« Névralgie du trijumeau » : différence entre les versions

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==Diagnostic==
==Diagnostic==
La névralgie du trijumeau est un diagnostique clinique devant respecter les critères suivants<ref>{{Citation d'un article|langue=en|titre=Headache Classification Committee of the International Headache Society (IHS) The International Classification of Headache Disorders, 3rd edition|périodique=Cephalalgia|volume=38|numéro=1|date=2018-01|issn=0333-1024|issn2=1468-2982|doi=10.1177/0333102417738202|lire en ligne=http://journals.sagepub.com/doi/10.1177/0333102417738202|consulté le=2022-10-05|pages=1–211}}</ref> :
# Douleur faciale unilatérale avec paroxysmes récurrents dans la ou les distributions d'une ou plusieurs divisions du nerf trijumeau, sans irradiation
# La douleur comporte toutes les caractéristiques suivantes :
## Durée : Une fraction de seconde à deux minutes
## Intensité : sévère
## Forme : choc électrique, coup de feu, coup de couteau ou coupant
# Éléments déclencheurs inoffensifs dans la distribution du trijumeau affecté
# N'est pas mieux expliqué par un autre diagnostique
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==Diagnostic différentiel==
==Diagnostic différentiel==

Version du 4 octobre 2022 à 20:27

Névralgie du trijumeau
Maladie
Caractéristiques
Signes Hypoesthésie, Hyperalgésie, Déficit sensitif, Allodynie , Aucun signe clinique , Zones gâchettes, Anomalie de la sensibilité du visage
Symptômes
Paresthésies, Congestion nasale, Rhinorrhée, Injection conjonctivale, Larmoiement, Fourmillements, Engourdissements, Douleur faciale, Ptose, Zones gâchettes, ... [+]
Diagnostic différentiel
Artérite temporale, Céphalée de Horton, Sinusite, Migraine, Névralgie post-herpétique, Tumeur intracrânienne, Sclérose en plaques, Otite moyenne aiguë, Douleur dentaire, Neuropathie du trijumeau, ... [+]
Informations
Wikidata ID Q1132120

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la définition du concept et devrait se résumer à quelques phrases au maximum : il ne s'agit pas d'une introduction. S'il existe des pages alternatives ou des nuances qui seraient susceptibles d'intéresser le lecteur, elles seront mentionnées dans cette section avec des liens. Le format attendu est le texte.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Une erreur fréquente est de mettre des signes, des symptômes et le traitement dans l'introduction. Dans un soucis de concision, et considérant que votre page sera consultée autant sur ordinateur que sur les téléphones intelligents, la définition sert à définir à la manière d'un dictionnaire.
Exemple:
 
L'appendicite est l'inflammation et l'infection de l'appendice.

La névralgie du trijumeau (NT), également connue sous le nom de tic douloureux, est une douleur chronique caractérisée par de brefs épisodes récurrents de douleurs intenses de type choc électrique affectant le cinquième nerf crânien, soit le nerf trijumeau[1]. Ce dernier innerve le visage et comporte trois branches principales : le nerf ophtalmique (V1) innervant le front, le nerf maxillaire (V2) innervant la joue et le nerf mandibulaire (V3) innervant la mâchoire inférieure. Cette affection est presque toujours unilatérale et peut impliquer une ou plusieurs divisions du nerf trijumeau.[2]

Épidémiologie

La section facultative Épidémiologie ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section contient les données épidémiologiques sur la maladie (ex. incidence, prévalence, coûts en hospitalisation, proportion d'hommes-femmes, régions où la prévalence est plus élevée, etc.). Chaque donnée épidémiologique doit être appuyée par une référence. Idéalement, des statistiques canadiennes et québécoises sont mentionnées lorsque disponibles.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Les facteurs de risque ne sont pas présentés ici, mais bien dans la sous-section Facteurs de risque (Présentation clinique). Le pronostic et l'évolution naturelle de la maladie sont décrits dans la section Évolution.
Exemple:
 
La FRP est une maladie relativement rare qui affecte le plus souvent les patients âgés de 40 à 60 ans. Une prédominance masculine est observée avec un ratio H : F estimé à environ 2:1 ou 3:1. L'incidence de la FRP est inconnue, mais est estimée à 1 pour 200 000 à 500 000 par an.

Trijumeau la névralgie affecte 4 à 13 personnes sur 100 000 par an. Les femmes sont plus touchées que les hommes. Le rapport de prévalence homme-femme varie de 1 à 1,5 à 1 à 1,7. La plupart des cas surviennent après 50 ans; certains cas sont observés au cours des deuxième et troisième décennies et sont très rarement observés chez les enfants.[3] La prévalence à vie dans les études basées sur la population a été estimée à environ 0,16 % à 0,3 %.[4][1] Le développement de la névralgie du trijumeau chez un jeune devrait augmenter suspicion de sclérose en plaques. La prévalence de TN chez les patients atteints de sclérose en plaques est comprise entre 1 et 6,3 %. Il est également rapporté que les patients hypertendus ont une incidence légèrement plus élevée de TN par rapport à la population générale.[1]

Étiologies

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Description: Cette section décrit les étiologies de la maladie, c'est-à-dire ce qui cause la maladie (ex. le diabète de type 2 cause la néphropathie diabétique). Les étiologies doivent être identifiées avec le modèle Étiologies.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Étiologie
Commentaires:
 
  • Attention ! Les facteurs de risque et les étiologies d'une maladie ne sont pas synonymes. Les étiologies sont ce qui causent la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent. Prenons l'exemple de l'infarctus du myocarde. Parmi les étiologies de l'infarctus du myocarde, on retrouve la thrombose coronarienne, la dissection coronarienne et le vasospasme. Parmi les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde, on retrouve le diabète, l'hypertension artérielle, la sédentarité, l'obésité, le tabagisme, etc.
  • Le format attendu est le texte, la liste à puce ou le tableau. S'il y a quelques étiologies, le format texte est à privilégier. S'il y a de multiples étiologies, la liste à puce est à privilégier, précédée par une courte phrase introductive suivie d'un deux-points. S'il y a des catégories d'étiologies avec de multiples étiologies, le tableau est à privilégier. Bref, si vous considérez que la structure est trop complexe, souvent le tableau est l'idéal. Sinon, privilégiez les formats simples, car l'affichage est meilleur pour les téléphones intelligents en format texte et liste à puce.
  • Si disponible, il est intéressant d'ajouter la fraction étiologique à l'intérieur du modèle Facteur de risque.
Exemple:
 
Parmi les étiologies les plus courantes d'occlusion de l'intestin grêle, on retrouve :
  • les adhérences post-chirurgicales [Étiologie] (la plus fréquente)
  • les néoplasies abdominales [Étiologie]
  • les hernies incarcérées [Étiologie]
  • les maladies inflammatoires de l'intestin [Étiologie] (Crohn)
  • l'impaction fécale [Étiologie]
  • les corps étrangers [Étiologie]
  • les abcès intra-péritonéaux [Étiologie]
  • le volvulus [Étiologie].
Les étiologies de l'infarctus du myocarde comprennent la thrombose coronarienne [Étiologie], la dissection coronarienne [Étiologie] et le vasospasme coronarien [Étiologie].

Les étiologies sont :

  • l'étiologie 1 - Ceci est une balise sémantique de type étiologie que vous devez modifier.
  • l'étiologie 2 - Ceci est une balise sémantique de type étiologie que vous devez aussi modifier.
  • l'étiologie 3 - Copiez ce modèle pour définir d'autres étiologies.
  • ... Le nerf trijumeau est le cinquième nerf crânien. Il est responsable de l'alimentation sensorielle du visage et de l'alimentation motrice et sensorielle des muscles de la mastication. Le nerf trijumeau commence au pont et se divise en trois branches[5]:[1]
  • Ophtalmique (V1) : alimente l'œil, la paupière supérieure et le front
  • Maxillaire (V2) : alimente la paupière inférieure, la joue, la narine, la lèvre supérieure et la gencive supérieure
  • Mandibulaire (V3) : Alimente la lèvre inférieure, la gencive inférieure, la mâchoire et les muscles de la mastication[1] Le nerf trijumeau part du pont. La plupart des cas de névralgie du trijumeau sont dus à la compression de la racine du nerf trijumeau à quelques millimètres de son entrée dans le pont. Entre 80 % et 90 % des cas de TN sont dus à une compression par une artère ou une veine adjacente.[6] Le vaisseau sanguin, principalement impliqué dans environ 75 % à 80 % des cas, est l'artère cérébelleuse supérieure. Les autres vaisseaux sanguins connus pour causer la TN comprennent l'artère cérébelleuse antéro-inférieure, l'artère vertébrale et la veine pétreuse. anévrisme sacculaire.[1] La sclérose en plaques est un facteur de risque de TN, et elle est signalée chez environ 2 % à 4 % des patients atteints de TN. Celle-ci est secondaire à la démyélinisation du noyau du nerf trijumeau par la sclérose en plaques.[7][1]

Physiopathologie

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Description: La physiopathologie traite des mécanismes biologiques qui conduisent à l'apparition d'une maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
L'histopathologie doit figurer dans la section Examen paraclinique, et non dans la section physiopathologie.
Exemple:
 
Le VIP est une neurohormone composée de 28 acides aminés et appartenant à la famille des sécrétines-glucagon. Il est produit dans le système nerveux central ainsi que dans les neurones des voies gastro-intestinales, respiratoires et urogénitales. Il agit, via l'expression d'adénylate cyclase cellulaire (AMPc), à titre de vasodilatateur et de régulateur de l'activité des muscles lisses, de stimulateur de la sécrétion d'eau et d'électrolytes par le tractus intestinal, d'inhibiteur de la sécrétion d'acide gastrique et de promoteur du flux sanguin principalement dans le tractus gastro-intestinal. L'ensemble de ces éléments peuvent entraîner une hypokaliémie, une hyperglycémie, une hypomagnésémie et une hypercalcémie qui sont habituellement responsables de la présentation clinique.

La plupart des cas de névralgie du trijumeau sont dus à une compression du nerf trijumeau. On pense que la TN est liée à la démyélinisation nerveuse se produisant autour du site de compression. Le mécanisme de la façon dont la démyélinisation conduit aux symptômes de TN n'est pas connu. On pense qu'elle est due à la génération d'impulsions ectopiques créée par la lésion démyélinisée, provoquant ainsi une transmission éphaptique.[8] zone de déclenchement faciale par stimulation tactile légère.[1] Un épisode déclenché suivi de périodes réfractaires et d'un stimulus unique entraînant des sensations douloureuses indique le rôle possible du mécanisme central de la douleur dans la TN. Une matière grise altérée dans le cortex sensoriel et moteur a également été décrite. Des études radiologiques et anatomopathologiques ont démontré la proximité de la racine du nerf trijumeau avec de tels vaisseaux. Le vaisseau le plus impliqué est l'artère cérébelleuse supérieure.[9] Cette hypothèse est encore renforcée par le soulagement des symptômes suite à des interventions chirurgicales pour séparer les vaisseaux incriminés du nerf.[1] Selon l'hypothèse de bio-résonance, lorsque la fréquence de vibration du nerf trijumeau et les structures environnantes se rapprochent les unes des autres, les fibres du nerf trijumeau sont endommagées, entraînant une transmission anormale de l'influx, entraînant ainsi une douleur faciale. pons ont été décrits pour causer TN.[1] Classification [1] TN est divisé en TN classique, TN secondaire et TN idiopathique dans la Classification internationale des maux de tête, troisième édition (ICHD-3)[2]:[1] TN classique : cela inclut les TN liés à TN o compression vasculaire.[1] TN secondaire : cela inclut la TN due à une tumeur le long du nerf trijumeau ou la TN due à une maladie sous-jacente telle que la sclérose en plaques.[1] TN idiopathique : lorsque la cause est inconnue. [1]

Présentation clinique

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Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section contient la sous-section optionnelle Facteurs de risque et les sous-sections obligatoires Questionnaire et Examen clinique.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • La section Présentation clinique ne sert qu'à accueillir ces trois sous-sections : aucune information ne doit se retrouver entre le titre de section Présentation clinique et les autres sous-titres. Ce sont les sous-sections qui doivent être détaillées.
  • Une erreur fréquente est de laisser les facteurs de risque, le questionnaire et l'examen physique en un ou des paragraphes dans la section Présentation clinique, mais de ne pas détailler les sous-sections Facteurs de risque, Questionnaire et Examen clinique.
Exemple:
 
  • Présentation clinique

(Aucun texte)

  • Facteurs de risque

(Texte)

  • Questionnaire

(Texte)

  • Examen clinique

(Texte)

Compte tenu de l'aspect symptomatique, la névralgie du trijumeau peut être classée comme[3]:[1]

  • Type 1 - Présence de douleur paroxystique seule
  • Type 2 - Douleur paroxystique le long avec douleur constante en arrière-plan[1] La douleur dans la névralgie du trijumeau survient par paroxysmes et est généralement maximale au début ou à proximité. Parfois, avec une douleur intense, des spasmes des muscles faciaux peuvent être observés. Par conséquent, TN est également connu sous le nom de «tic douloureux». [1] La majorité des patients décrit la douleur comme une douleur de type choc électrique, d'une durée d'une à plusieurs secondes. La douleur dans la TN est généralement unilatérale. Parfois, elle est bilatérale, mais survient très rarement simultanément des deux côtés.[10] Les épisodes douloureux surviennent rarement pendant le sommeil.[1] Les divisions V2 et V3 du nerf trijumeau sont généralement impliquées dans la distribution de la douleur.[2] Lorsque la subdivision V1 est impliquée, une des symptômes autonomes tels que larmoiement, rhinorrhée et injection conjonctivale peuvent être observés. Cependant, l'atteinte isolée de la division V1 est très rare et est observée chez moins de 5 % des patients atteints de TN.[11] [1] Des zones gâchettes peuvent être présentes dans la distribution du nerf affecté. Ceux-ci sont généralement situés près de la ligne médiane. Ils ont été principalement signalés dans les régions nasales et péribuccales. La douleur TN est déclenchée en touchant légèrement ces zones.[12] Les patients atteints de TN sont généralement conscients de ces zones et évitent toute stimulation de celles-ci. Tous les patients atteints de TN peuvent ne pas avoir de zones gâchettes, mais les zones gâchettes sont presque pathognomoniques pour la TN. [1] Parmi les autres déclencheurs signalés à l'origine des paroxysmes de la névralgie du trijumeau, citons le brossage des dents, le rasage, le lavage du visage, le tabagisme, la mastication, la conversation, les grimaces ou l'exposition à l'air froid.[11][1] devrait mériter d'être pris en compte dans les différentiels. Ces patients doivent être interrogés sur d'autres symptômes neurologiques tels que la faiblesse focale, les changements de vision, les étourdissements et l'ataxie. [1] Chez les patients atteints de TN, l'examen physique est généralement normal. Par conséquent, les médecins doivent effectuer un examen physique détaillé de la tête, du cou, des yeux, des oreilles, des dents, de la bouche et de l'articulation temporo-mandibulaire pour exclure d'autres causes de douleur faciale. La découverte de zones de déclenchement typiques est évocatrice de TN. [1] Chez les patients atteints de TN classique, l'examen neurologique est normal. Par conséquent, un examen physique montrant une perte sensorielle dans la distribution du nerf trijumeau, une perte du réflexe cornéen ou une faiblesse des muscles faciaux devrait inciter le médecin à envisager une TN secondaire et d'autres différentiels. [1] Plusieurs patients atteints de TN se plaignent de maux de dents et de douleurs lors du brossage des dents. Un examen oral détaillé peut aider à différencier les causes dentaires de la douleur de la névralgie du trijumeau.[1]

Facteurs de risque

La section facultative Facteurs de risque ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient les facteurs de risque de la maladie. Ces facteurs de risque peuvent être des maladies, des anomalies génétiques, des caractéristiques individuelles (l'âge, le sexe, l'origine ethnique, un certain type d'alimentation), etc.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Facteur de risque
Commentaires:
 
  • Il est obligatoire d'utiliser des propriétés sémantiques de type Facteur de risque pour les énumérer.
  • Attention de ne pas confondre les étiologies avec les facteurs de risque. Les étiologies sont ce qui cause la maladie, alors que les facteurs de risque prédisposent.
  • Le format attendu est la liste à puce simple, qui doit toujours être précédée d'une phrase introductive et d'un deux-point.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Facteur de risque (prévalence, RR, rapport de cote, risque attribuable, etc.).
  • Privilégiez la liste à puce aux tableaux. Les deux formes sont acceptées.
Exemple:
 
Les facteurs de risque de l'infarctus du myocarde sont :
  • l'obésité [Facteur de risque]
  • l'hypertension artérielle [Facteur de risque]
  • le tabagisme [Facteur de risque]
  • le diabète [Facteur de risque].

Les facteurs de risque sont :

Questionnaire

La section obligatoire Questionnaire ne contient pour le moment aucune information.
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Description: Cette section traite des symptômes à rechercher à l'anamnèse (questionnaire). Les symptômes sont ressentis et exprimés par les patients.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Symptôme, Élément d'histoire
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage des propriétés sémantiques de type Élément d'histoire et Symptôme lors de l'énumération de ces éléments.
  • Attention de ne pas confondre les signes et les symptômes. Les signes sont objectivées à l'examen physique alors que les symptômes sont relatées par le patient.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les symptômes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • Dans les modèles sémantiques, insérez un symptôme par modèle (ne pas regrouper). Par exemple, la nausée et les vomissements doivent être mis dans deux modèles distincts.
  • N'utilisez pas de tableau pour cette section : utilisez plutôt un texte ou une liste à puce. Il faut garder les tableaux pour les sections qui en nécessitent le plus dans le but de ne pas surcharger la page.
  • Les facteurs de risque sont déjà présents dans la section du même nom. Il est inutile de le mentionner de nouveau dans la section Questionnaire.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels au questionnaire, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Symptôme et Élément d'histoire (prévalence, sensibilité, spécificité, etc.).
Exemple:
 
Les symptômes de l'infarctus du myocarde sont :
  • une douleur thoracique [Symptôme] de type serrement irradiant dans le bras gauche ou dans la mâchoire
  • des nausées [Symptôme]
  • des sueurs [Symptôme]
  • de la dyspnée [Symptôme].

D'autres éléments à rechercher au questionnaire de l'infarctus sont :

  • la prise récente d'inhibiteur de la PDE [ne pas mettre de modèle Symptôme]
  • la prise récente de cocaïne [Élément d'histoire]
  • des palpitations (pourrait signaler des arythmies malignes) [ne pas mettre de modèle Symptôme].

Il est parfois pertinent de mentionner des symptômes qui sont absents, comme dans la pharyngite à streptocoque. Les symptômes de la pharyngite à streptocoque sont :

  • l'odynophagie [Symptôme]
  • la fièvre [Symptôme]
  • l'absence de rhinorrhée [Symptôme]
  • l'absence de changement de la voix [Symptôme]
  • l'absence de toux [Symptôme].

Les symptômes de cette maladie sont :

==Examen clinique

==

La section obligatoire Examen clinique ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des signes à rechercher lors de l'examen clinique.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Examen clinique, Signe clinique
Commentaires:
 
  • Cette section doit faire l'usage de propriétés sémantiques de type Signe clinique lors de l'énumération de ces éléments ainsi que des propriétés de type Examen clinique.
  • Dans certains cas, les signes peuvent être d'autres maladies (voir la section Exemple).
  • Ne pas mettre de symptôme dans l'examen clinique. Les signes cliniques sont objectivés à l'examen physique par le clinicien.
    • La dyspnée est un symptôme, alors que la tachypnée est un signe.
    • La tachycardie est un signe, alors que la palpitation est un symptôme.
    • Rarement, certains éléments peuvent être à la fois des signes ET des symptômes. Par exemple, la fièvre peut être mesurée par le patient et figurer au questionnaire.
  • Les signes des complications potentielles peuvent être évoqués dans cette section, mais ils ne doivent pas être spécifiés avec des balises sémantiques.
  • La liste à puce est le format à privilégier : rarement, un tableau peut être employé, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Si vous désirez discuter de la manière de distinguer certains diagnostics différentiels à l'examen clinique, il est préférable d'utiliser la section Approche clinique ou de créer/améliorer une page de type Approche clinique.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen clinique et Signe clinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.)
Exemple:
 
L'examen physique de l'appendicite démontrera les éléments suivants :
  • aux signes vitaux [examen clinique] :
    • de la fièvre [signe clinique]
    • des signes de choc septique [signe clinique] si appendicite compliquée (tachycardie, hypotension, tachypnée)
  • à l'examen abdominal [examen clinique]:
    • une sensibilité diffuse à la palpation (phase précoce) [signe clinique]
    • un signe de McBurney positif (généralement un peu plus tard dans la présentation) [signe clinique]
    • un signe de Rovsing positif [signe clinique]
    • un ressaut positif [signe clinique]
    • un signe du Psoas positif [signe clinique]
    • un signe de l'obturateur positif [signe clinique]
  • un examen gynécologique [examen clinique] normal [signe clinique].

L'examen clinique permet d'objectiver les signes suivants :

Examens paracliniques

La section obligatoire Examens paracliniques ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section concerne les tests à demander lorsque la maladie est suspectée et les résultats attendus en présence de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques: Examen paraclinique, Signe paraclinique
Commentaires:
 
  • Chaque examen paraclinique doit être spécifiée à l'aide du modèle Examen paraclinique et ses résultats attendus à l'aide du modèle Signe paraclinique.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Parfois, présenter les examens paracliniques/signes paracliniques sous la forme d'un tableau peut-être optimal, mais cela est à réserver aux cas où la complexité de l'information l'exige.
  • Il est important d'être précis. Par exemple, « radiographie du genou » est préférable à « radiographie », « TDM abdominal avec contraste » > « TDM abdominal », etc.
  • Il est possible de mettre des examens paracliniques qui sont indiqués pour une maladie, mais qui sont normaux. Par exemple, la radiographie thoracique dans l'infarctus du myocarde, qui sert essentiellement à dépister d'autres maladies (dissection aortique, oedème pulmonaire aigu).
  • Un signe paraclinique peut être normal. Par exemple, un trou anionique normal (signe paraclinique) peut être utile dans le contexte d'une acidose métabolique.
  • Il est utile de séparer les laboratoires et les imageries en deux sous-sections distinctes.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur des modèles Examen paraclinique et Signe paraclinique (sensibilité, spécificité, VPP, VPN, etc.).
Exemple:
 
Les examens suivants sont utiles dans la démarche d'investigation du VIPome :
  • les électrolytes fécaux [examen paraclinique] : le trou osmolaire fécal est habituellement inférieur à 50 mOsm/kg [signe paraclinique]
  • le taux de VIP sérique [examen paraclinique] : habituellement supérieur à 500 pg/mL [signe paraclinique]
  • le taux de catécholamines sériques [examen paraclinique]
  • le taux de polypeptides pancréatiques sériques : les polypeptides pancréatiques sériques sont habituellement augmentés [signe paraclinique]
  • les électrolytes sériques [examen paraclinique] : l'hypokaliémie [signe paraclinique], l'hyperchlorémie [signe paraclinique] et l'hypercalcémie [signe paraclinique] sont typiques
  • la glycémie [examen paraclinique]: l'hyperglycémie [signe paraclinique] est fréquente
  • le gaz artériel [examen paraclinique]/ gaz veineux [examen paraclinique] : le gaz artériel ou veineux peuvent détecter une acidose métabolique [signe paraclinique] à trou anionique normal [signe paraclinique]
  • l'ECG [examen paraclinique], si hypokaliémie ou hypercalcémie.

Les examens paracliniques pertinents sont :

  • l'exam en paraclinique 1 :
  • l'examen paraclinique 2 :
  • ... Névralgie du trijumeau est généralement diagnostiquée sur la base des antécédents et de la description des symptômes par les patients. Pour les patients avec une TN cliniquement suspectée, il est recommandé d'avoir des études de neuro-imagerie pour distinguer la TN classique de la TN secondaire. L'IRM du cerveau est préférée à la tomodensitométrie, car l'IRM aide également à évaluer les petites lésions adjacentes.[1] Certains critères de diagnostic établis par l'ICHD-3 peuvent aider au diagnostic de TN. Ces critères sont les suivants[2] :[1] A) Douleurs faciales récurrentes unilatérales dans la distribution du nerf trijumeau et répondant aux critères B et C.[1] B) La douleur a les caractéristiques suivantes :[1]
  • Douleur durant une fraction de seconde à environ 2 minutes
  • Douleur d'intensité sévère
  • Choc électrique ou douleur lancinante de qualité aiguë[1] C) Des stimuli inoffensifs précipitent la douleur dans la distribution affectée[1] D) Aucun autre diagnostic ICHD-3 n'explique mieux les symptômes[1] Les sous-types de TN sont définis par ICHD-3 comme suit [2] : [1]
  • TN classique : Ceci est secondaire à une compression neuromusculaire et remplit les critères ci-dessus. Cela nécessite la démonstration de la compression sur une IRM ou lors de la chirurgie de compression neuromusculaire, avec des modifications morphologiques associées de la racine du nerf trijumeau.
  • TN secondaire : Ceci est défini comme TN secondaire à une maladie sous-jacente. Certaines des causes signalées sont la sclérose en plaques, la malformation artério-veineuse et la tumeur de l'angle ponto-cérébelleux.
  • TN idiopathique : Ceci est défini comme un TN sans anomalies observées à l'IRM ou aux tests électrophysiologiques. [1] Les études de neuroimagerie telles que l'IRM cérébrale ou la tête CT peuvent aider à identifier des causes telles que la tumeur de l'angle ponto-cérébelleux ou la sclérose en plaques, qui peuvent provoquer une TN secondaire. [13] L'imagerie par résonance magnétique ou l'IRM haute résolution peuvent aider à identifier la compression vasculaire comme cause de la TN classique.[14][15] Une IRM ciblée, qui est une IRM haute résolution, peut être réalisée avec ou sans contraste de gadolinium. Cela peut donner une image détaillée des vaisseaux sanguins et du cerveau. C'est ce qu'on appelle les séquences FIESTA dans certaines machines MR. Dans ces machines, des sections aussi fines que 1 mm peuvent être prises dans un plan coronal sans aucun saut entre les images. De cette façon, l'imagerie de l'ensemble du trajet du nerf trijumeau peut être obtenue et le vaisseau incriminé provoquant la compression peut être identifié. [1] Par conséquent, bien que la TN soit un diagnostic clinique, une IRM du cerveau avec et sans produit de contraste est recommandée pour exclure une lésion cérébrale structurelle chez tous les patients présentant une suspicion clinique de TN. Il est également important de noter que les patients de moins de 40 ans, les patients présentant des symptômes bilatéraux et une perte sensorielle à l'examen physique présentent un risque plus élevé de névralgie secondaire du trijumeau. [1]

Approche clinique

La section facultative Approche clinique ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Alors que les sections Questionnaire, Examen clinique et Examens paracliniques servent à énumérer, cette section sert à intégrer tous ces éléments pour discuter du raisonnement du clinicien. C'est en quelque sorte la manière dont les cliniciens réfléchissent lorsque confrontés à cette maladie : c'est la section par excellence pour l'enseignement.
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • C'est la seule section dans laquelle on peut répéter des informations qui ont déjà été mentionnées auparavant.
  • L'utilisation du modèle Flowchart (diagramme) est encouragée. Voir Aide:Diagramme.
  • Le format attendu est libre (texte, liste, tableau, diagramme).
Exemple:
 

Diagnostic

La névralgie du trijumeau est un diagnostique clinique devant respecter les critères suivants[16] :

  1. Douleur faciale unilatérale avec paroxysmes récurrents dans la ou les distributions d'une ou plusieurs divisions du nerf trijumeau, sans irradiation
  2. La douleur comporte toutes les caractéristiques suivantes :
    1. Durée : Une fraction de seconde à deux minutes
    2. Intensité : sévère
    3. Forme : choc électrique, coup de feu, coup de couteau ou coupant
  3. Éléments déclencheurs inoffensifs dans la distribution du trijumeau affecté
  4. N'est pas mieux expliqué par un autre diagnostique
La section facultative Diagnostic ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite de la manière dont on peut diagnostiquer une maladie en tenant compte de l'histoire, de l'examen clinique et des investigations. C'est dans cette section que se retrouveront les critères permettant d'infirmer ou de confirmer la présence de la maladie (lorsqu'ils existent).
Formats:Texte, Liste à puces, Tableau
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Si des critères diagnostiques précis et officiels existent, cette section sert à les répertorier.
  • Si la forme des critères diagnostiques est complexe, il est possible de présenter l'information sous forme de tableau. La liste à puce est néanmoins à privilégier.
Exemple:
 
L'asystolie est un diagnostic électrocardiographique. L'absence d'activité électrique chez un patient inconscient sans pouls permet de confirmer le diagnostic, tout en s'assurant qu'il n'y a pas de cable débranché et que la calibration du moniteur est adéquate.

Selon le Fourth Universal Definition of Myocardial Infarction, l'infarctus aigu du myocarde est diagnostiqué lorsqu'il y a :

  • une blessure myocardique aiguë
  • des évidences cliniques d'ischémie aiguë du myocarde
  • avec une élévation et/ou baisse des troponines sériques (avec au moins une valeur au-dessus du 99e percentile) et au moins un des éléments suivants :
    • des symptômes compatibles avec l'ischémie myocardique
    • un changement ischémique de novo à l'ECG
    • une apparition d'ondes Q pathologiques
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de myocardes viables
    • une évidence à l'imagerie de nouvelles pertes de mobilité régionale de la contractilité
    • une identification d'un thrombus coronarien par angiographie ou autopsie.

Diagnostic différentiel

La section obligatoire Diagnostic différentiel ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite du diagnostic différentiel de la maladie, c'est-à-dire aux autres diagnostics à évoquer lorsque confronté à ce diagnostic.
Formats:Liste à puces
Balises sémantiques: Diagnostic différentiel
Commentaires:
 
  • Chaque diagnostic doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Diagnostic différentiel.
  • La liste à puce est le format à utiliser, toujours précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points. Évitez les tableaux dans cette section. Gardons-les pour d'autres sections pour garder l'efficacité de l'article.
  • Vous pouvez ajouter quelques éléments discriminants après chaque diagnostic différentiel. Si c'est un ou deux éléments, vous pouvez mettre ces éléments discriminants entre parenthèse après le modèle Diagnostic différentiel. S'il s'agit de quelques phrases, insérez une note de bas de page après le modèle Diagnostic différentiel. Pour élaborer plus longuement sur la manière de distinguer la maladie et ses diagnostics différentiels, servez-vous de la section Approche clinique.
  • Si vous désirez écrire un paragraphe sur les différentes manières de distinguer le diagnostic A du diagnostic B, vous pouvez écrire un paragraphe dans la section Approche clinique qui mentionnent tous les éléments qui permettent de distinguer ces diagnostics entre eux au questionnaire, à l'examen clinique et aux examens paracliniques.
  • Attention de ne pas confondre le diagnostic différentiel avec les étiologies et les complications. Le diagnostic différentiel, ce sont les autres maladies qui peuvent avoir une présentation clinique similaire. Les étiologies sont les entités qui causent la maladie. Les complications sont les entités qui découlent directement de la maladie.
Exemple:
 
Le diagnostic différentiel de l'appendicite comprend :
  • l'abcès tubo-ovarien [diagnostic différentiel]
  • l'atteinte inflammatoire pelvienne [diagnostic différentiel]
  • la grossesse ectopique [diagnostic différentiel] Pour différencier la grossesse ectopique de l'appendicite, il faut d'abord questionner les facteurs de risques XYZ du patient... (voir la section Commentaires de la présente bannière pour des instructions plus détaillées si vous désirez souligner des éléments discriminants.)
  • la cystite [diagnostic différentiel].

Le diagnostic différentiel de la maladie est :

  • le diagnostic différentiel 1
  • le diagnostic différentiel 2
  • le diagnostic différentiel 3
  • ... Une bonne anamnèse et un examen physique peuvent aider à différencier la névralgie du trijumeau d'autres conditions similaires. Cela se présente généralement avec une éruption cutanée sévère précédente. Implique souvent la première division du nerf trijumeau et la douleur est généralement continue. La douleur TN est intermittente et dure quelques secondes.
  • Douleur dentaire : Il s'agit généralement d'une douleur continue et intrabuccale, qui peut être sourde ou lancinante. La douleur TN est généralement aiguë, intermittente et ressemble à un choc électrique. De plus, des anomalies sont décelées à l'examen buccal si la douleur est d'origine dentaire.
  • Crises de céphalées névralgiformes unilatérales de courte durée (SUNA) et crises de céphalées neuralgiformes unilatérales de courte durée avec injection et déchirure conjonctivales (SUNCT) : elles se présentent sous la forme de crises soudaines et brèves de douleur unilatérale dans les régions orbitaire, périorbitaire et temporale. Des symptômes autonomes homolatéraux les accompagnent également.
  • Neuropathie du trijumeau : cette affection se manifeste par une douleur persistante et peut être associée à une perte sensorielle.
  • Syndrome de l'articulation temporo-mandibulaire : cette affection se manifeste par une douleur persistante. Une sensibilité localisée et des anomalies de la mâchoire peuvent être démontrées.
  • Névralgie glossopharyngée : les patients présentent des douleurs dans la langue, la bouche et la gorge. La douleur est déclenchée par la mastication, la parole et la déglutition.[1]

Traitement

La section obligatoire Traitement ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section décrit le traitement de la maladie.
Formats:Liste à puces, Tableau, Texte
Balises sémantiques: Traitement, Traitement pharmacologique
Commentaires:
 
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement.
  • La liste à puce et le tableau sont les formats à privilégier.
  • La liste à puce doit toujours être précédée d'une courte phrase introductive avec un deux-points.
  • Il faut garder en tête lorsqu'on écrit cette section que le clinicien qui consulte cette page doit être en mesure de retrouver l'information dont il a besoin rapidement. La division de l'information doit tenir compte de cette contrainte.
  • Chaque traitement (et son indication) doit être spécifié à l'aide d'une propriété sémantique de type Traitement. Si disponible, ajoutez les données épidémiologiques dans le modèle sémantique du traitement par rapport à l'efficacité du traitement (RRA, RRR, NNT, NNH, etc.).
  • Indiquez la posologie des médicaments ainsi que la durée du traitement. Les posologies de médicaments doivent être systématiquement référencées. Un médicament mentionné sans la posologie a une utilité limitée pour le clinicien qui visite la page.
  • Si un traitement approprié de la maladie est une procédure, ne décrivez pas cette procédure dans la section traitement.
    • Ne décrivez pas comment on installe un drain thoracique dans le pneumothorax. La technique d'installation du drain thoracique sera détaillée sur une page de type Procédure. Tenez-vous en à l'indication de la procédure pour la présente maladie. Par exemple, le drain thoracique est indiqué en présence d'un pneumothorax de > 3 cm.
    • Ne détaillez pas l'onyxectomie dans la page sur l'ongle incarné. Dites plutôt que l'onyxectomie est appropriée dans l'ongle incarné dans les situations XYZ.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Traitement (NNH, NNT, RRR, RRA, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de traitement, ajouter une balise de type [Traitement] et la faire pointer vers Absence d'intervention.
Exemple:
 

Les traitements recommandés sont les suivants :

  • le traitement 1
  • le traitement 2
  • le traitement 3
  • ... Les options de prise en charge des patients atteints de névralgie du trijumeau dépendent de divers facteurs, notamment l'âge, l'état de santé général, la gravité de la maladie et la cause sous-jacente. La décision doit être prise après une discussion approfondie avec le patient et les autres médecins impliqués dans les soins du patient. [1] Traitement pharmacologique [1]
  • Le traitement de première ligne pour les patients atteints de TN classique et de TN idiopathique est le traitement pharmacologique. Le médicament le plus couramment utilisé est la carbamazépine, un anticonvulsivant.[5] Il est généralement commencé à faible dose et la dose est progressivement augmentée jusqu'à ce qu'elle contrôle la douleur. Il contrôle la douleur pour la plupart des gens aux premiers stades de la maladie. Cependant, chez certains patients, l'efficacité de la carbamazépine diminue avec le temps. Les effets secondaires possibles de la carbamazépine comprennent la somnolence, les étourdissements, la vision double et les nausées. Chez les patients d'ascendance asiatique, avant de commencer la carbamazépine, il est recommandé de rechercher l'allèle HLA-B*15:02, car sa présence augmente le risque de développement d'une nécrolyse épidermique toxique ou du syndrome de Stevens-Johnson.[17]
  • L'oxcarbazépine est un médicament plus récent et est étant de plus en plus utilisé comme traitement de première ligne pour la TN chez les patients qui ne répondent pas à la carbamazépine ou qui ne la tolèrent pas. Les effets secondaires possibles comprennent une vision double et des étourdissements. Il peut également provoquer une hyponatrémie. Il doit également être évité chez les patients porteurs de l'allèle HLA-B*15:02.
  • Le baclofène est un relaxant musculaire qui peut être utilisé pour traiter la TN. Les effets secondaires comprennent les étourdissements, la sédation et la dyspepsie.
  • Les autres médicaments comprennent la lamotrigine, la phénytoïne, la gabapentine, le clonazépam et l'acide valproïque.
  • De nouveaux médicaments comme l'eslicarbazépine, un métabolite actif de l'oxcarbazépine, et le nouveau bloqueur de Nav1.7, la vixotrigine, sont à l'étude pour le soulagement de la douleur dans la TN.[5]
  • Les patients atteints de TN secondaire peuvent également bien répondre à la pharmacothérapie. Cependant, il est recommandé de traiter la lésion ou la maladie sous-jacente.[1] Botulinum Toxin Injections [18][1]Cela peut être bénéfique pour certains patients, en particulier les personnes d'âge moyen et les personnes âgées, qui sont réfractaires au traitement médical ou qui ne peuvent pas tolérer le traitement médical en raison de son côté effets.UNIQréf0000004A-QINU`"'?UNIQréf0000004B-QINU`"'?


Thérapie chirurgicale UNIQréf0000004C-QINU`"'?


  • Les patients réfractaires au traitement médical peuvent être envisagés pour une intervention chirurgicale.[1]


  • Décompression microvasculaire [19] : C'est l'une des procédures les plus couramment utilisées pour traiter la névralgie du trijumeau. Ceci est bénéfique pour les patients atteints de TN, où la compression de la racine nerveuse est la cause. Cela implique une craniotomie et une exploration de la fosse postérieure pour identifier et déplacer le vaisseau sanguin qui comprime le nerf trijumeau. Un coussin souple est ensuite inséré entre le nerf et le vaisseau pour permettre au nerf de récupérer, ce qui finit par soulager la douleur. Chez certains patients, cette procédure peut entraîner un soulagement durable de la douleur pendant plus de 10 ans. Bien que ce soit la procédure la plus efficace, c'est aussi la plus invasive. Certaines des complications qui y sont associées sont une diminution de l'audition, un hématome cérébelleux, des fuites de LCR, un infarctus et une faiblesse faciale. On pense qu'il s'agit du traitement chirurgical à long terme le plus efficace actuellement disponible pour les patients atteints de TN.[20][1]


  • Les procédures ablatives comprennent la rhizotomie avec thermocoagulation, l'injection chimique ou la compression mécanique par ballonnet. Ces procédures impliquent d'endommager la racine du nerf trijumeau, interrompant ainsi les signaux de transmission de la douleur au cerveau. La rhizotomie avec thermocoagulation utilise une électrode pour appliquer de la chaleur afin d'endommager les fibres nerveuses. La rhizotomie chimique consiste à injecter le glycérol chimique dans le nerf trijumeau, l'endommageant ainsi. La compression par ballon consiste à insérer un petit ballon au point de localisation des fibres nerveuses.[21][22] Ce ballon, lors du gonflage, endommage les fibres nerveuses. Certaines des complications associées sont la dysesthésie postopératoire, l'engourdissement cornéen, la perte sensorielle dans la distribution du nerf trijumeau et l'anesthésie douloureuse. UNIQréf00000053-QINU`"'?


  • Radiochirurgie : cette procédure implique l'utilisation d'instruments de radiochirurgie.[23][24][25] Il s'agit d'une procédure non invasive dans laquelle une dose hautement concentrée de rayonnement ionisant est administrée à une cible précise au niveau de la racine du nerf trijumeau. Le rayonnement crée une lésion près de la racine nerveuse, interrompant ainsi la transmission des signaux de douleur au cerveau. La formation de la lésion peut être lente et, par conséquent, le soulagement de la douleur à l'aide de cette procédure est retardé de plusieurs semaines ou mois. Comme il s'agit de l'une des procédures les moins invasives, elle peut être répétée chez les patients qui présentent une récidive de la douleur. Certaines des complications associées peuvent être une perte sensorielle faciale et des paresthésies. UNIQréf00000057-QINU`"'?


  • Neurectomie périphérique et bloc nerveux : La neurectomie peut être réalisée sur les branches périphériques du nerf trijumeau comme les nerfs supraorbitaire, infraorbitaire, lingual et alvéolaire.[26] Cela peut être réalisé par injection d'alcool, incision, cryothérapie ou lésion par radiofréquence. La neurectomie périphérique peut être sans danger chez les patients âgés dans les régions éloignées et rurales, où les installations de neurochirurgie ne sont pas facilement disponibles.

Suivi

La section facultative Suivi ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite du suivi de la maladie.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
  • Est-ce que la patient aura besoin d'être revu dans X semaines ?
  • Quels doivent être les consignes données au patient ?
  • Cette section peut également traiter du suivi intrahospitalier.
  • Quels sont les éléments cliniques (signes/symptômes) et paracliniques (imagerie et laboratoire) à répéter ? À quelle fréquence ? Pour quelle raison ?
Exemple:
 

Complications

La section obligatoire Complications ne contient pour le moment aucune information.
Toute contribution serait appréciée.

Description: Cette section traite des complications possibles de la maladie.
Formats:Liste à puces, Texte
Balises sémantiques: Complication
Commentaires:
 
  • Chaque complication doit être spécifiée à l'aide du modèle Complication.
  • Si possible, veuillez ajouter la fréquence des complications.
  • Ne pas mentionner les complications de la procédure ou du traitement sur la page de la maladie.
    • Sur une page de tendinite, ne pas mettre dans les complications que l'ulcère d'estomac est une complication de la prise d'anti-inflammatoire. Cette complication figure seulement sur la page de type Médicament dans les effets indésirables.
    • Sur la page de l'appendicite, on ne nomme pas les complications de l'appendicectomie, mais seulement celles de l'appendicite. Les complications de l'appendicectomie sont décrites sur une page de type Procédure d'appendicectomie.
  • Ne pas confondre les facteurs de risque, les étiologies, les complications et le diagnostic différentiel. Les complications, ce sont les autres maladies qui se développent si on ne traite pas la maladie.
  • Le format attendu est la liste à puce, précédé d'une courte phrase introductive et d'un deux-points.
  • Si disponible, il est pertinent d'ajouter les données épidémiologiques à l'intérieur du modèle Complication (risque relatif, etc.)
  • Lorsqu'il n'y a pas de complications, ajouter une balise de type [Complication] et la faire pointer vers Aucune complication.
Exemple:
 
Les complications de l'infarctus du myocarde sont :
  • la rupture d'un pilier mitral [Complication]
  • l'oedème aiguë du poumon [Complication]
  • la tachycardie ventriculaire [Complication]
  • le bloc AV de haut grade [Complication].

Les complications de cette maladie sont :

  • la complication 1
  • la complication 2
  • la complication 3
  • ...
  • La douleur dans la névralgie du trijumeau est si grave et débilitante que les patients peuvent développer une dépression s'ils ne sont pas traités de manière adéquate.
  • Les patients souffrant de douleurs intenses associées à des contractions faciales peuvent devenir socialement retirés en raison de l'embarras et de la peur d'une attaque imminente.
  • Les patients traités avec des médicaments anticonvulsivants à long terme peuvent avoir des effets indésirables des médicaments.
  • La décompression microvasculaire et les interventions neurochirurgicales percutanées peuvent présenter des risques chirurgicaux.
  • Certains patients développent en permanence un engourdissement facial du côté affecté.
  • Occasionnellement, les patients développent une anesthésie cornéenne et une faiblesse de la mâchoire.
  • L'anesthésie douloureuse est observée chez quelques patients. Il s'agit d'une dysesthésie faciale réfractaire, qui peut être plus invalidante que la TN originale.[1]

Évolution

La section facultative Évolution ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section contient le pronostic et évolution naturelle de la maladie. Le pronostic est lié à la survie du patient atteint de la maladie. L'évolution naturelle est la manière dont évoluera la maladie du patient dans le temps.
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La dissection aortique est associée une mortalité très élevée. Au moins 30% des patients décèdent après leur arrivée à l'urgence, et ce, même après une intervention chirurgicale. Pour ceux qui survivent à la chirurgie, la morbidité est également très élevée et la qualité de vie est mauvaise. La mortalité la plus élevée d'une dissection aortique aiguë est dans les 10 premiers jours. Les patients qui ont une dissection chronique ont tendance à avoir un meilleur pronostic, mais leur espérance de vie est raccourcie par rapport à la population générale.[1] Sans traitement, la mortalité est de 1 à 3% par heure au cours des 24 premières heures, 30% à une semaine, 80% à deux semaines et 90% à un an.

La névralgie du trijumeau n'est pas une maladie potentiellement mortelle. Cependant, cela peut entraîner des douleurs à vie et peut être invalidant. L'évolution de la TN est variable. Certains patients peuvent avoir des épisodes qui durent des semaines ou des mois, suivis d'intervalles sans douleur. Certains patients ont une douleur faciale de fond persistante en même temps que la TN. Chez certains patients, les crises de douleur s'aggravent avec le temps, avec des intervalles sans douleur moins nombreux et plus courts avant qu'elles ne se reproduisent. De plus, les médicaments peuvent perdre de leur efficacité avec le temps. Un diagnostic correct et une prise en charge appropriée peuvent être bénéfiques pour les patients et conduire à un bon pronostic. UNIQréf0000005C-QINU`"'?

Prévention

La section facultative Prévention ne contient pour le moment aucune information.
Si la section est n'est pas jugée nécessaire, elle peut être supprimée.

Description: Cette section traite des mesures préventives et du dépistage précoce de la maladie (lorsque pertinent).
Formats:Texte
Balises sémantiques:
Commentaires:
 
Exemple:
 
La prévention primaire consiste à la prise en charge des facteurs de risque :
  • l'arrêt tabagique
  • l'activité physique régulière
  • la perte de poids si obésité
  • le bon contrôle du diabète, de l'hypertension et de l'hypercholestérolémie
  • éviter toute consommation de cocaïne.

Le diagnostic et la prise en charge rapides de la névralgie du trijumeau sont essentiels, car la douleur est intense et peut être débilitante et affecter la qualité de vie. Les patients doivent être informés de la condition. Les patients doivent être informés de l'évolution de cette affection et des différentes options thérapeutiques disponibles. Les patients doivent être informés des risques d'un traitement anticonvulsivant à long terme ainsi que des risques associés aux options chirurgicales pour la névralgie du trijumeau. Cela peut aider les patients à prendre une décision éclairée. UNIQréf0000005D-QINU`"'?

Concepts clés

  • La névralgie du trijumeau est une douleur chronique qui se manifeste par une douleur faciale unilatérale.
  • La douleur dans la névralgie du trijumeau est généralement décrite comme une douleur aiguë, semblable à un choc électrique, lancinante ou lancinante dans la distribution d'une ou plusieurs divisions du nerf trijumeau.
  • La majorité des cas de névralgie du trijumeau sont dus à une compression neurovasculaire.
  • Bien que la TN soit un diagnostic clinique, une étude de neuroimagerie est recommandée chez tous les patients chez lesquels une TN est cliniquement suspectée afin de différencier la TN classique de la TN secondaire.
  • La carbamazépine est un médicament de première intention dans le traitement de la névralgie du trijumeau.
  • La décompression microvasculaire est l'une des modalités chirurgicales les plus efficaces pour le traitement de la névralgie du trijumeau. UNIQréf0000005E-QINU`"'?

Conseils

Bien qu'un fournisseur de soins primaires puisse effectuer le diagnostic et le traitement initial de la névralgie du trijumeau, une référence à la neurologie générale peut être nécessaire pour identifier les causes secondaires possibles telles que la sclérose en plaques, les malformations artério-veineuses et les tumeurs cérébellopontines. La consultation d'un neurochirurgien ou d'un chirurgien neurovasculaire est justifiée pour les patients réfractaires au traitement médical afin d'évaluer la nécessité d'une décompression microvasculaire ou d'autres interventions chirurgicales.[1]

Références

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  1. 1,00 1,01 1,02 1,03 1,04 1,05 1,06 1,07 1,08 1,09 1,10 1,11 1,12 1,13 1,14 1,15 1,16 1,17 1,18 1,19 1,20 1,21 1,22 1,23 1,24 1,25 1,26 1,27 1,28 1,29 1,30 1,31 1,32 1,33 1,34 1,35 1,36 1,37 1,38 1,39 1,40 1,41 1,42 1,43 1,44 et 1,45 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/32119373
  2. 2,0 2,1 2,2 2,3 et 2,4 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29368949
  3. 3,0 et 3,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29114270
  4. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21960648
  5. 5,0 5,1 et 5,2 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31908187
  6. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29120554
  7. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27164695
  8. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28076964
  9. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23381734
  10. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24534115
  11. 11,0 et 11,1 https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25231219
  12. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28708009
  13. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20227216
  14. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24785270
  15. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31367794
  16. (en) « Headache Classification Committee of the International Headache Society (IHS) The International Classification of Headache Disorders, 3rd edition », Cephalalgia, vol. 38, no 1,‎ , p. 1–211 (ISSN 0333-1024 et 1468-2982, DOI 10.1177/0333102417738202, lire en ligne)
  17. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/28520367
  18. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26634453
  19. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/27593849
  20. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/31958591
  21. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30978686
  22. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/29581020
  23. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/26915701
  24. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24889155
  25. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24438815
  26. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/30728686
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