Ostéoporose

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Ostéoporose (OP)
Maladie

Radiographie de la colonne démontrant des fractures ostéoportiques de L1 et L2
Caractéristiques
Signes Poids inférieur à 60 kg, Perte de taille à vie ≥ 6 cm, Perte de taille annuelle ≥ 2 cm, Distance entre la crête iliaque et le rebord costal inférieur ≤ 2 travers de doigts, Distance occiput-mur inférieur à 5 cm
Symptômes
Asymptomatique
Diagnostic différentiel
Ostéomalacie, Maladie de Paget, Ostéodystrophie rénale, Anémie falciforme, Homocystinurie, Myélome multiple, Scorbut, Mastocytose systémique
Informations
Terme anglais Osteoporosis
Wikidata ID Q165328
Spécialités Rhumatologie, endocrinologie

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Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

L'ostéoporose (OP) est définie par une faible densité minérale osseuse (score T < 2.5) causée par une microstructure osseuse altérée prédisposant les patients à des fractures de fragilité[1], notamment aux vertèbres, à la hanche et au radius distal (fracture de Colles)[2].

Les fractures de fragilisation sont des "fractures spontanée ou consécutive à un traumatisme bénin, comme une chute de la position debout ou d'une hauteur moindre." [3] Les fractures du crâne, de la colonne cervicale, des mains, des pieds et des chevilles ainsi que les fractures de stress ne sont pas considérées comme des fractures de fragilité.[2]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.


Presque tous les groupes d’âge sont sujets à l’ostéoporose, mais les personnes de 50 ans et plus sont les plus souvent touchées.[4]

  • 2 millions de Canadiens et de Canadiennes souffrent d’ostéoporose.
  • Au moins une femme sur trois et un homme sur cinq subiront une fracture causée par l’ostéoporose au cours de leur vie.
  • Les fractures de fragilisation représentent 80 % des fractures chez les femmes ménopausées de plus de 50 ans [5].
  • Les fractures dues à l’ostéoporose sont plus fréquentes que les infarctus, les accidents vasculaires cérébraux et les cancers du sein combinés.

Les fractures secondaires à l'ostéoporose entraînent de lourdes conséquences tant en termes d'autonomie que de qualité de vie. [6][7]

  • Une personne sur quatre meurt dans l'année suivant une fracture de hanche et moins d'une personne sur trois retrouvera son niveau de fonctionnement physique initial.

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].
Étiologies de l'ostéoporose[8][9]
Primaire Représente 95% des cas chez les femmes et 80% chez les hommes.
  • Vieillissement (ostéoporose dite sénile)
  • Ménopause chez la femme (déficit en oestrogène)
Secondaire Endocriniennes
Hématologiques
Digestives/nutritionnelles
  • Insuffisance hépatique
  • Hépatite chronique
  • Cholangite biliaire primitive
  • Maladie coeliaque
  • Gastrectomie et autres chirurgies bariatriques
  • Maladies inflammatoires de l'intestin (MII)
  • Syndromes de malabsorption
  • Insuffisance pancréatique
  • Déficit en calcium et/ou vitamine D
  • Anorexie nerveuse
Médicamenteuses
  • Corticostéroïdes
  • Immunosuppresseurs
  • Antiépileptiques (notamment phénitoïne et phénobarbital)
  • Inhibiteurs de l'aromatase
  • Agonistes et antagonistes de la GnRH
  • Héparine
  • Chimiothérapie
  • Inhibiteur de SGLT2
Autres

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

L'ostéoporose est le résultat d'un déséquilibre entre la résorption et la formation osseuse. Ces deux processus sont médiés respectivement par les ostéoclastes qui dégradent la matrice osseuse et les ostéoblastes qui la remplacent par de la nouvelle. Chez la majorité des gens, le pic de masse osseuse survient autour de 30 ans, après quoi un plateau est atteint pour une dizaine d'années. Vers 40 ans, le taux de résorption se met à dépasser graduellement celui de formation. Il survient alors une perte de masse osseuse à un taux d'environ 0.3 à 0.5% par an. Ce phénomène s'explique par le raccourcissement de l'espérance de vie des ostéoblastes et l'allongement de celle des ostéoclastes au fil des années.[6]

Une accélération de la perte de masse osseuse survient chez les femmes à l'arrivée de la ménopause. Le taux de perte de masse osseuse augmente jusqu'à 3 à 5% par an pendant les cinq à sept premières années après la ménopause, puis ralenti de nouveau graduellement. Cette accélération s'explique par l'insuffisance ovarienne qui accompagne la ménopause et plus précisément par l'état d'hypooestrogénisme chronique. En temps normal, l'oestrogène joue un rôle protecteur au niveau osseux en inhibant l'activation des ostéoclastes. La ménopause entraîne donc une altération de ce mécanisme de protection, contribuant alors à la balance négative du remodelage osseux.[10]

Présentation clinique

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Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

L'ostéoporose primaire n'a pas de manifestations cliniques particulières tant qu'il n'y a pas eu de fracture[2], d'où l'importance du dépistage chez les individus ayant des facteurs de risque.

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Plusieurs facteurs interagissent ensemble pour contribuer au risque de fracture ostéoporotique, dont des facteurs cliniques, médicaux, comportementaux, nutritionnels et génétiques.[6]

Les facteurs de risque sont [6] :

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les symptômes de cette maladie sont :

Une anamnèse complète comprend l'évocation de facteurs de risque potentiels attribuables à la perte osseuse secondaire (ex. prise de corticostéroïdes). Une histoire sociale complète doit également être obtenue en tenant compte des antécédents de tabagisme et de la consommation chronique d'alcool. Des antécédents familiaux d'ostéoporose doivent également être notés. Le patient doit être interrogé sur toute fracture antérieure en mettant l'accent sur les mécanismes de chute au niveau du sol à faible vélocité et sur toute fracture après l'âge de 40 ans.

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Aucune anomalie ne devrait ressortir à l'examen physique en ostéoporose primaire sauf en cas de fracture ou de cause secondaire d'ostéoporose[6].

Un examen physique approfondi doit être réalisé annuellement à la recherche d'une fracture vertébrale asymptomatique. Il est important de rechercher:

Si ces signes cliniques sont présents, il est recommandé de compléter par une radiographie latérale de la colonne dorso-lombaire. [3]

De plus, il est essentiel de rechercher des signes cliniques suggérant une cause secondaire d'ostéoporose, tels que: [6]

Examens paracliniques

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Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Ostéodensitométrie (ODM) est la modalité de choix pour le diagnostic d'ostéoporose.

Le bilan biologique de base pour l'ostéoporose est à faire lors du diagnostic d'ostéoporose dans l'objectif d'éliminer les causes secondaires. Le bilan biologique de base est: [12]

Tests supplémentaires à faire au besoin selon la clinique[12]:

L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a établi que le test d'absorptiométrie à rayons X doubles du squelette central (synonyme d'ostéodensitométrie) est le meilleur test pour évaluer la densité minérale osseuse. Un double balayage d'absorptiométrie à rayons X peut être effectué en cinq minutes avec une exposition minimale aux rayonnements. Les doubles analyses d'absorptiométrie à rayons X mesurent tous les tissus calcifiés sur le trajet de l'analyse, et la spécificité est meilleure que la sensibilité.[14]

Un double balayage d'absorptiométrie à rayons X rapporte le score-T et un score-Z. Le score-T reflète la différence d'écarts-types entre la densité minérale osseuse mesurée et la valeur moyenne de la densité minérale osseuse chez les jeunes adultes en santé.

Au lieu de mesurer par rapport à la moyenne d'un jeune adulte, un score-Z est le nombre d'écarts types au-dessus ou en-dessous de la densité minérale osseuse d'une personne en bonne santé du même sexe et du même âge. Il est utile en cas de suspicion d'ostéoporose secondaire. Un score-Z inférieur à 1,5 justifie un bilan pour les causes secondaires d'ostéoporose.[14]

La faible densité osseuse de la hanche a la valeur prédictive la plus élevée de fracture future. En effet, la densité osseuse de la colonne vertébrale peut être faussement élevée en raison de la calcification due à une maladie dégénérative des articulations. La densité vertébrale peut toujours être utile chez les jeunes femmes en périménopause sans maladie articulaire dégénérative importante. La colonne vertébrale peut montrer des changements ostéoporotiques initiaux avant qu'ils ne puissent être détectés dans la hanche.[14]

Histopathologie

Les spécimens histologiques montrent des trabécules nettement amincies, une diminution de la taille des ostéons et un élargissement du canal de Havers et des espaces médullaires.[15][14]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Le dépistage systématique de l'ostéoporose en mesurant la DMO doit être fait chez toutes les femmes et les hommes répondant aux critères ci-dessous:

Critères pour le dépistage de l'ostéoporose[16]
Femmes et homme < 50 ans Femmes ménopausées et

hommes de 50-64 ans

Femmes et hommes > 65 ans
  • Antécédent de fracture de fragilisation
  • Prise de médicaments à haut risque tels que glucocorticoïdes, inhibiteurs de l'aromatase (cancer du sein), traitements de privation androgénique (cancer de la prostate)
  • Polyarthrite rhumatoïde (PAR)
  • Autres troubles inflammatoires chroniques
  • Maladie de Cushing
  • Syndromes de malabsorption
  • Hyperthyroïdie non contrôlée
  • Hypogonadisme ou ménopause précoce (< 45 ans)
  • Autres troubles liés à une perte osseuse
  • Fracture de fragilisation > 40 ans
  • Fracture vertébrale ou faible masse osseuse à la radiographie
  • Fracture de la hanche chez un parent
  • Forte consommation d'alcool
  • Tabagisme actif
  • Faible poids corporel (< 60 kg)
  • Perte de poids majeure (> 10% par rapport au poids à 25 ans)
  • Prise de médicaments à haut risque tels que glucocorticoïdes, inhibiteurs de l'aromatase (cancer du sein), traitements de privation androgénique (cancer de la prostate)
  • Polyarthrite rhumatoïde (PAR)
  • Autres problèmes de santé contribuant à la perte osseuse.
Tous


Diagnostic

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Un diagnostic clinique d'ostéoporose peut être réalisé dans un contexte de fracture de fragilité, et ce, sans même avoir à mesurer la densité minérale osseuse. En effet, la survenue d'une fracture de fragilisation est le facteur le plus important dans la prédiction du risque de fracture, indépendamment du résultat de la DMO. [3]

En absence de fracture de fragilité, le diagnostic d'ostéoporose se fait à l'aide du score-T, qui correspond au nombre d'écart-types par lequel la densité minérale osseuse (DMO) du patient, mesurée à l'ostéodensitométrie au radius distal, à la colonne ou à la hanche, diffère par rapport à la DMO d'un jeune sujet en bonne santé du même sexe et de la même ethnie[6][17].

Résultat du test d'ostéodensitométrie
DMO normale DMO faible Ostéoporose
Score T -1 à + 2.5 -1 à -2.5 < -2.5

Grâce au score T obtenu à l'ODM, il est possible de calculer le risque de fracture ostéoporotique sur une période de dix ans. Deux outils sont actuellement disponibles au Canada pour calculer ce risque:[2][18]

  • le FRAX (Fracture Risk Assessment Tool de l'Organisation mondiale de la Santé)
  • le CAROC (Canadian Association of Radiologists and Osteoporosis Canada Risk Assessment Tool de l'Association canadienne de radiologie et d'Ostéoporose Canada) [3]

Le FRAX repose sur un ensemble complet de facteurs de risque clinique tel que le sexe, l'âge, l'IMC, les antécédents de fracture, l'existence d'une fracture de la hanche chez un parents, une utilisation prolongée de glucocorticoïdes, une polyarthrite rhumatoïde (ou toutes autres causes d'ostéoporose secondaire), la consommation d'alcool, le tabagisme et la densité minérale osseuse du col fémoral (de façon facultative). Cet outil est donc très complet et permet une évaluation du risque même en absence de données sur la densité minérale osseuse (dans un cas particulier où le patient ne peut subir d'ODM). [5]

Le CAROC est quant à lui beaucoup plus facile à utiliser grâce à la simplicité de l'outil. En effet, le score T du col fémoral, le sexe et l'âge sont les facteurs de risque pris en compte pour calculer le risque de fracture sur une période de dix ans. Le choix de l'outil est essentiellement une question de préférence personnelle et de commodité. [5]

Les deux outils permettent de générer le risque de fracture ostéoporotique sur une période de dix ans via un pourcentage, ce qui catégorise le risque en trois catégories: faibles (<10%), modéré (10%-20%) et élevé (> 20%). Ce pourcentage permettra de guider l'approche pharmacologique tel qu'indiqué dans la section Traitement.

Certains facteurs de risque font passer le risque de fracture à la classe supérieure que celui calculé par le CAROC ou le FRAX, tel que:

Par exemple; une patiente ayant un score modéré au CAROC avec un antécédent de fracture de fragilisation à 45 ans sera plutôt classifiée à risque élevé et sera candidate pour un traitement pharmacologique. Si un patient a les deux facteurs de risque ci-dessus (fracture de fragilisation et prise de glucocorticoïdes), son risque est alors d'emblée un risque élevé, et ce, indépendamment de sa densité minérale osseuse. [5]

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de l'ostéoporose est [14] :

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Les options de traitement varient selon le niveau de risque obtenu aux outils comme le CAROC ou le FRAX.[12]

Les modalités de traitement selon les niveaux de risque obtenus avec le CAROC ou le FRAX[12]
Niveau de risque Recommandation de traitement
Patient à risque faible

(< 10% de fracture sur 10 ans)

Vérifier les apports en calcium et en vitamine D, puis prescrire les suppléments au besoin.

Autres traitements pharmacologiques non-indiqués chez ces patients

Patient à risque modéré

(10 à 20% de fracture sur 10 ans)

Débuter ou non le traitement pharmacologique (selon les facteurs de risque et une discussion éclairée avec le patient)

Possible de stratifier davantage le niveau de risque à l'aide de radiographies latérales à la recherche de fractures vertébrales.

Patient à risque élevé

(> 20% de fracture sur 10 ans

OU

1 fracture de fragilisation de la hanche/vertèbre antérieure > 40 ans

OU

≥ 2 fractures de fragilisation (autre que celle d'une vertèbre ou d'une hanche)[19]

Débuter le traitement pharmacologique.

Mesures non-pharmacologiques

Recommander des changements de style de vie à tous les patients.[12][14][5]

  • L'activité physique avec mise en charge et les exercices qui améliorent l'équilibre, comme le yoga et le tai-chi, doivent être encouragés.
  • Une alimentation riche en calcium est à prioriser.
  • Un traitement doit être proposé pour aider à la fois au sevrage tabagique et alcoolique.
  • Le port de protecteurs de hanche chez les patients à risque élevé vivant en établissement de soins de longue durée est recommandé.


Mesures pharmacologiques

Tous les patients souffrant d'ostéoporose devraient avoir un apport suffisant en calcium (1200 mg/jour avec l'alimentation et les suppléments au besoin) et en vitamine D (800-2000 UI/jour).[12] Compléter l'apport en calcium au besoin avec des suppléments tout en optimisant la prise de calcium alimentaire.

Pour ce qui est des traitements pharmacologiques, plusieurs options sont actuellement disponibles. De manière générale, la pharmacothérapie abaisse le risque de fracture vertébrale de 30% à 70% selon l'observance du patient et le produit sélectionné. [5]

Même si les traitements pharmacologiques peuvent engendrer des effets secondaires, les avantages l'emportent largement sur les risques éventuels pour les patients à risque élevé de fracture.

Les traitements pharmacologiques de l'ostéoporose[12][20][21]
Traitement Indication Mécanisme d'action Effets secondaires Contre-indications
Agents anti-résorptifs Bisphosphonates PO

[alendronate (Fosamax)]

[risedronate (Actonel)]

1ère ligne de traitement Inhibe la résorption osseuse en entrainant l'apoptose des ostéoclastes.

Important de le prendre 30 minutes avant le déjeuner, en position assise pour favoriser l'absorption

  • Irritation de l'oesophage (reflux, oesophagite, ulcère)
Communs aux deux types :
  • Céphalées
  • Nausée
  • Douleur abdominale
  • Hypocalcémie
  • Douleurs musculosquelettiques
  • Baisse de la fonction rénale
  • Conjonctivite
  • Ostéonécrose de la machoire (rare)
  • Fracture atypique du fémur (en usage chronique).
  • Désordres oesophagiens
  • Insuffisance rénale chronique
  • Patients avec antécédent de chirurgie digestive avec anastomose.


IV

[acide zolédronique (Aclasta)]

  • Réaction d'allure grippale après infusion (fièvre, myalgies, arthralgies)
Insuffisance rénale chronique
Denosumab (Prolia)
Sous-cutané aux 6 mois
  • Contre-indication aux bisphosphonates oraux ET risque élevé de fracture (remboursé par RAMQ pour cette indication)
  • Échec du traitement de 1ère ligne (non remboursé par la RAMQ pour cette indication)
Anticorps monoclonal anti-RANKL
  • Douleurs musculaires
  • Infections urinaires
  • Dyslipidémie
  • Lésions cutanées
  • Cellulite
  • Ostéonécrose de la mâchoire
  • Fractures atypiques du fémur
  • Hypocalcémie (surtout en IRC stade IV).
Coûteux avec couverture limitée
Agents anabolisants Parathormone (tériparatide) (Fortéo) Sous-cutané DIE pour un maximum de 24 mois
  • Échec des autres lignes de traitement (médicament d'exception à la RAMQ)
  • Risque élevé de fracture
Stimule la formation osseuse par les ostéoblastes
  • Étourdissements
  • Nausées
  • Crampes aux jambes
  • Hypercalcémie
  • Hypercalciurie.
  • Hypercalcémie
  • IRC grave
  • Métastases osseuses
  • ATCD de néoplasie osseuse ou de radiothérapie osseuse
  • Maladie de Paget
  • Augmentation de la phosphatase alcaline de cause inconnue.
Hormonothérapie Oestrogène/progestérone
  • PO
  • Timbre
  • Femmes ménopausées ayant de l'ostéoporose et des symptômes vasomoteurs incommodants.
Augmentation des hormones sexuelles qui préviennent la résorption osseuse
  • Dépression
  • Céphalées
  • Mastalgie
  • Syndrome pré-menstruel (SPM)
  • Irritation cutanée
  • Gain de poids
  • Saignements menstruels
  • Augmentation du risque d'AVC, de thromboembolie, de maladie coronarienne et de cancer du sein lorsque utilisé plus de 5 ans.
  • Oestrogène doit être combinée à la progestérone sauf en cas d'hystérectomie
  • Cancer du sein/endomètre hormonodépendant
  • Saignement utérin anormal
  • Maladie hépatique active
  • Thrombose vasculaire active

Attention si :

  • Migraine
  • ATCD phlébite
  • Hypertriglycéridémie
  • Fibrome utérin
  • Endométriose
  • Maladie vésicule biliaire
  • Histoire familiale de cancer du sein
  • Dysfonction hépatique chronique.
Modulateurs sélectifs des récepteurs aux œstrogènes (MSRE) Raloxifène PO
  • Femmes ménopausées
  • Femmes souffrant d'un cancer du sein ou de l'endomètre hormonosensible.
Agissent comme des œstrogènes sur les os et antagonisent les effets des œstrogènes sur l'utérus et les seins
  • Bouffées de chaleur
  • Augmente le risque thromboembolique
  • Légère augmentation du risque d'AVC
  • Crampes aux jambes.
Antécédent thromboembolique

À noter qu'il n'y a aucune preuve que la testostérone diminuait le nombre de fractures, donc la testostérone n'est pas recommandée pour le traitement de l'ostéoporose chez les hommes. [5]


Pauses thérapeutiques

  • Les recommandations de durée dépendent du type spécifique de médicament utilisé pour le traitement. Certains agents, tels que le tériparatide ou un traitement hormonal, nécessitent un traitement de suivi immédiat avec un autre agent, ou la masse osseuse est rapidement perdue après l'arrêt.
  • Il y a actuellement peu de données pour recommander des " congés thérapeutiques ".
  • Il est toutefois recommandé de poursuivre le traitement de l'ostéoporose sans congé thérapeutique pour les personnes à risque élevé de fractures. [5]


Considérations relatives au traitement et au suivi [1][22][23][24][14]

Les cliniciens doivent également rester prudents contre l'utilisation prolongée d'un traitement ininterrompu aux bisphosphonates au-delà d'une période de 3 à 5 ans. Les patients doivent également être informés des événements indésirables potentiellement morbides. Les patients doivent être avisés de consulter immédiatement s'ils présentent des symptômes d'inconfort à la cuisse.[14]

Tout patient prenant des bisphosphonates pendant une période donnée et présentant une légère gêne à la cuisse doit subir la prise en charge suivante :[14]

  • Arrêter immédiatement toute activité de mise en charge.
  • Obtenir des radiographies complètes du fémur et de la hanche. Une douleur à la cuisse peut être le signe d'une fracture atypique pathologique imminente du fémur. L'attention doit être dirigée vers la régions sous-trochantérienne et diaphysaire du fémur, en particulier le cortex latéral, qui montre souvent des signes de réaction périostée.
  • Cesser immédiatement l'utilisation des bisphosphonates.
  • Consulter un chirurgien orthopédique pour fixation chirurgicale prophylactique[14].

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Les recommandations varient selon les guides de pratique quant à la fréquence du suivi à offrir aux patients souffrant d'ostéoporose, mais toutes s'entendent sur l'ostéodensitométrie (ODM) comme étant la modalité de choix[12].

  • Selon les recommandations canadiennes du CAROC : répéter l'ODM un à trois ans après le début du traitement pharmacologique.
  • L'ODM peut également être répétée en cas de "changement de traitement, de nouveaux facteurs de risque, d'une nouvelle fracture sous traitement pharmacologique ou en l'absence de traitement après cinq ou six ans." [19]
  • Pour les patients à risque faible, réévaluer le risque par une ODM dans cinq ans. [5]
  • Des examens à intervalles réguliers sont inutiles. Nul besoin de refaire le test chez les patients de 75 ans et plus non traités. [19]
  • Il n'y a pas d'études randomisées concernant la surveillance du traitement avec une ODM. Plusieurs études montrent que les femmes présentaient une réduction des fractures avec un traitement indépendant du suivi de la densité minérale osseuse. [14]

Si la densité osseuse continue de diminuer malgré un traitement adéquat[25] :

  • Diminution < 5% : continuer avec le même agent et répéter ODM deux ans plus tard.
  • Diminution > 5% : changer d'agent ou de voie d'administration (ex. passer de biphosphonate oral à biphosphonate intraveineux).

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les fractures pathologiques, en particulier au niveau de la hanche ou de la colonne vertébrale, sont les complications les plus graves de l'ostéoporose. Les fractures de la hanche résultent souvent de chutes et peuvent entraîner une invalidité et même un risque accru de mortalité dans les premiers jours suivant la blessure. Il existe également des fractures vertébrales en l'absence de chutes du patient, avec des fractures par compression entraînant des maux de dos et une posture cyphotique.[26][14] Voici pourquoi il est essentiel de questionner et examiner les patients annuellement pour rechercher les fractures vertébrales asymptomatiques.

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

Si l'ostéoporose est détectée tôt et traitée, le pronostic est encourageant. Cependant, si la maladie n'est pas traitée, elle peut entraîner des douleurs chroniques et des fractures. Le risque d'ostéoporose peut être diminué grâce à l'utilisation de bisphosphonates, à l'exercice et à une alimentation riche en calcium. Malheureusement, les bisphosphonates ne sont pas seulement chers, mais ils ont également des effets secondaires graves. Dans l'ensemble, les femmes ménopausées restent à haut risque de fracture de la hanche, ce qui entraîne souvent une récupération prolongée et une diminution importante de leur autonomie. Les fractures vertébrales sont également courantes et peuvent entraîner une cyphose, des douleurs chroniques, une insuffisance respiratoire et un risque élevé de développer une pneumonie. La plupart des patients perdent leur capacité à vivre de façon autonome, car ils ne sont pas capables de fonctionner.[14]

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

L'équipe interprofessionnelle de soins doit insister sur l'importance d'une bonne alimentation et d'exercices réguliers pour la santé des os tout au long de la vie.[14]

Les facteurs nutritionnels comprennent un apport adéquat en protéines et une supplémentation appropriée en calcium et en vitamine D. Les patients doivent également maintenir un poids corporel idéal, car l'insuffisance pondérale est corrélée à une incidence accrue de perte osseuse et de fractures. Un poids corporel excessif est en corrélation avec des fractures des os du poignet et du bras. Des exercices en mise en charge (par exemple, la marche, le jogging, la montée d'escaliers, etc.) combinés à des exercices de musculation et d'équilibre produiront des effets préventifs optimaux. La natation, le cyclisme et d'autres exercices sans mise en charge offrent des avantages cardiovasculaires, mais pas nécessairement des avantages pour la santé des os.[27][14]

Toxicocinétique

Les effets secondaires et les coûts du traitement sont les principaux facteurs à prendre en compte lors de la prescription de médicaments contre l'ostéoporose. Il convient de noter que les bisphosphonates intraveineux peuvent être utilisés si un patient est intolérant aux bisphosphonates oraux avant de passer à différentes options de traitement, car ils peuvent être tolérés par les patients intolérants à l'administration orale.[14]

Références

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  2. 2,0 2,1 2,2 et 2,3 « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 12 décembre 2021)
  3. 3,0 3,1 3,2 3,3 3,4 3,5 et 3,6 Dre Angèle Turcotte, « Évaluer le risque de fracture sans se casser la tête », Le Médecin du Québec,‎ , p. 22 (lire en ligne)
  4. « Qu’est-ce que l’ostéoporose? | Osteoporosis », sur Osteoporose Canada, (consulté le 12 décembre 2021)
  5. 5,0 5,1 5,2 5,3 5,4 5,5 5,6 5,7 et 5,8 (en) Alexandra Papaioannou, Suzanne Morin, Angela M. Cheung et Stephanie Atkinson, « 2010 clinical practice guidelines for the diagnosis and management of osteoporosis in Canada: summary », CMAJ, vol. 182, no 17,‎ , p. 1864–1873 (ISSN 0820-3946 et 1488-2329, PMID 20940232, DOI 10.1503/cmaj.100771, lire en ligne)
  6. 6,0 6,1 6,2 6,3 6,4 6,5 6,6 et 6,7 (en) Nancy E. Lane, « Epidemiology, etiology, and diagnosis of osteoporosis », American Journal of Obstetrics & Gynecology, vol. 194, no 2,‎ , S3–S11 (ISSN 0002-9378 et 1097-6868, DOI 10.1016/j.ajog.2005.08.047, lire en ligne)
  7. Agence de la santé publique du Canada, « Rapport du Système canadien de surveillance des maladies chroniques : L’ostéoporose et les fractures connexes au Canada, 2020 », sur www.canada.ca, (consulté le 12 décembre 2021)
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  10. « Ostéoporose - Troubles musculosquelettiques et du tissu conjonctif », sur Édition professionnelle du Manuel MSD (consulté le 17 décembre 2021)
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  12. 12,0 12,1 12,2 12,3 12,4 12,5 12,6 et 12,7 « Ostéoporose », sur lanthiermed.com (consulté le 13 décembre 2021)
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  14. 14,00 14,01 14,02 14,03 14,04 14,05 14,06 14,07 14,08 14,09 14,10 14,11 14,12 14,13 14,14 et 14,15 Joann L. Porter et Matthew Varacallo, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 28722930, lire en ligne)
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  22. Sam Y. Jiang, David J. Kaufman, Bonnie Y. Chien et Michael Longoria, « Prophylactic Fixation Can Be Cost-effective in Preventing a Contralateral Bisphosphonate-associated Femur Fracture », Clinical Orthopaedics and Related Research, vol. 477, no 3,‎ , p. 480–490 (ISSN 1528-1132, PMID 30394950, Central PMCID 6382193, DOI 10.1097/CORR.0000000000000545, lire en ligne)
  23. Morten Schultz Larsen et Hagen Schmal, « The enigma of atypical femoral fractures: A summary of current knowledge », EFORT open reviews, vol. 3, no 9,‎ , p. 494–500 (ISSN 2058-5241, PMID 30305933, Central PMCID 6174857, DOI 10.1302/2058-5241.3.170070, lire en ligne)
  24. E. Michael Lewiecki, « New and emerging concepts in the use of denosumab for the treatment of osteoporosis », Therapeutic Advances in Musculoskeletal Disease, vol. 10, no 11,‎ , p. 209–223 (ISSN 1759-720X, PMID 30386439, Central PMCID 6204627, DOI 10.1177/1759720X18805759, lire en ligne)
  25. « UpToDate », sur www.uptodate.com (consulté le 13 décembre 2021)
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Fait partie de la présentation clinique de ...

Aucune maladie ne correspond à la requête.

Est une complication de ...