Atteinte inflammatoire pelvienne

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Atteinte inflammatoire pelvienne (AIP)
Classe de maladie
Caractéristiques
Signes Signe clinique, Leucorrhée , Exsudat endocervical , Sensibilité annexielle, Sensibilité à la mobilisation du col de l'utérus , Température corporelle élevée
Symptômes
Frissons, Métrorragie, Nausées, Ménorragies , Pollakiurie , Dyspareunie , Dysurie , Douleur abdominale, Asymptomatique , Leucorrhée , ... [+]
Étiologies
Chlamydia trachomatis, Mycobacterium tuberculosis, Escherichia coli, Mycoplasma hominis, Ureaplasma urealyticum, Gardnerella vaignalis, Bacteroides fragilis, Streptocoques du groupe B, Campylobacter spp, Actinomyces, ... [+]
Informations
Terme anglais Pelvic inflammatory disease ( PID)
Autres noms Maladie inflammatoire pelvienne, affection inflammatoire pelvienne
Wikidata ID Q558070
SNOMED CT ID 198130006
Spécialités Infectiologie, santé publique, gynécologie, médecine familiale, médecine d'urgence


L'atteinte inflammatoire pelvienne (AIP) (fréquemment appelée pelvic inflammatory disease [PID] ou maladie inflammatoire pelvienne) est une infection aiguë ou subclinique touchant les parties supérieures des organes génitaux féminins, notamment l'utérus, les trompes de Fallope et les ovaires. La plupart des cas sont causés par des agents pathogènes sexuellement transmissibles ou associés à la vaginose bactérienne.[1]

Épidémiologie

Environ 100 000 cas d'AIP symptomatique sont diagnostiqués chaque année au Canada, alors que 10 à 15 % des femmes en âge de procréer ont déjà présenté un épisode d'AIP[2].

Étiologies

Les AIP sont fréquemment polymicrobiennes (50 %). Dans plus de la moitié des cas d'AIP, aucun organisme particulier n'est détecté.[3]

Étiologies de l'AIP
Causes Agents responsables
Agents pathogènes sexuellement transmissibles [4]

Chlamydia, Neisseria et Mycoplasma représentent ensemble environ 30 à 40 % des ITS.

Agents pathogènes associés à la vaginose bactérienne
Agents pathogènes entériques[5]
Autres[1]

Physiopathologie

L'atteinte inflammatoire pelvienne se développe par la propagation ascendante d'agents pathogènes provenant du col utérin et du vagin, avec une importance particulière accordée à Neisseria gonorrhoeae et Chlamydia trachomatis en tant qu'agents pathogènes dominants[6].

Présentation clinique

Facteurs de risque

Les facteurs de risque de l'AIP sont [7]:

Certains facteurs offrent une protection [1]:

  • La contraception barrière, mais son efficacité dépend d'une utilisation adéquate.
  • Pendant la grossesse, le bouchon muqueux et la caduque isolent l'utérus des bactéries ascendantes. Malgré cela, l'atteinte inflammatoire pelvienne peut survenir au cours des 12 premières semaines de gestation avant que cette protection ne soit pleinement en place.

Questionnaire

L'AIP est parfois asymptomatique[1][7]. Certains patientes ne sont pas diagnostiqués jusqu'à ce qu'ils développent des séquelles telles qu'une stérilité tubaire ou une grossesse extra-utérine.

Les patientes pourront rapporter [1]:

Examen clinique

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants lors d'une AIP :[11]

L'AIP associée à la gonorrhée est généralement plus grave sur le plan clinique que celle associée à la chlamydia[11]

Examens paracliniques

Laboratoires

Les examens paracliniques pertinents lors d'une suspicion d'AIP sont [3][1]:

Imagerie

L'imagerie peut être utile pour exclure d'autres causes de douleur pelvienne, notamment la grossesse extra-utérine, les kystes ovariens et la torsion ovarienne[7]:

  • l'échographie pelvienne: montrera un épaississement des trompes de Fallope pleines de liquide, avec ou sans liquide pelvien libre ou complexe tubo-ovarien

Autres

D'autres modalités d'investigation peuvent être nécessaires[7][3]:

  • une biopsie de l'endomètre: signes histopathologiques d'endométrite
  • Apparence chirurgicale d'une AIP
    une laparoscopie: pourra mettre en évidence des anomalies typiques de l'atteinte inflammatoire pelvienne, telles qu'un érythème ou des exsudats muco-purulents au niveau des trompes de Fallope.

Approche clinique

Chez les jeunes femmes sexuellement actives, notamment celles exposées à un risque accru d'infections sexuellement transmissibles, la suspicion d’une atteinte inflammatoire pelvienne survient en présence de douleurs pelviennes ou abdominales basses, associées à des signes tels que des mouvements cervicaux ou une sensibilité utérine ou annexielle lors de l'examen clinique[1].

En cas de fièvre, de sensibilité au rebond et/ou de diminution des bruits intestinaux, une pathologie plus sévère devrait être suspectée, ce qui pourrait renforcer les soupçons d'un abcès pelvien[1].

Diagnostic

L'atteinte inflammatoire pelvienne est considérée comme un diagnostic clinique dans le cadre d'une approche syndromique.[1]

En général, l’ajout de critères diagnostiques augmente la spécificité, mais diminue la sensibilité du diagnostic. Les résultats supplémentaires suivants peuvent être utilisés pour étayer le diagnostic clinique d’une AIP[3].

Diagnostic de l'AIP[3]
Minimaux
  • Sensibilité aux annexes
  • Sensibilité à la mobilisation du col de l'utérus
  • Sensibilité abdominale basse
Supplémentaires
  • Température orale > 38,3 °C
  • Présence de globules blancs dans les sécrétions vaginales au microscope dans une préparation à l'état frais ou coloration de Gram
  • Vitesse de sédimentation globulaire élevée et taux élevé de protéine C-réactive
  • Objectivation par analyses de laboratoire d'une infection du col de l'utérus par la gonorrhée, chlamydia ou M. genitalium
    • Un résultat positif pour la gonorrhée, la chlamydia ou M. genitalium soutient le diagnostic, mais l'absence d'infection avec ces agents n'exclut pas la possibilité d'AIP.
Définitifs
  • Biopsie de l'endomètre avec signes histopathologiques d'endométrite[14]
  • Échographie transvaginale, ou autres techniques d'imagerie, révélant un épaississement des trompes de Fallope pleines de liquide, avec ou sans liquide pelvien libre ou complexe tubo-ovarien
  • Norme de référence: laparoscopie révélant des anomalies typiques d'AIP, par exemple, un érythème ou des exsudats muco-purulents des trompes de Fallope

Diagnostic différentiel

Le diagnostic différentiel de l'AIP est [7]:

Traitement

Le traitement de la maladie inflammatoire pelvienne doit être initié dès que le diagnostic est suspecté, sans attendre les résultats confirmatoires[7]. Les schémas thérapeutiques empiriques doivent couvrir un large spectre des agents étiologiques les plus probables, tels que les ITS, les bactéries facultatives et les streptocoques[3].

L'AIP n'est pas une indication de retrait du stérilet[17][18]. Si le retrait est prévu, attendre 2 doses d'antibiotiques avant la procédure[3].

Traitement ambulatoire empirique de l'AIP selon Santé Canada [3]
Traitement A[19] Traitement B

plus ou moins

plus ou moins

L'ajout de métronidazole pour le traitement des bactéries anaérobies chez les personnes gravement malades (fièvre, frissons et toxicité) ou atteintes de vaginose bactérienne [20]. Les quinolones sont efficaces dans le traitement de l'AIP aiguë en l'absence d'infection à GC résistante aux quinolones[21] [22][23].
Atteinte inflammatoire pelvienne due à M. genitalium [24]

en plus

  • traitement standard pour l'atteinte inflammatoire pelvienne
 Code RAMQ

Traitement selon INESSS[18]

Hospitalisation

La décision d’hospitaliser dépend des éléments suivants [3][18]:

  • une affection clinique sévère (par exemple, fièvre ≥ 38,5 °C, nausées et des vomissements qui rendent le per os difficile)
  • suspicion d’un abcès pelvien (y compris l'abcès tubo-ovarien)
  • nécessité d'une évaluation diagnostique invasive en cas d'étiologie alternative (par exemple, appendicite ou torsion ovarienne) ou d'une intervention chirurgicale en cas de suspicion de rupture d'abcès tubo-ovarien
  • incapacité de prendre des médicaments par voie orale
  • grossesse
  • manque de réponse ou de tolérance aux médicaments oraux
  • préoccupation de non-observance du traitement
  • aucune réponse clinique au traitement ambulatoire 2-3 jours après le début de l'antibiothérapie
  • patiente immunodéprimée.
Traitement pour patients hospitalisés selon les lignes directrices britanniques [25]
1re intention Le traitement intraveineux doit être poursuivi jusqu'à 24 heures après l'amélioration clinique, puis remplacé par un traitement oral.

suivi de

2e intention

Suivi de

Suivi

Évaluer la réponse au traitement après 2 - 3 jours d'antibiothérapie[26]. En cas d'absence d'amélioration, une hospitalisation peut être nécessaire pour des examens approfondis et un traitement IV[3]. Considérer d'autres diagnostics possibles et une laparoscopie si nécessaire[3].

Les tests de suivi dépendent de l'agent pathogène identifié par les analyses de laboratoire, se référer aux directives spécifiques à l'étiologie (voir Chlamydia#Suivi, Gonorrhée#Suivi, Trichomonase#Suivi, Mycoplasma genitalium#Suivi)[3].

Pour une AIP persistante ou récurrente, envisager un test d'amplification des acides nucléiques pour détecter Mycoplasma genitalium et déterminer la sensibilité aux antibiotiques si possible. En l'absence de ce test, envisager un traitement empirique conformément aux recommandations pour l'infection à M. genitalium[3].

Déclaration et notification aux partenaires

 Codes RAMQ

  • 1L: cas contact si prescrit par un professionnel[note 3]
  • 1M: cas contact si remis par le cas index[note 4]

Lorsqu'un traitement pour une infection à gonorrhée, à chlamydia ou à M. genitalium est indiqué, les partenaires sexuels doivent être informés, évalués, dépistés et de traités (le cas échéant)[3][18]:

  • 60 derniers jours précédant les symptômes ou le prélèvement
  • s'il y a eu contact avant la fin d'un traitement.

Pour ces partenaires[18]:

  • dépister
  • en l'absence de symptômes, faire un traitement épidémiologique sans attendre le dépistage
  • en présence de symptômes, adopter une approche syndromique.

Complications

Les complications potentielles de l'AIP sont[3][27]:

Le risque de ces séquelles à long terme dépend du nombre d'épisodes d'AIP survenus.

Évolution

L'évolution de l'atteinte inflammatoire pelvienne dépend de plusieurs facteurs, notamment le diagnostic précoce, l'accès aux soins de santé et le traitement approprié. Environ 10 à 15 % des cas d'AIP peuvent nécessiter une hospitalisation. De plus, environ 15 % des femmes atteintes d'AIP peuvent développer une stérilité[28].

Prévention

La prévention implique[18]:

  • l'utilisation d'une méthode barrière (condom) lors des relations sexuelles
  • l'abstinence de rapports sexuels jusqu'à ce que le patient et le(s) partenaire(s) aient été traités avec succès et ne présentent plus de symptômes
  • le dépistage personnel et des cas contacts.

Notes

  1. 1,0 1,1 et 1,2 Vu que la sensibilité aux annexes, à la mobilisation du col et abdominale basse sont les critères minimaux de diagnostic de l'AIP, il est inféré que leur prévalence est de 100%.
  2. Pour que le médicament soit remboursé en totalité par la RAMQ.
  3. Pour que le médicament soit remboursé en totalité par la RAMQ.
  4. Le patient sera en charge de remettre ces prescriptions à ses contacts. Le médicament sera remboursée par la RAMQ.

Références

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  1. 1,0 1,1 1,2 1,3 1,4 1,5 1,6 1,7 1,8 et 1,9 (en) Marina N. Boushra, MD, Cassandra Bradby, MD et al., « Pelvic Inflammatory Disease: Pearls and Pitfalls », sur emDocs, (consulté le 6 décembre 2023)
  2. (en) S. O. Aral, W. D. Mosher et W. Cates, « Self-reported pelvic inflammatory disease in the United States, 1988 », JAMA, vol. 266, no 18,‎ , p. 2570–2573 (ISSN 0098-7484, PMID 1942402, lire en ligne)
  3. 3,00 3,01 3,02 3,03 3,04 3,05 3,06 3,07 3,08 3,09 3,10 3,11 3,12 3,13 et 3,14 « Guide sur les Syndromes associés aux ITS : Atteinte inflammatoire pelvienne », sur Santé Canada, (consulté le 28 novembre 2023)
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  5. Lindsey K. Jennings et Diann M. Krywko, Pelvic Inflammatory Disease, StatPearls Publishing, (PMID 29763134, lire en ligne)
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