoplicature est associée aux complications postopératoires suivantes:

  • des ballonnements chez 15 à 20% des patients [33]
  • une dysphagie
  • des éructations.

Thérapie endoluminale

Les traitements endoscopiques actuellement disponibles comprennent:[21][12]

Les contre-indications relatives [35]

  • l'oesophagite de grade II ou plus (Los Angeles C et D)
  • l'hernie hiatale > 2 cm
  • l'œsophage de Barrett.

L'efficacité à long terme de ces interventions n'est pas bien connue.

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Le traitement initial d'inhibiteurs de la pompe à proton doit être réévalué après 4-8 semaines. Certains patients n’auront pas besoin d’une thérapie à long terme continue, mais la plupart auront besoin d’une forme de thérapie de maintien.

Après la fundoplicature, le patient est mis sur une diète molle pendant 3 semaines et prend des anti-émétique régulièrement pour prévenir les efforts. Au premier suivi à 1 mois, une gorgée barytée peut être effectuée pour exclure une dysphagie. En présence de symptômes récurrents, une pH-métrie et une manométrie peuvent être effectuées. Si une dysphagie persiste 3 mois après l'opération, une OGD est indiquée.[36]

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications possibles du reflux gastro-œsophagien sont les suivantes:[37]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Avec le temps, environ 30% des patients présentant initialement un reflux non érosif développeront un reflux érosif. Jusqu'à 22% des patients passeront d'un reflux érosif léger à sévère et jusqu'à 13% développeront un œsophage de Barrett.[38] Sans traitement, 20% des cas développeront un rétrécissement de l'œsophage et de la dysphagie. La majorité des cas (70-80% des patients avec reflux non érosif et 60% des patients avec reflux érosif) sont soulagés par les changements des habitudes de vie et la médication.[39] Environ 60% des patients avec reflux non érosif auront une recrudescence des symptômes à l'arrêt des médicaments et certains devront prendre des médicaments de façon chronique.[40]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Les mesures de prévention du RGO sont les suivantes: [41]

  • éviter les aliments exacerbant les symptômes
  • la perte de poids
  • cesser de fumer
  • manger des petits repas plus souvent
  • éviter de se coucher dans les 3 heures suivant un repas
  • soulever la tête du lit de 4 à 8 pouces en plaçant des livres ou des blocs de bois sous les pieds du lit.

Notes

  1. Le pyrosis est défini comme une sensation de brûlure rétrosternale ou un inconfort qui peut irradier dans le cou et qui survient généralement après l'ingestion de repas ou en position allongée.
  2. La régurgitation est une migration rétrograde du contenu gastrique acide dans la bouche ou dans l'hypopharynx

Références

__NOVEDELETE__
  1. (en) Leonardo H. Eusebi, Raguprakash Ratnakumaran, Yuhong Yuan et Masoud Solaymani-Dodaran, « Global prevalence of, and risk factors for, gastro-oesophageal reflux symptoms: a meta-analysis », Gut, vol. 67, no 3,‎ , p. 430–440 (ISSN 0017-5749 et 1468-3288, PMID 28232473, DOI 10.1136/gutjnl-2016-313589, lire en ligne)
  2. (en) « ‎Chirurgie », sur App Store (consulté le 27 mars 2021)
  3. Ronnie Fass et Rosita Frazier, « The role of dexlansoprazole modified-release in the management of gastroesophageal reflux disease », Therapeutic Advances in Gastroenterology, vol. 10, no 2,‎ , p. 243–251 (ISSN 1756-283X, PMID 28203282, Central PMCID 5298478, DOI 10.1177/1756283X16681701, lire en ligne)
  4. 4,0 et 4,1 Ronnie Fass et Joshua J. Ofman, « Gastroesophageal reflux disease--should we adopt a new conceptual framework? », The American Journal of Gastroenterology, vol. 97, no 8,‎ , p. 1901–1909 (ISSN 0002-9270, PMID 12190152, DOI 10.1111/j.1572-0241.2002.05912.x, lire en ligne)
  5. Ronnie Fass, « Erosive esophagitis and nonerosive reflux disease (NERD): comparison of epidemiologic, physiologic, and therapeutic characteristics », Journal of Clinical Gastroenterology, vol. 41, no 2,‎ , p. 131–137 (ISSN 0192-0790, PMID 17245209, DOI 10.1097/01.mcg.0000225631.07039.6d, lire en ligne)
  6. Hashem B. El-Serag, Stephen Sweet, Christopher C. Winchester et John Dent, « Update on the epidemiology of gastro-oesophageal reflux disease: a systematic review », Gut, vol. 63, no 6,‎ , p. 871–880 (ISSN 1468-3288, PMID 23853213, Central PMCID 4046948, DOI 10.1136/gutjnl-2012-304269, lire en ligne)
  7. Marco G. Patti, « An Evidence-Based Approach to the Treatment of Gastroesophageal Reflux Disease », JAMA surgery, vol. 151, no 1,‎ , p. 73–78 (ISSN 2168-6262, PMID 26629969, DOI 10.1001/jamasurg.2015.4233, lire en ligne)
  8. M. Nilsson, R. Johnsen, W. Ye et K. Hveem, « Prevalence of gastro-oesophageal reflux symptoms and the influence of age and sex », Scandinavian Journal of Gastroenterology, vol. 39, no 11,‎ , p. 1040–1045 (ISSN 0036-5521, PMID 15545159, DOI 10.1080/00365520410003498, lire en ligne)
  9. Sang Yoon Kim, Hye Kyung Jung, Jiyoung Lim et Tae Oh Kim, « Gender Specific Differences in Prevalence and Risk Factors for Gastro-Esophageal Reflux Disease », Journal of Korean Medical Science, vol. 34, no 21,‎ , e158 (ISSN 1598-6357, PMID 31144481, Central PMCID 6543060, DOI 10.3346/jkms.2019.34.e158, lire en ligne)
  10. Alexandra Argyrou, Evangelia Legaki, Christos Koutserimpas et Maria Gazouli, « Risk factors for gastroesophageal reflux disease and analysis of genetic contributors », World Journal of Clinical Cases, vol. 6, no 8,‎ , p. 176–182 (ISSN 2307-8960, PMID 30148145, Central PMCID 6107529, DOI 10.12998/wjcc.v6.i8.176, lire en ligne)
  11. 11,0 et 11,1 F. De Giorgi, M. Palmiero, I. Esposito et F. Mosca, « Pathophysiology of gastro-oesophageal reflux disease », Acta Otorhinolaryngologica Italica: Organo Ufficiale Della Societa Italiana Di Otorinolaringologia E Chirurgia Cervico-Facciale, vol. 26, no 5,‎ , p. 241–246 (ISSN 0392-100X, PMID 17345925, Central PMCID 2639970, lire en ligne)
  12. 12,00 12,01 12,02 12,03 12,04 12,05 12,06 12,07 12,08 12,09 12,10 12,11 et 12,12 Catiele Antunes, Abdul Aleem et Sean A. Curtis, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 28722967, lire en ligne)
  13. Edoardo Savarino, Albert J. Bredenoord, Mark Fox et John E. Pandolfino, « Expert consensus document: Advances in the physiological assessment and diagnosis of GERD », Nature Reviews. Gastroenterology & Hepatology, vol. 14, no 11,‎ , p. 665–676 (ISSN 1759-5053, PMID 28951582, DOI 10.1038/nrgastro.2017.130, lire en ligne)
  14. R. K. Mittal et R. W. McCallum, « Characteristics and frequency of transient relaxations of the lower esophageal sphincter in patients with reflux esophagitis », Gastroenterology, vol. 95, no 3,‎ , p. 593–599 (ISSN 0016-5085, PMID 3396810, DOI 10.1016/s0016-5085(88)80003-9, lire en ligne)
  15. U. Diener, M. G. Patti, D. Molena et P. M. Fisichella, « Esophageal dysmotility and gastroesophageal reflux disease », Journal of Gastrointestinal Surgery: Official Journal of the Society for Surgery of the Alimentary Tract, vol. 5, no 3,‎ , p. 260–265 (ISSN 1091-255X, PMID 11360049, DOI 10.1016/s1091-255x(01)80046-9, lire en ligne)
  16. Hashem B. El-Serag, Ali Hashmi, Jose Garcia et Peter Richardson, « Visceral abdominal obesity measured by CT scan is associated with an increased risk of Barrett's oesophagus: a case-control study », Gut, vol. 63, no 2,‎ , p. 220–229 (ISSN 1468-3288, PMID 23408348, Central PMCID 3976427, DOI 10.1136/gutjnl-2012-304189, lire en ligne)
  17. 17,0 et 17,1 Dalbir S. Sandhu et Ronnie Fass, « Current Trends in the Management of Gastroesophageal Reflux Disease », Gut and Liver, vol. 12, no 1,‎ , p. 7–16 (ISSN 2005-1212, PMID 28427116, Central PMCID 5753679, DOI 10.5009/gnl16615, lire en ligne)
  18. Christopher Hom et Michael F. Vaezi, « Extraesophageal manifestations of gastroesophageal reflux disease », Gastroenterology Clinics of North America, vol. 42, no 1,‎ , p. 71–91 (ISSN 1558-1942, PMID 23452632, DOI 10.1016/j.gtc.2012.11.004, lire en ligne)
  19. Nimish Vakil, Sander V. van Zanten, Peter Kahrilas et John Dent, « The Montreal definition and classification of gastroesophageal reflux disease: a global evidence-based consensus », The American Journal of Gastroenterology, vol. 101, no 8,‎ , p. 1900–1920; quiz 1943 (ISSN 0002-9270, PMID 16928254, DOI 10.1111/j.1572-0241.2006.00630.x, lire en ligne)
  20. Mattijs E. Numans, Joseph Lau, Niek J. de Wit et Peter A. Bonis, « Short-term treatment with proton-pump inhibitors as a test for gastroesophageal reflux disease: a meta-analysis of diagnostic test characteristics », Annals of Internal Medicine, vol. 140, no 7,‎ , p. 518–527 (ISSN 1539-3704, PMID 15068979, DOI 10.7326/0003-4819-140-7-200404060-00011, lire en ligne)
  21. 21,0 21,1 21,2 21,3 21,4 et 21,5 Philip O. Katz, Lauren B. Gerson et Marcelo F. Vela, « Guidelines for the diagnosis and management of gastroesophageal reflux disease », The American Journal of Gastroenterology, vol. 108, no 3,‎ , p. 308–328; quiz 329 (ISSN 1572-0241, PMID 23419381, DOI 10.1038/ajg.2012.444, lire en ligne)
  22. Ikuo Hirano, Joel E. Richter et Practice Parameters Committee of the American College of Gastroenterology, « ACG practice guidelines: esophageal reflux testing », The American Journal of Gastroenterology, vol. 102, no 3,‎ , p. 668–685 (ISSN 0002-9270, PMID 17335450, DOI 10.1111/j.1572-0241.2006.00936.x, lire en ligne)
  23. Arne Kandulski, Jochen Weigt, Carlos Caro et Doerthe Jechorek, « Esophageal intraluminal baseline impedance differentiates gastroesophageal reflux disease from functional heartburn », Clinical Gastroenterology and Hepatology: The Official Clinical Practice Journal of the American Gastroenterological Association, vol. 13, no 6,‎ , p. 1075–1081 (ISSN 1542-7714, PMID 25496815, DOI 10.1016/j.cgh.2014.11.033, lire en ligne)
  24. Daniela S. Allende et Lisa M. Yerian, « Diagnosing gastroesophageal reflux disease: the pathologist's perspective », Advances in Anatomic Pathology, vol. 16, no 3,‎ , p. 161–165 (ISSN 1533-4031, PMID 19395879, DOI 10.1097/PAP.0b013e3181a186a3, lire en ligne)
  25. (en) Philip O Katz, Lauren B Gerson et Marcelo F Vela, « Guidelines for the Diagnosis and Management of Gastroesophageal Reflux Disease », American Journal of Gastroenterology, vol. 108, no 3,‎ , p. 308–328 (ISSN 0002-9270, DOI 10.1038/ajg.2012.444, lire en ligne)
  26. (en-US) Philip O. Katz, Lauren B. Gerson et Marcelo F. Vela, « Guidelines for the Diagnosis and Management of Gastroesophageal Reflux Disease », Official journal of the American College of Gastroenterology | ACG, vol. 108, no 3,‎ 2013-03-xx, p. 308–328 (ISSN 0002-9270, DOI 10.1038/ajg.2012.444, lire en ligne)
  27. Yasuhiro Fujiwara, Tetsuo Arakawa et Ronnie Fass, « Gastroesophageal reflux disease and sleep disturbances », Journal of Gastroenterology, vol. 47, no 7,‎ , p. 760–769 (ISSN 1435-5922, PMID 22592763, DOI 10.1007/s00535-012-0601-4, lire en ligne)
  28. (en) Philip O Katz, Lauren B Gerson et Marcelo F Vela, « Guidelines for the Diagnosis and Management of Gastroesophageal Reflux Disease », American Journal of Gastroenterology, vol. 108, no 3,‎ , p. 308–328 (ISSN 0002-9270, DOI 10.1038/ajg.2012.444, lire en ligne)
  29. 29,0 et 29,1 Ji-Xiang Zhang, Meng-Yao Ji, Jia Song et Hong-Bo Lei, « Proton pump inhibitor for non-erosive reflux disease: a meta-analysis », World Journal of Gastroenterology, vol. 19, no 45,‎ , p. 8408–8419 (ISSN 2219-2840, PMID 24363534, Central PMCID 3857466, DOI 10.3748/wjg.v19.i45.8408, lire en ligne)
  30. 30,0 et 30,1 Mostafizur Khan, Jose Santana, Clare Donnellan et Cathryn Preston, « Medical treatments in the short term management of reflux oesophagitis », The Cochrane Database of Systematic Reviews, no 2,‎ , CD003244 (ISSN 1469-493X, PMID 17443524, DOI 10.1002/14651858.CD003244.pub2, lire en ligne)
  31. I. I. I. William D. Anderson, Scott M. Strayer et Shane R. Mull, « Common Questions About the Management of Gastroesophageal Reflux Disease », American Family Physician, vol. 91, no 10,‎ , p. 692–697 (ISSN 0002-838X et 1532-0650, lire en ligne)
  32. 32,0 et 32,1 Paul Chang et Frank Friedenberg, « Obesity and GERD », Gastroenterology Clinics of North America, vol. 43, no 1,‎ , p. 161–173 (ISSN 1558-1942, PMID 24503366, Central PMCID 3920303, DOI 10.1016/j.gtc.2013.11.009, lire en ligne)
  33. (en-US) Philip O. Katz, Lauren B. Gerson et Marcelo F. Vela, « Guidelines for the Diagnosis and Management of Gastroesophageal Reflux Disease », Official journal of the American College of Gastroenterology | ACG, vol. 108, no 3,‎ 2013-03-xx, p. 308–328 (ISSN 0002-9270, DOI 10.1038/ajg.2012.444, lire en ligne)
  34. Daniel Skubleny, Noah J. Switzer, Jerry Dang et Richdeep S. Gill, « LINX® magnetic esophageal sphincter augmentation versus Nissen fundoplication for gastroesophageal reflux disease: a systematic review and meta-analysis », Surgical Endoscopy, vol. 31, no 8,‎ , p. 3078–3084 (ISSN 1432-2218, PMID 27981382, DOI 10.1007/s00464-016-5370-3, lire en ligne)
  35. (en) « ‎Chirurgie », sur App Store (consulté le 11 avril 2021)
  36. Kevin Seeras, Khaled Bittar et Marco A. Siccardi, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 30137806, lire en ligne)
  37. Rick Kellerman et Thomas Kintanar, « Gastroesophageal Reflux Disease », Primary Care, vol. 44, no 4,‎ , p. 561–573 (ISSN 1558-299X, PMID 29132520, DOI 10.1016/j.pop.2017.07.001, lire en ligne)
  38. (en) « Natural history, pathophysiology and evaluation of gastroesophageal reflux disease », Disease-a-Month, vol. 66, no 1,‎ , p. 100848 (ISSN 0011-5029, DOI 10.1016/j.disamonth.2019.02.001, lire en ligne)
  39. (en-US) Philip O. Katz, Lauren B. Gerson et Marcelo F. Vela, « Guidelines for the Diagnosis and Management of Gastroesophageal Reflux Disease », Official journal of the American College of Gastroenterology | ACG, vol. 108, no 3,‎ 2013-03-xx, p. 308–328 (ISSN 0002-9270, DOI 10.1038/ajg.2012.444, lire en ligne)
  40. (en) « Gastroesophageal reflux disease natural history, complications and prognosis - wikidoc », sur www.wikidoc.org (consulté le 28 mars 2021)
  41. Castell DO DeVault KR, « Updated guidelines for the diagnosis and treatment of gastroesophageal reflux disease. », Am J Gastroenterol, vol. 100, no 1,‎ , p. 190–200 (DOI 10.1111/j.1572-0241.2005.41217.x, lire en ligne)
Les sections suivantes sont remplies automatiquement et se peupleront d'éléments à mesure que des pages sont crées sur la plateforme. Pour participer à l'effort, allez sur la page Gestion:Contribuer. Pour comprendre comment fonctionne cette section, voir Aide:Fonctions sémantiques.

Fait partie de la présentation clinique de ...

Est une complication de ...