« Névralgie du trijumeau » : différence entre les versions

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| acronyme = NT
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| image = https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/4/4d/Trigeminal_nerve_neurovascular_conflict.JPG
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| description_image = Compression vasculaire du nerf trijumeau, cause possible de névralgie du trijumeau.
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=== Traitement chirurgical ===
=== Traitement chirurgical ===
Le traitement chirurgical est indiqué chez les patients réfractaires au traitement pharmacologique.<ref name=":0" />
Le traitement chirurgical est indiqué chez les patients réfractaires au traitement pharmacologique.<ref name=":0" />
 
[[Fichier:Trigeminal nerve neurovascular conflict.JPG|vignette|Compression du nerf trijumeau par l'artère cérébelleuse supérieure. Image obtenue à partir d'une vue microscopique lors d'une décompression microvasculaire.]]
Les modalités chirurgicales peuvent être subdivisées en 2 grandes catégories, soit ablatives ou non ablatives, et peuvent intervenir à trois niveau distinct sur le nerf trijumeau, soit à la fosse postérieure, au niveau du ganglion de Gasser ou en périphérie du nerf trijumeau.<ref name=":8">{{Citation d'un article|prénom1=V.|nom1=Yuvaraj|prénom2=B.|nom2=Krishnan|prénom3=Beena Agnes|nom3=Therese|prénom4=T. S.|nom4=Balaji|titre=Efficacy of Neurectomy of Peripheral Branches of the Trigeminal Nerve in Trigeminal Neuralgia: A Critical Review of the Literature|périodique=Journal of Maxillofacial and Oral Surgery|volume=18|numéro=1|date=2019-03|issn=0972-8279|pmid=30728686|pmcid=6328817|doi=10.1007/s12663-018-1108-1|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30728686/|consulté le=2022-11-15|pages=15–22}}</ref>
Les modalités chirurgicales peuvent être subdivisées en 2 grandes catégories, soit ablatives ou non ablatives, et peuvent intervenir à trois niveau distinct sur le nerf trijumeau, soit à la fosse postérieure, au niveau du ganglion de Gasser ou en périphérie du nerf trijumeau.<ref name=":8">{{Citation d'un article|prénom1=V.|nom1=Yuvaraj|prénom2=B.|nom2=Krishnan|prénom3=Beena Agnes|nom3=Therese|prénom4=T. S.|nom4=Balaji|titre=Efficacy of Neurectomy of Peripheral Branches of the Trigeminal Nerve in Trigeminal Neuralgia: A Critical Review of the Literature|périodique=Journal of Maxillofacial and Oral Surgery|volume=18|numéro=1|date=2019-03|issn=0972-8279|pmid=30728686|pmcid=6328817|doi=10.1007/s12663-018-1108-1|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30728686/|consulté le=2022-11-15|pages=15–22}}</ref>
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* Peut être réalisée sur les branches périphériques du nerf trijumeau, soit les nerfs supraorbitaire, infraorbitaire, lingual et alvéolaire.<ref name=":27">{{Citation d'un article|prénom1=V.|nom1=Yuvaraj|prénom2=B.|nom2=Krishnan|prénom3=Beena Agnes|nom3=Therese|prénom4=T. S.|nom4=Balaji|titre=Efficacy of Neurectomy of Peripheral Branches of the Trigeminal Nerve in Trigeminal Neuralgia: A Critical Review of the Literature|périodique=Journal of Maxillofacial and Oral Surgery|volume=18|numéro=1|date=2019-03|issn=0972-8279|pmid=30728686|pmcid=6328817|doi=10.1007/s12663-018-1108-1|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30728686/|consulté le=2022-10-05|pages=15–22}}</ref> 
* Peut être réalisée sur les branches périphériques du nerf trijumeau, soit les nerfs supraorbitaire, infraorbitaire, lingual et alvéolaire.<ref name=":27">{{Citation d'un article|prénom1=V.|nom1=Yuvaraj|prénom2=B.|nom2=Krishnan|prénom3=Beena Agnes|nom3=Therese|prénom4=T. S.|nom4=Balaji|titre=Efficacy of Neurectomy of Peripheral Branches of the Trigeminal Nerve in Trigeminal Neuralgia: A Critical Review of the Literature|périodique=Journal of Maxillofacial and Oral Surgery|volume=18|numéro=1|date=2019-03|issn=0972-8279|pmid=30728686|pmcid=6328817|doi=10.1007/s12663-018-1108-1|lire en ligne=https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/30728686/|consulté le=2022-10-05|pages=15–22}}</ref> 
* Méthodes de neurectomie : injection d'alcool, incision et avulsion du nerf, cryothérapie ou lésion par radiofréquence.  
* Méthodes de neurectomie : injection d'alcool, incision et avulsion du nerf, cryothérapie ou lésion par radiofréquence.
* Comporte moins d'effets secondaires et bien toléré par les patients, mais souvent moins efficace au long terme et présente un haut taux de récidive.<ref name=":8" />
* Comporte moins d'effets secondaires et bien toléré par les patients, mais souvent moins efficace au long terme et présente un haut taux de récidive.<ref name=":8" />
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Version du 14 novembre 2022 à 23:27

Névralgie du trijumeau (NT)
Maladie
Caractéristiques
Signes Hypoesthésie, Hyperalgésie, Déficit sensitif, Allodynie , Aucun signe clinique , Zones gâchettes, Anomalie de la sensibilité du visage
Symptômes
Paresthésies, Congestion nasale, Rhinorrhée, Injection conjonctivale, Larmoiement, Fourmillements, Engourdissements, Douleur faciale, Ptose, Zones gâchettes, ... [+]
Diagnostic différentiel
Artérite temporale, Céphalée de Horton, Sinusite, Migraine, Névralgie post-herpétique, Tumeur intracrânienne, Sclérose en plaques, Otite moyenne aiguë, Douleur dentaire, Neuropathie du trijumeau, ... [+]
Informations
Autres noms Tic douloureux
Wikidata ID Q1132120

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

La névralgie du trijumeau (NT), également connue sous le nom de tic douloureux, est une douleur chronique caractérisée par de brefs épisodes récurrents de douleurs intenses de type choc électrique affectant le cinquième nerf crânien, soit le nerf trijumeau[1]. Cette affection est presque toujours unilatérale et peut impliquer une ou plusieurs divisions du nerf trijumeau.[2]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

La névralgie du trijumeau affecte annuellement 4 à 13 personnes sur 100 000. Les femmes sont plus fréquemment touchées que les hommes, avec un rapport de prévalence homme-femme variant de 1 à 1,5 à 1 à 1,7. La prévalence à vie dans les études basées sur la population a été estimée à environ 0,16 % à 0,3 %.[3][1] La prévalence de NT chez les patients atteints de sclérose en plaques est comprise entre 1 et 6,3 %.

La plupart des cas surviennent après 50 ans; certains cas sont observés au cours des deuxième et troisième décennies et sont très rarement observés chez les enfants.[4] Le développement d'une NT chez un jeune devrait augmenter le niveau de suspicion pour une sclérose en plaques sous-jacente.

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Le nerf trijumeau exerce une fonction sensitive au niveau du visage ainsi que d'une fonction sensitive et motrice des muscles de la mastication. Ce dernier origine du pons et se dirige vers la périphérique en se divisant en trois branches principales[1][5] :

  • Distribution du nerf trijumeau et de ses principales branches.
    Ophtalmique (V1) : innerve l'œil, la paupière supérieure et le front
  • Maxillaire (V2) : innerve la paupière inférieure, la joue, la narine, la lèvre supérieure et la gencive supérieure
  • Mandibulaire (V3) : innerve la lèvre inférieure, la gencive inférieure, la mâchoire et les muscles de la mastication

La névralgie du trijumeau est déclenché par la compression du nerf trijumeau dans son trajet, la plupart du temps retrouvée au niveau de la racine du nerf à quelques millimètres de son entrée dans le pons.[6] Cette compression peut être causée par :

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

La plupart des cas de névralgie du trijumeau sont dus à une compression du nerf trijumeau. On pense que la TN est liée à la démyélinisation nerveuse se produisant autour du site de compression. Le mécanisme de la façon dont la démyélinisation conduit aux symptômes de TN n'est pas connu. On pense qu'elle est due à la génération d'impulsions ectopiques créée par la lésion démyélinisée, provoquant ainsi une transmission éphaptique.[8] Le lien éphaptique entre les fibres impliquées dans la génération de la douleur et les fibres médiant le toucher léger pourrait expliquer la précipitation de douleurs de type choc électrique dans la zone de déclenchement faciale par une stimulation tactile légère.[1]

Un épisode déclenché suivi de périodes réfractaires et d'un stimulus unique entraînant des sensations douloureuses indique le rôle possible du mécanisme central de la douleur dans la NT. Une matière grise altérée dans le cortex sensoriel et moteur a également été décrite. Des études radiologiques et anatomopathologiques ont démontré la proximité de la racine du nerf trijumeau avec de tels vaisseaux. Le vaisseau le plus impliqué est l'artère cérébelleuse supérieure.[9] Cette hypothèse est encore renforcée par le soulagement des symptômes suite à des interventions chirurgicales pour séparer les vaisseaux incriminés du nerf, soit la décompression microvasculaire.[1]

Selon l'hypothèse de bio-résonance, lorsque la fréquence de vibration du nerf trijumeau et les structures environnantes se rapprochent les unes des autres, les fibres du nerf trijumeau sont endommagées, entraînant une transmission anormale de l'influx, entraînant ainsi une douleur faciale.

De multiples autres conditions telles que les tumeurs cérébrales, la sclérose en plaques, l'infiltration amyloïde, la compression osseuse, la malformation artério-veineuse et les petits infarctus de la moelle et du pons ont été décrites comme étant à l'origine de la TN.[1]

Classification

Selon la Classification internationale des maux de tête, troisième édition (ICHD-3), la névralgie du trijumeau peut être classifié en :[1][2]

  1. NT classique
    • Étiologie : compression vasculaire
      • Nécessite la démonstration de la compression sur une IRM cérébrale ou lors de la chirurgie de décompression neurovasculaire, avec des modifications morphologiques associées de la racine du nerf trijumeau.
  2. NT secondaire
    • Étiologie : autre cause de compression, telle qu'une tumeur de l'angle ponto-cérébelleux, une paque démyélinisante retrouvée en sclérose en plaques, une malformation artério-veineuse, etc.
    • Les patients de moins de 40 ans, présentant des symptômes bilatéraux et/ou une perte sensorielle à l'examen physique présentent un risque plus élevé de névralgie secondaire du trijumeau.
  3. NT idiopathique
    • Lorsque la cause est inconnue. Aucune anomalie est observée à l'IRM cérébrale ou aux tests électrophysiologiques.

Présentation clinique

La section obligatoire Présentation clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Facteurs de risque

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Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont[1][10] :

Questionnaire

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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

La névralgie du trijumeau se présente habituellement par[1][2] :

  • une douleur neuropathique
    • intense et généralement maximale au début ou à proximité
    • subite et de courte durée (une à plusieurs secondes)
    • paroxystique
    • sous forme de choc électrique, brûlure, coup de couteau, etc.
    • souvent unilatérale, mais peut être bilatérale plus rarement[11]
    • suivant la distribution d'une ou plusieurs des branches du nerf trijumeau
    • Déclenché par un stimuli, soit[12] :
      • la stimulation tactile
        • de zones gâchettes dans la distribution du nerf affecté, se retrouvant généralement près de la ligne médiane[13]
          • la stimulation tactile de ces zones, soit les régions nasales et péribuccales, déclenchent la douleur
          • la présence de ces zones gâchettes ne sont pas toujours présentes, mais si elles le sont, elles sont pathognomonique pour la NT
      • le brossage des dents
      • le rasage
      • le lavage du visage
      • le tabagisme
      • la mastication
      • la conversation
      • les grimaces
      • l'exposition à l'air froid
  • des spasmes des muscles faciaux dans certains cas

Chez les patients plus jeunes présentant des symptômes de NT, des symptômes tels que de la faiblesse focale, des changements visuels, des étourdissement et de l'ataxie doivent être recherchés afin d'évoquer la possibilité de conditions neurologiques comme la sclérose en plaques.[1]

Examen clinique

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

Chez les patients atteints de TN, l'examen physique est généralement normal. Par conséquent, les médecins doivent effectuer un examen physique détaillé de la tête, du cou, des yeux, des oreilles, des dents, de la bouche et de l'articulation temporo-mandibulaire pour exclure d'autres causes de douleur faciale. Voici les trouvailles possiblement objectivées à l'examen clinique en fonction de l'étiologie de la TN:

  • TN classique :[1]
    • l'examen neurologique est souvent normal
    • la découverte de zones gâchettes typiques est possible
  • TN secondaire :[1]
    • une perte sensorielle dans la distribution du nerf trijumeau
    • une perte du réflexe cornéen
    • une faiblesse des muscles faciaux

Examens paracliniques

Aucun examen paraclinique est nécessaire au diagnostique de la névralgie du trijumeau, puisque celui-ci est un diagnostique clinique devant respecter certains critères (voir la section ci-dessous). Toutefois, lorsque la TN est cliniquement suspectée ou diagnostiquée, il est recommandé d'avoir des études de neuro-imagerie afin de distinguer la TN classique de la TN secondaire, soit :

  • IRM cérébrale[1][14]
    • L'IRM du cerveau est préférée à la tomodensitométrie cérébrale, car l'IRM aide également à évaluer les petites lésions adjacentes telles que :
      • lésions de sclérose en plaques
      • tumeur de l'angle ponto-cérébelleux
      • malformation artério-veineuse
    • Une IRM ciblée, qui est une IRM haute résolution, peut être réalisée avec ou sans contraste de gadolinium afin d'identifier une compression vasculaire comme cause de la TN classique.[15][16] Cela peut donner une image détaillée des vaisseaux sanguins et du cerveau. C'est ce qu'on appelle les séquences FIESTA dans certaines machines de résonnance magnétique. Dans ces machines, des sections aussi fines que 1 mm peuvent être prises dans un plan coronal sans aucun saut entre les images. De cette façon, l'imagerie de l'ensemble du trajet du nerf trijumeau peut être obtenue et le vaisseau incriminé comprimant le nerf peut être identifié.[1] Par conséquent, bien que la TN soit un diagnostic clinique, une IRM du cerveau avec et sans produit de contraste est recommandée pour exclure une lésion cérébrale structurelle chez tous les patients présentant une suspicion clinique de TN.

Diagnostic

La névralgie du trijumeau est un diagnostique clinique devant respecter les critères suivants[2] :

  1. Douleur faciale unilatérale avec paroxysmes récurrents dans la ou les distributions d'une ou plusieurs divisions du nerf trijumeau, sans irradiation
  2. La douleur comporte toutes les caractéristiques suivantes :
    1. Durée : Une fraction de seconde à deux minutes
    2. Intensité : sévère
    3. Forme : choc électrique, coup de feu, coup de couteau ou coupant
  3. Éléments déclencheurs inoffensifs dans la distribution du trijumeau affecté
  4. N'est pas mieux expliqué par un autre diagnostique
La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la NT est :[1]

Traitement

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Les options de prise en charge des patients atteints de névralgie du trijumeau dépendent de divers facteurs, notamment l'âge, l'état de santé général, la gravité de la maladie et la cause sous-jacente. La décision doit être prise après une discussion approfondie avec le patient et les autres médecins impliqués dans les soins du patient.[1]

Traitement pharmacologique

Le traitement de première ligne pour les patients atteints de NT est le traitement pharmacologique. Les patients atteints de la NT classique ou idiopathique répondent habituellement bien au traitement de première ligne comparativement au patients atteints de NT secondaire, mais ces derniers peuvent également bien répondre à la pharmacothérapie. Cependant, il est recommandé de traiter la lésion ou la maladie sous-jacente, si possible.[1]

Agents pharmacologiques[1][17]
Médicament Dosage Effets secondaires Explications
Carbamazépine
  • 200-400 mg PO DIE (en 2 ou 4 doses/jour) initialement[17]
  • Maximum : 1200 mg PO DIE (en 2 ou 4 doses/jour)
  • Somnolence
  • Étourdissements
  • Diplopie
  • Nausée
  • Hyponatrémie
  • Nécrolyse épidermique toxique / syndrome de Stevens-Johnson
  • Médicament anticonvulsivant
  • Première ligne : agent pharmacologique le plus couramment utilisé
  • Généralement commencé à faible dose et la dose est progressivement augmentée jusqu'à ce qu'elle contrôle la douleur
  • Son efficacité diminue avec le temps
  • Chez les patients d'ethnicité asiatique, il est recommandé de rechercher l'allèle HLA-B*15:02 en raison du risque plus élevé chez cette population de développé une nécrolyse épidermique toxique ou du syndrome de Stevens-Johnson
  • Un ECG est nécessaire avant de débuter cet agent, car contre-indiqué en présence d'un bloc auriculoventriculaire[8]
Oxcarbamazépine
  • 150 ou 300 mg PO BID initialement
  • Maximum : 900 mg PO BID (total de 1800 mg DIE)
  • Diplopie
  • Étourdissements
  • Hyponatrémie
  • Médicament anticonvulsivant
  • Première ligne : de plus en plus utilisé lorsque les patients ne répondent pas ou ne tolèrent plus la carbamazépine
  • Doit être évité chez les patients porteurs de l'allèle HLA-B*15:02
  • Un ECG est nécessaire avant de débuter cet agent, car contre-indiqué en présence d'un bloc auriculoventriculaire[8]
Baclofène
  • 60-80 mg PO DIE
  • Étourdissement
  • Sédation
  • Dyspepsie
  • Relaxant musculaire
  • Deuxième ligne
Lamotrigine
  • 100-400 mg PO DIE (en 1 ou 2 doses/jour)
  • Médicament anticonvulsivant
  • Deuxième ligne
Gabapentine
  • 100-300 mg PO DIE à TID initialement
  • Maximum : 1800 mg par jour
  • Médicament anticonvulsivant
  • Deuxième ligne
Prégabalin
  • 150-600 mg PO DIE
  • Médicament anticonvulsivant
  • Deuxième ligne
Levetiracetam
  • 1000-4000 mg PO DIE
  • Médicament anticonvulsivant
  • Deuxième ligne
Injection de toxine botulinique - -
  • Deuxième ligne[17]
  • Peut être utile chez les patients d'âge moyen ou âgés qui sont réfractaires au traitement médical ou qui ne peuvent pas le tolérer en raison des effets secondaires
Fosphénitoïne
  • Bolus de 15-20 mg/kg IV
  • Médicament anticonvulsivant
  • Thérapie aiguë
Lidocaine
  • Bolus de 5 mg/kg IV
  • Anesthésique local
  • Thérapie aiguë
Nouveaux agents présentement étudiés - -
  • Eslicarbazépine (métabolite actif de l'oxcarbazépine)
  • Vixotrigine (bloqueur de Nav1.7)

Traitement chirurgical

Le traitement chirurgical est indiqué chez les patients réfractaires au traitement pharmacologique.[1]

Compression du nerf trijumeau par l'artère cérébelleuse supérieure. Image obtenue à partir d'une vue microscopique lors d'une décompression microvasculaire.

Les modalités chirurgicales peuvent être subdivisées en 2 grandes catégories, soit ablatives ou non ablatives, et peuvent intervenir à trois niveau distinct sur le nerf trijumeau, soit à la fosse postérieure, au niveau du ganglion de Gasser ou en périphérie du nerf trijumeau.[18]

Interventions chirurgicales dans le traitement de la névralgie du trijumeau
Interventions Explications
Décompression microvasculaire
  • Procédure : craniotomie et exploration de la fosse postérieure pour identifier et déplacer le vaisseau sanguin qui comprime la racine du nerf trijumeau à son entrée dans le pons. Un coussin souple est ensuite inséré entre le nerf et le vaisseau pour permettre au nerf de récupérer, ce qui finit par soulager la douleur
  • Traitement le plus efficace et le plus couramment utilisé pour la NT classique secondaire à une compression neurovasculaire.[1][19][20] Chez certains patients, cette procédure peut entraîner un soulagement durable pendant plus de 10 ans
  • Bien que ce soit la procédure la plus efficace, c'est aussi la plus invasive. Les complications possibles sont : diminution de l'audition, hématome cérébelleux, fuites de LCR, infarctus cérébral et/ou faiblesse faciale
Radiochirurgie
  • Utilisation d'instruments de radiochirurgie tels que le Gamma Knife ou le Cyber Knife[21][22][23]
  • Procédure non invasive dans laquelle une dose hautement concentrée de rayonnement ionisant est administrée à une cible précise au niveau de la racine du nerf trijumeau. Le rayonnement crée une lésion près de la racine nerveuse, interrompant ainsi la transmission des signaux de douleur au cerveau
  • La formation de la lésion peut être lente et, par conséquent, le soulagement de la douleur à l'aide de cette procédure est retardé de plusieurs semaines ou mois
  • Puisqu'il s'agit d'une procédure non invasive, elle peut être répétée chez les patients qui présentent une récidive de la douleur
  • Complications possibles : perte sensorielle faciale ou paresthésies
Thermocoagulation par radiofréquence
  • Procédure : Insertion d'une électrode pour appliquer de la chaleur afin d'endommager les fibres nerveuses du ganglio de Gasser[24][25]
  • Complications possibles : dysesthésie postopératoire, engourdissement cornéen, pouvant mener à la kératite neurotrophique, perte sensorielle dans la distribution du nerf trijumeau et anesthésie douloureuse
Rhizotomie chimique (glycérolyse)
  • Procédure : Injection de glycérol chimique dans le nerf trijumeau au niveau du ganglion de Gasser afin d'endommager les fibres nerveuses[24][25]
  • Complications possibles : dysesthésie postopératoire, engourdissement cornéen, pouvant mener à la kératite neurotrophique, perte sensorielle dans la distribution du nerf trijumeau et anesthésie douloureuse
Compression mécanique par ballonnet
  • Procédure : Insertion d'un petit ballon au point de localisation des fibres nerveuses dans le ganglion de Gasser. Ce ballon, lors du gonflage, endommage mécaniquement les fibres nerveuses.[24][25]
  • Complications possibles : dysesthésie postopératoire, engourdissement cornéen, pouvant mener à la kératite neurotrophique, perte sensorielle dans la distribution du nerf trijumeau et anesthésie douloureuse
Neurectomie périphérique
  • Peut être réalisée sur les branches périphériques du nerf trijumeau, soit les nerfs supraorbitaire, infraorbitaire, lingual et alvéolaire.[26] 
  • Méthodes de neurectomie : injection d'alcool, incision et avulsion du nerf, cryothérapie ou lésion par radiofréquence.
  • Comporte moins d'effets secondaires et bien toléré par les patients, mais souvent moins efficace au long terme et présente un haut taux de récidive.[18]

Complications

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Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications possibles de la NT sont :[1]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

La névralgie du trijumeau n'est pas une maladie potentiellement mortelle. Cependant, elle peut entraîner des douleurs à vie et peut être invalidante. L'évolution de la NT est variable. Certains patients peuvent avoir des épisodes qui durent des semaines ou des mois, suivis d'intervalles sans douleur. Certains patients ont une douleur faciale de fond persistante en même temps que la NT. Chez certains patients, les crises de douleur s'aggravent avec le temps, avec des intervalles sans douleur moins nombreux et plus courts avant qu'elles ne se reproduisent. De plus, les médicaments peuvent perdre de leur efficacité avec le temps. Un diagnostic correct et une prise en charge appropriée peuvent être bénéfiques pour les patients et conduire à un bon pronostic.

Prévention

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Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Le diagnostic et la prise en charge rapides de la névralgie du trijumeau sont essentiels, car la douleur est intense et peut être débilitante et affecter la qualité de vie. Les patients doivent être informés de la condition, de son évolution attendue et des différentes options thérapeutiques disponibles. Ils doivent également être informés des risques d'un traitement anticonvulsivant à long terme ainsi que des risques associés aux options chirurgicales. Cela peut aider les patients à prendre une décision éclairée.?

Concepts clés

  • La névralgie du trijumeau est une douleur chronique qui se manifeste par une douleur faciale unilatérale.
  • La douleur dans la névralgie du trijumeau est généralement décrite comme une douleur aiguë, semblable à un choc électrique ou lancinante et est retrouvée dans la distribution d'une ou plusieurs divisions du nerf trijumeau.
  • La majorité des cas de névralgie du trijumeau sont dus à une compression neurovasculaire.
  • Bien que la NT soit un diagnostic clinique, une étude de neuroimagerie est recommandée chez tous les patients chez lesquels une NT est cliniquement suspectée afin de différencier la TN classique de la TN secondaire.
  • La carbamazépine est un médicament de première intention dans le traitement de la névralgie du trijumeau.
  • La décompression microvasculaire est l'une des modalités chirurgicales les plus efficaces pour le traitement de la névralgie du trijumeau classique.

Références

__NOVEDELETE__
  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 1,15 1,16 1,17 1,18 1,19 1,20 et 1,21 Nidhi Shankar Kikkeri et Shivaraj Nagalli, StatPearls, StatPearls Publishing, (PMID 32119373, lire en ligne)
  2. 2,0 2,1 2,2 et 2,3 « Headache Classification Committee of the International Headache Society (IHS) The International Classification of Headache Disorders, 3rd edition », Cephalalgia: An International Journal of Headache, vol. 38, no 1,‎ , p. 1–211 (ISSN 1468-2982, PMID 29368949, DOI 10.1177/0333102417738202, lire en ligne)
  3. Daniel Mueller, Mark Obermann, Min-Suk Yoon et Franziska Poitz, « Prevalence of trigeminal neuralgia and persistent idiopathic facial pain: a population-based study », Cephalalgia: An International Journal of Headache, vol. 31, no 15,‎ , p. 1542–1548 (ISSN 1468-2982, PMID 21960648, DOI 10.1177/0333102411424619, lire en ligne)
  4. Yad Ram Yadav, Yadav Nishtha, Pande Sonjjay et Parihar Vijay, « Trigeminal Neuralgia », Asian Journal of Neurosurgery, vol. 12, no 4,‎ , p. 585–597 (ISSN 1793-5482, PMID 29114270, Central PMCID 5652082, DOI 10.4103/ajns.AJNS_67_14, lire en ligne)
  5. Eder Gambeta, Juliana G. Chichorro et Gerald W. Zamponi, « Trigeminal neuralgia: An overview from pathophysiology to pharmacological treatments », Molecular Pain, vol. 16,‎ , p. 1744806920901890 (ISSN 1744-8069, PMID 31908187, Central PMCID 6985973, DOI 10.1177/1744806920901890, lire en ligne)
  6. 6,0 et 6,1 Vanja Bašić Kes et Lucija Zadro Matovina, « Accommodation to Diagnosis of Trigeminal Neuralgia », Acta Clinica Croatica, vol. 56, no 1,‎ , p. 157–161 (ISSN 1333-9451, PMID 29120554, DOI 10.20471/acc.2017.56.01.21, lire en ligne)
  7. Andrea Truini, Luca Prosperini, Valentina Calistri et Marco Fiorelli, « A dual concurrent mechanism explains trigeminal neuralgia in patients with multiple sclerosis », Neurology, vol. 86, no 22,‎ , p. 2094–2099 (ISSN 1526-632X, PMID 27164695, DOI 10.1212/WNL.0000000000002720, lire en ligne)
  8. 8,0 8,1 et 8,2 Stine Maarbjerg, Giulia Di Stefano, Lars Bendtsen et Giorgio Cruccu, « Trigeminal neuralgia - diagnosis and treatment », Cephalalgia: An International Journal of Headache, vol. 37, no 7,‎ , p. 648–657 (ISSN 1468-2982, PMID 28076964, DOI 10.1177/0333102416687280, lire en ligne)
  9. Krystin L. Thomas et Joel A. Vilensky, « The anatomy of vascular compression in trigeminal neuralgia », Clinical Anatomy (New York, N.Y.), vol. 27, no 1,‎ , p. 89–93 (ISSN 1098-2353, PMID 23381734, DOI 10.1002/ca.22157, lire en ligne)
  10. Yusuf Kurtuluş Duransoy, Mesut Mete, Emrah Akçay et Mehmet Selçuki, « Differences in individual susceptibility affect the development of trigeminal neuralgia », Neural Regeneration Research, vol. 8, no 14,‎ , p. 1337–1342 (ISSN 1673-5374, PMID 25206428, Central PMCID 4107645, DOI 10.3969/j.issn.1673-5374.2013.14.010, lire en ligne)
  11. Joanna M. Zakrzewska et Mark E. Linskey, « Trigeminal neuralgia », BMJ (Clinical research ed.), vol. 348,‎ , g474 (ISSN 1756-1833, PMID 24534115, DOI 10.1136/bmj.g474, lire en ligne)
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  23. Andrew M. Baschnagel, Jacqueline L. Cartier, Jason Dreyer et Peter Y. Chen, « Trigeminal neuralgia pain relief after gamma knife stereotactic radiosurgery », Clinical Neurology and Neurosurgery, vol. 117,‎ , p. 107–111 (ISSN 1872-6968, PMID 24438815, DOI 10.1016/j.clineuro.2013.12.003, lire en ligne)
  24. 24,0 24,1 et 24,2 Michael D. Staudt, Holger Joswig, Gwynedd E. Pickett et Keith W. MacDougall, « Percutaneous glycerol rhizotomy for trigeminal neuralgia in patients with multiple sclerosis: a long-term retrospective cohort study », Journal of Neurosurgery, vol. 132, no 5,‎ , p. 1405–1413 (ISSN 1933-0693, PMID 30978686, DOI 10.3171/2019.1.JNS183093, lire en ligne)
  25. 25,0 25,1 et 25,2 Sanjeet S. Grewal, Panagiotis Kerezoudis, Oscar Garcia et Alfredo Quinones-Hinojosa, « Results of Percutaneous Balloon Compression in Trigeminal Pain Syndromes », World Neurosurgery, vol. 114,‎ , e892–e899 (ISSN 1878-8769, PMID 29581020, DOI 10.1016/j.wneu.2018.03.111, lire en ligne)
  26. V. Yuvaraj, B. Krishnan, Beena Agnes Therese et T. S. Balaji, « Efficacy of Neurectomy of Peripheral Branches of the Trigeminal Nerve in Trigeminal Neuralgia: A Critical Review of the Literature », Journal of Maxillofacial and Oral Surgery, vol. 18, no 1,‎ , p. 15–22 (ISSN 0972-8279, PMID 30728686, Central PMCID 6328817, DOI 10.1007/s12663-018-1108-1, lire en ligne)
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