Maladie de Parkinson (programme d'exercices)

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Maladie de Parkinson (programme d'exercices)
Programme d'exercices

Programme d'exercices
Système Neurologique
Indications
Maladie de Parkinson
Complications Fatigue (symptôme), Chute chez la personne âgée, Hypotension artérielle (signe clinique), Blessures musculo-squelettiques
Informations
Spécialités Neurologie, Kinésiologie, Médecine familiale

Cette page vise à décrire les effets bénéfiques de l’activité physique (AP) chez une clientèle ayant la maladie de Parkinson (MP).

Contexte

Environ 84 000 Canadiens de 40 ans et plus sont atteints de la MP[1]. Elle est le trouble neurodégénératif le plus fréquent après la maladie d'Alzheimer[2]. Il s'agit d'une maladie neurodégénérative chronique et progressive qui diminue grandement la qualité de vie des gens qui en sont atteints[3]. Dans la MP, une partie du cerveau appelée la substance noire est affectée par la perte des neurones dopaminergiques. Celles-ci contrôlent, entre autres, les mouvements et communiquent entre elles grâce à la dopamine. La diminution du nombre de ces neurones est à l’origine de la diminution du contrôle des mouvements et de l’apparition de symptômes moteurs[2]. L’évolution de la maladie se fait sur plusieurs années et les symptômes moteurs commencent à apparaître lorsque près de 80% des neurones dopaminergiques ont disparu[4]. Il n'existe malheureusement à ce jour aucun traitement curatif contre la MP. Certains traitements permettent de ralentir la progression de la maladie et d’offrir la meilleure qualité de vie possible aux patients. L’activité physique fait partie de ces traitements. En effet, elle est complémentaire à la médication et permet d’aider dans la gestion des symptômes de la maladie[4][5].

Indications

L'activité physique est recommandée chez tous les patients atteints de la MP.

Contre-indications

Il n’y a pas de contre-indications absolues ou relatives spécifiques.

Cependant, les patients ayant la MP sont souvent des personnes âgées souffrant de sarcopénie et de déconditionnement. Il est démontré que la sarcopénie contribue à augmenter la fragilité.

Prescription recommandée

Il est recommandé de réaliser de l'exercice aérobie 3 fois par semaine à une intensité modérée, soit à 40-59% de la fréquence cardiaque de réserve (Fcr). Pour déterminer la fréquence cardiaque de réserve, il faut d'abord connaître la fréquence cardiaque maximale (Fcmax) et la fréquence cardiaque de repos (Fc repos) de la personne. Par la suite, il suffit d'appliquer la formule suivante : Fcr = (Fcmax-Fcrepos) x %Fcr + Fcrepos. Si le patient ne connait pas sa fréquence cardiaque de réserve, il est possible d'utiliser l'échelle de perception de l'effort (EPE) afin de quantifier l'AP. Il est recommandé d'atteindre 3-4 sur l'EPE qui est graduée de 0 à 10. Il est recommandé d'accumuler 30 minutes d'activité aérobie en continu ou de façon fractionnée, par période d'au moins 10 minutes . Le type d'activité recommandée sont les activités prolongées et rythmées sollicitant de grands groupes musculaires, comme la marche, le vélo, la nage et la danse.

La musculation est recommandée 2-3 fois par semaine. L'intensité ciblée devrait être de 40-50% d'une répétition maximale (RM) pour les patients débutants afin d'améliorer la force musculaire et de 60-70% d'un RM pour les patients expérimentés. Donc, une série ou plus 10-15 répétitions pour les débutants est recommandée pour les patients atteints de la MP puis progresser les charges pour atteindre 8-12 répétitions pour un total de 2-3 séries. Pour la sécurité des patients, étant donné les symptômes moteurs présents dans la maladie, il est préférable d'éviter d'utiliser des poids libres. La musculation sur machine ou avec des bandes de résistance ou poids de corps sont à privilégier pour cette clientèle[6].

Finalement, la flexibilité est une composante importante à inclure dans la prescription étant donné la rigidité musculaire qui s'installe avec la progression de la maladie. Ce type d'exercice devrait être fait 2-3 fois par semaine. Il est recommandé de réaliser des exercices en extension, flexion et rotation en se rendant à une amplitude pour avoir un léger inconfort. L'ACSM recommande de maintenir les exercices de 10 à 30 secondes et faire de 2 à 4 répétitions de chaque exercice[6].

Il est également déconseillé pour cette population de réaliser du travail musculaire en force (2-6 séries de 6 à 8 répétitions) avec de grosses charges et de réaliser des sports à hauts impacts[6].

Exécution

Un trait caractéristique de la MP est ce qu'on appel les périodes « ON » (hyperkinétiques) et les périodes « OFF » (hypokinétique).

  • Les périodes dites « ON » se caractérisent par des périodes de bonne maîtrise des symptômes moteurs, soit les moments pendant lesquels la médication semble bien agir[7]. Généralement, les patients rapportent un retour prévisible des symptômes moteurs et non moteurs survenant avant la prise de leur prochaine dose de médicament[8]. Les symptômes vont ensuite s'améliorer 15 à 45 minutes après la prise de la dose de médicament[9]. Le moment de la journée des périodes «ON» va donc dépendre de l'heure à laquelle la médication a été prise.
  • Pour la période « OFF », il s'agit d'une période où les symptômes moteurs ne sont pas bien maîtrisés par les médicaments. Les patients auront alors de la difficulté à fonctionner et auront des symptômes moteurs, comme la dystonie. Cette période survient généralement avant qu'une dose de médicament n'ait commencé à agir ou quand une dose antérieure perd son efficacité[10]. Ces périodes se produisent aussi généralement le matin au réveil, puisque la médication prise au couché ne fait plus effet. Dans les stades intermédiaires de la maladie, la survenue de ces épisodes « OFF » dans la journée est prévisible. Par la suite, l’apparition de ces épisodes peut devenir plus soudaine et imprévisible[4].

Ces périodes sont variables d'un patient à l'autre, selon la progression de la maladie et les doses de médicaments qui sont prises. Il est donc primordial de réaliser les exercices lors des périodes « ON » du patient, c'est-à-dire lorsque les symptômes sont les moins présents et que la médication fait le plus effet. Les périodes où les patients atteints de la MP s'entraînent doivent être flexibles et s'adapter à la fluctuation de leurs symptômes.

Il est important de réaliser une évaluation de la condition physique du patient afin de déterminer les patrons moteurs affectés par la maladie. En effet, comme ce ne sont pas tous les patrons moteurs qui sont affectés de la même façon, une évaluation permet de cibler les activités à privilégier. Des tests fonctionnels sont à privilégier avec cette clientèle. Une évaluation fonctionnelle à la marche ou sur le vélo avec prise de valeurs hémodynamiques serait une bonne approche. Aussi, des évaluations comme le TUG test, le test de lever de chaise, le chair sit and reach test et l'évaluation de l'équilibre seraient appropriés. Cela permettra aussi de reconnaître les limitations de chaque patient ainsi que la gravité de la maladie afin de réaliser un programme individualisé à leurs besoins. Les exercices devront être adaptés au fil du temps selon l'évolution de la maladie[11].

Pour les exercices cardiovasculaires, le choix de l'exercice se fait en fonction de la capacité des patients. Débuter la séance cardiovasculaire par un échauffement de 5 minutes à intensité faible et terminer par un retour au calme[6].

Pour le programme musculaire, l'endurance musculaire est à privilégier. Un programme en endurance musculaire se caractérise par l'utilisant de petites charges et un plus grand nombre de répétitions (2-3 séries de 10 à 15 répétitions).

Il est aussi important d'intégrer des exercices d'équilibre statique et dynamique. Par exemple, la marche en tandem constitue un bon exercice d'équilibre dynamique. En statique, il peut tout simplement s'agir de maintenir son équilibre sur une jambe ou sur une surface instable pour un temps donné.

Il est aussi important d'intégrer de la mobilité, de la flexibilité et de grandes amplitudes de mouvements afin de limiter la rigidité musculaire. Par exemple, des mouvements de flexion et d'extension du cou aident à travailler la souplesse et la mobilité. Faire des cercles avec les bras vers l'avant et vers l'arrière et balancer la jambe d'avant en arrière permet aussi de travailler la mobilité dans de grande amplitude de mouvement. Il est important d'y aller en douceur avec les muscles spastiques afin d'éviter les contractions réflexes et l'hypertonie, surtout en flexion. Travailler en extension est donc préférable. Aussi, inclure des exercices comprenant des défis ou des prises de décisions afin d'avoir une composante cognitive. Il peut tout simplement s'agir d'un parcours à compléter comprenant des choix (par exemple contourner un objet ou passer par dessus). Dans le programme musculaire, il est important de débuter avec des tâches simples (mouvement isolé) et une à la fois[12][6], puisque les tâches plus complexes (mouvement combiné) sont difficiles à réaliser pour les patients atteints de la MP.

Le type de supervision nécessaire pour cette population peut être à la maison ou sous supervision plus serrée dans un centre spécialisé. En effet, il a été démontré que les exercices aérobies réalisés à la maison chez la population ayant la MP au stade modéré avaient des bénéfices et étaient efficaces et sécuritaires[13]. Les bénéfices de l'exercice sur la maladie sont similaires que les exercices soient réalisés à la maison ou dans un centre adapté sous supervision[14].

Complications

Plusieurs complications à l'exercice sont possibles chez cette clientèle, notamment à cause des symptômes moteurs, de la diminution de l'équilibre et de la rigidité musculaire qui s'installe progressivement avec l'évolution de la maladie. Les patients atteints de la MP sont donc plus à risque de faire face aux complications suivantes[5][4] :

Suivi

Le suivi du patient doit être individualisé en fonction de la progression de la maladie, des symptômes moteurs et des autres symptômes dont les patients souffrent. Lors de la pratique de l'activité physique, la fatigue peut être un enjeu important[5]. Comme les patients atteints de la MP sont à risque d'avoir des symptômes de fatigue, il faut s'assurer que l'activité physique n'exacerbe pas les symptômes. Si tel est le cas, diminuer la durée/l'intensité de l'activité physique et fractionner les séances au besoin.

La médication prise par les patients ayant la MP peut induire comme symptômes de la bradycardie et de la tachycardie. Monitorer les fréquences cardiaques avant, pendant et après l'effort est donc à considérer afin de s'assurer de la sécurité de la séance d'exercice.

De plus, les patients atteints de la MP peuvent être à risque de chutes de pression. La tension artérielle devrait donc également être mesurée, surtout si le patient semble avoir des symptômes de lipothymie[6].

Bénéfices anticipés

L'activité physique est recommandée chez tous les patients atteints de la MP dans l'objectif de :

Les bénéfices anticipés de l'activité physique sur la MP sont majeurs. En effet, il a été démontré que l'activité physique pouvait contribuer à ralentir la progression de la maladie ainsi que de retarder l'invalidité et la sévérité de la maladie. La MP étant une maladie neurodégénérative, les bénéfices permettant aux patients d'améliorer leur qualité de vie[18][19] sont non négligeables. L'activité physique permet d'améliorer la qualité de vie notamment par l'amélioration de la gestion des symptômes et en prévenant les complications secondaires de la maladie[5][6]. Les patients atteints de la MP étant à grand risque de chute, l'amélioration de l'équilibre et l'amélioration de la capacité fonctionnelle permettant de prévenir les hospitalisations [17][20] sont des bénéfices importants pour cette clientèle[21] .

Les patients atteints de la MP ont une dégénérescence de leur condition qui varie d'une personne à une autre. Néanmoins, cette diminution de leurs capacités rend les patients de plus en plus sédentaires. La diminution de la pratique d'AP peut donc mener à un déconditionnement général et aux effets négatifs qu'il comprend en plus de l'exacerbation des symptômes propres à la maladie. Une diminution de la capacité cardiovasculaire, de la capacité fonctionnelle[17] et de la vitesse de marche peuvent s'en suivre et mener à de la fragilité. Le fait de rester actif permet entre autres de limiter ces pertes de capacité dues au déconditionnement et à la sédentarité[17]. L'activité physique permet aux patients de continuer à bouger et à utiliser leurs différentes masses musculaires. Un des symptômes de la MP est la rigidité musculaire qui s'installe. Le fait de bouger contribue donc à contrôler la rigidité musculaire[4].

Un des symptômes caractéristiques de la MP est le freezing[4]. Ce symptôme se définit par une incapacité temporaire et involontaire de bouger[22]. L'exercice aurait un effet sur ce symptôme notamment lors de la marche[19]. Le patron de marche est également affecté, tout comme la coordination, la performance à la marche et la posture. L'exercice peut également contribuer à l'amélioration de ces aspects[5].

De façon plus générale, l'activité physique permet de diminuer la fatigue et de favoriser un meilleur sommeil. La fatigue étant un symptôme de la maladie, cette clientèle bénéficie encore plus de la diminution de ce symptôme. La santé gastro-intestinale et la constipation peuvent aussi bénéficier de l'activité physique[4][5].

Finalement, les troubles de la fonction cognitive sont fréquents chez les patients atteints de la MP[4]. L'activité physique pourrait contribuer à améliorer les fonctions cognitives et aurait également un rôle neuroprotecteur[4][5]. La dépression et l'anxiété sont également omniprésentes dans la MP[23]. Cela s'explique par le fait que les patients se voient dépérir physiquement sans avoir de contrôle sur leurs mouvements : l'exercice permet d'aider la gestion de l'anxiété et d'avoir un effet positif sur la dépression[22][24].


Références

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  4. 4,0 4,1 4,2 4,3 4,4 4,5 4,6 4,7 et 4,8 « Activité physique adaptée et parkinson : bienfaits et exemples », sur Parkinson Québec (consulté le 7 février 2022)
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